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 2 Plantes sauvages comestibles

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MessageSujet: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles EmptyMer 14 Avr 2021 - 19:49

2 Plantes sauvages comestibles 889353133

Les conseils avisés de ce blogueur, ne sont pas de trop pour débuter ce dossier.
2 Plantes sauvages comestibles 2704490491 http://sauvagement-bon.blogspot.com/

2 Plantes sauvages comestibles 3677335145 http://sauvagement-bon.blogspot.com/p/le-livre.html

source http://sauvagement-bon.blogspot.com/p/avertissement.html
Les informations botaniques, mycologiques et zoologiques présentées dans ce blog le sont à titre indicatif. Elles sont en général issues d’ouvrages de référence dont la plupart sont listés dans la page "Références".

En aucun cas elles ne sauraient remplacer ceux-ci, en particulier concernant l’identification des plantes ou des champignons et les contre-indications quant à leur consommation.

Avant de passer à la pratique, je vous invite donc à vous plonger dans la littérature spécialisée et à demander conseil auprès d’un spécialiste (herboriste, mycologue, pharmacien) en cas de doute.

Mieux vaut ne pas cueillir plutôt que prendre le risque d’une grave intoxication.


2 Plantes sauvages comestibles 251412711  http://sauvagement-bon.blogspot.com/p/conseils-aux-cueilleurs-en-herbe.html

2 Plantes sauvages comestibles 3496410929 http://sauvagement-bon.blogspot.com/p/references_9.html

2 Plantes sauvages comestibles 2953620916 https://www.facebook.com/sauvagementb


source http://sauvagement-bon.blogspot.com/p/index.html
Index des espèces
Cet index ne se veut pas exhaustif.
Il se contente de répertorier l'ensemble des plantes et autres produits sauvages que j'ai eu l'occasion de tester dans ces pages...
Cliquer sur une des images pour aller directement à la rubrique souhaitée.

Avertissement
Les informations botaniques, mycologiques et zoologiques présentées dans ce blog le sont à titre indicatif.
Elles sont en général issues d’ouvrages de référence dont la plupart sont listés dans la page "Références".

En aucun cas elles ne sauraient remplacer ceux-ci, en particulier concernant l’identification des plantes ou des champignons et les contre-indications quant à leur consommation.

Avant de passer à la pratique, je vous invite donc à vous plonger dans la littérature spécialisée et à demander conseil auprès d’un spécialiste (herboriste, mycologue, pharmacien) en cas de doute.

Mieux vaut ne pas cueillir plutôt que prendre le risque d’une grave intoxication


source http://sauvagement-bon.blogspot.com/p/conseils-aux-cueilleurs-en-herbe.html
Quelques conseils aux cueilleurs en herbe
Cette page a pour but de synthétiser les informations utiles pour ceux qui désirent se lancer dans la cueillette des plantes sauvages à des fins culinaires. J’essaierai de l’enrichir régulièrement sur la base de ma propre expérience, de vos commentaires ou encore d’ouvrages de référence.

IDENTIFICATION
Une flore pour commencer, une flore pour continuer...En dehors des stages de formation, de l’assistance de pharmaciens, de botanistes ou d’amateurs éclairés, l’auto-apprentissage reste possible, mais il doit être mené avec une extrême prudence.

En dehors des stages de formation, de l’assistance de pharmaciens, de botanistes ou d’amateurs éclairés, l’auto-apprentissage reste possible, mais il doit être mené avec une extrême prudence.

Quelle que soit la méthode d’apprentissage, il est important de posséder une documentation précise.
Mais encore faut-il la comprendre. Procéder par étape et faire preuve de patience est primordial.
Je vous conseille de commencer en faisant l’acquisition d’une flore simple qui permet tout d’abord de se familiariser avec les termes botaniques.
En partant des plantes les plus communes et en les comparant avec leurs descriptions techniques, on comprend beaucoup plus rapidement ce que sont sépales, calices, anthères et autres pétioles.
Pour cette première étape, un ouvrage tel que Fleurs sauvages (Larousse – Nature en poche) est idéal.
Son format peu encombrant est parfait pour un sac à dos, et ses illustrations photographiques permettent d’avoir une première identification visuelle avant de se plonger dans les détails.

Lorsque les termes botaniques n’ont plus de secret pour vous, il est temps de passer au niveau suivant.
Là, c’en est généralement fini des photos, on entre dans le domaine de la technique.
Toujours pour un côté pratique (à cause de son format), je conseille la Nouvelle flore (Gaston Bonnier - Georges de Layens / Belin).

Mais la documentation ne fait pas tout car souvent, l’identification des plantes repose sur les fleurs.
Or, lorsqu’une plante se résume à quelques pousses voire une simple rosette, la fleur n’est pas là pour donner de précieuses indications.
C’est alors la mémoire et la patience qu’il faut faire travailler en observant au fils des jours, semaines, voire sur une année complète, l’évolution d’une pousse, jusqu’à son identification certaine.

Quoi qu’il en soit, la règle de base est toujours la même : en cas de doute, on ne consomme pas.

EQUIPEMENT
Le couteau est le premier ustensile du cueilleur. Il évite d’arracher les racines lorsque celles-ci ne font pas partie des éléments exploitables.
En coupant net pédoncules et pétioles, il évite de les écraser, ce qui permet de conserver la récolte plus longtemps.
Il permet aussi d’éliminer rapidement les parties abimées et la terre.

J’utilisais un Opinel il y a encore un an mais avec l’humidité, le bois du manche a gonflé et l’anneau de blocage de la lame ne tourne plus.
J’utilise maintenant un laguiole : pas encombrant, bonne lame, et le manche 100% acier de ce modèle ne craint ni l’eau, ni la terre.
Il m’a même servi plusieurs fois à déterrer des racines de panais.
Si vous voulez qu’il dure, il faut toujours le nettoyer, bien le sécher et huiler la lame de temps en temps.

La récolte, il faut ensuite la transporter.
Les sacs plastiques sont à éviter lorsqu’on le peut mais ils sont quand même bien pratiques si on veut se balader léger.
Ils ont malheureusement tendance à faire transpirer les plantes et à les flétrir, surtout lorsqu’il fait chaud.
Ca a pour principal conséquence d’écourter la durée de conservation de la récolte.
L’idéal reste bien entendu le panier qui évite que la récolte soit écrasée tout en la laissant respirer.
Entre les deux, il y a le sac en toile que j’utilise assez fréquemment.
Pas doué pour la couture, je m’en suis fait fabriquer un sur le modèle des anciens sacs utilisés pour la récolte de la lavande.
Ceux découverts au fond d’une armoire dans la maison familiale drômoise étaient un peu trop troués et trop grands de toute façon (pratiquement 80 cm de profondeur).
Si ça vous tente : un torchon plié en deux, cousu sur les cotés avec une lanière un peu épaisse ou un lacet pour faire bandoulière.

L’appareil photo est aussi très pratique.
Comme on ne peut pas toujours trimbaler une dizaine de bouquins avec soit, il arrive qu’on ne soit pas en mesure d’identifier une plante sur place.
Quelques photos judicieusement prises évitent la frustration de constater que la plante n’a pas supporté le voyage.

PRÉCAUTIONS
Le lieu de récolte a son importance.

On évitera généralement les bordures de route (métaux lourds), la proximité des usines, les jardins (herbicides), les champs cultivés et leurs abords (pesticides et autres produits dits phytosanitaires).

On évitera également les pâturages et leurs environs immédiats pour les plantes mangées crues.
Beaucoup d’animaux sont en effet porteurs de parasites qu’on retrouve dans leurs excréments et donc parmi les végétaux environnant.

On fera particulièrement attention avec les plantes aquatiques.
Outre les risques de parasite (le plus connu est la douve du foie), il y a également les risques de pollution amont ou par ruissellement.

Autre parasite très connu, l'échinocoque est à l'origine d'une grave maladie qu'on appelle souvent « maladie du renard » ou échinococcose alvéolaire.
Ce parasite a pour hôte les carnivores tels que les renards (mais également les chiens et parfois les chats) et se propage via ses œufs que les hôtes dispersent via leurs excréments...

Seul moyen d'élimination de ces œufs sur des plantes souillées : la cuisson.

Certaines régions comme l'est de la France sont plus touchées que d'autres.
Mais sachez que la consommation de plantes sauvages crues n'est pas la principale cause de contamination : en effet, beaucoup de personnes atteintes le sont plus souvent par l'intermédiaire de leur animal de compagnie ou à cause d'une sur-exposition due à leur métier (agriculteurs, forestiers).

ESPÈCES PROTÉGÉES
Parmi les plantes comestibles, il y aussi des espèces protégées.
Certaines le sont au niveau national, d’autres seulement au niveau régional.
Je vous invite à consulter cette page de wikipedia qui les répertorie toutes. cliquez ICI pour y accéder

Par ailleurs, dans certaines zones délimitées comme les réserves naturelles, toute cueillette est interdite.
Et même lorsqu’il n’y a pas d’interdiction, on évitera les abus.
A l’exception de certaines espèces indésirables et envahissantes (renouée du Japon par exemple), la modération est donc de rigueur.

CONTRE-INDICATIONS
Si quelques plantes sauvages ont si peu de contre-indications qu’on peut les manger les yeux fermés, c’est loin d’être le cas général.
Certaines ont des tendances allergènes, d’autres contiennent des substances dont il ne faut pas abuser au risque de perturber l’organisme.
Un cueilleur ayant des problèmes rénaux ou hépatiques devra faire particulièrement attention.
Une cueilleuse enceinte évitera les plantes crues de manière générale, mais fera également attention aux propriétés abortives de certaines (armoise par exemple).
Il faut noter que certaines de ces contre-indications sont également valables sur des plantes cultivées de consommation « courante » comme par exemple les épinards, l’oseille, la rhubarbe (oxalates et acide oxalique).
Chaque fois que je teste une nouvelle plante, j’essaie de consulter plusieurs ouvrages pour bien identifier toutes les contre-indications possibles.
Certaines contre-indications font encore polémique et les auteurs ne sont pas forcément tous d’accord entre eux.
Dans ce cas, je me base sur l’histoire de la plante : si celle-ci était consommée autrefois, ça veut dire qu’on peut au moins la goûter une fois sans risquer l’empoisonnement. Ma référence dans le domaine est le
Guide des plantes sauvages comestibles et toxiques (F.Couplan - E.Styner / Delachaux et Niestlé).

PRÉPARATION
Il faut toujours bien nettoyer plusieurs fois la récolte à l’eau, et à l’eau vinaigrée, surtout pour les salades.
Ce nettoyage est préventif mais n’est pas 100% efficace.
Même bien nettoyées, on évitera par exemple de consommer crues les plantes sauvages poussant en zone à risque pour l'échinococcose ou les plantes poussant en milieu très humides (voire dans l'eau) à cause des risques de parasites comme la douve du foie.
Contre ce type de parasites et de manière plus globale contre les micro-organismes hostiles, la cuisson est la solution radicale.
Comme pour tout aliment, une cuisson vapeur (proche de 100°C) permettra de conserver une bonne partie des propriétés des plantes alors qu’une cuisson plus violente (poêle, four, friture) détruira la majorité des molécules complexes telles que les vitamines.

2 Plantes sauvages comestibles 3600840871 http://sauvagement-bon.blogspot.com/2019/04/quizz-plantes-sauvages-urbaines.html
Quizz 'Plantes sauvages urbaines'
Questionnaire
'Plantes sauvages urbaines'
Le milieu urbain n'est pas forcément celui où on s'attend le plus à trouver de la diversité sauvage, et pourtant... Voici une bonne vingtaine de plantes photographiées depuis quelques jours en pleine ville autour de chez moi en région parisienne. Saurez-vous répondre aux questions les concernant ?

Note 1 : Attention, toutes les plantes du questionnaire ne sont pas comestibles, certaines sont même toxiques. Par ailleurs, il va de soi que celles que j'indique comme étant comestibles dans les réponses ne le sont que dans la mesure où le lieu de cueillette est sain. Or ceci a peu de chance d'arriver en milieu urbain.

Note 2 : Toutes les photos ont été prises au mobile, ce qui explique la piètre qualité de certaines.

Pour que ce quizz fonctionne correctement, Javascript doit être activé sur votre ordinateur, tablette ou téléphone.

Important:
Dans ce quizz, il n'y a pas forcément une seule réponse valide pour chaque question. Toutes les propositions vraies doivent être cochées. Cela signifie aussi que si toutes les propositions sont fausses, aucune ne doit être cochée.

2 Plantes sauvages comestibles 262171387  2 Plantes sauvages comestibles 262171387

Plantes Sauvages Comestibles
Connaître et utiliser les plantes sauvages au quotidien
https://plantes-sauvages-comestibles.com/

2 Plantes sauvages comestibles 262171387 2 Plantes sauvages comestibles 262171387


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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles EmptyMer 14 Avr 2021 - 20:04

http://www.le-jardin-de-jenny.fr/mes-mauvaises-herbes-preferees-consoude-et-ortie.html

http://bonnes-a-croquer.blogspot.com/2017/09/la-carotte-sauvage.html?m=1

2 Plantes sauvages comestibles 262171387  2 Plantes sauvages comestibles 262171387

source https://jardinbromont.com/mauvaisesherbes
Jardin communautaire de Bromont
Quelques mauvaises herbes (ou pas)
Cette petite rubrique vous illustre quelques plantes qui poussent spontanément. Des mauvaises herbes vraiment méchantes, d'autres qu'on croit méchantes et qui sont délicieuses, et certaines qui n'en sont pas!

2 Plantes sauvages comestibles 262171387  2 Plantes sauvages comestibles 262171387


source https://www.toutvert.fr/plantes-sauvages-comestibles-cuisiner/

Plantes sauvages comestibles à cuisiner : disparues de notre consommation
By Céline Mathelart
13 février 2017


1 Voici douze plantes sauvages comestibles à cuisiner :
1.1 1. L’amarante réfléchie
1.2 3. La camomille
1.3 4. La carotte sauvage
1.4 5. Le chenopode blanc
1.5  6. Les consoudes
1.6 7. Le coquelicot
1.7 8. Le mauve sylvestre
1.8 9. Le mouron blanc ou mouron des oiseaux ou stellaire
1.9 10. Le plantain
1.10 11. L’ortie
1.11 12. Le pissenlit

2 Mise en garde !
Si cette liste met en évidence les nombreuses vertus thérapeutiques et culinaires des plantes sauvages, soyez cependant vigilants à ne pas les confondre avec d’autres plantes qui peuvent, elles, être toxiques.
Demandez conseil à un herboriste ou botaniste !

2 Plantes sauvages comestibles 262171387  2 Plantes sauvages comestibles 262171387

https://amandebasilic.com/plantes-sauvages-comestibles

https://amandebasilic.com/plantes-sauvages-comestibles-de-theorie-a-pratique

https://amandebasilic.com/plantes-sauvages-comestibles-suite-fin/

2 Plantes sauvages comestibles 262171387  2 Plantes sauvages comestibles 262171387

https://laterreestunjardin.com/plantes-sauvages-comestibles/

http://alcidejet.blogspot.com/2011/11/plantes-sauvages-dauntomne-comestibles.html?spref=pi

2 Plantes sauvages comestibles 262171387  2 Plantes sauvages comestibles 262171387


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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles EmptyMer 14 Avr 2021 - 20:15

source https://potagerdurable.com/5-plantes-sauvages-comestibles-du-potager/
5 plantes sauvages comestibles du potager
Ah… ces mauvaises herbes du potager… ! On a beau pailler, il y en a toujours qui trouvent le moyen de s’installer entre nos rangs de carottes, au pied des tomates et au milieu du basilic.

Mais s’il s’agissait de plantes comestibles ? Si au lieu de les regarder d’un mauvais œil et de les arracher les dents serrées, on se réjouissait de la salade sauvage qu’elles nous offrent gratuitement ?

Dans cet article, je vous présente 5 plantes sauvages comestibles communes du potager. J’espère, de ce fait, vous aider à les reconnaître dans votre jardin et de vous donner envie de les y accueillir avec joie afin qu’elles puissent atterrir dans votre assiette et non au compost.
(VOIR les photos des plantes sur le site)

Le chénopode blanc
Le chénopode blanc (chenopodium album) est une plante très courante des potagers qui peut même devenir envahissante. C’est une annuelle aux feuilles vertes, légèrement bleutées au dessus et blanchâtres en dessous.

La face inférieure des feuilles, surtout au sommet de la plante, est recouverte d’une curieuse couche farineuse qui se détache facilement au toucher. Les feuilles sont ovales, dentées, avec une forme plus ou moins de patte d’oie.

La plante atteint une hauteur de 20 cm à 1,20 m. Si on regarde attentivement la tige, on se rend compte qu’elle est striée de haut en bas de bandes vertes (parfois légèrement violettes) et blanchâtres.

Les fleurs du chénopode sont verdâtres – grisâtres, toutes petites et regroupées en longes grappes terminales.

Comme les épinards
Alors pourquoi se réjouir quand le chénopode blanc s’installe dans votre jardin ? En fait il appartient à la même famille que les épinards et ses feuilles font d’excellents légumes.

On peut les manger crues en salade à laquelle elles apportent un agréable goût de petits pois crus. Cuites, les feuilles peuvent entrer dans la composition de soupes, quiches, farces, gratins… comme les épinards, mais sans le goût acide de ces derniers.

Le meilleur moment pour cueillir les feuilles de chénopode est avant l’apparition des fleurs. On peut alors cueillir la plante entière et on a juste à enlever la partie basse de la tige, trop fibreuse. La partie haute de la tige étant encore tendre, on peut la faire cuire avec les feuilles.

Le chénopode est très riche en protéines complètes, c’est-à-dire qu’il contient l’ensemble des acides aminés essentiels. Il apporte aussi des quantités très intéressantes en Vitamine A, vitamine C et en calcium.

Par contre il renferme, pareil que l’épinard, pas mal d’oxalates qui peuvent avoir un effet irritant. Pour cela il faut éviter d’en manger de trop grandes quantités, surtout si on a des problèmes rénaux, hépatiques ou arthritiques.

Le pourpier
Le pourpier (portulaca oleacera) est une « mauvaise herbe » classique des jardins potagers. Il ressemble à une plante grasse et il rampe au sol où il s’étend en étoile.

Les feuilles du pourpier sont épaisses, charnues et luisantes. Elles sont directement posées sur les tiges rougeâtres qui, couchées au sol, s’étendent dans toutes les directions. Les petites fleurs jaunes à 5 pétales se trouvent à l’aisselle des feuilles et ne s’ouvrent que par temps ensoleillé.

Cru ou cuit – un régal
Une fois que l’on a goûté au pourpier on l’adopte. Ses feuilles et jeunes tiges sont acidulées, juteuses et croquantes et font d’excellent ajouts aux salades. Je les trouve délicieuses.

On peut aussi les faire cuire à la vapeur et les servir avec un filet d’huile d’olive. Ou les incorporer aux soupes et aux poêlées de légumes… Les jeunes tiges, feuilles et fleurs, conservées dans du vinaigre, remplacent les cornichons.

Et même les graines se mangent ! Elles ont été mangées bouillies comme « céréales » mais on peut aussi les moudre pour les ajouter à la farine. Par contre, il faut une bonne dose de patience pour obtenir une récolte digne de ce nom.

Le pourpier est riche en vitamines (notamment la vitamine C) et en minéraux ainsi qu’en acide gras oméga 3.

Alors ce serait dommage de ne pas en profiter s’il s’invite dans votre jardin, vous ne trouvez pas ? D’ailleurs il fait partie du régime crétois, ce mode alimentaire (et même de vie) basé sur une consommation importante de légumes et de fruits, accompagnés d’huile d’olive, de céréales et de poisson… et de plantes sauvages !

L’amarante réfléchie
Encore une plante envahissante de certains jardins. L’amarante réfléchie (amaranthus retroflexu) est un excellent légume et ce serait dommage de le traiter de mauvaise herbe.

L’amarante est une plante entièrement verte, aux feuilles ovales et allongées qui fait un long et épais épis floral vert au sommet de la tige. A l’aisselle des feuilles, les épis floraux sont plus petits et plus courts. En fait les minuscules fleurs dans ces épis n’ont pas de pétales, d’où la couleur verte.

Bon au goût et pour la santé
Les jeunes feuilles d’amarante sont tendres et très bonnes crues en salade. Leur saveur est douce et ne présente pas d’amertume. Les feuilles et jeunes tiges et même les jeunes inflorescences peuvent être cuites comme des épinards.

Ma recette favorite consiste à faire revenir des oignons dans de l’huile d’olive, à ajouter des feuilles d’amarante et de cuire doucement à l’étouffée. Avec un peu de fleur de sel, c’est un excellent « épinard » en accompagnement d’un plat principal.

Les graines d’amarante peuvent être mangées tel que des céréales. Pour les récolter, en septembre, il suffit de secouer les inflorescences au-dessus d’un linge.

Les feuilles d’amarante sont riches en protéines, vitamines et en minéraux, notamment en fer.
Il y a plusieurs espèces d’amarante, dont l’amarante couchée (amaranthus hybridus), qui s’utilisent de la même façon.

La lampsane
Au printemps, même avant que je puisse manger les laitues du potager, je me régale de salades entières récoltées au jardin. La lampsane s’y est installée par elle-même et me rend de bons services.

Dès la fin de l’hiver, elle présente de jolies rosettes de feuilles que je cueille comme de la laitue à couper.

La lampsane est une astéracée annuelle qui a des feuilles d’une forme caractéristique : La feuille est profondément divisée en lobes inégaux. Le lobe terminal est beaucoup plus grand que les autres. Une fois le printemps avancé, se forment, au centre de la rosette, des tiges qui montent jusqu’à 1 mètre de hauteur. On voit alors apparaître de nombreuses « mini fleurs de pissenlit ».

De la salade gratuite
A ce stade, les feuilles deviennent trop amères pour être appréciées. Le meilleur moment pour les cueillir est quand la plante est encore en simple rosette ou que la tige monte tout juste. Après, je laisse 2 ou 3 individus monter en fleurs et en graines pour leur laisser la possibilité de se reproduire. Et aussi parce que je les trouve jolies avec leur multitude de fleurs jaunes. J’arrache les autres pour laisser la place à mes légumes qui commencent à se déployer.

La salade de lampsane ressemble au goût à la salade de pissenlit, avec cette même amertume. La texture de la feuille est par contre plus tendre que celle du pissenlit. Pour couvrir l’amertume, le meilleur moyen est d’ajouter de l’œuf dur à la salade. Un peu de noix, des oignons rouges et des lardons pour ceux qui aiment… une vraie salade qui a du goût !

Vous trouverez plus de détails dans mon article sur le pissenlit.
https://plantes-sauvages-comestibles.com/le-pissenlit-legume-sauvage-disponible-toute-lannee

Il est d’ailleurs recommandé de revenir vers des aliments contenant des substances amères. Ils stimulent l’activité du système digestif et diminuent nos envies de sucre.

Le galinsoga
Originaire d’Amérique du Sud, le galinsoga (galinsoga parviflora et galinsoga ciliata) se sent bien chez nous et aime s’installer dans les terrains cultivés où on a parfois du mal à s’en débarrasser.

Au lieu de cela, je vous recommande de récolter ce légume gratuit et de l’intégrer à votre cuisine.

Le galinsoga a les feuilles opposées, ovales et terminant en pointe. Chaque feuille est dentée tout autour. La hauteur de la plante atteint 20 à 50 cm.

Les fleurs sont composées d’un centre jaune à minuscules fleurs en forme de tube et de 5 fleurs blanches en forme de courte languette sur le pourtour. La plante produit continuellement des fleurs entre juillet et octobre.

Pesto, smoothie ou quiche au galinsoga
Toutes les parties tendres de la plante se consomment, c’est-à-dire les feuilles, jeunes tiges et les fleurs. On peut les manger crues en salade, en pesto ou en smoothie ou alors les incorporer, cuites, à de nombreux plats comme des soupes, des quiches et des mélanges de légumes.

Le goût du galinsoga est aromatique tout en restant doux. La plante contient des quantités intéressantes de protéines et de fer.

Quels avantages à manger les plantes sauvages comestibles du potager ?
Il y a plein d’avantages à manger les « mauvaises herbes » du potager :

- Souvent, avant même d’avoir planté ou semé au printemps, on a déjà des récoltes à faire dans son jardin. Je trouve ça absolument magique !

- Les plantes sauvages sont généralement plus riches en nutriments (minéraux, oligoéléments, vitamines, antioxydants..) que nos légumes cultivés. Si on les intègre régulièrement à notre alimentation on en ressent un regain en vitalité.

- Notre potager est un endroit protégé. Quand on commence à s’intéresser aux plantes sauvages comestibles, on se pose souvent la question sur les pollutions éventuelles ou la présence de parasites… dans notre jardin on sait ce que l’on fait et on peut cueillir les plantes sauvages tranquillement.
Les plantes sont à porté de main, le guide d’identification (ou l’ordinateur) aussi… un bon moyen pour démarrer son apprentissage du monde merveilleux des plantes sauvages comestibles !

Cet article a été écrit par Nathalie Deshayes du blog Plantes Sauvages Comestibles.
https://plantes-sauvages-comestibles.com/

Si vous voulez en savoir plus, vous êtes les bienvenus sur son blog où vous trouvez des recettes, des astuces et de nombreux articles sur les plantes sauvages et leurs utilisations.

Petite conclusion de Nicolas
Ce n’est pas toujours facile d’être sûr que l’on a bien la bonne plante en face de soi, sans oublier que certaines d’entre elles peuvent être toxiques.

Pour identifier facilement une plante, il existe des applications pour smartphone comme
Seek by Inaturalist (c’est ma préférée)
https://www.inaturalist.org/pages/seek_app

ou Plantnet.
https://plantnet.org/

Il suffit de pointer l’objectif sur la plante et elle est reconnue automatiquement en quelques secondes.

Et vous, est-ce que vous consommez d’autres herbes sauvages de votre jardin ? N’hésitez pas à nous les faire découvrir dans les commentaires !

2 Plantes sauvages comestibles 262171387

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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles EmptyVen 16 Avr 2021 - 20:32

source https://toitsalternatifs.fr/conseils-pratiques/20-plantes-sauvages-comestibles-facilement-identifiables/
20 PLANTES SAUVAGES COMESTIBLES FACILEMENT IDENTIFIABLES

Il y a quelques mois, on vous présentait 30 plantes médicinales faciles à cultiver ou à trouver dans la nature. Nous avons donc décidé de continuer ans notre lancée en vous présentant 20 plantes sauvages comestibles qui sont facilement identifiables.

Attention, quand on veut faire de la cueillette, que ce soit de plantes ou de champignons, il y a toujours des règles à respecter. La première règle, la plus importante, c’est de ne cueillir que celles que vous connaissez ! Si vous avez un doute, le mieux est de vous abstenir. Les confusions peuvent avoir des conséquences désastreuses… De plus, ne cueillez que la quantité dont vous avez besoin. Étalez vos prélèvements dans le temps et sur plusieurs plantes pour être sûr que le site de cueillette puisse se régénérer d’une saison à l’autre (en général on ne prélève pas plus de 30% de la plante). Enfin, ne cueillez pas des plantes sur des terrains pollués (engrais chimiques, pesticides, métaux lourds…).

Cette liste est non exhaustive. N’hésitez pas à ajouter dans les commentaires les plantes sauvages comestibles qui ne figurent pas dans cette liste 🙂

20 PLANTES SAUVAGES COMESTIBLES FACILES À TROUVER
Orties (urtica dioica)
Les orties font partie des plantes sauvages comestibles les plus faciles à reconnaître. Même si les graines et les racines peuvent être utilisées, ce sont généralement les feuilles qui sont le plus consommées. Les feuille peuvent être mangées cuites en soupe ou crues en salade.

Plantain lancéolé (Plantago lanceolata)
En plus de ses propriétés médicinales, le plantain lancéole est comestible. On peut ainsi manger ses fleurs crues en salade ou poêlées. De même, les feuilles peuvent être dégustées crues en salade (les jeunes feuilles sont moins amères) ou cuites en soupe par exemple.

L’ail des ours (Allium ursinum)
Quelle partie de la plante manger ?
On peut tout manger dans l’ail des ours ! On peut manger les feuilles en pesto par exemple, mais aussi les tiges, les bourgeons, les fleurs, les graines et même les bulbes (attention cependant à ne pas déterrer les bulbes pour que la population soit durable).

Attention à ne pas confondre l’ail des ours avec le muguet (qui est toxique !).

Pissenlit (Taraxacum officinale)
Le pissenlit fait partie de ces plantes sauvages entièrement comestibles : fleurs, racines et feuilles !

On peut manger les feuilles en salade ou poêlée comme des épinards. On peut poêler les racines. Et les fleurs peuvent se manger sous forme de confiture « miel de pissenlit » qu’on appelle la cramaillotte.

Le pourpier potager (Portulaca oleracea)
Quelle partie de la plante manger ?
Vous pouvez manger les feuilles de pourpier en salade ou en pesto par exemple. Vous pouvez aussi les manger cuites. Ls tiges sont également comestibles même si elles sont généralement moins consommées.

Le sureau noir (Sambucus nigra)
Quelle partie de la plante manger ?
Vous pouvez consommer les fruits et les fleurs de sureau noir en confiture, en boisson avec du vin, du sirop ou de la limonade (la recette du pétillant de sureau est par exemple très simple à réussir).

Attention à ne pas confondre le sureau noir avec le sureau yèble (qui est toxique !).

Fruits dressés vers le ciel et pas de bois = sureau yèble
Fruits qui tombent et tronc d’un arbre = du sureau noir.

Le trèfle (Trifolium pratense)
Quelle partie de la plante manger ?
Les parties comestibles sont les fleurs et les feuilles. Les feuilles se mangent en salade et les fleurs sont sucrées.

L’Oxalis corniculé (Oxalis corniculata)
Quelle partie de la plante manger ?
On peut manger ses feuilles vertes en forme de cœur et ses fleurs jaunes en salade mais seulement en petite quantité.

La paquerette (Bellis Perennis)
On peut manger les boutons, les fleurs et les feuilles des pâquerettes.

Les ronces communes (Rubus fruticosus)
Les ronces donnent un fruit très apprécié à la fin du mois d’août : les mûres sauvages ! Et pourtant, ce ne sont pas les seules parties comestibles…

On peut manger les mûres crues, en confiture, en tarte…

Au printemps, on peut aussi manger les jeunes tiges de ronces en enlevant les petites épines. On peut ainsi les crues ou on les fait cuire comme un légume.

Le Lamier pourpre (Lamium purpureum) et blanc (Lamium album)
Quelle partie de la plante manger ?
Les jeunes feuilles et jeunes pousses peuvent être mangées crues en salade.
Elles peuvent aussi être cuites et cuisinées comme des épinards, en soupes , sauces, ragoûts…

La salicorne (Salicornia europaea)
On peut manger les pousses crues en salade, cuites omelette ou conservées dans du vinaigre comme des cornichons.

Nombril de Vénus (Umbilicus rupestris)
Quelle partie de la plante manger ?
Le nombril de venus fait partie des plantes sauvages comestibles.

Les feuilles vertes et les tiges peuvent être mangées crues. Vous pouvez par exemple les manger en salade ou les conserver dans du vinaigre.

Monnaie-du-Pape (Lunaria annua)
Quelle partie de la plante manger ?
Les feuilles, les fleurs et les fruits avant maturité sont comestibles crus ou cuits.

Grande bardane (Arctium lappa)
Quelle partie de la plante manger ?
On peut manger la bardane comme un légume. Les jeunes pousses et feuilles peuvent être consommées comme des épinards, en soupes.

La racine peut être cuite ou crue râpées (la mettre dans de l’eau citronnée pour la conserver et ne pas que ça durcisse) ou mise à tremper dans de l’eau froide citronnée dès qu’elle est coupée.

Les jeunes tiges peuvent être pelées pour en manger l’intérieur.

La mauve sylvestre (Malva sylvestris)
La mauve sylvestre fait partie des plantes sauvages comestibles entièrement. Contrairement à beaucoup de plantes sauvages comestibles, la mauve est très douce et pas du tout amère.

Toutes les mauves sont comestibles. Les feuilles et les tiges peuvent se manger crues en salade ou cuites en soupe, en bouillon, en quiche, en tarte, en omelette, grillées à la poêle comme des épinards… Les pétales de fleurs, peuvent être mangées crus en salade sucrée ou salée. Les fleurs peuvent aussi être utilisées cuites en sirop. Les boutons floraux peuvent être mangées comme des petits pois, les fruits peuvent être mangées crus en salade ou comme des câpres.
La racine peut également être mangée cuite en bouillon par exemple.

La Patience à feuilles obtuses (Rumex obtusifolius)
Quelle partie de la plante manger ?
Attention, c’est une plante à consommer en très petite quantité car c’est riche en acide oxalique. Les feuilles se consomment cuites ou crues en pesto par exemple, en soupe, ou en salades.

La mélisse (Melissa officinalis)
Les feuilles fraîches ou séchées de mélisse s’utilisent surtout comme condiment pour les salades, les mayonnaises, les potages, les plats mijotés, les sauces, les salades de fruits (fraises…). Les feuilles et les fleurs peuvent être consommées dans des infusions (environ 5 g pour une tasse).

Le Houblon (Humulus lupulus)
Quelle partie de la plante manger ?
Le fruit du houblon est connu pour aromatiser les bières. Mais les jeunes pousses sont aussi comestibles. On peut les manger crues en salade ou cuite comme asperges.

Les violettes (Viola odorata)
Quelle partie de la plante manger ?
Tout comme les fleurs de rose, les fleurs de violette peuvent être mangées en confiture. On peut manger les feuilles crues en salade ou cuites.

Et voilà pour la liste des plantes sauvages comestibles. Cette liste est non exhaustive. Si le sujet vous passionne, n’hésitez pas à acheter un livre sur le sujet qui vous permettra d’identifier les plantes facilement.

EN SAVOIR PLUS
Une chaîne Youtube qu’on aime beaucoup : Le Chemin de la Nature
Christophe de Hody propose aussi des formations pour devenir autonome dans la cueillette de plantes sauvages, la cuisine et l’herboristerie.
Tout comme nous, le jardin vous passionne ?
Nous avons ouvert une nouvelle rubrique dédié au Jardin et à la Permaculture.

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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles EmptyLun 24 Mai 2021 - 20:37

source http://lesgourmandesastucieuses.blogspot.com/2018/05/gaillet-gratteron-une-plante-quon.html
Gaillet gratteron : une plante qu'on n'oserait pas manger
mai 14, 2018

Aujourd'hui, je vous propose de parler du Gaillet gratteron : une plante qu'on n'oserait pas manger :
On en apprend tous les jours ! C'est ça la vie !

Récemment, Isabelle, après avoir lu un article, m'a révélée que la plante sauvage comestible que nous avions dans notre jardin en permaculture et qui prenait beaucoup de place, tellement elle se propage rapidement, se mangeait !

Elle a apparue chez nous, il y a quelques années.
Je l'arrachais régulièrement en pestant, car ce n'était pas très agréable à faire puisqu'elle colle sur les gants et les vêtements.

Cette plante, c'est le Gaillet gratteron.
Je suis certaine que beaucoup d'entre vous la connaisse.
Il faut dire que, si vous en avez dans le jardin, elle est particulièrement visible !

Vous pouvez, bien entendu, la trouver sur les bords des chemins.
Comme je l'ai déjà signalé, elle colle sur les vêtements.
C'est une plante qui pousse à l'ombre, dans de la terre riche, qui peut faire plus d'1 m de haut. Elle est de couleur vert clair et a de petites fleurs blanches. Elle est constituée d'une tige carrée, de grandes feuilles et de plus de petites feuilles (verticillées et lancéolées) qui poussent à leur base.

Avant de me précipiter pour la manger, je me suis, bien entendu, renseignée avant.

D'un point de vue médicinal, en infusion, elle soulage la goutte, les problèmes de calculs rénaux et améliore la circulation du sang. Elle est diurétique et détoxifie le foie. Si vous avez des ampoules au pied, vous pouvez y appliquer une feuille fraîche. Appliquée sur la peau, après infusion, elle soulage les coups de soleil, les brûlures, l'eczéma et c'est un très bon anti-pelliculaire.

Bien entendu, avant de la consommer, parlez-en à votre médecin !

Il faut dire qu'elle est composée de tanins, de flavonoïdes, de saponosides, d'amidon, de glucosides et de vitamine C.

Du point de vue cuisine, les jeunes pousses se mangent aussi bien froides que chaudes... C'est ce que je vais tester avec vous !

e suis allée cueillir, dans mon jardin, mon Gaillet gratteron.
J'ai essayé de prendre les plus jeunes pousses, mais ce n'est pas évident... Ca s'accroche partout...

Je l'ai lavé dans une bassine d'eau.
J'ai été méticuleuse car les "saletés" s'accrochent partout...

J'ai fait 2 préparations : chaude et froide.
Dans une casserole, j'ai fait chauffer 1 filet d'huile d'olive bio.
J'ai salé avec de la Fleur de sel.
J'y ai fait revenir la moitié de mon Gaillet gratteron, coupé grossièrement aux ciseaux, pendant 3 minutes.

Pendant ce temps-là, j'ai coupé le reste de mon Gaillet gratteron dans un saladier.
Je l'ai assaisonné avec de l'huile de colza bio, du vinaigre d'alcool blanc bio, du vinaigre de cidre bio et 1 pincée de Fleur de sel.
J'ai mélangé.

Mon Gaillet gratteron chaud étant cuit,...
J'ai servi mes 2 préparations

Verdict ?
Pas très top... au premier abord. Assez amer, les feuilles et les tiges accrochent quand elles passent dans la gorge...

Mais, je ne vais pas y renoncer, étant donné les bienfaits de cette plante. J'en ferai certainement des infusions et je suis certaines qu'intégré, mixé, dans des préparations ou dans des salades, cela devrait apporter un plus...

Là, j'ai voulu faire simple pour connaître la saveur et la texture de cette plante. Je sais maintenant ce que je vais pouvoir en faire...

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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles EmptyMar 6 Juil 2021 - 15:04

J'ai corrigé plantain lanécolé en Plantain lancéolé

source https://www.femmeactuelle.fr/cuisine/tendance-cuisine/10-plantes-sauvages-et-gourmandes-a-cueillir-cet-ete-2115509
10 plantes sauvages et gourmandes à cueillir cet été
Le 28 juin 2021

La nature nous offre d’incroyables plantes sauvages, très prisées des grands chefs.
Une règle d’or : cueillir uniquement celles qu’on reconnaît et dont on est sûr à 200 %, loin des zones de pollution.

La mûre se cache dans les ronces épineuses
On la trouve au bord des routes, dans les champs, à la lisière des forêts...
Pour la récolter sans bobos on évite les tongs et les shorts et on se munit d'une corbeille d'osier (et non d'un sac en plastique qui écrabouille les baies).
Haut les mains : on se concentre toujours sur la partie supérieure des arbustes, car les fruits placés au ras du sol récoltent pipis d'animaux (vecteurs de maladies) et gaz d'échappement.
De retour à la maison, on les rince plusieurs fois pour déloger les insectes et parasites, on les conserve dans un endroit frais (pas au frigo) deux jours maximum, ou on les congèle avant d'en faire de délicieuses gelées et coulis.
De mi-août à fin septembre.

La salicorne fréquente le littoral Atlantique et les marais salants
Elle révèle tout son croquant et ses arômes quand elle est bien gorgée d'eau.
A condition de ne pas arracher les pieds et de couper ce légume de mer au couteau, on a le droit d'en récolter 500 g par jour.
On déguste la salicorne crue (et bien rincée), dans une vinaigrette, poêlée avec de l'ail et de l'huile d'olive en accompagnement, ou confite au vinaigre comme un cornichon.
Blanchie quelques minutes, elle perd toute amertume et excès de sel. De fin mai à fin août.

Le plantain lanécolé, l'habitué des jardins et talus (c'est Plantain lancéolé)
Cette vivace aux jeunes feuilles nervurées en forme de lance n'est vraiment pas difficile à trouver !
En bouche, elle a un petit goût de champignon, relevé d'une pointe d'amertume.
Le must ?
Consommer toutes crues les jeunes feuilles qui se développent toute la saison au centre de la rosette.
On peut aussi les mêler à d'autres feuilles plus douces, ou les blanchir à l'eau bouillante avant de les glisser dans un gratin, une quiche, un potage.
De mai à septembre.

L'ortie apprécie les sols riches et le soleil
On la trouve presque partout !
Pour récolter ses feuilles au pouvoir urticant, le port de gants en caoutchouc ou en cuir est obligatoire (les poils très fins se faufilent à travers les tissus).
Très riche en vitamine C, en fer et en manganèse, entre autre, l'ortie se déguste cuite (la cuisson lui fait perdre son piquant), dans une omelette, une quiche, une tourte, une soupe, une sauce...
D'avril à septembre.

Le pourpier sauvage rampe dans les jardins pourvu qu'il fasse chaud
Aussi délicieux que la variété potagère !
On aime la texture croquante et douce de ses petites feuilles charnues (on dirait une plante grasse) et leurs saveurs mi acidulées, mi épicées qui font la joie des fins gourmets.
Elles sont excellentes en salade, avec du mesclun et un trait d'huile de noix.
Ou encore mijotées au beurre à feu doux, en accompagnement d'un poisson.
D'avril à octobre.

L'amarante pousse partout au soleil, dans les sols frais et drainés
Chez elle rien ne se perd !
Feuilles, inflorescences, graines, tout se mange !
Si les jeunes pousses printanières sont délicieuses en salade, on peut ensuite les cuire et les accommoder comme des épinards.
Les fleurs se dégustent frites dans un bain d'huile bouillante.
Et les graines, très riches en protéines, se récoltent en fin de saison et se cuisent à l'eau, comme des céréales, ou se poêlent avec un soupçon d'huile façon pop-corn.
De juin à août.

Le fenouil adore le soleil et se trouve là où il fait sec et chaud
Au bord des champs et des chemins, on se fie à son parfum d'anis (mêlé d'une petite note de curry).
Si les jeunes feuilles tendres et croquantes se dégustent au printemps, on récolte et fait sécher les belles fleurs jaunes en ombelles en septembre.
Ensuite, on coupe les tiges en tronçons, on libère les graines et on garde le tout bien au sec dans des bocaux... pour parfumer toute l'année courts-bouillons, poissons, infusions, crèmes...
De mai à septembre.

La câpre est le bourgeon floral du câprier
Elle se loge dans ce petit arbrisseau qu'on rencontre dans l'ensemble du bassin méditerranéen.
On la cueille lorsque ledit bourgeon est bien développé, juste avant que la fleur commence à s'ouvrir.
Salée puis macérée dans du vinaigre comme un cornichon, la câpre est délicieuse dans une salade, une sauce chaude (avec un poisson), un carpaccio de bœuf, un tartare, une tapenade.
De juillet à septembre.

Le pissenlit, loin d'être une mauvaise herbe
Il se consomme de la tête au pied.
Les feuilles se croquent en salade, ou se font sauter à la poêle, mêlées de lardons grillés ou d'œufs durs pour équilibrer leur amertume qui s'accentue au fil des jours.
Les fleurs, infusées dans du sucre, donnent une excellente confiture appelée cramaillotte; les racines, récoltées en début d'automne puis séchées infusent agréablement les tisanes.
Le pissenlit doit son nom à ses propriétés diurétiques, reconnues par la médecine.
D'avril à septembre.

La criste marine appelée aussi fenouil marin ou céleri de mer
Elle se rencontre tout près de la mer, sur les falaises et les rochers du littoral.
Ses petites feuilles croquantes et charnues, très prisées pour leur saveur citronnée, donnent un coup de fouet aux salades composées, mayonnaises, sauces chaudes...
On peut aussi les blanchir à l'eau bouillante pour les adoucir et les servir en pickles, confites dans du vinaigre.
La cueillette est tolérée en quantité modérée.
D'avril à septembre.

Article paru dans le numéro Hors Série Femme Actuelle « 135 recettes plein soleil » de juin 2021

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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles EmptyDim 23 Oct 2022 - 16:00

source https://www.leveilsauvage.fr/

https://www.leveilsauvage.fr/2018/05/04/chatons-de-noisetier-po%C3%AAll%C3%A9s/
04. mai 2018
Chatons de noisetier poêlés
En début d'année, au mois de février, on peut trouver les chatons de noisetiers. Les chatons sont un ensemble de fleurs mâles du noisetiers.
Ces chatons libèrent le pollen qui est disséminé par le vent pour atteindre les minuscules fleurs femelles.

Une recette toute simple :
On cueille les chatons quand ils sont bien jaunes, ni trop jeunes (ils sont un peu violacés), ni trop vieux (ils deviennent marron).

On les fait revenir à la poêle avec une matière grasse.

A côté on prépare une sauce au fromage, avec du maroilles c'est très bon !

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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles EmptySam 13 Mai 2023 - 17:43

source http://femmequidansedanslesbois.over-blog.com/2018/04/recettes-sauvages.html
Recettes sauvages
Publié par Fleur d'Amande

Sirop de Coucou
GOUGÈRES AIL DES OURS

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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles EmptySam 13 Mai 2023 - 17:51

source https://plantes-sauvages-comestibles.com/gateaux-aperitifs-huile-olive-et-plantes-sauvages/
Plantes Sauvages Comestibles
Connaître et utiliser les plantes sauvages au quotidien
Gâteaux apéritifs à l’huile d’olive et aux plantes sauvages
Ces gâteaux apéritifs à l’huile d’olive et aux plantes sauvages sont tellement jolis que je prends le temps de les réaliser quand j’ai envie de vraiment faire plaisir. C’était le cas quand j’ai préparé mon voyage en Provence pour rencontrer Christophe Bernard du blog AltheaProvence que j’ai eu la chance d’interviewer en avril dernier (voir la vidéo ici).

Je suis allée faire une petite cueillette de plantes sauvages et j’ai réalisé ces sablés en utilisant de l’huile d’olive à la place du beurre de la classique recette de la pâte brisée. Pour un vrai provençal que j’allais voir il fallait bien ce clin d’oeil ! 🙂

Pâte brisée à l’huile d’olive
J’ai commencé à faire des pâtes brisées à l’huile d’olive un jour que je me suis trouvée en rade de beurre. Et ça a marché parfaitement bien ! Le beurre étant constitué de matière grasse et d’eau il faut tout simplement réduire le proportion d’huile et augmenter celle de l’eau. La pâte s’étale très bien et son goût me plait beaucoup.

Depuis, je fais régulièrement des pâtes brisées à l’huile d’olive que ce soit pour des quiches ou autres utilisations. De plus cette pâte est végane et adaptée aux personnes qui évitent les produits laitiers et qui font attention à leur taux de cholestérol. Parfait. Et simple.

Bien choisir les plantes pour la décoration
Le plus délicat est de bien coller les feuilles et fleurs. Je les fais adhérer en humidifiant un peu la pâte et je choisis des feuilles fines et plates et des fleurs pas trop volumineuses. Un marguerite entière aura par exemple du mal à adhérer mais ses pétales colleront sans problème.

J’ai utilisé
des feuilles de plantain lancéolé
des feuilles d’achillée millefeuille
des jeunes feuilles d’aubépine
des feuilles et fleurs de lierre terrestre
des feuilles de petite pimprenelle
des fleurs de primevère officinale (sans le calice vert, seulement la corolle de pétales)
des fleurs de lamier tacheté (que j’ai coupé en deux dans le sens de la longueur)
des feuilles et fleurs de cerfeuil des bois (les feuilles avaient un peu de mal à adhérer)

Bien surveiller la cuisson
Il est important de bien surveiller la cuisson des gâteaux  car si vous avez le malheur de les oublier, les belles couleurs de vos plantes se terniront en un triste marron… Ce serait dommage !

Pour cette même raison la température du four est moins élevée que pour la plupart des cuissons.

En apéritif et même en pique-nique…
Les gâteaux apéritifs à l’huile d’olive et aux plantes sauvages se conservent très bien dans une boite en fer. Ils s’emportent sans problème en randonnée et font une belle surprise au moment du pique nique. Vous pouvez les servir tels quels ou avec un pesto aux plantes sauvages (vous avez dans mes recettes le pesto à l’ail des ours et le pesto au cerfeuil des bois).

Christophe Bernard a eu droit à un petit pesto au plantain et à l’ail des vignes que nous avons dégusté avec les gâteaux à l’huile d’olive dans la garrigue provençale au milieux des romarins. 🙂

Gâteaux apéritifs à l’huile d’olive et aux plantes sauvages
Ingrédients
200 g de farine T 80 (farine bise)
60 g d’huile d’olive
environ 50 ml d’eau
1 cuillerée à café de sel
feuilles et fleurs comestibles (de préférence des feuilles et fleurs fines, ici feuilles de pimprenelle, d’achillée millefeuille, de lierre terrestre, de plantain lancéolé et l’aubépine, fleurs de primevère officinale, de lierre terrestre, de lamier tacheté et de cerfeuil des bois)

Préparation
Mélanger la farine avec le sel, verser l’huile d’olive et l’eau et pétrir afin d’obtenir une pâte lisse. Si elle est trop sèche ajouter un peu d’eau.

Etaler la pâte sur un tapis en silicone (ou du papier cuisson ou une surface farinée). Essayez de réaliser un rectangle de 3 mm d’épaisseur .

A l’aide d’un pinceau humidifier la surface de la pâte et y coller les feuilles et les fleurs et les enfonçant tout doucement dans la pâte. Les feuilles et fleurs fines adhèreront plus facilement que des feuilles épaisses. J’ai par exemple coupé les fleurs de lamier en deux dans le sens de la longueur car sans cela elles avaient trop de volume et ne collaient pas.

Une fois toutes les feuilles et fleurs posées passer doucement le rouleau à pâtisserie pour aider à l’adhésion des plantes.

Couper des rectangles dans la pâte avec le dos d’un couteau (pour éviter d’endommager votre tapis de cuisson ou votre plan de travail).

Ecarter les rectangles les uns des autres pour éviter qu’ils collent les uns aux autres lors de la cuisson et faire cuire environ 12 à 15 minutes à 160° C.

Il est important de bien surveiller la cuisson afin de veiller que les sablés soient justes cuits sans que les feuilles et leurs ne ternissent trop.

Laisser refroidir et servir comme gâteau apéritif.

C’est super beau, non ? Moi, j’adore… A vous de jouer maintenant !

Bien sûr il existe aussi une version sucrée.
Découvrez ici les sablés floraux au parfum de fleurs de sureau et décoré de fleurs colorées.
https://plantes-sauvages-comestibles.com/sables-floraux-aux-fleurs-comestibles/

Sablés floraux aux fleurs comestibles
Ça faisait un moment que j’avais envie d’expérimenter cette recette de sablés floraux. Ils sont en même temps magnifiques et délicieux ! Pour les confectionner, il y a besoin d’un peu de patience, une bonne dose d’amour et un œil constant sur le four. Car deux minutes de trop peuvent suffire pour que notre décoration florale perde tout son éclat….

Ce week-end j’avais ma première sortie découverte des plantes sauvages comestibles sur le terrain après le confinement. A la fin de chaque sortie, je propose une petite dégustation aux participants : une boisson et une ou deux bouchées aux plantes. Pour être le plus sécure possible, j’ai demandé aux participants de venir avec leur propre verre ou gobelet pour la boisson (une infusion aux fleurs de sureaux fraîches). Et je me suis dit que des gâteaux secs seraient plus pratiques et plus sécure dans le contexte actuel que des bouchées de pistou ou autre qu’il faudrait que l’on tartine sur place…

Sablés floraux en dégustation
Me voilà partie pour faire des sablés au lierre terrestre et … pourquoi pas faire d’une pierre deux coups (voire trois) et essayer les sablés floraux à la fois ?! J’ai alors préparé ma pâte sablée nature que j’ai coupé en trois. La première partie a reçu du lierre terrestre haché (très goûteux, je recommencerai). La deuxième partie des fleurs de sureau et de la déco florale et la troisième partie juste de la déco florale.

Quelles fleurs comestibles utiliser ?
Il y a tellement de fleurs sauvages comestibles que l’on peut utiliser pour la décoration ! Je vous donne quelques exemples qui me viennent spontanément : pâquerette, violette, primevère, marguerite, pissenlit, lamier, pensée, marguerite, coquelicot, bleuet, églantier, aubépine, mauve, sauge des prés… il y en a tellement ! Au jardin, on peut trouver de nombreuses fleurs comestibles également : fleurs de bourrache, cosmos, soucis, pétales de tournesol, rose, seringa, hémérocalle, capucine, lilas, glycine, les fleurs de pommier et cerisier etc…

Personnaliser la déco
De petites feuilles comestibles mêlées aux fleurs sont très sympathiques aussi. J’ai découpé des sablés ronds, mais vous pouvez bien-sûr utiliser tous les emporte-pièces que vous voulez, faire des motifs symétriques ou créer carrément des paysages, former des mots… Laissez parler votre créativité !

Voici la recette :

Sablés floraux
Ingrédients
300 g de farine T 65
150g de beurre
90 g de sucre glace
30g de crème fraîche épaisse
1 pincée de sel
2 belles corymbes de fleurs de sureau (optionnel)
1 bol de fleurs comestibles : bleuet, pâquerettes, marguerites, coquelicot, bourrache, églantier…
Préparation
Dans un saladier (ou le bol du robot) verser la farine, le beurre coupé en petits morceaux, le sucre et le sel. Frotter les ingrédients entre les mains (ou laisser tourner le robot) afin d’obtenir des miettes. Ajouter la crème fraîche et finir le pétrissage. On obtient alors une pâte lisse.

Optionnel (pour donner un goût floral aux sablées) : A l’aide de ciseaux récupérer les fleurs sur les inflorescences de sureau. Les incorporer à la pâte.

Etaler la pâte sur une surface farinée sur 8 mm d’épaisseur.

Former des motifs en rond avec les pétales de fleurs. Repasser sur la pâte avec le rouleau à pâtisserie afin de bien faire adhérer les pétales à la pâte. Ceci abaisse la pâte à 5-6 mm d’épaisseur.

A l’aide d’emporte-pièces ou de verres (de différentes tailles si nécessaire), découper des ronds de pâte autour des motifs floraux.

Les poser sur une plaque de four beurrée et farinée (ou munie d’un papier cuisson ou d’une toile en silicone) et faire cuire environ 10 minutes à 175°.

4 astuces pour bien réussir cette recette :
Utiliser des ingrédients qui donneront un aspect blanc aux sablés
Habituellement, j’utilise plutôt de la farine bise (T80) ou complète (T110) pour mes pâtisseries, pâtes à quiches etc. pour la simple raison qu’elles sont plus riches en micronutriments (surtout en minéraux et fibres) ce qui est meilleur pour la santé. Pour cette recette en particulier par contre, j’utilise de la farine T65, plus blanche. Car plus les sablés auront un aspect clair, plus la décoration florale ressortira.

Pareil pour le sucre : si normalement j’aime utiliser du sucre complet dans mes gâteaux, j’utilise du sucre glace ici. D’ailleurs, je le fabrique moi-même à partir de sucre blond bio. Un simple passage au blender suffit pour le réduire en poudre…

Humidifier la pâte pour faire adhérer les pétales
Pour coller les fleurs et pétales de fleurs sur la pâte, il peut être utile d’humidifier très légèrement la pâte à l’endroit où vous voulez coller les pétales. J’ai tout simplement trempé un doigt dans de l’eau pour l’étaler sur mon petit rond de pâte. Les pétales adhèrent mieux dans ce cas.

Poser un papier cuisson sur les motifs floraux avant le passage au rouleau
Quand on passe le rouleau à pâtisserie sur les fleurs pour les enfoncer dans la pâte il arrive que quelques pétales collent au rouleau et s’en vont. Pour éviter cela, vous pouvez utiliser un papier cuisson que vous posez entre la pâte avec les fleurs et le rouleau à pâtisserie.

Surveiller la cuisson !
Très important : Il faut bien surveiller la cuisson ! Dès que la surface des sablés commence à dorer, les pétales de fleurs commencent à perdre de la couleur. Il faut viser l’instant où les sablés sont juste cuits sans bronzer… Les sablés restent clairs et les couleurs des fleurs intactes. Donc pas question de se laisser distraire quand les sablés sont au four !

Les sablés floraux à l’heure du thé, en dessert ou au petit déjeuner
Les sablés peuvent se servir avec le thé ou le café. Ou alors en accompagnement d’une glace ou d’une crème dessert en fin de repas. Si vous avez des chambres d’hôtes, ils feront sensation à la table des petits déjeuners !

J’espère que cette recette vous donnera des idées. Il est sûr qu’il ne faut pas être pressé pour confectionner ces biscuits… De créer les motifs avec les pétales délicats demande un peu de patience. Mais le plan de travail est rarement aussi joli que pour cette recette !

Envoyez-moi vos photos de sablés floraux !
N’hésitez-pas de poser vos questions sur la recette en commentaire. Et si vous faites des sablés floraux je serai ravie d’en recevoir une photo. Je publierai les plus belles sur ma page Facebook Plantes Sauvages Comestibles au Quotidien. 😊

2 Plantes sauvages comestibles 262171387

https://plantes-sauvages-comestibles.com/le-thym-commun-pour-aromatiser-et-se-soigner/

https://plantes-sauvages-comestibles.com/quelles-recettes-aux-fleurs-de-sureau/

https://plantes-sauvages-comestibles.com/terrine-de-glands-de-chene/

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MessageSujet: Re: 2 Plantes sauvages comestibles   2 Plantes sauvages comestibles EmptyDim 14 Mai 2023 - 20:43

source https://www.comment-economiser.fr/24-plantes-sauvages-comestibles-facile-a-reconnaitre.html
24 Plantes Comestibles Faciles à Reconnaître.
Par Celine, le 05 Mars 2020

Savez-vous que certaines plantes sauvages sont comestibles ?
Qu'elles poussent dans votre jardin, sur les bords d'un chemin ou dans la forêt, ces plantes existent depuis l'aube des temps.
Et elles peuvent très bien finir dans nos assiettes.
Encore faut-il savoir les reconnaître et connaître leur utilité et leurs propriétés.
Nos grands-mères les connaissaient bien, elles qui les utilisaient pour les manger mais aussi se soigner.

Sommaire J'ai suivi un cours organisé par une professionnelle au cours duquel elle m'a appris à reconnaître les fleurs qui se mangent.
Avant de vous lancer vous aussi, je vous conseille vivement de suivre aussi un cours comme celui-là pour apprendre à connaître les plantes sauvages comestibles. Je vous propose donc ici un résumé de cet apprentissage avec 24 plantes comestibles faciles à reconnaître autour de la maison.

1. Les orties
C'est sans doute la plus connue de toutes les plantes sauvages comestibles et elle très facile à reconnaître.
Il faut dire qu'elle nous est familière puisqu'elle côtoie l'homme depuis des millénaires.
Le rôle de l'ortie est de nettoyer les sols.
Il vaut donc mieux observer l'endroit où elle pousse car elle est aussi à l'aise dans une décharge que dans un jardin, à côté du tas de compost.
L'ortie est riche en calcium, en fer et en vitamine C.
Pour en bénéficier, vous pouvez en manger les têtes ou les feuilles.
Le plus simple est de les cuisiner avec des pommes de terre, dans une tarte, une quiche, ou tout autre plat de ce genre.
Mais vous pouvez aussi faire un beurre d'ortie.
Pour cela, coupez les feuilles, lavez-les et laissez-les sécher.
Ensuite, faites-les revenir dans du beurre fondu.
Laissez refroidir et ajoutez des petits morceaux de beurre.
Salez, mélangez jusqu'à en faire une pâte.
Et voilà, votre beurre d'ortie est prêt !
Vous pouvez aussi essayer cette délicieuse recette du pesto d'orties.
https://www.comment-economiser.fr/pesto-ortie.html

Et si vous faites sécher les feuilles, vous pouvez aussi vous préparer une tisane d'orties.

À découvrir : Les 6 Bienfaits de l'Ortie Pour Votre Corps.
https://www.comment-economiser.fr/bienfaits-de-l-ortie.html

2. Le plantain
Le plantain fleurit du mois de mai jusqu'au mois d'octobre.
Cette plante peut se manger en salade, relevée par un filet de vinaigre balsamique et de l'huile d'olive au thym.
Cette plante, comme beaucoup d'autres, contribue à la biodiversité car les oiseaux l'apprécient beaucoup !
Ils se régalent de ses graines.
Un de ses atouts est de pouvoir soulager les piqûres d'orties, tout comme l'oseille et la mauve.
C'est bien pratique car on les trouve souvent près des orties.

3. Le trèfle
out le monde connaît le trèfle.
On en trouve partout, parfois en abondance.
Mais en avez-vous déjà goûté ?
Eh bien, sachez que cette plante peut très bien être mangée en salade.
Le trèfle est parfait pour accompagner une part de quiche, une tarte ou des tomates.
Goûtez-en et je vous assure que vous allez adorer !

4. La pâquerette
La jolie pâquerette est pleine de calcium.
Si vous avez le courage d'aller la cueillir une à une dans le jardin, cette plante vivace donne du pep's à vos salades en leur apportant une touche de couleur gaie. Mais attention, les pâquerettes poussent un peu n'importe où... y compris là où on répand des pesticides et des produits toxiques.
Dans ce cas, elles ne sont pas comestibles.
Il faut donc veiller à les cueillir dans des espaces propres, sans pesticides, comme les jardins et potagers par exemple.

5. Le pissenlit
C'est un grand classique riche en vitamines et minéraux.
Le pissenlit comestible fleurit de mars à novembre.
Il fait partie des herbes du jardin qui peuvent être consommées sous de nombreuses formes.
En effet, ses fleurs servent à faire du vin ou encore des confitures.
Les racines et les feuilles, elles, se préparent en soupe, en salade ou en infusion.
Tout comme les orties, elles peuvent aussi être préparées en beurre.
Il suffit de suivre la même recette que pour les orties.

6. Le lierre terrestre
Le problème du lierre terrestre est qu'il n'est pas facile de le reconnaître.
Mais une fois que vous l'avez identifié, vous serez surpris par son goût délicieux.
Vous l'apprécierez aussi bien dans une salade que pour parfumer un taboulé.
Si vous le faites sécher, vous pouvez en faire des tisanes excellentes pour la santé.
En fleurs de mars jusqu'à l'automne, il est le bienvenu dans votre jardin car il attire et nourrit les insectes pollinisateurs.
C'est le cas des bourdons qui se nourrissent de son nectar.

7. Le gaillet gratteron
Vous le reconnaîtrez facilement car ses feuilles s'accrochent et collent aux mains et aux vêtements.
Elles ont un aspect rugueux bien particulier.
Riche en vitamine C, le gaillet gratteron peut être dégusté en salade.
Vous pouvez aussi ajouter juste quelques feuilles de cette herbe pour relever une salade verte par exemple.

8. Les ronces
Les ronces fleurissent à partir du mois de juin jusqu'au mois d'août.
D'habitude, on ne les aime pas trop car elles ont tendance à envahir le jardin.
Pourtant, elles ne manquent pas d'intérêt !
D'abord, c'est là que se cachent un certain nombre de mammifères comme le renard ou le sanglier.
Les papillons les apprécient également tandis que les oiseaux et les chevreuils s'en régalent.
Lorsque la forêt s'étend, les ronces sont les premières à recouvrir le sol.
Ensuite, elles sont riches en tanin et en vitamine C.
Vous pouvez consommer les bourgeons et utiliser les tiges pour faire de la vannerie.
Leurs baies, les mûres sauvages, sont un véritable régal.
Vous pouvez les consommer nature, à condition de ne cueillir que celles qui se trouvent en hauteur.
Eh oui, il ne faut pas oublier que certains animaux peuvent uriner sur les ronces !

9. La noisette de terre
On l'appelle "conopode".
La floraison des noisettes de terre a lieu de mai à juillet.
Elles se consomment de septembre jusqu'à la floraison en mai.
Pour la récolter, il faut gratter la terre pour retirer la racine.
C'est le tubercule qu'on peut manger et qui a un goût délicieux de noisette.
Il faut faire très attention à ne pas la confondre avec la grande ciguë.
Toutes deux font partie de la même famille, les Apiacées.
Mais la grande ciguë est toxique.
Consommée, elle est à l'origine de troubles digestifs, de vertiges, de maux de tête, voire de convulsions.
Il faut donc éviter à tout prix d'en ingérer.


10. La silène
Elle est aussi appelée "compagnon rouge".
Les pousses de cette plante vivace apparaissent de mars à mai.
Ce sont elles qu'on peut manger crues en salade ou cuites.
Quand elle fleurit de mai en septembre, on peut aussi se régaler de ses fleurs qui se mangent en salade.

11. L'oseille sauvage
C'est une plante bio-indicatrice qui aide à aérer un sol trop tassé.
http://www.monjardinenpermaculture.fr/pages/les-plantes-bio-indicatrices
Aussi appelée rumex, cette plante fleurit de mai à juillet.
Il existe de nombreuses recettes qui utilisent de l'oseille sauvage.
https://cuisinesauvage.org/les-plantes/voir/plante-16-stade-0-oseille-sauvage/
Elle se mange en salade, en soupe ou on peut la mettre dans les sauces ou les plats pour les relever.

12. Le sureau noir
On l'appelle aussi la vanille du pauvre à cause de son odeur forte et identifiable.
Quand il y a du sureau noir, on est sûr que le sol est riche en azote.
Cet arbuste fleurit au début de l'été et ses fruits apparaissent en août.
Les fleurs du sureau peuvent être utilisées pour faire des beignets ou du sirop.
Et les fruits se consomment en confiture, en gelée ou en sirop.
Avec les fleurs de sureau, vous pouvez préparer un vin aromatisé en suivant cette recette :
faites macérer 24 ombelles (fleurs bien développées) dans 3 litres de vin rouge ou blanc, 300 ml d’alcool de fruits, 450 g de sucre.
Il suffit de mettre tous les ingrédients dans un récipient fermé et de laisser macérer 48 h.
Ensuite reste à filtrer et à mettre en bouteille.
Sachez que plus la préparation vieillit, meilleure elle est.
À noter que les baies du sureau contiennent de l’acide cyanhydrique qui se transforme en cyanure lors de la digestion.
Il faut donc vraiment les consommer cuits.
Le sureau noir ressemble beaucoup à la hièble commune qui est plus petite et ne fleurit qu'en août.
Mais faites bien attention, car la hièble est toxique.


13. La berce commune
Comme la grande ciguë et la noisette de terre, la berce commune fait partie de la famille des Apiaceae.
Pour rappel, la grande ciguë est toxique : il ne faut donc pas la confondre avec la berce commune qui, elle, fleurit de juin en septembre.
La berce commune a un goût qui se rapproche de la mandarine, notamment lorsqu'on mange sa tige.
On peut en mettre dans les cakes, la farine ou l'utiliser comme aromate pour les plats.

14. Le nombril de vénus
Voilà un joli nom pour une petite plante pleine de fer, de vitamines et de minéraux.
Ses tiges et ses fleurs se mangent dans les salades.
En retirant la pellicule qui recouvre les feuilles et en les frottant sur une petite plaie, elle a aussi le pouvoir de soulager la douleur d'une coupure.

15. Le houblon
Le houblon se trouve dans les zones humides et près des ronces.
Ses jeunes pousses se dégustent et se préparent comme des asperges.
Sachez que l'on peut récolter du houblon de juin à septembre.

16. Le bouleau
Le bouleau est un arbre plein de ressources.
Tout d'abord sa sève est comestible.
Elle peut être prélevée quand les feuilles de l'arbre commencent à pousser.
Pour la récolter, il suffit de faire un trou à la base de l'arbre.
Une fois prélevée, buvez-la le matin pour purifier votre organisme.
Si vous en appréciez le goût amer, vous pouvez aussi manger les jeunes feuilles du bouleau.
Pour cela, faites-les sécher puis frire comme des chips !
Moi, j'adore ça !

17. L'ail des ours
On l'appelle aussi "ail sauvage".
Attention, l'ail des ours ressemble à du muguet.
À ne pas confondre car le muguet est toxique.
Pour éviter la confusion, sachez que l'ail des ours pousse sur des sols humides et qu'il sent l'ail.
Tout se mange dans l'ail des ours : les fleurs, la tige, les boutons.
Vous pouvez en faire un pesto ou une bonne soupe.
Pour cela, suivez notre recette maison ici.
https://www.comment-economiser.fr/recette-secrete-soupe-ail-ours.html

18. La mélisse citronnée
Vous pouvez enrichir les saveurs d'une salade de fruits ou d'une salade verte en mettant quelques feuilles de mélisse citronnée.
Et en faisant sécher les feuilles, vous pouvez faire d'excellentes tisanes et la préparer en infusion.
Par contre, sachez qu'il est préférable de cueillir les feuilles de mélisse citronnée avant la floraison pour qu'elles aient encore plus de goût.

19. La violette
Les violettes sont discrètes mais poussent un peu partout, dans les champs, les forêts, à l'ombre ou au soleil.
Sachez que ses feuilles et ses fleurs sont comestibles.
Vous pouvez déguster les feuilles qui peuvent se préparer comme des épinards.
Faites-les revenir dans un peu d'huile d'olive puis étalez-les sur une tartine de fromage de chèvre. Miam !
Avec les fleurs, vous pouvez faire du sucre aromatisé.
Pour cela, mettez 1 part de fleurs pour 4 parts de sucre dans un mixeur.
Mixez puis mettez-les dans un récipient en verre qui ferme et laissez reposer pendant 1 semaine.

20. L'hégodode
Cette plante a tendance à pousser partout !
C'est donc une bonne raison pour en manger !
Jeune et tendre, elle accompagne très bien les salades.
Et quand elle est plus ferme, elle se mange dans des soupes, des tartes ou des quiches.

21. La grande mauve
On l'appelle aussi mauve sylvestre ou mauve des bois.
Ses pétales vous serviront à décorer les salades.
Vous pouvez aussi les faire revenir ou les cuire comme des épinards.

22. Le plantain lancéolé
Le plantain lancéolé pousse tous les ans dans les pâturages d'avril à octobre.
Ses feuilles sont excellentes en salades.
Testez et vous m'en direz des nouvelles !

23. La bardane
La bardane pousse dans les forêts.
Les feuilles de la bardane se cuisent dans l'eau, ce qui fera ressortir leur petit goût d'artichaut.
Quand elles viennent de sortir de terre, les jeunes pousses se mangent crues après les avoir pelées.
Vous pouvez aussi les conserver dans du vinaigre. Les pétioles, elles, se mangent crus ou cuits.
Ils peuvent être aussi lacto-fermentés.

24. Le chardon
C'est étonnant mais le chardon peut aussi se cuisiner.
Il faut le récolter au printemps et le faire bouillir dans l'eau.
Retirez-le de l'eau et récupérez-la pour y faire cuire le riz.
Le chardon parfumera agréablement votre riz.

Conclusion
Comme vous le constatez, la nature est généreuse avec nous.
Notre jardin a mille trésors gastronomiques à nous offrir.
Mais la prudence s'impose et au moindre doute, il vaut mieux s'abstenir !
N'oubliez pas que certaines plantes se ressemblent et peuvent être toxiques pour la santé.

Je vous recommande de lire les précautions suivantes.

Avertissements et précautions
- Le bouton d'or est une jolie fleur.
Mais elle fait partie de la famille des renoncules.
Elle est donc toxique.
Sa consommation entraîne des troubles digestifs, des nausées et des vomissements.

L'arum non plus ne doit pas être consommé.
- Restez très prudent lorsque vous cueillez des fleurs pour les manger.

Au moindre doute, abstenez-vous car certaines plantes sont très toxiques.

Adressez-vous à un professionnel pour être sûr de cueillir des plantes comestibles sans danger pour votre santé.
- Vous pouvez aussi vous aider de livres qui vous aideront à reconnaître les plantes sauvages comestibles.

Si vous avez envie d'en apprendre plus, je vous recommande la lecture de ces livres :
- Guide des plantes sauvages comestibles. Les reconnaître, les récolter, les consommer de Stefen Guido Fleischhaueur

- Les plantes sauvages comestibles et toxiques de François Couplan et Éva Styner

- Plantes comestibles : Cueillette et recettes des 4 saisons de Guy Lalière

- Et si vous souhaitez cuisiner les herbes sauvages comme les grands chefs, je vous conseille ce livre : Fou de saveurs de Marc Veyrat.

À découvrir aussi : Le Pourpier, une Plante d'Éte Comestible et Gratuite !
https://www.comment-economiser.fr/pourpier-plante-comestible-gratuite.html

63 Plantes Médicinales Incontournables Pour Se Soigner.
https://www.comment-economiser.fr/plantes-medicinales-pour-vous-soigner.html

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