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 Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses

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Moa

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MessageSujet: Re: Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses   Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses - Page 2 EmptyLun 22 Mai 2017 - 0:10

Deux témoignages qui se rejoignent
source https://www.neo-nutrition.net/plus-belle-mort-a-maison/#comment
La plus belle mort – à la maison
Par Eric Müller/18 mai 2017


J’aimerais partager avec vous une histoire émouvante lue dans The Telegraph.

Russell Davison, 40 ans, y raconte le combat de sa femme Wendy face au cancer :

« On a diagnostiqué Wendy d’un cancer des cervicales en novembre dernier. Nous venions de fêter nos 40 ans. »

« Immédiatement, Wendy s’est mise aux commandes afin de prendre sa santé en main. »

« Nous n’étions pas prêts à confier sa vie aux médecins – nous voulions conduire nos propres recherches et faire de notre mieux pour garder Wendy en vie. »

« Nous n’avons aucun doute qu’en refusant la chimiothérapie et la radiothérapie, et en embrassant pleinement la santé naturelle, nous avons considérablement prolongé la vie de Wendy. »

« Il y a trois ans, on a donné à Wendy six mois à vivre. »

« C’est à cet instant que nous avons décidé que nous avions besoin de commencer à vivre dans l’instant. Nous voulions profiter au maximum de chaque moment qu’il nous restait à vivre ensemble. Nous avons alors acheté une caravane pour partir faire le tour de l’Europe. »

« Notre vie de gitans dut malheureusement s’arrêter en septembre dernier et nous fûmes contraints de rentrer à Derby – Wendy avait trop mal pour continuer. »

« Elle a fait plusieurs séjours au Royal Derby Hospital, tout en étant décidée à mourir à la maison. »

« Avec ses fils, Luke et Dylan, et les miens, Benjamin et Dominic, nous nous sommes occupés d’elle tout au long des derniers mois. Ce fut une période très difficile pour nous tous. »

« Wendy endurait des souffrances atroces, mais elle ne s’est jamais plainte… elle n’a jamais laissé entendre que c’était injuste, ou que le sort s’acharnait contre elle. »

« Elle n’a jamais cessé d’être reconnaissante à la vie, d’être brave, courageuse, et pleine de gratitude… bien plus que je ne l’aurais imaginé. »

« Wendy cessa de s’alimenter le 10 avril. Elle s’arrêta de boire le 15 avril. Alors, elle s’en alla doucement. »

« Vers la fin, elle eut encore quelques paroles. Assez pour me dire qu’elle m’aimait, et qu’elle ne ressentait plus la douleur. J’étais comblé. »

« Wendy s’en alla dans la paix, sans sursaut, sans douleur, dans nos bras. »

« Elle était radieuse comme elle l’avait toujours été : sans effort, sans maquillage, tout simplement belle. »

« La mort est un sujet tabou dans notre société. Personne n’aime en parler. Mais Wendy et moi étions très ouverts sur le sujet. Nous en parlions beaucoup. »

« Nous avons été trompés par la télé et les films qui encouragent à avoir peur des cadavres. C’est sans fondement, je vous assure. »

Russell a dormi six nuits auprès du corps mort de Wendy.

« Depuis longtemps, j’avais décidé que Wendy allait mourir à la maison. Je ne voulais pas qu’elle soit tout de suite à la morgue, ou confiée aux pompes funèbres. Je voulais que nous la gardions à la maison, dans notre chambre à coucher, afin que je puisse dormir auprès d’elle. »

« Ce fut inouï. En ayant le corps de Wendy à la maison, nous pouvions nous asseoir à ses côtés aussi longtemps que nous le voulions. Notre famille, nos amis, pouvaient s’approcher d’elle, lui parler, parler d’elle, allumer des bougies, faire brûler de l’encens. Ce furent des moments beaux et réconfortants pour les garçons et moi. »

« Cette expérience a eu un effet semblable à celui d’une chambre de décompression. Cela nous a permis d’entamer plus sereinement le deuil de Wendy. »

J’ai été touché par cette histoire chers lecteurs, car mon grand-père est aussi mort chez nous, à la maison. De même, son corps n’a pas été emporté immédiatement.

J’avais 8 ans mais j’en garde des souvenirs précis. En très peu temps, cet événement m’a permis de tisser des liens forts avec ce grand-père que je connaissais à peine.

J’ai connu quantité d’autres deuils depuis, mais plus aucun à la maison. Et je n’ai plus jamais ressenti la proximité que l’on a lorsque le mort est à la maison.

Si comme 90 % des gens, mon grand-père était né et mort à l’hôpital, je n’aurais pas de tels souvenirs de lui.

Bien à vous,

Eric Müller

Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L'éditeur n'est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L'éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s'interdit formellement d'entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.

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source https://www.pure-sante.info/lheure-de-mort/#comment
L’heure de la mort
Par Gabriel Combris/21 mai 2017


Le soir de la mort arrive. C’est ainsi, il faut s’y résoudre.

Notre corps le sait, il l’a compris, lui qui, si fatigué, ne demande plus rien depuis plusieurs jours.

Il attend de « partir ». Ou plutôt qu’on vienne le chercher.

Notre esprit, lui, est toujours là. Et il se demande ce qui va se passer ensuite : le ciel, ou le néant ? Et dans tout ça, est-ce qu’on se rend compte qu’il y a un ciel, est-ce qu’on se rend compte du néant ?

Est-ce qu’on a peur ?

Les minutes, dans ces instants-là, durent-elles vraiment le temps des minutes d’avant ?

Ou sont-elles comme de courtes successions de vies entières qui s’empilent… Avec des noms, des visages, peut-être des odeurs et des impressions. Des regrets, aussi ?

Ce sont les derniers instants de notre vie.

Est-ce qu’ils comptent plus que les autres ? Que la première fois où l’on s’est tenu debout ? Que le jour où l’on a goûté aux lèvres d’une jeune fille ? Que celui de son mariage, de la naissance de ses enfants ?

Impossible sans doute de répondre par avance à ces questions. Et pourtant, parfois, dans le noir de la nuit, elles viennent nous hanter.

Finir dans une chambre sans joie
Chacun vivra ses derniers instants à sa façon, en leur accordant l’importance qu’il souhaite. Ou qu’il peut.

Mais je pense qu’on peut affirmer une chose, de là où nous sommes : ces derniers moments ne doivent pas compter pour rien.

Ils doivent être vécus pleinement et non subis, comme c’est encore beaucoup trop souvent le cas.

Car il faut regarder la réalité en face : en France, aujourd’hui, 75 % de la population meurt à l’hôpital ! Loin de chez soi, loin de ceux qu’on aime, dans une chambre sans joie, sans tableau ni photo, sur un lit en plastique qui fait du bruit quand on bouge, sous un éclairage qui est soit trop fort, soit pas assez.

Les derniers jours de sa vie, on voudrait méditer, prier, rire, être entouré de ses proches.

Pas de chance, on est dérangé par les bruits du couloir, les bip-bip des appareils qui clignotent.

Quand on a faim, ce n’est pas l’heure de dîner.

Quand on n’a plus faim, on vous apporte un plateau qui ressemble à de la nourriture. Mais qui n’a le goût de rien. Et qui s’en soucie… Après tout à quoi bon, c’est fini, non ?

Une dernière faveur ? Pas question !
Si vous êtes un lecteur d’Alternatif Bien-Être, vous vous souvenez peut-être de l’histoire de Thérèse H. Cette vieille dame est morte au printemps 2003, dans une maison de soins du Pays basque.

Dans les dernières heures de sa vie, elle avait demandé timidement si elle pouvait avoir un dernier plaisir, un petit œuf à la coque. « Avec une pincée de sel et une mouillette, une bonne mouillette de pain frais ». Sans doute avait-elle même demandé « s’il vous plaît ».

Réponse du cuisinier : « mais vous n’y pensez pas ! ». Pas question de faire entrer dans l’établissement un œuf dans sa coquille, même de première fraîcheur.

Le règlement l’interdit, question de sécurité alimentaire ! L’œuf autorisé, l’œuf réglementaire, c’est un produit en Tetra Brick, un point c’est tout. Ceci pour préserver la santé des pensionnaires. Et c’est ainsi que Thérèse est morte, sans avoir son œuf à la coque.

Moins bien traité qu’un condamné à mort
Est-ce vraiment cela qu’on réserve à ceux qui attendent la mort ? L’ennui, le désarroi. La privation du dernier souhait qu’on accordait autrefois à un… condamné à mort !

Certains, heureusement, pensent différemment.

Au Centre Marc Jacquet de Melun, on diffuse des huiles essentielles (ravintsara, lavande, ylang-ylang) dans le simple but de faire ressentir un plaisir olfactif aux malades.

Au CHU de Clermont-Ferrand, on a ouvert un « bar à vin », au service de soins palliatifs. « On a le droit de se faire plaisir et de faire plaisir, même en fin de vie ! » explique le Dr Virginie Guastella, chef de service. Et l’hôpital précise que « l’accès aux grands crus est à l’étude ». Bravo !

Ailleurs, comme à la maison Jeanne Garnier, à Paris, des bénévoles accompagnent les mourants dans leurs derniers instants. Ils leur parlent, leur rendent des petits services, souvent se contentent d’une simple présence silencieuse.

L’une de ces bénévoles tient sur Internet un blog où elle raconte ces moments de vie « à la frontière de la mort, mais pleinement dans la vie »… (www.vivantsensemble.com).

L’intensité qui s’en dégage est proprement extraordinaire.

Moments de vérité, d’extase, de tristesse, de désespoir, moments ordinaires aussi. En découvrant les histoires de ceux qui arrivent à la toute fin, on se demande vraiment au nom de quoi on devrait leur rendre la vie plus triste, plus terne ? En leur refusant un œuf à la coque, par exemple…

Et si l’on faisait plutôt le contraire ?

En accompagnant la vie jusqu’au bout… Et même après.

Dormir avec un mort
Car pour finir cette lettre, je voudrais vous raconter l’étonnante histoire de Wendy et Russell Davison, un couple d’Irlandais.

Wendy était atteinte d’un cancer du col de l’utérus qu’elle a soigné du mieux qu’elle a pu pendant des années.

Avec l’aide et l’amour de son mari Russel, elle a pu longtemps déjouer les pronostics des médecins. On lui donnait six mois maximum, elle vivrait trois ans de plus, ferait le tour d’Europe en caravane, jusqu’à ce que la maladie soit vraiment trop forte.

Alors le couple est entré dans un étonnant processus d’acceptation, comme le raconte Russel :

« Malgré la douleur immense, Wendy ne s’est jamais apitoyée, jamais elle n’a crié à l’injustice. Chaque jour, chaque instant de vie, elle l’acceptait avec gratitude. [1] »
La mort était là, juste en face d’eux, mais ils n’ont pas détourné le regard.

« Avec Wendy, nous en parlions souvent, de la mort. Et j’étais déterminé à ce que ma femme meure ici, chez nous, à côté de moi, de nos enfants. Je voulais qu’elle meure bien. »
Pas dans un hôpital sinistre où à peine le patient décédé, sa chambre est lavée, balayée, évacuée, prête à accueillir le suivant.

« Wendy est morte le 21 avril dernier, en paix. Ensuite j’ai lavé son corps, je l’ai habillée et installée dans son cercueil. »
« Elle était là dans notre chambre, et j’ai dormi avec elle dans la même pièce pendant six jours. Nos amis sont venus la voir, lui parler, parler d’elle.

Sa mort a été un moment magnifique. »
Un moment « magnifique ». Aujourd’hui le mot choquerait presque.

Et pourtant, il n’y a pas si longtemps, la mort faisait partie de la vie : elle s’affichait dans de grandes processions, elle entrait dans les maisons où l’on montrait son deuil, où l’on célébrait la mémoire du défunt en sa présence. Le dimanche à la messe, on écoutait même le curé qui évoquait l’au-delà, et cela donnait une excellente raison de vivre vraiment jusqu’au dernier souffle.

Ma question est simple, à la fin : y avons-nous vraiment gagné, à faire comme si la mort n’existait pas ? À faire semblant de croire qu’elle n’avait pas la clé de chez nous ?

Santé !

Gabriel Combris

Source :
[1] Heartbroken husband slept next to dead wife for six nights as family gave 'beautiful and comforting' farewell

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MessageSujet: Re: Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses   Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses - Page 2 EmptyMar 23 Mai 2017 - 17:03

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source source https://www.pure-sante.info/
Chère lectrice, cher lecteur

Il arrive que la maladie, aussi grave soit-elle, disparaisse comme elle était venue.

Sans soin, sans traitement. Sans rien.


On avait déclaré un cancer « irrémédiable », une amputation « inévitable », une mort « inéluctable »…et pourtant, le patient va guérir, sans qu’on comprenne pourquoi, rentrer chez lui et vivre longtemps, parfaitement normalement.

Je vous invite à découvrir quelques-unes de ces guérisons spectaculaires dans la lettre ci-dessous.

Elle détaille des histoires vraiment extraordinaires.

Mais derrière le mystère immense qu’elles offrent à notre esprit, elles révèlent aussi des vérités très dérangeantes pour la médecine officielle.

Santé !

Gabriel Combris

**********************************************************

Pérégrin Laziosi, Saint-Patron des cancéreux
Chère lectrice, cher lecteur,

Nous sommes à Forli, petite ville du nord de l’Italie, au XIIIe siècle.


Un jeune prêtre, Pérégrin Laziosi, est atteint d’un mal qui lui ronge le tibia. Les médecins actuels diagnostiqueraient probablement un ostéosarcome, cancer des os mortel.

La tumeur est très développée et évolue en une plaie ouverte qui ne tarde pas à s’infecter, comme en témoigne la puanteur qui en émane. L’homme s’est résolu à l’amputation, qui semble être la seule option pour stopper la progression de sa maladie.

Lorsque le médecin arrive avec ses outils pour couper la jambe, il constate que le cancer a régressé.

Il décide donc de repousser l’opération. Mais la lésion continue à guérir et finit par disparaître d’elle-même.

Le prêtre Pérégrin Laziosi vivra jusqu’à l’âge de 80 ans sans connaître de récidive.

Canonisé en 1726, il est devenu le saint patron des malades du cancer.

Cette histoire est l’une des plus anciennes documentées d’un cas de régression spontanée d’un cancer.

De la superstition ?
Aujourd’hui, il existe un sanctuaire Saint-Pérégrin à Montréal, au Canada. Les personnes malades du cancer s’y rendent en pèlerinage. Les croyants ont une prière spécifique (la neuvaine à Saint Pérégrin [1]) qu’ils font neuf jours de suite « pour la guérison de personnes atteintes du cancer ».

Certains invoqueront la superstition.

Mais ce n’est pas si simple. Le cas de Pérégrin Laziosi n’est pas isolé. L’histoire de la médecine est jalonnée de récits de ce type.

A tel point que les revues médicales de référence publient chaque an­née plusieurs articles évoquant des guérisons de cancer, parfois à des stades très avancés où la maladie s’est disséminée dans l’organisme.

Comprenez-moi bien : il s’agit de guérisons de cancers en phase terminale, alors que tout es­poir était perdu, et ce sans aucun traitement spécifique telles la ra­diothérapie ou la chimiothérapie.

Un cancer du poumon qui s’envole
C’est ainsi par exemple que le Journal of Medical cases reports a rapporté en 2015 l’histoire d’un homme de 76 ans qui se présente à l’hôpital pour des difficultés respiratoires, installées de manière progressive depuis deux mois. [2]

Un scanner de son torse révèle une tumeur ovale dans le poumon droit de la taille d’une orange.

Le diagnostic tombe : l’homme, fumeur, est atteint d’un cancer du poumon à grandes cellules, caractérisé par une croissance rapide. Et le cancer a déjà commencé à se propager dans les ganglions alentour.

L’équipe médicale décide d’entreprendre un traitement de choc : chimiothérapie plus radiothérapie.

Mais le traitement ne commencera jamais : deux mois plus tard, lors d’un nouveau scanner, la tumeur s’est rétractée. La biopsie révèle que les cellules cancéreuses sont en train de mourir en masse !

L’examen de contrôle mené l’année suivante confirme sa disparition totale, et le retour à la normale des ganglions lymphatiques.

Sept ans plus tard, le patient était toujours en parfaite santé, sans la moindre rechute de son cancer.

Vaincre le cancer sans chimiothérapie
Les cas de rémission du cancer du poumon comme dé­crit ici sont rares.

Ils sont plus courants pour d’autres types de cancer, comme le mé­lanome malin (un cancer de la peau), l’adénocarcinome rénal, le lymphome non Hodgkinien, cer­tains cancers du sang et le neuroblastome chez les enfants (cancer du cerveau).

Mais il est bien plus fréquent dans le cas du cancer du sein : un cas sur cinq pourrait évo­luer vers la régression spontanée sans traitement, selon une étude de septembre 2015. [3]

Comment favoriser cette régression spontanée ? Existe-t-il des points communs entre les malades qui ont bénéficié de ces guérisons apparemment miraculeuses ?

De plus en plus, les chercheurs s’aperçoivent que la réponse est : OUI !!!

Cancer : la guérison par les « infections »
Des chercheurs ont identifié un point commun entre les guérisons spontanées du cancer : dans tous les cas, il semble que les malades aient connu une infection importante après avoir déclaré leur cancer.

L’explication est la suivante : la maladie infectieuse déclenche une réaction immunitaire qui stimule nos défenses naturelles. Celles-ci se renforcent et deviennent capable de détruire les cellules cancéreuses.

C’est la logique appliquée avec les traitements les plus innovants contre le cancer, l’immunothérapie.

Mais aujourd’hui, les vaccinations en masse et les antibiotiques « systématiques » ont fortement réduit l’incidence des maladies infectieuses.

Nous en voyons les bienfaits évidents, qui sont la raréfaction des cas de nombreuses maladies qui furent des fléaux pour l’humanité (variole, polio, rage, typhus, peste…).

Toutefois, il se pourrait que cette « victoire » contre les maladies infectieuses prive également notre système immunitaire du « coup de fouet » salutaire qui lui permettait, autrefois, de se débarrasser par la même occasion d’autres corps pathogènes (sources de maladie) comme les micro-tumeurs cancéreuses.

Ce serait une explication de la multiplication des cancers, mais ceci ouvre aussi pour les malades un nouvel espoir de guérison.

Contracter une infection mineure pourrait être la clé pour guérir certains cancers sans chimio ni radiothérapie.

C’est d’ailleurs ce dont s’était aperçu, il y a plus d’un siècle, le médecin américain William Coley. Il avait observé que le cancer avait disparu chez des patients ayant contracté la tuberculose. Il avait développé un traitement efficace contre le cancer, qui vient d’être redécouvert, et vous pourriez bénéficier de ces traitements.

Et ce n’est pas tout. Il existe une autre grande alliée contre le cancer : la fièvre.

La fièvre, notre grande alliée délaissée dans la lutte contre le cancer
Exactement de la même façon que les maladies infectieuses, la fièvre est un mécanisme de défense qui permet de nous débarrasser de germes infectieux mais aussi de détruire les cellules cancéreuses.

Cette méthode, appelée hyperthermie, ou thermothérapie, est pratiquée dans de nombreux hôpitaux aujourd’hui, pour le traitement du cancer.

Des études ont été menées pour comparer l’efficacité de traitements classiques seuls ou associés à cette méthode.

L’une d’elles a été menée chez 83 patients souffrant d’un cancer de la vessie, présentant un risque moyen ou élevé de récidive. [4]

41 d’entre eux ont suivi un traitement par chimiothérapie, tandis que les 42 autres participants ont bénéficié d’une thermochimiothérapie qui couple les deux approches. La phase d’attaque a duré 8 semaines, complétée par une phase d’entretien de 4 mois. Le taux de récidive a été pratiquement divisé par trois dans le groupe ayant pratiqué la thermochimiothérapie, soit 17 % contre 50 % dans le groupe chimiothérapie uniquement.

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis

sources
[1] Prière à Saint Pérégrin Laziosi pour la guérison de personnes atteintes du cancer
[2] Lopez-Pastorini A. et al. Spontaneous regression of non-small cell lung cancer after biopsy of a mediastinal lymph node metastasis: a case report. J Med Case Rep. 2015 Sep 17;9:217.

[3] Zahl PH et al.. The natural history of invasive breast cancers detected by screening mammography. (2302-03).Arch Intern Med. 2008;168:2311–16.

[4] Colombo R et al. Multicentric study comparing intravesical chemotherapy alone and with local microwave hyperthermia for prophylaxis of recurrence of superficial transitional cell carcinoma. J Clin Oncol. 2003 Dec 1; 21(23):4270-6.

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source https://www.pure-sante.info/lheure-de-mort/
ven. 26 mai 2017

Merci !

Chère lectrice, cher lecteur,

Vous avez été nombreux à réagir à ma lettre « L’heure de la mort » qui abordait le sujet délicat des derniers instants de la vie.

D’abord : un grand merci ! Merci d’avoir accepté de partager vos témoignages, souvent très personnels, avec la communauté des lecteurs de PureSanté.

Cela montre à quel point ce sujet « tabou » de la mort doit revenir au cœur de notre espace public.

Et tant pis si ce n’est pas compatible avec les impératifs de notre société de consommation, qui juge la mort avec les mots du marketing : pas assez « aspirationnelle », pas assez « inspirante » ; pour vendre, mieux vaut parler d’autre chose…

Alors que 75 % des Français meurent aujourd’hui à l’hôpital, loin de chez eux, des lieux et des personnes qu’ils ont aimés, vos commentaires disent toute la tristesse que nous ressentons à cette mort aseptisée, évacuée en catimini, cette mort honteuse et cachée.

Je vous propose de découvrir les très nombreux témoignages touchants, bouleversants, drôles ou tristes que vous avez laissés sur notre site : www.pure-sante.info/lheure-de-mort/

Quant à moi, je voudrais ici ne publier qu’une histoire, celle de Sylviane, parce qu’elle nous montre quelque chose d’essentiel. La voici :
« L’histoire de l’œuf à la coque m’a rappelé une histoire que j’ai vécue. »

« J’étais alors cadre de santé dans un EHPAD. Une vieille dame demande un œuf à la coque, et même réponse que le cuisinier de votre histoire et de la diététicienne. Les agents me racontent cela et je leur dis “dites lui que demain elle aura ce qu’elle demande”. Le lendemain j’ai apporté un œuf et je l’ai fait cuire et les agents lui ont apporté… Elle était si heureuse ! …Pas la diététicienne mais cela ne faisait rien, pour moi les derniers jours, les dernières heures ne doivent être que du plaisir, accompagner une personne mourante est très difficile, éprouvant mais cela apporte un bien-être et c’est le principal. Il faut savoir passer outre les règlements parfois ! »

« Sous prétexte que le monsieur est cardiaque et qu’il est au régime sans sel, il voit passer les assiettes avec des moules… Il salive, il en a envie mais il essuie un “non, pas pour vous !”. Quand je vois cela je lui apporte une assiette de moules en lui disant “aujourd’hui vous n’aurez pas votre sachet de sel cela ferait de trop, régalez vous”. Il fallait voir la joie dans ses yeux ! Pourquoi refuser des petits plaisirs parce qu’on est vieux ! »

« Je suis à la retraite maintenant mais je ne regrette pas avoir si souvent dérogé au règlement pour le plaisir des pensionnaires, je leur ai apporté un peu de joie dans leur fin de vie et c’est tout ce qui compte ! »

Ce que nous dit Sylviane, c’est que rien n’est jamais figé.

Nous avons tous le pouvoir de changer les choses.

Ce pouvoir est dans nos mains, et nous l’activons lorsqu’au lieu de suivre un règlement idiot, lorsqu’au lieu de penser « utile », « réaliste » ou « pragmatique », nous agissons pour ce qui est beau, grand et juste.

Et parfois, cela prend la forme toute bête d’un œuf à la coque, un œuf interdit qu’on prépare à quelqu’un qui en rêve.

Santé !

Gabriel Combris

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MessageSujet: Re: Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses   Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses - Page 2 EmptyDim 4 Juin 2017 - 22:43

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source https://www.neo-nutrition.net/le-vocabulaire-qui-vous-permet-dobtenir-les-meilleurs-complements-alimentaires/#comment
Le vocabulaire qui vous permet d’obtenir les meilleurs compléments alimentaires
Par Eric Müller/17 février 2016


Les étiquettes des compléments alimentaires ne sont pas faciles à déchiffrer.

Cela complique les comparaisons entre produits.

J’aimerais vous présenter ici les notions essentielles qui vous garantiront que vous obtiendrez toujours les meilleurs compléments alimentaires.

Substance active et principe actif
Substance active et principe actif sont des synonymes :

Cela désigne le micro-élément identifié comme actif par les chercheurs.

Par exemple, le thé vert est composé de nombreux micro-éléments mais, à ce jour, sa principale substance active reconnue est l’EGCG (épigallocathéchine gallate).

Titrage
Le titrage indique que le fabricant contrôle la proportion de substances actives dans son produit.

Ainsi, un thé vert titré à 15 % d’EGCG signifie que dans 100 g de thé il y aura 15 g de substance active EGCG.

Pour le consommateur, c’est une garantie appréciable.

Si le titrage n’est pas indiqué, vous n’avez aucune certitude sur la présence réelle de principe actif dans votre complément.

Est-ce dangereux si un ingrédient dépasse les ANC ?
Les substances actives comme les vitamines ou les minéraux sont présentées en pourcentage des apports nutritionnels conseillés (ANC).

On observe souvent des ingrédients qui dépassent les 100 % des ANC, parfois 150 %, parfois 300 %.

Est-ce dangereux ?
Cela dépend beaucoup du nutriment en question et de l’état du sujet.

Pour la vitamine D, les autorités françaises conseillent 5 µg [1] et 100 µg pour l’apport maximal toléré [2], c’est-à-dire 2000 % des ANC, soit 20 fois plus.

Mais l’Académie de médecine conseille 50 µg ; et les chercheurs américains ont observé que 100 µg par jour à long terme ne provoquent pas d’effets indésirables [3].

Toutefois, si vous n’avez pas de carences avérées en fer et en cuivre, veillez à ne pas dépasser leurs ANC car ils deviennent oxydants, et donc nuisibles pour la santé.

Totum ou extrait ?
Totum vient du latin « tout ». Cela veut dire que le fabricant a réduit la plante tout entière en poudre avant de l’encapsuler.
L’avantage du totum est qu’il permet de ne pas laisser pour compte d’éventuelles substances actives qui n’auraient pas été encore identifiées par les scientifiques.

Le contraire du « totum » est l’extrait.
Pour réaliser un extrait, il faut broyer la plante puis utiliser un solvant (eau, alcool, ou un mélange des deux appelé « solution hydro-alcoolique ») pour isoler les actifs.Le liquide est ensuite filtré pour éliminer les résidus de plante.Puis on fait évaporer le solvant. L’idéal est de réaliser une évaporation sous vide parce qu’elle permet de ne pas trop chauffer les substances actives qui se détériorent à la chaleur [1].
L’avantage de l’extrait est que les substances actives peuvent être concentrées et titrées avec précision.

Forme galénique
La forme galénique désigne la forme du médicament : gélule, comprimé, granulé, cachet, suppositoire, poudre, crème, gel, pommade, lotion, mousse, sirop, gouttes, infusion ou inhalateur [2].

Biodisponibilité
La biodisponibilité mesure la capacité de votre corps à absorber un produit.

Une substance faiblement biodisponible n’aura pas beaucoup d’effet :

Soit parce qu’elle sera décomposée et anéantie par vos enzymes de digestion
Soit parce que votre corps n’est pas équipé pour la décomposer ou l’absorber, et qu’elle terminera dans les toilettes (comme si vous aviez mangé un caillou).

« Excipients », aussi appelés « agents de charge »
Les excipients sont des ingrédients inactifs qui facilitent la prise du complément, sa fabrication ou sa conservation.

Par exemple, ils vont lui donner de la consistance, du poids (de la charge), de la couleur, et du goût (souvent sucré). Ce sont en quelque sorte des « additifs alimentaires ».

Idéalement, les excipients devraient être sélectionnés pour éviter toute interaction avec les substances actives. Ils ne devraient pas être nocifs pour le corps (exemple : le sucre).

Dans la pratique, il n’est pas facile de s’y retrouver entre les excipients acceptables et ceux à éviter.

Liste non exhaustive des excipients couramment utilisés dans les compléments
1. Stéarate de magnésium et acide stéarique
Le stéarate de magnésium est le plus débattu des excipients utilisés actuellement. Les deux camps sont férocement opposés.

L’acide stéarique et le stéarate de magnésium sont des anti-agglomérants naturels utilisés pour lubrifier les ingrédients pendant le processus de fabrication. Grâce à eux, les ingrédients ne restent pas collés aux machines et autres équipements de fabrication. Cela réduit les pertes et le gaspillage de matières premières. Le stéarate de magnésium permet donc de réduire les coûts de fabrication pour pouvoir offrir les compléments à des prix raisonnables.

Aux yeux des agences sanitaires, le stéarate de magnésium est sans danger. Cela explique qu’on le retrouve dans la majorité des compléments (90 %) [4].

La méfiance vis-à-vis du stéarate de magnésium est apparue après la publication d’une étude dans Immunology en 1990 [5]. Les chercheurs ont observé que les souris trempées dans l’acide stéarique (substance proche du stéarate de magnésium) subissent une désactivation de leurs cellules T – ce sont des cellules tueuses essentielles au système immunitaire.

Une autre étude a montré que les rats à qui l’on administrait du stéarate de magnésium à 2,5 g par kg de poids subissaient des effets indésirables : petite perte de poids, augmentation du taux de fer.

Pour la majorité des experts, ces études ne permettent pas de conclure que le stéarate de magnésium est un excipient dangereux [6] :

Parce que l’étude a été menée sur des rongeurs
Parce que l’acide stéarique est un acide gras courant dans la nature. On le retrouve par exemple dans le cacao, la noix de coco, la viande, le poisson, les céréales et les produits laitiers.
Parce qu’une barre de chocolat vous apporte environ 5 g d’acide stéarique [7]. En moyenne, notre alimentation nous apporte entre 5 et 9 g d’acide stéarique par jour (c’est énormément plus que ce qu’on peut avaler avec des compléments alimentaires).
Parce que l’acide stéarique et le stéarate de magnésium ont été utilisés à des doses sans rapport avec celles des compléments : 5 g/kg de poids, c’est 350 g pour un adulte de 70 kg. Dans les compléments alimentaires, il y a quelques grammes de stéarate de magnésium tout au plus. Une gélule contient environ 0,01 à 0,02 g d’acide stéarique.

2. Gélatine pour les gélules
La gélatine est réalisée avec du collagène extrait des os et tissus d’animaux – bœuf, porc ou poisson. Elle est utilisée pour fabriquer les gélules molles (softgels).

Pour les végétariens, il existe néanmoins des gélules de « gélatine végétale ».

3. Lanoline
La lanoline est proche de la cire ou de la vaseline (à base de pétrole). Mais la lanoline, elle, est extraite de la laine de mouton. Les laboratoires l’utilisent comme diluant pour les crèmes et les lotions.

Cependant, la lanoline n’est pas tout à fait un excipient puisqu’elle permet aussi de fabriquer de la vitamine D3.

4. Maltodextrine
La maltodextrine est un sucre réalisé par hydrolyse du blé, du maïs ou de pommes de terre. Il est donc naturel, mais fortement raffiné.

Il est couramment utilisé comme agent de charge – pour donner de la consistance, assurer une bonne solubilité dans le corps et maitriser le goût.

Son goût sucré n’est pas très prononcé. C’est un excellent support pour amplifier des goûts artificiels. On le retrouve beaucoup dans la nourriture transformée (fruits en conserve, sauces, snacks, boissons énergétiques) [8].

La maltodextrine est reconnue sans danger par les agences sanitaires. Mais elle accroît tout de même vos apports en glucides et sucres. Et si vous en mangez beaucoup, vous augmentez fortement vos risques de diabète, de surpoids et de maladies cardiaques.

Heureusement, la maltodextrine est utilisée en très petites quantités dans les compléments alimentaires. Il faudrait avaler au moins 1000 gélules de complément alimentaire par jour pour que l’apport en maltodextrine devienne inquiétant.

5. Sorbate de potassium
Le sorbate de potassium est un agent conservateur artificiel.

Il accroît donc la durée de vie des compléments alimentaires en empêchant la prolifération de micro-organismes indésirables.

Les personnes qui y sont sensibles et celles qui en ingèrent trop peuvent avoir la nausée ou faire une indigestion. Mieux vaut l’éviter.

6. Gomme arabique ou gomme d’acacia
La gomme d’acacia est en fait de la sève d’acacia solidifiée. Elle sort elle-même de l’arbre ou alors en pratiquant une incision.

Il s’agit d’un épaississant naturel fréquemment utilisé par les laboratoires. Il sert aussi à faire des loukoums.

Le liste EurekaSanté a réalisé une liste des excipients aux effets indésirables reconnus. Je vous invite à la consulter ici.http://eurekasante.vidal.fr/medicaments/prendre-traitement/excipients-effet-notoire.html


Bien à vous,

Eric Müller

Sources :
[1] Anses - Agence nationale de sécurité sanitaire - Vitamine D
https://www.anses.fr/fr/content/vitamine-d

[2] Révision de l’apport maximal en vitamine D et en calcium http://www.efsa.europa.eu/fr/press/news/120727a

[3] Salle B., Duhamel JF. Statut vitaminique, rôle extra-osseux et besoins quotidiens en vitamine D : rapport, conclusions et recommandations, Académie nationale de médecine, 29 mai 2012.

[4] The ‘Other Ingredients’ – What You Need to Know About Excipients in Supplements
http://blog.naturalhealthyconcepts.com/2014/07/01/excipients-in-supplements/

[5] Molecular basis for the immunosuppressive action of stearic acid on T cells https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1384169/pdf/immunology00130-0101.pdf

[6] Harmful or Harmless: Magnesium Stearate
https://chriskresser.com/harmful-or-harmless-magnesium-stearate/

[7] The ‘Other Ingredients’ – What You Need to Know About Excipients in Supplements
http://blog.naturalhealthyconcepts.com/2014/07/01/excipients-in-supplements/

[8] Is Maltodextrin Bad for Me?
http://www.healthline.com/health/food-nutrition/is-maltodextrin-bad-for-me#3

Découvrez en plus ici  et commentaires
https://www.neo-nutrition.net/le-vocabulaire-qui-vous-permet-dobtenir-les-meilleurs-complements-alimentaires/#4XPYVG0RuCYLge2Z.99

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MessageSujet: Re: Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses   Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses - Page 2 EmptyLun 12 Juin 2017 - 22:54

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source https://www.neo-nutrition.net/dragees-mms-la-couleur-a-ne-jamais-manger-2/#comment
Dragées M&M’s : la couleur à ne jamais manger
Par Eric Müller/28 avril 2016


Le concept du M&M’s était pourtant simple :
Une cacahuète trempée dans du chocolat puis enrobée de sucre, façon dragée, ce qui évite qu’elle ne fonde entre les doigts (« Fond dans la bouche, pas dans la main »).

Ce n’est certes pas diététique, mais ça remontait le moral des soldats américains pendant la Seconde Guerre mondiale.

Aujourd’hui, M&M’s c’est 400 millions de bonbons produits par jour [1], un rouleau compresseur marketing (avec ces mascottes créées en 1973) et des mégastores de plusieurs étages à New York, Las Vegas, Orlando, Londres et Shanghai :

Ce qui fait le succès de M&M’s, c’est bien sûr d’avoir centré son marketing sur la couleur des bonbons.

Colorants artificiels
En soi, utiliser des colorants n’a rien de scandaleux. Dans la Rome antique, les sages disaient déjà : « Nous mangeons autant avec nos yeux qu’avec notre palais ». Cela fait partie des plaisirs de la vie de voir un curry jaune, une purée de carottes, un panier de myrtilles bleues, un coulis de framboises…

Mais pour obtenir un spectre plus vaste de couleurs psychédéliques, M&M’s a tout misé sur les colorants artificiels.

Depuis 1976, les associations de consommateurs alertent l’opinion, lancent des pétitions et tentent de faire pression sur le fabricant, Mars Inc., pour passer à des colorants naturels.

Ces dernières années, les choses bougent… mais cela dépend des pays. M&M’s n’utilise pas les mêmes ingrédients partout.

Aux Etats-Unis, les colorants restent très nocifs. En France, M&M’s a un peu adapté ses colorants.

Passons donc à la loupe tous ces colorants M&M’s

Rouge : déjà interdit dans les années 1970
Déjà en 1976, M&M’s avait retiré le rouge suite à une interdiction.

Et pour cause… Le colorant pétrochimique rouge amarante E123 est classé comme « probablement ou certainement » cancérogène par l’ARTAC (Association pour la recherche thérapeutique anticancéreuse) [2].

Mais M&M’s réintroduisit le rouge en 1986 en utilisant un autre colorant artificiel, le E129 rouge allura AC.

Or, ce colorant E129 n’est pas anodin. Chez les souris, il est lié au cancer de la vessie [3]. Il favoriserait aussi l’hyperactivité chez les enfants prédisposés [4].

En France, le M&M’s rouge est obtenu avec le colorant naturel E120 acide carminique, aussi connu sous le nom de « carmin cochenille » [5]. Les cochenilles sont des petits insectes rouges découverts dans des cactus au Mexique. Leur couleur rouge les protège des prédateurs [6].

Les cochenilles sont donc exploitées pour faire du colorant E120 que l’on retrouve partout dans les préparations industrielles : dans les knackis [7], les merguez, le tarama, les bonbons fraises Tagada, la boisson Oasis, les poires au vin, la croûte de fromage à raclette, et les « Diots du Jura cuisinés au vin du Jura » (personne n’est épargné), etc.

La France est le plus gros consommateur au monde de colorant E120 carmin cochenille. Certaines personnes développent des fortes réactions allergiques au E120, comme de l’asthme et des boutons sur la peau [8].

Bleu : le pire de tous
Pour le bleu, il y a deux colorants artificiels mélangés :

E132 indigotine et E133 bleu brillant FCF.

E132 indigotine est un colorant à base de pétrole. Il facilite les développements anormaux de cellules, notamment les tumeurs cérébrales chez les rats.

C’est aussi un facteur d’hyperactivité chez les enfants.

L’ingestion de E133 bleu brillant FCF produit des tumeurs malignes chez les rats. Il faut être prudent avec ce colorant si vous êtes sensible à l’aspirine.

E133 a montré qu’il provoquait des réactions allergiques, et comme les autres colorants, E133 est soupçonné de causer l’hyperactivité chez les enfants prédisposés [9].

En France, on n’utilise qu’un seul colorant bleu, le E133 bleu brillant FCF5. Ça reste donc très nocif pour la santé !

C’est à mon avis la couleur à éviter à tout prix.

Jaune : la solution était pourtant simple.
Le colorant utilisé pour le M&M’s jaune est E110 jaune orangé. C’est, à mon avis, le pire de tous.

E110 est associé à :
Cancer (tumeurs sur les reins)
Hyperactivité
Dégâts sur les chromosomes
Diarrhée
Nausées et vomissements
Douleurs abdominales
Réactions allergiques
Rhinite (nez qui coule)
Urticaire (plaques sur la peau qui démangent)
Migraines
Gonflements de la peau
Il est déconseillé d’en donner aux enfants [10].

E110 est interdit en Norvège et en Finlande.

Heureusement, en France le colorant E110 été remplacé par E100, c’est-à-dire de la curcumine (tout simplement !).

Quelles couleurs reste-t-il ?
Dans un paquet de M&M’s classique, on trouve encore des dragées vertes, marron et orange.

Pourtant la liste classique des ingrédients n’indique pas d’autres couleurs.

Le Dr Frank Walmsley de la Trinity University du Texas faisait remarquer (je traduis) : « Comment peut-il y avoir un M&M’s vert s’il n’y a pas de colorant vert dans les ingrédients ? »

Si vous vous souvenez de vos cours de physique (et de dessin), les trois couleurs primaires sont rouge (magenta), bleu (cyan) et jaune (en synthèse soustractive).

En les mélangeant, vous pouvez obtenir toutes les couleurs du spectre.

Vert = bleu + jaune

Orange = rouge + jaune

Marron = bleu + jaune + beaucoup de rouge

Donc toutes les autres couleurs de M&M’s sont des cocktails de colorants synthétiques nocifs. À éviter.

En France, il semble tout de même que pour rendre les M&M’s moins dangereux, la couleur orange s’obtienne maintenant en utilisant du bêtacarotène (E160a) et de l’apocaroténal 8’ (E160e)5, des colorants naturels orange proches de la carotte.

Mais de même que les M&M’s contiennent de l’huile de palme, le bêtacarotène utilisé proviendrait du même palmier à huile dont les fruits mûrs sont orange. C’est donc un colorant sans danger si l’on ne réfléchit pas aux dangers environnementaux de l’exploitation des palmiers à huile.

Source : wrm.org.uy
L’apocaroténal 8’ provient probablement de l’épinard [11].

L’ingrédient fatal des M&M’s français
Pour mieux fixer la couleur extérieure, l’enrobage blanc sucré des M&M’s français contient également un colorant blanc, le dioxyde de titane E171.

Depuis longtemps, on sait que le E171 est probablement cancérogène pour l’homme.

Mais ces dernières années, on est passé à du dioxyde de titane en nanoparticules invisibles à l’œil nu – une vraie cochonnerie. On n’en retrouve pas seulement dans les M&M’s. Il y a aussi les chewing-gums, le hachis Parmentier, les dentifrices et les crèmes solaires.

Ces nanoparticules minuscules déjouent tous les filtres et barrières de notre corps : les poumons, le foie, la peau… Elles se propagent partout, y compris dans votre cerveau [12].

Les nanoparticules peuvent casser l’hélice de votre ADN [13], contribuant à la mort de vos cellules et provoquant des inflammations des poumons, de la bouche et des intestins [14].

D’après certaines études, appliquer une crème solaire au dioxyde de titane sur un coup de soleil accélère le vieillissement de la peau et favorise l’apparition d’un cancer de la peau.

Malgré tout, les autorités sanitaires estiment que les nanoparticules de dioxyde de titane sont sans danger.

Pour vous donner une idée, beaucoup s’amusent à récupérer le dioxyde de titane des M&M’s [15] pour fabriquer… des panneaux solaires [16] !

C’est très sérieux…

…et ça n’augure rien de bon, si vous me demandez mon avis.
Le danger est-il réel ?
La quantité de colorant dans chaque dragée M&M’s reste assez faible.

Pour chaque colorant, la dose journalière maximale conseillée est de l’ordre de 5 mg par kilo, soit 350 mg pour un adulte de 70 kilos.

Le problème est que les colorants sont absolument partout, et surtout là où on ne s’y attend pas : le pain, le poisson fumé, la charcuterie, les cornichons, les croûtes de fromage, les fruits en sirop.

Donc, les doses se cumulent. Et il faut admettre que les scientifiques sont dépassés par la complexité des effets « cocktail ».

Voilà pourquoi il vaut mieux éviter les additifs par précaution.

C’est toujours la même histoire
Des dangers alimentaires et sanitaires, comme le dioxyde de titane, les scientifiques en découvrent tous les jours.

Il se passe de nombreuses années avant que le grand public en soit informé. D’habitude, il faut qu’une personne connue s’empare du sujet pour que les grands médias relaient enfin l’information.

Ce système nous fait perdre des années précieuses.

Pour y remédier, nous éditons une revue qui vous informe des scandales à venir dès que les premières recherches paraissent.

Bien à vous,

Eric Müller

P.S. : Il est urgent d'apprendre à lire !
Colorants E150a, E150c, E150d, E153, E160e, dextrine, agents d'enrobage, émulsifiants (lécithine de soja, E445), amidon de maïs, arômes...

Tout ça c'est du chinois !!!
Les listes d'ingrédients sont in-com-pré-hen-sibles (même pour ceux qui sont allés aux études).  

Dans ces conditions, comment les consommateurs peuvent-ils prendre des décisions informées ?

C'est intolérable

La rédaction du mensuel Alternatif Bien-Être a créé La Liste des additifs toxiques à toujours avoir sur soi :
Ce tableau est issu du guide de survie au supermarché publié dans Alternatif Bien-Être. Ce guide contient des tas de conseils pour sortir vivant du supermarché. Nous vous envoyons ce numéro gratuitement si vous vous abonnez à l'essai aujourd'hui à Alternatif Bien-Être.  

Sources :
[1] How many "M&M's"® are consumed and produced each day?

[2] Additifs alimentaires, E123
http://www.additifs-alimentaires.net/E123.php

[3] E129
http://www.ivyroses.com/Define/E129

[4] E129: Allura Red

[5] M&Ms Peanut - Mars Chocolat France - 330 g

[6] Il y a un bug dans vos blinis au tarama.
http://www.acheterbio.net/2014/04/il-y-bug-vos-blinis-au-tarama/

[7] E120 - Acide carminique
https://fr.openfoodfacts.org/additif/e120-acide-carminique

[8] A.I. Tabar et al., Asthma and allergy due to carmine dye; PMID 13679965; An Sist Sanit Navar. 2003;26 Suppl 2:65–73.

[9] Additifs alimentaires, E133
http://www.additifs-alimentaires.net/E133.php

[10] E110, Sunset Yellow, FCF Orange Yellow S, FD&C Yellow 6

[11] Wikipedia, Apocaroténal

[12] Amélie Padioleau, E171 : ce poison ne se cache pas que dans les bonbons…, Alternatif Bien-Être, N°109, octobre 2015, SNI Editions.

[13] Schiestl R.H., Trouiller B., Reliene R., Westbrook A., Solai- mani P., Titanium Dioxide Nanoparticles Induce DNA Damage and Genetic Instability In vivo in Mice, Cancer Res November 15, 2009 69:8784-8789; Published OnlineFirst November 3, 2009.

[14] Hussain, Salik, et al. «Research Carbon black and tita- nium dioxide nanoparticles elicit distinct apoptotic pathways in bronchial epithelial cells.» (2010).

[15] How do you get the Titanium Dioxide Out of M and M's?

[16] Vidéo : Make a Solar Cell - TiO2/Raspberry based

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MessageSujet: Re: Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses   Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses - Page 2 EmptyJeu 22 Juin 2017 - 19:40

source http://www.reponsesbio.com/2017/06/18/nouvelle-loi-visant-a-denaturer-label-bio/
Une nouvelle loi visant à dénaturer le label bio
18 juin 2017


Depuis 2007 une quantité non négligeable de molluscicides, pesticides et fongicides est autorisée dans le label bio.

Depuis 2010 la présence réglementée d’une petite quantité de pesticides et d’O.G.M. non autorisés en bio est tout de même tolérée, dans la mesure où elle est liée à des pollutions limitrophes.

Aujourd’hui un nouveau projet de loi européen qui sera voté en hâte d’ici le 30 juin 2017 par la présidente maltaise sortante du conseil de l’Europe, propose des réformes risquant de dénaturer encore davantage la certification bio.

Quels sont les enjeux ? Peut-on encore se fier au cahier des charges de la bio ? A qui cela profite-t-il vraiment ?


Non conscients de l’appropriation progressive du label bio par l’industrie agroalimentaire, beaucoup de consommateurs croient encore que manger bio les met totalement à l’abri des pesticides, additifs alimentaires et O.G.M.

Et, bien qu’il soit indéniable que cette certification offrait une barrière considérable face aux innombrables pollutions contaminant végétaux, préparations alimentaires et produits de santé, ce n’est malheureusement plus le cas depuis des années.

Voici par un exemple un document officiel recensant une douzaine d’intrants donnant lieu à des dizaines de marques autorisées par le label bio en tant que pesticides, fongicides et molluscicides, sous couvert d’être « d’origine naturelle ».http://www.reponsesbio.com/wp-content/uploads/2017/06/guide_intrants_1015.pdf

D’origine naturelle peut-être, mais évidemment pas sans danger pour la santé.

A cela vient s’ajouter la présence non volontaire de pesticides et d’O.G.M. susceptibles de se disséminer depuis un champ voisin vers des cultures bio.

Et si cette proportion n’est permise que dans la limite d’un seuil de 0,9%, cela n’en demeure pas moins un problème ayant déjà fait couler beaucoup d’encre et amenant certains, dont la rédaction de Réponses Bio, à considérer que l’éthique du label bio est en voie de disparition.

La preuve en est que de nouvelles mesures vont être votées en toute hâte par l’U.E. afin de réviser arbitrairement le cahier des charges de la bio, à l’avantage de l’économie européenne et au détriment des consommateurs.

Certes, il est difficile et contraignant de cultiver un champ bio à l’écart de parcelles non bio et d’échapper ainsi aux produits chimiques conçus pour se répandre (lire mon article sur Monsanto-Bayer)
http://www.reponsesbio.com/2017/02/26/bayer-achete-monsanto-nature-tremble/
à travers les nappes phréatiques et l’atmosphère, cependant cela n’a rien d’impossible.

Le seul problème étant que cette contrainte peut nuire à l’économie de la bio dont, selon l’Agence Bio, la valeur des achats en France pour les seuls produits alimentaires est estimée à plus de sept milliards d’euros en 2016… évidemment perçue par les gouvernements de l’U.E. comme un véritable manque à gagner.

On comprend donc mieux pourquoi commencer à y tolérer pesticides, O.G.M. et additifs alimentaires est à leurs yeux devenu indispensable pour l’essor économique de ce secteur.

Additifs alimentaires ?
Oui, bien que les additifs alimentaires ne fassent, quant à eux, pas partie des pollutions involontaires que rencontrent les agriculteurs bio, 48 additifs dont voici la liste http://www.additifs-alimentaires.net/additifs.php?v_tri=code&v_type=%25&v_bio=1
sont bien admis en bio, et la moitié d’entre eux sont considérés à raison comme très toxiques, toxiques ou douteux.

Un projet de loi abattant les derniers remparts de la bio
Ces trois dernières années, de nombreux échanges parlementaires entre les instances décisionnaires de la commission européenne ont eu lieu afin d’harmoniser les seuils de contamination autorisés dans le label bio européen.

Seuils qui ont encore été bousculés à la dernière minute par la mise sur le tapis de nouveaux compromis proposés par la présidente maltaise de l’U.E., souhaitant en profiter pour clore ce dossier avant la fin de son mandat, à savoir le 30 juin.

Visant essentiellement à élargir les critères d’acceptation des produits non bio, ce projet de loi suggère :
→ D’accepter la culture bio hors sol pour les trois pays scandinaves et les trois pays baltes de l’Union ne pouvant pas profiter du label à cause des conditions climatiques.

 → De laisser chaque Etat de l’Union fixer un seuil de contamination lui semblant acceptable, créant ainsi une disparité qui mènera vraisemblablement à de nombreuses autres incohérences avant que ces derniers soient harmonisés dans le label bio européen.

 → D’élargir le contrôle annuel des denrées bio à deux ou trois ans, signifiant une plus grande facilité de fraude pour des récoltes et produits ne répondant pas à ces critères, déjà largement revus à la baisse.

Ces trois points impliquant également que la certification bio ne soit plus liée à une expertise sur les exploitations accréditées par la bio, mais à de simples analyses, qui comme tout le monde le sait sont plus faciles à falsifier et risqueraient de généraliser des cultures hors sol ou en serre.

Le projet de loi de l’actuelle présidente de l’U.E., décidément tournée vers les bénéfices supplémentaires que pourrait générer cette filière, n’est évidemment pas pour déplaire à de nombreux lobbies agroalimentaires et enseignes d’hypermarchés tirant toujours un peu plus le cahier des charges de la bio vers le bas.

Pour tenter d’y voir plus clair, Réponses Bio a interviewé Bastien Fitoussi, responsable des Filières Biologiques Coop de France Agroalimentaire, porte-parole du signal d’alarme envoyé à la presse par une demi-douzaine d’organismes défendant l’agriculture bio française dont notamment Synabio, la FNAB, CEBIO, Agriculture et Territoires et Synadis Bio.

Ces derniers demandent au Ministre de les recevoir afin de défendre leur point de vue, exprimant un refus catégorique de revoir le cahier des charges en ces termes, qu’il considèrent comme un coup fatal à l’éthique qu’ils défendent.

Selon Monsieur Fitoussi, il y aurait actuellement seulement 10 représentants du conseil européen qui seraient en défaveur de ce nouveau projet de loi contre 16, qui se prononceraient pour.

Il insiste d’ailleurs sur le fait que les organisations françaises sont unies pour une agriculture biologique refusant ce genre de compromis.

Malheureusement, le Ministre venant de prendre ses fonctions suite aux élections présidentielles, n’aurait « pas eu le temps » d’ouvrir ce dossier, ce qui implique sans doute que cette loi déclassant la bio au rang de label sans éthique, sera bel et bien votée d’ici la fin du mois.

Prudence et discernement  
Si le label bio ne tient plus ses promesses, une fois de plus, il n’est certes pas question de tout écarter en masse, mais de redoubler de prudence avec les produits bio dont l’éthique est finalement entre les mains des cultivateurs et des entreprises proposant de nouvelles préparations.

Etre attentif à l’origine, aux traitements ou plutôt à l’absence de traitement, et rester extrêmement prudent vis à vis des additifs nocifs susceptibles d’être utilisés.

Un produit non labellisé acheté chez un producteur local pouvant parfois être plus que bio, et un produit labellisé s’avérer pratiquement aussi nocif que les autres.

Ainsi les consommateurs, à qui l’on ne donne jamais voix au chapitre, détiennent en réalité le seul véritable pouvoir déterminant le futur des cultures et des produits de consommation, le pouvoir d’achat.

Vous avez déjà fait évolué la majorité des cultures et des enjeux en apportant votre soutien au label bio, il convient à présent d’aller encore au-delà !

Jean-Baptiste Loin

Commentaires d'internautes et sujets similaires (voir les liens sur le site)
http://www.reponsesbio.com/2017/06/18/nouvelle-loi-visant-a-denaturer-label-bio/
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MessageSujet: Re: Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses   Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses - Page 2 EmptyMer 28 Juin 2017 - 16:57

source source https://www.pure-sante.info/

Pesticides : nouveau scandale dans la torpeur de l’été

Chère lectrice, cher lecteur,

C’est l’été…tous les coups sont permis !

Alors que les Français ont déjà l’esprit en vacances, les lobbies industriels savent qu’il faut profiter de cette période de repos pour faire valoir leurs intérêts…en toute discrétion.

Ils ont pour cela une technique : en langage de lobbyiste, cela s’appelle « lancer un ballon d’essai ».

On lance une idée, en prétendant qu’on y « réfléchit » simplement, que « ce n’est qu’une hypothèse parmi d’autres » etc. mais en réalité l’objectif est de voir la réaction de l’opinion.

Si elle se dresse contre, si elle se révolte, alors on laisse tomber.

Mais sinon…Monsanto et les autres industriels de Big Chimie vont profiter de la torpeur de l’été pour faire passer les décisions les plus insensées, les plus révoltantes, celles qui font peser une menace sur la santé de millions de personnes !

Et c’est exactement ce qui est en train de se produire.

Une dépêche passée complètement inaperçue mentionne ainsi que le gouvernement étudie en ce moment même « un assouplissement de l'interdiction des pesticides néonicotinoïdes et des épandages aériens, dans le cadre du projet de loi dit de « simplification » [1].

Comme d’habitude, les termes techniques sont volontairement choisis pour ne pas trop éveiller trop l’attention.

Pourtant ces pesticides « néonicotinoïdes » sont largement soupçonnés de décimer les abeilles, et les députés ont déjà voté l’an dernier pour leur interdiction à compter de 2018 !

Mais…ce n’est pas grave, on va continuer quand même !!!

Ce n’est pas moi qui le dit, c’est le ministre de l’agriculture en personne.

Invité sur le plateau de l’interviewer Jean-Jaques Bourdin, il a affirmé :
« Nous avons la volonté de gérer les impasses techniques. Il y a des produits estimés dangereux qui sont retirés. Mais d'autres, dont nous ne connaissons pas la dangerosité, qui n'ont pas de produits de substitution » [2] .

En français dans le texte, « gérer les impasses techniques », cela veut dire continuer à pulvériser des pesticides dont on connaît pourtant les effets absolument désastreux sur l’environnement, sur notre santé, et sur l’ensemble du vivant.

C’est de la folie complète !
C’est d’autant plus scandaleux que cela se produit au même moment où le président Macron reçoit à l’Elysée l’ancien gouverneur de Californie, l’acteur Arnold Scharzenegger, pour évoquer « leur croisade contre le changement climatique ».

Pile, je défends l’environnement.

Face, j’autorise les pesticides.

Pardon, mais ces gens-là se f…..de nous !

CE DOUBLE DISCOURS EST INACCEPTABLE.

Face aux pesticides qui tuent la planète, face au massacre du vivant, il faut un front uni, solide et permanent, pas des girouettes.

Voilà pourquoi je vous demande de signer, si ce n’est pas déjà fait, notre grande pétition contre le sabotage chimique de nos vies.

A l’heure où je vous écris, plus de 220 000 personnes ont courageusement inscrit leur nom sur la liste.

Pour montrer notre nombre et notre détermination, il est indispensable de faire monter le compteur de pétitions au maximum. Soyons un million à signer !!!

Ne nous laissons pas faire !!! MOBILISONS TOUT NOTRE ENTOURAGE.

TRANSFÉREZ CET APPEL PARTOUT AUTOUR DE VOUS.

Je signe la pétition
https://petitions.pure-sante.info/encore-plus-de-perturbateurs-endocriniens/#/

Merci de votre aide,

Gabriel Combris

Rédacteur de la lettre PureSanté

Sources :
[1] http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/06/26/97002-20170626FILWWW00016-le-gouvernement-envisagerait-d-assouplir-l-interdiction-de-pesticides.php

[2] http://www.ouest-france.fr/environnement/neonicotinoides-stephane-travert-favorable-au-retour-de-ces-pesticides-controverses-5091558


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MessageSujet: Re: Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses   Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses - Page 2 EmptyJeu 20 Juil 2017 - 23:30

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source http://www.reponsesbio.com/2017/07/16/serai-grand-serai-guerisseur/
Quand je serai grand, je serai guérisseur !
16 juillet 2017


Non, ce n’est pas ce que je me disais quand j’étais enfant ; en fait c’est une réflexion relativement récente.

Mais quand je vois les miracles accomplis en quelques secondes par certains magnétiseurs, chirurgiens à mains nues, ou guérisseurs comme Joao de Deus soignant les gens, sur scène, en file indienne lors de grands rassemblements publics, j’en ai le souffle coupé.

Ne serait-il pas extraordinaire d’être en mesure d’accomplir de telles merveilles ?

Dire à un paralytique « Lève-toi et marche ! » et le voir quitter sa chaise et gambader.


Cependant une question me taraude…

Si comme on l’entend en langage des oiseaux le « Mal a Dit », c’est qu’il y a quelque chose à comprendre dans ce que le corps exprime au travers de la maladie, même si cette « compréhension » n’est pas nécessairement conscientisée.

La maladie est le plus souvent l’expression d’une erreur de pensée, d’une émotion non résolue ou d’un manque d’écoute de son être profond.

Une guérison totale devrait donc découler de la résolution du nœud mental ou émotionnel étant à l’origine du problème et ainsi permettre d’opérer une révolution intérieure complète garantissant une guérison ferme et définitive.


D’ailleurs certaines pratiques thérapeutiques sont en mesure d’aboutir ce processus simplement par la parole ou par la maîtrise des symboles.

De cette manière, le thérapeute peut amener le patient à mettre le doigt sur La faille, dont l’expression et la compréhension seront les clés de la guérison.

Une guérison durable
J’en reviens donc à ma question initiale :
Si ce rêve de devenir un guérisseur miraculeux est bien la « voie royale » de mon chemin de vie ; si de l’extérieur il semble possible de soigner une personne en la touchant 3 secondes ou en scandant une incantation… ces méthodes garantissent-elles bien une rémission à long terme et l’absence de récidive ?

En d’autres termes, peut-il y avoir une réelle guérison sans participation active et consciente du patient ?

Peut-on débarrasser quelqu’un de sa maladie sans qu’il y prenne part activement ?
C’est là un sujet de réflexion à part entière sur le système de soin actuel reposant sur la prise en charge du malade par la sécurité sociale, infantilisant et dépersonnalisant totalement notre rapport et notre responsabilité vis-à-vis d’un corps qu’il nous appartient de comprendre.

Dans ce contexte, la maladie est vue comme pure injustice, nous devenons une victime pour laquelle la société se doit d’agir en nous libérant coûte que coûte du mal.

Le mal étant ici le symptôme, sa simple disparition est considérée comme l’objectif ultime à atteindre.

Il ne restera qu’à faire disparaître les douleurs, la fièvre, les boutons ou tout signe extérieur pour considérer l’objectif comme atteint.

Dans l’incapacité de résoudre la cause du problème, on assume pleinement d’en effacer les signes extérieurs les plus dérangeants, le plus handicapants socialement.

Non pas qu’il ne soit pas utile de calmer la douleur, mais si on supprime la douleur sans essayer de soigner la cause, là il y a un problème.

Un jour, une personne victime d’une grosse douleur à la mâchoire que les médecins n’arrivaient pas à expliquer, m’a raconté qu’on lui avait proposé de lui sectionner le nerf pour résoudre le problème.

C’est un peu comme si vous aviez un système d’alarme dans votre maison et que lorsque vous êtes sorti l’alarme se met à sonner en résonnant dans tout le quartier.

Ce que la méthode allopathique nous propose dans ce cas de figure serait, en quelque sorte, d’envoyer une voiture de police sur place qui, au lieu d’inspecter votre foyer pour identifier la raison du déclenchement de l’alarme, aurait pour mission de tirer à coup de carabine sur le haut-parleur afin d’éliminer le bruit, avant d’appeler le central pour dire :
« Le calme est revenu dans le quartier, mission accomplie, nous reprenons notre ronde. »

Malheureusement les choses ne sont pas aussi simples, le corps s’avère être une machine à la fois complexe, fragile et pleine de ressources.

Une maladie assumée
La guérison, quelle que soit la méthode y menant, ne peut finalement jamais s’opérer sans le consentement du malade.

Quelqu’un qui s’est résolument programmé dans la maladie sans la volonté de s’en sortir, ira jusqu’au bout, quoi qu’on puisse dire ou faire, voire jusqu’à la mort si le mal s’avère mortel.

Il est évident que tous les malades ne sont pas engagés dans une réelle démarche de guérison, loin de là, allant de ceux ne cherchant pas de solution du tout, à ceux consultant mécaniquement un thérapeute sans réel désir de changement intérieur.

En psychanalyse on parle aussi du bénéfice secondaire de la maladie.

Bénéfice permettant à quelqu’un de se complaire dans une situation où il est considéré et pris en charge par son entourage, il préférera ainsi se maintenir dans sa condition de malade, même si on lui promet par ailleurs la guérison.

Pourquoi ?
Parce que certaines personnes se sont tellement identifiées à leur maladie que cette dernière est devenue une part de leur personnalité comme de leur statut social.

En réalité, seul un corps consentant et volontaire peut progresser sur le chemin de la santé, et ce, quelle que soit la méthode utilisée.

Le pouvoir de guérir
Plus j’avance dans cette réflexion et plus je me rends compte qu’il y a une erreur de langage dans le fait de se dire guérisseur.

En allant jusqu’au bout de cette logique on comprend que le verbe guérir ne devrait s’employer que dans sa forme pronominale.

On peut SE guérir mais on ne peut pas guérir quelqu’un d’autre.

Il est bien entendu possible de soigner une personne, mais c’est ensuite la personne qui sera à même de SE guérir dans la mesure où toutes les conditions permettant cette guérison sont réunies.

Ensuite, tout ne passe pas nécessairement par le plan conscient ; la disponibilité du corps et de l’esprit à guérir ne se traduisant pas systématiquement par une révélation mentale.

A ce stade la notion de pouvoir est primordiale car elle invite le malade à ne pas remettre son propre pouvoir de guérison entre les mains du soignant, engageant par la même occasion ce dernier à une certaine humilité vis à vis de son pouvoir d’action.

A mes yeux, donc, un thérapeute ne peut que proposer une solution sans devoir en attendre les résultats.

C’est une règle bien connue, néanmoins elle n’est pas si facile à appréhender par un praticien et tout particulièrement à ses débuts.

Le thérapeute propose et le corps dispose…

La formule est apparemment pure sagesse, à cela près que s’il n’y avait pas un minimum de doute et de volonté de mieux faire de la part du thérapeute, les méthodes de soins n’évolueraient pas !

Lorsqu’un soin ne donne pas de résultat, qui peut dire si c’est le thérapeute qui n’est pas à la hauteur ou le corps qui n’est pas disponible ?

De l’homéostasie à l’information vibratoire
A la base, le corps a toutes les capacités d’auto-guérison dont il a besoin.

L’équilibre de la santé pouvant se voir comme un élastique se tendant sous l’effet d’un choc, mais revenant invariablement à sa position initiale.

En suivant cet exemple, la maladie ne devient chronique que lorsque l’élastique s’est déformé à force de se tendre et de se détendre, ayant perdu la mémoire de son état initial.

Le soin sera alors le catalyseur permettant au corps de recouvrer sa tension ainsi que sa vibration d’origine.

La plupart des médecines s’accordent à considérer qu’il y a 3 phases dans la maladie :
→ la poussée,

 → la stagnation,

 → et la rémission.

Idéalement, il faudrait être en mesure d’identifier où en est le malade dans son processus de maladie, afin de pouvoir lui proposer un soin adapté.

Pour illustrer cela, citons les cas de rémissions de cancer passant pratiquement inaperçues parce que ces 3 phases s’étaient déroulées en toute quiétude, sans que la tumeur, qui n’entraînait pas d’effets secondaires, n’ait eu le temps d’être décelée.

Malgré cela, si le cancer est découvert alors qu’il est en phase de rémission, là où il suffirait de ne rien faire et d’attendre que la maladie se résorbe d’elle-même, le corps médical risque fort de nous entraîner dans un processus où le traitement sera plus dangereux que le symptôme lui-même, tant sur le plan physique qu’émotionnel.

D’un autre côté lorsqu’une maladie en est au stade de la « poussée », on aura beau prodiguer tous les soins de la terre, l’emballement du corps dans cette logique sera le plus fort.

Dans ce cas bien évidemment, à moins de désamorcer la cause profonde de la poussée, aucune rémission ne pourra s’opérer durablement.

Et, le plus souvent, le déclencheur de la maladie se situant sur le plan émotionnel, peut s’exprimer à peu près en ces termes :
« Un choc émotionnel brutal, conflictuel dont on ne peut pas parler et pour lequel on ne trouve pas de solution. »

Le corps n’aura pas d’autre issue que d’exprimer, et cristalliser sur le plan physique, une énergie refoulée.

C’est ce que l’on appelle en terme psychanalytique : la somatisation.

Maintenant en retournant simplement la phrase dans le sens positif, la bonne méthode pour éviter la somatisation est toute trouvée :
« Parler rapidement de ce qui nous a choqué pour trouver une solution durable. »

Si le corps est révélateur c’est parce qu’il ne ment jamais.

Certains diront même qu’il est l’expression du subconscient, si tant est qu’on s’accorde sur la définition de ce terme.

De toute manière il a une capacité d’adaptation incroyable et peut élaborer des stratégies de compensation ayant leur propre logique, même si elles ne s’avèrent pas viables à moyen ou long terme.

Mais lorsque la maladie est en phase de stagnation, le bilan des rapports de force est moins évident à établir.

La difficulté étant que l’élastique de notre exemple a la capacité d’enregistrer une situation dégradée et d’en faire sa référence, sa norme.

Il va alors être nécessaire de reprogrammer, réinformer le corps pour qu’il réapprenne à vibrer à sa fréquence originelle.

De ce point de vue il apparaît de plus en plus évident que cet équilibre, cette homéostasie du corps, soit en lien étroit avec un équilibre vibratoire et énergétique sur les plans physiques, émotionnels et mentaux.

Si le corps était semblable à une partition musicale ; le soin consisterait à trouver la fausse note et lui indiquer la bonne vibration ou au moins le chemin pour la retrouver.

La physique quantique nous invite par exemple à considérer que tout est énergie.

Car bien que l’atome soit le plus petit dénominateur commun du monde physique, il ne faut pas oublier que cet atome est essentiellement constitué de vide.

Il existe d’ailleurs une analogie donnant le vertige à ce sujet :
En admettant qu’un atome puisse être de la taille d’un stade de football, le noyau serait comparable à une tête d’épingle plantée au milieu du terrain et les électrons à des cheveux placés aux derniers rangs des gradins.

Il n’est donc évidemment pas question d’un vide inerte mais fait de cohésion, on pourrait même parler d’une information cohérente constituant l’identité d’un atome, d’une molécule, d’une cellule…

En définitif, le plus petit dénominateur commun, c’est l’information.

A la lueur de cette réflexion, il va de soi que nous sommes constitués d’un enchevêtrement d’informations du microcosme atomique au macrocosme qu’est notre propre corps, et même au-delà.

Sur le plan émotionnel, si une simple information, incorrecte ou mal interprétée, peut être à l’origine de la maladie, de la même manière une information adéquate pourrait déclencher la rémission.

Il est facile de se représenter une telle chose au sujet des paroles, des sentiments… mais en réalité toute méthode de soin énergétique a pour vocation de travailler sur un plan vibratoire dans l’intention de transmettre une information salutaire au corps, y compris sur le plan purement physique.

Qui guérit, qui ?
Alors, bien que le terme de guérisseur ne soit peut-être pas le plus juste, je pense que l’objectif consisterait à réduire à sa plus simple expression la transmission de l’information, tout en se débarrassant allègrement du superflu, des protocoles et techniques de soins pouvant devenir très accessoires.

Le but étant d’arriver à donner l’influx de l’information adéquate, peut-être par un simple toucher ou une intention, une pensée ?

Si tant est que la technique de soin soit efficace, tout l’art du thérapeute sera toujours de trouver la bonne information à prodiguer à travers sa méthode.

L’information qui, en tant que catalyseur, permettra au malade de réconcilier et de résoudre dans un même élan la cause et les conséquences de la maladie.

Olivier Coen

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-La Thérapie du Champ Mental – Interview du Dr. Varma
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http://www.reponsesbio.com/2017/07/16/serai-grand-serai-guerisseur/

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MessageSujet: Re: Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses   Mieux choisir ce qu'on mange et qu'on consomme, et réflexions diverses - Page 2 EmptyMer 9 Aoû 2017 - 22:40

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source https://www.pure-sante.info/visite-supermarche-rayon-arnaque/#respond
Visite au supermarché, rayon arnaque
Par Gabriel Combris/3 février 2017


Il existe dans les supermarchés un rayon invisible et pourtant omniprésent. C’est le rayon « arnaque ».

Arnaque sur les quantités, arnaque sur les emballages, arnaque sur la composition des produits, etc.

Je vous invite bien sûr à nous faire part des coups fourrés que vous avez repéré avec votre œil de lynx, mais comme on n’est jamais trop nombreux sur le coup, je démarre pour ma part une petite chronique sur le sujet.

Au menu aujourd’hui : quelques petites appellations bien bidon.

Les aveux d’un repenti
Les herbes de Provence, ça vous évoque quelque chose ? Hmm la bonne odeur de la garigue, Marcel Pagnol, le jeu de cartes, la sieste à l’ombre avé l’accent : « Eh, peuchère, tu la tires ou tu la pointes»…

Bon enfin, ça c’est pour la carte postale, parce que dans les rayons des grandes surfaces c’est une autre limonade! Thym du Maroc ou d’Albanie, basilic et marjolaine d’Egypte, romarin de Tunisie, voilà le menu réel des supermarchés [1]. C’est un « repenti » qui le dit,Christophe Brusset, ancien cadre de l’industrie agroalimentaire et auteur du livre « Vous êtes fous d’avaler ça ! ».

Là, vous vous dites peut-être : « Mais c’est un scandale, du vol organisé, mais que fait la police ??!!! »

Eh non !

Tout ceci est parfaitement légal, ce n’est pas l’origine, c’est la recette qui compte. Les ingrédients peuvent bien venir de n’importe où, on s’en fiche ! Pareil pour la moutarde de Dijon, le camembert ou le brie que l’Australie exporte dans le monde entier.

Et les escargots de Bourgogne, vous croyez qu’ils ont visité la basilique de Vézelay ou grimpé la roche de Solutré pour admirer la vue ? Rien du tout. Ils arrivent en camions réfrigérés de Russie, de Lituanie ou de Pologne. Et attention, eux aussi ont leurs papiers en règle : la législation européenne considère que « escargot de Bourgogne » ou « cèpes de Bordeaux » ne sont pas des indications d’origine géographique mais des désignations communes d’espèces.

Voilà comment on obtient des cèpes de Bordeaux de Chine et que tout va très bien, c’est parfaitement légal, Madame la Marquise.
La suite au prochain épisode

Qu’en penserait Ludo ?
Je me demande ce que Ludo Chardenon penserait de cette situation.

Parce que la Provence, ses herbes et ses plantes, cet herboriste en avait fait sa vie. Et quelle vie ! Si vous ne connaissez pas cet autodidacte lumineux et profondément attachant, je vous conseille de regarder cette vidéo.
http://www.ina.fr/video/RBC89000074
Je vous préviens, elle met de bonne humeur.

Des plantes de qualité, oui mais où ?
A propos de plantes, c’est LA question qui revient le plus souvent lorsqu’on consacre un article à leurs propriétés médicinales : où en trouver de bonnes ?

Le journal Plantes & Bien-Être y a récemment consacré un dossier fouillé (à découvrir ici)
https://www.santenatureinnovation.com/plantes-bien-etre/
avec la liste complète de ses herboristeries et laboratoires préférés, à Marseille, Toulouse, Perpignan, Paris, Bordeaux, Grenoble, Watrelos etc.

Mais comme souvent en la matière l’union fait la force : si vous avez des adresses de confiance pour les plantes en vrac, les huiles, les compléments, etc. n’hésitez pas à les partager en commentaire de cette lettre.

Dans tous les cas, voici les quelques règles des spécialistes de Plantes&Bien-Être pour choisir des produits de qualité :
-Optez pour des conditionnements teintés qui abritent les plantes de la lumière car elles s’oxydent facilement, ce qui dénature leurs vertus.

-La plante en vrac doit avoir du goût et une odeur au froissement. L’intensité dépend de la teneur naturelle de la plante en principes aromatiques. Une menthe poivrée aura naturellement un parfum bien plus intense qu’une mauve.

-Pour les plantes non titrées en principes actifs, veillez à ce que la date de péremption ne soit pas trop proche car l’efficacité tend à diminuer à partir d’un an après la récolte.

-Méfiez-vous des produits beaucoup moins chers que ceux de leurs concurrents. Ils peuvent cacher une quantité bien moindre, comme c’est souvent le cas pour les gélules. Petite astuce : rapportez toujours le dosage par gélules souvent entre 200 et 400mg au nombre de gélules et au prix du flacon.

-Certains laboratoires mal intentionnés extraient le principe actif pour le vendre avant de proposer le reste à des prix défiant toute concurrence. e reste est alors dénué de tout intérêt! C’est parfois le cas avec la spiruline. Trempez-la dans l’eau, si se colore en ble c’est que le pigment intéressant, la phycocyanine, est toujours présent. Sinon, c’est que le fabricant l’aura déjà vendu à quelqu’un d’autre, vous pouvez lui rendre sa camelote…

L’épidémie dont on ne parle jamais !
En Chine, 90%(!!!) des jeunes seraient myopes contre 20% en 1950. En Europe, on compte 2fois plus de myopes aujourd’hui qu’en 1970.

Alors les « facteurs génétiques », je veux bien, mais cela ne suffit pas à expliquer ce phénomène.

La myopie dépend de l’activité des yeuxtout au long de la journée [2].

Ainsi, la myopie est plus fréquente dans les pays où les enfants passent plus de temps en classe, ou à l’intérieur.

Enfermés à l’intérieur, leurs yeux sont constamment fixés sur des objets proches (comme un écran à 30cm). On observe que les enfants ont moins de myopie s’ils passent plus de temps à l’extérieur, où ils regardent au loin.

A Taïwan, des élèves ont été forcés de passer 1h20 dehors plutôt que de pouvoir rester à l’intérieur pendant les pauses à l’école. Que s’est-il passé ? Après un an, le nombre de myopies avait été divisé par 2,25 !

Une étude a comparé les enfants chinois de Sydney à ceux de Singapour. Ceux de Sydney passent en moyenne 13heures dehors par semaine. Les enfants chinois de Singapour, 3heures dehors. On recense 3% de myopes parmi les petits Chinois de Sydney contre 29% chez ceux de Singapour.

…Une excellente raison de plus d’aller se promener en famille.

Pour être quelqu’un de spécial…
…On peut suivre le conseil de Claudie : « Je suis tellement persuadée de l’importance de la gratitude que je tiens depuis quelques années un journal de reconnaissance. J’essaie de remarquer les petits (et plus grands) bonheurs, et ma perception de la vie en est changée. Je thésaurise précieusement tous ces moments bénis dans un simple cahier d’écolier et je découvre que plus je suis reconnaissante, plus je découvre de raisons d’être emplie de gratitude. En outre, j’ai constaté que, loin d’être un plaisir égoïste, cela fait tache d’huile et que les autres ressentent quelque chose de spécial lorsqu’ils nous côtoient. Par exemple, je ne compte plus le nombre de personnes qui m’adressent spontanément la parole lorsque je suis à la caisse de mon supermarché favori. Cela fait tant de bien!

Et comme disait l’autre:
« L’ouverture d’esprit, ce n’est pas une fracture du crâne ! »

Santé !

Gabriel Combris

Sources :
[1] Dolgin E. The myopia boom. Nature. 2015 Mar 19;519(7543):276-8.

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source http://www.reponsesbio.com/
Bonjour,

A la place de votre lettre d’information habituelle, j’aimerais aujourd’hui vous demander un immense service.

Réponses Bio existe depuis plus de sept ans maintenant, et au fil des publications nous avons appris à anticiper et résoudre la plupart des problèmes techniques envisageables.

Si ce n’est, vous vous en souvenez sans doute si vous nous suivez depuis quelques années, la redoutable attaque d’une pharmacie web discount dont le fondateur recherché par Interpol s’avère être à la solde d’une gigantesque firme de produits chimiques.

Firme essayant de vendre des substances hautement dangereuses comme le viagra, qui rappelons-le tout de même ici, augmente davantage les risques de mort prématurée ou de graves séquelles que l’érection.  

Aujourd’hui encore, et c’est la raison pour laquelle je vais avoir besoin de votre aide, nous avons été attaqués par un organisme similaire tentant de vendre son poison chimique aux lecteurs de Réponses Bio.

Serait-ce lié à la teneur de nos récentes publications ?
A l’imminente ouverture d’un tout nouvel outil créé pour votre liberté de consommation et votre santé ?  

Toujours est-il que nos mesures de sécurité actuelles ont permis de mettre à l’abri absolument toutes vos données et qu’absolument aucun email frauduleux n’a été envoyé depuis le serveur de Réponses Bio.

A l’heure où vous lisez ces lignes, l’attaque est déjà endiguée et nous travaillons nuit et jour pour rétablir la teneur de tous les textes originaux présents sur le site.

Mais… il est possible que certains articles ou pages soient déstructurés ou contiennent des liens vers des produits pharmaceutiques ou chimiques.

Je vous demanderais de m’aider à retrouver ces pages en parcourant vos articles préférés sur le site de www.reponsesbio.com et en m’avertissant par email à : contact@reponsesbio.com ou en répondant simplement à ce mail, si vous rencontrez un contenu :
- portant un titre n’étant pas en relation avec le texte,
- comportant des liens douteux,
- ou quoi que ce soit de suspect.

Bien évidemment votre navigation sur tous nos sites demeure parfaitement sûre, et nos systèmes de sécurité ont été non seulement doublés mais sont également en cours de redéveloppement intégral.

Représentant un des derniers organes de presse et d’édition de santé naturelle parfaitement indépendant, nous ne pouvons pas nous laisser museler par quelques prédateurs sans vergogne.

Il est probable que mon temps soit davantage sollicité par cette lutte incessante…

Je ne serai par conséquent probablement pas en mesure de vous envoyer ma lettre d’information ce dimanche, mais je vous retrouve sans faute mercredi prochain.

Merci pour votre aide et votre soutien, n’oubliez pas de nous signaler toute usurpation d’identité ou lien inhabituel à l’adresse contact@reponsesbio.com, cela ne vous prendra que quelques minutes.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin


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