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 JARDINER en évitant de s'empoisonner

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 EmptyDim 7 Juil 2019 - 23:27

Associer légumes, plantes et fleurs contre les maladies et parasites
https://www.rustica.fr/articles-jardin/associer-legumes-plantes-fleurs-contre-maladies-parasites,286.html
Légumes, fleurs et aromatiques se rendent service. Ils éloignent des parasites ou semblent favoriser la production de leurs voisins. En les regroupant, vous profiterez de leur bonne entente et limiterez les traitements.
Certaines plantes et légumes émettent des répulsifs, piègent les insectes, ou au contraire les attirent, les détournant des autres plantes et légumes… Profitons de leurs bienfaits en les associant dans le potager pour une récolte de qualité produite au naturel.

Rustica vous propose quelques associations pour prévenir maladies et parasites :

Asperge
L’odeur des feuillages des tomates, de la tanaisie, de la rue et de la sauge repoussent la mouche de l’asperge.

Betterave
Légume à associer avec les capucines naines qui attirent les pucerons. Les laitues luttent contre les altises.

Carotte
Le parfum des poireaux, des oignons, de l’échalote, de l’ail, de la ciboulette et de la sauge repoussent la mouche de la carotte. Contre les araignées rouges qui gênent la levée des carottes, semer des radis 15 jours plus tôt.

Céleri
Le raifort a une action efficace contre la rouille du céleri.

Chou brocoli
Légume à associer avec les aromatiques (romarin, sauge, sarriette, thym) qui agissent contre les altises et la piéride de tous les choux.

Chou-fleur
Légume à associer avec les œillets d’Inde et les chicorées qui repoussent les altises.

Chou (et Chou pommé)
Les salades sont utiles contre les altises, les tomates, l’aneth, la marjolaine, la menthe et l’origan luttent contre la mouche du chou et la piéride ; les haricots contre la mouche du chou et les pucerons cendrés . Les céleris et les tomates contre les piérides.
Associer avec des aromatiques : l’hysope, la menthe, la sauge et le thym contre les piérides.
Associer avec des fleurs : les cosmos contre les piérides ; les œillets d’Inde contre les altises.

Concombre et cornichon
La sauge et le tournesol semblent favoriser le développement des concombres et cornichons. Le basilic est utile contre l’oïdium. Les capucines attirent les pucerons qui libèrent les concombres et les cornichons.

Courgette
Les tiges et les feuilles collantes des tabacs d’ornement piègent les aleurodes. Les capucines, soucis et oeillets stimulent la croissance et attirent les pucerons au profit de la courgette. Et aussi, le basilic contre l’oïdium, le thym contre les limaces

Épinard
Les soucis et les œillets d’Inde fleurissent tard en automne et luttent contre les pucerons, le thym contre les limaces.

Haricot vert :
Le maïs – qui profite de l’azote fixé par les haricots – pour servir de tuteur aux variétés grimpantes.
Associer avec des aromatiques : la sarriette et le romarin contre la mouche du haricot et pour renforcer le goût
Associer avec des fleurs : les capucines contre les pucerons qu’elles attirent sur elles

Laitue :
Les choux pour procurer de l’ombre aux laitues en début de culture ou en été.
Associer avec des aromatiques : le romarin, la sarriette, la sauge et le thym contre les pucerons, le thym contre les limaces
Associer avec des fleurs : les capucines et les soucis contre les pucerons

Melon :
Associer avec des aromatiques : le persil et l’origan contre les pucerons, le thym contre les limaces

Navet
L’odeur du feuillage des tomates, des plantes aromatiques fait fuir la mouche du navet. Les salades, tomates et l'aneth ont une action efficace contre les altises.

Oignon :
Les carottes contre la mouche de l’oignon ; le persil pour stimuler la croissance.
Associer avec des aromatiques : le persil pour stimuler la croissance.

Piment et poivron
Les radis éloignent les araignées rouges. Les soucis et les œillets d’Inde repoussent les aleurodes. Le persil fait fuir les pucerons. La bourrache qui attire les pollinisateurs, pour la fécondation des fleurs et donc favorise la fructification

Poireau
Les carottes sont utiles contre la teigne du poireau. Alterner un rang sur deux.

Poirée
Le cresson alénois, la menthe, le romarin et les œillets d’Inde luttent contre les altises.

Pois :
Les pommes de terre – qui profitent de l’azote fixé par les pois – contre l’oïdium.
Associer avec des fleurs : le tabac d’ornement contre les thrips

Pommes de terre :
L’ail et les aubergines contre les doryphores ; les haricots, les pois et les fèves pour l’azote qu’ils apportent dans la terre, ce qui stimule la croissance.
Associer avec des aromatiques : la ciboulette et la coriandre contre les doryphores.

Radis de tous les mois
La proximité des carottes semble adoucir les radis. En faisant de l’ombre et en gardant l’humidité du sol, les salades limitent les attaques d’altises.

Salade à couper
Les soucis, les aromatiques (romarin, sarriette, sauge, thym) ont une action efficace contre les pucerons.

Salade pommée
Les capucines attirent les pucerons qui soulagent la salade pommée, et les œillets d’Inde les repoussent.

Tomate
Les œillets d’Inde stimulent la production des fruits et repoussent les nématodes des racines. Les tabacs d’ornement piègent les aleurodes sur leurs feuilles collantes. Les capucines semblent limiter le mildiou. Utiliser le persil et le basilic pour stimuler la croissance.

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Jardin facile : comment intervenir le moins possible ?
https://www.rustica.fr/articles-jardin/jardin-facile-comment-intervenir-moins-possible,1203.html
Pailler au lieu de bêcher, diversifier les plantations, oublier pelouse et engrais… Voici quelques “trucs” pour mieux respecter l’équilibre naturel du jardin et bien gérer l'équilibre naturel avec un bon choix de plantes.

Mais que signifie exactement jardiner “au naturel” ? Simplement intervenir le moins possible.
Ainsi, le jardinier conscient que la fertilité du sol doit tout à la vitalité des micro-organismes souterrains favorisera leur présence en évitant le travail profond de la terre, en paillant le sol et en substituant aux engrais chimiques solubles des apports de matière organique. Feuilles mortes, tontes de pelouse, compost… sont autant de “déchets” de la maison et du jardin qui se métamorphosent alors en fumure améliorant la composition chimique et la texture du sol. Car le recyclage est de mise dans le jardinage au naturel. De la même façon, cultiver une grande diversité de plantes adaptées au terroir, donc en bonne santé, limite les risques de maladies et d’attaques de ravageurs. Il faut d’ailleurs un minimum de tolérance à l’égard de ces derniers : ils sont bien vite maîtrisés par les oiseaux, coccinelles et autres auxiliaires attirés dans le milieu accueillant qu’est devenu le jardin. Un lieu où promener un nouveau regard.

Des plantes bien choisies en fonction du sol et du climat
Un rhododendron comme celui de l’illustration est réservé aux terres acides de la Bretagne ou du Massif central. En terrain calcaire, ce serait aussi frustrant que d’implanter des figuiers de Barbarie à Lille.
Il est impossible de modifier le sol de son jardin ou son climat… et des végétaux inadaptés aux conditions locales ne pourront s’épanouir. Pire : affaiblis, ils deviennent plus sensibles aux attaques parasitaires, aux variations climatiques. Pour choisir des végétaux résistants, observez ceux qui poussent à l’état sauvage alentour ou qui prospèrent dans les jardins voisins.

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Améliorer le sol du jardin : agir sur la nature de la terre
https://www.rustica.fr/articles-jardin/ameliorer-sol-jardin-structure-acidite-agir-sur-nature-sol,1291.html
Connaître la nature de sa terre pour savoir comment l'enrichir est impératif. Quel apport pour un terrain sableux, limoneux, acide ou argileux ?
Rustica vous explique.

En secteur sableux ou limoneux : apporter de l’argile bentonique
Un sol trop léger est facile à reconnaître : les outils crissent à son contact. Sableux, il se réchauffe vite au printemps. Il est facile à travailler. Malheureusement il ne semble retenir ni l’eau ni les éléments minéraux. Il se dessèche vite et est assez pauvre.
En hiver, les fumures sont vite absorbées par ce type de terrain. En revanche, le semis d’engrais vert est bénéfique.
Lors de l’enfouissement, en fin d’hiver, apportez de l’argile bentonite (entre 40 et 80 kg/100 m2) et un amendement organique, par exemple du compost, à raison de 30 à 40 kg/100 m2. Pour améliorer la structure aux sols sableux, il faut les travailler le moins possible.

Terrain acide : Apportez du calcaire
Les terrains acides sont pauvres : les vers de terre y sont très rares et l’activité des micro-organismes fortement ralentie. En conclusion, la production d’humus est assez faible. Dans de telles conditions, les plantes sont également plus sensibles aux attaques de maladies.
On peut connaître avec précision le pH d’un sol en le faisant analyser en laboratoire. On peut aussi utiliser un pH-mètre.
Pour améliorer la terre, abandonnez sans regret le chaulage : les micro-organismes du sol, stimulés trop brutalement par l’apport de chaux, finissent par détruire l’humus d’une terre déjà appauvrie. Préférez, en hiver, au moment du bêchage, des apports de calcaire broyé (de 3 à 20 kg/100 m2) ou, à partir du mois de février, de dolomie (6 kg/100 m2).

En terre argileuse : Ajouter plutôt du basalte que du sable
Les grosses mottes collent aux bottes et le terrain se craquelle en période de sécheresse ? Pas de doute, votre sol est argileux. Le terrain est plus particulièrement limoneux lorsque le boudin que vous formez avec une poignée de terre humide vous salit les mains. Ce sol, souvent assez riche, retient l’eau… De ce fait, il est lent à se réchauffer au printemps et difficile à travailler.
La majorité des sols en France a une dominante argileuse. Pour rendre la terre un peu moins lourde, couvrez, dès la fin de la saison estivale, le sol nu avec un paillis, un engrais vert ou encore une couche de fumure. Le fumier de mouton est sans aucun doute le plus adapté. La terre restera ainsi couverte durant la période froide.
En fin d’hiver, enfouissez la matière organique restante à laquelle vous incorporerez un amendement allégeant. Plutôt que d’ajouter du sable de rivière (qui donne parfois au sol une consistance semblable à celle du béton) ou de la tourbe, choisissez plutôt du basalte (20 kg/100 m2) ou une autre poudre de roche.

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 EmptyDim 7 Juil 2019 - 23:28

Association de plantes

source 12-07-2009 http://amap.merignac.free.fr/news.php?lng=fr
Certains légumes se stimulent ou se protègent. D'autres se nuisent. Des attirances ou des répulsions que doit connaître le jardinier pour réussir son assolement.

Les plantes, comme les humains, ont leurs favorites et leurs têtes à claques. Chacune émet des informations foliaires ou racinaires propres, un peu comme des empreintes digitales. Cette signature chimique permet aux végétaux de se reconnaître et aux insectes de faire le tri. Ainsi selon leurs affinités, ces diverses émanations favorisent le développement des plantes qui se côtoient ou au contraire le contrarient. Des fragrances attirent les insectes pollinisateurs mais aussi les ravageurs et leur cortège de dégâts.

L'entente cordiale
La réussite d'une plante passent par sa santé. Un végétal fort, bien dans sa terre, résistera mieux aux agressions extérieures qu'une plante chétive.

Un résultat obtenu entre autres grâce à un bon assolement.

Chaque année, la rotation des légumes les uns par rapport aux autres leur assure un environnement favorable.

Pour que ces effets bénéfiques agissent entre les végétaux, il est important qu'ils soient très proches les uns des autres.

Sur deux plantes espacées de plusieurs mètres leur influence est nulle.

Le potager bio, avec son brassage des variétés, facilite les mariages heureux.

Les tomates et les carottes illustrent bien cette synergie.

L'odeur de la première fait fuir la mouche de la carotte et le parfum de la seconde éloigne les pucerons amateurs de tomate.

Même complicité avec le poireau dont la teigne (lépidoptère) déteste l'odeur de la carotte.

Et comme le poireau reconnaissant sait vivre, il éloigne à son tour la mouche de la carotte.

De telles coalitions sont nombreuses. Le cerfeuil, excellent répulsif des pucerons et des limaces, aime la compagnie des salades.

Quant au basilic, en attirant les abeilles, il facilite la fécondation des concombres, courgettes et du fenouil.

Mais si les bonnes associations sont nombreuses, les mauvaises aussi.

La tomate n'apprécie pas le voisinage de la betterave ou celui des pois.

Quant au poireau, évitez lui la compagnie des haricots. Ses penchants le tournent plutôt vers les fraisiers auxquels il évitera les méfaits de la moisissure.

Les fleurs ne sont pas en reste. Au potager, elles attirent de précieux auxiliaires comme les abeilles, les papillons et les coccinelles.
L'oeillet d'Inde et le souci chassent les nématodes (vers ronds) si on les place à proximité des plants de tomates.
Les exemples ne manquent pas. La cohabitation des fleurs et des légumes, alliant l'utile à l'agréable, reste incontournable au jardin.
Au balcon ou sur la terrasse, c'est pareil.

Pour en savoir plus, deux ouvrages :
Le poireau préfère les fraises, de Hans Wagner, éditions Terre Vivante.
Les bonnes associations au potager, de Noémie Vialard, Rustica éditions.
Source : Jean-Patrick Ordonneau de TéléZ

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 EmptyDim 7 Juil 2019 - 23:28

source http://www.reponsesbio.com/2017/04/12/associer-les-plantes-au-potager/
Associer les plantes au potager
12 avril 2017


La nature est d’une intelligence surprenante allant bien au-delà des pratiques pensées par l’homme, par conséquent faire du vrai bio ce n’est pas seulement remplacer le chimique par un peu de terreau maison… c’est aussi observer son alchimie secrète, en adaptant des techniques spécifiques, comme celle consistant à associer les plantes entre elles.

La plupart des jardiniers bio, et notamment les biodynamistes, affirment que, plutôt que de créer de beaux carrés de légumes nettement séparés, mieux vaut promouvoir les rencontres parmi la population végétale, et semer ou planter diverses espèces dans un même espace.

Les adeptes de l’agriculture sauvage que l’on a coutume d’appeler permaculture, vont encore plus loin, lorsqu’ils préconisent, pour leur part, de semer à la volée, sans aucun ordre linéaire, en mélangeant différentes sortes de graines, après les avoir enrobées d’une fine pellicule d’argile pour les protéger des oiseaux.

Cette technique aurait pour effet de désorienter les insectes nuisibles qui, tout comme l’homme, sont assez paresseux et préfèrent travailler en ligne droite plutôt que d’aller en zigzags.

Les affinités au pays des légumes
Chaque plante, de sa racine à sa feuille, dégage des odeurs et expulse des substances qui, selon toute logique, vont être bénéfiques, ou néfastes, aux autres plantes et aux insectes.

Par exemple, le céleri, à cause de son odeur, éloigne la piéride du chou.

Il suffira, par conséquent, de mélanger céleri et chou pour éloigner cette piéride qui a la déplorable habitude de venir pondre entre les feuilles de ce malheureux légume.

Il se peut aussi que ce soit l’altise, ou encore le bruche, qui viennent incommoder ce végétal décidément très sollicité.

Il conviendra alors de poser une branche de thuya sur le chou… qui ne s’en plaindra pas.

Dans le même ordre de techniques, faire voisiner fraisiers et ail, ou oignons et poireaux, assurera une protection générale contre les nématodes du sol.

Les plantes peuvent donc, selon ce principe, être aussi efficaces que les insecticides, tout en ayant la générosité de ne pas exterminer ces pauvres insectes, ni d’empoisonner le genre humain.

Libérer l’espace en le remplissant
Cependant on n’associe pas les plantes potagères pour cette seule raison : l’occupation de l’espace en est une autre.

En effet, il s’avère souvent intéressant de jouer sur la complémentarité de l’enracinement.

L’exemple le plus typique est celui de la carotte et du poireau : la première possède une racine très profonde, qui va chercher sa nourriture toujours plus bas, et l’autre une racine extrêmement superficielle, qui se contente des nutriments de surface.

On ne saurait rêver plus belle amitié, d’autant que la carotte chasse le ver du poireau, et le poireau la mouche de la carotte.

Les tomates et les radis, ou encore les haricots à rames et les concombres, sont d’autres exemples typiques de cette entente harmonieuse.

Dans le sud de la France et les régions ensoleillées, il est quelquefois utile d’associer certaines plantes hautes à d’autres, plus basses et qui ont besoin d’un peu d’ombre.

Ailleurs, seule l’étendue souterraine ou horizontale est à prendre en compte.

En dehors de l’occupation des intervalles, c’est aussi la question de la voracité de certaines plantes qui doit être résolue.

Le chou, par exemple, consomme énormément, et ne peut côtoyer d’autres légumes aussi exigeants que lui.

Il est donc même préférable d’isoler le chou de ses congénères, en lui offrant un séjour en célibataire auprès de petites plantes, comme les pois, qui se contentent de très peu de nutriments pour s’épanouir.

La gestion du temps par les cycles
Le temps, lui aussi, est un facteur important de cette méthode associant les plantes potagères.

Ainsi, en faisant se côtoyer des espèces à cycle long et des espèces à cycle court, on optimise naturellement la productivité du sol, tout en lui assurant une couverture constante, et en luttant, par la même occasion, contre l’envahissement des mauvaises herbes.

Le radis, par exemple, une fois semé, occupe rapidement le terrain, pendant que la carotte germe tranquillement.

En semant ces deux graines ensemble, et en repiquant éventuellement quelques pieds de laitue pour leur tenir compagnie, la gestion des cycles atteindra ainsi une rationalité rare et sereine : à l’heure de récolter radis et laitues, les carottes commenceront juste à prendre la relève.

On peut faire de même avec l’asperge et l’échalote, le chou et la laitue, le poireau d’hiver et la mâche, etc.

Enfin, il faut savoir que les légumineuses puisent de grandes quantités d’azote dans l’air, pour les restituer dans le sol… et que de nombreuses autres plantes sont ravies de cette aubaine.

La promiscuité du maïs et du haricot ne fait donc pas seulement le bonheur de l’amateur de cuisine mexicaine : elle assure également un excellent rendement au jardinier avisé se reposant sur l’alchimie naturelle, plutôt que sur le forçage des poisons chimiques.

Petit détail encore : tout comme dans le monde des homo sapiens sapiens, il faut déplorer, chez les légumes, presque autant d’associations néfastes que d’associations bénéfiques.

Par conséquent la fréquentation du chou et du radis d’hiver, ou du pois et de l’ail, finit toujours très mal.

Il est donc indispensable de faire le gendarme dans notre propre jardin et de démanteler ces associations de malfaiteurs, avant que ne se déclare une guerre des gangs de potager qui mettrait fin à cette belle entente entre cultures, si chèrement gagnée.

Les associations vertueuses
→ Ail : betterave, carotte, fraise, pissenlit, pomme de terre, tomate

 → Asperge : aneth, laitue, persil, poireau, petits pois, salade à tondre, tomate

 → Aubergine : haricot nain, haricot à rames

 → Betterave : ail, aneth, céleri branche, concombre, chou, chou-fleur, chou-rave, haricot nain, laitue, oignon, échalote, salade à tondre

 → Bettes : carotte, chou, haricot nain, radis

 → Carotte : ail, aneth, bettes, chicorée, échalote, haricot à rames, haricot nain, laitue, menthe, oignon, panais, poireau, petits pois, pois mange-tout, radis, tomate

 → Chicorée : carotte, fenouil, haricot à rames, laitue, pois mange-tout, tomate

 → Céleri : épinard, haricot à rames, haricot nain, poireau, tomate

 → Chou : betterave, bettes, céleri branche, céleri-rave, concombre, cornichon, cresson, épinard, haricot à rames, haricot nain, laitue, panais, poireau, petits pois, pois mange-tout, rhubarbe, salade à tondre, scarole, endive, tomate

 → Chou-fleur : betterave, céleri branche, céleri-rave, concombre, cornichon, cresson, haricot nain, panais, pois, pomme de terre, tomate

 → Concombre : aneth, betterave, céleri branche, céleri-rave, chou, chou-fleur, chou-rave, échalote, fenouil, haricot à rames, haricot nain, laitue, maïs, oignon, petits pois

 → Cornichon : céleri branche, céleri-rave, chou, chou-fleur, chou-rave, haricot nain, haricot à rames, laitue, maïs, petits pois

 → Courgette : haricot à rames, oignon, échalote

 → Cresson : chou, chou-fleur, haricot à rames, poireau, radis

 → Echalote : aneth, betterave, carotte, concombre, courgette, fraise, laitue

 → Endive : chou, fenouil, haricot à rames, poireau, radis

 → Epinard : céleri, chou, fraise, haricot à rames, laitue, pomme de terre, radis, rhubarbe, tomate

 → Fenouil : céleri branche, céleri-rave, chicorée, concombre, laitue, poireau, pois mange-tout, salade à tondre, scarole, endive, sauge

 → Fève : laitue, panais, pomme de terre

 → Fraise : ail, épinard, haricot nain, laitue, oignon, échalote, poireau, radis

 → Haricot à rames : aubergine, carotte, chicorée, céleri, chou, concombre, cornichon, courgette, cresson, endive, épinard, fraise, laitue, maïs, pomme de terre, radis, scarole

 → Haricot nain : aubergine, betterave, bettes, carotte, céleri, chou, chou-fleur, chou-rave, concombre, concombre, cornichon, laitue, maïs, melon, petits pois, pomme de terre, radis, rhubarbe, salade à tondre, tomate

 → Laitue : aneth, asperge, betterave, carotte, chicorée, chou, concombre, cornichon, échalote, épinard, fenouil, fraise, fève, haricot à rames, haricot nain, maïs, melon, menthe, navet, oignon, poireau, petits pois, pois mange-tout, radis, radis noir, rhubarbe, scorsonère, tomate

 → Maïs : concombre, cornichon, haricot nain, haricot à rames, laitue, melon, petits pois, potiron, tomate

 → Melon : haricot nain, laitue, maïs

 → Navet : laitue, petits pois

 → Menthe : carotte, laitue, tomate

 → Oignon : aneth, betterave, carotte, chou-rave, concombre, courgette, fraise, laitue, panais, poireau

 → Petits pois : asperge, carotte, céleri branche, céleri-rave, chou, chou-fleur, chou-rave, concombre, cornichon, haricot nain, laitue, maïs, navet, pomme de terre, radis, radis noir, raifort

 → Persil : radis, tomate

 → Pomme de terre : ail, chou-fleur, épinard, fève, haricots à rames, haricot nain, petits pois, potiron

 → Poireau : asperge, carotte, céleri, chou, cresson, endive, fenouil, fraise, laitue, mâche, oignon, scarole, scorsonère, tomate

 → Pois mange-tout : aneth, carotte, chicorée, chou, fenouil, laitue, radis

 → Potiron : maïs, pomme de terre

 → Radis : bettes, carotte, chou-rave, cornichon, cresson, endive, épinard, fève, fraise, haricot à rames, haricot nain, laitue, persil, petits pois, pois mange-tout, salade à tondre, scarole, tomate

 → Radis noir : laitue

 → Rhubarbe : chou, épinard, haricot nain, laitue, salade à tondre

 → Salade à tondre : aneth, asperge, betterave, chou, fenouil, haricot nain, radis, rhubarbe, scorsonère, tomate

 → Scarole : chou, fenouil, haricot à rames, poireau, radis

 → Scorsonère : laitue, poireau, radis

 → Tomate : ail, asperge, carotte, chicorée, céleri, chou, chou-fleur, épinard, haricot nain, laitue, maïs, menthe, oignon, persil, poireau, radis, salade à tondre.

Tout n’était-il pas déjà parfait ? Il suffisait pourtant de ne rien faire et d’observer !

Jean-Baptiste Loin

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A PROPOS DE NOUS
Réponses Bio est un magazine en ligne proposant une formule 100% santé naturelle, 100% pratique et 100% gratuite ! Profitez de deux lettres d'information par semaine animées par Jean-Baptiste Loin, des actus, des reportages vidéo et de nombreux guides numériques. Vous avez des questions ? Nous avons des réponses !

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voir aussi
http://www.reponsesbio.com/2013/04/18/prendre-soin-de-son-jardin-bio/

http://www.reponsesbio.com/2011/09/08/la-biodynamie-quest-ce-cest/

http://www.reponsesbio.com/2012/05/20/bois-rameal-fragmente/

http://www.reponsesbio.com/2015/01/12/les-multiples-vertus-de-lortie/

http://www.reponsesbio.com/2014/05/07/simples-et-aromates-a-cultiver-au-jardin-ou-sur-votre-balcon/

http://www.reponsesbio.com/2013/04/07/comment-gerer-les-mauvaises-herbes/

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 EmptyDim 7 Juil 2019 - 23:29

source https://plandejardin-jardinbiologique.com/fiches-jardin.html
La culture biologique d’un potager est une méthode de culture du jardin qui préserve l’environnement.

Pour un jardinage bio facile
Quelques règles à respecter si vous voulez mener à bien votre projet de potager biologique:

- Faites-vous un cahier de jardin ou un dossier dans votre PC. Vous y annotez toutes vos observations, dates de semis, parasites et maladies rencontrés, vos méthodes de lutte, les variétés végétales employées . Ceci vous permet à la longue d’avoir une documentation riche adaptée à votre jardin potager.

_ Un jardin n’est pas une surface uniforme, il se compose de nombreux microclimats générés par des haies, les plantations d’arbres, des murs de clôture ,votre propre maison, etc.

_ Sans engager des frais dans une analyse du sol, des observations suffisent à connaitre ses qualités. Répertoriez les plantes indigènes qui s’y développent:

*Présence de plantes calcicoles, le pH de votre terre se situe entre 7,5 et 8        

*Présence de plantes de terre acide (bruyère, fougère, etc..)votre pH se situe entre 6,5 et 6.

Le pH idéal se situe vers 7.

_ Ne voyez pas trop grand, le potager et le jardin en général demandent beaucoup de temps, ne cultivez pas plus que vos besoins.

_ Promenez-vous dans la campagne environnante et observez les potagers existants, cela vous donne de bonnes indications pour vos futures cultures.

_ Engagez la conversation avec des passionnés, on a tout à apprendre des autres

La culture biologique est à mes yeux résolument moderne et pleine d’avenir si toutefois, encore, on ne joue pas aux apprentis sorciers !!

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source http://www.jardinagebio.net/
Bienvenue sur Jardinage Bio !
Le jardinage bio de nos anciens
Qu’est ce que le jardinage bio ? Un jardinage naturel, sans pesticides ni produits chimiques en tout genre. Un jardinage qui respecte la nature et ceux qui en vivent.

Et qui sont les mieux placés pour en parler ? Ceux qui l’ont mis en pratique par la force des choses : nos ancêtres ! Eux ne connaissaient pas ces cochonneries pour leur jardin ! Le jardinage bio, c’était leur quotidien…

Retrouvez sur ce site les conseils, les techniques, les connaissances des anciens pour votre potager, verger, vos fleurs, vos plantes, vos arbres… le tout, raconté par nos anciens eux-mêmes ! Et comparez avec les vidéos de jardinage d’aujourd’hui. De quoi vous donner des idées pour des heures de plaisir dans vos jardins !

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https://www.jardinage-biologique.com/

http://www.mon-bio-jardin.com/

https://www.rustica.fr/articles-jardin/jardin-bio/

http://www.tous-au-potager.fr/

http://www.guidenaturabio.com/

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 EmptyDim 7 Juil 2019 - 23:29

source https://www.promessedefleurs.com/conseil-plantes-jardin/blog/conseils/engrais-verts-tout-ce-que-vous-avez-toujours-voulu-savoir
Engrais verts : tout savoir!
13 SEPTEMBRE 2016 INGRID 4 COMMENTAIRES

Les engrais verts, vous connaissez ? Moutarde blanche, Vesce, Phacélie, Sarrasin... pour ne citer qu’elles, sont couramment utilisées, à l'automne ou au printemps, comme "engrais vert". Au potager bio et au jardin, d'une façon générale, cultiver un ou des engrais verts fait partie des bonnes pratiques pour entretenir la fertilité du sol tout en lui conférant une belle texture. C’est une façon écologique d’améliorer et de protéger sa terre… à moindre coût. Et c’est certainement pour ces raisons qu’ils sont si utilisés en permaculture.

Un engrais vert, qu’est-ce que c’est ? Comment ça marche ?
L’engrais vert est une culture qui ne sera pas récoltée sans pour autant être une culture perdue, bien au contraire. Sans être miraculeuses (je ne crois pas aux recettes miracles au jardin), ces plantes, annuelles ou vivaces, sont cultivées pour :

enrichir et restituer des éléments nutritifs à la terre pour la culture suivante,
redonner vie aux sols dégradés et maîtriser les adventices,
améliorer la texture et protéger la terre.

Le fonctionnement et l’intérêt des engrais verts
Pour mieux comprendre le fonctionnement des engrais verts, je vous propose de reprendre ces trois points :

1) les engrais verts enrichissent et restituent les éléments nutritifs à la terre

Au potager, et comme partout ailleurs, pas de magie. Rien ne se crée, tout se transforme : les légumes ne poussent pas de l’air du temps (quoique… nous parlerons plus loin des légumineuses). Ils puisent dans la terre, pour se constituer, des éléments nutritifs, dont l’azote, que vous leur avez apporté grâce aux engrais, fumier et/ou compost épandus pendant la culture. Dans la plupart des cas, les légumes "ne mangent pas tout", et il reste de l'azote disponible dans le sol après la récolte. Celui-ci est susceptible d'être "lessivé" par les pluies automnales et hivernales et d'aller polluer la nappe phréatique. C'est là qu'interviennent les plantes utilisées comme engrais vert : elles puisent les restes pour leur propre croissance et vont ainsi stocker l'azote résiduel dans leurs tissus. Une fois fauchés, cet azote sera restitué au sol sous sa forme utilisable par les plantes, grâce au travail des êtres vivants dans le sol  (vers, insectes décomposeurs) et des micro-organismes (champignons, bactéries) : c'est pour cela qu'on utilise l'appellation "engrais verts". Cela vaut aussi pour les autres éléments nutritifs dont a besoin la plante comme le phosphore et la potasse.

Dans le cas particulier des engrais verts appartenant à la grande famille des fabacées, ex-légumineuses, comme la Vesce, la Gesse ou le Lupin, c'est un peu différent. En effet, comme nous l’avons vu ici, elles ont la formidable faculté de fixer l’azote atmosphérique dans le sol. Elles font ainsi passer de l'azote de l'air dans le sol, au lieu de jouer le simple rôle de "récupérateur" des autres engrais verts : elles sont donc particulièrement intéressantes pour enrichir des sols pauvres.

2) les engrais verts redonnent vie aux sols dégradés et limitent les adventices

Lorsque l’on commence un jardin, qu’il soit potager ou d’ornement, on choisit rarement sa terre. Et si l’on fait construire sa maison, rares sont les artisans sensibilisés au respect des sols. Tassée par les engins de chantier ou retournée par les travaux de terrassement, la terre se retrouve bien souvent chamboulée, sens dessus dessous.

De la même façon, lorsque l’on décide d’implanter un potager, c’est au soleil. Et, allez comprendre pourquoi, c’est, dans 90 % des cas, pile à l’endroit où sévissent chiendent, rumex et autres renouées.

Dans ces deux cas de figure, l’engrais vert peut être semé au préalable, pour redonner vie au sol, le décompacter d'une part grâce à la pénétration de ses racines, et d'autre part grâce au travail qu'il donne aux vers de terre qui s'en nourrissent. Les vers de terre sont les plus connus et visibles des organismes du sol, mais il y en bien d'autres encore dont la vie sera stimulée par les engrais verts.  Mais aussi et surtout, ils vont faire concurrence (et même gagner !) face aux adventices. Parmi les plus efficaces, on trouve le Sarrasin et le Seigle.

3) Les engrais verts améliorent la texture et protègent la terre

Rien n’est pire qu’une terre à nu : sableuse, elle se transforme en passoire à larges trous, laissant filer les éléments nutritifs ; lourde, elle se compacte en un rien de temps et se transforme en béton. Pour la protéger, la technique du paillage est efficace. Néanmoins, à certaines périodes de l’année, la quantité de déchets verts fait parfois défaut. Ainsi que le temps pour les broyer et les étaler.

Les engrais verts sont alors providentiels. Le semis est rapide et leur végétation agit à deux niveaux :

au niveau aérien, comme couvert végétal, pour protéger le sol de la battance des pluies, du lessivage, du ruissellement ;
au niveau sous-terrain, car son système racinaire exerce une action mécanique qui peut être puissante.

Quel engrais vert choisir ?
Le choix de l’engrais vert se fait en fonction de plusieurs critères :
a période de semis,

l’effet recherché (apport d’azote, décompactage…),

la culture envisagée à la suite de l’engrais vert car celui-ci entre en compte dans le système de rotation des cultures. Ainsi, avant l’installation de choux, on évitera d’utiliser la Moutarde car toutes deux sont des Brassicacées. La Phacélie est très souple d’utilisation, car elle appartient à la famille des Hydrophyllacées, dont aucun légume ne fait partie.

Pour vous y retrouver, voici un petit tableau répertoriant les principaux engrais verts :
(voir sur le lien ci dessous)
https://www.promessedefleurs.com/conseil-plantes-jardin/blog/conseils/engrais-verts-tout-ce-que-vous-avez-toujours-voulu-savoir

En pratique : le semis et la destruction de l’engrais vert
Le semis des engrais verts est simple et rapide. Peu exigeants,  ils se contentent d’un sol rapidement décompacté, grossièrement ratissé. Le semis s’effectue à la volée, en respectant la quantité de graine par m² préconisée. La culture ne nécessite généralement pas d’arrosage.

La destruction de l’engrais vert se fait naturellement par le gel ou par fauchage plus ou moins rapide (dans tous les cas, avant la formation des graines… pour vous éviter les semis spontanés).

Une fois détruit, l’engrais vert pourra, au choix, être :
-broyé puis incorporé aux couches superficielles du sol (on n’enterre pas la matière organique, au risque de voir apparaître les taupins), la culture suivante n’est alors possible que trois semaines plus tard,

-laissé sur place en tant que paillage, il se décomposera sur place en quelques semaines,

-ramassé et apporté au compost, pour une mise en culture rapide de la parcelle.

Pour conclure, il ne me reste plus qu'à vous remercier de m'avoir lue jusqu'au bout ;-)  Vous en savez désormais assez sur les engrais verts pour oublier le traditionnel "engrais bleu"... N'hésitez pas à me poser toutes les questions auxquelles je n'aurais pas répondu !

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 EmptyDim 7 Juil 2019 - 23:30

source https://www.gammvert.fr/conseils/conseils-de-jardinage/les-10-gestes-de-l-eco-jardinage
Les 10 gestes de l'éco-jardinage
L'éco-jardinage, c'est un engagement pris envers la nature, c'est une nouvelle démarche à adopter dans sa manière de s'occuper de son jardin. Vous pouvez devenir éco-jardinier en révolutionnant totalement votre manière de jardiner ou en ne vous contentant que de petits gestes au quotidien. Planter des oeillets d'Inde près de ses pieds de tomates, accrocher un nichoir dans un arbre, laisser un coin de jardin en friche : c'est de l'éco-jardinage ! Car ces gestes vous permettent de limiter votre utilisation de pesticides, et de favoriser la biodiversité en accueillant dans votre jardin oiseaux, abeilles, papillons, hérissons et autres auxiliaires du jardinier !

Pas à pas, en changeant vos habitudes, en optant pour d'autres moyens, devenez un jardinier éco-responsable, un acteur dans la préservation de la nature et de sa biodiversité. Vous êtes 13 millions de jardiniers, vous possédez plus d'un million d'hectares soit 4 fois la superficie des réserves naturelles. Protégez la nature à votre échelle, c'est aussi protéger la planète.

AU SOMMAIRE
1 - Connaître et préparer son sol

2 - Enrichir son sol

3 - Privilégiez des plantes adaptées à la sécheresse

4 - Économiser l'eau

5 - Réaliser un Paillage

6 - Connaître les plantes compagnes

7 - Prévenir plutôt que guérir

8 - Adopter la lutte biologique

9 - Accueillir la faune et la flore

10 - Planter des arbres et des végétaux anciens ou peu connus

CONNAITRE, TRAVAILLER ET AMÉLIORER SON SOL
Le comprendre pour s'appuyer sur ses forces et réguler naturellement sa composition.

1 - Connaître et préparer son sol : Avant tout, déterminer la nature du sol par les 'mauvaises herbes' qui y poussent, sa structure et sa composition. Le préparer à recevoir les plantes qui lui sont adaptées, et le préserver au fil des années.
- Mauvaises herbes : comment vous-en faire des alliées ?
- Désherber au naturel
- Connaître son sol
- Préparer son sol
- Tester la qualité de son sol
- Soigner son sol

2 - Enrichir son sol naturellement en matière organique et en azote grâce à des espèces végétales et en récupérant les déchets du jardin ou de la maison, fabriquer un humus indispensable au jardin.
- Engrais verts : pourquoi et comment les utiliser?
- Compost : pourquoi et comment le réaliser ?
- Compost, l'or vert de nos jardins...

OPTIMISER LA GESTION DE L'EAU
Apprendre à réduire sa consommation en privilégiant des plantes peu gourmandes en eau et en optimisant l'arrosage et la conservation.

3 - Privilégiez des plantes adaptées à la sécheresse
- Graminées ou herbes ornementales
- Cactus et plantes grasses
- Repensez votre jardin avec des plantes résistantes
- Les plantes grasses au jardin
- Comment adopter de nouveaux comportements anti-sécheresse ?
- Composer avec la sécheresse
- Comment concevoir un jardin économe en eau? (Interview SNHF)
- Jardiner sans arroser
- Créer un jardin de graviers

4 - Économiser l'eau : Récupérer l'eau de pluie et utiliser des systèmes économes pour l'arrosage.
- Gestion de l'eau : comment réduire son arrosage?
- L'eau précieuse...
- Arroser son jardin : tout un art
- L'après-sécheresse
- La terrasse qui gère seule son eau

5 - Réaliser un Paillage : Préserver l'humidité et protéger vos plantations des mauvaises herbes.
- Paillage : pourquoi et comment le réaliser ?
-  Les paillis et mulch, véritables aubaines du jardinier

TRAVAILLER AVEC LA NATURE POUR ENTRETENIR VOS PLANTES
La nature fait bien les choses, en apprenant à la reproduire, on facilite son entretien.

6 - Connaître les plantes compagnes : Apprendre à utiliser les associations de plantes pour en tirer les bénéfices.
- Plantes compagnes : comment et pourquoi les utiliser ?
- Fidèles complices pour jardins au naturel

7 - Prévenir plutôt que guérir : Prévenir les maladies et l'attaque des ravageurs en fortifiant les plantes, en piégeant les nuisibles, en alternant les cultures dans le potager.
- Décoctions, macérations, infusions, purins
- Rotation des cultures

8 - Adopter la lutte biologique : Savoir utiliser des insectes auxiliaires pour lutter contre les ravageurs.
- Lutte biologique : utiliser les insectes auxiliaires
- >Jardinage au naturel
- Nos amis les vers de terre
- Les amis insoupçonnés du jardinier
- Les auxiliaires biologiques : nos alliés contre les nuisibles

FAVORISER LA VIE SAUVAGE
Savoir accueillir et respecter la nature dans son ensemble

9 - Accueillir la faune et la flore : n'intervenez pas dans un coin de votre jardin : laissez la nature reprendre possession d'un petit coin de terre, la faune et la flore sauvage y recréeront un équilibre dont pourra profiter tout le jardin. Et aménagez différents habitats pour attirer de nombreuses et diverses espèces de plantes comme d'animaux ou insectes : mare, haie champêtre, prairie fleurie, nichoirs, mangeoires…
- Biodiversité de votre jardin
- Prairie fleurie : semis, entretien
- Un jardin au naturel pour attirer les animaux
- Quelques recettes pour un jardin vivant !
- Il y a une vie secrète au jardin. L'interview de la SNHF
- Des fleurs à foison (Prairies fleuries)
- Magique, le semis direct de fleurs
- Attirer les papillons...
- Les oiseaux du jardin
- Les piscines naturelles
- Créez un "hôtel à insectes"

10 - Planter des arbres et des végétaux anciens ou peu connus : Participer à la lutte contre l'effet de serre et à la réduction de la pollution atmosphérique et entretenir la diversité variétale. Retrouver ainsi le goût des légumes peu communs (topinambours, panais, radis noir, roquettes…) et les variétés de fruitiers ou de rosiers anciens.
- Potager bio
- Légumes oubliés ou anciens

RESPECTER SON LIEU DE VIE
Echanger vos idées et conseils au naturel entre voisins et jardiniers.
Découvrez la communauté des jardiniers sur notre Forum : Bio et éco jardinage

Des articles pour aller plus loin :
- La leçon de jardinage : bien choisir sa manière de jardiner
- L'art de la récup…
- Observer et copier la nature
- Qu'est-ce que le jardinage raisonné ou éco-responsable ? (SNHF)
- Adoptez une attitude bio
- Soyez écologiquement correct, adoptez l'"organic attitude"
- Leçon de paysagisme : 10 préceptes pour un jardin écologique
- Le jardin bien composé vs le jardin naturel
- La gestion différenciée adaptée au jardin

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 EmptyDim 7 Juil 2019 - 23:31

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 3600840871 https://www.gerbeaud.com/jardin/jardinage_naturel/les-10-commandements-du-jardinier-a-l-ecoute-de-la-nature,1548.html

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 3496410929 https://www.gerbeaud.com/tag/engrais
Quel engrais pour vos plantes ou votre terrain ? Nos conseils pratiques.

source https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/fertilisation-bio-arbres-fruitiers,1452.html
Le 1er août 2018 par Isabelle C.

La fertilisation biologique des arbres fruitiers

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 EmptyDim 7 Juil 2019 - 23:33

Lire aussi :
Compost : utilisations
https://www.gerbeaud.com/jardin/jardinage_naturel/compost-utilisation,1546.html

Identifier et corriger les carences en azote, phosphore, potassium
https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/carences-plantes-azote-phosphore-potassium,1543.html

Identifier et corriger les carences en magnésium, fer, soufre, bore
https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/carences-plantes-fer-magnesium-soufre-bore,1544.html

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 262171387

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 2243129732 https://www.gerbeaud.com/jardin/produit-jardinage/naturasol-gamme-bio-algoflash.php

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 2940318832 https://www.gerbeaud.com/nature-environnement/brf-bois-rameal-fragmente-solution-avenir-agriculture.php

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 2652460921 https://www.gerbeaud.com/jardin/jardinage_naturel/fumier-de-cheval.php

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 4035768151 https://www.gerbeaud.com/fruit-legume-de-saison/consoude.php

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 1468659889 https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/fp_engrais_base.php3

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 2943735929 https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/engrais-fertilisation-plantes-pot,1699.html

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 4050540468 https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/fp_engrais_liberation_lente.php3

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 85033458 https://www.gerbeaud.com/jardin/decouverte/marc-de-cafe.php

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 3291515562 https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/orchidee-engrais-fertilisation.php3

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 EmptyDim 7 Juil 2019 - 23:34

source https://www.le-jardin-de-jenny.fr/
Je suis heureuse de vous accueillir sur mon blog jardin consacré à ma passion : le jardinage.
Je jardine pour le plaisir, pour nourrir ma famille, pour nous soigner (plantes médicinales) mais aussi pour des raisons économiques (nous n’achetons que très peu de nourritures) et pour des raisons liées à l’environnement et à la santé.
En effet je jardine bio, jamais un produit chimique n’entre dans mon jardin !

Pour en savoir plus sur mon jardin et ma passion
https://www.le-jardin-de-jenny.fr/un-jardin-pour-le-plaisir-et-la-sante
Un jardin pour le plaisir et la santé.
Je suis installée dans ce beau coin du sud Finistère, avec ma famille, depuis plus de 20 ans.  
C’est une véritable chance de vivre dans cet endroit tranquille et verdoyant.

Les activités sur notre petite ferme bio sont nombreuses et variées selon les saisons.
Je produis des plants d’herbes aromatiques, des plants de légumes et des fruits et légumes que je vends aux magasins coop bio du secteur.  
La société B-actif (spécialiste de la grande consoude) est basée ici, nous recevons aussi de temps en temps les jeunes pour l’immersion en anglais…..


Pour moi le jardin potager est un espace merveilleux !
Loin d’être un jardin immaculé (comme on peut en voir dans les livres de jardinage Larousse par exemple), chez moi c’est parfois un peu bordélique – mais le jardin me permet de cultiver une grande partie de notre alimentation, et ça, c’est très valorisant.
Pour moi, un jardin potager représente beaucoup plus que des économies importantes sur le budget alimentaire

Mon potager : c’est aussi :
Manger des produits ultra frais.
La nourriture va direct du jardin à la cuisine
Je suis convaincu que cela a un impact sur le goût et la valeur nutritive.  
En conséquence on mange plus de fruits et de légumes et moins de viande.

Manger les produits variés.
Il y a beaucoup de fruits et légumes peu communs mais délicieux ou des variétés vraiment intéressantes, faciles à faire pousser en Bretagne, mais qu’on ne trouve pas ici dans les magasins.
Parmi mes légumes préférés : le maïs doux, le chou kale,  le brocoli à jet,  le gem squash….

Manger bio.
La traçabilité est évidente.
Ici pas d’engrais chimique ni de pesticides, ni d’emballage plastique.

Avoir une activité physique en plein air.
L’activité physique est fortement recommandée et agréable.

Faire des gestes pour l’environnement :
Pas de transport, pas de packaging, un acte d’éco-citoyen.

Apprendre chaque jour :
Le potager est un espace où on ne cesse de s’émerveiller de découvrir et d’apprendre.

Faire vivre et transmettre :
Ce savoir-faire est à la fois fondamental et magique !

Pourquoi ce blog ?
J’ai démarré ce blog en 2012. C’est parti de l’envie de partager des idées, des astuces, des recettes et des expériences ….
Bref, tout ce que je trouve génial en lien avec le jardin !  Les possibilités de sujets sont tellement vastes, par exemple :

Je trouve passionnant de tester et parler des ‘nouveaux’ fruits et légumes peu connus – cet automne je suis fort emballée par le drôle de fruit ‘Kiwano’  (on dirait l’œuf d’un étrange dinosaure !).  
Ou encore le Goyavier de Chili avec ses baies au goût de fraises de bois en octobre !

C’est très intéressant aussi de parler des méthodes de cultures, souvent ça change tout !
Chacun a sa façon de faire et ses astuces – ces échanges sur le blog sont, pour moi, très importants et me permettent d’apprendre plein de choses !

Je parle aussi des problèmes que l’on  rencontre, les mauvaises herbes envahissantes, les maladies et les nuisibles….

Par moment il y a de grands  laps de temps entre les articles, ce n’est pas par manque d’idées, je suis juste un peu débordée !

J’espère que vous trouverez des articles qui vous intéressent dans ce blog.
N’hésitez pas à partager vos réflexions, idées ou autres dans les commentaires.

Merci à vous et bonne lecture !  Jenny

source https://www.le-jardin-de-jenny.fr/consoude
La consoude la plante la plus utile de mon jardin
La consoude est la plante la plus importante de mon jardin.
Vous trouverez ci-dessous les articles de mon blog consacrés à la consoude.

Je considère que la consoude est indispensable dans tous les jardins et pas uniquement les jardins bio.
L’objectif de mon blog n’est absolument pas commercial. Dans le cas présent je fais une entorse à ce principe.
Je vous conseille VRAIEMENT de planter la consoude dans votre jardin.

Achetez des boutures chez B-actif.
Vous ne le ferez qu’une fois dans votre vie puisque la consoude est une plante vivace que vous conserverez des dizaines d’années.

B-actif vend des boutures de la variété de consoude bocking 14. C’est la variété idéale pour fabriquer votre propre engrais. Vous l’utiliserez, sous forme de purin de consoude, de concentré de consoude, en paillage (mulch) etc..
La consoude est particulièrement utile dans la culture des tomates et globalement de toutes les solanées et cucurbitacées (courgettes, melon, cornichons, concombres….) A noter que la consoude est une plante mellifère d’exception : Si vous êtes apiculteur plantez-en à côté de vos ruches.
De plus la consoude s’utilise comme plante médicinale. Son nom latin c’est symphytum officinalis ! Vous l’utiliserez donc pour fabriquer des pommades et crèmes pour guérir vos bobos.
Vous pourrez l’utiliser pour le soin des fractures ou pour cicatriser rapidement des coupures. N’appelle-t-on pas la consoude l’herbe aux coupures ou l’herbe des charpentiers ?
Vous l’utiliserez aussi occasionnellement en cuisine et pour préparer des tisanes. Enfin c’est une belle plante ornementale ;

Si vous souhaitez en savoir plus sur cette plante je vous conseille de faire un tour sur le site de B-actif, entreprise spécialisée dans la consoude et de lire le livre blanc (gratuit) dans lequel 331 jardiniers parlent de la consoude.

Vous pouvez aussi parcourir le site http://det68.free.fr/ qui décrit très bien les différentes variétés de consoude et présente de très nombreuses photos de cette plante

La consoude bocking 4
https://www.le-jardin-de-jenny.fr/la-consoude-bocking-4.html

Vos avis sur le livre blanc consoude.
https://www.le-jardin-de-jenny.fr/avis-livre-blanc-consoude.html

Téléchargez un livre blanc gratuit sur la consoude au jardin
https://www.le-jardin-de-jenny.fr/telechargez-livre-blanc-gratuit-la-consoude-au-jardin.html

Réussir sa culture de tomates en bio grâce à la consoude.
https://www.le-jardin-de-jenny.fr/tomates-bio-et-consoude.html

Purin d’ortie ou purin de consoude ?
https://www.le-jardin-de-jenny.fr/purin-ortie-ou-purin-de-consoude.html

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 EmptyDim 7 Juil 2019 - 23:34

En prévention ou pour soigner les végétaux, penser au purin d'ortie (boîte de granulés en magasin bio) et à la bouillie bordelaise (En prévention contre le chancre, le mildiou, les maladies bactériennes).
La prêle, pour lutter contre la rouille, l’oïdium, le mildiou et la tavelure :
JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 3230579087  http://www.wikistrike.com/article-l-iode-une-solution-trop-simple-80505532.html

L'iode, bactéricide et fongicide naturel puissant, est également réputé efficace contre le mildiou :
"L’iode, une solution trop simple au mildiou
Depuis 8 mois, j’ai la chance de travailler dans une toute petite boîte agricole qui se spécialise en alimentation animale et aussi en fertilisants, tous à base d’algue.

Le fondateur de la petite entreprise, M Serge Therrien, est un libre penseur, un homme sans diplôme mais avec un sens de la liberté féroce et une attitude face au pouvoir que ne détesterait aucun Kokopellien.

Des décennies avant tout le monde, il prônait l’utilisation de bactéries en agriculture, et même pour assainir les plans d’eau moribonds pour cause d’empoisonnement chimique. Les grands penseurs du gouvernement ont tôt eu fait de s’élever contre la »libération » de bactéries sources de vie dans les plans d’eau, because »il faut établir des protocoles », la machine a dit non mais de nombreux propriétaires riverains ont travaillé en silence pour revivifier leurs lacs, pour le grand bénéfices des plans d’eau. Célébrons la ré-apparition de la vie, qui commence toujours avec la micro-flore et la micro-faune.

Même chose avec l’utilisation de l’iode. »Rappelons que l’iode est acceptée, même en bio, mais comme »désinfectant ». Or, que fait un désinfectant: il tue les bactéries et les fungus, les champignons microscopiques.

Quand on opère une personne dans un hôpital, on désinfecte avec quoi? Pourquoi ces ventres bruns?

L’iode, bien sûr, est le fongicide et bactéricide le plus puissant connu par l’homme.

Mais l’iode a un énorme défaut: il est naturel, pas de copyright à l’horizon. Même une petite boîte peut le manufacturer, je suis bien placé pour le savoir, on est 3 dans la compagnie…et puis il est 10 fois plus cher à fabriquer, rien d’intéressant pour une multi-nationale…

Il y a quelques années, une crise de phytophtora ( mildiou) dans l’industrie de la pomme de terre au Québec s’est pointée le nez. Serge et Jean Claude, un fermier, aussi distributeur pour lui, sont partis sur la route distribuer de l’iode. Tant et si bien que le fonctionnaire chargé de la »phyto-sécurité » a eu l’idée brillante d’envoyer un fax à tous les producteurs mentionnant que l’iode, un ÉLÉMENT NATUREL, n’était pas APPROUVÉ comme fongicide, mais seulement comme désinfectant ( ne combattons pas les fungus, désinfectons les, dirait Voltaire). Le résultat: tous les producteurs de la période »pré fax » ont sauvé leur récolte. Pas les autres. Jean-Claude, le fermier distributeur, m’a avoué que le fonctionnaire responsable l’a contacté, apparemment sincèrement désolé, en lui disant qu’ils auraient dû être avisés, que les choses auraient pu être différentes etc etc…

En bref, le gouvernement s’est fait foutre sous le nez un produit naturel qui fonctionne, a constaté son efficacité, foutuement corolaire de la même efficacité dans les hôpitaux, et puis rien ne s’est passé depuis, malgré la preuve accablante.

Pour le sens commun et le sens de l’observation, on repassera.

Je tiens à souligner que j’ai posé la main il y a quelques semaines sur un pommier qui fut un jour en train d’être bouffé par une maladie cryptogamique ( un fungus, mais je sais pas lequel, je n’ai pu constater que les anciens dommages ), le coeur tout vide, j’ai vu les photos d’il y a quelques années et constaté leur exactitude de visu, qui a été sauvé par le remplissage du coeur pourri par de l’iode ( on en met jusqu’à temps que cela déborde) et de fréquents arrosages foliaires. Aujourd’hui, la plaie, ouverte sur près de 30 centimètres, est presque totalement refermée et le pommier revit malgré son coeur vide, encore légèrement visible malgré la fermeture quasi totale de la plaie.

Et le plus beau: la dose d’iode utilisée pour combattre la maladie ( 400 ppm) est inférieure à ce que Jean-Claude ingère presque quotidiennement, 7 ou 8 gouttes dans un verre d’eau. Il en met même dans l’eau de son bain,

Je vous reviens là -dessus, mais sachez que nous sommes sur une bonne piste, et j’invite mes amis du nord de l’Europe, entre autres les bretons qui m’ont fait découvrir leur cidre et redécouvrir la crêpe, à sérieusement lorgner de ce côté pour combattre le mildiou et les autres maladies cryptogamiques ( les fungus)"
Like a Star @ heaven http://www.kokopelli-blog.org/

Extrait d'un article de la revue Consom'action n°57 :
"Pour éviter l'épuisement des terres et le recours aux engrais de synthèse, l'agriculteur biologique s'appuie entre autres sur la rotation des cultures. La terre n'est jamais laissée à nu pour limiter le ruissellement des substances nutritives. Les engrais verts (luzerne et moutarde par exemple) enrichissent les sols sans les polluer ni engager les ressources en eau potable".


Fabriquer soi-même son insecticide bio à base d'ail pour lutter contre les pucerons, chenilles et asticots :"
Vos plantations sont envahies par les pucerons et vous êtes absolument contre le recours aux produits chimiques ? Deux solutions s’offrent à vous. La première : l’introduction de coccinelles. Ou plus simple : l’élaboration d’un insecticide naturel très performant à base d’ail. En voici la recette…

Pour mettre au point un insecticide biologique efficace contre les pucerons (mais aussi contre les chenilles et les asticots) :
- Faîtes macérer 20 g d’ail haché dans 20 ml d’huile végétale pendant environ 24 h,
- Ajoutez ensuite 1 l d’eau et 10 ml de savon de Marseille,
- Mélangez bien le tout, puis filtrez pour obtenir le concentré d’insecticide,
- Diluez-le dans environ 4 l d’eau,
- Versez le liquide dans un pulvérisateur… c’est prêt !

Autre recette, par infusion :
- Infusez 150 g d’ail dans 5 l d’eau bouillante,
- Laissez reposer environ 30 min, puis filtrez,
- Laissez refroidir totalement… puis pulvérisez le liquide obtenu sur vos plantes !"
Like a Star @ heaven source http://actu.orange.fr/environnement/eco-geste/preparer-un-insecticide-bio-avec-de-l-ail_2058.html

JARDINER en évitant de s'empoisonner - Page 3 262171387

http://www.agriculturecosmotellurique.org/pesticides-naturels.html
Voici une page avec quelques idées dont on entend pas beaucoup parlé.
Il y en a bien d'autres que vous trouvez sur mes autres sites aussi.
Normalement quand on cultive avec la nature, on arrive à des cultures en bonne santé sans maladies et alors il n'y a pas besoin de pesticides même naturels.

Iode
le chlorure de magnésium
l'extrait de pépins de pamplemousse
extraits de plantes
huile de neem
tisanes, infusions, purins, fermentations,...
extrait de mousse
l'eau énérgétisé, l'eau dynamisée
l'information sur l'eau de pulvérisation
l'isothérapie ou l'homéopathie pour plantes
différentes approches énergétiques, mentales et spirituels.

Iode
comme anti-fongique sur vigne, plants de tomates, légumes.
L’iode, une solution trop simple au mildiou
Article du 20-07-2011 de http://www.kokopelli-blog.org/?p=1820 Auteur : Michel

Depuis 8 mois, j’ai la chance de travailler dans une toute petite boîte agricole qui se spécialise en alimentation animale et aussi en fertilisants, tous à base d’algue.

Le fondateur de la petite entreprise, M Serge Therrien, est un libre penseur, un homme sans diplôme mais avec un sens de la liberté féroce et une attitude face au pouvoir que ne détesterait aucun Kokopellien.

Des décennies avant tout le monde, il prônait l’utilisation de bactéries en agriculture, et même pour assainir les plans d’eau moribonds pour cause d’empoisonnement chimique. Les grands penseurs du gouvernement ont tôt eu fait de s’élever contre la  »libération » de bactéries sources de vie dans les plans d’eau, because  »il faut établir des protocoles », la machine a dit non mais de nombreux propriétaires riverains ont travaillé en silence pour revivifier leurs lacs, pour le grand bénéfices des plans d’eau. Célébrons la ré-apparition de la vie, qui commence toujours avec la micro-flore et la micro-faune.

Même chose avec l’utilisation de l’iode. »Rappelons que l’iode est acceptée, même en bio, mais comme  »désinfectant ». Or, que fait un désinfectant: il tue les bactéries et les fungus, les champignons microscopiques.

Quand on opère une personne dans un hôpital, on désinfecte avec quoi? Pourquoi ces ventres bruns?

L’iode, bien sûr, est le fongicide et bactéricide le plus puissant connu par l’homme.

Mais l’iode a un énorme défaut: il est naturel, pas de copyright à l’horizon. Même une petite boîte peut le manufacturer, je suis bien placé pour le savoir, on est 3 dans la compagnie…et puis il est 10 fois plus cher à fabriquer, rien d’intéressant pour une multi-nationale…

Il y a quelques années, une crise de phytophtora ( mildiou) dans l’industrie de la pomme de terre au Québec s’est pointée le nez. Serge et Jean Claude, un fermier, aussi distributeur pour lui, sont partis sur la route distribuer de l’iode. Tant et si bien que le fonctionnaire chargé de la  »phyto-sécurité » a eu l’idée brillante d’envoyer un fax à tous les producteurs mentionnant que l’iode, un ÉLÉMENT NATUREL, n’était pas APPROUVÉ comme fongicide, mais seulement comme désinfectant ( ne combattons pas les fungus, désinfectons les, dirait Voltaire). Le résultat: tous les producteurs de la période  »pré fax » ont sauvé leur récolte. Pas les autres. Jean-Claude, le fermier distributeur, m’a avoué que le fonctionnaire responsable l’a contacté, apparemment sincèrement désolé, en lui disant qu’ils auraient dû être avisés, que les choses auraient pu être différentes etc etc…

En bref, le gouvernement s’est fait foutre sous le nez un produit naturel qui fonctionne, a constaté son efficacité, foutuement corolaire de la même efficacité dans les hôpitaux, et puis rien ne s’est passé depuis, malgré la preuve accablante.

Pour le sens commun et le sens de l’observation, on repassera.

Je tiens à souligner que j’ai posé la main il y a quelques semaines sur un pommier qui fut un jour en train d’être bouffé par une maladie cryptogamique ( un fungus, mais je sais pas lequel, je n’ai pu constater que les anciens dommages ), le coeur tout vide, j’ai vu les photos d’il y a quelques années et constaté leur exactitude de visu, qui a été sauvé par le remplissage du coeur pourri par de l’iode ( on en met jusqu’à temps que cela déborde) et de fréquents arrosages foliaires. Aujourd’hui, la plaie, ouverte sur près de 30 centimètres, est presque totalement refermée et le pommier revit malgré son coeur vide, encore légèrement visible malgré la fermeture quasi totale de la plaie.

Et le plus beau: la dose d’iode utilisée pour combattre la maladie ( 400 ppm) est inférieure à ce que Jean-Claude ingère presque quotidiennement, 7 ou 8 gouttes dans un verre d’eau. Il en met même dans l’eau de son bain,

Je vous reviens là -dessus, mais sachez que nous sommes sur une bonne piste, et j’invite mes amis du nord de l’Europe, entre autres les bretons qui m’ont fait découvrir leur cidre et redécouvrir la crêpe, à sérieusement lorgner de ce côté pour combattre le mildiou et les autres maladies cryptogamiques ( les fungus)

À bientôt j’espère

Michel

Personnellement, j'ai essayé l'iode sur des plants de tomates, ca n'a pas fonctionné, peut-être que je faisais une erreur? . Yannick.

Cette année été 2012 j'ai par contre eu de très bon résultats contre le mildiou sur mes plants de tomates avec la pratique des techniques Agnihotra, avec une pulvérisation d'une solution d'eau avec les cendres du rite "Tryambakam" sur le feuillage, ce qui a stoppé net le mildiou.
Je pense maintenant que le mildiou et la plupart des maladies dues à des organismes fongiques, provient d'un manque de pratique spirituel sur le lieu. Les champignons sont très proche du spirituel et depuis tout temps utilisé dans des rituels. Si ils poussent sur nos cultures en pleine figure, cela est aussi un signe. Quasiment toute l'agriculture "conventionnele et bio classique" est touché par ces problèmes de mildiou et champignons... mais le champignon est aussi le signe et le message de la solution. Car il n'y a jamais de problème, tout problème nous indique la solution. Après à nous à en prendre conscience.
Pour plus d'info : www.agnihotra-pratique.com

Extrait de Pépins de Pamplemousse
L'extrait de pépins de pamplemousse s'avère efficace non seulement dans l'élimination des virus et des bactéries, mais aussi dans celle des champignons et des parasites. Quelques autres propriétés de l'extrait de pépins de pamplemousse (EPP).
- il est 100% non toxique
- il ne détruit pas les bactéries bénéfiques
- il n'a aucun effet secondaire
- il est 100% naturel. Cadeau de la nature.

Au Jardin :  contre l’oïdium, la cloque du pêcher

-8 gouttes d’EPP pour un litre d’eau (de pluie) dans un pulvérisateur, vaporisez les plantes le soir,  renouvelez tous les 4/5 jours.

Les animaux :
Pour nos chats, l'extrait de pépins de pamplemousse est bien à mettre dans l'eau de boisson pour soigner les diarrhées, pour la désinfection des cages et corbeilles, pour les maladies bactériennes, virales et parasitaires et tout dysfonctionnement de l'appareil digestif………..

- 8 gouttes d'extrait de pépins de pamplemousse dans 120 ml d'eau (environ) permet de les débarrasser de la plupart des colibacilles.

En usage interne, l'EPP a la particularité de renforcer les défenses immunitaires de l'animal et de laisser intacte sa flore intestinale ; c'est aussi un vermifuge remarquable, il suffit d'en incorporer dans les aliments (2 gouttes) pendant quelques jours.

Pour le tartre des dents de votre chien, mettre 1 goutte sur la brosse à dent et brossez-lui les dents.

Egalement 1 goutte dans sa pâté et il n’aura plus mauvaise haleine.

Mon chien avait 2 verrues au museau, j’ai tamponné chaque verrue avec un coton tige imbibé (1goutte EPP + 1 goutte d’eau)..ses 2 verrues ont disparues !  

Ce produit est en vente dans les magasins Bio.

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