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 VITAMINES

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MessageSujet: Re: VITAMINES    VITAMINES  - Page 6 EmptyLun 24 Oct 2022 - 14:15

VITAMINES  - Page 6 3389238305 source https://www.santenatureinnovation.com/

21 excellentes raisons de prendre de la vitamine D, par le Dr Dominique Rueff
Le Dr Dominique Rueff, spécialiste en médecine orthomoléculaire, a récemment signalé dans sa lettre « 21 excellentes raisons de prendre de la vitamine D ».


Grippe, maladies cardiovasculaires, sclérose en plaques, maladie de Parkinson, cancers, dépression, hypertension, problèmes d’os, asthme, il fait une liste impressionnante (et très inquiétante) des études qui montrent une augmentation des risques lorsqu’on est en carence de vitamine D.

« La vitamine D agit en stimulant l’absorption intestinale du calcium et sa fixation dans les os. Elle est principalement produite par le corps sous l’action des rayons ultraviolets UVB sur la peau. On la trouve également dans les poissons marins gras, mais, selon l’Académie de médecine, il faudrait manger 400 grammes de saumon par jour pour avoir un apport journalier optimal en vitamine D ! », explique-t-il.

Il faut donc prendre un complément alimentaire quotidien de vitamine D, qui permet de restaurer le niveau entre 45 et 60 ng/mL (soit 1500 UI à 3000 UI par jour pour la plupart des personnes).

La complémentation en vitamine D est particulièrement importante en cette saison
Une étude réalisée en région Rhône-Alpes et en Gironde entre février et avril 2009 auprès de 281 hommes âgés de 19 à 59 ans a trouvé que 94 % d’entre eux manquent de vitamine D.

Plus d’un sur quatre (27 %) étant même en déficit sévère. Leur taux était inférieur à 12 ng/mL ! (il doit être idéalement entre 50 et 65 ng/mL).

En particulier, les personnes de plus de 70 ans synthétisent 4 fois moins de vitamine D qu’une personne jeune, à exposition comparable, à cause du vieillissement de la peau. Une personne âgée sortant peu sera presque automatiquement carencée.

Il faut savoir que, tant que vous êtes au nord de Rome, les rayons du soleil sont de toute façon trop inclinés, à partir du mois d’octobre et jusqu’en avril, pour vous permettre de fabriquer de la vitamine D.

Prévenir l’arthrite
N’oubliez pas que la vitamine D peut réduire le risque d’un très grand nombre de maladies, et en particulier les terribles maladies auto-immunes, qui font malheureusement de plus en plus parler d’elles.

Ce sont des maladies où le corps s’attaque lui-même, et qui sont très difficiles à traiter car on ne peut les arrêter sans affaiblir les défenses naturelles de l’organisme.  

Mais les études ont montré que si ces problèmes ont déjà éclaté, ils pouvaient être efficacement contenus grâce à un meilleur taux de vitamine D dans le sang. Cela inclut la polyarthrite rhumatoïde mais aussi la thyroïdite de Hashimoto, la sclérose en plaques, la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique, le syndrome de Goujerot-Sjögren, le lupus ou le psoriasis.  

Et ne craignez pas les dangers « imaginaires » de la vitamine D.
Selon le journaliste scientifique Thierry Souccar, auteur de « Santé, Mensonges, Propagande » :  « D’après la littérature, il est possible de prendre jusqu’à 10 000 UI par jour pendant au moins 5 mois sans qu’il y ait de toxicité.
Il faudrait probablement prendre entre 30 000 et 50 000 UI par jour pendant une très longue période pour être intoxiqué.
L’intoxication typique à la vitamine D est due à des prises involontaires de centaines de milliers, voire de millions d’unités sur une période prolongée. Elle ne survient que très rarement. » [4]

Sources :
[1] Grant WB, Garland CF, Holick MF. Comparisons of estimated economic burdens due to insufficient solar ultraviolet irradiance and vitamin D and excess solar UV irradiance for the United States. Photochem Photobiol 205 ; 81 : 1276-86

[2] Vitamine D : 80% des occidentaux concernés

[3] 21 excellentes raisons de prendre de la vitamine D

[4] Voir « Souffrez-vous d’un déficit en vitamine D », Les Dossiers de Santé & Nutrition, novembre 2012.

Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.

La Lettre Santé Nature Innovation est un service d'information gratuit de Santé Nature Innovation (SNI Editions).
Service courrier : Sercogest, 44 avenue de la Marne, 59290 Wasquehal - France

VITAMINES  - Page 6 1907270423216491716332110

Bien plus qu’un magazine de santé
Alternatif Bien-Être est bien plus qu’un magazine de santé. C’est un engagement, un combat pour montrer qu’une autre médecine est possible. Pour donner la parole aux petits, aux sans-grades de la guérison, que la machine industrielle de la médecine moderne voudrait écraser.

C’est aussi un moyen pour vous de reprendre le pouvoir, reprendre le contrôle sur votre santé – et ainsi aller mieux et permettre au monde autour de vous d’aller mieux lui aussi.  

Facile et amusant à lire
Si vous n'avez aucune notion de médecine ni de biochimie, c'est une raison de plus de vous abonner à Alternatif-Bien-Être : malgré sa rigueur scientifique, notre revue est spécialement prévue pour les personnes qui n'ont pas de formation médicale avancée.

Chaque fois qu'un remède est présenté, Alternatif-Bien-Être vous indique précisément où le trouver, sous quelle forme le prendre, à quelles quantités, quels intervalles, pendant combien de temps, et les résultats à en attendre. Sans jamais recourir à des mots compliqués.

Attention, les résultats ne sont jamais garantis les êtres humains ne sont pas des machines, et toute personne qui vous prétendrait qu'elle a la solution pour vous à 100 % doit malheureusement être considérée comme non-fiable.

Toutefois, il n'y a pas de raison valable de vous priver a priori d'une information qui pourrait avoir une importance décisive pour vous. Car la nature regorge de trésors insoupçonnés, et chaque année apporte son lot de nouvelles découvertes.

Comment est-ce possible ?
A ce stade, vous vous demandez peut-être : « Comment est-ce possible ? »  

« Si c’était vrai, les médecins seraient forcément au courant. » « On en parlerait dans les journaux »…  

Je ne voudrais pas vous décevoir mais non seulement ce n’est pas comme cela que ça fonctionne mais il y a des faits encore plus importants pour votre santé qui sont passés sous silence !!  

Je veux parler des dangers démontrés des médicaments.  
Je ne vais pas revenir sur le Médiator, le Vioxx, les pilules contraceptives de 3e et 4e génération – ces cas sont trop connus. En quelques secondes sur Google, vous trouvez des milliers d’articles sur les ravages provoqués par ces médicaments, et maintenus dans le système malgré les alertes.  

Les mêmes mauvaises surprises attendent les patients pour la plupart des autres médicaments vendus en pharmacie (avec ou sans ordonnance). Les scandales peuvent éclater à tout moment.  

Car des preuves très sérieuses indiquent que :  
-Les médicaments « contre le cholestérol » (statines) ne réduisent pas le risque de décès. Ils provoquent en revanche de graves ou très graves effets secondaires : perte de mémoire, douleurs et fonte musculaires, cancer) ;  

-Les médicaments « contre la dépression » (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine) ne sont pas plus efficaces que de simples « placebos » (faux médicaments) ; en revanche, ils provoquent une accoutumance et peuvent donner de dangereuses tendances suicidaires ;  

-Les somnifères dérèglent le rythme du sommeil naturel ; vous dormez plus mais vous êtes plus fatigué, vous somnolez plus, vous avez plus de risque de vous endormir au volant ou d’être victime d’un accident ! Ils peuvent réduire ou détruire votre capacité à dormir normalement ;  

-Les médicaments contre les remontées acides dans l’œsophage (inhibiteurs de la pompe à protons) augmentent le risque de pneumonie, d’infection digestive, de diarrhée, et provoquent des déficits en vitamine B12 et en calcium ;  

-Les médicaments « contre l’ostéoporose » (bisphosphonates) fragilisent les os et augmentent le risque de fracture, donnent des douleurs articulaires, sans aucun bienfait pour le patient ; très peu de personnes le savent mais ce sont des phosphates comme dans la lessive, et ils sont aussi mauvais pour le squelette que pour l’environnement ;  

-Les médicaments « contre Alzheimer » sont inefficaces. Ils coûtent très cher mais n’apportent rien aux malades, ils ne sont prescrits que pour donner l’impression qu’on fait quelque chose. Par contre, ils donnent des nausées et des vomissements, une perte d’appétit et des maux de ventre, aggravant l’état de santé globale du patient !  

-Et je pourrais en dire autant des sartans, médicaments contre l’hypertension, avec les fraudes de la filiale de Novartis pour enjoliver les effets bénéfiques du Valsartan ; des anti-inflammatoires qui provoquent des troubles cardiaques et font des trous dans les viscères ; des coupes-faims responsables de milliers de morts ; des opérations de la prostate qui aggravent les problèmes d’impuissance et d’incontinence ; des opérations contre le cancer de la thyroïde, inutiles dans 70 % des cas ; du vaccin contre la grippe qui ne réduit pas le risque d’infection, mais augmente le risque de complications ; du dépistage du cancer du sein, de la prostate, du côlon, qui sont de plus en plus contestés !

Ne pas dénigrer la médecine
Toute la médecine conventionnelle n’est pas à dénigrer. Elle a fait des progrès immenses dans le domaine des prothèses, des transplantations, de la réanimation, des urgences, de la lutte contre les infections et les épidémies.  

Mais elle aujourd’hui embarquée dans une forme de folie technique. Les patients sont traités « morceau par morceau » par des spécialistes qui s’occupent uniquement de leur foie, de leurs intestins, leur cœur, leurs articulations ou leur cerveau, sans vision globale.  

C’est une médecine « hard », fondée non sur l’humain, mais sur les chiffres. Elle peut se montrer impitoyable et laisser de nombreux patients au bord du chemin quand vous n’entrez pas dans les cases, quand vous ne correspondez pas aux solutions toutes faites qu’on vous propose (ou qu’on vous impose…).  

Elle piétine face aux maladies chroniques et compliquées qui ruinent la vie de dizaines de millions de patients à travers le monde, comme le cancer, le diabète, la dépression, la sclérose en plaques, les maladies d’Alzheimer et de Parkinson, la maladie de Crohn, l’asthme, la maladie de Lyme, la fatigue chronique.

D’où l’importance de bénéficier aussi de l’éclairage des médecines naturelles. Leur approche est totalement différente.  

Il s’agit de médecines « douces », tournées vers les équilibres naturels, la nutrition, le développement personnel, les forces d’auto-guérison :  

Vous reprenez tout à la base : votre alimentation, votre mode de vie et même votre comportement avec les autres (et avec vous-même !).  

Vous découvrez d’autres approches, d’autres cultures, d’autres modes de penser – et de vous soigner.  

Vous vous intéressez réellement, concrètement, à la nature qui vous entoure et dont, il faut tout de même le rappeler, nous venons tous à l’origine ! Comment notre organisme et notre système immunitaire se sont développés, au cours des millions d’années, dans un cadre qui n’avait rien à voir avec nos villes polluées et nos appartements recouverts de vernis, peintures, plastiques, d’émanations cancérigènes.  

Vous retrouvez le mode de vie naturel qui permettait aux gens de se soigner autrefois, avec les plantes mais aussi la terre, les eaux soufrées, certains produits animaux, des méthodes de guérison.

VITAMINES  - Page 6 1907270423216491716332110



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MessageSujet: Re: VITAMINES    VITAMINES  - Page 6 EmptyLun 24 Oct 2022 - 14:22

source https://www.neo-nutrition.net/

Chère lectrice, cher lecteur,
Qui n’a pas encore pris sa vitamine D ?
8 Français sur 10 manquent de vitamine D, c'est-à-dire qu'ils ont moins de 30 ng de vitamine D par millilitre de sang.
50 % des Français sont même à moins de 20 ng/mL…


Quelles tranches d’âge sont concernées ?
Une étude réalisée en région Rhône-Alpes et en Gironde entre février et avril 2009 auprès de 281 hommes âgés de 19 à 59 ans a trouvé que 94 % d'entre eux manquent de vitamine D [1].
Plus d'un sur quatre (27 %) étant même en déficit sévère : leur taux était inférieur à 12 ng/mL !

En particulier, les personnes de plus de 70 ans synthétisent 4 fois moins de vitamine D qu'une personne jeune, à exposition comparable, à cause du vieillissement de la peau.
Une personne âgée sortant peu sera presque automatiquement carencée.

Habitez-vous au nord de Rome ?
Il faut savoir que, tant que vous êtes au nord de Rome, les rayons du soleil sont de toute façon trop inclinés d'octobre à avril, pour vous permettre de fabriquer de la vitamine D.

Pour moi, il s'agit d'un scandale de santé publique que les autorités restent silencieuses à ce sujet : en informant mieux la population, elles pourraient faire économiser des dizaines de milliards d'euros chaque année aux systèmes de santé, grâce à toutes les maladies qui seraient évitées.

Une vaste campagne d'information permettrait surtout d'épargner à des centaines de milliers de personnes des traitements lourds, coûteux, pénibles, quand ils ne sont pas mutilants, pour des maladies qui auraient pu facilement être prévenues grâce à des apports adéquats en vitamine D.

C'est pourquoi, à notre échelle, nous continuons notre grande campagne d'information sur la vitamine D :
J'appelle tous les lecteurs responsables de Néo-nutrition à se prendre en main, mais également à en parler à leur entourage en transférant largement ce message, et même à offrir partout autour d'eux de la vitamine D.
C’est un cadeau original, pas cher, et franchement utile.

Voici un petit rappel des bienfaits de la vitamine D :
La vitamine D est bonne pour le moral
Quand vous vous promenez au soleil, sur la plage, à la montagne ou dans la campagne, sentez-vous cette joie qui vous réchauffe le cœur ? Vous pouvez dire merci au soleil, aux douces ondes du ciel bleu, et à votre taux de vitamine D qui remonte dans votre sang.

Car la vitamine D est rare dans l'alimentation.
Votre principale source est la vitamine D que votre peau fabrique sous l'effet des rayons du soleil.

Vous bénéficiez d'un effet antidépresseur démontré par la science.
Mieux encore, la fameuse « dépression saisonnière » qui saisit beaucoup de gens l'automne et l'hiver, serait liée au manque de vitamine D, tout simplement [2].

Les études avaient déjà montré que les personnes très déprimées avaient souvent un faible taux de vitamine D, mais on sait maintenant que c'est aussi le cas des petites déprimes.

Selon les chercheurs, celles-ci commencent typiquement huit semaines après les derniers pics d'exposition au soleil, soit au mois de novembre.

La vitamine D réduit les infections et les allergies
Plus de promenades au soleil, c'est moins de maladies infectieuses.

La tuberculose elle-même était autrefois soignée par des bains de soleil, d'où la création des fameux « sanatoriums » en montagne ou sur les bords de mer ensoleillés.
On donnait aussi aux malades de l'huile de foie de morue, riche en vitamine D.
Le traitement pouvait être efficace, mais les médecins ignoraient à l'époque que cela tenait, dans un cas comme dans l'autre, à la vitamine D.

Aujourd'hui, on constate un pic de rhume, grippe, gastro, au milieu de l'hiver, quand le niveau de vitamine D de la population descend au plus bas.
Un lien entre les deux phénomènes a pu être établi [3].

Car la vitamine D joue un rôle crucial pour réguler le système immunitaire.

Et cela joue dans les deux sens [4] :
D'une part, elle rend plus résistant contre les infections.

D'autre part, elle évite les réactions exagérées du système immunitaire, comme les allergies et les maladies auto-immunes.
Ce sont des maladies où le corps s'attaque lui-même, et qui sont très difficiles à traiter car on ne peut les arrêter sans affaiblir les défenses naturelles de l'organisme.

Mais les études ont montré que si ces problèmes ont déjà éclaté, ils pouvaient être efficacement contenus grâce à un meilleur taux de vitamine D dans le sang.
Cela inclut la polyarthrite rhumatoïde mais aussi la thyroïdite de Hashimoto, la sclérose en plaques, la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique, le syndrome de Goujerot-Sjögren, le lupus ou le psoriasis.

La vitamine qui donne les os solides
C'est le bienfait le plus connu de la vitamine D.

Chacun sait en effet que les enfants qui manquent de vitamine D deviennent rachitiques.
Les adultes qui manquent de vitamine D souffrent (entre autres) de déformation des os, de manque de densité osseuse, favorisant les fractures et donc les handicaps [5].

Pour avoir des os solides cependant, la plupart des gens se contentent de prendre des minéraux, comme le calcium et le magnésium.

Le problème est que, lorsque vous prenez du calcium alors que vous manquez de vitamine D et de vitamine K, le calcium ne va pas se fixer sur vos os.
Il se dépose dans vos vaisseaux sanguins qui calcifient, ce qui prédispose aux infarctus, et même dans vos yeux, qui développent alors la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) [6].

En revanche, avec la vitamine D et la vitamine K, non seulement le calcium va se fixer sur vos os, mais vous allez beaucoup mieux l'absorber au niveau de l'intestin [7].

La vitamine D bonne pour le cerveau (et contre l'Alzheimer)
En vieillissant, nos fonctions cognitives, c'est-à-dire notre mémoire, notre rapidité d'esprit, nos perceptions, déclinent naturellement. Cependant, les scientifiques ont découvert que l'apparition de démences est associée à un manque de vitamine D.

Les chiffres sont impressionnants : selon une étude de 2012, les personnes âgées qui ont peu de vitamine D dans le sang (moins de 25 nmol/L) ont quatre fois plus de risques de problèmes cognitifs que celles qui ont de bons niveaux (plus de 75 nmol/L) [8].

Dans une autre étude, les chercheurs ont constaté que les personnes qui ont peu de vitamine D ont 69 % de risques supplémentaires de maladie d'Alzheimer que celles qui ont un niveau normal.
Les personnes très carencées ont même une hausse de leur risque d'Alzheimer de 120 % [9].

La vitamine D bonne contre les AVC
Des études ont aussi montré qu'il existe un lien entre un faible taux de vitamine D et un risque élevé de gros accident vasculaire cérébral, rupture d'anévrisme, et AVC mortel [10].

La vitamine D aide à atteindre son poids optimal
Une étude publiée dans la revue scientifique American Journal of Clinical Nutrition a conclu qu'un taux adéquat de vitamine D peut aider les femmes en surpoids à perdre leurs kilos en trop.

Deux groupes de femmes ont reçu des compléments de vitamine D ou un placebo (fausse vitamine D).
Après 12 mois, celles qui avaient pris les compléments de vitamine D avaient perdu en moyenne 9,5 kilos, contre 6 kilos pour les autres [11].

La vitamine D vous fait vivre plus longtemps
En un mot comme en cent, le manque de vitamine D est lié à une forte hausse du risque de décès, toutes causes confondues, y compris par crise cardiaque et par cancer [12].

A noter que la vitamine D3 est, expérimentalement, un inhibiteur puissant des tumeurs.
Elle peut « ordonner » à des cellules cancéreuses de se comporter à nouveau comme des cellules saines.
Elle favorise leur suicide cellulaire et freine leur prolifération [13].

Qu’attendez-vous ?
Est-ce que ce sont les études scientifiques qui vous manquent ?

Est-ce le prix ? Sachant qu'un complément naturel de vitamine D, tout bio, tout végétal, tout garanti pureté maximum, ne coûte que quelques euros pour toute l'année.

Sachant aussi que l'offre est de plus en plus variée dans ce domaine, de la traditionnelle vitamine D du laboratoire D.Plantes jusqu'au nouveau complément vitamine D associée à la vitamine K2 MK7 de Cell'Innov ?

Quelle quantité prendre ?
L'idéal est de déterminer précisément quel est votre taux de vitamine D, en vous faisant mesurer votre taux sérique (taux dans le sérum sanguin, le sérum étant le liquide de votre sang, dans lequel baignent vos globules).

Visez un taux de vitamine D supérieur à 50 ng/mL, c’est celui qui apparaît comme protecteur contre les maladies chroniques dans les études scientifiques.

Pour atteindre ce taux, un complément alimentaire quotidien de 4000 UI de vitamine D est nécessaire, plus si vous sortez rarement, si vous êtes sous traitement médical, en surpoids ou si vous êtes âgé.

Contrairement à ce qui est raconté un peu partout, il n'y a aucun danger à prendre de la vitamine D, jusqu'à 20 000 UI par jour sur le long terme : c’est ce que viennent de démontrer conjointement les chercheurs en santé publique de l’université d’Alberta (Canada) et de l’université d’Harvard (Etats-Unis) [14].

Les rares cas d'intoxication répertoriés concernent des prises de 25 000 UI ou plus, sur de très longues périodes.

Sous quelle forme ?
Rien n'est plus facile à trouver que de la vitamine D.

Ma préférence va cependant à la vitamine D3 naturelle (la forme la plus proche de celle synthétisée au soleil par votre peau), qui se prend quotidiennement.

Les apports sont donc plus réguliers, et correspondent mieux aux apports naturels que les doses « flash » de 50 000 ou 100 000 UI (Uvédoses).

Il existe plusieurs formes de vitamine D3 disponibles dans le commerce bio et en pharmacie : en comprimés, en gélules softgels, ou sous forme huileuse et biologique – la plus pratique à mon avis :
Vous avez un petit flacon spécialement conçu pour être transportable sans risque de se casser, et que vous pouvez avoir en permanence dans le tiroir de votre bureau, votre sac-à-main, ou même votre poche.

Un seul flacon dure six mois, soit une saison entière de vitamine D (octobre à mars), pour une personne.

Il suffit d'en prendre quelques gouttes, directement sur la langue, à n'importe quel moment de la journée.

Il n'y a pas à casser d'ampoule, ni à avaler de comprimé ou de gélule indigeste ;

Vous n'absorbez pas d'additif douteux ou chimique en même temps que votre vitamine D.

Le laboratoire D.Plantes propose depuis longtemps de la vitamine D3 sous forme huileuse dosée à 400 UI par goutte (voir ici).

Nouveau : Une innovation récente consiste à associer vitamine D3 et vitamine K2 (MK7).

Plusieurs études montrent en effet que prendre de la vitamine D3 en même temps que la vitamine K2 (MK7) est indispensable pour bien orienter le calcium dans vos os plutôt que dans vos artères.

Ainsi vous renforcez considérablement les effets de la vitamine D3 et du calcium sur la solidité de vos os [15] et vous protégez votre cœur des risques de calcification artérielle qui peuvent causer de nombreuses maladies cardiovasculaires [16].

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

Sources sur le site.

Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés.
Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués.
L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs.
Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.

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MessageSujet: Re: VITAMINES    VITAMINES  - Page 6 EmptyLun 24 Oct 2022 - 14:23

source source https://www.pure-sante.info/

Vitamine D : « simply the best »
Chère lectrice, cher lecteur,
J’avoue que c’est une interprétation très personnelle, mais je trouve que la célèbre chanson de Tina Turner « Simply the best » (« Simplement la meilleure ») est une ode déguisée à… la vitamine D.


Evidemment, ce n’est pas ce qu’on voit immédiatement quand on regarde Tina Turner chanter sur scène .

Mais observons les paroles dans le détail :
« Tu me donnes tout ce dont j'ai besoin
Tu me donnes les promesses d'une vie et un monde de rêves
Chaque fois que tu me quittes je perds le contrôle
T’es simplement la meilleure !! »

Et maintenant regardez ce que disent les études scientifiques les plus récentes sur la vitamine D :
Une grande étude parue en juin 2014 dans le British Medical Journal a indiqué que des taux bas de vitamine D sont liés à une augmentation de la mortalité de 57 % toutes causes confondues [1].

Selon une étude réalisée par les trois spécialistes de la vitamine D – WB Grant, CF Garland, et MF Holick – la seule Grande-Bretagne connaîtrait 22 000 morts de cancer en moins chaque année si la population avait un meilleur taux de vitamine D.

En incluant la France et les autres pays tempérés dans le calcul, on arriverait à des millions de vies sauvées chaque année.

Si vous passez de l’état de carence (moins de 10 ng de vitamine D par mL de sang) à l’état optimal (entre 50 et 75 ng/mL), vus obtenez les effets suivants :
Votre risque d’infarctus baisse de 50 %

Votre risque de sclérose en plaques baisse de 80 %

Votre risque de grippe baisse de 83 %

Votre risque de fracture et d’ostéoporose baisse de 50 %

Votre risque de diabète de type 1 baisse de 71 %

Votre risque de cancer du sein baisse de 83 %

Votre risque de cancer du côlon baisse de 80 %

Votre risque de leucémie baisse de 50 %

Votre risque de cancer du pancréas, de la vessie et du rein baisse de 65 à 75 %

Votre risque d’asthme baisse de 63 % [2]

Tout ça avec une simple vitamine, qui ne coûte que quelques centimes par jour !
C’est pas the best, la D ?

Un petit problème (et une solution)
Et pourtant, malgré ces bienfaits incomparables pour la santé, l’Institut de veille sanitaire estime que 80 % des Français ont une insuffisance en vitamine D (étude d’avril 2012) [3].

La vitamine D est rare dans l’alimentation.
Notre principal apport vient en principe de notre peau, qui la fabrique sous l’effet des rayons solaires UVB.

Mais encore faut-il s’exposer largement au soleil tous les jours !

Aujourd’hui, malheureusement, la plupart des Occidentaux passent l’essentiel de leur temps chez eux, au bureau, en voiture, dans les magasins, ou encore dans des institutions (écoles, hôpitaux, maisons de retraite).

Il en résulte un déficit massif qui ne peut être compensé que par la prise quotidienne d’un complément de vitamine D, sous forme d’huile ou de comprimés.

Concernant la dose, les spécialistes recommandent généralement de 2000 UI (unités internationales) à 6000 UI par jour pour un adulte, et de 500 UI à 2000 UI par jour pour un enfant (en fonction de son âge).

Dans tous les cas, aucun risque d’intoxication n’est à craindre à ce niveau.
Il n’a jamais été observé de cas de toxicité avec des doses inférieures à 40 000 Ul par jour, et ce pendant plusieurs années.
Vous avez donc de la marge…

Une dernière chose, veillez à bien choisir la vitamine D3 [4], qui passe deux fois mieux dans le sang que la vitamine D2.

Ces plastiques qui rendent gros et fatigué
Les phtalates sont des composés qui rendent les plastiques flexibles et faciles à mouler.

On en trouve dans les cadres de fenêtres, les ballons, les rideaux de douche, les nappes, les imperméables, mais aussi dans les aliments industriels et les cosmétiques, puisqu’ils migrent très facilement des emballages vers les produits.

Une étude Américaine [5] a montré que les individus les plus exposés aux phtalates avaient des taux de testostérone plus bas que les autres.

Conséquences chez les femmes comme chez les hommes : fatigue, prise de poids, baisse de la libido, problèmes de mémoire et de concentration.

En attendant une réaction des autorités de santé (d’ici le prochain millénaire probablement), on peut limiter son exposition à ces composés en évitant l’achat de produits cosmétiques superflus, en ne faisant jamais chauffer des emballages plastique et en diminuant la consommation de laitages dont les graisses concentrent les produits chimiques environnementaux.

Un bain comme vous n’en avez jamais pris
Si je vous demande « savez-vous prendre un bain », je vois d’ici votre réponse :
« Ben oui, je sais prendre un bain, ça ne va pas bien de poser des questions aussi idiotes !!! »

Je reconnais que la question est un peu surprenante. Mais vous allez voir que ce n’est pas du tout aussi simple qu’on croit.

D’abord, il s’agit de choisir la bonne température :
Une eau tiède pour calmer les tensions nerveuses, musculaires, ou soulager les raideurs articulaires ?
Ne dépassez pas alors 38°…

Une eau chaude purificatrice, qui dilate les capillaires et stimule la combustion d’énergie dans les cellules ?

Une eau froide (35°) fortifiante, qui augmente la pression artérielle et ralentit les battements du cœur ?

Ce n’est pas tout : vous allez voir qu’un bain complet répond à d’autres règles encore plus précises.

Et surtout qu’il faut y ajouter certaines plantes, sélectionnées avec précision et délicatesse.
Pour cela nous vous montrons comment préparer un petit sachet en voile de coton à glisser sous le robinet pendant que le bain se remplit.

Si vous voulez un bain réconfortant, mettez camomille, lavande et rose dans votre sachet.
Pour la peau douce : calendula et consoude. Un bain antidouleur, lui, se prépare avec un mélange bien dosé d’arnica et de reine des prés…

Vous découvrirez aussi le bain de bras chaud contre le rhume (attention à bien le faire au coucher) ou encore le bain oculaire contre les irritations des yeux et des paupières…

Voilà pour le bain complet.
D’autres surprises ?
Rendez-vous ici   pour découvrir quelles plantes mettre dans votre bain et en quelles circonstances.

Flash ++
Faire sa pommade de consoude cicatrisante.
On broie de la racine fraîche épluchée.
La texture est gluante et collante.
On la mélange à de la vaseline.
On porte le tout à ébullition et on laisse reposer une nuit.
La mixture est ensuite filtrée et mise en pot pour servir à tout moment.
La vaseline se sera chargée des principes actifs de la consoude.
Quant aux propriétés cicatrisantes de la consoude, elles sont dues à la présence en abondance d’allantoïne, agent efficace du renouvellement cellulaire.

++ Barres de céréales : c’est niet ! Vous avez peut être l’impression que c’est sain, bon pour votre ligne et votre santé.
Erreur : les barres de céréales ne valent pas mieux que les barres chocolatées.
Même si elles sont bio et issues du commerce équitable… Ces barres, souvent préparées à base de flocons d’avoine, ne comportent en fait que très peu de fibres (1 à 3 g seulement).
En revanche, elles sont très riches en sucres ajoutés : beaucoup contiennent un mélange explosif de sucre, de sirop de maïs et de miel.
Sans parler de celles qui ont des pépites de chocolat ou des fruits secs.
Ces grandes quantités de sucres peuvent augmenter la glycémie, les niveaux d'insuline et favoriser l'inflammation.
Un conseil : s’abstenir.

++ Et comme on dit au Japon, « celui qui confesse son ignorance la montre une fois, celui qui essaie de la cacher la montre à chaque fois ».

Santé !

Gabriel Combris

Sources :
[1] Vitamin D and mortality : meta-analysis of individual participant data from a large consortium of cohort studies from Europe and the United States

[2] Selon les données réunies par D*Action, organisme américain réunissant les spécialistes de la vitamine D, et dont l’ambition est d’éradiquer l’épidémie mondiale de déficience en vitamine D actuellement observée.

[3] Medscape, voir article 3388747

[4] Tripkovic L et al. Comparison of vitamin D2 and vitamin D3 supplementation in raising serum 25-hydroxyvitamin D status: a systematic review and meta-analysis. Am J Clin Nutr 2012;95(6):1357-64.

[5] John D. Meeker, Kelly K. Ferguson. Urinary Phthalate Metabolites Are Associated With Decreased Serum Testosterone in Men, Women, and Children From NHANES 2011–2012. The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, 2014

VITAMINES  - Page 6 1907270423216491716332110

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MessageSujet: Re: VITAMINES    VITAMINES  - Page 6 EmptyLun 24 Oct 2022 - 14:23

source http://www.reponsesbio.com/2015/12/02/la-vitamine-d3-a-hautes-doses-une-veritable-panacee/

La vitamine D3 à hautes doses, une véritable panacée
2 décembre 2015
Populairement connue pour aider à fixer le calcium dans les os, la vitamine D a toutefois beaucoup d’autres emplois possibles…
… A condition d’être prise à hautes doses !


La vitamine D est une vitamine liposoluble que l’on trouve dans les aliments mais que l’organisme peut également fabriquer après une exposition aux rayonnements du soleil puisque ceux-ci déclenchent sa synthèse dans une région profonde de la peau, à partir du déhydrocholestérol, le précurseur immédiat du cholestérol.

L’avantage de cette vitamine D « solaire » est qu’elle passe directement dans le sang.

Quant à la vitamine D d’origine alimentaire, elle est absorbée avec des graisses dans l’intestin grêle, et rejoint ensuite la circulation générale.

Dans les suppléments nutritionnels, elle existe sous les formes D2, ou ergocalciférol, et D3, ou cholécalciférol.

Mais dans le foie, toutes deux sont converties en 25-hydroxy-vitamine D, ou 25(OH)D.

Au plan de la valeur de la supplémentation, il faut savoir que la vitamine D2 n’a que 20 à 40 % de l’efficacité de la vitamine D3 en ce qui concerne le maintien des concentrations sériques de 25-hydroxy-vitamine D.

En effet, elle est plus rapidement dégradée dans l’organisme.

Voilà pourquoi on préfère généralement employer la vitamine D3.

Un remarquable préventif du cancer
L’implication de la vitamine D dans la santé des os est connue depuis longtemps.

Un de ses principaux rôles biologique est de maintenir des niveaux sanguins appropriés de calcium et de phosphore.

En favorisant l’absorption du calcium, elle aide à former et à entretenir des os solides.

Mais depuis une quinzaine d’années, les recherches montrent que la vitamine D pourrait avoir de nombreux autres effets bénéfiques… à condition d’être administrée à doses appropriées.

Aujourd’hui, en effet, de nombreux travaux scientifiques ont conduit certains scientifiques à penser que l’utilisation de la vitamine D pourrait diminuer le risque de 17 types différents de cancers, incluant ceux du côlon, des seins, de la prostate, des ovaires, de l’œsophage, des reins ou de la vessie.

Elle pourrait même améliorer les résultats de traitements de patients avec un cancer déjà diagnostiqué.

Le Dr Cedric Garland, spécialiste de la prévention du cancer au Moores Cancer Center de l’université de Californie à San Diego, estime par exemple que 250 000 cas de cancer du côlon et 350 000 cas de cancer du sein pourraient être prévenus chaque année dans le monde si l’on augmentait la consommation de vitamine D3.

Mais que veut dire « augmenter » ?
D’après ces études, l’effet protecteur de la vitamine D vis-à-vis du risque de contracter l’un de ces deux cancers commence lorsque l’on atteint des niveaux sériques de 25(OH)D allant de 24 à 32 ng/ml, ce qui correspond à une prise quotidienne de 2000 UI de vitamine D3.

C’est à ce taux que, selon deux méta-analyses combinant les données de multiples rapports, la vitamine D préviendrait la moitié des cas de cancer du sein et deux tiers de ceux du côlon aux Etats-Unis.

Cedric Garland, coauteur de ces études, a déclaré : « Les données étaient très claires et montraient que les personnes du groupe ayant les plus faibles concentrations sanguines de vitamine D avaient les taux les plus élevés de cancer du sein et que ces taux chutaient lorsque les niveaux sanguins de 25(OH)D augmentaient.

Les concentrations sériques associées à une réduction de 50 % du risque pourraient être maintenues par la prise quotidienne de 2000 UI de vitamine D3 associée, lorsque le temps le permet, à 10 à 15 minutes d’exposition au soleil ».

Quant à l’étude sur le cancer colorectal, c’est Edward Gorham qui déclare :

« Cette méta-analyse a montré qu’élever les concentrations sériques de 25(OH)D jusqu’à 34 ng/ml réduirait de moitié l’incidence du cancer colorectal.

« Nous prévoyons une réduction des deux tiers de l’incidence avec des concentrations sériques de 46 ng/ml qui correspondraient à la prise quotidienne de 2000 UI de vitamine D3.

« La meilleure façon de les obtenir serait d’associer l’alimentation, des suppléments nutritionnels et 10 à 15 minutes d’exposition quotidienne au soleil ».

Enfin, d’autres études ont également suggéré que la vitamine D pourrait aider à prévenir ou à ralentir la récurrence ou la progression du cancer de la prostate chez des patients ayant été traités pour cette maladie, ainsi que le taux de survie de malades atteints d’un cancer des poumons.

De nombreux autres bienfaits
Au-delà de la prévention du cancer, la vitamine D3 exerce aussi un effet immunomodulateur qui pourrait bien avoir une influence sur les refroidissements de l’hiver.

Un article scientifique, notamment, émet l’hypothèse que des infections saisonnières, comme la grippe, pourraient être dues à une diminution des concentrations de vitamine D pendant la période hivernale et non à une augmentation de l’activité virale.

Il n’y a d’ailleurs rien d’étonnant à cela puisque la vitamine D3 régule les lymphocytes T, indispensables au bon fonctionnement du système immunitaire, mais surtout parce qu’elle prévient la production excessive des cytokines inflammatoires.

De plus, elle augmente le taux de peptides antimicrobiens comme les neutrophiles, les monocytes, les cellules naturelles tueuses et les cellules tapissant le système respiratoire.

C’est pourquoi cette vitamine joue un rôle majeur dans la protection des poumons contre les infections.

Par ailleurs, il a été démontré que de faibles niveaux de 25(OH)D sont associés à une prévalence plus élevée d’hypertension, de diabète, d’obésité et de niveaux sériques élevés de triglycérides.

Concernant le diabète, la vitamine D, en ralentissant la perte de sensibilité à l’insuline chez les sujets présentant des signes annonciateurs de cette maladie, diminue la prédisposition au diabète de type II.

Les chercheurs ont tiré, de leurs nombreuses études sur la question, la conclusion que supplémenter des personnes âgées ayant des niveaux de glycémie perturbés pourrait aider à éviter le syndrome métabolique et le diabète.

Chez des patients souffrant d’une insuffisance cardiaque congestive, la prise quotidienne de 2000 UI de vitamine D associés à 500 mg de calcium a diminué le niveau de cytokines pro-inflammatoires en partie responsables de leur état.

Dans un essai en double aveugle, 123 patients avec une insuffisance cardiaque congestive ont reçu quotidiennement de façon aléatoire 2000 UI de vitamine D et 500 mg de calcium ou un placebo et 500 mg de calcium pendant 9 mois.

Les patients supplémentés ont vu augmenter de façon importante leurs niveaux de cytokine anti-inflammatoire interleukine 10 et diminuer ceux de la cytokine pro-inflammatoire facteur nécrosant des tumeurs.

Les scientifiques pensent donc, là encore, que la vitamine D, en diminuant l’environnement inflammatoire des patients ayant une insuffisance cardiaque congestive, constitue un traitement prometteur.

Enfin, une étude randomisée contrôlée a montré qu’une supplémentation quotidienne avec 1200 mg de calcium et 800 UI de vitamine D3 pendant trois mois réduisait de 49 % le risque de chute de personnes âgées en établissement de long séjour.

Un dosage élevé… mais qui reste prudent !
La vitamine D est généralement bien tolérée chez les adultes, à des doses quotidiennes pouvant aller jusqu’à 2000 UI.

Une équipe de chercheurs, après avoir examiné 21 études et essais cliniques réalisés sur l’homme avec des doses bien supérieures à celles recommandées par les autorités sanitaires, en est arrivée à la conclusion que la vitamine D3 pourrait même être utilisée sans risque et sans effet secondaire jusqu’à 10000 UI quotidiennes.

Pendant ce temps, en France, bien sûr, l’Afssa, Agence française de sécurité sanitaire, estime qu’il suffit de 200 UI de vitamine D à un adulte pour rester en bonne santé !

Cela étant, au-delà de 2000 UI par jour, il est préférable de faire des analyses de sang mensuelles en raison d’un très faible risque de toxicité rénale ou d’excès de calcium dans le sang.

Et, bien sûr, en cas de maladie rénale, il est fortement recommandé de ne pas prendre de vitamine D3 sans l’avis de votre thérapeute.

Jean-Baptiste Loin

Sur Le Même Sujet :
http://www.reponsesbio.com/2015/12/02/la-vitamine-d3-a-hautes-doses-une-veritable-panacee/
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MessageSujet: Re: VITAMINES    VITAMINES  - Page 6 EmptyLun 24 Oct 2022 - 14:24

source https://www.sante-corps-esprit.com/vitamine-d/#respond

7 vérités sur la plus puissante des vitamines
11 janvier 2017


Au début de l’année 2017, la presse a révélé qu’un nourrisson était mort… quelques heures après avoir ingéré un médicament contenant de la vitamine D (Uvestérol) !

Cela suscite forcément des interrogations !
D’autant qu’il y a une énorme désinformation autour de la vitamine D.

Est-elle dangereuse ?
Pourquoi faudrait-il en avaler alors que nos ancêtres semblaient très bien s’en passer ?
À quelle dose ?
Quelles sont les marques de confiance ?

Cette lettre est consacrée à mettre points sur les i, une bonne fois pour toutes.

Car vous avez le droit de profiter – et de faire profiter vos proches – de cette vitamine extraordinaire, en toute sécurité.

Question 1 : la vitamine D peut-elle tuer ?
La réponse tient en trois mots : non, non et non !

Ou alors, il faudrait répondre « oui » à la question « l’eau peut-elle vous tuer » ?

Car tout, dans la nature, peut être dangereux dès que vous en prenez en excès – souvenez-vous, lors des dernières canicules, des vieillards sont morts parce qu’ils avaient bu trop d’eau. [1]

C’est pareil avec la vitamine D : il faut évidemment éviter les surdoses.

Et pour que vous réalisiez à quel point cette vitamine est sans danger, je voudrais vous parler de l’incroyable histoire qui est arrivée à Peter.

Peter s’est présenté en 2009 à l’hôpital universitaire de Boston, aux États-Unis.
Depuis quelques semaines, il se sentait mal, fatigué, désorienté et n’arrêtait pas d’uriner. [2]

Pourquoi ? Parce qu’il avait acheté de la vitamine D auprès d’un laboratoire américain peu sérieux… et que ce laboratoire avait commis une terrible erreur d’étiquetage et de dosage.

Résultat : Peter ne prenait pas 1 600 UI par jour, comme il le pensait…
Mais 1 864 000 UI par jour, depuis 3 semaines !

C’est-à-dire plus de 1 000 fois la dose qui lui avait été prescrite !!

Eh bien malgré ce surdosage hallucinant, il a suffi de 2 mois pour que Peter soit totalement remis sur pied… sans la moindre séquelle !

C’est une différence colossale avec n’importe quel médicament classique.

Si vous avez un jour le malheur d’avaler ne serait-ce que 3 fois la dose maximale de Doliprane autorisée, vous êtes quasiment assuré de mourir dans les 24 heures.
Dans le meilleur des cas, vous survivrez parce qu’on aura eu le temps de vous greffer un foie tout neuf.

Vous voyez à quel point, par comparaison, la vitamine D est une substance peu toxique !

Question 2 : Oui, mais alors, de quoi est mort ce nourrisson ?
La seule certitude, c’est qu’il n’est pas mort à cause de la vitamine D !

Jamais une dose raisonnable de vitamine D ne fera le moindre mal à un nourrisson.

Si vous avez encore un doute, songez que le lait maternel peut contenir beaucoup de vitamine D !

Donc si la mort tragique de ce bébé est liée au médicament Uvestérol, ce n’est en aucun cas à cause de la vitamine D.

Le plus probable est que la mort ait été causée par le mode d’administration.
L’Uvestérol se donne en pipette (plutôt qu’en gouttes), ce qui peut provoquer une « fausse route ».
La fausse route, c’est lorsque le liquide tombe dans les poumons plutôt que dans l’estomac… ce qui peut vous empêcher de respirer, et causer des drames quand cela touche des bébés.

Ce risque est connu depuis 2006. Mais de toute façon, aucun médecin sérieux ne devrait prescrire l’Uvestérol à des nourrissons :

Parce qu’il contient un nombre invraisemblable d’excipients chimiques potentiellement dangereux: acide citrique anhydre, acide édétique sel disodique, gallate de propyle, glycérol, phosphate disodique dodecahydrate, polysorbate 80, potassium sorbate, propylène-glycol, saccharine sodique, sodium hydroxyde (le plus contestable étant la saccharine, un édulcorant soupçonné de causer le diabète de type II [3] ) ;
Et parce qu’il contient de la vitamine D2 (ergocalciférol) et non de la vitamine D3 (cholécalciférol), alors que la vitamine D3 est de loin la plus efficace [4] – car c’est la vitamine que notre corps fabrique naturellement au contact du soleil.

Donc je tiens à rassurer tous les jeunes parents : oui, vous pouvez continuer à donner de la vitamine D3 à vos enfants sans le moindre problème (en gouttes, ZymaD par exemple).

Mais j’irai plus loin encore : pour la santé de vos enfants, vous devez leur en donner.

Ce qui m’amène à la question de Marc : « Pourquoi pour nous, après la guerre, la vitamine D n’était pas indispensable pour les nourrissons ? Ces supplémentations n’existaient pas et malgré le peu de nourriture il y avait quand même peu de rachitisme. Merci »

Question 3 : pourquoi les bébés et les adultes devraient-ils prendre de la vitamine D ?
C’est une question tout à fait légitime.

Normalement, la nature fait bien les choses.
Alors pourquoi serions-nous carencés « naturellement » en vitamine D ?
Pourquoi les parents doivent-ils passer par la pharmacie pour que leur bébé grandisse correctement ?

La réponse est fascinante : en fait, la Nature a tout prévu… sauf notre mode de vie moderne !

Je vous rappelle que la vitamine D est quasiment absente de l’alimentation : la seule manière d’en obtenir des doses suffisantes naturellement est d’exposer notre peau aux UVB du soleil.

Or voici deux caractéristiques essentielles de nos ancêtres du Paléolithique, qui ont vécu en Afrique de l’Est pendant des centaines de milliers d’années :
Les hommes et les femmes avaient des taux très élevés de vitamine D, grâce à leur exposition toute l’année, à moitié nus, sous un soleil de plomb.
Et toutes les mères allaitaient leurs bébés jusqu’à 3 ans – et transmettaient ainsi à leurs enfants la totalité de la vitamine D dont ils avaient besoin… jusqu’à l’âge où ils pouvaient commencer à s’exposer au soleil.
Grâce à des études récentes, on en est sûr : donner de la vitamine D aux nourrissons est inutile dans deux cas, et deux cas uniquement : lorsque la mère allaite… et que son taux de vitamine D dans le sang est très élevé. [5]

Mais de nos jours toutes les mères n’allaitent pas. Et surtout, même lorsqu’elles le font, la plupart d’entre elles sont carencées en vitamine D, et ne peuvent donc pas en transmettre suffisamment à leur nourrisson !

Et pourquoi sommes-nous presque tous carencés aujourd’hui, hommes et femmes ?

Eh bien parce qu’en Europe et en Amérique du Nord, le soleil est trop faible d’octobre à avril pour avoir le moindre impact sur nos réserves de vitamine D… et parce que de mai à septembre, nous passons l’essentiel de notre temps entre quatre murs (maison, bureau) !

Et pour couronner le tout, les autorités vous demandent sur tous les tons de vous badigeonner de crème à la moindre exposition au soleil… alors que la crème solaire bloque les bons UVB qui vous permettent de synthétiser la vitamine D !

Pas étonnant, dans ces conditions, que l’Institut National de Veille Sanitaire ait découvert en 2012 que 80 % des Français étaient gravement carencés en vitamine D !

C’est une véritable catastrophe sanitaire.

Car il suffit de regarder l’histoire de notre espèce pour comprendre pourquoi cette vitamine est vitale :

Question 4 : pourquoi la vitamine D serait-elle aussi importante pour la santé ?
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les êtres humains n’avaient pas tous la même couleur de peau ?
Pourquoi la peau s’éclaircit, à mesure que l’on progresse vers le Nord – les scandinaves ayant une peau extrêmement blanche ?

La réponse est : pour mieux synthétiser la vitamine D !!!

Car plus vous avez la peau claire, plus vous synthétisez facilement la vitamine D au soleil.

Et si vous vivez dans l’hémisphère Nord, vous avez vraiment besoin que votre peau « capte » la vitamine D au maximum… car le soleil est beaucoup moins efficace que sous les tropiques !

En France, au-dessus des Pyrénées, il est inutile d’espérer la moindre dose de vitamine D d’octobre à avril.
Pour les Suédois, la « fenêtre de tir » pour faire ses réserves de vitamine D est encore plus courte.

Les premiers Africains qui ont gagné l’Europe étaient donc sérieusement carencés en vitamine D.
Il a fallu des milliers d’années pour que leur couleur de peau s’adapte à leur nouvel environnement.

Cela s’est fait par sélection naturelle : ceux qui avaient la peau un peu plus claire ont davantage survécu que les autres… et ainsi de suite, de génération en génération… jusqu’à ce qu’ils deviennent tous blancs !

Mais une évolution de ce type, cela prend du temps.
Et notre environnement moderne, fait de vie de bureau et de crème solaire, est beaucoup trop récent pour que nous ayons eu le temps de nous adapter.

Alors en attendant les quelques milliers d’années nécessaires, vous avez tout intérêt à prendre de la vitamine D !

Surtout que des milliers d’études scientifiques ont confirmé à quel point cette vitamine était essentielle pour la santé – et pas seulement pour vous donner des os solides :
La vitamine D vous protège contre le cancer, notamment du sein [6] et de la prostate [7] ;
La vitamine D soutient la santé du cerveau [8] : elle réduit le risque de dépression, d’Alzheimer et ralentit la progression de Parkinson [9] ;
La vitamine D abaisse la tension artérielle[10] et protège votre cœur contre le risque d’infarctus. [11]
Et bien sûr, la vitamine D vous protège… contre les infections, et la grippe en particulier ! [12]

Question 5 : pourquoi les autorités de santé n’en parlent pas davantage ?
Tout simplement parce qu’elles ont toujours un ou deux trains de retard, dès il s’agit de remèdes naturels.

La culture du « tout médicament chimique » est aujourd’hui très forte. Imaginer qu’une vitamine peut aider à guérir le cancer ou à freiner Parkinson est encore tabou – et les études scientifiques sur ce sujet sont relativement récentes.

En plus, nos autorités ne s’intéressent pas à la prévention.
Elles ne sont pas prêtes à demander à toute la population de prendre tous les jours une vitamine, toute leur vie…
D’autant que cela coûterait cher, au départ, à la Sécurité sociale.

Évidemment, au bout de quelques années, l’investissement serait sans doute mille fois remboursé, grâce à toutes les maladies qui auraient été évitées.

Mais nos autorités ont un esprit comptable et étriqué… surtout quand personne ne fait du lobbying auprès des décideurs pour les convaincre de changer leurs habitudes.

Rappelez-vous que la vitamine D est un remède naturel qu’aucun grand labo ne peut « breveter ».
Résultat, elle ne rapporte pas grand-chose à ses fabricants… et personne ne se bouscule au portillon des ministères pour peser sur les décisions officielles.

C’est désolant, mais c’est comme ça (et c’est précisément la raison pour laquelle je prends la peine de vous écrire : pour que vous soyez informé des dernières découvertes de la science, des années avant que le « système » ne bouge le petit doigt).

Question 6 : quel dosage de vitamine D atteindre ?
Si vous êtes d’un naturel inquiet, vous pouvez faire doser votre vitamine D dans le sang.

On vous dira que vous êtes carencé si votre taux de vitamine dans le sang est inférieur à 20 ng/mL.

Mais c’est une estimation beaucoup trop basse. Les meilleurs spécialistes estiment qu’un taux inférieur à 40 ng/mL est déjà problématique… et que vous devriez viser un taux au moins situé entre 50 et 60.

Personnellement, quand j’ai fait mon premier dosage, j’étais à… 18 ng/mL, alors que je revenais de vacances au soleil, dans le Sud de la France.
Bref, comme beaucoup de monde, j’étais gravement carencé.

Mais aujourd’hui, je ne considère même pas qu’il soit nécessaire de faire une prise de sang.

Étant donné l’importance capitale de cette vitamine, et son absence totale de dangerosité à des doses raisonnables, je recommande à tous mes proches de prendre 4 000 UI par jour (2 000 minimum).

Pour les nourrissons, les besoins sont de 1 000 UI par jour en gouttes, jusqu’à l’âge de deux ans.
Mais n’arrêtez pas d’en donner après deux ou trois ans : tout le monde en a besoin, comptez grosso modo 1 000 UI de plus à chaque seuil de 15 kilos de poids corporel.

Je sais bien que ce sont des doses très supérieures à celles recommandées par nos autorités, surtout pour les adultes.

Mais n’oubliez pas que le soleil d’été vous donne des doses beaucoup plus grandes encore : il suffit de 10 minutes en plein soleil d’été pour synthétiser environ 20 000 UI de vitamine D !

Et on n’a encore jamais vu d’Européen vivant sous les tropiques en surdose de vitamine D parce qu’il s’était exposé tous les jours au soleil pendant 10 minutes ! [13]

Au contraire, si vous faites cela, vous avez toutes les chances d’être en excellente santé !

Question 7 : quelle vitamine D choisir ?
Pour les adultes comme pour les enfants, prendre sa vitamine D en gouttes quotidiennes est la solution la plus efficace et la plus respectueuse des équilibres du corps humain.

Malheureusement, les médecins ont tendance à prescrire aux adultes des « Uvédoses » de 100 000 UI, censées tenir plusieurs semaines, voire plusieurs mois.

Je peux les comprendre, car beaucoup de patients n’ont pas très envie de prendre des gouttes de vitamine tous les jours.

Le problème, c’est que prendre des grosses ampoules de 100 000 UI est beaucoup moins naturel et efficace que de prendre des gouttes quotidiennes – une étude chinoise récente suggère même que les Uvédoses sont totalement inefficaces ! [14]

Et en plus, l’Uvédose contient des excipients douteux, comme le butylhydroxytoluène (E321).

Voici donc les deux principaux critères que vous devez suivre pour bien choisir votre vitamine D :
Ce doit être de la vitamine D3, et non de la D2 : comme je l’ai rappelé au début, c’est la plus efficace et celle que l’organisme fabrique naturellement ;
Elle doit de préférence être sous forme huileuse, pour faciliter son absorption (car la vitamine D est soluble dans les graisses)
La solution la moins chère est la ZymaD, en pharmacie.

Si vous préférez prendre de la vitamine D 100 % naturelle, il faudra payer un peu plus.
Sur Internet, celle du laboratoire D-Plantes a très bonne réputation.

Et si vous voulez de la vitamine D naturelle ET végétale (extraite du Lichen), vous en trouverez sur Internet auprès de laboratoires de confiance comme Cell’innov.

Personnellement, c’est celle que j’utilise, car ils ont une très belle formule enrichie en vitamine K2, une autre vitamine essentielle à de nombreuses fonctions vitales de l’organisme.

Mais si vous avez peu de moyens, n’hésitez surtout pas à prendre la ZymaD, elle fera déjà une différence considérable pour votre santé !

Ah, et une dernière chose : vous êtes nombreux à me demander « combien de gouttes » par jour.

Mais il m’est impossible de vous répondre, car tout cela dépend de la marque de vitamine D que vous prenez !
Si chaque goutte contient 400 UI, il vous en faudra 10 pour atteindre les 4 000.

Renseignez-vous donc auprès de votre pharmacien ou du fabricant si le nombre d’UI par goutte ne figure pas sur la notice.

Question 7 : y a-t-il des contre-indications ?
Quasiment aucune – pour une raison évidente : la prise quotidienne de la vitamine D a simplement pour but de donner à votre corps ce qu’il réclame pour fonctionner de façon optimale.

Il ne s’agit pas de « traiter un problème », comme peut le faire un médicament, mais de combler une carence liée à notre mode de vie moderne.

Malgré tout, Sylviane m’a posé cette question :
« Bonjour, je voudrais que mon père, (par ailleurs âgé et atteint d’un cancer de la prostate traité par hormonothérapie mais récidivant) soit supplémenté en vitamine D.

Son médecin s’oppose parce qu’il a fait par le passé des calculs rénaux.

Est-ce vraiment une contre-indication dans ce cas précis ? »

Il est vrai que, si vous ouvrez le Vidal (le grand dictionnaire des médecins), vous lirez que les « lithiases urinaires » (calculs rénaux) sont mentionnées comme précaution d’emploi de la vitamine D.

Mais en pratique, c’est un risque très hypothétique. Aucun médecin autour de moi n’a jamais vécu ce cas dans la pratique.
Il a peut-être été observé pour des « méga-doses » de 100 000 d’un coup, mais certainement pas pour les 4 000 UI par jour que je recommande.

En plus, on n’est pas démuni face aux lithiases : lorsqu’elles sont liées à un terrain acide, on peut prendre du bicarbonate ; et lorsqu’elles sont liées au fait de ne pas boire suffisamment… eh bien il faut veiller à boire de l’eau entre les repas en quantité suffisante.

Au total, dans un cas comme celui-là, et sous surveillance médicale, les bienfaits de la vitamine D me paraissent infiniment supérieurs aux risques !

Dans une étude récente, on a donné 4 000 UI de vitamine D par jour à des patients atteints d’un cancer de la prostate à évolution lente.
De façon assez sidérante, 55 % des participants ont vu leur cancer régresser grâce à ce « traitement » ! [15]

Alors ne vous privez pas de cette vitamine essentielle !

Bonne santé,

Xavier Bazin

Sources sur le site.

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Avons-nous vraiment tous besoin de prendre de la vitamine D ?
Par Soline Roy
Publié le 17/01/2024
mis à jour le 22/01/2024


NOS CONSEILS SANTÉ - Des millions d’ampoules sont vendues chaque année, et on la pare de toutes les vertus.
Mais le manque de vitamine D menace-t-il vraiment l’ensemble de la population ?

C’est l’un des médicaments les plus vendus en France, selon les bases de données de la Sécurité sociale, et des liens ont été établis entre un déficit en vitamine D et de nombreuses maladies.
D’aucuns voudraient, a fortiori durant l’hiver, en prescrire à tout le monde.
Mais manquons-nous vraiment tous de vitamine D ?
Ce supposé déficit fait-il le lit de nombreuses maladies ?
Faut-il se supplémenter ?
« Le Figaro » fait le point.

Une hormone à tout faire offerte par le soleil
La vitamine D joue un rôle essentiel dans l’absorption par l’intestin du calcium, et par les reins du calcium et du phosphore.
Elle est donc essentielle pour une bonne minéralisation osseuse, et son manque peut être responsable de rachitisme chez l’enfant (avec des retards de croissance et des déformations osseuses), et d’ostéomalacie (os « mou ») ou (mais ce point est controversé) d’ostéoporose (os moins dense) chez l’adulte.
Plus récemment, la recherche a mis en évidence des récepteurs à vitamine D dans la plupart des tissus de l’organisme ; elle interviendrait donc dans de nombreux processus physiologiques et aurait des effets anti-infectieux, anti-inflammatoires, antitumoraux, cardio-vasculaires.

On la trouve dans certains aliments, mais « la vitamine D de l’organisme provient à 80-90 % de la biosynthèse cutanée sous l’effet des rayonnements ultraviolets (UV) du soleil », rappelait le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) dans un avis publié en 2022.
Elle est synthétisée dans notre peau, à partir d’un dérivé du cholestérol ; sous l’effet des UV, il se transforme en une molécule nommée cholécalciférol.
Celle-ci est métabolisée par le foie en 25-hydroxy-vitamine D (la molécule recherchée dans les dosages sanguins de vitamine D), puis par le rein en 1-25-dihydroxy-vitamine D (la forme active de vitamine D).
Associée à une alimentation équilibrée, la simple exposition des avant-bras et du visage quelques minutes à quelques dizaines de minutes deux à trois fois par semaine, selon l’ensoleillement et la couleur de la peau, suffiraient à remplir les besoins de la plupart d’entre nous.

Tous en déficit ?
En population générale, on parle de carence en dessous de 10 nanogrammes par millilitre de sang de 25-hydroxy-vitamine D (1 nanogramme est un milliardième de gramme), et d’insuffisance entre 10 et 20 ng/ml.
Le HCSP précise que, « par souci de prudence, la concentration maximale (…) à ne pas dépasser est aujourd’hui fixée entre 50 et 60 ng/ml ». En population générale, 4 % à 6 % des adultes français seraient carencés, et 40 % à 50 % en déficit.
Et 80 % sont en dessous de 30 ng/ml, et considérés en déficit par certains experts.
Une si large part de la population peut-elle véritablement être en déficit d’une vitamine aussi essentielle sans pour autant inquiéter les pouvoirs publics ?

En réalité, ces seuils sont issus d’avis de groupes d’experts sur des bases relativement fragiles, et ils sont contestés, en particulier celui de 30 ng/ml.
D’autant que l’un des papes de la vitamine D aux États-Unis, rédacteur des directives américaines sur le sujet, a été épinglé pour ses liens avec les fabricants de vitamine D.
En 2011, quelques mois après un rapport de l’Académie américaine de médecine qui estimait que la grande majorité des Américains n’avait besoin ni de supplémentation ni de dosage de vitamine D, l’endocrinologiste de l’université de Boston Michel Holick a supervisé au nom de l’Endocrine Society un rapport aux conclusions radicalement différentes, qui fait office de recommandations aux États-Unis.
Or le Dr Holick, rapportait en 2018 le New York Times , a admis avoir été largement rémunéré comme expert par l’industrie pharmaceutique et des producteurs de compléments alimentaires, et avoir reçu des fonds de recherche de fabricants de cabines à UV.
Il s’est défendu en affirmant que ceci n’avait pas influencé ses considérations scientifiques sur le sujet, mais cela jette pour le moins une ombre insistante sur la sincérité de ses prises de position.

Les dosages sanguins réservés à 6 pathologies
Autre sujet de méfiance : la fiabilité et l’utilité des dosages de vitamine D, qui ne sont pas simples à réaliser et sont mal standardisés, ce qui complique la comparaison de deux résultats obtenus dans deux laboratoires différents.

En France, la Haute Autorité de santé (HAS) les réserve à 6 situations cliniques précises (suspicion de rachitisme ou d’ostéomalacie, suivi de l’adulte transplanté rénal, avant et après une chirurgie bariatrique, personnes âgées sujettes aux chutes répétées, prise de médicaments préconisant la réalisation du dosage de vitamine D).
Hors de ces situations, leur coût doit être à la charge du patient selon l’Assurance-maladie, à qui ils coûtent très cher : 6,8 millions de dosages représentant un coût de 41,7 millions d’euros ont été effectués dans les laboratoires privés en 2022, contre 3,9 millions en 2015, soulignait-elle en juillet dernier dans son « Rapport charges et produits pour 2024 ». 90 % des dosages réalisés chez les 16-65 ans auraient été prescrits à tort et non conformes aux recommandations de la HAS.

Des liens avec de nombreuses maladies... mais pas d’efficacité de la supplémentation
Cancers, maladies cardio-vasculaires, fractures, AVC, maladies rénales, sclérose en plaques, maladie d’Alzheimer ou plus récemment Covid-19… De très nombreuses études ont établi des liens entre déficit en vitamine D et mauvais état de santé.
Mais elles n’établissent qu’un lien statistique entre les deux, sans permettre de savoir si l’on tombe malade parce qu’on manque de vitamine D, ou si l’on en manque à cause d’un état de santé dégradé.
De très nombreuses équipes ont cherché à supplémenter des patients en espérant que cela améliorerait leur état de santé, mais presque tous les grands essais bien menés ont échoué à montrer un effet, y compris chez les publics en déficit au début de l’étude.
Certains ont semblé pencher en faveur d’un effet positif, qui a ensuite été démenti.
Ainsi de l’asthme : en 2016, une revue de littérature de la collaboration Cochrane avait jugé que la vitamine D semblait réduire le risque de crises d’asthme ; mais sept ans plus tard, en février 2023, les mêmes auteurs ont actualisé leurs travaux et n’ont pas retrouvé de preuves de cette protection.

Des épidémiologistes de l’International Prevention Research Institute (Ipri), à Lyon, ont estimé, après une importante revue de littérature menée il y a une dizaine d’années, que, pour toutes les maladies non squelettiques, un taux bas de vitamine D n’était qu’un marqueur biologique d’un état de santé détérioré, et non sa cause.
Le HCSP livrait en 2022 la même conclusion : « Les essais de supplémentation médicamenteuse ne permettent pas à ce jour de confirmer un effet positif (ou délétère) sur la plupart des pathologies potentiellement associées à l’insuffisance en vitamine D en population générale. »

Qui doit être supplémenté ?
Chez les enfants, la nécessité de supplémentation fait plutôt consensus, en particulier chez les tout-petits, qui ne doivent pas être exposés au soleil.
Des experts français ont publié de nouvelles recommandations en 2022, plaidant pour une supplémentation quotidienne jusqu’à l’âge de 2 ans, puis idéalement quotidienne ou à défaut trimestrielle jusqu’à 18 ans.
Mais même cette supplémentation pose question quant à son efficacité réelle, indique une méta-analyse de la collaboration Cochrane menée en 2019.

Chez l’adulte, la vitamine D peut être recommandée dans quelques situations cliniques précises (défauts de minéralisation ou de densité osseuse, insuffisance rénale, risque de chute chez le sujet âgé, pathologies ou médicaments affectant le métabolisme…).
Mais « la supplémentation médicamenteuse systématique en vitamine D en population générale n’est pas envisageable dans l’état des connaissances actuelles », insiste le HCSP. Si vous êtes un adulte en bonne santé générale, avec un accès raisonnable à la lumière du jour, la supplémentation est inutile.

Des risques de surdosage ?
Des cas de toxicité ont été rapportés de façon exceptionnelle.
Ainsi, en 2019, des néphrologues canadiens ont décrit le cas d’un homme de 54 ans, victime de défaillance rénale après avoir pris de hautes doses de vitamine D (8 000 à 12 000 unités internationales par jour, soit 2 à 3 fois l’apport maximal tolérable, selon les autorités sanitaires et les sociétés savantes).
Des cas de surdosage chez des enfants ont aussi été rapportés avec des alertes de l’Agence du médicament en 2021, puis en 2023, liées à la prise de compléments alimentaires et ayant pu conduire à l’hospitalisation de nourrissons auparavant en bonne santé.
Après la Seconde Guerre mondiale, des épidémies sporadiques d’intoxication à la vitamine D ont aussi pu être observées chez des enfants dont le lait était enrichi.

Des cas fort heureusement rares. « Les risques d’intoxication aiguë en vitamine D, en dehors de pathologies exceptionnelles, sont pratiquement nuls, note le HCSP.
En revanche, on manque de données sur de possibles effets négatifs de fortes doses administrées de façon régulière sur les moyen et long termes. »

A lire aussi sur le site:
Prendre de la vitamine D est-il vraiment utile ?
Vitamines, zinc, magnésium... Est-il utile de prendre des compléments alimentaires en hiver ?
Vitamines : l’alimentation suffit à éviter la plupart des carences

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