Renseignements sur les appareils culinaires ou pas

source https://sante.lefigaro.fr/social/sante-publique/cancer-faut-il-se-debarrasser-de-nos-poeles-antiadhesives-20231205

Cancer: faut-il se débarrasser de nos poêles antiadhésives ?
Par  Renaud Gosset  
Publié le 05/12/2023
Mis à jour le 06/12/2023

Le CIRC vient de classer comme cancérogène l’un de leurs composés.
Interdit depuis 2020, il reste néanmoins très présent dans l’environnement.

Faut-il jeter à la poubelle nos vieilles casseroles, cocotes et poêles portant un revêtement antiadhésif ?
Les PFAS (substances perfluroalkylées et polyfluoroalkylées), largement utilisées depuis les années 1950 dans divers domaines comme les revêtements antiadhésifs, les cosmétiques, les textiles, les emballages alimentaires, les mousses anti-incendie ou les produits phytosanitaires, font partie des « produits chimiques éternels ».ICI

Parmi eux, le PFOA (acide perfluorooctanoïque, essentiellement utilisé dans la fabrication du Teflon), interdit en Europe depuis 2020, vient d'être classé comme cancérogène par le CIRC (centre international de recherche sur le cancer).
Faut-il renouveler nos batteries de cuisines? Le problème est-il plus complexe qu’un simple changement de casseroles?

«Le PFOA représente à la fois un enjeu pour l'environnement et pour la santé publique, explique au Figaro le ministère de la transition écologique .
Il pourrait être conseillé de remplacer certains articles de consommation courante s'ils sont anciens ou dégradés, comme les poêles ou les textiles déperlants, au profit d'alternatives sans PFAS.»
Mais que veut dire «ancien» ou «dégradé»?
Sans doute bien plus que vous ne le pensez, selon les fabricants et revendeurs: pour la durée de vie d’une poêle antiadhésive, Téfal annonce 2 à 3 ans sur son site internet, De Buyer indique qu’il faut s’en débarrasser lorsque les aliments commencent à accrocher.
Néanmoins, tous sont d'accord sur un point (que, là encore, probablement peu d’entre nous respectent): ces poêles et casseroles ne doivent être utilisées qu'à feu faible et moyen.

Toute la population exposée
En 2022, le magazine 60 millions de consommateurs a réalisé une expérience sur des poêles avec un antiadhésif ayant subi une faible abrasion afin de simuler 10 semaines d'usage.
https://www.60millions-mag.com/2022/03/24/poeles-antiadhesives-nous-voulons-une-vraie-transparence-19857
Un aliment y a été cuit, puis analysé.
Résultat: certaines poêles semblent plus susceptibles de libérer des PFOA que d'autres.
Et la mention «sans PFOA» n’est pas une garantie : certains aliments cuits dans des ustensiles qui arboraient cette mention en contenaient, mais en quantité très faible, et sans que l'étude permette de statuer sur leur origine (ils peuvent aussi provenir de l'emballage de l'aliment). Précisons que l'analyse révélait aussi la présence d'autres composés fluorés problématiques.

Fin novembre, un article dans la revue The Lancet indiquait que PFOA et PFOS (acide perfluorooctanesulfonique, utilisé pour traiter des textiles et des papiers à contact alimentaire) «sont détectés dans des échantillons de sang dans les populations étudiées dans le monde entier, et les niveaux médians sont jusqu'à cent fois plus élevés dans les communautés proches des sites pollués».
Ces deux molécules «s'accumulent dans divers tissus, notamment le sang, le foie et les poumons.
On les trouve dans le placenta, le sang de cordon et les tissus embryonnaires et elles peuvent être transférées aux nourrissons via le lait maternel.»
Et il faut du temps pour s'en débarrasser: leur demi-vie (temps nécessaire pour que leur activité diminue de moitié) peut être de plusieurs années chez l’humain.
Est-ce inquiétant?

» LIRE AUSSI - Les polluants perfluorés pourraient contribuer à l'épidémie mondiale d'obésité
https://www.lefigaro.fr/sciences/les-polluants-perfluores-pourraient-contribuer-a-l-epidemie-mondiale-d-obesite-20230423

Cancérogène certain
L'article paru dans The Lancet précise que les preuves que le PFOA provoque des cancers chez les animaux de laboratoire et les humains exposés sont «suffisantes».
Le PFOA entraîne des immunosuppressions et des altérations épigénétiques.
Ainsi 30 experts internationaux de 11 pays se sont réunis du 7 au 14 novembre 2023 au CIRC (centre international de recherche sur le cancer) à Lyon, afin d'évaluer le PFOA, le PFOS et leurs dérivés (sels et isomères).
Après l'analyse des résultats de différentes études scientifiques indépendantes, le CIRC a annoncé que «le groupe de travail a classé le PFOA comme “cancérogène pour l'homme” (Groupe 1) et le PFOS comme “peut-être cancérogène pour l'homme” (Groupe 2B)».
Pour autant, tout est toujours une question de dose, et même si la substance est dangereuse, difficile de savoir à partir de quels seuils le risque apparaît.

A-t-on trop attendu pour interdire ces composés ? Les PFAS sont des molécules qui contiennent l'élément fluor, à la fois hydrophobes et lipophobes (elles «repoussent» l’eau comme l’huile), avec une grande stabilité chimique.
Ces caractéristiques confèrent aux objets des propriétés antiadhésives, imperméabilisantes, résistantes aux fortes chaleurs, ce qui a expliqué leur succès.
Mais dès 2009, les PFAS faisaient partie de la convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants nommée «règlement POP».
Le PFOS a été interdit dès 2009, puis le PFOA en juillet 2020, et le PFHxS (acide perfluorohexanesulfonique) en juin 2022.
Le ministère de la transition écologique français a publié le 17 janvier 2023 un plan d'action sur les PFAS.

» LIRE AUSSI - Polluants éternels: un rapport recommande à l'État d'agir «sans tarder»
https://www.lefigaro.fr/sciences/polluants-eternels-un-rapport-recommande-a-l-etat-d-agir-sans-tarder-20230414

Présents dans l’alimentation et l’eau
Leur interdiction ne suffira pas à nous en protéger, car ils persistent très longtemps dans l’environnement.
Selon l'article du Lancet, «la population générale est principalement exposée au PFOA et au PFOS via l'alimentation et l'eau potable, et potentiellement via les produits de consommation».
L'exposition ne se limite donc pas à nos ustensiles de cuisine.
De plus le CIRC précise que «les expositions devraient être les plus élevées parmi les travailleurs impliqués dans la production de PFOA et de PFOS ou qui utilisent ces produits chimiques directement dans la fabrication d'autres produits», ainsi que dans l’élimination des déchets.
Le ministère de la transition écologique travaille avec l'Europe sur l'interdiction des PFAS dangereux et il «appelle à un niveau accru de vigilance et d'action», notamment dans le suivi de ces espèces chimiques chez l'être humain (campagne de biosurveillance Esteban) et dans les milieux aquatiques (programmes Naïades).
«Le gouvernement a également demandé à l'Anses de définir de nouvelles valeurs de référence sanitaires pour ces molécules, ou de revoir les valeurs existantes», précise le ministère de la transition écologique.

La rédaction vous conseille:
Polluants éternels : les rejets aquatiques de quinze sites placés sous surveillance en Auvergne-Rhône-Alpes
Polluants éternels : des militants écologistes bloquent l'accès au site d'Arkema à Lyon
«Polluants éternels» dans le Rhône : ouverture d’une information judiciaire à Lyon

---------------------------------------------------------------------------------

Sur le même sujet

Tout savoir sur les poêles antiadhésives.
Le magazine "60 Millions de consommateurs" a testé neuf modèles antiadhésifs et cinq modèles en acier et évalué de nombreux critères. Respectent-elles notre santé et l’environnement ?
Quels sont les meilleurs modèles ?
Les résultats ne sont pas si simples.
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-conseil-conso/poeles-antiadhesives-sont-elles-sures_5005484.html

-----------------------------------------------------------------------------------

Pourquoi vous devriez (absolument) jeter vos poêles antiadhésives abîmées
Publié le 09 novembre 2022
Mis à jour le 18 juillet 2023
https://www.topsante.com/medecine/votre-sante-vous/sante-pratique/pourquoi-vous-devriez-absolument-jeter-vos-poeles-antiadhesives-abimees-653428

source ICI sur femme actuelle

Quels sont les meilleurs blenders chauffants ? Notre comparatif de janvier 2024
Nicole Maïon
Publié le 31/10/2023
mis à jour le 02/01/2024

À l’heure de la tendance du fait-maison pour une cuisine rapide et saine, le blender chauffant est un appareil polyvalent qui assure en un seul temps mixage des fruits et légumes et cuisson, mais également des plats froids et chauds rapidement.
Explications pour bien choisir cet allié de la cuisine quotidienne et notre sélection après test des cinq meilleurs blenders chauffants !

Peu encombrant et polyvalent, le blender chauffant a plus d'un tour sous le couvercle pour séduire les cuisiniers amateurs ou confirmés.
Idéal tout au long de l'année, il permet de réaliser des mets salés ou sucrés dans un seul et même appareil, avec une grande facilité.
En plus de mixer les aliments, il est capable de les cuire pour réaliser par exemple une soupe maison en quelques minutes, sans salir plusieurs récipients.
Notre équipe d'experts est sur le pont pour tester les nouveautés qui seront présentées ces prochaines semaines, en attendant, notre sélection des meilleurs blenders chauffants reste assez similaire et le Moulinex PerfectMix Cook LM83SD10 maintient sa place de favori, suivi de près par le Kenwood SoupEasy.
Les soldes approchant, ne tardez pas à faire votre choix : certains modèles performants sont d'ores et déjà proposés à des tarifs alléchants, ils pourraient s'écouler très rapidement !

Notre top 3 des meilleurs blenders chauffants
1. Moulinex PerfectMix Cook LM83SD10 : le blender chauffant au meilleur rapport qualité/prix

2. Kenwood Soupeasy CBL01.000BS : le meilleur blender chauffant à moins de 100 €

3. Riviera & Bar Milxxer+ PPS650 : le meilleur blender chauffant pour les boissons végétales

Comment nous avons testé les blenders chauffants
Afin de vous proposer un panel exhaustif des meilleurs blenders chauffants, notre experte en appareils de préparation culinaire n’a pas hésité à changer de menus au quotidien !
Après avoir comparé plus d’une vingtaine de modèles, 7 ont été retenus pour leurs promesses sur le papier, puis testés par la rédaction. Un travail agréable en matière d’exploration de fruits et de légumes de saison, à tester en mixage et en cuisson pour découvrir de nouvelles saveurs, mais aussi des promesses d’équilibre alimentaire.

Pour évaluer cet appareil qui promet une cuisine saine et gourmande, nous avons donc testé 7 blenders chauffants sous plusieurs aspects, pour en établir tous les avantages et les inconvénients.
Capacité, facilité d’utilisation, performances en matière de mixage et temps de cuisson, diversité des programmes proposés, rien n’a été laissé au hasard.

Plusieurs variétés de légumes et fruits de saison frais ont été sujets à des mélanges pour être mixés et passés en mode cuisson.
La différence de texture et l’épaisseur des ingrédients ont également permis de tester la consistance après mixage et son homogénéité.
Un même mélange a été testé sur différents modèles afin d’évaluer l’efficacité de chacun.
Des coulis de poivrons aux soupes de tomates assortis de brins de romarin, des veloutés de concombre et gaspachos…
Autant de recettes réalisées ont participé à ces tests, sans compter la partie sucrée avec des compotes de pommes, ou encore des milk-shakes de banane et fruits rouges décongelés.

Pourquoi nous faire confiance
Nicole Maïon est une journaliste experte dans l’aménagement de la maison.
Créatrice de magazines de décoration, elle suit les tendances et innovations de l’habitat.
Aujourd’hui journaliste indépendante, elle est également membre du jury du Grand Prix de l’Innovation de la Foire de Paris depuis 15 ans.

Adepte du fait-maison en cuisine, son péché mignon, elle suit de près les nouveautés du secteur et teste toujours les appareils à partir de produits de saison, acquis en circuit court !

Notre avis sur les meilleurs blenders chauffants
Le blender chauffant au meilleur rapport qualité/prix : Moulinex PerfectMix Cook LM83SD10

Avec sa capacité utile de 1,75 litre, idéale pour 6 personnes, il y a fort à parier à parier que ce blender chauffant sera utilisé au quotidien tant ses 10 programmes automatiques sont appréciables.
Un mode manuel est disponible mais il reste complexe, alors que l’ergonomie des programmes automatiques est si aisée ici grâce au panneau de commandes sensitif avec ses pictogrammes très lisibles.

Grâce à sa puissance de 1 400 watts, le PerfectMix Cook permet ainsi de préparer une variété de plats chauds, du velouté onctueux à la soupe en petits morceaux de légumes croquants.
L’écran d’affichage annonce en parallèle le temps prévu de préparation, une fonctionnalité appréciable à l’usage.
Coté froid, on craquera pour des gaspachos, rafraîchis par des glaçons ajoutés en cours de mixage grâce à la trappe amovible et accessible sur le couvercle.
Ce blender chauffant dispose en effet d’une fonction glace pilée, de même qu’une mise en pause de la préparation.
Pas moins de six lames assurent un mixage performant avec, à la clé, des veloutés tout en douceur ou des milk-shakes de bananes mousseux.

Un système de sécurité intégré dans le couvercle à double joint assure le fonctionnement de l’appareil, uniquement si le bras est clipsé sur la poignée.
On aime également la durabilité de l’appareil, assortie de services de réparation en cas de dysfonctionnement du blender.
La solidité des différents composants de ce modèle est notamment illustrée par le matériau du bol en verre, qui devient un poids pour porter sa préparation après retrait du bloc et de son panneau de commande.
Le seul bémol pour cet appareil, en dépit de la qualité et la facilité de préparations chaudes ou froides.

Note : 4,5/5

Le meilleur blender chauffant à moins de 100 € : Kenwood Soupeasy CBL01.000BS
Avec un nom clairement adapté à sa fonction, ce blender chauffant assure la préparation de soupes en un tour de main.
En plus de son bol en inox d’une capacité utile de 1 litre, le Soupeasy propose quatre programmes automatiques pour varier les plaisirs culinaires.
Veloutés, soupes avec petits morceaux, compotes et jus de fruits et légumes sont en effet réalisables facilement et rapidement, grâce à une puissance de chauffe performante.
De quoi préparer un repas maintenu au chaud jusqu’à plus d’une demi-heure, pour rassasier une famille de 4 personnes.
Côté mixage, il assure des préparations à la consistance parfaitement homogène grâce à ses trois lames crantées en acier inoxydable.
Notez par ailleurs que nos tests nous ont permis de réaliser une soupe en 20 minutes environ, mixage et cuisson compris.

Nous avons également apprécié la fonction de nettoyage qui facilite l’entretien, après avoir ajouté de l’eau et quelques gouttes de liquide vaisselle dans le bol du blender.
Seul regret, l'absence d’une fonction glace pilée pour rafraîchir des gaspachos, mais au regard de son prix, le manque de cette fonctionnalité est largement compréhensible.

Note : 4/5

Le meilleur blender chauffant pour les boissons végétales : Riviera & Bar Milxxer+ PPS650
Compagnon idéal des amateurs de boissons veggies, soucieux de leur santé et de celle de leur famille, le Milxxer+ se veut l’expert des boissons végétales, qu’elles soient chaudes ou froides.
D’une capacité de 1,3 l, idéale pour 5 à 6 personnes, ce blender chauffant fait partie de la gamme Healthy du fabricant alsacien et on comprend rapidement pourquoi.
Ultra polyvalent, il permet de préparer facilement différentes recettes à base de lait de soja, lait de coco, céréales, légumineuses, etc., dans son bol en inox et dispose de deux programmes dédiés aux recettes végétales.
Et si l’utilisateur manque d’inspiration, Riviera & Bar nous fournit un livre de 50 recettes autour de ces boissons originales, préparées avec une bague de mixage dédiée à ces préparations.

Mais la polyvalence du Milxxer+ ne s’arrête pas là et il convient également pour des recettes plus classiques telles que les soupes, compotes et repas pour bébé grâce à sa puissance de 1 400 Watts et ses 7 programmes automatiques pour des préparations facilement réalisées.
La préparation d’un velouté de tomates et concombres assorti de brins de romarin est ainsi annoncée pour 42 minutes sur l’écran digital de l’appareil.
Une fois la préparation lancée, vous n’avez rien à faire, votre velouté est même maintenu à chaud jusqu’à 30 minutes, en attendant l’arrivée de vos convives.
Avec trois lames uniquement, on regrettera cependant la lenteur du mixage et les fibres laissées à travers le tamis durant nos tests.

Note : 3,5/5

Le meilleur blender chauffant avec cuisson vapeur : Mathon Blender chauffant 2,5 l 760368
Essentiellement connu comme distributeur de matériel culinaire, Mathon a décidé de développer certains appareils sous ses propres couleurs, à l’image de ce blender chauffant.
Après avoir découvert le prix affiché de ce modèle au regard de ses 7 programmes automatiques, nous avons rapidement eu l’envie d’expérimenter quelques recettes, dans son bol en verre d’une capacité totale de 2,5 l (soit 1,7 utile pour les préparations froides et 1,4 l pour des préparations chaudes).
Il nous a d’abord fallu faire preuve de patience face au système de sécurité bloquant le déclenchement de l’appareil.
Mais une fois le tour de main acquis, l’écran LED nous a permis d’accéder facilement au programme souhaité.
De la préparation de jus, de milkshakes, ou de laits végétaux, jusqu’aux aux soupes mixées, les veloutés et même les sauces et les crèmes, les 7 programmes proposés s’appuient sur une puissance de chauffe de 800 Watts, à laquelle s’ajoute une puissance de mixage assez perfectible.
À ce titre, nous avons dû intervenir à plusieurs reprises sur les touches de variation de vitesses du panneau de commande tactile, pour relancer un mixage et obtenir une texture plus homogène.
C’est d’ailleurs là que réside le principal défaut de ce blender chauffant, qui allie mode automatique et mode manuel.
Reste que sa fonction de maintien au chaud est efficace et appréciable à l’usage.
En prime, ce blender chauffant fait également office de cuit vapeur. Il suffit de glisser le petit paner inox dédié dans le bol pour cuire du riz ou des légumes en conservant leurs propriétés nutritionnelles.
Notez cependant que la petite taille du panier vapeur restreint la quantité d’ingrédients à cuire.

Note : 3/5

Bien choisir son blender chauffant
Face à l'offre pléthorique en matière de blender chauffant, un certain nombre de caractéristiques doit être pris en compte avant de choisir l’appareil adapté à vos usages et préférences gustatives.
Nous les avons listés afin de faciliter votre choix et vous garantir un usage fréquent pour des préparations culinaires saines et gourmandes, été comme hiver.
À la clé, le plein de vitamines en un tour de main !

La puissance
Un blender chauffant ne se contente pas de mixer les fruits et légumes à la bonne consistance, il chauffe aussi les ingrédients mixés.
Plus la puissance est élevée, plus le blender chauffant est performant en matière d’homogénéité de cuisson, mais aussi de durée de préparation.
Ce critère est donc essentiel.
Notez qu'un blender chauffant présente deux types de puissance.
Tout d'abord, la puissance de chauffe qui concerne la résistance et intervient sur la rapidité de cuisson.
La cuisson d’une soupe de légumes varie ainsi de 15 à 20 minutes en moyenne selon les appareils.
Vient ensuite la puissance du moteur, qui conditionne quant à elle la performance de mixage, selon l’efficacité des lames du robot, pour broyer plus au moins rapidement les aliments.
En moyenne, il est recommandé d’opter pour une puissance moteur d’au moins 500 Watts.

Sachez que certaines marques proposent également une fonction dédiée à la glace pilée qui ravira les amateurs de cocktails, ou facilitera l’intégration d’ingrédients décongelés.
Cette fonctionnalité implique néanmoins une puissance moteur performante.

La capacité du bol
La capacité de votre blender chauffant doit correspondre au nombre de personnes qui composent le foyer, mais aussi à la quantité que vous souhaitez préparer.
Et il faut bien distinguer la capacité totale de la capacité utile.
La capacité utile est celle qui vous permettra de savoir quelle quantité d'ingrédients que peut recevoir l'appareil.
Les petits blenders chauffants disposent d’une capacité utile d’un litre en moyenne, tandis que les plus gros modèles peuvent contenir jusqu’à 2 litres.
En résumé, avec un bol de grande capacité, vous ne vous casserez pas la tête à mixer une seconde fois vos légumes et épices.
En revanche, si vous préférez enchaîner les préparations, du velouté d’asperges en entrée, au coulis de fruits rouge pour le dessert, mieux vaut miser sur un bol de petite contenance.
Bon à savoir, la portion individuelle d’un velouté par exemple s’établit à environ 250 ml.

matériau, les bols des blenders chauffants sont généralement en inox, pour leur résistance à la température.
Cependant, certains modèles sont équipés de bols en plastique avec paroi isolante pour mieux contrôler la quantité versée.
La durabilité sera moindre cependant.
Un bol en verre assure la vérification du mélange mixé en toute transparence, mais attention à ne pas le faire tomber avec risque de casse potentiel, sans compter son poids en main lors du service.

Les différentes fonctionnalités d’un blender chauffant
Un blender chauffant peut être utilisé en mode manuel ou automatique.
Le mode manuel est désormais plus rare, mais les cuisiniers aguerris et ceux qui ont le temps de cuisiner préféreront le mode manuel pour régler la vitesse de mixage, la température de chauffe, ainsi que le temps de cuisson.

Les programmes automatiques gèrent en totale autonomie la vitesse de mixage et le temps de cuisson, en affichent même le temps de préparation à l’écran.
Après avoir versé tous les ingrédients dans le bol et sélectionné le programme souhaité, il ne vous reste plus qu’à vous prélasser dans votre canapé !
Leur nombre varie généralement de 3 programmes pour les modèles d'entrée de gamme, jusqu'à 8 pour les blenders les plus perfectionnés.

Parmi eux : la soupe moulinée, le velouté, le smoothie et la préparation de jus et de boissons lactées.
Certains modèles proposent également une fonction dédiée aux sauces et coulis, quand d'autres ajoutent la possibilité de piler la glacée.
On apprécie aussi la fonction de maintien au chaud, après la phase de cuisson, qui atteint généralement 30 minutes.

Certains blenders chauffants autorisent par ailleurs la cuisson à la vapeur, via un panier dédié à placer dans le bol.
Parfait pour conserver les fibres nutritives des aliments, ce mode de cuisson permet par ailleurs de récupérer le liquide de cuisson pour arroser et parfumer un rôti au four par exemple.

On a souvent tendance à penser au blender chauffant pour des recettes salées, mais notez que cet appareil se destine également à la réalisation de mets sucrés, chauds ou froids : smoothies, coulis de fruits, compotes, laits végétaux, etc.

La simplicité d’utilisation et la sécurité
Pour vous assister en cuisine au quotidien, le blender chauffant se doit d'être simple et agréable à utiliser.
Son fonctionnement, mais aussi son poids et son esthétique doivent être considérés, afin de le laisser traîner sur le plan de travail, pour l'avoir toujours à disposition.

L’ergonomie d’un blender est à cet égard un critère de choix important.
Mieux vaut opter pour un appareil équipé d’une interface la plus simple possible.
Souvent, outre un bouton de démarrage et d’extinction, plusieurs boutons sont disponibles pour sélectionner le programme souhaité que ce soit via une molette intégrée ou une interface tactile.

Côté sécurité, de nombreux blenders chauffants ne démarrent que si le bol est bien fixé et le couvercle correctement vissé.

Autre fonction utile : le nettoyage automatique, après avoir versé un mélange d'eau et de liquide vaisselle dans le bol de l'appareil.
Le blender chauffant n'étant pas compatible lave-vaisselle en raison de ses composants électriques, cette fonctionnalité facilite grandement l'entretien.

Le niveau sonore
Le blender chauffant est généralement plus bruyant en fonctionnement qu'un blender classique.
Et si les fabricants ne mentionnent que très rarement le niveau sonore des appareils, nous vous invitions à l'installer loin de la paroi du mur voisin d’une chambre par exemple.

source ICI sur femme actuelle

Quel est le meilleur robot pâtissier ?
Notre comparatif de janvier 2024
Alexandra Bellamy
Publié le 15/01/2024

Dans le domaine de la préparation culinaire, la pâtisserie est une discipline exigeante, qui demande de la précision dans les dosages et dans les gestes.
Que vous soyez débutant ou amateur confirmé, le robot pâtissier peut vous apporter une aide précieuse.
Il permet de gagner du temps, vous soulage de gestes techniques ou fastidieux comme le pétrissage tout en garantissant des résultats parfaits.

Si votre résolution en ce début d’année est de vous lancer dans la préparation de recettes maison, le robot pâtissier se présente comme un outil incontournable.
Adopté par les professionnels, il s’est fait une place de choix au sein des foyers.
Que vous aspiriez à confectionner des pâtes à pain, des crèmes onctueuses, ou des pâtisseries, il s’adapte à tous les besoins et fait preuve d’une polyvalence remarquable.
Dans la catégorie haut de gamme, le KitchenAid Artisan KSM175 demeure la meilleure option.
Sa qualité de fabrication est irréprochable, et il est livré avec deux bols en acier inoxydable ainsi que divers accessoires.
Si toutefois vous recherchez une option plus abordable, sachez que le Bosch MUM5 StartLine MUM54A00 est en ce moment proposé en promotion sur Amazon à moins de 190 euros.

Notre top 3 des meilleurs robots pâtissiers
1. KitchenAid Artisan KSM175 : le meilleur robot pâtissier haut de gamme

2. Kenwood kMix KMX750 : le meilleur robot pâtissier à moins de 300 euros

3. Bosch MUM54A00 : le meilleur robot pâtissier à moins de 250 euros

Le robot pâtissier est-il fait pour moi ?
Avant de vous lancer dans le choix du robot pâtissier idéal, assurez-vous qu’il s’agit bien de l’appareil qu’il vous faut.
À ne pas confondre avec le robot cuiseur multifonction, qui chauffe, cuit et assure plutôt la préparation de plats complets.
Le robot pâtissier, lui, mélange, pétrit, bat, fouette, émulsionne et parfois un peu plus selon les accessoires.
Il facilite ainsi la réalisation de préparations de base, comme les pâtes sucrées ou salées, qu’elles soient épaisses ou liquides (pâtes à pain, pizza, brioche, gâteaux, gaufres, crêpes…), sert à monter des œufs en neige, confectionner de la chantilly ou de la mayonnaise, réaliser de la ganache ou des crèmes…
Le tout en garantissant un résultat parfait, une économie de temps et de gestes parfois pénibles comme le pétrissage d’une pâte épaisse à la main, qui peut être long et ardu.

Sur le marché, on trouve une multitude de robots pâtissiers.
Pour choisir le modèle adapté à vos besoins, il faut prêter attention à des critères tels que la capacité du bol, la puissance du moteur ou encore la facilité d’entretien de l’appareil.

Comment nos experts ont testé les robots pâtissiers
Pour réaliser ce comparatif des meilleurs robots pâtissiers, nos experts ont identifié les 19 modèles les plus vendus du marché.
Les six modèles dont les fiches techniques semblaient les plus prometteuses et complètes ont été testés pendant plusieurs jours, pour ne retenir que les meilleurs.

Les journalistes ont commencé par évaluer la qualité des appareils et de leurs accessoires, leur conception et leur ergonomie : appréciation du design, soin accordé à la fabrication et aux finitions, robustesse…
Les robots pâtissiers ont ensuite été utilisés en conditions réelles, ce qui a permis aux testeurs de manipuler la tête, le bol, le panneau de commande ou encore le raccordement des accessoires sur l’appareil.
Ils ont ainsi pu évaluer la facilité d’utilisation et d’entretien.
Enfin, pour comparer les performances des appareils, plusieurs préparations ont été réalisées dans des conditions identiques et chronomètre en main, faisant appel successivement aux différents accessoires : une pâte à pain, des blancs en neige et plusieurs appareils à gâteaux.

Pourquoi nous faire confiance
Journaliste spécialisée dans l'univers "Maison", Alexandra Bellamy baigne dans la culture du test de produits depuis 15 ans.
Dès 2011, elle s’est spécialisée dans l’électroménager.
Elle aime comprendre les technologies, décortiquer et tester les appareils sans perdre de vue l’usage au quotidien.

Elle a fait ses armes au sein du site Les Numériques, où elle a créé et développé la rubrique Maison.
Depuis cinq ans, elle travaille comme journaliste indépendante.
Elle suit les annonces lors des conférences et salons, prend en main les produits et visite les usines...
Elle s’intéresse aussi particulièrement aux questions de durabilité, de réparabilité et d’écoresponsabilité.

suite sur le site.

source ICI sur leprogres

Poêles usagées, planches en plastique...
Ces objets à bannir de vos placards
Dans la cuisine, on a tendance à accumuler beaucoup.
Ustensiles, vaisselles, torchons, il y en a vite partout.
Mais certains objets que l’on garde peuvent s’avérer dangereux pour la santé.
Découvrez quatre choses du quotidien que vous devriez jeter immédiatement.
Le Progrès - 01 août 2023

Les poêles usagées
On a tous déjà eu dans nos placards, des poêles et casseroles rayées ou dont le revêtement du fond n’est plus de première jeunesse… Prudence, car les ustensiles de cuisson sont généralement constitués d’une couche de Téflon qui permet de limiter le risque d'accrochage des aliments.

Mais quand cette dernière est abîmée, elle libère des millions de particules de plastique…
On vous invite donc à vérifier l’état de votre batterie de cuisine et à remplacer les éléments abîmés pour préserver votre santé.

Les planches à découper en plastique
De par leur composition, les planches à découper sont de vrais nids à bactéries.
Après quelque temps d’usage, la planche devient plus perméable et rugueuse, laissant s'infiltrer bactéries et autres germes qui peuvent être dangereuses pour votre santé.

On vous conseille donc de les oublier et de privilégier les planches en bois (en prenant soin de les laver régulièrement et de surtout bien les faire sécher).

L’éponge à vaisselle
Principale nid à bactéries de la cuisine, l’éponge de vaisselle est loin d'être l'alliée parfaite pour préserver sa santé.
Souvent mal séchée après utilisation, elle laisse proliférer les germes et faire la vaisselle devient alors une véritable corvée.

Sachez qu’il est recommandé de changer son éponge toutes les semaines si vous faîtes votre vaisselle à la main tous les jours !
Pour limiter les risques (et les dépenses), vous pouvez opter pour des alternatives comme une éponge naturelle ou encore une brosse à vaisselle écologique.

Les boîtes en plastique
Les boîtes en plastique envahissent nos placards : on les entasse car - elles peuvent toujours servir - mais on utilise souvent les mêmes malgré tout.
Avec le temps, les boîtes de conservation jaunissent, perdent leur côté hermétique, on ne retrouve plus le couvercle etc. Un véritable calvaire !

Outre l’encombrement, il est important de trier régulièrement votre stock de boîtes de conservation et de remplacer les boîtes défectueuses et abîmées pour éviter les soucis de santé.

Dans l'idéal, il est même recommandé d’opter plutôt pour des contenants en verre.
Plus sûr d’un point de vue sanitaire, ils ne provoquent aucun risque pour la santé, peuvent se chauffer au micro-ondes et en plus, supportent bien le lavage en machine !

source ICI sur marmiton

Pourquoi vous devriez arrêter d’utiliser des planches à découper en plastique
par Ana Jousset
Le 05/10/2023

Saviez-vous qu’utiliser des planches à découper en plastique trop souvent pourrait être dangereux pour la santé ?
Voici pourquoi.

Pour couper vos légumes, vos morceaux de viande ou pour n’importe quelle recette quotidienne, vous utilisez certainement une planche à découper.
Si elles sont légères, utiles et faciles à laver, l’usage de planches en plastique est largement déconseillé.

En effet, celles-ci libèrent du microplastique lorsqu’un couteau les frappe.

Les planches en plastique, source de microparticules de plastique
D’après une étude menée par des chercheurs de l’université d'État du Dakota du Nord, chaque fois que vous donnez un coup de couteau sur votre planche, vous libérez des particules microplastiques.
Celles-ci viennent adhérer à la nourriture qui se trouve sur votre planche.

Himani Yadav, une des chercheuses ayant mené l’étude, explique que sa recherche a débuté lorsqu’elle a souhaité se renseigner sur les différentes manières dont nous étions exposés à l’ingestion de microplastiques dans la vie quotidienne.

L'étude montre qu’on peut en trouver dans les bouteilles en plastique, les boîtes hermétiques en plastique ou encore les fruits de mer.

Pour déterminer la présence de particules lors de la découpe d’aliments sur des planches en plastique, Himani Yadav a demandé à 5 personnes de donner 500 coups de couteau sur une vingtaine de planches ayant des compositions différentes.

À la fin de ce test, la chercheuse a élaboré un processus lui permettant de déterminer le nombre de particules qui composait la fine pellicule de plastique qui se trouvait sur l’aliment découpé.

Ces particules sont-elles dangereuses ?
Le problème de ces particules repose surtout sur leur quantité.
D’après l’étude de Yadav, en moyenne, une personne utilisant des planches en plastique ingèrerait entre 7 et 50 grammes de plastique en moyenne sur une année.

À titre de comparaison, une carte bancaire représente 5 grammes de plastique.
Bien que ce ne soit pas l’objet de l’étude de Yadav, il est reconnu que les particules microplastiques ont des effets néfastes pour la santé, et favorisent notamment le développement de cancers.

Pourquoi la planche à découper en bois reste la meilleure option pour votre cuisine !
source ICI

Pourquoi la planche à découper en bois reste la meilleure option pour votre cuisine !
par Sarah Chekroun
Le 24/06/2023

Choisir une planche à découper peut paraître simple et pourtant, le choix du matériau peut changer beaucoup de choses !
Opter pour une planche à découper en bois plutôt qu'en plastique peut offrir de nombreux avantages.
Découvrez pourquoi !

Simple mais indispensable, la planche à découper est un outil essentiel de la cuisine.
Elle nous accompagne au quotidien dans l’élaboration de nos repas, que ce soit pour couper des fruits, des légumes, de la viande ou d’autres aliments.
Elles sont tellement sollicitées qu’il est nécessaire d’en changer souvent, lorsqu’elles sont trop abimées.
Si on a tendance à prendre son choix à la légère, il est en réalité très important de choisir avec vigilance sa planche à découper, notamment en ce qui concerne le matériau.

En céramique, en plastique, en bois ou même en marbre, il existe une foule d’options !
Cependant, l’une d’entre elles semble remporter tous les suffrages !
Il s’agit de la planche à découper en bois.
Mais pourquoi est-elle à privilégier ?
On vous dit tout !

Pourquoi choisir une planche à découper en bois ?
En plus d’être design et moderne, la planche à découper en bois présente de nombreux avantages, que ce soit au niveau de la praticité, au niveau de l'hygiène mais aussi pour vous aider à faire des économies.

En effet, la planche à découper en bois est à privilégier pour :
Une meilleure résistance aux bactéries : la surface naturellement poreuse du bois permet d'absorber les bactéries plus rapidement qu'avec le plastique.
Elles meurent bien plus vite !
Néanmoins, il est tout de même important de la nettoyer fréquemment mais aussi d’avoir une planche à découper pour la viande et une autre pour les légumes afin d’éviter le transfert des bactéries.

Une meilleure durabilité : le bois est un matériau capable de résister à une utilisation quotidienne et de durer longtemps.
De même, il « cicatrise » naturellement, les coupes et les égratignures superficielles sur la surface de la planche se referment avec le temps. Vous pourrez donc garder votre planche à découper plus longtemps !

La préservation de la lame des couteaux : pour que vos couteaux soient plus résistants dans le temps, le bois est idéal car il est bien plus doux et plus souple que les autres matériaux.
Il évite l'usure prématurée des lames.
Une bonne nouvelle pour nos couteaux mais aussi pour notre porte-monnaie !

Une cuisine plus saine : lorsqu’elles sont très utilisées ou exposées à la chaleur, les planches à découper en plastique peuvent dégager des nanoparticules qui migrent vers les aliments et risquent alors d'être ingérées.
Cela présente des effets néfastes pour la santé. Ainsi, il est préférable d’opter pour du bois !

Le respect de l'environnement : c’est un point à ne pas négliger !
La cuisine c’est bien, lorsqu’elle ne met pas en danger la planète c’est encore mieux !
La planche à découper en bois est un choix écologique car il s’agit d’une ressource naturelle durable.
Misez sur une planche en bois provenant de sources certifiées afin de contribuer à la préservation des forêts et à la réduction de l'empreinte carbone.

Quel bois choisir pour sa planche à découper ?
Pour conserver votre planche plus longtemps, on vous conseille un bois dur et à grain serré, plus résistant à l'humidité et donc moins susceptible de se fendre.

On vous conseille :

L'érable : très résistant à l'usure, il possède aussi des propriétés antibactériennes naturelles pour encore plus d’hygiène.
Le seul hic ?
Il est souvent très cher !
La planche à découper en érable de John Boos Block= 119€

Le hêtre : dur et durable, il résiste bien aux égratignures et aux taches, ce qui en fait un bon choix pour une utilisation quotidienne.
La planche à découper en bois de hêtre cuit à la vapeur de Crowd Cookware= 39,99€

Le cerisier : design avec son grain fin, il est aussi durable et résistant à l'humidité.
La planche à découper en bois massif cerisier de ChooseEco= 44,95€

Le noyer : beau, foncé, et surtout durable, il est capable d’inhiber la croissance des bactéries pour une meilleure hygiène en cuisine
La planche à découper en bois de noyer de Guliles= prix non donné

Le bambou : c’est notre petit chouchou car il est extrêmement durable et résistant.
Il est doté d’une excellente résistance à l'humidité et a moins tendance à se déformer par rapport à d'autres types de bois.
Il possède des propriétés naturelles antibactériennes pour maintenir une hygiène optimale dans la cuisine.
Esthétique, facile d’entretien, il est aussi respectueux de l’environnement car sa production nécessite moins d'eau et de pesticides par rapport à d'autres cultures.
Enfin, il est également beaucoup plus abordable !
C’est pourquoi nous vous recommandons la planche à découper de Pradel Excellence= 16,99€

source ICI

Voici pourquoi il ne faut pas utiliser la même planche à découper pour toute la recette
par Fostine Carracillo
Le 05/06/2023

Avis aux amateurs de cuisine !
Cette erreur est particulièrement courante lorsqu'on utilise une planche à découper.
Voici comment l'éviter !

Bien qu'indispensable, la planche à découper revêt une utilisation bien spécifique.
En effet, multiplier les ingrédients sur l'instrument afin d'y apposer son couteau ou tout autre outil de cuisine peut générer plusieurs risques. Morceaux de viande, poissons, légumes ne doivent pas être mélangés sur le support !
Si cela peut sembler étonnant au premier abord, l'explication réside en fait dans la prolifération des bactéries.
La polyvalence de la planche à découper doit être appréhendée pour préserver sa santé !

Le bon usage de la planche à découper
Un coup d'éponge ne suffit pas à rendre ce support plein de germes réellement propre.
C'est pour cette raison que les erreurs sont souvent fréquentes au moment d'utiliser l'objet.
Pour éviter la prolifération de bactéries, il faudrait idéalement utiliser une planche à découper pour chaque famille d'aliments.
Pour ce faire, il est possible de les différencier par un système de couleur.
Un instrument rouge pour la viande, vert pour les légumes, orange pour les fruits et bleu pour les poissons.

L'objectif ?
Limiter toute contamination entre les aliments crus.
Pour éviter de faire exploser le budget, deux planches peuvent suffire.
L'une servira à découper les aliments d'origine végétale et l'autre ceux d'origine animale.
Ce sont ces derniers qui sont les plus porteurs de bactéries !

Choisir le bon matériau
Il faut également veiller à renouveler ses planches à découper trop usées.
La présence d'entailles favorise, elle aussi, la prolifération des germes.
Enfin, les matériaux qui composent l'objet ont également une incidence sur les invités indésirables.
La planche en bois serait ainsi la plus hygiénique.
Plusieurs études ont pointé du doigt les bénéficies de la porosité du bois.
Ce dernier absorbe alors les microbes.
Préférez le hêtre ou le bambou, car ces matières sont relativement écologiques et durables dans le temps.

Si elle a l'avantage d'être économique, la planche en plastique n'est en réalité pas recommandée en matière d'hygiène.
Si vous optez tout de même pour ce revêtement, privilégiez le PVC (polychlorure de vinyle), il est non poreux et très solide ou bien une planche en PEHD (polyéthylène haute densité) qui sera plus résistante.

Les planches en marbre ou en verre sont bien moins courantes, car plus coûteuses et moins pratiques du fait de leur poids.
Toutefois, elles peuvent se laver très facilement et ne craignent pas le passage de couteaux aiguisés.
Cependant, leur surface étant lisse, les bactéries ont tendance à se propager partout, contaminant ainsi la totalité de la surface.

Pour nettoyer sa planche à découper, place aux quatre ingrédients stars de la cuisine : le citron, le gros sel, le bicarbonate de soude et le vinaigre blanc.
De quoi se constituer un antibactérien naturel et ultra-puissant !
Une fois votre planche à découper correctement lavée et désinfectée, laissez-la sécher sans utiliser de torchon, lui aussi porteur potentiel de germes.

source ICI

Comment nettoyer parfaitement sa planche à découper en bois ?
par Julia Danesse
Le 21/04/2019

Une planche à découper est un indispensable de notre cuisine, car nous pouvons être amenés à l'utiliser quasiment quotidiennement : découper un oignon, trancher un saumon cuit, décortiquer un poulet rôti...
Nous vous conseillons d'opter pour une planche à découper en bois, plus hygiénique qu'une planche en plastique.
Mais comment la nettoyer pour garantir sa propreté ?
Il suffit de 4 étapes très simples que l'on vous présente ci-dessous !

Sommaire
Etape 1 : utilisez du jus de citron
Etape 2 : ajoutez du gros sel marin
Etape 3 : passez-la sous l'eau
Etape 4 : versez de l'huile sur l'ensemble de la planche

Quand vous tranchez un aliment sur votre planche à découper en bois, de petites rayures, parfois invisibles, se créent.
Contrairement à ce qui se passe pour le plastique, ces fissures ne se referment pas.
Dès lors, lorsque vous nettoyez votre planche en bois, vous désincrustez les rayures des bactéries éventuellement présentes.

Mais pour cela, il faut la nettoyer correctement : voici comment !

Etape 1 : utilisez du jus de citron
Commencez par presser un ou deux citrons, et enduisez votre planche en bois de ce jus avec l'aide d'un essuie-tout ou d'un torchon propre. Cette étape sert à tuer les bactéries.

Etape 2 : ajoutez du gros sel marin
Placez une grosse poignée de gros sel sur la planche, et frottez la planche avec votre torchon afin de désincruster les rainures.

Etape 3 : passez-la sous l'eau
Passez ensuite votre planche à découper en bois sous l'eau afin de retirer les résidus de citron et de sel.
Vous pouvez également la frotter avec l'aide d'une brosse à vaisselle afin d'obtenir un résultat optimal.

Etape 4 : versez de l'huile sur l'ensemble de la planche
Une fois que votre planche est sèche, imbibez-la d'huile et frottez avec un essuie-tout, cela protège le bois.
Privilégiez les huiles inodores et sans goût, telles que l'huile d'amande ou de pépins de raisins.
Evitez l'huile d'olive qui rend le bois collant.



voir aussi ce dossier
ICI sur Libellule

source ICI sur marmiton

Pourquoi vous ne devriez jamais mettre de papier aluminium au fond de votre four ?
par Héloïse Wilson
Le 14/03/2024

C'est un réflexe automatique pour beaucoup : lorsque l'on utilise son four ou que l'on fait griller des aliments, on le tapisse de papier d'aluminium. Pourtant, ce geste peut avoir des conséquences négatives.
Nous vous expliquons pourquoi.

Un geste à éviter
Lorsqu'on envisage de protéger notre four, le papier d'aluminium semble être une solution pratique.
Cependant, cette pratique, bien qu'apparemment utile, peut entraîner des conséquences indésirables.

Tout d'abord, il y a un risque pour la santé lorsque l'on met les aliments directement sur le papier d'aluminium.

Lorsque le papier d'aluminium est chauffé, il peut migrer dans les aliments en petites quantités.
Il n'est donc pas recommandé de mettre les aliments directement dessus.

Un danger pour votre four
Le papier d'aluminium pourrait aussi endommager votre four.
Lorsqu'il est placé au fond du four ou sur les parois, le papier aluminium agit comme un réflecteur thermique.

Cela piège la chaleur et augmente l'intensité de la température à l'intérieur du four.
Cela pourrait endommager les parois sur le long terme et d'autres composants du four.
Le papier d'aluminium est donc à proscrire.

Une autre alternative
En plus d'être mauvais pour votre four et votre santé, le papier d'aluminium se recycle difficilement et n'est pas idéal pour l'environnement. Pour protéger votre four, préférez plutôt un tapis fait en silicone alimentaire.
Il sera réutilisable à l'infini, vous ferez donc des économies.

es plaques de cuisson en acier inoxydable sont aussi une bonne idée.
Elles sont durables, résistantes à la chaleur et peuvent être nettoyées facilement.

N'oubliez pas de nettoyer votre four régulièrement également !

À lire aussi sur le site:
Le cas où vous devriez éviter d'utiliser du papier aluminium
Sélection 2024 des meilleurs fours encastrables à pyrolyse
Nettoyez votre four sans frotter avec cette super astuce

source https://www.melty.fr/divers/selon-60-millions-de-consommateurs-voici-la-poele-la-moins-nocive-2140663.html

Voici la poêle la moins nocive, selon 60 millions de consommateurs
Par Léa Ouzan
Publié le 12 Avr 2024

Le magazine 60 millions de consommateurs a mené une enquête sur les poêles de cuisine.
Découvrez celles qui sont plus saines pour la santé !

Les poêles sont des outils indispensables en cuisine, offrant une surface de cuisson idéale pour faire sauter, frire, griller et cuire divers aliments.
Leur polyvalence permet de préparer une grande variété de plats, des œufs brouillés au sauté de légumes en passant par les steaks juteux.

Les poêles de qualité sont durables, offrent une répartition uniforme de la chaleur et sont faciles à nettoyer.
Investir dans une bonne poêle peut vraiment améliorer votre expérience en cuisine et vous permettre de préparer des repas délicieux avec facilité.
Il est recommandé de changer ses poêles régulièrement notamment lorsque celles-ci sont abîmées.
En effet, elles deviennent alors de plus en plus difficiles à nettoyer.

L’enquête réalisée par 60 millions de consommateurs
Le magazine 60 millions de consommateurs a réalisé une enquête sur les poêles dans son numéro d’avril 2022.
Nos confrères ont passé au crible neuf poêles antiadhésives, de type Téflon et céramique, ainsi que cinq poêles en fer ou en acier.
Quels sont les critères analysés par 60 millions de consommateurs ?
Le magazine s’est penché sur plusieurs facteurs comme l’anti-adhérence, la résistance aux chocs thermiques, le comportement à la chaleur, ou encore la facilité d’utilisation et d’entretien.
Nos confrères ont aussi vérifié la vérification de l’allégation sans PFOA.
Et ils ont retrouvé des traces infimes de PFOA dans trois ustensiles.
Ils ont également découvert des composés perfluorés de la même famille, le PFHxA et le PFHxS.

Quelles sont les meilleures poêles ?
60 Millions de consommateurs estime que ces résultats sont problématiques.
L’institut national de la consommation (INC), l’éditeur du magazine, a insisté auprès des pouvoirs publics afin que les ustensiles aient un étiquetage précis.
Il doit obligatoirement montrer la composition des poêles et d’interdire les mentions « sans PFOA ».
Il existe plusieurs types de poêles en inox (acier inoxydable), es poêles antiadhésives ou encore en céramique.

Deux poêles sont finalement recommandées par 60 millions de consommateurs :
• Dans la catégorie poêles antiadhésives : Green Chef Healthy Ceramic. Elle coûte 39 euros.

• Dans la catégorie poêles acier : Mathon poêle tout inox, au prix de 49 euros.

Qu’est- ce que le PFOA ?
Le PFOA, ou acide perfluorooctanoïque, est un composé chimique utilisé dans la fabrication de revêtements antiadhésifs, tels que le Téflon.
Il a été largement utilisé dans l’industrie des ustensiles de cuisine pour ses propriétés antiadhésives.
Cependant, le PFOA a été associé à des préoccupations environnementales et de santé.
En effet, il est considéré comme un perturbateur endocrinien et peut persister dans l’environnement pendant de longues périodes.
De nombreux fabricants d’ustensiles de cuisine ont progressivement éliminé l’utilisation de PFOA dans leurs produits pour répondre aux préoccupations croissantes en matière de santé et d’environnement.
Prendre en considération ces données est donc essentiel afin de préserver sa santé.