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 FOIE, pancréas, allergies

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MessageSujet: Re: FOIE, pancréas, allergies   FOIE, pancréas, allergies - Page 3 EmptyLun 24 Avr 2017 - 14:21

source http://www.reponsesbio.com/2017/04/23/en-finir-avec-la-candidose/
En finir avec la candidose
23 avril 2017


Très souvent extrêmement difficile à éradiquer, la candidose peut néanmoins se guérir en combinant régime et compléments nutritionnels qui n’ont pas pour vocation de détruire, mais plutôt d’équilibrer la flore microbienne.

Dans leur grande majorité, les maladies infectieuses ne surviennent pas à cause de l’invasion soudaine d’un microbe dans l’organisme.

Les microbes sont déjà là !
Plus de 400 espèces différentes résident dans nos intestins ; si nous n’en souffrons nullement, c’est que notre système immunitaire est pleinement fonctionnel et capable de contenir la prolifération microbienne dans les limites du raisonnable.

Chacun de ces microbes suscite des anticorps spécifiques, fabriqués par les cellules blanches à l’aide d’acides aminés, de vitamines, de sels minéraux, d’enzymes et d’oligo-éléments.

En cas de panne du système immunitaire, c’est à dire, le plus souvent, à cause d’une alimentation carencée, les anticorps sont insuffisamment produits, le microbe ne connaît plus aucun frein à son expansion et la maladie s’installe.

Pour l’éviter, il semble donc logique, et indispensable, de maintenir une quantité suffisante de nutriments vitaux dans l’organisme.

Toutefois, certains micro-organismes s’entendent à déjouer les défenses immunitaires, et même, éventuellement, à provoquer une baisse de l’immunité.

C’est le cas du Candida Albicans, un champignon microscopique auquel les médecins pensent rarement en établissant leur diagnostic, mais dont la prolifération s’avère bien souvent responsable de nombreux troubles, voire de véritables maladies.

Les symptômes
Le Candida Albicans, qui séjourne d’une manière tout à fait normale sur les parois du tube digestif, peut quelquefois se développer pathologiquement, et dès lors :→ envahir l’appareil génito-urinaire, le système endocrinien et le système nerveux,

 → affaiblir le système immunitaire,

 → ainsi qu’être à l’origine de certaines allergies.

C’est dire combien la symptomatologie du Candida est étendue !

On lui attribue toutes sortes de manifestations cliniques :
→ fatigue chronique

 → surcharge pondérale

 → perturbations de la flore intestinale : indigestion, mauvaise haleine, gaz, ballonnements, diarrhées, spasmes intestinaux, démangeaisons anales…

 → infections des muqueuses : inflammation de la bouche, de la gorge, du nez, des yeux, du vagin, des voies urinaires, des ongles, de la peau, eczéma, psoriasis, acné…

 → augmentation de la perméabilité de la muqueuse intestinale : allergies et intolérances alimentaires, auto-intoxication

 → perturbation du fonctionnement cérébral, par réaction de la dopamine à certaines toxines sécrétées par le Candida

 → spasmophilie

 → dépression, anxiété, peur, irritabilité, troubles de la mémoire et de la concentration

 → troubles du système immunitaire, par l’action destructrice des aldéhydes sur les lymphocytes T, et hypersécrétion d’histamine

 → perturbation des fonctions hormonales, et notamment de la synthèse des prostaglandines, des processus auto-immuns, de la configuration des hormones sexuelles

 → hyperfolliculinie, formation d’auto-anticorps contre les hormones et les ovaires

 → allergies

 → douleurs articulaires, etc.

Les symptômes de la candidose sont à tel point variés, que les Américains, qui sont à peu près les seuls à avoir reconnu l’ampleur de cette entité clinique, les regroupent sous le nom de « Yeast syndrome », dont le nombre de cas a été estimé à 80 millions pour le seul territoire des Etats-Unis.

Les causes
La principale cause du développement anarchique du Candida semble être l’usage répétitif d’antibiotiques ou la consommation habituelle de viandes bovines contenant des antibiotiques.

Cependant, d’autres médicaments sont encore susceptibles de provoquer ce dérèglement :
→ corticoïdes,

 → contraceptifs oraux,

 → chimiothérapiques anticancéreux,

 → médicaments anti-ulcéreux.

D’autre part, l’excès de sucre ou de toute alimentation entraînant la perturbation des sucs digestifs (malnutrition ou suralimentation, alcoolisme, excès de jus de fruits), favorisent également l’apparition de la candidose.

Enfin, il existe certains facteurs disposants, tels que :
→ la grossesse,

 → le diabète,

 → les longues maladies chroniques,

 → et les chocs psychoaffectifs…

Statistiquement, les femmes sont beaucoup plus fréquemment atteintes que les hommes, les symptômes féminins les plus courants étant la prise de poids inexpliquée et l’infection vaginale.

Mais, chez les uns comme chez les autres, la candidose, au début légère et passagère, récidive très souvent et très vite, s’installant de manière chronique, et devenant particulièrement difficile à éradiquer.

Avant tout, réguler la digestion
Avant même de commencer un régime thérapeutique, il est absolument impératif de réduire deux facteurs digestifs prédisposants, que l’on retrouve toujours dans la candidose :
 → l’insuffisance hépatique,

 → et l’insuffisance des sucs digestifs.

1/ On soutiendra la sphère hépato-biliaire à l’aide de :
→ différents légumes spécifiques : artichaut, céleri, chicorée, pissenlit, radis noir, poireau…

 → phytothérapiques : romarin, chicorée sauvage, boldo, artichaut, pissenlit…

 → homéopathiques : Hépato drainol, Homéo-Vichy G.

 → organothérapiques : Hépatine 4CH

 → gemmothérapiques : Corylus avellana bourgeons, en alternance un jour sur deux avec Alnus incana bourgeons.

 → anthroposophiques : Hépatodoron, Chelidonium composé…

2/ On assistera la sécrétion digestive avec :
→ les extraits enzymatiques

 → les remèdes anthroposophiques améliorant la qualité des sucs digestifs spécifiques : Cichorium composé pour l’estomac, Basilicum composé pour le pancréas, Choléodoron pour la vésicule biliaire, Digestodoron pour l’intestin.

Le régime
1/ Pas de sucre
Avant tout, il est indispensable de supprimer radicalement, durant les 3 à 6 mois de cure, les principaux facteurs de troubles alimentaires en matière de candidose, et tout d’abord le sucre sous toutes ses formes, puisque le Candida se développe dans tous les milieux riches en sucres.

Donc, on éliminera :
→ le sucre blanc,

 → le sucre roux,

 → le miel,

 → le sirop d’érable,

 → le fructose,

 → le glucose,

 → le lactose,

 → le maltose,

 → les jus de fruits,

 → les fruits et surtout les agrumes,

 → le melon,

 → et la tomate.

2/ On s’abstiendra également :
→ des amidons, tout au moins ceux contenus dans la pomme de terre ou les céréales raffinées

 → des aliments contenant des ferments : pain, fromage, yaourt, sauce de soja, boissons alcoolisées, vinaigres, fruits secs et oléagineux, champignons crus…

 → de lait et de produits laitiers

 → de boissons gazeuses

 → et de tous les aliments allergènes.

3/ En revanche, seront consommés sans restriction :
→ les légumes crus ou cuits à basse température, racines, feuilles et tiges,

 → les légumineuses,

 → les céréales complètes (sauf peut-être le blé et le seigle),

 → le poisson et la volaille.

4/ Certains condiments revêtent aussi une importance toute particulière dans ce régime, notamment :
→ l’ail qui est un antifongique extrêmement puissant et dont on fera, avec le plus grand profit, une abondante consommation,

 → le gingembre,

 → le thym,

 → le romarin,

 → et la mélisse.

5/ Des tisanes :
→ lapacho, antifongique, en décoction à raison de 20 grammes pour un demi-litre d’eau

 → berberis vulgaris, antibiotique, antifongique, anti-infectieux, anti-diarrhéique, immuno-stimulant

 → echinacea purpurea, immuno-stimulant très efficace sur la candidose (plutôt en extrait)

 → matricaria chamomilla, anti-diarrhéique.

La complémentation
→ les lacto-bactéries, et notamment l’acidophilus, pour ralentir le développement du Candida

 → les chélateurs de toxines intestinales, pour combattre la stagnation intestinale : agar-agar, graines de psyllium, fibres, charbon…

 → l’acide caprylique, acide gras naturel antifongique très efficace contre la candidose

 → les acides gras poly-insaturés

 → l’acide folique

 → les vitamines : A, C, B6

 → les minéraux : zinc, magnésium, sélénium, fer.

L’extrait de pépin de pamplemousse
Cet extrait naturel est une excellente médication qui s’avère parfaitement sans danger, même pour les bébés.

On le consomme entre les repas sous forme de gouttes, au moins trois ou quatre fois par jour.

Toutefois, s’il cause la moindre irritation du conduit digestif, il pourra être pris avec les repas.

Les dosages s’ajusteront en fonction du poids de chacun.

Pour une personne d’environ 70 kg, on comptera par exemple :
→ Journées 1 à 3 : 15 gouttes deux fois par jour à diluer dans un jus de légumes

 → Journées 4 à 10 : 20 gouttes deux fois par jour

 → Journées 11 à 28 : 20 gouttes trois fois par jour.

Certains trouveront une amélioration satisfaisante avec le premier dosage, et dans ce cas il ne sera pas nécessaire de l’augmenter.

En revanche, des cas plus résistants pourront nécessiter un dosage légèrement supérieur.

Une fois l’amélioration obtenue, on réduira progressivement le dosage.

Mais si les symptômes réapparaissent, un retour à des doses plus importantes pourra être requis.

Pour les pathologies chroniques ou anciennes, une cure de quatre semaines ne sera pas suffisante et il conviendra alors de continuer durant quatre à six mois.

L’extrait de feuille d’olivier
Absolument révolutionnaire dans le traitement de la candidose et des mycoses, l’extrait de feuille d’olivier semble également souverain en cas de :
→ fatigue,

 → douleurs arthritiques,

 → infections,

 → et problèmes de peau.

C’est le Dr Bernard Mizock, après avoir mené une étude en double aveugle sur trente sujets, qui a permis à la médecine de faire un immense bond en avant dans le traitement du Candida.

Ces trente participants avaient été soignés pour des infections de levure pendant plusieurs années, sans succès.

Puis, sous la direction du Dr Mizock, ils prirent chaque jour, les uns six gélules d’extrait de feuille d’olivier, les autres un placebo.

Pendant toute la durée de l’expérience, on ne fit aucune modification dans leur régime alimentaire, on ne leur imposa aucun programme d’exercices physiques et on ne leur prescrivit aucun complément nutritionnel.

Au bout de soixante jours, les symptômes du groupe qui avait pris de l’extrait de feuille d’olivier avaient diminué de plus de 50%.

L’aromathérapie
Les huiles essentielles que l’on utilisera pour lutter contre la candidose présentent deux propriétés spécifiques, elles sont :
→ bifidogènes, c’est à dire qui favorisent la multiplication des bactéries bénéfiques,

 → et eubiotiques, c’est à dire soutenant tout processus vital, accompagnant l’organisme vers son équilibre originel et provoquant une revitalisation complète et durable.

En d’autres termes, elles ne présentent pas les mêmes risques de destruction aveugle que les antimycosiques chimiques et autres médicaments de synthèse.

Puisqu’en cas d’infestation par le Candida albicans, ou d’autres champignons d’ailleurs, le microbiote, agent fondamental de l’immunité, est déséquilibré, certaines huiles essentielles seront tout particulièrement adaptées :
→ le palmarosa,

 → le lemongrass,

 → le géranium rosat d’Egypte,

 → le laurier noble,

 → la sauge officinale,

 → le tea tree,

 → la lavande aspic,

 → le manuka,

 → et la listée citronnée.

On complètera avantageusement cet attirail avec des huiles au spectre spécifiquement anti-fongique :
→ le thym à thymol,

 → le clou de girofle,

 → l’origan compact,

 → les différentes cannelles.

Mais ces dernières, en raison de leur action dermocaustique, se prendront exclusivement par voie orale, à raison d’une goutte à trois gouttes maximum deux fois par jour diluées dans un peu d’huile d’olive ou, mieux encore, d’huile de chanvre.

Plus généralement, les huiles essentielles sont des remèdes extrêmement puissants, qu’il conviendra de ne pas prendre à la légère.

Aussi, un protocole précis sera nécessaire, certes un peu long, mais extrêmement simple.

Voici un exemple de synergie aromatique antifongique et immunomodulante, à préparer vous-même ou à faire préparer par votre pharmacien :
     ၑ HE Palmarosa (Cymbopogon martini) : 3 ml

      ၑ HE Thym à thymol (Thymus vulgaris CT thymol) : 1 ml

      ၑ HE Laurier noble (Laurus nobilis) : 1 ml

      ၑ HE Tea tree (Melaleuca alternifolia) : 2 ml

      ၑ HE Cannelle (Cinnamomum zeylanicum) : 1 ml

      ၑ HE Giroflier Clou (Eugenia caryophyllus) : 1 ml

Voici deux posologies à suivre, en fonction de l’âge :
Pour les adultes et enfants de plus de 12 ans : prendre 4 gouttes de la synergie dans une cuillère à café d’huile végétale, 2 fois par jour, 5 jours sur 7 pendant 3 mois.

Enfants de 6 à 12 ans : prendre 2 gouttes de la synergie dans une cuillère à café d’huile végétale, 2 fois par jour, 5 jours sur 7 pendant 3 mois.

Ce mélange d’huiles essentielles est bien évidemment à éviter en cas de grossesse, d’allaitement, ainsi que pour les enfants de moins de 6 ans.

Jean-Baptiste Loin

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MessageSujet: Re: FOIE, pancréas, allergies   FOIE, pancréas, allergies - Page 3 EmptyMar 24 Oct 2017 - 10:39

source http://www.reponsesbio.com/2017/10/22/candida-a-candidose-mise-a-jour-dune-maladie-de-civilisation/
Du Candida à la candidose, mise à jour d’une maladie de civilisation
22 octobre 2017


Touchant près de 80% de la population mondiale, il y a de fortes chances pour que l’infection chronique du Candida, également appelé candidose, soit déjà présente dans votre organisme à l’état latent, voire même qu’elle se soit activée sans que vous ayez pu faire le rapprochement.

Que ce soit à titre préventif ou curatif, seule une cure naturothérapique adaptée permettra à la fois d’éviter les dégénérescences liées à la candidose et de rééquilibrer l’organisme en profondeur.


Pathologie sournoise par excellence, le grand problème de la candidose est son aspect souterrain.

Participant au bon fonctionnement de la flore intestinale, à la première occasion le Candida en profitera néanmoins pour se propager et générer une quantité inquiétante de symptômes souvent difficiles à relier à la cause.

Non traitée, cette maladie de civilisation apparue avec l’ère moderne, a la capacité de se répandre dans tout l’organisme, détériorant gravement la santé et affaiblissement significativement le système immunitaire.

Mais ces symptômes, quels sont-ils plus exactement ?

Des Candida à la candidose
Bien qu’il y ait de nombreuses formes de candidoses apportant leur propre part de symptômes, voyons tout d’abord les plus fréquents, pouvant justement brouiller les pistes de l’origine réelle du problème.

On compte parmi eux :
→ douleurs articulaires et musculaires,

 → certains troubles de la thyroïde ou amplification de ces troubles,

 → insomnies et troubles du sommeil,

 → dépression,

 → fatigue chronique,

 → maux de tête,

 → asthme et problèmes respiratoires,

 → eczéma ainsi que de nombreuses maladies de peau comme l’acné ou les mycoses,

 → champignons vaginaux chroniques provoquant pertes blanches et démangeaisons,

 → cystites,

 → infections rénales,

 → boulimie, fringales de sucre et alcoolisme,

 → développement d’allergies aggravées, qu’elles soient cutanées, respiratoires ou alimentaires,

 → hyperfolliculinie, formation d’auto-anticorps contre les hormones et les ovaires,

 → colites, ballonnements, diarrhées, constipations chroniques et démangeaisons anales,

 → spasmophilie,

 → mais surtout, surtout, une fatigue générale se manifestant par un épuisement disproportionné.

Bien entendu, toutes ces manifestations peuvent varier, se présenter séparément ou simultanément, non seulement en fonction du degré de développement et du type de Candida, mais également des zones infestées.

Comme l’explique le Dr Philippe-Gaston Besson, le type de Candida le plus couramment contracté est l’Albicans, qui concerne 60% à 80% des cas, cependant il existe aussi le Candida tropicalis pour près de 25% des malades.

Et, dans une moindre mesure, les Candida :
→ parapsilosis,

 → krusei,

 → pseudotropicalis,

 → glabrata,

 → dublensis,

 → lusitaniae.

Constituant les huit formes principales passant devant une dizaine d’autres, bien plus rares.

Or, toutes ces candidoses sont d’autant plus problématiques qu’elles sont résistantes aux antibiotiques et antifongiques de synthèse.

On a assisté à l’apparition d’épidémies au sein d’unités à haut risque, en milieu hospitalier, où dans certains cas de rechute après un traitement antifongique, des levures de type Candida ont pu se propager par transmission exogène entre les patients, via les professionnels de santé.

C’est à dire se transformer en maladie nosocomiale.

Se multipliant et migrant, elles prennent tout d’abord la place des lactobacilles, ces bonnes bactéries équilibrant la flore intestinale, puis détruisent les bifidobactéries, provoquant :
→ indigestion,

 → mauvaise haleine,

 → gaz,

 → spasmes intestinaux…

Avant d’atteindre les muqueuses où elles créent :
→ irritations,

 → et inflammations.

C’est à ce stade que le Candida prend sa forme agressive, dite mycélienne, traversant les parois des muqueuses gastro intestinales jusqu’au système lymphatique.

Mais finalement, le Candida, qu’est-ce que c’est ?

Structure et activation du Candida Albicans
Peuplant les muqueuses intestinales, de la bouche aux intestins en passant par l’œsophage, à l’état de saprophyte c’est à dire sous forme de levure, le Candida Albicans peut rester inactif tant qu’il n’est pas présent en trop grande proportion.

Les différents types de Candida participant au nettoyage des déchets organiques comme d’autres bactéries utiles, leur présence n’est pas nécessairement néfaste.

Mais en trop grand nombre, ils vont polluer les parois intestinales tout en les irritant, et devenir pathogènes après s’être transformés en champignons, passant de la forme d’un microscopique flocon à celle d’un filament sécrétant au moins 35 toxines connues, dont la Candidine, dangereux neurotoxique, qu’il répandra dans le sang et le système lymphatique en traversant la muqueuse intestinale.

Il convient donc de comprendre que quelle que soit sa forme, la candidose trouve toujours son origine dans une prolifération au niveau des intestins.

Par la suite, les toxines sécrétées par les Candida peuvent entrer dans le flux circulatoire, devenant responsables d’une auto-intoxication atteignant des centres vitaux où elles pourront provoquer des troubles lourds de conséquences.

En dehors des 35 toxines que nous venons d’évoquer, bouleversant à elles seules :
→ le fonctionnement cérébral,

 → le système immunitaire,

 → le système nerveux,

 → le système énergétique…

Le Candida Albicans est aussi un grand perturbateur hormonal et endocrinien :

 → Possèdant des récepteurs membranaires fixant la progestérone, il peut provoquer des symptômes liés à un excès de folliculine.

 → Ses récepteurs antigéniques simulent et déséquilibrent la configuration des hormones sexuelles.

 → Il imite les processus auto-immuns, suscitant la formation d’auto anticorps contre les hormones et les ovaires.

 → Il dérange la synthèse des prostaglandines à partir des acides gras.

Tout cela par la faute d’une petit morceau de sucre vivant et versatile, dont l’excès de Mannane peut rompre l’équilibre à chaque instant.

Les facteurs aggravant et favorisant la prolifération du Candida
Le Candida trouve les ressources de sa prolifération dans :
→ les aliments oxydants comme le pain blanc, les sucres rapides, les viandes, les fromages gras, l’alcool, la pomme de terre, les produits laitiers, le gluten…

 → les antibiotiques, corticoïdes, pilules contraceptives, vaccins…

 → les chimiothérapies, ruinant littéralement la flore intestinale,

 → le stress oxydatif, qu’il soit d’origine physique, affective ou énergétique,

 → les pollutions électromagnétiques favorisant l’oxydation par radicaux libres en neutralisant les électrons,

 → le diabète et la gestion des sucres en général,

 → les produits chimiques et additifs issus de l’alimentation industrielle,

 → le mercure provenant des amalgames dentaires et d’aliments saturés,

 → les carences liées à un manque de nutriments et de vitamines,

 → la plupart des longues maladies chroniques,

 → les grossesses difficiles ou rapprochées,

 → les chocs psychoaffectifs sources de somatisations,

 → mais aussi, et pourrait-on dire surtout, les variations de pH dans l’organisme.

Un équilibre acido-basique auquel on devra donc être particulièrement attentif, pour limiter, voire stopper complètement la prolifération du Candida.

La candidose provenant dans la quasi totalité des cas de la consommation de produits issus de l’industrialisation, certains iront jusqu’à parler de pandémie industrielle.

Mais dans tous les cas, les statistiques ayant leurs limites, il est conseillé de recourir à une prise de sang orientée vers la détection des Candida pour être sûr de leur présence comme de leur nature.

Quelques conseils diététiques pour rétablir et maintenir l’équilibre acido-basique
Puisqu’une incompréhension relative des principes naturopathiques et phytothérapiques puisse encore être chose courante, pour traiter efficacement la candidose, il est important de bien assimiler la différence entre un médicament agissant à « masquer » le symptôme, et un protocole visant à rééquilibrer ou soigner la cause.

Dans le premier cas, un unique remède suffit sans effort particulier, dans le second il est question d’un ensemble synergique de divers remèdes, diétothérapies et méthodes.

Bien que je suggère plus bas une complémentation permettant de diminuer la prise parfois complexe de multiples huiles essentielles et nutriments, cela n’ôte rien au fait que, comme toujours, la base absolument indispensable à une guérison durable réside dans l’équilibre alimentaire.

Or, le Candida étant à la fois potentiellement un sucre, un champignon et une levure, il conviendra avant toute chose d’éliminer tous les sucres rapides et les milieux riches en sucre de votre alimentation, à savoir :
→ le sucre blanc,

 → le sucre roux,

 → le miel,

 → le sirop d’érable,

 → le fructose,

 → le glucose,

 → le lactose,

 → le maltose,

 → les jus de fruits,

 → les fruits et surtout les agrumes,

 → le melon,

 → et la tomate.

Tout comme les produits laitiers dans la mesure où il sont riches en sucre de lait et en phosphoprotéïnes.

Il conviendra, à l’inverse, de favoriser une alimentation aussi crue et vivante que possible, avec des jus et des salades.

L’équilibre acido-basique étant par définition un équilibre, il dépendra du terrain de chacun.

Néanmoins, étant donné qu’à notre époque il pèche bien plus souvent par un excès d’acidité, voici avant tout les aliments alcalinisants à favoriser, avec en tête :
→ Sarriette en poudre : – 51 ( 51 d’acidité en moins)

 → Origan en poudre : – 49

 → Curcuma en poudre : – 46

 → Sauge en poudre : – 46

 → Paprika : – 36

 → Fenouil (graines) : – 35

 → Céleri (graines) : – 34

 → Aneth (graines) : – 33

 → Cumin (graines) : – 31

 → Cœur de palmier cru : – 31

 → Clou de girofle en poudre : – 31

 → Piment de cayenne : – 31

 → Piment rouge séché : – 31

 → Safran : – 29

 → Piment en poudre : – 26

 → Poivre noir : – 25

 → Gingembre en poudre : – 24

 → Cannelle en poudre : – 23

 → Coriandre (graines) : – 23

 → Cardamome en poudre : – 22

 → Shiitake séché : – 20

 → Anis (graines) : – 18

 → Laurier (feuille) : – 17

 → Romarin frais : -16

 → Thym frais : – 15

 → Aneth frais : – 15

Selon les naturothérapeutes, il conviendra d’équilibrer ses repas à plus de 70% avec des aliments alcalins et ne pas dépasser 30% d’aliments acidifiants, voire de s’en passer totalement.

Un protocole thérapeutique de fond
Une fois les aliments puriniques et les sucres mis de coté, et l’alcanisation de l’organisme ré-enclenchée, vous pourrez ensuite consommer les remèdes naturels appropriés.

La nutrithérapie
→ L’acide caprylique, découvert au XIXème siècle par Jules Buis, extrait à partir d’huile de noix de coco ou de palmier, est largement utilisé pour enrayer la prolifération de levures saprophytes du système intestinal, tel que Candida Albicans.

 → Les vitamines B6, C, E et A seront également très bénéfiques par leur action antioxydante et leur capacité à maintenir un bon équilibre intestinal.

 → Les minéraux tels que le calcium, le zinc, le fer, le magnésium et le sélénium joueront également un rôle non négligeable dans le combat contre les infections.

 → Les huiles essentielles de la famille des citrals sont à favoriser, comme celles de lemongrass, de listée citronnée ou de verveine citronnée.

Cependant, en usage interne à raison d’une goutte de chaque maximum, soigneusement mélangées à une bonne dose d’huile végétale comme l’huile d’olive par exemple, on pourra ajouter le thym à thymol, l’origan compact et le clou de girofle.

Toutefois attention, ces huiles souveraines contre les troubles intestinaux, notamment le thym et l’origan, sont aussi parmi les plus dangereuses puisqu’elles brûlent la peau et sont particulièrement irritantes pour les muqueuses.

La difficulté étant bien évidemment de trouver l’ensemble de ces remèdes, pour vous simplifier la vie j’ai étudié le complexe nutritionnel le plus efficace et sain porté à ma connaissance.

Rendez-vous ici pour vous procurer la formule conçue par le Dr Wilem pour rééquilibrer la candidose.
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 → Les probiotiques joueront eux aussi un rôle prépondérant en matière d’équilibre de la flore intestinale.

Tous utiles, exceptés ceux étant inhibés par la forme active du Candida, le plus efficace d’entre eux restera sans conteste l’acidophilus.

Vous trouverez ici un savant mélange de probiotiques, dont l’acidophilus.
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 → Les extraits de pépin de pamplemousse et de feuille d’olivier auront additionnellement de très bons résultats dans la mesure où ce sont des antibiotiques naturels, ne permettant pas au champignon ou à la levure de muter.

Un protocole autothérapeuthique pas à pas
Si j’avais déjà donné certains de ces conseils dans un précédent article, et que le Candida n’est pas un sujet nouveau… suite aux différentes questions et remarques que je reçois quotidiennement, je constate que pour beaucoup c’est aussi une question de compréhension globale de l’approche naturopathique, de moyens, et de temps.

Indépendamment des indications générales prodiguées dans cet article, je tiens à insister sur le fait qu’à tout problème il existe une solution adaptée.

Cependant attention, si vous n’êtes pas intimement animé par le besoin de comprendre et d’appliquer la solution choisie, il est préférable de passer votre chemin et de prendre votre mal en patience, même les conseils du thérapeute le plus avisé seront alors inutiles.

Tandis qu’un traitement antibiotique ne doit jamais être arrêté en plein milieu, dans une certaine mesure, il en va de même pour les changements d’alimentation, les détox, l’activation de processus énergétiques et les réactivations du système immunitaire.

Cela étant dit, voici un protocole de trois mois pour réguler les troubles de la candidose, que le Candida soit à l’état de levure ou de champignon.

Dans ce dernier cas, il sera tout de même plus prudent de prolonger jusqu’à amélioration.

Pendant toute la durée de la cure :
1/ Détox et changements alimentaires

 → Une cure d’argile verte montmorillonite ultraventilée à raison d’un grand verre d’eau faiblement minéralisée et si possible dynamisée, pour une grosse cuillère (en bois) d’argile, ayant passé douze heures au repos dans le liquide.

 → Un arrêt progressif des sucres pouvant éventuellement être remplacés par de la vraie stevia en poudre.

 → Un arrêt progressif des antibiotiques, du tabac, de l’alcool, et de toute consommation chimique.

 → Une absence totale d’aliments puriniques et acidifiants au bénéfice d’aliments plus alcalins, favorisant fruits et légumes frais tout en évitant le gluten.

 → Une première cure de deux mois de probiotiques, éventuellement accompagnée de lavements du côlon.

2/ Soutenir la sphère hépato-biliaire à l’aide de :

 → différents légumes spécifiques : artichaut, céleri, chicorée, pissenlit, radis noir, poireau…

 → phytothérapiques : romarin, chicorée sauvage, boldo, artichaut, pissenlit,

 → gemmothérapiques : Corylus avellana bourgeons, en alternance un jour sur deux avec Alnus incana bourgeons.

A partir de la 2ème semaine, jusqu’à la fin de la cure :
Reminéralisation et complémentation

 → Une cure de deux mois d’herbe de blé ou d’herbe d’orge pour reminéraliser, apporter les vitamines nécessaires et purger l’organisme.

 → Les vitamines et nutriments présentés plus haut, ainsi que les huiles essentielles, par voie orale.

 → Une cure additionnelle de vitamine C dans la forme la plus concentrée et la plus assimilable possible, pour son apport indispensable en antioxydants.
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A la fin de la cure, on pourra faire de nouvelles prises de sang pour s’assurer de la régression de la prolifération du Candida, et prolonger avec une nouvelle cure, après deux semaines de pause, jusqu’au parfait équilibre.

Par la suite, sans une alimentation suffisamment alcaline et prudente, excluant les éléments favorisant l’invasion du Candida présentés plus haut, aucune garantie contre les rechutes n’est assurée.

Néanmoins, dans la mesure où le régime alimentaire reste sain et équilibré, toute complémentation pourra se limiter aux vitamines indispensables, avec de temps à autre une petite cure de probiotiques pour régénérer la flore intestinale.

Pour les enfants ?
Hormis l’utilisation d’huiles essentielles et de lavements, qui leur sont strictement interdits avant sept ans, la plupart de ces conseils sont également vrais pour les enfants.

Toutefois il sera préférable d’ajuster une éventuelle complémentation en vitamines et minéraux proportionnellement à leur poids, c’est à dire de diviser les dosages par deux ou par trois.

Pour les enfants n’étant pas en âge de marcher, limiter toute complémentation à des micro doses d’EPP.

En matière de santé infantile, l’EPP (extrait de pépin de pamplemousse) remporte sans conteste toutes les palmes.

Ce puissant antibiotique naturel est sans effet secondaire et sans danger, mis à part peut-être pour les terrains allergiques au pamplemousse.

Votre budget est limité et vos troubles sont bénins ?
Si votre budget est limité, contentez-vous d’appliquer les conseils diététiques en tout premier ordre en y apportant une rigueur toute particulière, et ajoutez-y éventuellement une semaine de jeûne si vous le pouvez.

Et si vous ne devez opter que pour un ou deux des remèdes préconisés, orientez-vous vers le complexe Candi-régul et les probiotiques.
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L’EPP est également un bon investissement dans la mesure où il servira aussi à de nombreuses occasions pour toute la famille.

En l’absence d’une complémetation en vitamine C, buvez autant que possible des jus de légumes frais en contenant significativement.

Jean-Baptiste Loin

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MessageSujet: Re: FOIE, pancréas, allergies   FOIE, pancréas, allergies - Page 3 EmptyJeu 8 Fév 2018 - 19:19

source http://www.reponsesbio.com/2018/01/21/soutenir-foie-detox-permanente/
Soutenir le foie pour une détox permanente
21 janvier 2018


Bien que le foie permette à l’organisme de se débarrasser spontanément  des pollutions organiques, à notre époque il est souvent saturé de « xénobiotiques », des pollutions extérieures comme les métaux lourds, médicaments de synthèse, nanoparticules, phtalates, bisphénol A, C.O.V., additifs alimentaires, solvants, détergents, pesticides… l’empêchant de jouer pleinement son rôle.

Or une telle surcharge hépatique provoque inévitablement une avalanche de symptômes indiquant sa saturation, avant que les organes vitaux ne soient touchés.

En prévention comme en traitement, il peut être utile d’envisager une cure appropriée, permettant de désengorger rapidement le foie, mais aussi les reins et la vésicule biliaire.


Sommaire
Introduction
Le desmodium adscendens soutient le système hépatique
Le chrysantellum americanum régénère le foie et protège la circulation
Le chardon-Marie et sa précieuse silymarine
L’huile essentielle de carotte pour optimiser la circulation et drainer les reins
La diététique de la cure hépatique
Le remède 4 en 1


Personne ne peut nier l’importance fondamentale de la cure détox.

Cependant il est vrai que d’acquérir n’importe quelle formule sans savoir sur quoi elle agit et sans respecter l’équilibre alimentaire qui en découle, n’a que très peu d’intérêt.

Pire, si le remède est efficace et mal employé il pourrait provoquer une crise détox, qui, mal gérée, ferait plus de mal que de bien.

Même un simple régime minceur, brûlant des graisses ayant stocké ces déchets pendant des années, peut entraîner un important dégorgement de substances toxiques en direction du foie.

Par ailleurs au-delà des nombreux désordres organiques que cela implique, un foie mal entretenu génère :

 → mauvaise haleine,

 → colères intempestives,

 → problèmes de peau,

 → fatigue,

 → insomnies…

Il convient donc à la fois de comprendre les mécanismes de la cure détox et de savoir qu’aujourd’hui même en prenant grand soin de son alimentation et de son hygiène de vie, il est impossible d’être totalement à l’abri des pollutions xénobiotiques, ces molécules de synthèse saturant le foie jusqu’à ce qu’il ne puisse plus assurer sa fonction protectrice.

Pour l’aider à reprendre son travail en profondeur, si la traditionnelle cure de jus de citron s’avère trop légère, certaines plantes aux puissantes vertus détoxifiantes pourront agir simultanément sur le foie, les reins et la vésicule.

4 plantes pour une detox hépatique complète
Bien connu pour l’efficacité de ses remèdes d’urgence, le Docteur Willem a pensé une formule détox hépatique fort intéressante basée sur 4 plantes, agissant tant sur le foie que les organes liés à son bon fonctionnement.

La particularité de cette approche permettra, à petite dose, d’organiser une détox restaurant les fonctions essentielles du foie, et, à plus forte dose, d’agir sur des maladies témoignant d’une longue intoxication hépatique comme :
→ la cirrhose,

 → l’insuffisance hépato-rénale,

 → l’ethylisme,

 → la stéatose,

 → et l’hépatite.

Hormis ces grandes indications, ce sera aussi l’occasion de nettoyer ce précieux organe des agressions dues aux médicaments de synthèse et chimiothérapies.

1/ Le desmodium adscendens soutient le système hépatique
Re-découvert par le Docteur Pierre Tubéry et son épouse le Docteur Anne-Marie Tubéry, le desmodium est une plante africaine d’une puissance phénoménale contre les pathologies du foie.

Favorisant les fonctions de drainage hépatique et permettant de faire face aux diverses agressions et inflammations du foie, cette merveilleuse herbe vivace permet notamment, au bout de quelques jours seulement, une élimination complète de l’éthanol présent dans la glande.

Mais d’une manière plus générale, par voie interne le desmodium est :
→ bronchodilatateur, relaxant les tissus pulmonaires et les muscles bronchiques,

 → antiasthmatique, luttant contre les crises d’asthme bronchique,

 → antiallergique, contribuant à soigner les allergies digestives soudaines et les œdèmes de Quincke,

 → hépatoprotecteur, augmentant la résistance aux inflammations d’origine toxique ou infectieuse,

 → décontractant musculaire, contre les courbatures, crampes et spasmes.

Mais pour en renforcer les effets, il est conseillé de l’associer au chrysantellum americanum ainsi qu’au chardon-Marie.

2/ Le chrysantellum americanum régénère le foie et protège la circulation
Originaire des hauts plateaux d’Amérique du sud, la « camomille d’or » ou « herbe aux fleurs d’or », n’a rien à voir avec notre camomille commune.

Sa forte teneur en bioflavonoïdes lui conférant des propriétés anti-lithiasiques et anti-inflammatoires, le chrysantellum protège et régénère les cellules hépatiques tout en favorisant la micro-circulation.

C’est pourquoi on le conseille généralement en cas :
→ d’alcoolisme ou intoxication éthylique,

 → d’insuffisance biliaire,

 → de troubles digestifs,

 → de cirrhose,

 → de fragilité capillaire,

 → d’hyperlipidémies,

 → de lithiases,

 → ou de troubles vasculaires.

Par ailleurs son activité hypoglycémiante en fait un puissant remède polyvalent pouvant servir aux diabétiques.

Et c’est toujours en optimisant les effets des deux premiers que vont pouvoir s’intégrer les vertus du chardon-Marie.

3/ Le chardon-Marie et sa précieuse silymarine
Selon certaines recherches menées aux Etats-Unis à la fin des années 90, la silymarine, substance active du chardon-Marie, irait jusqu’à ralentir la croissance des cellules cancéreuses humaines.

Qui plus est, on sait que la silymarine est particulièrement efficace contre les :
→ troubles du diabète,

 → conséquences de l’alcoolisme,

 → hépatites virales, aigües et chroniques,

 → cirrhoses,

 → hépatites,

 → jaunisses,

 → et les maladies inflammatoires.

Mais ce n’est pas tout puisque ses propriétés anti-radicalaires protègent également des lésions pouvant toucher le foie, provoquées par certains xénobiotiques.

De plus, en agissant directement sur les hépatocytes, la silymarine stimulera l’élimination et favorisera la régénération du tissu hépatique.

A présent que les mécanismes hépatiques, tout comme la mircrociruclation et les fonctions biliaires sont assurés avec l’appui de ces trois premières plantes, la formule du laboratoire Phyt-Inov propose de compléter ces grands classiques avec… de l’huile essentielle de carotte.

4/ L’huile essentielle de carotte pour optimiser la circulation et drainer les reins
Selon la médecine chinoise le foie est le carrefour des émotions, avec en premier lieu la gestion de la colère et de la bile, ce n’est donc pas étonnant que l’on prétende que manger des carottes rende aimable.

Toutefois il faudra plus que quelques carottes pour espérer atteindre la puissance thérapeutique d’une huile essentielle.

Afin de vous en faire une idée, imaginez qu’il faut en moyenne 10kg de graines de carottes pour en extraire un peu plus de 10cl d’huile essentielle.

Par voie interne cette huile s’avèrera utile contre :
→ les affections hépatiques,

 → les troubles rénaux,

 → l’anémie,

 → l’hypercholestérolémie,

 → ou les troubles du transit.

Et, de par son implication sur la sphère rénale, l’HE de carotte sera aussi tout indiquée en prévention comme en traitement des infections urinaires.

Pour réunir facilement tous ces remèdes en un, une synergie associant les extraits secs de plantes à l’HE de carotte, dans des gélules végétales certifiées sans nanoparticules ni OGM est disponible sur cette page.

On pourra suivre la cure à raison de 1 à 3 gélules par jour, au moins 15 minutes avant les repas, étalée entre trois semaines et un mois, ou plus en fonction des améliorations.

Pensez toutefois à faire une pause d’au moins une semaine lorsque les facultés hépatiques seront améliorées, pour éviter de trop fatiguer la glande.

Toutefois il serait dommage d’en profiter sans entreprendre une saine diététique hépatique, que l’on pourra renouveler à souhait.

La diététique de la cure hépatique
Avant, pendant et après l’usage des plantes que nous venons de voir, une alimentation garante du bon déroulement du processus permettra de maîtriser la ou les crise(s) détox tout en expulsant correctement les toxines et divers polluants présents dans l’organisme.

Pour ce faire il conviendra en premier lieu d’arrêter, ne serait-ce que momentanément, l’absorption :
→ d’alcool,

 → de chocolat,

 → de graisses animales,

 → de lait et produits laitiers,

 → et, si possible, de médicaments de synthèse.

Dans le même temps on drainera l’organisme à l’aide d’une mini cure de fruits et de psyllium pouvant aller d’un à deux jours, en prenant soin d’éviter le pamplemousse et les oranges.

De cette manière c’est sur un terrain sain que va pouvoir commencer la cure de détox hépatique, gagnant en profondeur et en efficacité.

Tout au long de la cure et un certain temps après, on favorisera les :
→ légumes crus en salade,

 → fruits frais,

 → céréales complètes et fibreuses,

 → desserts sans sucre ou aromatisés à la stevia,

 → et jus verts frais à l’extracteur…

En insistant tout particulièrement sur :
→ le radis noir,

 → le pissenlit,

 → l’artichaut,

 → le psyllium,

 → les aliments probiotiques,

 → et la spiruline.

On complètera le tout en buvant beaucoup d’eau, la plus pure et la moins minéralisée possible afin de favoriser le drainage rénal, ainsi que des infusions de :
→ boldo,

 → radis noir,

 → pissenlit,

 → et artichaut.

Jean-Baptiste Loin

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