| | Alertes alimentaires, Alertes médicales , infos et Alertes diverses | |
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Libellule Admin

Messages : 10171 Date d'inscription : 27/01/2008
 | Sujet: Re: Alertes alimentaires, Alertes médicales , infos et Alertes diverses Ven 28 Sep 2018 - 16:42 | |
| source ICIAlimentation : certains fruits et légumes surgelés contiennent plus de pesticides que les produits frais 05h56, le 28 septembre 2018, modifié à 07h19, le 28 septembre 2018 Le magazine "60 millions de consommateurs" révèle que certains fruits et légumes surgelés contiennent plus de produits chimiques que les mêmes produits vendus frais. Des substances interdites en France ont été retrouvées dans les haricots verts et les framboises surgelés. C'est une étude qui pourrait changer vos habitudes. D'après le magazine 60 millions de consommateurs, certains fruits et légumes surgelés vendus en grande surface contiennent plus souvent des pesticides et des perturbateurs endocriniens que les mêmes produits vendus frais. Pourquoi ? Lesquels sont concernés ? Que risque-t-on ? La congélation empêche la dégradation des produits chimiques Parmi les 130 fruits et légumes surgelés testés, on retrouve les haricots verts, les petits-pois ou les framboises, plus contaminés que les mêmes produits qui seraient frais. La raison est tout simplement que ces fruits et légumes sont congelés immédiatement après la récolte : les substances chimiques n'ont donc pas le temps de se dégrader, contrairement aux produits frais. "L'intuition que les produits surgelés sont plus sains s'est vérifiée d'un point de vue nutritionnel, parce qu'ils contiennent davantage de vitamines", explique Patricia Chairopoulos, spécialiste alimentation chez 60 millions de consommateurs. "Mais c'est dans les fruits et légumes surgelés que l'on a retrouvé le plus de résidus de produits chimiques. On a trouvé également deux/trois substances interdites en France et dans l'Union européenne dans les haricots verts et dans les framboises surgelés". Quant aux surgelés "bio", ils contiennent de très faibles résidus de pesticides. Quels risques pour la santé ? Malgré la découverte de 60 millions de consommateurs, le magazine indique que les risques pour la santé sont faibles, car les doses détectées ne dépassent jamais les limites maximales autorisées par la loi. Autre bon point : presque toutes les références de tomates et de champignon de Paris surgelés qui ont été testées ne contiennent aucun résidu chimique. |
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Messages : 10171 Date d'inscription : 27/01/2008
 | Sujet: Re: Alertes alimentaires, Alertes médicales , infos et Alertes diverses Mar 2 Juil 2019 - 10:49 | |
| Il est temps que je relance ce post source https://www.bioaddict.fr/article/cash-investigation-comment-les-multinationales-controlent-et-modifient-les-varietes-de-semences-a6256p1.htmlPublié Le 18 Juin 2019 Cash Investigation : comment les multinationales contrôlent et modifient les variétés de semences Fruits et légumes industriels sans goût ni nutriments mais qui ne pourrissent pas, pain difficile à digérer à cause d'un gluten surpuissant mais qui gonfle plus facilement et rapidement à la cuisson... Elise Lucet révèle comment les industriels contrôlent et modifient les semences à leur avantage quitte à nous faire manger n'importe quoi. Une nouvelle enquête de Cash Investigation diffusée le mardi 18 juin à 21h10 sur France 2. "Bio ou pas, presque tous les fruits et légumes achetés par les consommateurs sont calibrés comme des produits industriels. Pour cela, les multinationales ont mis au point des semences totalement standardisées. Et qui sont désormais la propriété d'une poignée de géants mondiaux comme l'allemand Bayer-Monsanto, Syngenta, ou le français Limagrain qui pèse plus de 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Un business mondialisé où la graine se vend plus cher que de l'or. Le kilo de graines de tomate peut atteindre 400 000 euros !" révèle Cash Investigation qui a notamment enquêté sur les semences de blé et de tomates, "des semences qui ont été croisées, sélectionnées, pour créer des produits standardisés, calibrés comme des produits industriels". Pourquoi vos tomates n'ont aucun goût ? Elles sont partout dans les supermarchés : des tomates de longue durée qui affichent une splendide couleur rouge et ne pourrissent pas pendant des semaines... L'équipe de Cash Investigation est allé en Israël rendre visite à l'inventeur de cette "tomate de laboratoire" cultivée hors-sol, sur des tuyaux, dans des serres industrielles... A force de croiser des milliers de plants, le professeur Haim Rabinowitch a conçu un fruit qui ne pourrit qu'au bout de trois semaines. Le problème, c'est que cette tomate n'a "aucun goût", reconnaît-il lui-même en toute franchise. Et qu'elle a perdu une grande partie de ses nutriments... Et il n'y a pas que la tomate qui est concernée. Cash Investigation a analysé un par un, les 70 fruits et légumes les plus consommés par les Français. En soixante ans, ils ont perdu en moyenne 16% de calcium, 27% de vitamine C et 48% de fer. Aux États-Unis, Donald Davis a étudié l'évolution de 43 aliments entre 1950 et 1999. "Je suis arrivé à la conclusion que ce déclin est lié en partie à la hausse du rendement. Plus le rendement augmente, moins il y a de nutriments dans les fruits", détaille-t-il. Il précise : "En soixante ans, la tomate a perdu 59% de vitamine C. 850 000 tonnes sont vendues par an en France, 15 fois plus que les haricots verts. Les Bretons sont devenus les plus gros producteurs de l'Hexagone grâce aux marques Savéol, Prince de Bretagne ou Solarenn. Plus de 90% des tomates du territoire sont cultivées hors-sol, dans des serres chauffées à 21 °C. Cette technique pourrait être à l'origine de la baisse en nutriments de ces fruits." Gluten : ce pain que certains consommateurs ne digèrent plus Cash Investigation s'est également rendue en Inde, où les multinationales font produire leurs graines. Elle y a découvert des femmes et des enfants qui triment pour une poignée de roupies. Le magazine présenté par Elise Lucet a enquêté sur ces blés destinés à la fabrication de pains que certains consommateurs ne digèrent plus à cause d'un gluten surpuissant qui entraîne des intolérances alimentaires.. L'hypersensibilité au gluten n'est en effet pas seulement une mode et il y a des raisons pour expliquer que les partisans de l'alimentation sans gluten soient aussi nombreux... On y apprend ainsi que Jacquet, le géant français du pain de mie (filiale du semencier Limagrain), vend aux agriculteurs des variétés de graines dont les propriétés ont été boostées pour permettre une panification optimisée. L'enquête va plus loin, révélant l'existence de semences de blé enrobées de pesticides, non inscrites au catalogue officiel, mais facturées aux agriculteurs sous le terme d'ATSF (Assistance technique et savoir-faire). Les variétés de semences hybrides sont devenus la norme imposée Il faut savoir que les multinationales imposent des variétés hybrides et rendent ainsi captifs les agriculteurs avec des graines qui ne peuvent être replantées d'une année sur l'autre et doivent être rachetées à chaque semis. De plus, pour être commercialisée, une variété de fruits et légumes doit être inscrite, moyennant finance, à un catalogue officiel, supervisé par le Groupement national interprofessionnel des semences et plants (GNIS) composé des industriels qui vendent les semences. Nombreux sont ceux qui s'élèvent contre ce "hold-up". Cash Investigation a ainsi interviewé le chef cuisinier Olivier Roellinger, qui dénonce cette "privatisation du vivant, le garde-manger de l'humanité" et qui fabrique ses semences "maison", non certifiées, dites paysannes. Jean-François Berthelot, qui fabrique du pain au levain à l'ancienne près d'Agen, sera également présent sur le plateau de Cash investigation lors du débat qui prolonge l'émission. Tout comme le fondateur du Réseau paysan 21, Maxime Schmitt, qui distribue en circuit court les fruits et les légumes de petits producteurs dans la région de Nice. Les semences paysannes réautorisées, mais seulement en agriculture biologique Les semences dites paysannes sont celles qu'un agriculteur va directement prélever dans sa récolte afin de les replanter; elles sont issues des semences utilisées par les paysans avant l'industrialisation de l'agriculture. Jusqu'en 2017, les agriculteurs bio n'avaient pas accès aux variétés anciennes, issues d'une sélection paysanne traditionnelle car elles étaient hors la loi. La législation européenne a depuis autorisé les agriculteurs bio à vendre leur propre semence, mais en quantité limitée et selon des modalités restant à définir. Le débat sur le plateau après la diffusion des reportages portera sur cette question essentielle. "Multinationales : hold-up sur nos fruits et légumes", une enquête de Linda Bendali diffusée mardi 18 juin 2019 à 21h10 sur France 2. https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/cash-investigation/cash-investigation-du-mardi-18-juin-2019_3465425.htmlME info + Le brevetage du vivant : la firme Monsanto a toujours avoué que la manipulation génétique était un moyen d'obtenir des brevets et droits de propriété sur les graines. En contrôlant les semences, la firme peut contrôler la nourriture mondiale. Une sorte de pouvoir de vie ou de mort sur l'être humain.  |
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Messages : 10171 Date d'inscription : 27/01/2008
 | Sujet: Re: Alertes alimentaires, Alertes médicales , infos et Alertes diverses Mar 2 Juil 2019 - 10:56 | |
| Une goutte d'eau seule ne peut jamais créer un océan, mais un ensemble de gouttes le peut. source https://at06.eu/maison-de-la-semence-paysanne-maralpine-mspm/Maison de la Semence Paysanne Maralpine (MSPM) 23 octobre 2018Non classéMarc Par Maxime Schmitt, Gestion collective d’un système de semences autonome au service des paysans Paysans, jardiniers, chercheurs et chefs cuisinier s’associent en collectif pour valoriser collectivement les semences de la bio-région des Alpes-Maritimes. Ce terroir français et italien où coexistent climat méditerranéen et chaîne des Alpes est un écrin de graines à préserver, cultiver et transmettre. Nous collectons les graines ! Le collectif parcourt le territoire à la recherche de variétés-population, de « graines anciennes » cultivées et adaptées depuis des générations. Préserver le patrimoine semencier, c’est aussi documenter les histoires des communautés paysannes et transmettre les savoir-faire agronomiques et culinaires associés. Une grainothèque ressource La MSPM offre un lieu de stockage des graines et assure la redistribution des semences au sein du collectif. Pour être préservée durablement, nous multiplions et sélectionnons les graines en réalisant un accompagnement technique sur la non-hybridation, le taux de germination, une sélection massale cohérente avec le collectif… Les besoins agro-économiques des paysans et les attentes gustatives des fins gourmets définiront les protocoles de sélection. Formez-vous ! Diffuser la connaissance, c’est faire germer les graines de nos esprits. Introduction au thème des semences, formation approfondie pour maintenir une variété ou enseignement général à la reproduction de semences : ces temps d’apprentissage ancrent des savoirs génétiques et législatifs nécessaires à la préservation du vivant. Une bibliothèque dédiée à la souveraineté alimentaire Les semences paysannes, des histoires de luttes et périls, passées et futures, réunies dans un lieu de consultation multisupport : essais, films, livres, thèses … Notre mission : réintégrer les semences paysannes à notre quotidien ! 1 – La rareté sur le marché – donc le coût économique de ces graines, le manque de temps & de connaissances, ainsi que les pertes de rendement, font partie des freins.
2 – Nous construisons un argumentaire scientifique mettant en évidence l’intérêt économique, social et environnemental de l’usage quotidien de variétés-population. 3 – Nous sensibilisons les acteurs de la distribution (magasins bio, restaurants, épiceries…) et élu.es. 4 – En garantissant ces circuits économiques, nous incitons les paysans à réintégrer ces graines dans leur patrimoine semencier. 5 – La dynamique est entretenue par une communication et des évènements de promotion de la biodiversité.
Dernière édition par Libellule le Lun 16 Mar 2020 - 10:30, édité 1 fois |
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Messages : 10171 Date d'inscription : 27/01/2008
 | Sujet: Re: Alertes alimentaires, Alertes médicales , infos et Alertes diverses Mar 2 Juil 2019 - 19:14 | |
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Messages : 10171 Date d'inscription : 27/01/2008
 | Sujet: Re: Alertes alimentaires, Alertes médicales , infos et Alertes diverses Mer 4 Déc 2019 - 18:23 | |
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Messages : 10171 Date d'inscription : 27/01/2008
 | Sujet: Re: Alertes alimentaires, Alertes médicales , infos et Alertes diverses Mer 18 Déc 2019 - 15:56 | |
| source https://www.nicematin.com/conso-shopping/attention-de-fausses-pieces-de-2-euros-circulent-en-france-144202Attention, de fausses pièces de 2 euros circulent en France Mis à jour le 08/06/2017 à 09:50 Publié le 08/06/2017 à 09:49Selon La Provence, des pièces thaïlandaises, ressemblant aux pièces de 2 euros françaises circulent sous le manteau. Elles ont la même couleur, le même diamètre et presque la même épaisseur que nos pièces de 2 euros mais n'ont pas tout à fait la même valeur. Selon le quotidien La Provence, des pièces de 10 bahts thaïlandais circulent de plus en plus en France. Malheureusement, ces pièces valent à peine 0,026€, soit à peine plus que notre pièce de deux centimes. Soyez donc vigilant, lorsqu'on vous rend la monnaie. Et si toutefois vous en héritez par mégarde, sachez que ces pièces peuvent permettre de payer dans les distributeurs de boissons et snacks, ainsi que dans les horodateurs. Une mince consolation. ***************************************************** source https://www.gentside.com/conso/de-fausses-pieces-de-2-euros-circulent-voici-comment-les-reconnaitre_art80397.htmlSoyez vigilants, de fausses pièces de 2 euros commencent à circuler en France. Comment les reconnaître et les éviter ? Lorsqu'on vous tend une pièce de deux euros, faites attention et vérifiez-la. En effet, il pourrait en fait s'agir d'une pièce de 10 bahts thaïlandais qui ressemble énormément à la pièce de deux euros : même taille, même diamètre, même épaisseur et même composition bi-métallique, comme l'a remarqué le journal La Provence. Les détails comptent Ces pièces, qui circulent sous le manteau, permettraient de payer dans les distributeurs de boissons et de friandises ainsi que dans les horodateurs. Mais problème, 10 bahts thaïlandais ont une valeur de 0,026 euro, ce qui équivaut a à peine plus que notre pièce de 2 centimes. Alors méfiez-vous des arnaques, il ne faudrait pas qu'on vous rende une pièce d'une valeur de 0,026 euro plutôt qu'une pièce d'une valeur de 2 euros ! En effet le moment de payer peut s'avérer gênant si vous donner involontairement une "fausse" pièce de 2 euros. LE 4 JUILLET 2019 À 19:14 • DURAND LOIC ************************************ |
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Messages : 10171 Date d'inscription : 27/01/2008
 | Sujet: Re: Alertes alimentaires, Alertes médicales , infos et Alertes diverses Jeu 19 Déc 2019 - 19:07 | |
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Messages : 10171 Date d'inscription : 27/01/2008
 | Sujet: Re: Alertes alimentaires, Alertes médicales , infos et Alertes diverses Sam 17 Juil 2021 - 20:48 | |
|  source ICI  Avec le gel qui a touché de nombreuses cultures, les prix des fruits pourraient exploser cet été. Et contraindre les industriels de modifier des recettes. C'est un problème que RMC vous a déjà dévoilé: face aux conditions climatiques compliquées du printemps dernier, avec notamment du gel tardif, les récoltes de fruits et légumes sont particulièrement impactées. Le signal d'alarme a été tiré depuis plusieurs semaines par les producteurs de jus de fruits, notamment, qui s'alarment du manque de fruits ou des prix jusqu'à trois fois plus élevés que d'ordinaire. "Cet épisode de pénurie va durer jusqu' au printemps 2022" Une certitude pour les consommateurs: il y a d'ores et déjà donc moins de compotes, de confitures, de jus de fruits. Ce gel tardif a provoqué jusqu'à 70% de perte cette année dans les vergers, les industriels font face à une pénurie d'abricots, de pêches ou encore de cerises... Des matières premières indispensables pour de nombreux produits. Et certaines recettes vont certainement être modifiées à cause de la pénurie de certains ingrédients. Ce que confirme Christian Divin, directeur général de l'Association des Entreprises de Produits Alimentaires Élaborés (ADEPAL) et de la Fédération des industries d'aliments conservés sur RMC. Selon le spécialiste, "la production de fruits a été réduite de 60 à 70% pour les abricots et les pêches et de 40% pour les autres variété de fruits. Cet épisode de pénurie va durer jusqu'à la prochaine récolte, au printemps 2022". Avant d'appeler à la solidarité de la filière: "Il est possible que certains prix soient augmentés, mais de quelques centimes guère plus", insistant que "le préjudice est évalué à environ 15 à 20 millions d'euros en ce qui concerne les entreprises de compotes, de conserves de confiture". On oublie le jus d'abricot cet été En ce qui concerne les jus de fruits, certains industriels renoncent carrément à certains aromes. Il y a, par exemple, un producteur de jus "haut de gamme "du Rhône qui estime qu'il ne pourra plus fournir de jus d'abricot à partir du mois de septembre et qu'il faudra attendre ensuite l'été prochain pour en produire de nouveau. En tout cas, il n'y aura pas de pénurie dans les supermarchés parce que cette situation ne concerne que les producteurs qui ne produisent qu'avec des fruits français. Or, 50% des fruits transformés sont "made in France": ça représente une grosse partie de la production mais, pour autant, il n'y a pas de risque de pénurie totale. Et puis les producteurs s'adaptent. Au lieu d'utiliser des abricots, ils vont donc miser sur le raisin qui a été moins touché par le gel, ou sur les pêches et les pommes. Ce qui est sûr, en revanche, le prix des jus de fruits va forcément s'en ressentir. Les abricots coûtent, par exemple, autour de 5 euros le kilo au lieu de 3,50 euros d'habitude. Marie Dupin (avec X.A.) >> A LIRE AUSSI - Le prix des jus de fruits risque d'augmenter dans les prochaines semaines ICILe prix des jus de fruits risque d'augmenter dans les prochaines semaines 18/06/2021 à 10h53 Mis à jour le 18/06/2021 DUPIN QUOTIDIEN - C'est une conséquence du gel qui a compromis les récoltes de fruits et légumes. Les producteurs de jus et de compotes font face des pénuries. On se doutait que le gel tardif qu'on a connu début avril allait avoir des conséquences. Et bien on y est. Et ce sont les producteurs de jus de fruits qui s'alarment. C'est très compliqué pour eux parce qu'il n'y a pas assez de fruits ou alors ils sont beaucoup trop chers, jusqu'à trois fois les prix habituels. Les producteurs ne vont pas multiplier leurs tarifs par trois: les consommateurs ne comprendraient pas du tout une telle hausse. Résultat: certains industriels renoncent carrément à certains aromes. Il y a, par exemple, un producteur de jus "haut de gamme "du Rhône qui estime qu'il ne pourra plus fournir de jus d'abricot à partir du mois de septembre et qu'il faudra attendre ensuite l'été prochain pour en produire de nouveau. Vers une pénurie de jus de fruits dans les rayons des supermarchés ? Il n'y aura pas de pénurie de jus de fruit dans les supermarchés parce que cette situation ne concerne que les producteurs qui ne produisent qu'avec des fruits français. Or, 50% des fruits transformés sont "made in France": ça représente une grosse partie de la production mais, pour autant, il n'y a pas de risque de pénurie totale. Et puis les producteurs s'adaptent. Au lieu d'utiliser des abricots, ils vont donc miser sur le raisin qui a été moins touché par le gel, ou sur les pêches et les pommes. Ce qui est sûr, en revanche, le prix des jus de fruits va forcément s'en ressentir. Les prix des fruits au marché et en grande surface sont en forte hausse Malheureusement si les prix augmentent pour les producteurs de jus, ils augmentent aussi pour nous, pour les consommateurs. Les abricots coûtent autour de 5 euros le kilo au lieu de 3,50 euros d'habitude. On a du mal à trouver du melon français sur les étals alors que la saison devrait commencer... Et c'est l'autre mauvaise nouvelle: on va faire venir beaucoup plus de fruits de l'étranger cette année. Déjà que la France importe 60% de ses fruits en temps normal, cette année, c'est inévitable. Marie Dupin |
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