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 VITAMINES

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MessageSujet: Re: VITAMINES    VITAMINES  - Page 5 EmptyLun 24 Oct 2022 - 14:08

Vitamine C

source http://www.laboratoire-lescuyer.com/
" Votre santé dépend de vous . Pour apprendre à ne pas être malade, nous devons donc changer de rôle. Nous devons adopter une attitude dynamique et participer activement au maintien de notre santé. Devenir l'acteur de notre santé ."
Dr Jean-François Lescuyer

Faites le plein de vitamine C !
Selon une récente étude, 63 % des hommes et 36 % des femmes ont un apport insuffisant en vitamine C¹.

La vitamine C, ou acide L-ascorbique, est avant tout connue pour contribuer à réduire la fatigue, mais elle est bien plus que ça. Elle joue notamment un rôle dans le renforcement du système immunitaire et l'absorption du fer. Elle possède également des propriétés antioxydantes.

La vitamine C est dite essentielle car elle n'est pas synthétisée par l'organisme et doit donc être apportée quotidiennement par l'alimentation. Il s'agit cependant d'une vitamine fragile et certaines précautions sont à prendre pour la préserver.

Alors, comment optimiser vos apports en vitamine C ?
check Choisir des fruits et légumes colorés : ce sont généralement eux qui ont la plus forte teneur en vitamine C. Les aliments les plus riches en vitamine C sont (teneur exprimée pour 100 g) : l'acérola (25 g), le cassis (200 mg), le persil (190 mg), le poivron rouge (162 mg), le zeste de citron (125 mg)...

*Consommer des fruits et légumes frais : la teneur en vitamine C des aliments diminue de façon importante après seulement 3 ou 4 jours de stockage.

*Miser sur les fruits et légumes crus : on observe une déperdition de la teneur en vitamine C de 30 à 50 % à la cuisson et ce, dès 70°C.

*Privilégier les modes de cuisson courts et à basse température : la vitamine C est très fragile et hydrosoluble (elle se dissout dans l'eau). La cuisson à la vapeur est la plus adaptée car les aliments n'ont pas de contact direct avec l'eau et la température reste basse.

*Savoir repérer les situations qui peuvent nécessiter une complémentation : fatigue saisonnière, activité physique intense, alimentation pauvre en fruits et légumes, croissance, vieillesse, tabagisme... sont autant de facteurs qui accroissent nos besoins en vitamine C.

Vitamine C
La vitamine C, ou acide ascorbique, est la vitamine dont nos besoins quotidiens sont les plus importants. Elle contribue notamment à protéger les cellules contre le stress oxydatif et à réduire la fatigue.

Propriétés
Vitamine CLa vitamine C, ou acide ascorbique, est la vitamine dont nos besoins quotidiens sont les plus importants.

Elle contribue :
-à réduire la fatigue,
-au fonctionnement normal du système immunitaire,
-à protéger les cellules contre le stress oxydatif,
-au fonctionnement normal du système nerveux,
-à des fonctions psychologiques normales,
-à la formation normale de collagène pour assurer le fonctionnement normal des vaisseaux sanguins et la fonction normale des os et des cartilages, de la peau, --des dents et des gencives.
Elle accroît également l’absorption de fer.

Besoins quotidiens pour un adulte
110 mg par jour.

Sources de vitamine C
Acérola, agrumes, papaye, kiwis, cassis, fraise…

Connaissez-vous l'acérola ? Ce petit fruit originaire des Caraïbes est l'un des fruits les plus riches en vitamine C et possède bien d'autres vertus pour la santé :
L'acérola est une source de vitamine C naturelle.

-100 g de ce fruit contient 25 g de vitamine C, soit 50 à 80 fois plus que l'orange, par exemple.

-Elle est également riche en flavonoïdes et caroténoïdes.

source ICI
Malpighia punicifolia
Acérola
Plantes et actifs d'origine végétale

Originaire des Petites Antilles et du nord de l'Amérique du Sud, l'acérola est l'un des fruits les plus riches en vitamine C naturelle. Cette vitamine possède des propriétés antioxydantes, aide à réduire la fatigue et contribue au bon fonctionnement du système immunitaire.

Description
Pouvant atteindre 5 mètres de haut, l’acérola est un arbuste qui pousse sur les sols bien aérés et drainés. La germination des graines d’acérola a la particularité d’être favorisée par le feu : cette plante est souvent l’une des premières à repousser après un incendie. De couleur rose, rouge ou blanche, ses fleurs sont réunies en grappes longues de 6 à 15 centimètres, donnant des fruits rouges comestibles ressemblant à de petites cerises.

Origine
Originaire des Petites Antilles et du nord de l’Amérique du Sud, l’Acérola est aujourd’hui présent dans les Grandes Antilles (Cuba, Jamaïque, Porto Rico et Bahamas), en Floride et au Texas.

Composition
L’Acérola est riche en :
-vitamine C, aux propriétés antioxydantes,
-vitamines du groupe B (B1, B2, B3, B5 et B6),
-composés phénoliques
-matières minérales : fer, calcium, magnésium, phosphore, sodium et potassium.

Partie utilisée
Fruit

sur le site vous trouverez aussi Le guide des actifs & des plantes
http://www.laboratoire-lescuyer.com/guide-actifs/

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MessageSujet: Re: VITAMINES    VITAMINES  - Page 5 EmptyLun 24 Oct 2022 - 14:09

source https://www.santenatureinnovation.com/vitamine-c-ringarde/#comment
La plus ringarde des vitamines
02/06/2017


Chère lectrice, cher lecteur,

Ma mère n’achetait pas de boissons gazeuses. Quelle excitation alors quand, une fois par an, elle criait : « Jean-Marc, viens prendre ta vitamine C » !

Dans un verre, un liquide jaune orangé, acidulé, au goût d’orange. Ça piquait ! Ça remontait dans le nez ! Le bonheur !

Enfin, j’avais l’impression de boire quelque chose ressemblant à de l’Orangina ou à du Fanta.

À petites gorgées, j’imaginais que, moi aussi, je buvais ces boissons merveilleuses. Moi aussi, je faisais la fête, j’étais à la pointe du progrès, j’entrais dans le monde de Casimir, sponsor de Fanta, comme les enfants de la publicité, buvant au milieu des rires de leurs amis et sous le regard approbateur de parents jeunes, heureux et bien plus compréhensifs que les miens, qui apparaissaient dans les pubs télévisées.

C’était l’époque du Formica, de la Renault 5, de Pompidou, de la découverte de l’hyperconsommation. Un demi-siècle bientôt se sera écoulé…

Entre-temps, la vitamine C est devenue la plus ringarde des vitamines.

Les vitamines E, B, K ou même D restent auréolées de l’attrait de la nouveauté.

Mais la vitamine C…

Chacun sait qu’on en trouve dans les kiwis, le citron, le jus d’orange… Tout le monde a déjà essayé, plein d’espoir, les comprimés effervescents de vitamine C contre la fatigue. Et tout le monde a été déçu.

Comment les ventes peuvent-elles bien se maintenir ? C’est justement que la vitamine C est celle qui ressemble le plus à des bonbons. On fabrique désormais des gommes, des chewing-gums, des boissons énergisantes à la vitamine C, et cela plaît aux consommateurs…

Mais il y a une grande injustice derrière tout ça.

La vitamine C mérite mieux que ça !
Car les chercheurs, eux, ne se sont jamais arrêtés d’étudier la vitamine C et de lui découvrir de nouvelles vertus.

Aujourd’hui, on sait que la vitamine C :

prévient le rhume en cas d’exposition au froid et de stress ou d’activité intense [1], et raccourcit la durée du rhume [2] ;

prévient les maladies coronariennes, c’est-à-dire les problèmes des artères du cœur, qui déclenchent l’infarctus [3] ;

est indispensable à la fabrication du collagène [4], la protéine qui donne leur élasticité et leur solidité à nos os, nos cartilages, nos tendons, notre peau et à de multiples tissus conjonctifs, c’est-à-dire ceux qui tiennent nos organes entre eux ;

augmente l’absorption du fer, et aide donc les personnes victimes d’anémie à reconstituer leurs réserves ;

est nécessaire dans la fabrication des globules rouges.

Or l’être humain a perdu au cours de l’évolution sa capacité à fabriquer de la vitamine C. Il est obligé de la trouver dans sa nourriture. C’est pourquoi il est très important de manger beaucoup de légumes et de fruits riches en vitamine C. Une complémentation en vitamine C peut être indispensable pour couvrir nos besoins, qui sont de 400 mg par jour (une orange contient 60 mg de vitamine C) selon les chercheurs spécialisés sur le sujet.

Pour tenir compte des problématiques liées à l’absorption et à l’élimination de la vitamine C (voir plus loin), je recommande aux personnes sédentaires de prendre un complément de 500 mg par jour de vitamine C, de 1 000 mg par jour pour les sportifs et les fumeurs.

La controverse de la vitamine C contre le cancer
À très forte dose (50 à 150 g par jour, en intraveineuse), la vitamine C réduit les effets secondaires de la chimiothérapie [5].

En revanche, la vitamine C dans le traitement du cancer est un sujet très délicat. Les études qui ont montré une efficacité claire n’ont pas été effectuées sur l’homme, mais sur des cultures de cellules cancéreuses : cancer de la prostate, du pancréas, hépatique, côlon, foie, cerveau.

Par exemple, une nouvelle étude de l’université de Salford à Manchester au Royaume-Uni vient de paraître, qui montre que la vitamine C est dix fois plus efficace pour stopper la croissance des cellules cancéreuses du sein qu’un traitement expérimental médicamenteux, le 2-DG [6].

Cependant, des études ont indiqué, au contraire, une accélération du cancer lorsqu’il était déjà métastasé [7].

Ces études sur le cancer ont fait une énorme publicité négative à la vitamine C, accusée d’être un remède de charlatan.

Mais je me suis déjà souvent exprimé sur ce type d’attaques, que je considère comme injustes.

Le cancer est une maladie très compliquée, très mal soignée aujourd’hui. De plus, le mot « cancer » n’est qu’un terme générique pour désigner toutes les maladies liées à la prolifération de cellules, qui, suivant les organes qu’elles touchent, sont pourtant d’une diversité immense.

La cancérologie actuelle tire son prestige des très bons résultats qu’elle a obtenus contre certains cancers (leucémie, ostéosarcome), ainsi que contre ceux qui touchent des organes non vitaux, que l’on peut retirer chirurgicalement (vous ne pouvez plus avoir de cancer de l’utérus ou des testicules si on vous a coupé votre utérus ou vos testicules ; cela paraît une caricature, mais c’est réellement la façon dont beaucoup de cancers sont annoncés comme « soignés » actuellement).

Il est donc tout à fait légitime et normal, hautement souhaitable même, de chercher des solutions alternatives ou complémentaires au cancer, à côté de la trilogie classique chirurgie-radiothérapie-chimiothérapie.

Or la vitamine C fait partie des rares pistes crédibles qui offrent aujourd’hui quelque espoir. Il semble logique et intéressant de poursuivre ces recherches avec au moins autant de moyens que ceux consacrés aux nouveaux traitements qui rapportent à l’industrie pharmaceutique (immunothérapie, nanoparticules…). Ce n’est malheureusement pas le cas.

À noter qu’interviendra cet automne, au Congrès international de santé naturelle, un des plus grands spécialistes des intraveineuses de vitamine C. Je le signale parce que ce n’est pas courant et il faut un certain degré d’audace, dans l’environnement actuel, pour faire cela.

Comment prendre de la vitamine C
La vitamine C a un grand avantage : elle est très bon marché. Sa forme de synthèse (artificielle) est, en outre, identique à sa forme naturelle.

Dans les deux cas, c’est exactement la même molécule d’acide ascorbique.

Bien entendu, et comme toujours, mieux vaut tirer son apport en vitamine C d’une alimentation saine à base de légumes et de fruits frais bio et locaux. Cela vous apporte, en effet, de nombreux cofacteurs indispensables à votre santé, sans compter, bien sûr, toutes les autres vitamines et nutriments sains.

Néanmoins, vous ne perdrez rien à compléter votre alimentation saine avec 500 mg de vitamine C par jour. Vous pourriez même en tirer de grands bienfaits du point de vue immunité, énergie, santé cardio-vasculaire, peau, cartilages et tendons, comme nous l’avons vu.

Contrairement à un préjugé très largement répandu, la vitamine C n’empêche pas de dormir. Il faut, en revanche, surveiller son risque de calculs rénaux, qui augmente au-delà de 1 000 mg par jour, surtout chez les hommes [8]. Évitez donc de prendre plus de 500 mg par jour de vitamine C si vous avez déjà des problèmes de ce côté-là, ou des problèmes de reins en général.

Il est important, par contre, de ne pas prendre cette forte dose d’un coup, mais de la répartir en autant de fois que possible tout au long de la journée (les plus motivés ont des comprimés dans la poche qu’ils grignotent par petits bouts, huit à dix fois par jour). En effet, notre corps ne stocke pas la vitamine C, tout excès est rapidement éliminé dans les urines. Pour avoir en permanence dans le sang un taux élevé de vitamine C, il faut donc en absorber en permanence. C’est aussi l’idée qu’il y a derrière les intraveineuses de vitamine C.

Plus important encore : évitez la forme effervescente ! On ne le dira jamais assez : la vitamine C est un antioxydant, ce qui veut dire qu’elle a une très forte tendance elle-même à s’oxyder (c’est en s’oxydant qu’elle « réduit » l’oxydation des molécules qui l’entoure). Or, durant l’effervescence, elle est mise au contact de l’oxygène, ce qui lui fait perdre ses propriétés.

En ce qui me concerne, j’ai un jour acheté en magasin bio un pot assez semblable à un pot de peinture contenant… 1 kg d’acide ascorbique (vitamine C). Je l’ai fièrement rapporté chez moi, en me disant que toute la famille allait pouvoir en profiter et en retirer d’impressionnants bienfaits pour sa santé.

En réalité, l’acide ascorbique, comme son nom l’indique, est atrocement acide. C’est donc un supplice que d’en avaler même dilué dans de l’eau. Je me suis forcé quelque temps, mais ma femme et mes enfants ont jeté l’éponge quasiment dès le début de l’expérience…

Je me suis alors souvenu de ma maman et de sa vitamine C à l’orange si délicieuse. J’ai fait à mon tour mon mélange, avec du sirop d’orange et de l’eau gazeuse. Et devinez quoi : ce fut l’enthousiasme ! Une fois encore, j’ai compris qu’il ne fallait pas essayer de réinventer l’eau chaude.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

sources
[1] Vitamin C for preventing and treating the common cold.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23440782?dopt=Abstract

[2] Examining the evidence for the use of vitamin C in the prophylaxis and treatment of the common cold.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19432914

[3] Abonnement Premiumhttp://www.jim.fr/mon_compte/abonnements_premium.phtml

[4] Wikipédia - Hydroxylationhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Collag%C3%A8ne#Hydroxylation

[5] Carr A.C., Vissers M.C., Cook J. « Relief from cancer chemotherapy side effects with pharmacologic vitamin C ». N. Z. Med. J., 2014 Jan 24 ; 127 (1388) : 66-70.
Mikirova N., Casciari J., Riordan N., Hunninghake R. « Clinical experience with intravenous administration of ascorbic acid : achievable levels in blood for different states of inflammation and disease in cancer patients ». Journal of Translational Medicine, 2013, 11 : 191.Moertel C.G., Fleming T.R., Creagan E.T., Rubin J, O’Connell M.J., Ames M.M. « High-dose vitamin C versus placebo in the treatment of patients with advanced cancer who have had no prior chemotherapy. A randomized double-blind comparison ». N. Engl. J. Med., 1985 Jan. 17 ; 312 (3) : 137-141.

[6] NADH autofluorescence, a new metabolic biomarker for cancer stem cells: Identification of Vitamin C and CAPE as natural products targeting “stemness”
=15400]ICI

[7] Cancer: la vitamine C réduirait l'efficacité des traitements
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2008/10/04/9272-cancer-vitamine-c-reduirait-lefficacite-traitements

[8] Vitamine C et calculs rénaux
https://www.revmed.ch/RMS/2013/RMS-375/Vitamine-C-et-calculs-renaux

VITAMINES  - Page 5 1702150934206491714849748

Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.

La Lettre Santé Nature Innovation est un service d'information gratuit de Santé Nature Innovation (SNI Editions).

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source https://www.sante-corps-esprit.com/vitamine-c-contre-cancer/#respond
Vitamine C contre le cancer : que de temps perdu !
1 juin 2017


L’histoire de la vitamine C contre le cancer est passionnante.

Elle commence avec l’immense chercheur Linus Pauling, couronné d’un Prix Nobel de chimie en 1954.

Comme beaucoup de visionnaires de la santé naturelle, il a lui-même été frappé par la maladie.

À 40 ans, il a découvert qu’il était atteint d’une forme grave de la maladie de Bright. Une maladie potentiellement mortelle… et jugée incurable par les médecins de l’époque.

Mais Linus Pauling trouve sur sa route un médecin providentiel, qui lui prescrit un régime alimentaire ciblé, ainsi que des vitamines et des minéraux. Résultat, il vivra très bien, jusqu’à l’âge de 93 ans !

Voilà comment est née sa passion pour les vitamines… et en particulier la vitamine C.

Après de longues recherches, il publie un livre décrivant les miracles de cette vitamine en prévention du rhume.

Mais très vite, il s’attaque à un sujet beaucoup plus lourd : l’effet de la vitamine C contre le cancer.

Le « traitement » anti-cancer qui dérange
Dans les années 1970, Linus Pauling s’allie avec le cancérologue écossais Ewan Cameron pour tester ce « traitement » sur des patients frappés par le cancer à un stade avancé.

Ils leur donnent 10 grammes de vitamine C par jour (une méga-dose !) et rapportent que les patients se sentent mieux, souffrent moins… et vivent plus longtemps que les autres !

Ces résultats font sensation… si bien que l’Institut National du Cancer (NCI) des Etats-Unis décide de lancer 2 études sur le sujet en 1978.

Le problème, c’est que les autorités choisissent de donner la vitamine C par voie orale (des comprimés à avaler) plutôt qu’en intraveineuse, comme le faisait Linus Pauling.

Une manœuvre délibérée, pour plomber un traitement jugé trop « alternatif »… ou une erreur malheureuse ? Impossible à dire.

Ce qui est sûr, c’est que la vitamine C par intraveineuse est 100 fois plus efficace que des comprimés pour élever le taux de vitamine C dans le sang… et c’est seulement à des doses très élevées que la vitamine C parvient à agir sur les cellules cancéreuses !

Conséquence : les études menées par l’Institut National contre le Cancer n’ont évidemment donné aucun résultat.

Et voilà comment ce traitement prometteur – pas forcément pour guérir le cancer, mais au minimum pour améliorer la qualité de vie des patients – a été enterré pendant de longues années !

(Entre parenthèses : il arrive fréquemment, hélas, que des études officielles sur des vitamines ou des minéraux ressemblent curieusement à des « opérations sabotage » : par exemple, on donne la forme synthétique de la vitamine E plutôt que la forme naturelle – ce qui fait une énorme différence – ou bien on donne la vitamine D sous forme d’ampoule tous les mois – inefficace – plutôt que sous forme de gouttes quotidiennes, etc.).

Mais 40 ans après, la vitamine C est en train de faire son grand retour contre le cancer.

La vitamine C revient par la grande porte !
D’abord, il est désormais établi que la vitamine C réduit les tumeurs cancéreuses in vitro. [1] Récemment, l’efficacité de la vitamine C a aussi été confirmée « in vivo », chez des souris, par des chercheurs français. [2]

Chez l’homme, quelques cas « cliniques » intéressants ont été décrits dans des revues médicales.

Par exemple, Jeanne Drisko de l’université du Kansas a rapporté le cas de deux patientes traitées pour un cancer des ovaires. [3]

En plus des traitements « conventionnels », elles ont toutes les deux reçues des injections de 15 grammes, puis 60 grammes de vitamine C en intraveineuse, en plus d’autres antioxydants (vitamine E et beta-carotène).

Dans les deux cas, on ne trouvait plus de trace de cancer après quelques mois.

Deux autres cas cliniques intrigants ont été décrits par des chercheurs canadiens. [4]

Il s’agit d’un homme de 49 ans atteint de cancer de la vessie ayant refusé la chimiothérapie (mais pas la chirurgie), et d’une patiente de 66 ans atteinte d’un lymphome, qui a refusé également la chimiothérapie après 5 semaines de rayons.

Dans les deux cas, ils ont été traités par des perfusions de vitamine C à haute dose, en plus d’un nombre important de compléments alimentaires.

Et dans les deux cas, ils étaient toujours en bonne santé, 10 ans après le diagnostic.

C’est prometteur, bien sûr, mais cela reste un niveau de preuve très faible, et je précise tout de suite que je ne recommande à personne de renoncer aux traitements médicaux.

Une chose est sûre, en tout cas : la vitamine C et d’autres antioxydants comme la vitamine E ne réduisent pas l’efficacité de la chimiothérapie. [5]

Les médecins n’ont donc aucune méfiance à avoir contre ces traitements complémentaires.

Récemment, des cancérologues américains ont passé en revue les résultats de 280 études, et confirment que les suppléments antioxydants n’interfèrent pas avec les traitements habituels… [6] et diminuent leurs effets indésirables !

Encore plus intéressant : dans 15 de ces études, près de 4 000 patients qui avaient pris des antioxydants ont vu leur durée de survie augmenter !

Mais si je vous écris aujourd’hui, c’est parce qu’une nouvelle étude encore plus prometteuse vient d’être publiée :

Une étude qui enfonce le clou !
Des chercheurs de l’Université de l’Iowa ont réalisé une démonstration spectaculaire. [7]

D’abord, ils ont montré que la vitamine C, une fois absorbée par la cellule, est décomposée en peroxyde d’hydrogène.

C’est le nom « scientifique » de l’eau oxygénée, celle qui décolore les cheveux.

Pourquoi c’est intéressant ? Parce qu’il se trouve que les cellules cancéreuses sont moins armées que les cellules normales pour se défendre contre cette substance dangereuse.

Autrement dit, le peroxyde d’hydrogène est toxique pour les cellules cancéreuses, mais pas pour les cellules saines.

Voilà pourquoi la vitamine à haute dose, en intraveineuse, pourrait aider à vaincre des tumeurs.

Et nos chercheurs en ont immédiatement donné la meilleure preuve.

Ils ont testé ce traitement novateur par vitamine C sur un petit groupe de patients atteints du cancer du poumon et du pancréas, en accompagnement des traitements conventionnels…

Et… roulement de tambour…

… non seulement les injections de vitamine C n’ont présenté aucun danger, mais elles ont amélioré l’efficacité du traitement et les chances de survie des patients !

Attention, ce n’est pas un remède miracle !
Restons prudents, toutefois : si la vitamine C est prometteuse, elle n’a rien d’un remède miracle.

Prenez cette étude publiée en février 2017, dans la revue Science Translational Medicine. [8]

Vingt-cinq femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire avancé ont été traitées par chimiothérapie. La moitié d’entre elles ont reçu aussi de fortes doses de vitamine C pendant 1 an.

Résultat : la survie à 5 ans a été très légèrement supérieure pour le groupe « vitamine C ». C’est positif mais loin d’être miraculeux.

De façon plus encourageante, la vitamine C a nettement atténué les effets secondaires du traitement.

Au total, il faudra encore beaucoup de recherches pour vraiment savoir quels types de cancer sont les mieux combattus par la vitamine C, à quel stade et à quel dosage.

Mais puisque cela n’interfère pas avec les traitements conventionnels, je ne vois aucune raison de s’en passer… avec l’accord du cancérologue bien sûr !

Le cancer… mais aussi les infections !
Une question pour finir : pourquoi le Dr K m’a-t-il prescrit des injections de vitamine C, moi qui n’avais pas le cancer ?

Eh bien parce que les fatigues chroniques inexpliquées pourraient être liées à des virus (Epstein-Barr notamment) ou des bactéries…

… et parce que la vitamine C est aussi très efficace contre les infections !

Et on le sait depuis… les années 1950 !

C’est ce que nous rappelle le grand journaliste scientifique Thierry Souccar :

« On l’a oublié, mais de 1948 à 1974, le médecin américain Fred Klenner a utilisé des doses massives de vitamine C pour soigner avec succès des personnes souffrant d’infections graves : méningite, encéphalite, poliomyélite, pneumonie, tétanos. La plupart lui étaient adressées par d’autres médecins ou des hôpitaux qui avaient baissé les bras. Klenner les récupérait souvent fiévreux, inconscients, et pour certains avec un pied dans la tombe. Klenner traitait les plus malades avec des doses de 2 à 4 g de vitamine C en injections intraveineuses toutes les 3 heures. La plupart se rétablissaient rapidement, un grand nombre quittant même l’hôpital au bout de trois ou quatre jours.

De son côté, le Dr Robert Cathcart, un médecin de la petite ville de Incline (Nevada) a soigné des milliers de personnes avec des perfusions de vitamine C. Pour guérir des pneumonies, il a administré jusqu’à – tenez-vous bien – 200 g de vitamine C en intraveineuse. Robert Cathcart n’a jamais eu à hospitaliser un malade. [9] »

Thierry Souccar est bien placé pour parler de vitamine C, lui qui a rencontré personnellement Linus Pauling.

Et savez-vous ce que ce chercheur de génie a répondu à Thierry Souccar, quand il lui a demandé pourquoi la vitamine C n’était pas davantage prescrite contre les infections ?

« L’industrie pharmaceutique pèse de tout son poids auprès des médecins pour qu’ils se détournent des compléments naturels au profit des médicaments générateurs de marges considérables. »

Certains diront que cela ressemble à de la « théorie du complot », mais n’oublions pas que Linus Pauling n’est pas n’importe qui : c’est l’unique personne au monde à avoir reçu, seul, deux prix Nobel, dans des catégories différentes (chimie et paix) !

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : même si vous êtes en pleine santé, pensez bien à prendre chaque jour les 500 à 600 milligrammes de vitamine C dont votre corps a besoin pour fonctionner de manière optimale.

La vitamine C a aussi des effets validés scientifiquement pour réduire la tension artérielle [10], combattre les infections [11], et même aider à maigrir [12] !

L’idéal est de consommer des quantités importantes de fruits et légumes qui en contiennent le plus, comme les kiwis, les agrumes, les légumes crucifères (famille du chou), les poivrons, les fraises et le cassis – au moins 6 à 8 portions par jour.

Et comme cela suffit rarement, n’hésitez pas à prendre un complément alimentaire de vitamine C, par exemple 300 mg par jour, en essayant de répartir la prise en plusieurs fois.

************************************************

Sources
[1]Par exemple : NADH autofluorescence, a new metabolic biomarker for cancer stem cells: Identification of Vitamin C and CAPE as natural products targeting “stemness”, G. Bomuccelli, Oncotarget, 2017

[2] Antiproliferative effect of ascorbic acid is associated with the inhibition of genes necessary to cell cycle progression, S. Belin et all, NCBI, 2009

[3] The use of antioxidants with first-line chemotherapy in two cases of ovarian cancer, JA Drisko et all, NCBI, 2003

[4] Intravenously administered vitamin C as cancer therapy: three cases, SJ. Padayatty et all, NCBI, 2006

[5] Antioxidants and cancer therapy: a systematic review, EJ. Lads et all, NCBI, 2004

[6] Sauf dans un cas particulier, avec le médicament bortezomib Antioxidants and other nutrients do not interfere with chemotherapy or radiation therapy and can increase kill and increase survival, Part 2, NL. Simone et all, NCBI, 2007

[7] Tumor cells have decreased ability to metabolize H2O2: Implications for pharmacological ascorbate in cancer therapy, CM. Doskey et all, Science Direct, octobre 2016

[8] High-Dose Parenteral Ascorbate Enhanced Chemosensitivity of Ovarian Cancer and Reduced Toxicity of Chemotherapy, Y. Ma et all, Science magazine, 2014

[9] Thierry Souccar, Souffrez-vous d’un deficit en vitamine C ? Santé Nature Innovation, mars 2015.

[10] Effects of vitamin C supplementation on blood pressure: a meta-analysis of randomized controlled trials, The American Journal of Clinical Nutrition, 2012

[11] Vitamin C for preventing and treating the common cold, RM. Douglas, NCBI, 2007

[12] A double blind placebo controlled trial of ascorbic acid in obesity, GJ. Naylor et all, NCBI, 1985

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MessageSujet: Re: VITAMINES    VITAMINES  - Page 5 EmptyLun 24 Oct 2022 - 14:12

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source http://www.reponsesbio.com/2018/03/14/vitamine-c-liposomale-aloe-arborescens-et-propolis-rouge/
Vitamine C liposomale, aloe arborescens et propolis rouge
14 mars 2018


Comme tous les mois, voici quelques réponses apportées aux lecteurs et lectrices de Réponses Bio.
Sommaire
VITAMINES  - Page 5 3117766055  Propolis rouge, phyto-œstogènes & cancer hormono-dépendant
VITAMINES  - Page 5 3117766055  Vitamine C liposomale
VITAMINES  - Page 5 3117766055  Aloe arborescens & Maladie de Parkinson


Florence T. :
« Bonjour Monsieur,

J’utilise de la propolis rouge (Phyt inov 4 gélules / jour depuis 1 mois) et mes symptômes dus à la ménopause sont bien améliorés voir disparus (douleurs articulaires, sommeil retrouvé et moral à la hausse… !) J’ai 54 ans et suis ménopausée depuis 4 ans, aucun traitement hormonal. Ma mère a eu un cancer du sein hormono-dépendant il y a plus de 10 ans donc dans les textes, j’ai un antécédent….et certaines substances me sont interdites, je le sais.

Ma question est la suivante : est- ce que je peux continuer à prendre de la propolis rouge malgré les phyto-oestrogènes qu’elle contient ? Le bénéfice avantage/ risque est-il de mon côté ??? J’ai enfin trouvé un complément efficace….et vu toutes les propriétés de cette propolisnotamment anti-tumorales, je suis tentée de prolonger. Je prends par ailleurs de la Vitamine D naturelle (D Plantes) depuis 2 ans et mon taux (j’étais en carence) est remonté à plus de 90 ng/ml.

Merci de votre réponse et bravo pour votre site, une vraie mine d’or ! Je suis naturopathe et je m’y réfère très souvent.

Bien cordialement. »

Jean-Baptiste Loin :
Florence Bonjour,

Il est bien évidemment de mise d’éviter la consommation abusive de produits contenant des phyto-œstrogènes, comme le soja par exemple, mais qu’en est-il d’un complément alimentaire comme la propolis rouge ?

Les études et avis scientifiques restent très partagés, pour certains les phyto-œstrogènes n’auraient pas d’incidence sur le cancer du sein, pour d’autres ils pourraient même le prévenir, et pour d’autres encore, ils seraient un des multiples facteurs de son apparition.

En tant que simple journaliste il m’est impossible de vous dire qui a raison ou qui a tort, bien que l’on puisse se douter que des effets et vertus différents, encore peu explorés, doivent sûrement être liés au type de phyto-œstrogènes employés.

Or dans le cas de la propolis rouge, il s’avère qu’elle contient essentiellement de la formononétine et la biochanine A.

Ces deux isoflavones, aussi appelés phyto-œstrogènes, présentent des avantages structurels sur la plupart des autres phyto-œstrogènes puisqu’ils montrent une affinité beaucoup moins importante avec les récepteurs œstrogéniques, diminuant leur impact sur les organes hormonaux dépendants.

Sans mentionner qu’ils sont aussi davantage biodisponibles et assimilables que la plupart des phyto-œstrogènes.

Ensuite, bien que la formule de Phyt-Inov soit la plus titrée et probablement la plus saine que l’on puisse trouver
https://reponsesbio.shop/produit/propolis-rouge-en-gelules/
elle n’en demeure pas moins contenir un maximum de 20% de propolis par gélule, comme vous l’explique plus en détail cet article:
http://www.reponsesbio.com/2016/08/21/propolis-dans-tous-etats-interview-exclusive/

Pour répondre à votre question, je dirai donc que le facteur bénéfice-risque soit effectivement de votre côté et que le ratio entre la forme de phyto-œstrogènes et leur absorption quotidienne semble peu préoccupant.

Mais ce n’est que mon humble avis, qui ne vaudra jamais des analyses pouvant vous assurer du bon équilibre de votre taux d’œstrogènes, comme du bien fondé de l’utilisation de ce produit sur le long terme.

Dans tous les cas une complémentation sous forme de cure, en appréciant une pause régulière de quelques jours à quelques semaines en fonction de la durée de chaque prise, sera sans doute du meilleur effet.

**************************

Raymonde D. :
« Bonjour Monsieur Loin,

Je suis depuis … des temps immémoriaux… vos lettres et m’en suis inspirée à plusieurs reprises, notamment pour commander des produits chez la Ferme de Paula.

Je voudrais vous demander, car je voudrais commander de la vitamine C liposomée, si vous connaissez un labo qui en fabrique DE LA VRAIE ! Il y a bcp de propositions mais quant à savoir quelle est la vraiment bonne, vous seule pouvez m’aider.

Je vous en remercie déjà.

Quant à la maladie de Lyme, je ne l’ai pas contractée mais je sauvegarde toujours vos billets pour aider quelqu’un en cas de besoin.

Merci pour ce que vous faites.

Je vous souhaite une jolie journée. »

**********************************

« Miam miam Jean-Baptiste ! Grâce à vous, j’ai découvert le curcuma, huile de coco, le gingembre etc. et j’en suis ravie. J’en consomme tous les jours.

Mais je me permets de vous rappeler qu’il y a environ…presque deux mois maintenant, je vous avais demandé conseil concernant la vitamine C liposomée (ou liposomale). Vous m’avez répondu que vous cherchiez (cela il y a un mois) afin de me conseiller la meilleure sur Internet. Je n’ai pas encore reçu votre analyse.

Puis-je me permettre de vous demander si vous ne m’avez pas oubliée et si oui, de me dire si vous avez trouvé la vitamine à laquelle je peux faire confiance. C’est le docteur Michel Dgna qui en parlait dans une de ses lettres et je voudrais bien l’essayer (pas par injection évidemment mais par comprimés ou autre). »

Jean-Baptiste Loin :
Raymonde bonjour,

Je vous l’avais promis, bien que j’aie conscience que ce ne soit pas grand chose en comparaison de votre compréhension, votre patience et votre assiduité, voici la réponse la plus complète que je puisse vous fournir sur ce point.

Tout d’abord rappelons que la vitamine C liposomale est plébiscitée depuis ces dernières années pour sa capacité à transporter la vitamine au-delà de la barrière stomacale, par le biais de nanoparticules graisseuses appelées liposomes.

Comme je vous l’ai dit auparavant, nous avons décidé, en tout cas pour l’instant, de ne pas intégrer de vitamine C liposomale sur la place de marché de Réponses Bio.

Pourquoi ?
Parce que le comité de sélection de Réponses Bio est particulièrement prudent au sujet des nanoparticules et comme nous venons de le voir, un liposome, cette molécule promettant à la vitamine C de pénétrer au plus profond des cellules, est une nanoparticule.

Bien que les liposomes soient inoffensifs à l’état naturel, dans la mesure où la vitamine C est un très gros business que les laboratoires pharmaceutiques contrôlent depuis longtemps, j’ai préféré mener l’enquête de manière approfondie avant de vous répondre.

En admettant que les liposomes utilisés dans une formule de vitamine C soient entièrement naturels, issus d’une lécithine de tournesol bio par exemple, même dans ces conditions la vitamine C se doit elle aussi d’être impeccable, au minimum issue d’un acide ascorbique obtenu par bio fermentation et non pas d’un acide ascorbique de synthèse, OGM ou irradié.

Or la vitamine C liposomale étant la plupart du temps produite par de gros laboratoires misant sur des formules synthétiques ou OGM, même quand la lécithine est bio les nanoparticules censées être inoffensives peuvent sans doute faire bien plus de dégâts que lors d’une ingestion sans liposome, atteignant des cellules où l’organisme sera probablement incapable de nettoyer les pollutions.

Pour résumer, une nanoparticule parfaitement assimilable, ou biodégradable si vous préférez, n’est un danger pour personne, cependant une nanoparticule manufacturée, synthétique ou OGM, augmentera le danger des substances nuisibles.

Maintenant, pour répondre pleinement à votre question et vous aider à trouver une vitamine C liposomale évitant ces écueils, il me faudrait demander l’analyse détaillée de tous les laboratoires en proposant, et à mon humble avis, pour peu que cela existe, trouver une formule ne présentant pas un seul des problèmes que nous venons d’évoquer est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin.

A moins d’une maladie grave et urgente comme un cancer, personnellement j’opterais pour la prudence en consommant des formules tout aussi utiles en prévention qu’en traitement de fond,  pleinement assimilables et non produites industriellement.

Si nous remettons les choses dans leur contexte c’est à partir des travaux de Linus Pauling, affirmant qu’à très haute dose la vitamine C est un formidable bouclier contre l’évolution du cancer, soutenus par Catherine Kousmine, que la vitamine C a commencé à déchaîner les passions.

Et même dans le cas du cancer, il est évidemment largement recommandé d’avoir plus d’une corde à son arc.

Néanmoins si pour ces raisons il vous fallait absolument utiliser de la vitamine C liposomale, aussi contraignant que cela puisse paraître, je pense que la recette à faire soi-même reste encore la meilleure option.

Je ne vois pas d’autre moyen d’être parfaitement sûr que les nanoparticules liposomales ne soient pas de la lécithine OGM ou de synthèse, enrobant une vitamine C probablement plus problématique encore, parsemée d’additifs risquant d’être transportés par les liposomes aussi efficacement qu’une bonne vitamine C dans l’organisme.

Bien que communément considéré comme inoffensif, l’ascorbate de sodium apporte non seulement trop de sel à l’organisme mais il s’avère aussi très souvent synthétique.

Il serait donc peut-être plus sage de s’orienter, tout au moins en attendant que les vitamines C liposomales soient conçues avec des ingrédients vraiment sains, vers une vitamine C dont l’assimilation serait optimisée par un processus de fermentation sur sorbitol par exemple.

A défaut d’une urgence particulière, je vous conseillerais de bonnes doses d’une vitamine C sûre mais puissante
https://reponsesbio.shop/produit/cynorrhodon-vitamine-c/
non chauffée à plus de 70°, en augmentant progressivement les doses.

Si possible avec les conseils d’un thérapeute compétent connaissant les travaux de Linus Pauling, si vous souhaitez dépasser 3 grammes par jour.

Cela étant dit, rien ne remplacera jamais une consommation avisée et quotidienne de fruits et légumes riches en vitamine C, qui en restent la source la plus largement assimilable.

****************************

Eric T. :
« Est-ce que cette aloe est efficace aussi contre Parkinson ? »

Jean-Baptiste Loin :
Bonjour,

Suite à votre question j’ai trouvé quelques sources scientifiques faisant état de recherches menées aux Etats-Unis en juin 2017 par Abbaoui A, Hiba OE, et Gamrani H, confirmant de nombreuses rumeurs portant sur le potentiel neuroprotecteur de l’Aloe Arborescens
https://reponsesbio.shop/?post_type=product&s=aloe%20arborescens
contre la maladie de Parkinson lorsqu’elle est induite par une intoxication aux métaux lourds, et plus particulièrement par une intoxication au cuivre.

Dans cette mesure on ne peut pas dire que l’aloe arborescens soit à proprement parler un remède contre Parkinson, mais un remède contre certaines intoxications aux métaux lourds, et donc aux formes de Parkinson en découlant.

L’étude montre en tout cas des résultats très prometteurs en ce sens.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

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A PROPOS DE NOUS
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MessageSujet: Re: VITAMINES    VITAMINES  - Page 5 EmptyLun 24 Oct 2022 - 14:12

Vitamine C VITAMINES  - Page 5 3291515562

source ICI sur marmiton

Ce légume est plus riche en calcium qu'un verre de lait et plus riche en vitamine C qu'une orange
par Coline Cipolla
Le 25/01/2024

Vous pensez encore que la viande est la meilleure source de protéines et les produits laitiers la meilleure source de calcium et de minéraux ? Détrompez-vous.
Pendant bien longtemps ces croyances dirigeaient notre alimentation, mais aujourd'hui, de nombreuses études ont montré l'efficacité des produits végétaux.

Cet hiver, en matière de vitamines et de minéraux, un certain légume fait davantage parler de lui que les autres.
Ses valeurs nutritives sont impressionnantes et il peut se marier dans des recettes diverses et variées.
Qu'attendez-vous pour en faire votre nouveau chouchou de la saison ?

Le chou, mais pas n'importe lequel !
Ce super légume n'est autre que le chou, mais l'une des variétés de ce légume de saison fait beaucoup parler d'elle en ce moment.
Il s'agit du chou frisé, également appelé chou kale.
Ce chou est composé d'une multitude de couches de feuilles vertes, épaisses et frisées, et dont la pointe est parfois presque violine.

Ce chou est à l'honneur est en cette saison, car le monde entier a connu un hiver particulièrement froid.
Le chou frisé se plaît dans ces environnements presque extrêmes et est très résistant aux températures basses.
Il peut survivre jusqu'à -15 degrés Celsius !

Il est d'ailleurs principalement cultivé et consommé dans les pays du nord, tels que l'Allemagne ou les pays scandinaves.
Sa consommation est largement devenue mondiale ces dernières années, notamment grâce aux nombreux bienfaits qu'il procure.

Les bienfaits du chou frisé
En cette saison, consommer du chou frisé est une très bonne chose.
Ce chou est reconnu comme étant un super légume, c'est une excellente source de vitamines, de minéraux et d'oligoéléments.
Selon nos confrères de Doctissimo, il s'agit d'ailleurs du légume le plus riche en calcium, "une portion moyenne de 150 g fournit près de 40% de la valeur nutritionnelle de référence (VNR) d’un adulte (apport conseillé)".

On considère que pour 100 g de chou kale, il contient environ 3 g de protéines, 150 mg de calcium, et 90 mg de vitamine C.
Dans la même quantité de lait environ, on retrouve seulement 125 mg de calcium et seulement 50 mg de vitamines C dans 100 g d'orange.

En bref, un partenaire nutritif de la saison de grande qualité.
Mais quoi qu'il en soit, gardez à l'esprit que le plus sain pour le corps est de manger varié et équilibré.
Vous profiterez pleinement de toutes les saveurs et de tous les nutriments que les aliments peuvent vous offrir.

À lire aussi  sur le site:
Rappel produit : attention ce célèbre légume de saison vendu dans toute la France contient des insectes !
ICI

Ce légume de saison est "incroyable" pour la santé selon ce gastro-entérologue : c'est le moment d'en profiter !
ICI

Ce fruit de saison contient 20 fois plus de vitamine C que l'orange
ICI

VITAMINES  - Page 5 262171387


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MessageSujet: Re: VITAMINES    VITAMINES  - Page 5 EmptyLun 24 Oct 2022 - 14:12

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MessageSujet: Re: VITAMINES    VITAMINES  - Page 5 EmptyLun 24 Oct 2022 - 14:13

VITAMINES  - Page 5 1703270804566491714948468

Voila de plus amples renseignements sur l'acérola
source http://www.satoriz.fr/satoriz/lacerola-petite-merveilleet-belles-embrouilles/
L’acérola, petite merveille…et belles embrouilles !

Article paru en janvier 2005  
Il va s’agir de vitamine C, mais pas d’un article de plus… Notre propos sera clairement d’informer celui qu’on trompe depuis longtemps : le consommateur. Car il se passe de bien vilaines choses autour des comprimés vendus trop souvent abusivement sous le terme d’« acérola » : des pratiques tolérées mais parfaitement condamnables, qui seraient sans aucun doute passibles de la loi si celle-ci existait…

Certaines de ces dérives sont connues, d’autres moins. Si on en fait la somme, on patauge carrément dans l’arnaque.
On attaque fort, là ? Un pavé dans la marre, mon canard.

La vitamine C :une substance, des comprimés, des controverses…
1. Quelques rappels
La traversée de l’Atlantique à la voile… Pas avec les trimarans supersoniques actuels qui torchent l’histoire en moins d’une semaine, mais avec de belles et majestueuses caravelles qui naviguaient des mois pour gagner la terre promise, l’autre… C’est à l’époque des grandes découvertes qu’on a compris que le manque de fruits et légumes frais induisait une lourde fatigue, puis que les personnes concernées saignaient des gencives, voyaient leurs dents se déchausser et finissaient par mourir… La maladie s’appelle le scorbut, elle touchait les marins depuis l’antiquité et il a fallu attendre le dix-huitième siècle pour qu’on généralise la pratique salvatrice qui permet de l’éviter : en consommant suffisamment de citron, les symptômes disparaissent rapidement.

Aujourd’hui, il faudrait vraiment le faire exprès pour que le scorbut nous taquine…

La substance qui se cachait derrière ces drames et guérisons a été isolée en 1928. C’est l’acide « a-scorbique », « qui éloigne le scorbut ». Dix ans plus tard, on a appris à la synthétiser en laboratoire et elle fut presque aussitôt commercialisée. Bonjour la Vitamine C, éternelle première du hit-parade des ventes de pilules et comprimés en tout genre.

Cette vitamine C se trouve largement et avantageusement dans les fruits et légumes, vous le savez. Pour peu qu’ils soient colorés, surtout : poivron rouge, brocoli, tomate, orange, citron, pamplemousse, kaki, kiwi… Pomme de terre et persil, aussi… Mais l’hiver est long, les fruits bien lointains et pas toujours mûrs, pas toujours frais… Quant aux légumes, ils se cuisent et perdent alors beaucoup en concentration de la précieuse substance…

L’idée est donc tentante de pallier nos bien éventuelles carences en prenant des comprimés : on s’en porterait mieux. D’autant plus tentante qu’un gros bonnet de la science a mis son grain de sel dans l’histoire durant les années soixante-dix : Linus Pauling, deux fois prix Nobel, s’il vous plaît… Une fois de chimie, l’autre de la paix. Qu’a-t-il découvert, ce monsieur ? Que les primates, dont l’homme, sont avec les cobayes et autres chauve-souris les seuls mammifères à avoir perdu la capacité de synthétiser par eux mêmes la vitamine C (les autres mammifères en « produisent »), et que la perte de cette capacité serait comparable à une maladie génétique dominante qui touche l’humanité entière. Pauling en a conclu que notre alimentation est loin de nous fournir toute la vitamine C dont un mammifère à besoin, et il préconisa donc, pour une meilleure santé, d’en augmenter chaque jour notre consommation par une supplémentation extérieure et conséquente. Jugez plutôt : dans un premier temps, il conseilla de prendre quotidiennement un gramme de vitamine C par jour, soit aux alentours de dix fois les apports officiellement recommandés. Le bénéfice qu’on en retirerait serait de dynamiser l’organisme et de raccourcir la durée des rhumes. Puis il se risqua à proposer des doses encore supérieures, jusqu’à trente grammes par jour, pour les personnes atteintes de cancer. Sans prétendre à les guérir, il disait pouvoir ainsi les maintenir en vie beaucoup plus longtemps.

Il va sans dire que de telles informations, livrées par un personnage aussi éminent, ont eu de multiples répercussions : celle de scinder le monde médical en deux dans un premier temps, avec les « pour » et les « contre »… Trente ans plus tard, on fait toujours des études pour évaluer la pertinence de ses allégations tout en multipliant les synthèses de ces différentes études… On s’étripe encore pour savoir s’il s’agit là du pétage de plomb d’un scientifique manipulé et en difficile fin de carrière ou du trait de génie d’un bienfaiteur de l’humanité. Autant vous dire que nous n’aurons pas la prétention de trancher… La deuxième grande répercussion de ces travaux concerne le commerce : il s’est dès lors vendu des tonnes de vitamine C partout dans le monde… En France notamment, et principalement dans les milieux alternatifs, en partie parce que Catherine Kousmine, le fameux médecin suisse, a cautionné et relayé les recherches de Pauling.

Bon… mais en admettant qu’on en ait besoin, comment se les procurer, ces un, deux, dix ou trente grammes de vitamine C quotidienne ?

Linus Pauling consommait lui de l’acide ascorbique synthétique à la petite cuiller… Douze grammes par jour, pendant près de trente ans* ! C’est là qu’apparaît un deuxième débat : ces surdosages de vitamine C ne peuvent-ils pas avoir, à la longue, des effets négatifs sur notre santé ? En théorie, non. Même à des doses extravagantes, la vitamine C ne peut pas être toxique. Certains ont pourtant reproché à ces dosages le fait qu’ils puissent être à l’origine de calculs rénaux. Là encore, études : ça ne semble pas se vérifier. D’autres signalent qu’ils sont excitants : pas si sûr, on prétend même que les fortes doses de vitamine C sont favorables au sommeil lorsque l’organisme s’y est habitué… Beaucoup enfin insistent sur le fait que ces méga doses sont inutiles, puisque très vite éliminées par les reins : faux rétorquent quelques spécialistes ; on les retrouve effectivement dans les urines, mais sous une forme oxydée, signe que la vitamine C a bien joué son rôle dans l’organisme. Bref, chacun son point de vue et vous avez certainement déjà eu l’occasion de vous forger le vôtre. Mais il y a encore une question qui se pose, et celle-ci est la première qui soit directement liée à nos préoccupations du jour : cette supplémentation en vitamine C peut-elle être naturelle ? Et si oui, la forme naturelle est-elle meilleure que la forme synthétique ?

*Pour information, Linus Pauling est mort à 93 ans des suites d’un cancer de la prostate

2. Vitamine C naturelle ou synthétique ?
Vous souhaitez savoir comment on obtient une vitamine C synthétique ? Pas facile, les labos étant particulièrement muets sur le sujet. On sait toutefois que le process a été mis au point par un scientifique nommé Reichstein à partir de la synthèse du glucose. La production se fait toujours majoritairement ainsi aujourd’hui, mais grâce à l’usage de bactéries génétiquement modifiées* qui permettent un meilleur rendement… Interviennent également dans la fabrication d’acide ascorbique de l’acide sulfurique, de l’acétone… Comme tout produit de synthèse, la substance obtenue n’est pure qu’à 99% et recèle de petits souvenirs des traitements qu’elle a reçus ; l’analyse révèle notamment des traces de métaux lourds. On reproche enfin beaucoup à l’acide ascorbique de synthèse d’être… acide ! Gare à l’estomac à fortes doses.

* Le glucose également peut être d’origine OGM, car souvent extrait du maïs. Contrairement aux fabriquants du secteur agroalimentaire, les laboratoires pharmaceutiques ne sont pas tenus de le spécifier.

Lorsque la vitamine C synthétique n’est pas de l’acide ascorbique mais un ascorbate de sodium ou de calcium, elle peut constituer une source d’excès de sels qui peut nuire à beaucoup. Mais c’est surtout l’assimilation de la vitamine C qui pose problème. À l’état naturel, celle-ci est totalement reconnue par l’organisme. Lorsqu’elle est synthétique, elle ne l’est que partiellement*, dans la majorité des cas. Moins active, elle demande de plus un surcroît de travail à l’organisme afin d’être éliminée. Nombre de personnes, dont aujourd’hui beaucoup de scientifiques, estiment que ces molécules étrangères à la vie que nous consommons toujours plus posent et poseront de nouveaux problèmes de santé. C’est la raison pour laquelle il apparaît souhaitable, pour celui qui a choisi de consommer des comprimés de vitamine C, d’en sélectionner une qui provienne de fruits. Et c’est là que notre sujet commence véritablement…

3. Une vraie merveille : la cerise acérole
Par chance, la nature a prévu pour nous un fruit exceptionnel, la cerise acérole. Elle pousse majoritairement au Brésil et présente des caractéristiques hors concours** concernant la vitamine C : 40 g de cerise acérole en contiennent autant qu’un kilo d’orange ! On s’est donc empressé de l’extraire et de la proposer sous forme de comprimés délicieusement acidulés, sous le doux nom d’acérola. Mais il y a un problème, de taille : la quasi-totalité des produits présents sur le marché n’est pas du tout conformes à ce que l’on peut en attendre, suite à trois embrouilles que nous allons méticuleusement vous décrire. Y’a pas de raisons que vous soyez les derniers informés…

*Une molécule de vitamine C naturelle est dite lévogyre (L). Elle est totalement assimilable. Une molécule synthétique est un mélange de molécules lévogyre et dextrogyres (D). Cette dernière forme est inefficace et rejetée par l’organisme.

**Un autre fruit amazonien, le camu camu, est encore plus riche en vitamine C que la cerise acèrole. Mais extraire la vitamine C du camu camu est extrêmement coûteux et ne peut donner lieu à une utilisation commerciale compétitive. Les extraits qu’on trouve dans quelques formulations disponibles sur le marché sont la plupart du temps artificiellement enrichis en vitamine de synthèse.

Comprimés d’Acérola:les trois embrouilles
1. La teneur en vitamine C naturelle d’un comprimé : une tromperie délibérée
Nous l’avons vu, les quantités de vitamine C attendues par le consommateur sont importantes. Afin de ne pas multiplier le nombre de comprimés à avaler, les fabricants ont estimé qu’il était utile de proposer un dosage de 500 mg par comprimé. Or, dans un comprimé de taille raisonnable (2 grammes), on ne peut techniquement pas intégrer plus de 120 mg de vitamine C extraite de la cerise acérole. Quoi qu’on vous dise, qui que ce soit qui vous le dise, c’est impossible. Pour les 500 mg, on est donc bien loin du compte…

Qu’à cela ne tienne : les fabricants ont pris l’habitude, depuis plusieurs décennies, de rajouter la vitamine C manquante sous une forme synthétique dans un comprimé qui est supposé n’en contenir que de la naturelle ! Et cela dans des proportions qui permettent sans problème de qualifier d’arnaque tout comprimé d’acérola soit disant dosé à 500 mg de vitamine C naturelle : l’apport en est réellement que de 120 mg, au mieux, agrémentés de 380 mg synthétiques… Nous avons même sous les yeux un produit vendu sous le nom d’acérola qui contient moins de 10 % de sa vitamine C provenant du fruit concerné ! Le consommateur averti fera pourtant la différence en lisant attentivement la liste des ingrédients (et non l’analyse) du produit : si les termes « acide ascorbique » ou « ascorbate de sodium », « sodium ascorbate », « vitamine C », « esther C », « préparation de vitamine C » y apparaissent, c’est bien de vitamine de synthèse dont il s’agit.

Vous avez l’impression d’avoir été abusés ? C’est normal… Mais comment une telle dérive est-elle possible ?
Aucun texte ne définit ce que doit être un comprimé d’acérola, ou « à l’acérola ». Voici donc une première porte ouverte. La seconde est encore plus surprenante : les services de la répression des fraudes, chargés de veiller à la conformité des étiquettes, ne font pas de différence entre produits de synthèse ou naturels ! Ils ne se préoccupent donc pas de savoir si une allégation dont ils ne connaissent pas la nature est fondée, ou pas… Les fabricants s’engouffrent dans la brèche, et le discours va avec : « oui, notre vitamine C est bien naturelle », déclarent-ils à qui veut l’entendre en étant sûrs de ne pas être inquiétés pour leur gros mensonge…

Tout le monde a longtemps été trompé : prescripteurs, naturopathes, médecins qui vous conseillent ces produits…
Qu’en est-il des magasins qui vous les vendent ?

Beaucoup avaient la puce à l’oreille et honnêtement, nous en faisions partie. Mais les margoulins affichaient une telle confiance dans leurs contre-arguments retors, sûrs de l’impunité dont ils jouissent, que nous nous sommes fait retourner comme des crêpes… Jusqu’à ce que nous enquêtions vraiment. Ce qui nous a valu bien d’autres découvertes…

2. La soi-disant « pureté » de l’extrait
Le fameux extrait d’acérola, les fabricants de comprimés ne le produisent pas eux-mêmes, ils l’achètent. Voici comment il est réalisé : la petite cerise acérole est broyée, filtrée puis mélangée à de l’eau. Le liquide ainsi obtenu est réduit sous forme de poudre grâce à une évaporation de l’eau à très faible température (rendue possible par le vide) et à l’ajout de maltodextrine. L’extrait obtenu contient 17 % de vitamine C, la plupart du temps. C’est le cas lorsque le laboratoire chargé de l’extraction est éloigné du lieu de culture de la cerise, le travail se faisant alors sur des fruits verts, ou mûrs mais congelés. Lorsque l’extraction se fait sur place, au Brésil, avec des fruits à maturité optimale, l’extrait peut alors contenir jusqu’à 25 % au mieux de vitamine C. Comment se fait-il donc que la majorité des fabricants utilisent des extraits qu’ils achètent comme étant garantis à 30, 35 voire 40 % de vitamine C ? Tout simplement parce que là aussi, il y a tricherie. Et celle-ci n’est pas décelable sur l’étiquette… Dès l’obtention de l’extrait et avant que la poudre ne soit revendue à un fabriquant de comprimés, le laboratoire rajoute de l’acide ascorbique à sa préparation ! Et ce fait-là, seuls les professionnels de la filière acérola le connaissaient jusqu’à il y a peu : avant l’an 2000, la quasi-totalité des extraits d’acérola étaient trafiqués. Depuis, la filière s’est en partie assainie sur ce point-là. En partie seulement…

Soyons positifs : existe-t-il un moyen qui permette à un fabriquant d’être sûr de disposer d’un approvisionnement d’extrait d’acérola de qualité ?
Oui. Il lui faut tout d’abord préférer une poudre obtenue au Brésil, bien sûr. Il est également nécessaire de réaliser une analyse pour évaluer le taux de vitamine C que contient cet extrait : s’il est supérieur à 25 %, on peut être certain que ce qui peut apparaître comme un gage de qualité est au contraire une fraude… Mais on ne dispose que d’un seul moyen qui permette réellement de savoir si un extrait est exempt de tout mélange avec une vitamine C de synthèse : il s’agit de l’analyse au carbone 14. Coût de l’opération, pour une simple vérification : environ 2 000 euros… Il va sans dire que bien peu d’opérateurs se donnent les moyens d’avoir la conscience tranquille.

3. Marketing et abus de langage
Les informations circulent… On commence à savoir, chez les distributeurs, qu’il n’est pas possible de concentrer dans un comprimé autant de vitamine C naturelle qu’on le fait croire. Le produit risquant de ne plus être techniquement crédible bien longtemps, beaucoup de fabricants ont trouvé une autre parade, encore plus pernicieuse que les deux précédentes embrouilles : ils trompent directement le consommateur sur le taux de vitamine C du comprimé, naturelle ou pas. Une pastille en contient alors bien moins qu’on est en droit de le supposer. Voici quelles sont les ficelles : on inscrit en gros sur l’emballage « Acérola 500 », « Acérola 600 » « Acérola 700 ou 710 », ce qui laisse entendre au consommateur que le comprimé contient autant de vitamine C. En fait, c’est autant de milligrammes d’extrait d’acérola que le comprimé contient, pas de vitamine C ! Exemple : un comprimé d’Acérola 500 contient 500 mg d’extrait d’acérola*; le taux de vitamine C d’un extrait étant au maximum de 25 %, ce comprimé ne contient réellement au maximum que 120 mg de vitamine C…

*Pour un comprimé de 2 grammes. Le reste est composé d’ adjuvants tels qu’agents de compression, polyols, sucres, arômes…

Désolant, mais c’est la grande tendance actuelle.
Résumé de la situation
Dans tous les cas, lorsqu’on vous propose un acérola dont la dénomination comporte un nombre qui est soit 500, soit plus :
– le comprimé est très majoritairement composé de vitamine C synthétique ou
– il ne contient que 120 mg de vitamine C naturelle, au plus, pour un comprimé de 2 grammes.

On a fait le tour. Voilà qui va nous valoir de bons amis…

Acerola, trois alternatives
1. Nos comprimés

Notons, afin d’éviter tout amalgame, que les sociétés qui commercialisent ces Acérola ne sont pas issues du monde du bio. Elles profitent de ce marché en trompant ses clients, nuance. Signalons également qu’il existe quelques comprimés sur le marché (très peu) qui ne sont pas issus de pratiques condamnables, mais qu’aucun d’eux ne nous convient pour autant. Tous contiennent des ingrédients ou adjuvants que nous préférons ne pas voir figurer dans les compositions des produits que nous distribuons : arômes naturels (que nous bannissons), sucres de synthèses ou polyols, stéarate de magnésium ou de calcium, bioflavonoïdes de provenance non identifiable, etc… Nous avons donc choisi de faire fabriquer des comprimés dont la vitamine C est exclusivement extraite de la cerise acérole, selon nos critères qualitatifs, les plus élevés possibles. Voici les détails de la formulation :

Dosage en vitamine C : 120 mg
Il est impossible de faire plus avec une vitamine naturelle !

La prise d’un, de deux ou trois comprimés de 120 mg de vitamine C par jour est largement suffisante pour celui qui souhaite optimiser son apport. Ceux qui recherchent des dosages supérieurs seront donc condamnés à consommer de la vitamine C synthétique ! À moins de consommer près de vingt (20 !) comprimés naturels par jour, pour un apport total de 2 grammes de vitamine C… Hum, libre à chacun.

Qualité de l’extrait
Il est obtenu sur place, au Brésil, à partir de fruits mûrs non surgelés. Son taux de vitamine C est de 25 %. Une analyse au carbone 14 datée de septembre 2004 atteste que cette source de vitamine C est entièrement naturelle et ne contient pas d’ajouts. La cerise acérole qui donne lieu à cet extrait provient de la cueillette sauvage de fruits qui ne reçoivent aucun traitement. (De par cette origine sauvage, cet acérola ne peut avoir la mention bio)

Adjuvants
Nous avons choisi de ne pas intégrer d’agents de compression comme les stéarates de calcium ou de magnésium. Seul l’ajout de sucre complet non cariogène (Rapadura Demeter du Brésil) permet au comprimé de « tenir ».

Arôme
Pas d’« arômes naturels ». Le goût est donné par un extrait d’écorce d’orange bio (Arcadie, le même que celui que nous vendons à la marque Cook).

2. Poudre d’Acérola Guayapi
Autre alternative : ne pas consommer de comprimés d’acérola, mais directement de l’extrait.
Guayapi en propose un de très grande qualité, préparé au Brésil. La prise d’un gramme de cette poudre vous apporte 220 mg de vitamine C naturelle. Une petite cuiller bombée en contient environ 2 grammes, soit 440 mg de vitamine C naturelle.

3. Jus d’acérola bio Voelkel
La cerise acérole bio est ici pressée et mise en bouteille, sans aucun autre ajout. 100 ml de ce jus (la moitié d’un petit verre) contiennent 650 mg de vitamine C.
Ce jus est très acide et pas forcément agréable tel quel. Nous vous conseillons d’en mélanger une ou plusieurs cuillers à soupe à un yaourt ou à votre jus de fruit favori.

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source http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=acerola_ps
Noms communs : acérola, cerisier-pays, cerise des Antilles, cerise des Barbades, siriz
Nom botanique : Malpighia glabra, Malpighia punicifolia
Noms anglais : Acerola fruits, Antilles cherry, Barbados cherry, Puerto Rican cherry, West Indian cherry.


Parties utilisées : fruit.

Habitat et origine : régions tropicales de l’Amérique du Sud, en particulier au Brésil, ainsi que dans les Caraïbes.

Indications:
En traitement
Efficacité possible
Combat les infections bactériennes
Stimule le système immunitaire
Combat l’hypercholestérolémie
Combat certains cancers
Voir la légende des symboles
Usage reconnu
Combat la dysentérie, l’anémie et le scorbut

Posologie
Il n’existe pas de données scientifiques suffisantes permettant de déterminer la posologie chez les enfants et adolescents, ainsi que chez les adultes (18 ans et plus). Aucun effet toxique n’a été rapporté à ce jour mais il est conseillé de ne pas consommer de fortes quantités d’acérola (au dessus de 1 g/jour de pulpe) du fait de sa haute teneur en vitamine C. Une étude datant de 2011 n’a rapporté aucun effet secondaire chez des participants ayant consommé quotidiennement 100 ml de jus dilué d’acérola contenant 50 mg de vitamine C (Uchida, 2011).

Historique et utilisations traditionnelles
L'acérola pousse dans les forêts sèches d’Amérique du Sud et peut atteindre 5 mètres. Il produit des fruits rouges qui s’apparentent à la cerise européenne. Le jus d'acérola obtenu à partir des fruits est très populaire en Amérique du Sud. Les fruits sont également consommés en cas de fièvre et de dysenterie (maladie infectieuse du côlon). La très forte teneur en vitamine C de l'acérola en fait un aliment exceptionnel pour stimuler le système immunitaire et pour prévenir ou traiter le scorbut. Elle est également consommée comme complément alimentaire en cas d’anémie (Derse, 1954) ou à l’inverse chez les personnes souffrant de diabète ou d’hypercholestérolémie.

Ingrédients
L'acérola est une source très importante de vitamine C naturelle, avec une teneur de 10 à 40 fois plus importante que l’orange. La quantité moyenne de vitamine C est de 1,8 g par 100g de pulpe d’acerola, avec des niveaux oscillant entre 1 et 2,3 g par 100 g de pulpe (Visentainer, 1997). Les niveaux en vitamine C dépendent de la maturité du fruit (un fruit trop mûr contient moins de vitamine C), de la saison de récolte ainsi que du climat (Clein, 1956 ; Enfoque,1993). L'acérola contient également deux fois plus de magnésium, de vitamine B5 et de potassium que l'orange. Elle contient aussi de la vitamine A, de la thiamine, de la riboflavine et de la vitamine B3 (niacine) à des concentrations comparables à celles d'autres fruits. On y trouve également du fer, du phosphore et des protéines, ainsi que du béta-carotène et des polyphénols qui sont de puissants anti-oxydants (Leme, 1973, Hanamura, 2005).

Recherches
Activité anti-inflammatoire. Une étude in vitro a montré que l’acérola diminue l’inflammation sur des macrophages (cellules du système immunitaire) mis en culture (Wakabayashi, 2003)

Activité anti-bactérienne et anti-fongique. Une activité anti-bactérienne a été rapportée par des chercheurs japonais sur la souche Staphylococcus epidermidis (Motohashi, 2004). D’autre part, une équipe guatémaltaise a analysé l’activité de plusieurs plantes sudaméricaines sur des champignons pathogènes. Il apparaît que l’acérola est une des plus efficaces pour combattre ces champignons (Caceres, A, 1993).

Activité anti-cancéreuse. L’étude de Motohashi en 2004 a également montré que des extraits d’acérola présentent une action toxique sur des lignées de cellules tumorales, suggérant que ce fruit pourrait avoir des propriétés anti-cancéreuses. Une autre étude indique qu’un extrait d’acérola (700 mg/kg) bloque la croissance de cellules cancéreuses sur un modèle de souris (Nagamine, 2002).

Obésité et Hypercholestérolémie. Une étude réalisée sur des cellules endothéliales a montré que l’acérola, combinée à des extraits d’alfalfa et de soja, bloque l’oxydation des lipoprotéines de petite densité (LDL en abrégé), considérées comme le mauvais cholestérol (Hwang, J, 2001). Cet effet protecteur serait dû en partie à sa forte teneur en vitamine C (Clein, 1956 ; Enfoque,1993). Une autre étude indique que l’acérola peut lutter contre les effets néfastes de obésité sur l’organisme : des souris ont été soumises à un régime alimentaire riche en graisse et en sucre puis exposées ou non avec de l’acérola pendant 13 semaines. Les résultats indiquent que la plante protège les cellules sanguines et de celles de certains organes (reins, foie) des effets toxiques de ce régime alimentaire. Cet effet protecteur est vraisemblablement dû aux antioxydants (vitamine C, polyphénols) présents dans l’acérola (Leffa, 2013).

Précautions
Attention
L’acérola est à éviter chez les patients :souffrant de goutte car elle peut augmenter les taux d’acide urique avec des antécédants de calculs rénaux (néphrolithiase) car l’acérola peut augmenter la formation de ces calculs.

Contre-indications
L’acérola est contre-indiquée chez ceux qui sont allergiques à l’acérola ou à ses ingrédients (De Assis, 2002).

Effets indésirables
Il n’existe par d’études cliniques de bonne qualité ayant rapporté des effets indésirables de l’acérola. Cependant, la communauté scientifique estime que cette dernière n’est pas dangereuse aux doses recommandées. De fortes quantités d’acérola (au dessus de 1 g/jour) peuvent néanmoins provoquer des effets secondaires tels que diarrhée, nausée et dyspepsie (douleur abdominale), du fait de sa haute teneur en vitamine C.

Interactions
Avec des plantes ou des suppléments
L’acérola peut augmenter : l’effet antioxydant de l’alfalfa et du soja (Hwang, J., 2001) ;
l’absorption de fer dans le tractus gastrointestinal ;
la quantité de vitamine C dans le sang chez ceux consommant des suppléments de vitamine C.

Avec des médicaments
L’acérola, du fait de sa haute teneur en vitamine C, peut interagir avec les médicaments suivants :
Les médicaments anti-plaquettaires ou anticoagulants tels que la warfarine (Coumadin®) (Rosenthal G, 1971) ;
Les estrogènes, dont elle peut augmenter l’absorption (Back, 1981 ; Morris, 1981) ;
La fluphénazine (Prolixin®), dont elle peut diminuer l’efficacité.


Recherche et rédaction : Stéphane Bastianetto, Ph. D. Fondateur de www.neuromedia.ca.

Fiche créée : janvier 2014

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source http://www.consoglobe.com/lacerola-la-cerise-sur-le-gateau-cg
L’acérola, du concentré de vitamine C

L’acérola est un arbre très répandu en Amérique du sud et dans les Antilles, sous le soleil tropical de Puerto Rico et d’Hawaï. Son fruit ressemble beaucoup à la cerise.

Elle pousse aujourd’hui principalement au Brésil.

L’acérola a par contre, un goût plus acidulé que celui de la cerise.

Elle est aujourd’hui très renommée pour sa concentration exceptionnelle en vitamine C. L’acérola, c’est de la vitamine c naturelle. L’acérola est le fruit le plus concentré en vitamine c, 10 fois plus que l’orange par exemple.

Un verre d’acérola contiendrait ainsi 30 à 40 fois plus de vitamine C qu’un verre de jus d’orange.
Bref, un verre et vous faites le plein de vitalité et de tonus pour toute la journée.

Pourquoi l’acérola plutôt que la vitamine C de synthèse ?
L’acérola en complément nutritionnel est bien meilleur que la vitamine C chimique vendue en pharmacie : celle-ci est en effet un produit de synthèse peu assimilé par l’organisme et qui d’ailleurs la rejette immédiatement dans les urines.

La vitamine C de synthèse a des effets secondaires provoquant une certaine excitation qui rend le sommeil difficile.
En revanche, la vitamine C naturelle de l’acérola est très bien assimilée grâce à son mélange avec des bioflavonoïdes.

Une consommation régulière d’acérola, même en grande quantité, ne gêne pas le sommeil. Sans effet secondaire sur le sommeil, l’acérola aide à le réguler pour des nuits de meilleure qualité.

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source http://www.coeurdenature.fr/astuce/les-bienfaits-de-l-acerola-bio-une-baie-pleine-d-energie
Les bienfaits de l’Acérola bio : une baie pleine d’énergie !

L’Acérola est un petit fruit rouge extrêmement riche en vitamine C naturelle.

L’Acérola bio est traditionnellement utilisée pour aider à réduire la fatigue (anti-fatigue naturel) et pour sa participation au bon fonctionnement du système immunitaire. Prise sous forme de complément alimentaire naturel, cette cerise donne la pêche !

L’Acérola est célèbre pour son record de concentration en vitamine C (environ 30 fois plus que l’orange !).
La vitamine C n’étant pas stockée par le corps, elle doit donc être constamment apportée par l’alimentation. A défaut, ou en cas de besoins accrus, les compléments alimentaires à base d’Acérola apportent naturellement de la vitamine C. Ils participent aux apports journaliers recommandés.

Vos bénéfices bien-être grâce à l’Acérola bio :
- une sensation générale de dynamisme et de regain d’énergie,
- une contribution au bon fonctionnement du système immunitaire, en prévention des maux de l’hiver,
- un organisme moins en prise au vieillissement cellulaire (action anti-oxydant naturel),
- des os et des articulations plus forts.
En complément d’une alimentation saine, riche en fruits et légumes, des cures sont intéressantes à l’approche de l’hiver, lors de périodes particulièrement stressantes ou fatigantes ou bien en cas d’activité physique accrue.

L’Acérola en complément alimentaire bio : ses principes actifs et bienfaits :
La vitamine C naturelle contenue dans l’Acérola :
- aide à réduire la fatigue,
- renforce le bon fonctionnement du système immunitaire.

La vitamine C a d’autres propriétés moins connues, mais tout aussi importantes.
- c’est un composé indispensable à l’absorption du fer,
- elle joue un rôle protecteur des cellules contre les radicaux libres,
- elle entre aussi dans la fabrication du collagène, substance qui donne la résistance et l’élasticité aux tissus,
- elle participe à la formation des os, des dents, des cartilages, de la peau et des globules rouges.

L’intérêt d’un apport en vitamine C sous cette forme naturelle (contrairement à une vitamine de synthèse) est la présence de flavonoïdes (pigments végétaux aux propriétés antioxydantes).
Les flavonoïdes permettent une bonne assimilation de la vitamine C par l’organisme. Ils garantissent ainsi l’efficacité de l’Acérola.

L’Acérola est également riche en minéraux : calcium, magnésium, phosphore, potassium. Ces minéraux interviennent dans la construction, la solidité et la densité osseuses ainsi que dans le fonctionnement neuromusculaire.

En savoir plus sur l’Acérola, ce concentré de tonus !
Son goût un peu acide ne l’empêche pas d’en faire une boisson d’exception au Brésil, dans les îles Canaries ou aux Antilles, lieux de culture de cette baie. On la trouve également sous forme de poudre, de comprimés et même de thé.

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IMPORTANT A LIRE
source http://www.allergique.org/spip.php?breve718
Allergique au latex attention ! L’acerola est désormais en comprimé    
par le Dr Philippe Auriol
lundi 2 juillet 2007


En 2002 notre site publiait un article montrant une allergie croisée entre le latex (extrait de l’hevea brasiliensis) et une petite cerise du Brésil riche en vitamine C : l’acerola.

Depuis 2002, forte de son abondante concentration en vitamine C et de son coté exotique, l’acerola a envahi tour à tour les jus de fruits et les compotes.

L’Afssaps vient de donner son autorisation à la commercialisation de pâtes à sucer à l’acerola (CODETRICINE TETRACAINE A L’ACEROLA, pâte à sucer MADAUS) dans la catégorie des prescription médicale facultative.

Les allergiques au Latex devraient se méfier de ces produits enrichis ; a priori.

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Un lien avec beaucoup de renseignements
http://mr-ginseng.com/acerola/

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