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 2 Plantes sauvages comestibles

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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles - Page 2 EmptyDim 14 Mai 2023 - 20:58

Avant de consommer ces plantes, regarder leurs photos sur le site

source https://potagerdurable.com/5-plantes-sauvages-comestibles-du-potager/

5 plantes sauvages comestibles du potager

Ah… ces mauvaises herbes du potager… ! On a beau pailler, il y en a toujours qui trouvent le moyen de s’installer entre nos rangs de carottes, au pied des tomates et au milieu du basilic.

Mais s’il s’agissait de plantes comestibles ? Si au lieu de les regarder d’un mauvais œil et de les arracher les dents serrées, on se réjouissait de la salade sauvage qu’elles nous offrent gratuitement ?

Dans cet article, je vous présente 5 plantes sauvages comestibles communes du potager. J’espère, de ce fait, vous aider à les reconnaître dans votre jardin et de vous donner envie de les y accueillir avec joie afin qu’elles puissent atterrir dans votre assiette et non au compost.

Le chénopode blanc (chenopodium album) est une plante très courante des potagers qui peut même devenir envahissante. C’est une annuelle aux feuilles vertes, légèrement bleutées au dessus et blanchâtres en dessous.

La face inférieure des feuilles, surtout au sommet de la plante, est recouverte d’une curieuse couche farineuse qui se détache facilement au toucher. Les feuilles sont ovales, dentées, avec une forme plus ou moins de patte d’oie.

La plante atteint une hauteur de 20 cm à 1,20 m. Si on regarde attentivement la tige, on se rend compte qu’elle est striée de haut en bas de bandes vertes (parfois légèrement violettes) et blanchâtres.

Les fleurs du chénopode sont verdâtres - grisâtres, toutes petites et regroupées en longes grappes terminales.

Comme les épinards
Alors pourquoi se réjouir quand le chénopode blanc s’installe dans votre jardin ? En fait il appartient à la même famille que les épinards et ses feuilles font d’excellents légumes.

On peut les manger crues en salade à laquelle elles apportent un agréable goût de petits pois crus. Cuites, les feuilles peuvent entrer dans la composition de soupes, quiches, farces, gratins… comme les épinards, mais sans le goût acide de ces derniers.

Le meilleur moment pour cueillir les feuilles de chénopode est avant l’apparition des fleurs. On peut alors cueillir la plante entière et on a juste à enlever la partie basse de la tige, trop fibreuse. La partie haute de la tige étant encore tendre, on peut la faire cuire avec les feuilles.

Le chénopode est très riche en protéines complètes, c’est-à-dire qu’il contient l’ensemble des acides aminés essentiels. Il apporte aussi des quantités très intéressantes en Vitamine A, vitamine C et en calcium.

Par contre il renferme, pareil que l’épinard, pas mal d’oxalates qui peuvent avoir un effet irritant. Pour cela il faut éviter d’en manger de trop grandes quantités, surtout si on a des problèmes rénaux, hépatiques ou arthritiques.

Le pourpier (portulaca oleacera) est une « mauvaise herbe » classique des jardins potagers. Il ressemble à une plante grasse et il rampe au sol où il s’étend en étoile.

Les feuilles du pourpier sont épaisses, charnues et luisantes. Elles sont directement posées sur les tiges rougeâtres qui, couchées au sol, s’étendent dans toutes les directions. Les petites fleurs jaunes à 5 pétales se trouvent à l’aisselle des feuilles et ne s’ouvrent que par temps ensoleillé.

Cru ou cuit – un régal
Une fois que l’on a goûté au pourpier on l’adopte. Ses feuilles et jeunes tiges sont acidulées, juteuses et croquantes et font d’excellent ajouts aux salades. Je les trouve délicieuses.

On peut aussi les faire cuire à la vapeur et les servir avec un filet d’huile d’olive. Ou les incorporer aux soupes et aux poêlées de légumes… Les jeunes tiges, feuilles et fleurs, conservées dans du vinaigre, remplacent les cornichons.

Et même les graines se mangent ! Elles ont été mangées bouillies comme « céréales » mais on peut aussi les moudre pour les ajouter à la farine. Par contre, il faut une bonne dose de patience pour obtenir une récolte digne de ce nom.

Le pourpier est riche en vitamines (notamment la vitamine C) et en minéraux ainsi qu’en acide gras oméga 3.

Alors ce serait dommage de ne pas en profiter s’il s’invite dans votre jardin, vous ne trouvez pas ? D’ailleurs il fait partie du régime crétois, ce mode alimentaire (et même de vie) basé sur une consommation importante de légumes et de fruits, accompagnés d’huile d’olive, de céréales et de poisson… et de plantes sauvages !

Encore une plante envahissante de certains jardins. L’amarante réfléchie (amaranthus retroflexu) est un excellent légume et ce serait dommage de le traiter de mauvaise herbe.

L’amarante est une plante entièrement verte, aux feuilles ovales et allongées qui fait un long et épais épis floral vert au sommet de la tige. A l’aisselle des feuilles, les épis floraux sont plus petits et plus courts. En fait les minuscules fleurs dans ces épis n’ont pas de pétales, d’où la couleur verte.

Bon au goût et pour la santé
Les jeunes feuilles d’amarante sont tendres et très bonnes crues en salade. Leur saveur est douce et ne présente pas d’amertume. Les feuilles et jeunes tiges et même les jeunes inflorescences peuvent être cuites comme des épinards.

Ma recette favorite consiste à faire revenir des oignons dans de l’huile d’olive, à ajouter des feuilles d’amarante et de cuire doucement à l’étouffée. Avec un peu de fleur de sel, c’est un excellent « épinard » en accompagnement d’un plat principal.

Les graines d’amarante peuvent être mangées tel que des céréales. Pour les récolter, en septembre, il suffit de secouer les inflorescences au-dessus d’un linge.

Les feuilles d’amarante sont riches en protéines, vitamines et en minéraux, notamment en fer.
Il y a plusieurs espèces d’amarante, dont l’amarante couchée (amaranthus hybridus), qui s’utilisent de la même façon.

La lampsane
Au printemps, même avant que je puisse manger les laitues du potager, je me régale de salades entières récoltées au jardin. La lampsane s’y est installée par elle-même et me rend de bons services.

Dès la fin de l’hiver, elle présente de jolies rosettes de feuilles que je cueille comme de la laitue à couper.

La lampsane est une astéracée annuelle qui a des feuilles d’une forme caractéristique : La feuille est profondément divisée en lobes inégaux. Le lobe terminal est beaucoup plus grand que les autres. Une fois le printemps avancé, se forment, au centre de la rosette, des tiges qui montent jusqu’à 1 mètre de hauteur. On voit alors apparaître de nombreuses « mini fleurs de pissenlit ».

De la salade gratuite
A ce stade, les feuilles deviennent trop amères pour être appréciées. Le meilleur moment pour les cueillir est quand la plante est encore en simple rosette ou que la tige monte tout juste. Après, je laisse 2 ou 3 individus monter en fleurs et en graines pour leur laisser la possibilité de se reproduire. Et aussi parce que je les trouve jolies avec leur multitude de fleurs jaunes. J’arrache les autres pour laisser la place à mes légumes qui commencent à se déployer.

La salade de lampsane ressemble au goût à la salade de pissenlit, avec cette même amertume. La texture de la feuille est par contre plus tendre que celle du pissenlit. Pour couvrir l’amertume, le meilleur moyen est d’ajouter de l’œuf dur à la salade. Un peu de noix, des oignons rouges et des lardons pour ceux qui aiment… une vraie salade qui a du goût !

Vous trouverez plus de détails dans mon article sur le pissenlit.

Il est d’ailleurs recommandé de revenir vers des aliments contenant des substances amères. Ils stimulent l’activité du système digestif et diminuent nos envies de sucre.

Le galinsoga
Originaire d’Amérique du Sud, le galinsoga (galinsoga parviflora et galinsoga ciliata)
se sent bien chez nous et aime s’installer dans les terrains cultivés où on a parfois du mal à s’en débarrasser.

Au lieu de cela, je vous recommande de récolter ce légume gratuit et de l’intégrer à votre cuisine.

Le galinsoga a les feuilles opposées, ovales et terminant en pointe. Chaque feuille est dentée tout autour. La hauteur de la plante atteint 20 à 50 cm.

Les fleurs sont composées d’un centre jaune à minuscules fleurs en forme de tube et de 5 fleurs blanches en forme de courte languette sur le pourtour. La plante produit continuellement des fleurs entre juillet et octobre.

Pesto, smoothie ou quiche au galinsoga
Toutes les parties tendres de la plante se consomment, c’est-à-dire les feuilles, jeunes tiges et les fleurs. On peut les manger crues en salade, en pesto ou en smoothie ou alors les incorporer, cuites, à de nombreux plats comme des soupes, des quiches et des mélanges de légumes.

Le goût du galinsoga est aromatique tout en restant doux. La plante contient des quantités intéressantes de protéines et de fer.

Quels avantages à manger les plantes sauvages comestibles du potager ?
Il y a plein d’avantages à manger les « mauvaises herbes » du potager :

-Souvent, avant même d’avoir planté ou semé au printemps, on a déjà des récoltes à faire dans son jardin. Je trouve ça absolument magique !

-Les plantes sauvages sont généralement plus riches en nutriments (minéraux, oligoéléments, vitamines, antioxydants..) que nos légumes cultivés. Si on les intègre régulièrement à notre alimentation on en ressent un regain en vitalité.

-Notre potager est un endroit protégé. Quand on commence à s’intéresser aux plantes sauvages comestibles, on se pose souvent la question sur les pollutions éventuelles ou la présence de parasites… dans notre jardin on sait ce que l’on fait et on peut cueillir les plantes sauvages tranquillement.

-Les plantes sont à porté de main, le guide d’identification (ou l’ordinateur) aussi… un bon moyen pour démarrer son apprentissage du monde merveilleux des plantes sauvages comestibles !

Cet article a été écrit par Nathalie Deshayes du blog Plantes Sauvages Comestibles.
Si vous voulez en savoir plus, vous êtes les bienvenus sur son blog où vous trouvez des recettes, des astuces et de nombreux articles sur les plantes sauvages et leurs utilisations.

Petite conclusion de Nicolas
Ce n'est pas toujours facile d'être sûr que l'on a bien la bonne plante en face de soi, sans oublier que certaines d'entre elles peuvent être toxiques.

Pour identifier facilement une plante, il existe des applications pour smartphone comme Seek by Inaturalist (c'est ma préférée) ou Plantnet. Il suffit de pointer l'objectif sur la plante et elle est reconnue automatiquement en quelques secondes.

Et vous, est-ce que vous consommez d'autres herbes sauvages de votre jardin ? N'hésitez pas à nous les faire découvrir dans les commentaires !


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Dernière édition par Libellule le Mer 25 Sep 2024 - 20:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles - Page 2 EmptyMar 8 Aoû 2023 - 16:47

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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles - Page 2 EmptyMer 25 Sep 2024 - 20:24

source https://permaforet.blogspot.com/2013/11/graminees-sauvages-comestibles.html

Graminées sauvages comestibles
Publié par Natacha Leroux  
novembre 16, 2013

La majorité des graminées sauvages ou cultivées sont comestibles.
Les céréales s'accommodent très bien des sols acides et pauvres, en plaine ou en montagne; on les retrouvent au delà de 3000m d'altitude.

Les graines peuvent être moulues en farine ou torréfiées avant d'être consommées cuites, en bouillie, grumeaux, céréales, pain, pâtes, ou succédanés de café.

Les variétés cultivées ont été sélectionnées et multipliées pour leur teneur en gluten, parfois au delà de 70%, afin de résister aux manipulations des pétrins mécaniques: la pâte obtenue devient suffisamment élastique pour permettre la préparation industrielle.
Les préparation industrielle en nécessite pas tant de gluten et peut tendre vers des teneurs inférieurs à 8%, voir nulle, comme avec les farines de riz, de maïs, de quinoa, de millet, de sorgho, du petit épeautre, de soja ou de sarrasin.

Les céréales anciens ou sauvages sont pauvres en gluten, moins de 8% et donc excellents pour la santé.
Les quelques espèces de graines cultivées de variétés sauvages sont le sarrasin (qui n'est pas une céréale), le seigle, le fromental, le folle avoine, le riz non hybride, le maïs non ogm non hybride et le petit épeautre - différent du grand épeautre.
Le petit épeautre est produit localement, il est d'excellente qualité nutritionnelle et convient à une alimentation sans gluten, tout comme le sarrasin.

Pour réaliser des farines, on peut aussi utiliser des fruits sauvages de la famille des alisiers et des aubépines.
Cette tradition culinaire est répandue dans les pays de l'est et du nord de l'Europe.
Mais aussi de noix, les glands, les châtaignes, les noisettes, les amandes, les faines etc...
Certains nécessite une préparation plus longue compte tenu de leur tanins, comme les glands, ou en fagine, comme les faines, et des amandes, en acide cyanogénétique.

A lire: PRECAUTIONS ET INTOXICATION POTENTIELLE
http://ovine.sngtv.pagesperso-orange.fr/Intoxications%20vegetales.pdf

graines:
sarrasin (qui n'est pas une graminée)
liseron sarrasin (fallopia convolvulus)
fromental (éviter la variété fromental doré...toxique à forte consommation)
folle avoine
petit épéautre
millet sauvage
pied de coq
orge des rats
oyat
manne de pologne
egylops (triticum blé sauvage)
sétaire (millet sauvage)

rhizome
chiendent
massette
linaigrette
oyat

à éviter:
fétuque, ivraie, sorgho, fromental dorée.
non que ces graminées soient toxiques en soi, mais ils sont les hôtes d'une mycotoxine qui contamine souvent ces variétés.
On les remarque avec des tâches noires voir une excroissance noire, des ergots, noirs, au niveau du grain.
A forte dose, cette mycotoxine est mortelle pour l'homme et responsable de nombreuses épidémies et intoxication depuis le moyen âge; d'où l'expression "séparer l'ivraie du grain".
Par contre la fromental dorée est susceptible de causer une intoxication végétale sévère chez les mammifères qui développent une calcinose pulmonaire.
De manière générale, une consommation excessive chez les poacées peut s'avérer potentiellement toxique; il est loin le temps des disettes et de l'alimentation monoproduit, donc une consommation occasionnelle et dans un régime ne semblerait pas causer de problèmes.
Si vous voulez réaliser vos propres farines sauvages, variées les et mélangez les en proportion adéquates, comme pour la farine de lupin et de sarrasin.
Même si notre organisme gère plus ou moins bien les céréales, physiologiquement parlant, cela ne doit pas constituer la source principale de votre régime alimentaire; nous sommes plutôt constitués pour consommer des végétaux, feuilles, fruits et légumes.

références:
le régal végétal livre on line de François Couplan
guide des plantes sauvages comestibles et toxiques de F. Couplan
guide des graminées, carex, joncs et fougères de Fitter
plantes comestibles et utiles au québec www.liafaydjam.blogspot.com
CREBESC cente de recherche et d'étude de la boulangerie et de ses compagnonnages http://www.compagnons-boulangers-patissiers.com/crebesc/les-familles-de-ble/
http://www.hautemarne-nature.com/
http://www.plantes-comestibles.fr/
http://www.lakko.fr/plantes-comestibles.html
base de données universite de laval: http://www.c2000.ulaval.ca/fileadmin/fichiers/fichiersC2000/pdf/Plantes_comestibles2011_v4.pdf

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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles - Page 2 EmptyMer 25 Sep 2024 - 20:37

source http://naturanim.free.fr/spip.php?article26

1 / Cueillette des herbes sauvages comestibles « mois après mois »
mardi 18 février 2014, par Patrice


En cet fin d’hiver, début Mars dès les premiers redoux les premières herbes sauvages comestibles du bocage normand font leur apparition, c’est le moment de commencer la cueillette de la doucette ( mâche sauvage ) ciboulette...
C’est avec des photos classées chronologiquement que je vais tenter de vous familiariser avec les plantes sauvages comestibles les plus faciles à identifier, qui vous permettront d’accompagner vos repas ; alors il ne vous reste plus qu’à franchir le pas de la connaissance à la pratique et passer de la cueillette à l’assiette.
Je vous recommande la plus grande prudence lors de vos cueillettes, en effet la pollution chimique bactériologique et parasitaires n’empêche pas le développement de ces succulents végétaux, riches en protéines glucides lipides minéraux et vitamines, certaines plantes sont également protégées renseignez-vous auprès d’organismes référents de votre département.
Enfin, les plantes sauvages comestibles cachent de redoutables cousines ennemies, il est important d’identifier les récoltes avec certitude.


Teneur moyenne en protéines de quelques végétaux sauvages en g/100g

Ortie 8 et 40 sechée / faînes 22 / chénopode et bourse à pasteur 4.2

Teneur en glucide.

Châtaignes 42 / glands de chênes 60 / mûres 14.

Teneur en lipides

Noisettes 62 / faînes 50 / glands 22

Teneur en vitamine c mg/100g

Cynorrhodon 500-4000 / feuilles de violettes 210 / feuilles de fraisier 230.

A titre d’exemple orange 50 mg

Plantes de février mars.
La doucette « ou Mâche sauvage »
Un régal de salade

Nombril de venus ( umbilicus rupestris )
Crassulacée vivace, charnue d’un vert vif, les feuilles sont comestibles crues, en mélange dans les salades ou en décoration, les feuilles après avoir retiré l’épiderme ont des propriétés vulnéraires.

Egopode ( aegopodium podagraria )
Ombellifère vivace, très aromatique, à pétiole de section triangulaire, la plante est stimulante, diurétique, et vulnéraire, utilisation culinaire jeunes pousses en salade, ou cuites à l’eau comme des épinards, en gratin...

L’ail des ours
Amaryllidacée possédant un bulbe, toute la plante dégage un puissant parfum d’ail, on consomme les feuilles et fleurs crues dans des salades, ou cuites pour parfumer des omelettes, soupes, on peut également réaliser un beurre d’escargot, cette plante est riche en vitamine C, elle est diurétique et stimulante
CHIPS à l’ail des ours

Le pissenlit
Bien connue dans nos campagnes, les feuilles de cette composée vivace, renfermant un latex blanc, se consomment , crues, cuites, on peut également manger la racine, coupée en dés et sautée dans de l’huile.
Cette plante est riche en protéines, en provitamine A , et vitamine C, la plante est tonique, et possède des vertus dépuratives, laxatives, diurétiques, cholagogues et stomachiques.

Recette de la salade de pissenlit de Léa
Mélange de salade de pissenlit, de chicorée rouge, mâche.
Oeufs durs, noix, quelques morceaux de pomme.
Sauce préparée avec du vinaigre balsamique et mélange d’huile olive, tournesol, colza, carthame. graines de pavot, de sézame, moutarde à l’ancienne, sel et poivre.

Récolte de la sève du bouleau
Cet arbre de la famille des betulacées, fournit au début du printemps une boisson claire, légèrement sucrée, qui renferme des sels minéraux la sève est un puissant dépuratif, antilithiasique( aide à dissoudre les calculs ), et possède des propriétés détersive.
Ce jus de bouleau fermente rapidement, on peut y ajouter du miel ou du sucre, on le transforme alors en pétillant de bouleau

Pâquerette
Cette petite composée vivace bien connue, est utilisée en salade feuilles ( âcre ) et fleurs, on peut également consommer les feuilles comme légumes, et conserver les boutons dans du vinaigre.
L’infusion de pâquerette est tonique, dépurative, expectorante , et permet en usage externe à réduire les hématomes.

Violette odorante
Les fleurs de la violette odorante décorent les plats, les salades, et permet aussi de préparer des desserts des crèmes parfumées on peut également préparer des confitures etc..., les feuilles tendres se consomment en salade, ou cuites,
La plante renferme des provitamine C et A en grande quantité, ainsi que des sels minéraux, elle est émolliente, et expectorante, la plante contient des mucilages, et peut se montrer à très forte dose émétique à cause de la violine qu’elle contient.

Achillée millefeuille
Cette plante vivace, est consommée dans les salades lorsqu’elle est jeune, et peut s’utiliser comme du persil dans diverses préparations culinaires, les fleurs parfument les boissons, c’est aussi la plante indispensable lors de vos sorties en mode survie, c’est un cicatrisant reconnu , grâce à ses propriétés astringentes, et hémostatiques.

Renouée du Japon
Plante invasive, cultivée anciennement comme plante fourragère, les jeunes poussent se consomment cuites à l’eau comme des asperges, on peut également utiliser les jeunes tiges creuses les farcir puis les cuire au four.

Lierre terrestre
Petite labiée vivace, elle permet de préparer de délicieuses tisanes, de parfumer des bouillons, on peut également ajouter dans les salades quelques sommités fleuris.
Elle est riche en vitamine c, elle est tonique, astringent ( tanin ), est expectorant.

Ortie brûlante

Le plantain lancéolé « salade, légume »

Alliaire

Feuille de benoite urbaine
Racine de Benoite urbaine

Cresson de fontaine

Pousse de berce

Berce spondyle

Mouron blanc

Primevère officinale

Primevère acaule

Tisane de lierre terrestre et fleurs de pâquerette

Rosette de lampsane
Cette composée annuelle ressemblant au pissenlit, on consomme la rosette en salade, ou en légume.
Cette plante possède des vertus diurétique.

Mi- Avril Le printemps a bien démarré, de nouvelles plantes sauvages font petit à petit leur apparition
les Salades, légumes pousses et fleurs, sont de plus en plus nombreuses, certaines disparaissent comme la doucette, et d’autres prennent le relais comme la consoude, la nature s’exprime.

Fleur de cardamine

Consoude

Pousse de sapin

Rosette de coquelicot

Epiaire

La tanaisie

lire les messages des intervenants sur le site.

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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles - Page 2 EmptyMer 25 Sep 2024 - 20:59

source https://www.toutvert.fr/plantes-sauvages-comestibles-cuisiner/

Plantes sauvages comestibles à cuisiner : disparues de notre consommation
By Céline Mathelart
13 février 2017


Voici des  plantes sauvages comestibles : la nature recèle de merveilles peu exploitées.
Autrefois utilisées en cuisine, elles ont pratiquement disparues de notre consommation.
A la portée de tous, celles-ci offrent pourtant de nouvelles saveurs variées.

*******************************************

Contenu
Voici douze plantes sauvages comestibles à cuisiner :
1. L’amarante réfléchie
3. La camomille
4. La carotte sauvage
5. Le chenopode blanc
6. Les consoudes
7. Le coquelicot
8. Le mauve sylvestre
9. Le mouron blanc ou mouron des oiseaux ou stellaire
10. Le plantain
11. L’ortie
12. Le pissenlit
Mise en garde !

*******************************************

Voici douze plantes sauvages comestibles à cuisiner (photos des plantes sur le site)
1. L’amarante réfléchie
Ses jeunes feuilles sont délicieuses crues en salade ou cuites à la façon des épinards. Ses graines, bouillies font d’excellentes galettes. L’amarante réfléchie est riche en protéines, en vitamines A et C ainsi qu’en sels minéraux.

2. La bourrache
Le saveur de la bourrache s’apparente à celle du concombre. Ses feuilles et ses  fleurs ont un goût agréable en salade et en soupe. Les fleurs peuvent aussi servir à parfumer des boissons.

3. La camomille
La camomille s’utilise beaucoup dans les infusions. Très appréciée en salade, elle permet aussi d’aromatiser un vin d’apéritif ou une crème.

4. La carotte sauvage
Ancêtre de la carotte actuelle, la Daucus carota a des jeunes feuilles et fleurs qui sont comestibles crues et cuites, en légume ou en potage.

5. Le chenopode blanc
Les feuilles du chenopode blanc (Chenopodium album) se cuisinent crues et cuites. Cette plante est riche en: protéines complètes, vitamines A et C, calcium, fer et en phosphore.

6. Les consoudes
Les consoudes sont plantes herbacées vivaces – appartenant à la famille des Boraginacées – qui fait le bonheur des végétaliens. Ils contiennent de la vitamine B12, peu présente ailleurs. La plus connue est la Grand consoude ou Symphytum officinalis.

7. Le coquelicot
Les pétales s’utilisent en confitures et en sirop. Les graines séchées peuvent être ajoutées dans des pâtes, du pain, etc.,  ainsi qu’en décoration de pâtisseries.

8. Le mauve sylvestre
Les feuilles, les fleurs et les fruits du Malva sylvestris se mangent en salade ou comme légume cuit. Le mauve sylvestre contient des sels minéraux, de la vitamine A, B1, B2 et C. Il est également riche en protéines complètes, en fer et en calcium.

9. Le mouron blanc ou mouron des oiseaux ou stellaire
Les feuilles et les tiges du Stellaria media sont assez tendres. Le mouron est assez riche en vitamine C, en calcium et en magnésium.

10. Le plantain
Le plantain peut s’utiliser en salade, en omelette ou encore en smoothie. Il est riche en protéines et en vitamine C.

11. L’ortie
L’ortie est appréciée pour sa teneur en protéines et en vitamine A et C.

Elle est riche en fer, en silice, en potassium, en magnésium et en calcium.
Elle se cuisine en soupe, en quiche, en pesto, en cake sucré, etc.

12. Le pissenlit
Tout est bon dans le pissenlit : ses racines à cuisiner en gratin, ses feuilles en salade ou comme légume cuit et ses fleurs en gelée. Le pissenlit est riche en vitamine A, C et K. Il contient également du calcium, du fer, du sodium et du potassium.

Mise en garde !
Si cette liste met en évidence les nombreuses vertus thérapeutiques et culinaires des  plantes sauvages, soyez cependant vigilants à ne pas les confondre avec d’autres plantes qui peuvent, elles, être toxiques.

Demandez conseil à un herboriste ou botaniste !


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10 réflexions au sujet de “Plantes sauvages comestibles à cuisiner : disparues de notre consommation”

Genfi
3 janvier 2014 à 12:04 pm
Attention, il n’existe aucune source végétale de B12. C’est ce qu’on appelle de la B12 analogue qui n’a pas le même effet que la B12. Sinon pour le reste ce sont de très bonnes plantes.

Janina de Gregori
3 février 2017 à 7:41 pm
Si! La spiruline.. Bien que ce soit une algue.. d’eau douce !

Jea-Michel
28 janvier 2018 à 7:25 am
Non la spiruline est également une B12 analogue.

truchard
13 septembre 2014 à 7:47 pm
Ah ben mince alors moi qui ai du chenopode blanc qui pousse partout dans le jardin !!! apparemment celle sur la photo – sinon google est ton ami!) au moins on ne mourra pas de faim!!!

Mathieu
15 juin 2017 à 9:12 pm
attention : les images ne correspondent pas aux plantes en question ! Voilà de quoi induire les gens en erreur et c’est regrettable !
ainsi , dans cet article,l’amarante est illustrée par une jacinthe, la carotte sauvage par du plantain, le plantain par une banane plantain et la stellaire appelée mouron des oiseaux est la stellaire intermédiaire et non, comme présentée, la stellaire holostée …

Anne-Sophie
19 juin 2017 à 1:35 pm
Merci Mathieu pour l’avoir signalé. Désolé d’avoir fait des erreurs. On a corrigé.

perin anne
21 novembre 2017 à 9:11 pm
Bonsoir. Tout ne semble pas corrigé, notamment ce que vous appelez « mouron blanc ».

Jea-Michel
28 janvier 2018 à 7:35 am
ATTENTION!!! Daucus carotta, jeune, non fleuri, ou pour toute personne non avertie, peut être confondue avec la ciguë, qui est très dangereuse à l‘ingestion.
Une fois de plus « toutvert » avance des informations incomplètes!!! C’est de l’inconscience de balancer de tels infos sans vérification. Dans tout les cas de figure je déconseille fortement à toute personne non averti de consommer des plantes sauvages sans parfaitement connaître la botanique et sans être parfaitement au courant de leur mode de préparation.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_cigu%C3%AB

Jea-Michel
28 janvier 2018 à 7:41 am
Il y a une erreur de photo sur le Mouron blanc!!!

Christelle
31 mars 2020 à 12:00 am
bonjour, il me semble qu’une erreur s’est glissée, la photo ne correspond pas à mouron des oiseaux ?

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