Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses

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La programmation de votre glande pinéale, les fluorides, et le contrôle de l’humanité
Par Jean-Baptiste Loin
-22 octobre 2023

La première des guerres, vous ne pouvez l’ignorer plus longtemps, est celle tournée par des êtres assoiffés de pouvoir contre leurs semblables.

Seuls, ils sont chétifs et inutiles, paranoïaques et d’une nocivité maladive ne pouvant que s’entredéchirer.

Néanmoins, une fois aux commandes du pouvoir mondial, ils sont forts de la multitude qu’ils contrôlent.

C’est pourquoi depuis l’avènement des empires, royautés et démocraties, soit depuis le début de ce que les Indiens nomment « l’âge de fer » dont le récit de la Bhagavad-Gita marque le commencement, ils attendent dans l’ombre, manipulant les arcanes, espérant parvenir un jour à l’hégémonie du mal, marquant la fin des temps aux yeux de toutes les grandes traditions spirituelles.

Entretenant le désir non dissimulé d’emmener dans leur chute un maximum de mortels.

Je dis bien « mortels » et non « êtres », parce que, comme vous le savez sans doute déjà, ils ne peuvent rien contre la part immortelle de tout un chacun.

La domination par le pouvoir de la connaissance
Ce n’est qu’au reflet de ces dernières années, que même les plus sceptiques ont été contraints de se poser des questions cruciales sur les gouvernances mondiales, leurs outils de contrôle gouvernementaux et, par ce biais, sur la majorité de l’humanité.

Les vaccins ainsi que leurs descendants ARNm, l’ajout de substances hautement toxiques comme l’oxyde de graphène, la protéine Spike modifiée génétiquement, et les virus chimériques créés en laboratoire, brutalement lâchés sur Terre, ont permis à un nombre non négligeable de citoyens de comprendre qu’une course pour la liberté du vivant s’accélère depuis quelques décennies.

Pour que cet article reste purement pratique, en accord avec la ligne éditoriale que j’entretiens depuis les débuts de Réponses Bio, à l’aide des recherches de scientifiques libres j’attire votre attention sur le premier point de convergence de cette domination mondiale.

Susceptible de rendre les populations dociles et prêtes à accepter des injections mortelles, la programmation, ou plus exactement la déprogrammation du rôle de votre glande pinéale est au cœur du débat.

La déprogrammation du rôle naturel de la glande pinéale chez l’homme moderne
Depuis que l’industrialisation et les laboratoires pharmaceutiques ont envahi notre planète par l’intermédiaire des démocraties, leurs lois et systèmes sociaux, une poignée d’entités cachées dans l’ombre de la célébrité de leurs pions, promeuvent un axe de débilisation, bloquage spirituel et enfermement par la peur, largement entretenu à notre insu.

Cet axe, visant une petite glande aussi centrale que paradoxalement peu étudiée par les scientifiques, réside au cœur de votre développement spirituel.

Tandis que le premier des cartésiens, à savoir René Descartes lui-même, la présentait comme un pont spirituel entre l’âme et le corps, et qu’avant lui les plus grandes traditions spirituelles y reconnaissaient le siège du troisième œil, ou vision interne de la connaissance… la plupart des scientifiques « sérieux » de notre époque prétendent encore qu’elle ne sert à rien.

Position à mon sens totalement fallacieuse et dénuée de fondement, mise à profit d’une gent utilisant cette carence de savoir à dessein.

Puisque, vous allez le constater par vous-même, c’est en détruisant les fonctions naturelles de la glande pinéale des Occidentaux, ainsi que celle des habitants des pays en voie de développement, que l’industrialisation induite par les ennemis de l’environnement et des droits de l’Homme ont programmé la quasi totalité de l’humanité à une acceptation sourde et muette, autrefois réservée aux animaux destinés à l’abattoir.

En effet, en mai 2018, le Docteur Tetsuo Nakamoto, Professeur émérite et chercheur en Physiologie au département Santé de l’Université de Louisiane et de La  Nouvelle-Orléans, accompagné du Docteur Ralph Rawls, Professeur en Biomatériaux du département de Dentisterie Holistique de l’Université du centre scientifique du Texas, publièrent, pour la première fois, des recherches surprenantes concernant le premier facteur moderne de calcification de la glande pinéale, le fluor, ou plus exactement les fluorides en général. (1)  

Intitulée « L’exposition aux fluorides pendant la jeunesse comme racines des causes possibles de maladies à retardement », cette magistrale démonstration explique comment, en plus d’empoisonner les individus dès leur plus jeune âge, les innombrables produits de consommation à base de fluor et de calcium, détruisent les fonctions de la glande pinéale tout en provoquant différents types de maladies graves au fil des ans.

Montrant qu’en plus de ces effets délétères difficiles à mettre en relation avec les maux quotidiens, un excès de fluor et de fluorides :
diminue le quotient intellectuel
provoque une puberté précoce dommageable à la croissance et la solidité des os
favorise l’autisme
dérègle la thyroïde
génère la stérilité tant féminine que masculine
et va jusqu’à se transmettre dans le placenta chez la femme enceinte, programmant des nourrissons embarquant des défaillances de la glande pinéale dès la naissance.

Et cela, uniquement en comptant sur la sensibilité de ce petit organe situé entre les deux hémisphères du cerveau, aussi connu sous le nom d’épiphyse.

Mais pour bien comprendre ce phénomène, il est nécessaire de connaître son rôle ainsi que les raisons pour lesquelles elle représente un enjeu majeur pour la santé, mais aussi pour la libération ou, à l’inverse, le contrôle de l’espèce humaine.

Le fonctionnement de la glande pinéale et son importance pour la santé
Tout comme un réseau d’organes et glandes fort utiles sécrétant des hormones indispensables au bon fonctionnement de l’organisme, l’épiphyse, ou glande pinéale, fait partie intégrante du système endocrinien.

Communiquant à ce titre tant avec l’hypothalamus que l’hypophyse, situés à proximité, on la soupçonne aussi d’avoir un impact non négligeable sur la thyroïde, les ovaires, les testicules ou encore le pancréas et les surrénales.

Parmi les hormones qu’elle secrète, l’une des principales, désormais célèbre, n’est autre que la mélatonine.

Or, avant les travaux magistraux de Jennifer Anne Luke, en 1997, la quasi totalité des scientifiques s’acharnait à prétendre que la glande pinéale ne servait à peu près à rien et que les fluorides et calcium de synthèse n’avaient pas le moindre impact sur cette dernière.

Cependant le dévouement et le sérieux de la publication de cette doctorante à l’Université de Surrey, au Royaume-Uni, montra non seulement les preuves du rôle l’épiphyse dans la sécrétion de mélatonine, mais aussi le risque de son dysfonctionnement lorsque de trop grandes quantités de fluor et de calcium de synthèse sont absorbées quotidiennement. (2)  

Or, si la logique de certaines recherches issues du lobby de la dentisterie tendait à faire penser que la glande pinéale est protégée par la barrière hémato-encéphalique, mettant le cerveau à l’abri des polluants, il n’en est rien.

Située entre les deux hémisphères, mais en dessous de la barrière protectrice du cerveau, il a été démontré à plusieurs reprises que la glande pinéale attire le fluor et, dans cette mesure, le calcium, en quantité bien plus importante que les os ou les dents.

Cette étude réalisée sur 11 corps humains post mortem de tout âge, indique par exemple que la glande pinéale contient près de 300mg de fluor par kilo et 16mg de calcium par kilo, tandis que les os contiennent à peine plus de 2mg de fluor par kilo et 0,73mg de calcium par kilo. (3)  

Ou encore cette analyse systémique, expliquant que la glande pinéale assure la synchronisation d’activités physiologiques quotidiennes allant bien au-delà du sommeil, comme par exemple le fait de :
s’alimenter correctement
réguler son métabolisme
se reproduire
et, bien évidemment, réguler le rythme circadien. (4)
 
Tout en montrant que les populations étant principalement atteintes par une calcification de la glande pinéale, elle-même générée par un apport démesuré en fluor, sont les hommes blancs vivant en Occident comme les USA et l’Europe, suivis de près par une majorité d’hommes de pays en développement comme l’Inde, la Turquie et l’Iran, en comparaison de pays subsahariens, moins développés et moins pollués par l’industrialisation moderne.

Pour le Docteur Sophie Scheffer, Médecin généraliste diplômé de la Faculté de Médecine de Reims, mais aussi diplômée en homéopathie à l’Ecole Belge d’Homéopathie et fondatrice du centre de Médecine Intégrative Epidaure, le rôle de la glande pinéale va bien au-delà de son importance majeure sur la gestion du sommeil.

Selon elle, elle permet aussi de :
Réguler le bon fonctionnement des activités diurnes de par son activité chronobiologique
Favoriser l’élimination des toxines du cerceau
Jouer un rôle préventif dans l’apparition de maladies neurodégénératives
Protéger les tissus à travers le sang allant des intestins jusqu’à la rétine
Réagir à un changement de pression cérébrale à la suite de traumatismes, tirant ses informations du liquide céphalorachidien
Convertir les ondes électromagnétiques, provenant soit du cerveau, de l’environnement direct ou du cosmos, en une neurochimie adaptative cérébrale et endocrinienne orchestrant les informations internes comme externes
Stocker de la mémoire génétique des origines de l’humanité grâce à sa formation induite par des mitochondries contenant une forme d’ADN transmis depuis plus de cent cinquante mille ans par nos ancêtres
Et de favoriser des fonctions télépathiques observées chez différents animaux mais souvent atrophiées chez l’homme, favorisant l’intuition et la connaissance de soi. (5)

En plus de cette liste semblant déjà fort complète, d’autres spécialistes considèrent qu’un dysfonctionnement de la glande pinéale serait à l’origine de :
Troubles du système nerveux (6)  
Dépression et anxiété chroniques dues à une mauvaise gestion du tryptophane et de la sérotonine, tous deux précurseurs de la mélatonine
Maux de tête chroniques
Boulimie ou anorexie
Schizophrénie et diverses formes de maladies mentales.

Le marasme intellectuel handicapant la compréhension de la majorité
À une époque où toute information indépendante est constamment taxée de complotiste, il est intéressant de noter que les lobbies et partis politiques n’hésitent pas à s’auto-attaquer par différents biais afin de « noyer un peu plus le poisson » et donner un ton infantile à ceux osant encore se poser des questions.

Si bien que sous couvert d’une mauvaise publicité il devient plus facile de faire croire que ceux se trouvant en désaccord avec la doctrine officielle sont de sombres imbéciles croyant au père Noël, se convainquant que la Terre est plate, et que la conspiration de la fluorisation des populations est le fruit de Belzébut, gouvernant le monde depuis son bureau spécialement conçu pour dissimuler sa queue pointue et ses cornes rouges.

Facilitant ainsi le travail de vestiges médiatiques et institutions destinées à manipuler les esprits tout en protégeant les réels protagonistes de la lumière des projecteurs.

Ainsi, après avoir passé des décennies à faire croire que la glande pinéale ne joue aucun rôle dans la formation de mélatonine endogène, les scientifiques affiliés aux labos de la chimie et de la dentisterie tentent aujourd’hui encore de démontrer que l’accumulation de fluor n’a aucun impact sur la calcification de la glande pinéale, ou encore que cette dernière est très secondaire dans les processus de vivacité mentale, physique et intellectuelle, et qu’elle n’intervient pratiquement pas dans la capacité d’homéostasie des individus.

Pourtant, les sources issues de scientifiques indépendants et accomplis présentées dans cet article, prouvent le contraire.

De plus, de nombreuses études in vivo s’appliquent à démontrer, par exemple, qu’un simple régime sans fluoride, assure la croissance de la glande pinéale chez le rat. (7)  

Ou encore qu’une exposition intense aux fluorides diminue la quantité ainsi que la qualité du sommeil sur des échantillons de population occidentale. (8)  

Mais aussi que ces observations coïncident avec une calcification de la glande pinéale par le fluor et le calcium de synthèse, menant à une déficience endogène en mélatonine. (9)

Les sources d’empoisonnement et causes du dysfonctionnement de la glande pinéale
La première des sources de calcification de la glande pinéale est, bien évidemment, le fluor et les fluorides de synthèse.

Le fluor attirant à lui le calcium, il en prive momentanément le système osseux pour former des cristaux ressemblant à une sorte de tartre enrobant l’épiphyse et nuisant à son bon fonctionnement, voire l’atrophiant et la cancérisant.

Or, vous le savez, l’ajout de fluor de synthèse concerne plus de 99% des dentifrices conçus depuis les années cinquante.

Mais pas uniquement, puisqu’il est volontairement ajouté à l’eau du robinet de la plupart des pays occidentaux, et se trouve en quantité bien trop importante dans les eaux minérales les plus riches.

Sachant cela depuis longtemps, vous pensez être à l’abri d’une sur-calcification pinéale ?

Détrompez-vous !

L’ajout de carbonate de calcium, agent de charge employé pour de nombreux compléments nutritionnels, a un impact tout aussi nocif que la surabondance de fluor et s’utilise également dans un nombre considérable de préparations industrielles.

Tout comme :
le phosphate de calcium
ou encore le phosphate dicalcique.
Ces polluants concernent presque tous les produits de consommation interne que l’on trouve dans un supermarché non bio, et parfois même ceux sélectionnés par les Biocoop et magasins bio.

Sans parler de l’arsenal de produits utilisés par votre dentiste dont il ne vous divulguera pas la composition, tant il n’en sait rien lui-même, et d’une liste étourdissante de médicaments de synthèse.

Malheureusement le constat ne s’arrête pas là, le mercure est également un puissant perturbateur du système endocrinien en général, et de la glande pinéale en particulier.

Absolument tous les vaccins en contiennent sous une forme ou une autre.

Et les océans étant saturés depuis longtemps, de nombreux poissons, même sauvages, s’avèrent eux aussi lourdement chargés en mercure.

Qui plus est, à ce vaste constat s’ajoutent encore tous les produits traités avec des pesticides, à savoir les fruits, légumes et vins non biodynamiques.

Les solutions pour décalcifier et optimiser le fonctionnement de votre glande pinéale
Fort heureusement, à chaque problème ou maladie s’oppose une solution, dès lors que l’on en prend conscience.

Les concrétions toxiques enrobant ou infiltrant la glande pinéale pourront s’éliminer de différentes manières qu’il conviendra, par précaution et absence d’analyses adéquates, d’employer synergiquement.

1/ En évitant consciencieusement :
Toute forme de pâtes dentaires et dentifrices contenant fluor, dérivés synthétiques de fluor, carbonate de calcium, dioxyde de titane, phosphate de calcium et phosphate dicalcique, ainsi que tout complément alimentaire et nutritionnel employant un ou plusieurs de ces éléments dans sa composition…
Les aliments industriels, modifiés génétiquement, mais aussi raffinés comme les sels fluorés, sucres, thés allégés, boissons gazeuses, tabac, alcools, ainsi que les fruits et légumes issus de l’agriculture intensive, eaux du robinet et eaux minérales traitées industriellement.

2/ En remplaçant les produits indiqués ci-dessus par :
De l’HydroDent pour le brossage des dents, les bains de bouche et soins dentaires, dont le pouvoir acide apporté par le Bambou Spray favorisera la décalcification de la glande pinéale.
De l’eau osmosée et correctement filtrée, sachant que même les systèmes de filtration les plus efficaces type « brita » ne permettent pas d’éliminer le fluor.
Des fruits et légumes bio ou sauvages, œufs de basse-cour, thés bio et naturels, avec, exceptionnellement, pour celles et ceux y étant habitués, quelques breuvages alcoolisés et vins artisanaux ou biodynamiques.

3/ En utilisant des spécifiques pour décalcifier l’épiphyse dont, par exemple :
Des citrons crus et bio ou jus de citron pressé, à consommer de préférence le matin à jeun.
Du vinaigre de cidre de pomme brut et bio.
De l’iode, si possible issue d’un sel de mer ou de montagne exempt de pollutions.
Du tamarin sous forme de thé ou de teinture.

4/ Une mention spéciale sera faite pour le thé vert Matcha bio, contenant une importante concentration de théobromine naturelle, dont cette étude citée précédemment montre le fabuleux pouvoir décapant la glande pinéale. (10)  

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

Sources et références :
1 https://www.jocpd.com/articles/10.17796/1053-4625-42.5.1

2 https://www.proquest.com/openview/d6b3c9d1c4956f99634ece0077902877/1?pq-origsite=gscholar&cbl=51922&diss=y

3 ICI

4 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9987140/

5 https://www.homeobel.eu/wp-content/uploads/2020/01/Laglandepineale2020-01.pdf

6 https://microbenotes.com/pineal-gland/

7 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31713773/

8 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7893939/

9 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9987140/

10 https://www.jocpd.com/articles/10.17796/1053-4625-42.5.1

source https://www.reponsesbio.com/courrier-des-lecteurs-5-la-therapie-de-lactualite-par-le-rire/
Courrier des lecteurs #5 – La thérapie de l’actualité par le rire
Par Réponses Bio -28 octobre 20236

Une fois n’est pas coutume, aujourd’hui je ne vous propose pas un article de mon cru, mais celui d’un de nos fidèles lecteurs, naturopathe et fondateur de l’association Pandora-Alsace.

Son texte concernant l’actualité vaccinale, empreint d’humour et de bonne humeur, m’a semblé à la fois pertinent et utile pour ne pas sombrer dans le déni et l’angoisse d’une époque marchant sur la tête.

La dérision et le rire étant à mes yeux des remèdes tout aussi importants que les autres, j’ai décidé de vous en faire profiter.

Je vous invite d’ailleurs, malgré son ton humoristique et ses anecdotes personnelles, à le faire lire autour de vous afin d’apprécier les réactions de vos proches, amis, et pourquoi pas, si vous en avez un attitré, de votre médecin traitant.

............suite sur le site.

source https://www.reponsesbio.com/innovafeed-et-mckinsey-inondent-france-belgique-etats-unis-et-canada/#respond

Innovafeed et McKinsey inondent d’insectes France, Belgique, États-Unis et Canada
Par Jean-Baptiste Loin -19 novembre 2023

Depuis 2015 le cabinet McKinsey est en charge d’une campagne mondiale pour la promotion d’aliments à base d’insectes.

Par le prisme d’une entreprise actuellement considérée comme une des plus importantes Biotechs françaises, Innovafeed, ils ont patiemment détourné l’attention du public et usé d’arguments fallacieux pour parvenir à leurs fins.

Selon l’ONU et le lobbyiste McKinsey, appuyés par une armée de soldats disciplinés et avides de pouvoir, le choix ne vous appartient déjà plus, même les réseaux de distribution d’alimentation biologique commencent à s’organiser pour vous en faire manger… en toute discrétion.

Innovafeed ayant refusé l’interview que nous leur avons proposée pour expliquer leur démarche de manière transparente, puisque vous avez le droit de savoir, j’ai enquêté pour vous délivrer la vision la plus claire possible de la situation actuelle.

............suite sur le site.

source https://www.reponsesbio.com/demain-re-commence-aujourdhui/

Demain -re-commence aujourd’hui
Par Réponses Bio -30 décembre 2023

Bonjour,

La nouvelle année est presque là, et après avoir percé les ténèbres d’un futur incertain, vous y êtes.

Ainsi va le principe guidant intérieurement, à travers les âges et les mouvements de la société.

Un principe qui, même lorsqu’il se trouve bafoué, trahi ou dépouillé de ses libertés, sait toujours résonner dans le cœur au-delà de l’adversité et des faux-semblants.

Mû par une foie rayonnante de connaissance Il délivre de la servitude, par-delà le temps, avec l’attention au présent, le chemin de la guérison menant à l’harmonie nous faisant vibrer à l’unisson depuis les origines.

En ce jour de fête que je consacre, si vous le voulez bien, au Vivant, je vous souhaite une merveilleuse année, accompagnée d’une santé éclairée, afin d’apprécier plus intensément encore la présence unique de ce cadeau éternel.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

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Et… comme de coutume, la rétrospective des 8 articles les plus appréciés cette année :

​La farine de grillons débarque dans les préparations bio ?​
https://www.reponsesbio.com/la-farine-de-grillons-debarque-dans-les-preparations-bio/

​Innovafeed et McKinsey inondent d’insectes France, Belgique, États-Unis et Canada​
https://www.reponsesbio.com/innovafeed-et-mckinsey-inondent-france-belgique-etats-unis-et-canada/

​Un dentiste japonais dévoile un remède naturel contre parodontite et candidose buccale​
https://www.reponsesbio.com/un-dentiste-japonais-devoile-un-remede-naturel-contre-parodontite-et-candidose-buccale/

​Témoignage exclusif : Éric Bourdon dénonce les effets des injections ARNm sur ses patients​
https://www.reponsesbio.com/temoignage-exclusif-1-le-dr-bourdon-denonce-les-effets-des-injections-arnm-sur-ses-patients/

​HydroDent, la solution qui sauvera votre santé du dentifrice​
https://www.reponsesbio.com/hydrodent-la-solution-qui-sauvera-votre-sante-du-dentifrice/

​Le traitement des cancers, la Phycocyanine et son innocuité à hautes doses​
https://www.reponsesbio.com/le-traitement-des-cancers-la-phycocyanine-et-son-innocuite-a-hautes-doses/

​HE de Cannabis : mode d’emploi​
https://www.reponsesbio.com/he-de-cannabis-mode-demploi/

​La programmation de votre glande pinéale, les fluorides, et le contrôle de l’humanité​
https://www.reponsesbio.com/la-programmation-de-votre-glande-pineale-les-fluorides-et-le-controle-de-lhumanite/

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Je vous retrouve Dimanche pour un mini agenda des parutions de Réponses Bio à venir, ainsi que mon prochain article.

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Sur Le Même Sujet :
Agir : La consommation bio comme alternative au vote !
https://www.reponsesbio.com/agir-consommation-bio-alternative-vote/

Poisson et volaille bio
https://www.reponsesbio.com/poisson-et-volaille-bio/

Pour se réchauffer le matin : Le Flocon d’avoine
https://www.reponsesbio.com/pour-se-rechauffer-des-le-matin-le-flocon-davoine/

Des nouvelles de Réponses Bio
https://www.reponsesbio.com/des-nouvelles-de-reponses-bio/

La farine de grillons débarque dans les préparations bio ?
https://www.reponsesbio.com/la-farine-de-grillons-debarque-dans-les-preparations-bio/

La programmation de votre glande pinéale, les fluorides, et le contrôle de l’humanité
https://www.reponsesbio.com/la-programmation-de-votre-glande-pineale-les-fluorides-et-le-controle-de-lhumanite/

Les couches lavables bio
https://www.reponsesbio.com/les-couches-lavables-bio/

Soupe de champignons végétarienne
https://www.reponsesbio.com/soupe-de-champignons-vegetarienne/

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source ICI sur femina

Les femmes ayant un régime alimentaire riche en protéines, en particulier celles-ci, vieillissent en meilleure santé suggère une nouvelle étude
Manger suffisamment de protéines est crucial pour la santé des femmes au fil du temps, et une nouvelle étude suggère que cette source précise s’avère être particulièrement bénéfique pour prévenir de nombreuses maladies chroniques.
Alexandra Bresson

L’alimentation constitue l’une des interventions les plus importantes pour rester en bonne santé à mesure que nous vieillissons.
Et notamment un apport adéquat en protéines, jugées indispensables pour maintenir les grandes fonctions de l’organisme et notamment la masse et la fonction musculaires pour retarder la fragilité et la dépendance.
Le choix est large dans ce domaine, avec des protéines animales comme la viande et le poisson bien sûr, mais aussi tous les produits issus des animaux comme les produits laitiers et les œufs, et les protéines végétales dont les principales sources sont les céréales (blé, riz, quinoa...), les légumineuses (haricots secs, pois chiche, lentilles...) et les fruits à coques (amandes, noix...).
Dans une étude publiée dans The American Journal of Clinical Nutrition, des chercheurs membres du Centre de recherche en nutrition humaine Jean Mayer USDA au sein de l’Université Tufts recommandent de miser davantage sur cette deuxième catégorie au retard des nombreux avantages apportés en termes de prévention des maladies chroniques et donc de vieillissement en bonne santé.

Pour l'étude, l’équipe scientifique a analysé les données autodéclarées de plus de 48 000 femmes participant à l'étude sur la santé des infirmières basée à Harvard, qui a suivi des professionnelles de la santé de 1984 à 2016.
Avec comme objectif d’analyser les questionnaires alimentaires des participantes pour extrapoler la quantité de protéines qu'elles consommaient avant de comparer ces résultats avec leur état de santé global.
Les chercheurs ont ensuite comparé le régime alimentaire des femmes qui n'ont pas développé 11 maladies chroniques ou qui n'ont pas perdu beaucoup de fonctions physiques ou de santé mentale, avec le régime alimentaire de celles pour qui cela a été le cas.
Les résultats obtenus ont révélé une diminution notable du risque de maladies cardiaques, du cancer et du diabète ainsi que d’un déclin de la santé cognitive et mentale chez les participantes qui incluaient plus de protéines végétales dans leur alimentation.
Plus précisément, les femmes qui en consommaient davantage à partir de la quarantaine avaient 46 % plus de chances d’être en bonne santé jusqu’à un âge avancé.

Les effets bénéfiques de l’alimentation végétale sur le cholestérol
En revanche, les femmes qui consommaient plus de protéines sous forme de sources animales telles que les viandes, les produits laitiers et les œufs étaient 6 % moins susceptibles de rester en bonne santé, mais étaient toutefois toujours en meilleure santé que les femmes qui consommaient globalement moins de protéines. « La consommation de protéines à la quarantaine était liée à la promotion d’une bonne santé chez les personnes âgées. », souligne de fait Andres Ardisson Korat, auteur principal de l'étude. « Nous avons également constaté que la source de protéines est importante.
Obtenir la majorité de vos protéines à partir de sources végétales à la quarantaine, ainsi qu'une petite quantité de protéines animales, semble être propice à une bonne santé et à une bonne survie jusqu'à un âge avancé.
Les femmes qui consommaient de plus grandes quantités de protéines animales avaient tendance à souffrir davantage de maladies chroniques et ne parvenaient pas à obtenir l'amélioration des fonctions physiques que nous associons normalement à la consommation de protéines. »

A découvrir également : Ces 6 aliments, peu appétissants, sont ceux qui contiennent le plus de protéines
https://www.femina.fr/diaporama/ces-10-aliments-peu-appetissants-sont-ceux-qui-contiennent-le-plus-de-proteines

Le plus grand effet bénéfique constaté chez les femmes au régime alimentaire riche en protéines végétales concernait les maladies cardiaques pour la simple raison que leur consommation régulière s'accompagnait d’un taux plus faible de cholestérol LDL.
Ce dernier est surnommé « mauvais » cholestérol) car il sa présence en trop grande quantité peut former des plaques et des dépôts gras sur les parois des artères, et ainsi empêcher le sang de circuler jusqu'au cœur et au cerveau.
Les chercheurs concèdent toutefois que les avantages des protéines végétales pourraient aussi provenir de la richesse en nutriments des aliments végétaux en eux-mêmes : ils contiennent des fibres, des vitamines, des minéraux ou encore des phyto-micronutriments dont les polyphénols, favorables à la santé.
C’est pourquoi ils estiment que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ce qui pourrait être à l’origine de l’amélioration apparente de la santé liée à la consommation de protéines végétales.
En prenant soin par ailleurs de ne pas limiter les données démographiques aux femmes d'un groupe d'âge et d'une profession spécifique.« L’apport en protéines joue un rôle important dans le maintien d'un état de santé positif à un âge avancé »
Toujours est-il que « l'apport en protéines alimentaires, en particulier en protéines végétales, au cours de la quarantaine joue un rôle important dans la promotion d'un vieillissement en bonne santé et dans le maintien d'un état de santé positif à un âge avancé. », atteste Ardisson Korat. En guise de conclusion, celui-ci recommande donc de privilégier au quotidien les légumineuses, céréales complètes et les fruits à coque mais rappelle tout de même l’importance de consommer de temps en temps des protéines animales, notamment du poisson, pour leur teneur en fer et en vitamine B12.
A noter que ce constat est partagé par l’Inrae* qui affirme que le fait de mettre plus de protéines végétales (céréales, légumineuses) dans l’assiette des seniors constitue une piste pour prévenir une diminution des capacités musculaires, appelée sarcopénie.
Car avec le vieillissement, la synthèse des protéines par le corps est moins efficace, c’est pourquoi il est recommandé aux personnes âgées d’augmenter leur apport en protéines, en particulier en protéines d’origine animale dont le profil en acides aminés (une protéine est un enchainement d’acides aminés) est équilibré.

A découvrir également : Quels sont les aliments riches en protéines animales ou végétales ?
https://www.femina.fr/article/quels-sont-les-aliments-riches-en-proteines-animales-ou-vegetales

Mais cet objectif n’est pas toujours facile à atteindre pour cette population en raison de la perte d’appétit, de la moindre appétence pour les protéines, de problèmes fréquents de mastication ou de la volonté de consommer moins de viande ou de produits d’origine animale.
C’est dans que contexte que l’organisme se prononce pour mettre plus de protéines végétales dans l’assiette des séniors, en veillant cependant à préserver la biodisponibilité des acides aminés « Le nombre de produits alimentaires à base de protéines végétales ne cesse de croître sur le marché et l’utilisation d’outils d’optimisation laisse entrevoir la possibilité de créer, en les mélangeant, des ingrédients protéiques végétaux de très forte qualité nutritionnelle, assurant à la fois la couverture des besoins minimaux en acides aminés indispensables et un apport supplémentaire en acides aminés spécifiquement adaptés à la population de consommateurs séniors. », conclut-il.
Selon ses recommandation, l’apport protéique recommandé a été fixé à minima à 1g/kg/j de protéines pour la personne âgées, sachant qu’il est de 0,83g/kg/j pour les adultes jeunes en bonne santé.

*Institut national de recherche en agriculture, alimentation et environnement

le 18/01/2024

source ICI sur marmiton

Manger tôt ou tard le soir : voici la meilleure option pour votre santé
par Fostine Carracillo
Le 21/01/2024

Dans la quête d'une alimentation saine, un débat persiste : faut-il manger tôt ou tard le soir pour maximiser les bienfaits sur notre santé ?
Voici la réponse des experts.

Ce n'est plus un secret : vos habitudes alimentaires ont des conséquences sur votre santé.
Parmi ces dernières, celle de l'heure du dîner.
Au-delà de 21 h, notre corps amorcerait sa nuit biologique, entraînant une diminution de son efficacité à métaboliser les graisses et les sucres, favorisant ainsi leur stockage.

Une étude, publiée dans l'International Journal of Cancer, avance que le fait de prendre son dernier repas au moins deux heures avant de se coucher pourrait réduire de 18 % le risque de cancer du sein, ainsi que l'a rapporté Version Femina.

Ces données ont plus récemment été corroborées par d'autres recherches, publiées par l'Inrae, l'Institut de santé globale de Barcelone, l'Inserm et l'Université Sorbonne Paris Nord.

L'étude suggère ainsi que l'heure à laquelle nous prenons nos repas pourrait influer sur le risque de développer une maladie cardiovasculaire.
En particulier, l'heure du petit déjeuner et du dîner semble jouer un rôle crucial.

En somme, privilégier une prise de repas plus précoce serait bénéfique, chaque heure ayant son importance.

Les conseils des experts en matière d'heure de prise des repas
« Les résultats font ressortir qu'une première prise alimentaire de la journée plus tardive, par exemple liée au saut du petit déjeuner, est associée à un risque plus élevé de maladie cardiovasculaire, avec une augmentation de 6 % du risque par heure. », ont notamment rapporté les auteurs de l'étude.

Pour maximiser les chances de rester en bonne santé, il est particulièrement important de choisir un repas précoce, surtout le soir.
En effet, chaque heure supplémentaire au-delà d'un certain seuil accroît le risque de manière significative, à hauteur de 8 %.

« Manger tardivement, après 21 h, est associé à une augmentation de 28 % du risque de maladie cérébrovasculaire, comme les AVC (accident vasculaire cérébral), par rapport à une dernière prise alimentaire avant 20 h, en particulier chez les femmes. », a indiqué le communiqué.

Quels conseils pour réaliser un jeûne nocture ?
Troisième résultat de l'étude à garder à l'esprit : « Une durée plus longue du jeûne nocturne, entre la dernière prise alimentaire de la journée et la première du lendemain, est associée à une réduction du risque de maladie cérébrovasculaire (AVC), ce qui serait donc en faveur d'une combinaison d'une heure précoce de la première et de la dernière prise alimentaire, simultanément. »

Pour réduire le risque d'AVC de 7 %, envisager un jeûne de 12 heures, par exemple en dînant à 19 h et prenant le petit déjeuner à 7 h, semble être une option judicieuse pour la santé.

Les experts sont formels : il est préférable de suivre cette approche plutôt que de dîner tard à 23 h, de sauter le petit déjeuner, et de déjeuner à midi.

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source https://www.reponsesbio.com/les-nutriments-de-la-seve-de-bouleau-et-leurs-vertus/

Les nutriments de la sève de bouleau et leurs vertus
Par Réponses Bio -3 mars 2024

Pour un drainage en profondeur des toxines accumulées au cours de l’hiver, la cure de sève de bouleau constitue une des meilleures bases à la détox printanière connue depuis les temps anciens.

Si nous savons déjà qu’elle est :
Détoxifiante : Aidant à éliminer les toxines et les déchets du corps, favorisant ainsi la purification et le bon fonctionnement des organes.

Utile aux fonctions immunitaires : Les vitamines, minéraux et antioxydants présents dans la sève de bouleau aident à soutenir la santé globale et à stimuler la réponse immunitaire du corps.

Bonne pour la santé de la peau : Soutenant l’hydratation de la peau, réduisant l’inflammation et favorisant une peau saine et éclatante.

Anti-inflammatoire : Faisant d’elle un remède naturel potentiel pour soulager les inflammations et douleurs associées.

Utile à la santé des voies urinaires : Contribuant à favoriser la santé des voies urinaires en aidant à éliminer les toxines et les déchets du corps. Elle peut également avoir des propriétés diurétiques douces, favorisant l’élimination des liquides en excès.

Quelles sont les autres vertus de la sève de bouleau ?
Et quelles pourraient être les corrélations existantes entre sa composition et les bienfaits qu’elle vous réserve ?

Bienfaits que les scientifiques se sont, pour le moment, bien gardés d’analyser en détails comme les nombreuses molécules naturelles étudiées par ailleurs.

Mais avant de répondre à ces questions, voyons pour quels troubles la plupart des cultures du monde l’emploient depuis fort longtemps.

La consommation traditionnelle de sève de bouleau dans le monde
En Europe sa consommation est connue depuis les druides :
Au Danemark les jeunes pousses et feuilles étaient utilisées comme laxatif tonique, le thé de feuilles de bouleau était donné pour la goutte et le rhumatisme, et l’écorce était employée pour apaiser les éruptions cutanées
.Au Royaume-Uni la sève de bouleau était considérée comme tonique, bénéfique contre les rhumatismes et utilisée comme premier aliment pour les nouveaux-nés.
En Allemagne elle était utilisée contre les maladies pulmonaires et la goutte.
En Pologne elle était conseillée pour traiter les maladies des voies respiratoires et les infections cutanées.
Aux États-Unis elle est consommée fraîche ou fermentée pour améliorer la santé générale.
Tandis qu’en Inde, elle traite le scorbut, le choléra, et est préconisée comme source de vitamines contre les carences.

Ces exemples illustrent la diversité des usages traditionnels de la sève de bouleau en médecine dans différentes cultures, allant du traitement des affections cutanées et articulaires à ses propriétés diurétiques et anti-inflammatoires, mais comment en savoir plus ?

La composition générale de la sève de bouleau et ses corrélations sur la santé humaine

Il n’est pas toujours évident de trouver une composition précise de la sève de bouleau sachant :
d’une part, comme je l’ai dit précédemment, qu’elle n’a que très rarement été analysée par les scientifiques du monde moderne pour ses bienfaits sur la santé, mis à part quelques applications modernes, il n’existe rien dans les archives.

d’autre part, naturellement, parce que chaque espèce, le moment de la récolte, ainsi que la dégradation des échantillons, ne permettent pas une vision uniforme de sa composition exacte.

Heureusement il existe quelques « standards », dont celui publié sur la référence que nous avons mise au catalogue de Réponses Bio, recoupant nos anciennes connaissances avec les bases de données actuelles les plus fiables indiquant (1) (2) :

Evidemment une concentration d’eau de plus de 95 %, inhabituelle dans une sève d’arbre, lui permettant de rendre ses composants parfaitement assimilables tout en drainant les reins et la vessie activement.

Une répartition de sucres d’une élégance folle, favorisant majoritairement les sucres simples comme le glucose et le fructose à raison de 3,50 grammes par litre, tandis que les sucres complexes ne constituent que 11,1% du total de sucres observés. Référence pouvant cependant varier en fonction des récoltes et des espèces en allant jusqu’à 5,39g/litre de fructose and 4,46g/litre de glucose. Ce qui pourrait être une approche intéressante pour les diabétiques et ceux cherchant une source alternative de sucres fiables pour l’équilibre glycémique.

du calcium, représentant en moyenne seulement 2% des apports recommandés pour 30cl de boisson. Mais apportant tout de même un soutien à la santé osseuse sous sa forme la moins nocive et la plus assimilable, une aide au fonctionnement musculaire, une optimisation de la coagulation sanguine, et une régulation de la pression artérielle ainsi que des transmissions nerveuses.

du phosphore en bonne quantité, optimisant la santé dentaire, la production d’énergie, le bon fonctionnement des membranes cellulaires, la synthèse de l’ADN ainsi que la régulation de l’équilibre acido-basique.

du potassium, favorisant l’équilibre hydrique, les fonctions musculaire et cardiaque, la pression artérielle et l’équilibre acido-basique.

du sodium, en petite quantité.

du magnésium, représentant en moyenne 95% de l’apport journalier recommandé pour 30cl, idéal pour favoriser la santé osseuse, musculaire, cardiovasculaire, mais aussi l’équilibre hydrique et les fonctions nerveuses.

du silicium, en quantité intéressante pour une meilleure santé osseuse, articulaire, des ongles et de la peau, des vaisseaux sanguins et des cheveux.

du sélénium, un antioxydant majeur soutenant l’activation de la glande thyroïde, mais aussi suspecté de receler des vertus anti-cancer, un soutien pour les fonctions reproductives, dont, en particulier, la fertilité masculine.

du zinc, dans une proportion représentant généralement 3 % des apports journaliers recommandés pour 30cl, utile au bon fonctionnement du système immunitaire, favorisant la santé de la peau, des yeux, mais aussi la sphère reproductive en général, les fonctions cognitives, ainsi que le soutien à la croissance et au développement des adolescents et enfants.

du fer, en petite quantité, dont l’apport essentiel n’est plus à rappeler pour lutter contre les microbes et bactéries.

du cuivre, en petite quantité, apportant tout de même un effet antioxydant, soutenant la production de collagène et l’absorption du fer ainsi que la santé du système nerveux et la formation de globules rouges.

du soufre, sous une forme naturelle hautement assimilable, assurant le soutien des articulations, de la santé de la peau, des cheveux et des ongles, de la sphère digestive, des voies respiratoires, favorisant la réduction de l’inflammation, et agissant comme antioxydant et détoxifiant.

du manganèse, avec un ratio de près de 130% de l’apport journalier recommandé pour 30cl, invitant à ne pas dépasser 90cl de sève de bouleau par jour. Le manganèse permet la formation et le maintien des os, soutient le métabolisme énergétique, le fonctionnement du système nerveux et immunitaire, tout en participant à la régulation du métabolisme des nutriments.

des acides de fruits dont :
– l’acide malique, favorisant l’amélioration de la digestion, la détoxification du foie, l’amélioration de l’énergie, le soutien des performances sportives, le soulagement des douleurs musculaires, ainsi que la santé bucco-dentaire.

– l’acide succinique, un antioxydant améliorant la production d’énergie, détoxifiant, soutenant la fonction hépatique, la santé digestive et celle des articulations.

– l’acide phosphorique, jouant un rôle non négligeable dans l’équilibre acido-basique en général.

– et l’acide citrique, un anti-microbien participant à la régulation du pH de l’organisme tout en améliorant la digestion.

des acides aminés comme l’acide L-glutamique participant à la fonction cérébrale, l’amélioration de la mémoire et de la concentration, à la fonction musculaire, au soutien immunitaire, à la santé gastro-intestinale, ainsi qu’à la réduction du stress et de l’anxiété.

Mais aussi les huit acides aminés essentiels dont respectivement :
La leucine : Essentielle pour la synthèse des protéines musculaires, elle est également impliquée dans la régulation de la glycémie et la préservation de la masse musculaire pendant les régimes amaigrissants.

L’isoleucine : Également impliquée dans la synthèse des protéines et contribuant à la croissance et à la réparation des tissus musculaires, elle participe en outre à la régulation de la glycémie et à la production d’énergie.

La valine : Importante pour la synthèse des protéines, elle joue un rôle dans la production d’énergie pendant l’exercice et contribue à maintenir un équilibre d’azote positif dans le corps.

Le tryptophane : Précurseur de la sérotonine, c’est un neurotransmetteur régulant l’humeur, le sommeil et l’appétit. Il est également impliqué dans la synthèse de la vitamine B3 et joue un rôle dans la régulation du rythme circadien.

La phénylalanine : Précurseur de plusieurs neurotransmetteurs, y compris la dopamine, l’adrénaline et la noradrénaline, qui jouent un rôle dans la régulation de l’humeur, du stress et de la concentration, la phénylalanine est utile à la synthèse de la tyrosine, un acide aminé non essentiel.

La méthionine : Servant à la synthèse des protéines c’est un précurseur de la cystéine, acide aminé impliqué dans la production du glutathion. Elle est également nécessaire à la synthèse des neurotransmetteurs et des hormones.

La thréonine : Essentielle à la synthèse des protéines, elle joue un rôle dans la formation du collagène, un composant structurel important de la peau, des os et des tissus conjonctifs. Elle est également impliquée dans la production de glycine et de sérotonine.

La histidine : Un précurseur de l’histamine, neurotransmetteur régulant la réponse immunitaire et la fonction digestive. Elle joue également un rôle dans la synthèse des protéines et est nécessaire pour la croissance ainsi que la réparation des tissus.

Une importante dose de mucilages, aux vertus prébiotiques idéales pour garantir l’équilibre de votre flore intestinale.

Des vitamines des groupes :
– A pour la vision, la santé de la peau et du système reproducteur, ainsi que le bon fonctionnement des muqueuses.

– E antioxydante, utile à la santé de la peau, des cheveux, yeux, ongles et système cardiovasculaire.

– D3 favorisant la santé mentale, reproductive, immunitaire, cardiovasculaire et musculaire.

– C sous sa forme la plus assimilable et la plus naturelle.

– B1, B2, B3, B6, B8 et B12 pour les systèmes immunitaire et nerveux, la formation des globules rouges, et la production d’énergie.

– mais aussi K1 nécessaire à une bonne coagulation sanguine, mais aussi à la santé osseuse et cognitive, et dont des vertus anti-cancer sont suspectées.

Mais aussi, dans une moindre quantité tout en permettant un apport non négligeable d’acides phénoliques, avec entre autres des :

Hétérosides phénoliques : Tels que la monotropitoside et la bétuloside, aux propriétés antioxydantes. L’acide betulinique induisant l’apoptose des cellules cancéreuses, et inhibant la croissance de Staphylococcus aureus et Escherichia coli.

Polyphénols : Y compris les flavonoïdes et les tanins, qui sont connus pour leurs effets antioxydants et anti-inflammatoires.

Acides phénoliques divers : En plus des hétérosides phénoliques, la sève de bouleau peut contenir d’autres acides phénoliques tels que l’acide glutamique, contribuant à la fonction cérébrale, l’amélioration de la mémoire et de la concentration, ainsi que de la détoxification cérébrale. Ils soutiennent également la santé digestive, la fonction musculaire et la santé cardiaque.

On peut donc décemment prétendre, en plus de ses vertus les plus connues comme le drainage rénal, l’effet diurétique et ses qualités détox, que la sève de bouleau est :
intéressante pour la régulation des troubles glycémiques

un puissant antioxydant

un bon régulateur prébiotique lorsqu’elle est fraîche, et sacrifiant la plupart de ses vertus pour devenir un très bon probiotique lorsqu’elle commence à fermenter

un anti-carence multiple comparable à la spiruline sous des aspects fort complémentaires

une cure intéressante à réaliser pour les personnes souffrant d’hypothyroïdie

un anti-rhumatismal luttant aussi contre la décalcification et les maladies osseuses

un atout pour potentialiser l’effet de remèdes indiqués dans le traitement de maladies lourdes

un anticholestérolémique, anti-anémique, amincissant

utile à la reconstitution des tissus, os, cellules, tout en favorisant l’équilibre du système sanguin

un traitement complémentaire des maladies nerveuses et troubles du sommeil.

Ainsi que, dans une certaine mesure et en fonction de l’espèce, du moment de la récolte, ou encore du temps de conservation, effets bénéfiques de chacun des composants listés dans cet article.
Certains bénéfices, cependant, ne se manifesteront que dans le cadre de cures longues.

La sève de bouleau est toutefois déconseillée en cas :
d’hypersensibilité au pollen de bouleau (allergie)

de régimes de restriction hydrique (maladie cardiaque ou rénale grave)

et d’allergie à l’aspirine et aux dérivés salicylés (contre-indication théorique) ainsi qu’aux personnes sous traitement anticoagulant.

Les associations bénéfiques et modes d’emploi de la cure de sève de bouleau

Avant même de considérer la cure de sève de bouleau à proprement parler, voyons ses autres modes d’emploi ainsi que ses associations positives :
En masque capillaire, pour favoriser la santé des cheveux et du cuir chevelu, traiter les pellicules et favoriser la repousse. Appliquer 30cl en massant le cuir chevelu 1 heure avant la douche ou même avant le coucher.

En masque et application cutanée, pour nourrir la peau et favoriser la cicatrisation.

Associée à vos soins dentaires ou vos huiles essentielles, pour l’effet synergique apporté.

En mélange avec du lait d’or, pour son association unique avec les effets antioxydants du curcuma.

En association avec la gemmothérapie de Bourgeons de bouleau pour favoriser la production de leucocytes, la résistance infectieuse, et une augmentation de la phagocytose de particules de carbone colloïdal.

En co-drainage avec le Moso 3000 pour une détox intense reminéralisante. Soit la prise de sève de bouleau le matin et la prise de charbon ultra activé avant le coucher.
À ne pas consommer avec d’autres charbons que le Moso 3000 pour ne pas diminuer la qualité de la cure.

Une bonne cure de sève de bouleau en elle-même s’organise comme suit :

Pendant 20 jours à 2 mois.
Il est recommandé de boire 15cl à 30cl de sève tous les matins à jeun pendant 20 jours, avant de faire une pause d’une semaine et d’éventuellement reconduire la cure 20 jours de plus. En comptant un total cumulé maximum de trois mois de cure, pauses incluses.

Cependant dans le cadre d’une détox spéciale comme celle proposée par Réponses Bio, il vous est possible de prolonger votre cure de sève jusqu’à 3 mois sans interruption, dans la mesure où vous rythmez votre cure d’une prise de Moso 3000 le soir, rééquilibrant instantanément tout excès minéral résultant de la sève.

Après ouverture, la sève de bouleau se conserve au réfrigérateur et doit être consommée dans un délai de 3 semaines maximum pour garantir une fraîcheur optimale.

Le choix d’une sève de bouleau ultra fraîche… se conservant idéalement

Après avoir mis à votre disposition différents millésimes au fil des ans, vous conviendrez qu’un des inconvénients majeurs de la sève de bouleau, surtout si l’on veut en faire une longue cure, réside dans la difficulté de la conserver entièrement vitale plus d’une semaine après ouverture.

Et bien grâce à la nouvelle formule de la récolte que nous venons de sélectionner pour vous, c’est possible.

Alliant la fraîcheur d’une sève obtenue en haute montagne française, avec le savoir-faire de spécialistes des plantes, l’ajout de jus d’argousier bio, ne perturbant en rien l’équilibre des composants de la sève, vous permet d’optimiser le temps de conservation sans dénaturer le produit.

Tant que vous la consommez jusqu’à trois mois après sa récolte, au plus tard. Après ce délai, il est probable que des vertus probiotiques viennent remplacer la vitalité de certains nutriments et phénols.

Or, cette fameuse récolte est en train d’arriver, dans les prochaines semaines.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

La sève de bouleau optimise sa richesse en nutriments au fil des récoltes pendant le début du printemps, mais lorsqu’elle est fraîche, dès la montée des premières sèves, elle est tellement meilleure…

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source https://www.reponsesbio.com/

Une bombe d'antioxydants, acides aminés, ferments lactiques et oligo-éléments
Votre Lettre d'information hebdomadaire pour la Bio, les Remèdes Naturels et l'Environnement

Bonjour,

La saison de la récolte du pollen est là !

L'occasion est trop belle pour ne pas revenir, plus en détails, sur l'extraordinaire richesse et les vertus de ce chef-d'œuvre, que nous offre la nature.

Infiniment plus riche que l’habituelle version sèche ou lyophilisée que l’on rencontre en général, le pollen frais est bien plus qu’un simple complément alimentaire, c’est le plus puissant des super aliments.

Saviez-vous par exemple que le pollen, lorsqu'il est cru, présente une valeur antioxydante 10 fois supérieure à la même quantité de raisin bio ?

Conservant absolument toutes ses qualités nutritionnelles d’origine, le pollen frais est le fruit d’une méthode de conservation respectant aussi bien sa texture que sa saveur :

Simple et efficace, elle protège les précieux :

→ antioxydants

→ acides aminés

→ ferments

→ ainsi que les nutriments vivants que contient le pollen lorsqu’il est encore sur sa fleur.

Or pendant longtemps, il était impossible de profiter de tous les bienfaits du pollen frais, puisque les seules formes disponibles étaient le pollen séché à 40°C ou lyophilisé.

Désormais, l’avenir est au pollen frais ainsi qu’à son exceptionnelle teneur en :

→ protéines

→ vitamines du groupe B, C et E

→ potassium

→ calcium

→ magnésium

→ cuivre

→ fer

→ phosphore

→ bêtacarotène

→ sélénium…

Mais ce sont surtout ses acides aminés essentiels, qui font de lui l’allié numéro un du végétarien.

Cependant, il s’avèrera tout aussi précieux pour les :

→ enfants en pleine croissance

→ convalescents

→ personnes âgées

→ femmes enceintes

→ et personnes dépressives.

Le pollen frais présente l’avantage unique de rétablir la fixation des protéines, lorsque celle-ci est défaillante.

On le recommande notamment en traitement comme en prévention d’affections telles que :

→ l’hypertrophie de la prostate

→ la baisse de la libido

→ les troubles hépatiques

→ et les défaillances cognitives.

Enfin, son effet bénéfique contre le manque d’appétit donnera l’occasion à ceux dont les carences les conduisent vers une maigreur excessive, de retrouver progressivement goût aux aliments tout en les digérant mieux.

Le pollen et les végétariens
Tous les végétariens le savent, la plus grande difficulté quand on ne mange pas de produits carnés, c’est d’être en mesure de pourvoir quotidiennement à ses besoins en acides aminés essentiels.

Et c’est là où le pollen frais fait des merveilles !

Pour illustrer cela, prenons pour exemple un verre de lait écrémé de 100ml, qui devrait contenir normalement 64mg de méthionine, un acide aminé essentiel participant à la biosynthèse des protéines.

En comparaison, le pollen frais montre qu’à poids égal sa teneur en méthionine est 8 fois plus élevée !

Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres…

Bourré de micronutriments extrêmement digestes, il corrigera vos carences et subcarences tout en douceur.

Il a d’ailleurs été démontré que sa consommation quotidienne favorise la digestion et l’assimilation des minéraux se trouvant dans le bol alimentaire.

Donc si vous êtes végétarien ou que votre alimentation contient peu d’aliments d’origine animale, il sera fort avisé de veiller à un apport régulier d’acides aminés par l’intermédiaire du pollen frais.

Sans quoi il ne vous restera plus qu’à manger de la viande !

Les vertus des pollens :
→ Le pollen de Saule est tout particulièrement indiqué pour les hommes souffrant de problèmes liés à la prostate, mais aussi en cas de troubles ophtalmologiques comme la dégénérescence maculaire. Riches en vitamine B9, il est recommandé pour les femmes voulant concevoir ou allaiter.

→ Le pollen de Ciste contribue à rétablir l’équilibre intérieur. Grâce à sa forte teneur en fibres et en ferments lactiques (plus de 10 millions !), il est idéal pour une hygiène intestinale optimale et favoriser le transit. Riche en caroténoïdes, il complète idéalement le pollen de Saule pour renforcer le capital vision.

→ Le pollen de saison offre une large richesse en micronutriments du fait de l'association des différentes espèces botaniques visitées par les abeilles. Il est très intéressant pour lutter contre la fatigue, dynamiser l'organisme et améliorer la résistance générale.

Comment consommer le pollen frais ?
Pour bien nettoyer votre organisme en profondeur tout en comblant vos carences, rien ne vaut une cure !

​La cure de pollen frais s’étale généralement sur des périodes de trois à six semaines, que vous pouvez renouveler plusieurs fois par an, voire continuer jusqu’à résoudre des anémies persistantes :

→ Pour combler une carence particulière, soigner les troubles de la prostate, ou encore des problèmes ophtalmologiques, vous choisirez le pollen de Saule en continu pendant plusieurs mois.

Il est généralement recommandé de doser 1 cuillère à soupe bien remplie tous les matins (soit environ quinze grammes), accompagnée d’un fruit frais.

→ Pour traiter un état maladif ou en cas de fatigue, de stress ou de déprime intenses, ajoutez 1 cuillère à chacun des trois repas.

→ Concernant les enfants, le mieux est d’attendre qu’ils aient 6 ans révolus avant de leur proposer une cure.

Au-delà, il n’est pas interdit de faire confiance à leur instinct et de les laisser se complémenter selon leurs envies, au cas où des carences les pousseraient à en consommer davantage pendant un certain temps.

Il est fort probable qu’ils en réduiront spontanément la consommation lorsque les dites carences seront comblées.

Quelques recettes au pollen frais pour le petit déjeuner ?
Ces recettes sans gluten, sans lactose et parfaitement digestes, vous assureront un apport abondant en vitamines et minéraux, pour une journée sans fatigue ni déprime.

Fini les angoisses pour vous assurer des apports suffisants en vitamines et acides aminés : vous avez tout ce qu’il vous faut dans le pollen !

৩ Smoothie reconstituant

ၑ 2 ou 3 bananes, selon votre appétit
ၑ 1 belle poignée d’épinards frais ou quelques feuilles de salade verte
ၑ 1 cuillère à soupe d’huile d’olive
ၑ 1 cuillère à soupe de pollen frais de Saule​
ၑ lait végétal à volonté (soja pour un goût neutre, sinon amande par exemple)

Mixez le tout dans un blender avant de verser dans un verre. Dégustez lentement, en « mâchant » chaque gorgée pour assimiler un maximum de nutriments, et apprécier les saveurs…

Avec ce délicieux smoothie complet, aucune chance d’avoir faim dans la matinée.

Et n’hésitez pas à en faire profiter vos enfants, ils vont adorer !

৩ Jus énergisant pour matin difficile

ၑ 2 pommes
ၑ 2 carottes
ၑ 1 pouce de gingembre
ၑ 1 cuillère à soupe de pollen frais de Ciste​

Lavez les pommes, les carottes et le gingembre, puis passez-les dans votre extracteur de jus.

Une fois le jus extrait, versez dans un verre, ajoutez le pollen et diluez bien avant de déguster lentement.

Buvez tant que c’est frais !

৩ Mix croustillant

ၑ sarrasin germé déshydraté
ၑ graines de tournesol
ၑ amandes concassées
ၑ raisins secs ou dattes coupées en petits morceaux
ၑ 1 verre de lait végétal, ou 1 yaourt, ou de la compote
ၑ 1 cuillère à soupe de pollen frais de saison​

Mettez les aliments secs dans un bol, dans les proportions qui vous conviennent.

Mélangez le pollen avec le lait ou le yaourt ou la compote, que vous verserez ensuite dans votre bol.

*****

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Pour éviter de grossir du ventre, un médecin conseille de finir le dîner avec ce yaourt
Par Anne-Sophie Glover-Bondeau
Publié le 15 juillet 2024

La graisse abdominale, en plus d’être jugée inesthétique par beaucoup, peut en outre être dangereuse.
Vous pouvez la perdre en équilibrant votre alimentation, et notamment en choisissant bien les aliments du dîner sans oublier l’inévitable activité physique.

EN BREF
La graisse abdominale comprend la graisse sous-cutanée et la graisse omentale, cette dernière étant inflammatoire et dangereuse selon le Dr Réginald Allouche.
Pour éviter l'accumulation de graisse abdominale, il est recommandé de manger léger le soir et de privilégier des aliments comme la soupe, les salades et les protéines maigres.
Adoptez une activité physique régulière, comme le cardio, pour brûler efficacement la graisse abdominale et améliorer la détoxification du foie.

La graisse abdominale désigne deux sortes de graisse : la graisse abdominale sous-cutanée que l’on reconnaît car on peut la saisir entre ses mains, et la graisse omentale, graisse plus profonde, à l’intérieur du péritoine, près des organes digestifs.

« La graisse sous-cutanée n’est pas dangereuse
Elle est même plutôt protectrice si elle n’est pas présente en trop grosse quantité alors que la graisse omentale est dangereuse car elle est très inflammatoire, ce qui conduit à des maladies de type foie gras, prédiabète, diabète de type 2», explique le Dr Réginald Allouche, médecin nutritionniste, également ingénieur biomédical, et chercheur dans le domaine de la prévention du diabète et du surpoids.*

Cette graisse abdominale est liée principalement à une trop grande consommation de sucre qui est stockée dans l’organisme sous forme de gras et à une activité physique insuffisante.

Graisse abdominale : pourquoi faut-il faire particulièrement attention à ce qu’on mange le soir ?
« La différence entre repas du petit-déjeuner et du dîner, c’est qu’en règle générale le soir, on n’a pas ou peu d’activité après la prise alimentaire comme c’est le cas la journée », indique le Dr Allouche.
Il explique : « Si vous mangez trop de sucres au cours du dîner, que ce soient des sucres rapides ou des féculents, votre foie va le stocker ».

C’est pourquoi le repas du soir doit être le moins riche possible ! « Ce repas ne doit, en plus, pas être trop tardif afin que le foie puisse effectuer son travail de nettoyage au cours de la nuit.
Il se détoxifie en effet entre minuit et 4 heures du matin », recommande le médecin.

Quels aliments manger le soir pour avoir un ventre sans graisse ?
« Le soir, je recommande de commencer le repas par une soupe en hiver ou une salade mixte (tomate, petits oignons, salade, concombre…) en été, avec un assaisonnement à base d’huile d’olive et de colza qui est riche en oméga-3 anti-inflammatoires, en évitant le vinaigre balsamique, trop sucré », indique le Dr Allouche.

Cette entrée doit idéalement être suivie d’une petite portion de protéines (viande blanche, poisson) qui ont un effet sur la satiété et des légumes à volonté. « Ceux-ci peuvent être grillés car l’apport de graisses n’est pas un problème », précise le médecin interrogé.
Il convient d’éviter les féculents (pain, riz, pâtes, pommes de terre…) et de privilégier en accompagnement des légumineuses (lentilles, pois chiche, fèves…).
« La bonne quantité étant un bol chinois », indique le Dr Allouche.
Celui-ci préconise de finir ce repas par un yaourt, au lait de brebis par exemple car c’est un lait riche en oméga 3, ou un fruit.

Si vous voulez perdre votre graisse abdominale, pratiquer une activité physique régulière est indispensable.

« L’idéal pour faire disparaître la graisse abdominale c’est de faire du cardio (vélo, elliptique, natation, danse, boxe…) avec idéalement une fréquence cardiaque correspondant à 220 moins l’âge, en enlevant la moitié du rythme cardiaque au repos car ces graisses se brûlent de façon aérobie ».

« Il faut que le rythme cardiaque augmente pour que le foie se détoxifie et cela fait également fonctionner le système lymphatique or ce dernier a un rôle important dans le transport et l’absorption des acides gras saturés » explique le Dr Allouche Le bon rythme ? 3 fois 50 minutes par semaine.

En résumé
-La graisse abdominale comprend la graisse sous-cutanée et la graisse omentale, cette dernière étant inflammatoire et dangereuse selon le Dr Réginald Allouche.

-Pour éviter l'accumulation de graisse abdominale, il est recommandé de manger léger le soir et de privilégier des aliments comme la soupe, les salades et les protéines maigres.

-Adoptez une activité physique régulière, comme le cardio, pour brûler efficacement la graisse abdominale et améliorer la détoxification du foie.

*Auteur de Sucre, ennemi public numéro un, Editions Albin Michel Pratique, 2024

source https://nicepresse.com/cote-dazur-une-etude-scientifique-detaille-ce-quhabiter-pres-de-la-mer-apporte-a-notre-sante/

Côte d'Azur : une étude scientifique détaille ce qu'habiter près de la mer apporte à notre santé
Nice-Presse
06/09/2023

Les bienfaits du littoral sont connus depuis des décennies, notamment à Nice où les Britanniques venaient se soigner et se ressourcer dès la Belle époque.

Une enquête menée par une équipe de scientifiques dirigée par Sandra Geiger de l'Université de Vienne a souligné que vivre près de la mer ou partir en vacances à proximité a des effets bénéfiques sur la santé.
Les résultats ont été relayés en mai 2023 dans la revue Nature.

L'étude a interrogé plus de 15 000 internautes dans 14 pays européens et en Australie, et les données ont montré que tout le monde - et pas seulement les riches - bénéficie de cela.

Les bienfaits de l'air marin sont connus depuis des siècles, et cette pratique intéresse de plus en plus les professionnels de santé.

Ces avantages pourraient s'expliquer par une réduction des risques environnementaux tels que la pollution de l'air (sauf, évidemment, dans les grandes agglos littorales), ainsi que par une tendance à l'augmentation de l'activité physique, comme par exemple la marche à pied et le footing.

Les interactions sociales en plein air seraient, de fait, favorisées.
Cette proximité avec la grande bleue a également un impact positif sur le bien-être psychologique, avec des effets concrets sur le moral du panel.



source https://nicepresse.com/bo-cote-dazur-pourquoi-vivre-pres-de-la-mer-est-il-si-bon-pour-notre-sante-cette-etude-scientifique-repond/

BO. Côte d'Azur : pourquoi vivre près de la mer est-il si bon pour notre santé ? Cette étude scientifique répond
Grégoire Aubron
11/08/2024

Les effets bénéfiques de la vie près du littoral sont documentés depuis longtemps, comme l'illustrent les séjours des Britanniques à Nice durant la Belle Époque pour des raisons de santé.

Une étude réalisée par une équipe de scientifiques dirigée par Sandra Geiger de l'Université de Vienne a mis en évidence les effets positifs de la vie ou des vacances près de la mer sur la santé.
Les résultats ont été publiés en mai 2023 dans la revue Nature.

L'étude, qui a interrogé plus de 15 000 personnes dans 14 pays européens et en Australie, montre que ces bénéfices concernent l'ensemble de la population, indépendamment du niveau de revenu.

Les bienfaits de l'air marin sont reconnus depuis des siècles, et cette question suscite un intérêt croissant parmi les professionnels de la santé.

Ces avantages pourraient être liés à une diminution des risques environnementaux, tels que la pollution de l'air, sauf dans les grandes agglomérations littorales, ainsi qu'à une tendance accrue à l'activité physique, notamment la marche et la course.

Les interactions sociales en plein air seraient également favorisées par cette proximité avec la mer, contribuant ainsi à une amélioration du bien-être psychologique, comme l'ont ressenti les participants de l'étude.