Cultiver son potager

source http://www.jardinagebio.net/

Bienvenue sur Jardinage Bio !
Le jardinage bio de nos anciens
Qu’est ce que le jardinage bio ? Un jardinage naturel, sans pesticides ni produits chimiques en tout genre. Un jardinage qui respecte la nature et ceux qui en vivent.

Et qui sont les mieux placés pour en parler ? Ceux qui l’ont mis en pratique par la force des choses : nos ancêtres ! Eux ne connaissaient pas ces cochonneries pour leur jardin ! Le jardinage bio, c’était leur quotidien…

Retrouvez sur ce site les conseils, les techniques, les connaissances des anciens pour votre potager, verger, vos fleurs, vos plantes, vos arbres… le tout, raconté par nos anciens eux-mêmes ! Et comparez avec les vidéos de jardinage d’aujourd’hui. De quoi vous donner des idées pour des heures de plaisir dans vos jardins !

Quoi de plus vrai que ce que disait l’un d’eux :

Les jardins, qui ont inspiré de beaux poèmes et qui sont le sujet de plusieurs ouvrages importants, offrent aux hommes de tous les pays et de toutes les classes trop d’agréments, de plaisirs , de ressources et d’utilité, pour n’avoir pas été cultivés avec soin dès les temps les plus reculés.

En effet, ils présentent une abondante quantité, une variété précieuse de fruits et de plantes sur un petit espace de terrain. Ils ne se lassent pas de produire tous les ans et presque tous les mois. Sur une étendue égale, le jardin rapporte, plusieurs fois autant qu’un champ , des légumes et des fruits plus beaux , plus précoces et plus savoureux.

Bien distribué , le jardin est un objet d’agrément : quelque bornée qu’elle soit, sa promenade est féconde en plaisirs, comme son sol est fertile en produits; c’est pour le propriétaire de ce petit domaine une satisfaction très vive de voir convertir en réalité ses espérances qu’il a craint de voir déçues; et combien lui semblent plus exquis les fruits et les légumes qu’il a vu naître, s’accroître et mûrir!

Le goût des jardins, dont la forme a varié suivant les temps et les peuples, a toujours subsisté, et devient de plus en plus général. Beaucoup d’ouvrages traitent du jardinage; presque tous sont ou trop volumineux , ou trop peu complets.

Nous allons essayer de donner un savoir-faire pratique, à la fois complet et concis. Ainsi, nous croirons avoir atteint un but utile en procurant aux propriétaires et aux cultivateurs des jardins de peu d’étendue, un traité qui leur suffise pour les diriger dans leurs travaux. Un tel savoir, composé avec soin, résultat d’une longue expérience, et mis à la portée des plus petites bourses, manquait à la science du jardinage. On peut faire mieux sans doute, mais on ne sera pas dirigé par des motifs plus désintéressés et plus philanthropiques.

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source https://www.mon-jardin-potager.com/
Mon-jardin-potager.com est mon site sur la culture de légumes dans le jardin.
Besoin d’astuces, de conseils et d’informations pour faire votre potager ?
alors vous trouverez tout ce qu’il vous faut sur ces pages.
Profitez-en pour entretenir vos plants et faire de très belles récoltes !



source https://www.mon-jardin-potager.com/guide-pratique/fiches-pratiques-legumes/
Fiches pratiques légumes
Vous avez décidé de créer votre propre potager ?
Mais ce n’est pas aussi simple qu’il y paraît au premier abord !
Mon site vous propose d’accéder à un guide du potager.
Sur cette page, vous pourrez trouver plus particulièrement des fiches pratiques sur les légumes.
Alors, partons à la découverte de ces dernières…

Mais à quoi ça sert ?
Une question pratique pour vos plantations ou semis ?
Besoin d’informations pour vos plantes potagères ?
Découvrez dans cette partie l’ensemble de mes fiches pratiques sur les légumes les plus courants (et les plus délicieux !) du potager.
Pour faciliter vos recherches, elles sont classées par ordre alphabétique des légumes.
Grâce à celles-ci, vous pourrez vous focaliser sur une plante en particulier, et suivre la chronologie de sa vie et des différents soins à lui apporter.

Apprenez à bien choisir l’emplacement et la bonne période pour débuter la culture, à semer et planter, à fournir à vos plantes le bon apport et à les protéger des parasites et maladies, à les récolter au bon moment et de la meilleure manière, et à les conserver pour une dégustation future.

En effet, chaque plante ayant des besoins spécifiques en matière d’arrosage, de fertilisants (naturels) et d’entretien.
Par exemple, apporter trop d’eau à certains légumes risque de les faire pourrir ; si au contraire certaines plantes n’en ont pas assez, elles risquent de mourir de soif.
Des légumes s’adaptent difficilement à des sols plus ou moins calcaires, argileux, lourds, pauvres, sablonneux, etc.
Vous trouverez dans mes différentes fiches les caractéristiques des légumes pour leur apporter les meilleurs soins et doser l’hydratation et les fertilisants.

Comment sont-elles présentées ?
Chaque fiche est constituée d’une présentation générale du légume et ses différentes variétés.
Un calendrier expose les périodes de semis, plantation et récolte ; celles-ci sont informatives, elles peuvent varier selon le type de sol, votre lieu d’habitation et la variété choisie.

Ensuite, mes conseils portent de manière précise sur le semis et/ou la plantation, puis les différents gestes d’entretien (apport d’engrais et d’amendement, binage, désherbage, buttage…), et enfin sur la récolte, la conservation et… le plus important… la consommation !

Si, comme moi, vous êtes un jardinier connecté mais trouvez peu pratique l’utilisation d’ordinateur dans le jardin, une fiche récapitulative est imprimable pour chaque légume.
Elle reprend les informations principales pour la culture.



https://www.mon-jardin-potager.com/guide-pratique/nuisibles-et-lutte/desherbage-thermique/
Le désherbage thermique
Le scandale actuel du glyphosate met en avant les difficultés des agriculteurs à désherber tout en se passant au maximum de produits chimiques. L’utilisation, massive ou même occasionnelle, de ces substances pose un réel et sérieux problème de pollution des sols et peut s’avérer dangereuse tant pour les animaux (notamment les insectes utiles comme les abeilles) que pour les humains.
La problématique existe également pour les particuliers.



https://www.mon-jardin-potager.com/place-de-la-nature/

ICI

https://www.mon-jardin-potager.com/la-ferme-du-bec-hellouin/

source https://www.comment-economiser.fr/pascal-poot-ce-francais-qui-cultive-legumes-sans-eau.html
Pascal Poot : Ce Français Qui Cultive Ses Légumes SANS EAU !

Pascal Poot n'est pas un paysan comme les autres.
Lui, il a un p'tit truc magique : il sait faire pousser des légumes sans leur donner une seule goutte d'eau !
Et pour ça, il a un secret ! Et son secret c'est : "faire exprès de ne rien faire".
On savait qu'on pouvait faire pousser de beaux légumes sans pesticides.
Mais faire pousser des légumes sans les arroser, c'est une autre histoire !
Et c'est pourtant ce que fait Pascal Poot depuis maintenant de nombreuses saisons.
Sécheresse, canicule... Peu importe !
Ses légumes poussent quand même.
Tomates, pommes de terre...
Tout pousse sans arrosage.
Même les ingénieurs agronomes n'en reviennent pas.

Explications :
Une culture naturelle sans eau et sans produits chimiques
Sur ses 3 hectares de terre près de Béziers, il applique sa propre technique, à l'ancienne.
Il a éliminé tout ce qui n'est pas naturel, n'utilise pas de pesticides ou de produits chimiques, ni de systèmes d'irrigation compliqués.
Autrement dit, Pascal Poot cultive comme le faisaient les paysans du temps de nos grands-parents.
Et le moins qu'on puisse dire, c'est que ça marche !

Son secret ?
Ne rien faire !
Il livre son astuce vieille comme le monde pour faire pousser ses légumes :
"Depuis 30 ans, j’ai commencé à faire de la sélection moi-même et à faire en sorte que les plantes apprennent à résister par elles-mêmes aux maladies.
Et ça marche." Résultat, ses semis sont particulièrement bien adaptés à son terroir.

Du coup, ses légumes sont très peu exigeants en soins, résistent bien aux maladies et sont peu gourmands en eau.
Grâce à cette technique, il n'a plus besoin d'arroser. Les alertes canicules s'enchaînent...

Peu importe : Pascal Poot ne donne pas une goutte d'eau à ses semences.
Il se contente de les planter et de venir faire sa récolte trois mois plus tard.
"Je fais exprès de ne rien faire du tout.
Je ne fais jamais rien", explique-t-il.
Et pourtant ses légumes sont superbes et d'après ce qu'on dit, super bons !
Ça fait envie, n'est-ce pas ?

Regardez ce reportage incroyable réalisé par France 2 sur le sujet :
https://www.comment-economiser.fr/pascal-poot-ce-francais-qui-cultive-legumes-sans-eau.html

Et malgré son succès, Pascal Poot reste modeste.
Pour lui, tout le mérite revient à la nature !
Une belle histoire qui pourrait bien inspirer de nombreux jardiniers.

N'hésitez pas à visiter son site Internet où vous pouvez acheter ses graines paysannes et en savoir plus sur sa méthode.
https://www.lepotagerdesante.com/

 

source https://jardinierparesseux.com/2021/06/13/un-potager-dans-un-sac-de-terreau/
Un potager dans un sac de terreau
Par Larry Hodgson

PAR JARDINIER PARESSEUX
13 JUIN 2021
14 COMMENTAIRES

Vous n’avez pas besoin d’un pot pour votre potager sur le balcon ou la terrasse.
On peut cultiver des légumes et des fines herbes directement dans un sac de terreau !
Et c’est si facile :
1. Déposez le sac à l’horizontale.

2. Percez plusieurs dizaines de trous avec une fourchette ou un tournevis.
Ces trous serviront de trous de drainage pour laisser écouler tout surplus d’eau.

3. Retournez le sac pour que les trous de drainage soient dirigés vers le bas.

4. Découpez un rectangle dans le haut du sac, en laissant toutefois les parois intactes.

5. Semez ou repiquez vos légumes, selon leur espacement habituel (exemple, il y a de la place dans un sac de 18 litres pour 2 tomates, 4 poivrons, 16 laitues, etc.).

6. Arrosez bien.

Astuce: Un sac de terreau retient relativement peu d’eau comparativement à un gros bac de culture et aura donc besoin d’arrosages assez fréquents.

Article adapté du livre Jardiner sans se ruiner.

À PROPOS JARDINIER PARESSEUX
Journaliste et blogueur horticole, auteur de plus de 60 livres de jardinage, conférencier très en demande et jardinier passionné, le jardinier paresseux, Larry Hodgson, vit et jardine à Québec.
Le blogue le jardinier paresseux offre plus de 2 000 billets aux amateurs de jardinage, toujours dans le but de démystifier le jardinage et le rendre plus facile aux participants.
Si vous avez une question sur le jardinage, entrez-la dans Recherche: la réponse s’y trouve probablement déjà.
https://jardinierparesseux.com/

source https://jardinierparesseux.com/2021/06/14/quels-legumes-sautopollinisent/
Quels légumes s’autopollinisent ?
Par Larry Hodgson

PAR JARDINIER PARESSEUX
14 JUIN 2021
16 COMMENTAIRES

Question :
Est-ce que c’est vrai que les tomates s’autopollinisent et n’ont pas besoin d’abeilles pour féconder leurs fleurs?
Et quels autres légumes s’autopollinisent ?
Suzanne Drury

Réponse :
Oui, c’est vrai que les tomates s’autopollinisent — on dit qu’elles sont autogames —, mais cela ne signifie pas que les abeilles ne leur sont pas utiles.

Il se trouve que les étamines (parties mâles) de la fleur de tomate forment un tube protecteur (tube staminique) autour du pistil (partie femelle).
Comme le pistil est plus court que le tube, les abeilles et autres insectes n’ont normalement pas accès au pistil et ne peuvent donc pas transférer le pollen d’une fleur de tomate à une autre.
Au lieu de cela, le pollen tombe sur le stigmate (la partie fertile du pistil) de la même fleur et c’est cela qui conduit à la fécondation de la fleur et à la formation d’un fruit.
La fleur est donc pollinisée par son propre pollen : c’est l’autopollinisation.

Cependant… le pollen n’atteint le stigmate que s’il se détache de l’étamine et pour cela, il faut un mouvement quelconque.
Souvent, c’est le vent qui, secouant la fleur, libère le pollen.

Aussi, les humains utilisent parfois une brosse à dents électrique pour faire vibrer les fleurs, décollant le pollen et assurant la fécondation.

Cependant, certaines abeilles sont d’excellentes «secoueuses de pollen».
Les bourdons et certaines abeilles solitaires font de la pollinisation vibratile («buzz pollination» en anglais).
C’est-à-dire qu’elles atterrissent sur la fleur et commencent à faire vibrer leurs muscles de vol.
Cette vibration libère le pollen et assure la fécondation.
Aussi, une partie du pollen tombe de la fleur où l’abeille le récolte, donc elle en tire sa part.

Les abeilles domestiques, quant à elles, ne font pas de la pollinisation vibratile et sont alors de peu d’utilité pour la pollinisation des tomates.
Les bourdons (leurs cousins plus gros et plus poilus) ainsi que certaines abeilles solitaires (Halictus spp.), par contre, excellent à ce travail.
D’ailleurs, les bourdons sont si efficaces à polliniser par vibration que les producteurs commerciaux de tomates en libèrent dans leurs serres pour assurer une récolte optimale.

Si la fleur n’est que partiellement pollinisée, cela donne souvent un fruit déformé, un problème appelé «face de chat».
Le jardinier a donc tout intérêt à voir les bourdons et abeilles solitaires fréquenter ses tomates.

Les Solanacées aiment se faire brasser
La situation est similaire pour de nombreuses autres Solanacées (plantes de la famille de la tomate), telles que les poivrons (et piments), les cerises de terre et les aubergines.
(Les pommes de terre aussi, mais les jardiniers ont rarement de l’intérêt à les voir produire des fruits, car leurs baies sont toxiques.)
Toutes sont en grande partie autogames, mais peuvent profiter grandement de la présence d’un pollinisateur vibratile pour assurer le plein développement de leurs fruits.

Plantes surtout autogames
Il n’y a pas beaucoup d’autres légumes autogames… sauf dans la famille des Fabiacées (les légumineuses).
Certains, tels que le haricot de Lima, le haricot commun, le soja, le pois et l’arachide, s’autopollinisent et peuvent se passer d’abeilles.
Dans leur cas, le mécanisme est différent : le pollen se répand naturellement sur le stigmate alors que la fleur est encore fermée, tôt le matin avant que les abeilles ne soient présentes.
Donc, les abeilles ne sont pas absolument nécessaires, la pollinisation étant déjà assurée, mais… les fleurs demeurent toujours fertiles après cette pollinisation initiale et utilisent occasionnellement le pollen apporté par les abeilles.

Curieusement, d’autres légumineuses nécessitent une pollinisation croisée assurée par les insectes : le haricot d’Espagne, par exemple, doit être pollinisé par des abeilles ou même par des colibris.

Autopollinisation au besoin
Il y a également le cas des plantes qui comptent surtout sur la pollinisation croisée, soit l’apport de pollen de la fleur d’une autre plante pour assurer leur fécondation, mais qui ont aussi un «plan de sauvegarde» : si les abeilles ne se pointent pas, elles s’autopollinisent.
C’est même très courant dans le monde végétal.
Beaucoup d’Astéracées, par exemple, utilisent ce système, notamment, parmi les plantes potagères, le tournesol.
Ainsi, même en l’absence d’abeilles ou d’autres pollinisateurs, le tournesol produira des graines fertiles… et comestibles!

Pollinisation croisée requise
Bien sûr, si votre idée d’origine était qu’il ne serait pas nécessaire d’attirer les pollinisateurs dans votre potager, n’oubliez pas que la plupart des autres légumes-fruits, dont la plupart relèvent de la famille des Cucurbitacées (concombres, courges, melons, etc.), nécessitent absolument une pollinisation par les insectes.
En effet, ces plantes sont monoïques : elles produisent des fleurs femelles et mâles séparées sur la même plante et leur pollen est trop lourd pour voyager par le vent.
Elles dépendent donc entièrement des insectes pour transporter le pollen d’une fleur mâle à une fleur femelle.

Le framboisier (techniquement pas un légume, mais souvent cultivé dans le potager) peut théoriquement s’autopolliniser, mais en fait, ne produit pas bien si des insectes, majoritairement des abeilles, n’assurent pas une pollinisation.
Quant à cet autre fruitier potager, le fraisier, encore une fois les fleurs peuvent s’autopolliniser s’il le faut, mais les plants produiront des fruits de meilleure qualité s’ils sont pollinisés par les insectes.

Enfin, la majorité des petits fruits et arbres fruitiers (pommiers, kiwis, bleuetiers, etc.) dépendent fortement de la pollinisation croisée assurée par les abeilles ou d’autres insectes pollinisateurs pour produire une bonne récolte.

Un potager sans abeille ?
Si vous voulez éviter complètement les abeilles dans votre potager, ne plantez que des légumes-feuilles et des légumes-racines (laitues, épinards, choux, carottes, betteraves, oignons…): ils sont récoltés pour la table bien avant d’arriver à la floraison et alors, n’offrent pas de fleurs qui intéressent les abeilles.
Ce n’est que si vous voulez qu’ils produisent des semences que vous devrez leur permettre de fleurir… et alors vous aurez besoin d’abeilles pour que la plupart d’entre eux produisent des semences viables.

Voilà! La plupart des plantes qu’on cultive dans le potager nécessitent une pollinisation par les insectes (entomogamie), principalement d’ailleurs par les abeilles. Et même dans les cas où cela n’est obligatoire, il n’y a pas beaucoup de légumes dont on peut dire qu’ils s’autopollinisent efficacement sans l’aide des insectes butineurs.

À PROPOS JARDINIER PARESSEUX
Journaliste et blogueur horticole, auteur de plus de 60 livres de jardinage, conférencier très en demande et jardinier passionné, le jardinier paresseux, Larry Hodgson, vit et jardine à Québec.
Le blogue le jardinier paresseux offre plus de 2 000 billets aux amateurs de jardinage, toujours dans le but de démystifier le jardinage et le rendre plus facile aux participants.
Si vous avez une question sur le jardinage, entrez-la dans Recherche: la réponse s’y trouve probablement déjà.
https://jardinierparesseux.com/

J'ai apprécié les conseils de Xavier Mathias qui intervenait régulièrement dans la Quotidienne sur France 5.
Dommage que cette émission ait été supprimée...

Heureusement, on peut retrouver les vidéos de ce jardinier sur Youtube.
https://www.youtube.com/channel/UC-NNDPXz2hcdrTFhmo6Bo4g/videos?view=0&sort=dd&shelf_id=0

On peut aussi cultiver à l'intérieur

source https://davesgarden.com/guides/articles/grocery-store-produce-that-you-can-regrow-from-scraps
Produits d'épicerie que vous pouvez repousser à partir de restes
par Carole Menser (Cville_Gardener) 14 avril 2020

Saviez-vous que vous pouvez cultiver des aliments frais dans votre propre cuisine en utilisant les restes de nourriture que vous jetez habituellement ?

Lorsque les betteraves, les carottes, les navets et d'autres cultures sont placés dans l'eau, ils poussent des pousses vertes.
Ces sommités feuillues peuvent être mangées.
Et il est possible de faire repousser complètement certains légumes.
Par exemple, le céleri repoussera en tiges complètes, s'il est correctement nourri.
Avec le temps, le bok choy, la laitue romaine, les oignons verts, le fenouil et les poireaux finissent par repousser également.

Informations importantes
Tout d'abord, il y a quelques points à garder à l'esprit :
Vous devez éloigner les restes d'une source de chaleur directe, sinon ils cuisineront au lieu de pousser.

Le goût des légumes repoussés sera plus doux que celui des légumes frais.

Tout ne va pas germer.
S'il n'y a aucun signe de vie après une semaine, jetez-le.

Les fonds peuvent devenir visqueux.
C'est un peu dégueu, mais c'est normal.

Quels déchets repousser
Si vous vous demandez quelle extrémité du légume mettre dans l'eau et laquelle jeter dans le composteur, voici quelques conseils utiles.

Il existe de nombreux autres restes de légumes que vous pouvez également cultiver, mais certains peuvent prendre plus de temps.

Cultivez ces hauts :
Carottes
Betteraves
Navets
Des radis
Daïkon

Coupez environ 1 pouce du haut et mettez-le dans l'eau, mais ne l'immergez pas.

Cultivez ces racines :
Oignons verts
Ail
Fenouil
Céleri
Laitue romaine
Bok Choy
Poireaux
Oignons
Citronnelle

Coupez 1 à 3 pouces du bas.
Placer dans l'eau peu profonde avec le côté coupé vers le bas, la feuille vers le haut.
Si la ferraille a encore une coupe fraîche et humide, laissez-la sécher à température ambiante pendant une nuit avant de la mettre dans l'eau.
Les verts devraient bientôt apparaître.

Quelques-uns d'entre eux, comme le fenouil et le céleri, peuvent être transplantés dans le jardin une fois que la menace de gel est passée.

Légumes bulbeux
Les légumes à bulbe et à bulbe s'enracinent facilement en suivant des étapes similaires à celles de l'enracinement des fanes de légumes feuillus.

Pour les oignons verts, les poireaux, le fenouil et la citronnelle, coupez 1 pouce de l'extrémité avec les racines.
Placer en eau peu profonde.
Assurez-vous que l'eau recouvre les racines, mais pas le haut.
Gardez l'eau fraîche.

Tous les oignons poussent facilement et sont l'un des légumes les plus faciles à repousser à partir de restes.
Suspendez un fond d'oignon qui a des racines au-dessus d'un pot d'eau jusqu'à ce que d'autres racines se forment.
Ou laissez le fond sécher un peu et plantez directement dans le sol.
Placer dans un endroit ensoleillé pendant quelques semaines.
Gardez le sol uniformément humide mais pas mouillé.
Lorsque le sol semble sec d'environ un pouce vers le bas, arrosez à nouveau.

Même si vous n'avez pas beaucoup d'espace, vous pouvez repousser à partir de déchets que vous composteriez ou jetteriez normalement.
Il économise de l'argent et est bon pour l'environnement.
De plus, c'est un excellent projet pour les enfants.

Ce dont tu auras besoin
Récipients pour contenir de l'eau pour l'enracinement
Pots avec trous de drainage
Plateaux ou assiettes à passer sous les pots
Bon terreau
Fenêtre ensoleillée ou lampes de culture situées dans un endroit chaud
Déterminez l'espace dont vous disposez et plantez en conséquence.
Vous pourrez peut-être placer certains de vos pots sur un patio ou une terrasse à proximité.

Le jardinage de ferraille est un projet amusant et éducatif pour les enfants , surtout pendant les mois d'hiver.

Un mot sur les contenants en plastique par rapport aux contenants en verre
On sait depuis longtemps que des morceaux de plastique infinitésimaux pénètrent dans nos aliments à partir de conteneurs par ce que l'on appelle la lixiviation ou la migration .
L'industrie chimique a reconnu que cela ne peut être évité et que pratiquement tous les matériaux d'emballage alimentaire contiennent des substances qui peuvent migrer dans les aliments avec lesquels ils entrent en contact.

Les quantités sont faibles, mais on peut s'attendre à ce que presque tous les récipients en plastique libèrent des traces de plastique.
n'y a pas de bon ou de mauvais choix. Personnellement, j'utilise les deux.

Recherchez ces codes qui sont considérés comme plus sûrs : #2 HDPE, #4 LDPE et #5 PP
Exemples de HDPE #2 (polyéthylène haute densité) : lait en bouteille, eau et jus, pots de yaourt et certains sacs en plastique.

Exemples de #4 LDPE (polyéthylène basse densité) : sacs pour le pain, les aliments surgelés et les produits frais, les emballages alimentaires sans PVC, les sacs à fermeture éclair refermables et certaines bouteilles.

Exemples de #5 PP (polypropylène) : contenants de conservation des aliments, soupe de charcuterie, contenants de yaourt, pailles et autres contenants en plastique trouble, y compris les biberons.

Optez pour le sans PVC
Le PVC (chlorure de polyvinyle, #3), communément appelé vinyle, est un plastique souple et flexible que l'on trouve dans les matériaux de construction et les produits de consommation tels que les rideaux de douche, les jouets et les emballages.
Le PVC contient généralement des additifs dangereux comme les phtalates et libère ces produits chimiques tout au long de sa durée de vie.
Vous pouvez trouver des alternatives plus sûres au PVC pour pratiquement toutes les utilisations.

Évitez le polycarbonate (PC #7) pour éviter le bisphénol-A (BPA)
Le polycarbonate est un plastique dur transparent utilisé dans certaines bouteilles d'eau réutilisables, biberons, carafes à eau commerciales et appareils de cuisine comme les cafetières automatiques et les robots culinaires.
Choisissez plutôt du verre ou de l'acier inoxydable non doublé pour les récipients à boissons.
Recherchez les appareils qui n'ont pas de plastique dans les zones de contact alimentaire, comme les cafetières à piston, les mélangeurs à main en acier inoxydable ou les mélangeurs à bocaux en verre.

**Le gouvernement des États-Unis a testé et déclaré que le polycarbonate est sans danger .**

Polystyrène (PS #6) .
Présent dans les plateaux alimentaires en polystyrène, les gobelets et bols jetables, les contenants à emporter et les couverts en plastique opaque, le polystyrène peut lixivier le styrène, une neurotoxine connue .

L'utilisation de contenants en plastique libère de très petites quantités de plastique. Le verre ne lixivie pas.

(Sources : WebMD ; Jardins botaniques du Missouri ; Simple Bites ; homesciencetools.com

À propos de Carole Menser
La côte ouest a été ma maison pendant 40 ans. Je vis maintenant dans le centre du Tennessee.
J'ai été jardinier presque toute ma vie et j'ai écrit pour plusieurs sites de jardinage.
J'ai un baccalauréat en histoire européenne et une maîtrise en sciences du comportement avec une spécialisation en résolution de conflits.
J'ai passé plusieurs années à travailler avec des victimes de violence conjugale.
Je suis passionné par le jardinage, les questions environnementales et j'adore voyager.

source https://www.femina.fr/article/legumes-perpetuels-ces-6-legumes-a-planter-qui-repoussent-a-l-infini
Légumes perpétuels : ces 6 légumes à planter qui repoussent à l’infini
Pouvoir récolter des légumes frais année après année sans avoir à les replanter chaque saison, c’est possible.

Voici 6 légumes perpétuels à planter au potager.
I.S
le 19/09/2023

Imaginez un jardin où les récoltes ne s'épuisent jamais, où les légumes poussent en abondance année après année, demandant peu d'entretien et de ressources.
Les légumes perpétuels rendent cela possible.
Contrairement aux légumes annuels courants tels que les tomates, les carottes ou les courgettes, les légumes perpétuels sont des vivaces, ce qui signifie qu'ils continuent à pousser d'une saison à l’autre.
Ces plantes ont évolué pour survivre dans des conditions changeantes et peuvent tolérer une variété de climats.
Elles ont développé des stratégies pour survivre aux hivers rigoureux et aux étés torrides, ce qui en fait des choix parfaits pour les jardiniers soucieux de l’environnement ou ceux qui n’ont pas beaucoup de temps à consacrer à leur potager.
Envie de vous lancer dans la récolte de ces végétaux ?

Voici les principaux légumes perpétuels à avoir au potager.

L'asperge perpétuelle :
Connue pour sa saveur délicate, l'asperge perpétuelle produit des pousses tendres au printemps année après année, une fois bien établie.

L'oignon égyptien :
Aussi appelé oignon éternel, il produit de petits bulbes à l'automne et peut être récolté continuellement.

Le poireau vivace :
Ressemblant aux poireaux traditionnels, cette variété persistante peut être récoltée tout au long de l’année.

L’artichaut :
Les artichauts sont des légumes vivaces qui produisent des têtes comestibles savoureuses.
Une fois établis, les plants d'artichauts peuvent rester productifs pendant plusieurs années.

Le chou perpétuel :
Ce parent du chou traditionnel produit des feuilles tendres et nutritives tout au long de l'année.
Les jardiniers apprécient sa résistance au froid.

L'ail des ours :
L'ail des ours est une plante vivace qui pousse à l'état sauvage dans de nombreuses régions.
Ses feuilles ont un goût d'ail doux et sont un ajout délicieux aux salades et aux plats cuisinés.

source ICI sur cuisine actuelle

Ma pomme de terre a germé : puis-je la planter dans mon jardin ?
Le 10 février 2024

Planter des pommes de terre germées dans votre jardin peut être la solution idéale pour ne pas les jeter.
D’autant qu’avec un peu de doigté et de soins, vous pourrez avoir une récolte de belles pommes de terre.

La pomme de terre est l'un des légumes les plus populaires au monde.
Elle se déguste de mille façons différentes, en soupe, en purée, en galette, sautées, frites…
Mais que faire lorsque vos pommes de terre ont commencé à germer dans votre cuisine ?
Si les pommes de terre qui germent produisent de la solanine, une substance toxique, elles peuvent néanmoins être consommées en ôtant les germes.
Mais il existe une autre façon de les utiliser : les planter pour ensuite avoir une belle récolte.

Comment planter des pommes de terre déjà germées ?
Commencez par sélectionner des pommes de terre qui ont déjà des germes.
Si elles sont grandes, coupez-les en morceaux, en veillant à ce que chacun ait au moins un germe.
Laissez les morceaux coupés sécher pendant quelques jours dans un endroit frais et sec.
Préparez ensuite le sol de votre potager en vous assurant qu'il est bien drainé et riche en compost ou en sable.
Plantez vos pommes de terre germées à 10 ou 15 cm de profondeur dans des sillons espacés d'environ 50 cm.
Arrosez bien régulièrement après la plantation pour assurer une bonne hydratation du sol, afin que les pommes de terre se développent correctement.
Récoltez lorsque les plants commencent à faner, généralement 2 à 4 mois après la plantation.

Est-ce que je peux planter des pommes de terre qui ont germé ?
La réponse courte est oui, vous pouvez planter des pommes de terre germées dans votre potager.
Il s’agit même d’une méthode courante pour obtenir de nouvelles récoltes de pommes de terre.
En principe, les premières pousses pointeront le bout de leur nez après 2 à 3 semaines.
Vous devriez alors récolter entre 6 et 8 pommes de terre par plant.

Quelle taille doivent avoir les germes de pomme de terre avant de les planter ?
Lorsque vous plantez des pommes de terre germées, il est recommandé d'attendre que les germes aient une taille d'environ 2 à 3 cm de longueur.
Pour qu’elles germent dans de bonnes conditions, choisissez un endroit aéré et lumineux.
Veillez à ce que les températures soient relativement douces (entre 10 et 20 °C) dans cet endroit pour ne pas abîmer vos germes.
Ne superposez pas les pommes de terre destinées à la germination et placez les tubercules simplement dans une cagette.

Quel est le meilleur moment pour planter les pommes de terre ?
Les pommes de terre sont généralement plantées entre les mois de février et avril, voire parfois en mai.
C’est à cette période de l’année qu’elles vont le mieux se développer.
Toutefois, pour ne pas empêcher la germination, il ne faut pas que la température du sol soit en dessous de 10 °C.
De la même façon, le sol doit être humide.
Sachez aussi que certaines variétés de pommes de terre vont moins germer que d’autres.
Avant de planter, assurez-vous que le sol est bien préparé.
Les pommes de terre prospèrent dans un sol meuble et riche en matière organique.
Planter des pommes de terre germées en juillet, août et septembre reste néanmoins possible, mais la récolte sera faible puisque leur culture prend du temps et que le froid risque d’arriver rapidement les semaines suivantes.

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Je ne me rappelle pas si j'ai déjà mis le lien de ce site intéressant

https://acclimatons.com/

https://acclimatons.com/a-propos/
Bonjour à tous !

Je suis passionné par les fruits et légumes.
Dans les années 90, j’ai travaillé dans une entreprise qui importe des fruits rares.
En 2000, j’ai lancé avec deux amis FruitLife.
Puis en 2001, j’ai proposé mes photos de fruits sur le site Photofruit.
Désormais, je travaille dans un tout autre domaine, mais ma passion est restée intacte !

Sur ce site, j’évoque mes expérimentations en matière “d’agriculture”.
Très intéressé par les fruits exotiques, l’acclimatation, la permaculture et les régimes frugivores.
Sur acclimatons, vous trouverez principalement mes expérimentations dans mon jardin.
Il s’agit de faire renaître un Mazet Nîmois : 5000 m² de garrigue avec parfois la roche mère affleurante !

Mon souhait serait que ce site devienne un espace d’échanges sur les expérimentations en matière d’acclimatation.
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Benoit

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