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| Choisir ses vêtements, les matières qui les composent, les entretenir + Made in France | |
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Libellule Admin
Messages : 12743 Date d'inscription : 27/01/2008
| Sujet: Re: Choisir ses vêtements, les matières qui les composent, les entretenir + Made in France Mer 6 Nov 2019 - 13:58 | |
| Je viens d'acheter une robe en jean en Lyocell, comme il n'y a pas d'autres renseignements sur l'étiquette, j'ai voulu en savoir plus sur cette matière. source https://lyocell.fr/Le lyocell, un tissu écologique très intéressant ! Le Lyocell est une fibre artificielle également connue sous le nom de tencel. Très utilisé parce qu'il est respectueux de l'environnement, résistant et respirant, il est fabriqué à partir de cellulose et a une consistance similaire au miel, avant d'être transformé. D'où vient le lyocell? Le lyocell est obtenu à partir de l'eucalyptus ou d'arbres feuillus et utilisé par l'industrie textile de l'habillement et du meuble, puis utilisé pour produire des vêtements, des tissus techniques ou des meubles. La production industrielle utilise également le lyocell pour d'autres produits, comme un type particulier de papier, des produits d'hygiène personnelle, des systèmes de filtration, des vêtements de travail ou du cuir synthétique. La première production de lyocell est britannique et remonte à 1998, mais n' a été commercialisée qu'au début des années 2000, puis produite à grande échelle par l'entreprise autrichienne LENZING. Comment le lyocell est-il fabriqué? Lyocell est une fibre synthétique artificielle produite avec de la cellulose, donc biodégradable, à partir de bois d'eucalyptus, principalement sud-africain mais aussi à base du bois des forêts européennes, dont celle d'Autriche où est basé LENZING. En utilisant seulement un demi-acre de forêt d'eucalyptus, il est possible de produire une tonne de fibres lyocell, soit un cinquième du rapport sol/production de coton par exemple, ce qui en fait un tissu très rentable du point de vue de l'occupation de l'espace. Il faut aussi se rappeler que l'eucalyptus est une plante qui ne nécessite pas beaucoup d'eau, donc l'irrigation n'est pas nécessaire. Les forêts européennes sont aussi évidemment autosuffisantes du point de vue de l'eau, un autre grand avantage sur le coton ! Ces éléments, associés aux procédés de transformation, ont conduit à la reconnaissance par lyocell du prestigieux label écologique européen Caractéristiques du tissu En ce qui concerne les caractéristiques de Lyocell, nous observons une excellente résistance, une bonne respirabilité du tissu et une grande capacité d'absorption d'humidité. Le Lyocell est également hypoallergénique parce qu'il peut filtrer les bactéries et les polluants. La fibre produite est lisse et élastique, contrairement au coton. En ce qui concerne la résistance, on remarque que les tissus lyocell résistent parfaitement au lavage jusqu' à 40°, alors que quand la température augmente, par exemple jusqu' à 60°, on obtient un rétrécissement du tissu d'environ 5%. Découvrez aussi les caractéristiques de la viscose http://www.viscose.fr/Les indications pour le traitement des vêtements ne diffèrent pas de celles recommandées pour le coton. Il n' a pas besoin de repassage, mais on peut toujours utiliser un fer à repasser basse température sans vapeur, ce qui peut tacher le tissu. Enfin, gardons-le dans un environnement frais et aéré, nous éviterons les sacs en plastique ou contenants de ce type, qui peuvent endommager le tissu par la formation de mites ou de moisissures. Les avis sur le lyocell sont en partie contradictoires en ce qui concerne le processus de fabrication: s'il s'agit d'un produit vert à faible impact environnemental, il nécessite une consommation d'énergie considérable pendant la phase de production. Il convient toutefois de souligner qu'à ce stade, aucune substance chimique n'est utilisée, à l'exception d'un solvant non toxique, de sorte que la pollution résultant du procédé (par exemple les eaux usées) a un impact négligeable. |
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| Sujet: Re: Choisir ses vêtements, les matières qui les composent, les entretenir + Made in France Mer 6 Nov 2019 - 14:58 | |
| source https://lyocell.info/fr/Le lyocell, une fibre écologiquement durable La recherche continue de tissus meilleurs, durables et respectueux de l’environnement a conduit à des inventions intéressantes. L’une de ces créations est le tissu Lyocell communément appelé Tencel. 1. HistoirePetite histoire Le Lyocell est un matériau naturel, fabriqué par l’homme à partir de cellulose de bois ou de pulpe. Il est produit en utilisant un procédé avancé de filage au solvant. Il a été développé pour la première fois en 1972 dans l’usine de fibres Enka, aujourd’hui disparue, aux États-Unis. Puis il a été développé et commercialisé aux États-Unis sous le nom de Tencel, nom donné par l’entreprise Courtaulds. Par la suite, la division Tencel est vendue à la société autrichienne Lenzing AG, un géant du textile et un important producteur de lyocell dans le monde. La polyvalence du tissu lyocell commence à rendre ce tissu incontournable. Il est utilisé comme matière première pour des draps de lit, des jeans, des chemises, des T-shirts, des pantalons et même des serviettes. 2. La Base: la celluloseIl y a quelques divergences quant à la catégorie à laquelle appartient le lyocell. Pour comprendre cela, voyons les choses de cette façon ; quand on n’est pas familier avec les différents types de tissus ou q’uon n’est pas un expert dans le domaine, on a tendance à supposer qu’il existe deux catégories principales de fibres : les fibres naturelles comme le lin, la laine, le chanvre, le coton, la ramie et la soie ; et les fibres artificielles fabriquées à partir de produits pétrochimiques comme le polyester et le nylon. Lyocell se situe quelque part entre les deux. La principale matière première du lyocell est la cellulose de la pâte de bois (obtenue à partir d’arbres comme l’eucalyptus, le chêne et le bouleau) qui est décomposée chimiquement en une boue boueuse qui est ensuite transformée en fibres pour être tissées. Ainsi, le Lyocell peut être considéré comme une fibre récupérée ou régénérée. 3. Les caractéristiques du lyocell / tencelLe tissu lyocell ou tencel est polyvalent; il est comme nous l’avons déjà mentionné utilisé pour créer des articles tels que de la literie, des chemises, des t-shirts et des pantalons Maintenant, pourquoi est-il préférable d’utiliser des produits fabriqués avec cette fibre et non d’autres plus courants, comme ceux en coton ou en lin ? Lisez ce qui suit et découvrez les caractéristiques intéressantes qui font du Lyocell le candidat idéal pour la production de vêtements, de draps et plus encore. La Texture du tissu : Elastique Le matériau Lyocell a une surface très lisse et une belle apparence. Quant à la sensation qu’il procure, il est doux, respirant, léger et confortable. Comme si cela ne suffisait pas, le Lyocell est fait pour durer longtemps. Son élasticité et sa résistance le rendent parfait pour l’acquisition d’articles destinés à durer, c’est pourquoi cette fibre est largement utilisée pour produire des vêtements de sport. Bien qu’il soit un peu plus cher que le coton ou le lin, sa qualité vaut l’investissement. Il absorbe l’humidité Ce tissu a une meilleure absorption de l’humidité que le coton (en ce compris la transpiration naturelle). Ceci fait de la fibre du Lyocell un choix parfait pour les personnes ayant des problèmes de transpiration ou pour les personnes dont la peau sensible est aggravée par l’humidité. Il en va de même pour ceux qui vivent dans des climats pluvieux. Avec les produits fabriqués par Lyocell, le besoin de renouveler le placard de temps en temps en raison du climat, de l’environnement et de la transpiration n’est plus d’actualité. Flexible Le tissu Lyocell possède une fibrillation contrôlable (les fibrilles ou poils très fins que l’on trouve sur la surface externe des brins de fibres), ce qui signifie qu’il peut être disponible dans une variété de formes, allant d’un fini doux et soyeux à une douceur semblable à celle du daim. Les producteurs et les fabricants aiment travailler avec cette fibre tencel car elle leur permet de nombreuses options de moulage pour réaliser différentes pièces sans sacrifier la qualité de l’article final. Parfait pour les peaux sensibles Les capacités d’absorption des matériaux Lyocell gardent la peau sèche et la surface lisse des fibres est douce et souple au toucher. Les tissus Lyocell sont donc excellents pour les peaux sensibles. Respectueux de l’environnement Le Lyocell est un produit biodégradable. Sa fabrication ne produit pas de sous-produits nocifs pour la santé ou la planète, tandis que la cellulose, son principal ingrédient, est obtenue à partir de forêts bien gérées. De plus, la culture des arbres nécessaires à la production du Lyocell ne nécessite ni irrigation ni pesticides (au contraire du coton, gourmand en eau, en pesticides et en main d’oeuvre). D’autre part, cette fibre est nettement moins toxique que les autres types. 4. Avantages et inconvénients du lyocellAvantages du tissu lyocellDurabilité Les fibres de lyocell sont lisses, élastiques et très résistantes aux plis. Anti-bactérien Le lyocell est dit antibactérien en raison de son excellent gestion de l’humidité. Texture du tissu Le tissu Lyocell a une surface très lisse et douce qui drape magnifiquement. Il est doux, respirant, léger et confortable. Absorbant l'humidité Ce tissu a une meilleure absorption de l’humidité que le coton et une respirabilité naturelle. Cela fait du tissu Lyocell un choix parfait pour les personnes ayant des problèmes de transpiration, ou pour les personnes dont la peau sensible est attaquée par l’humidité. Pour les peaux sensibles Le Lyocell garde la peau sèche et la surface lisse des fibres est douce et souple contre la peau. Les tissus de lyocell sont donc parfaits pour les peaux sensibles. Flexible Le tissu de lyocell a une fibrillation contrôlable ce qui signifie qu’il peut avoir différentes formes et textures, d’un fini lisse et soyeux à une douceur semblable à celle de la peau de chamois. Désavantages du tissu lyocellPrix Du point de vue du consommateur, le tissu lyocell est plus cher. Cela est dû à la technologie utilisée dans le traitement. Il coûte simplement plus cher à produire, et le coût est transféré aux acheteurs. L'énergie de surface relativement faible L’énergie de surface relativement faible de la fibre Lyocell rend difficile la fixation des colorants à celle-ci pendant la production. (C’est un désavantage pour la production qui n’affecte en rien les consommateurs). 5. Le tissu lyocell est-il biodégradable ?Le lyocell est une fibre écologique et naturellement biodégradable. La production de lyocell ne produit aucun sous-produit nocif L’ingrédient principal, la cellulose, est facilement obtenu à partir de fermes d’arbres gérées. Le solvant d’oxyde d’amine n’est pas toxique. La culture des arbres pour produire des matériaux à base de lyocell ne nécessite pas d’irrigation ou de pesticides. L’oxyde d’amine est recyclable. C’est-à-dire qu’après l’avoir utilisé pour décomposer le filage et la prise de la cellulose, l’oxyde d’amine peut être réutilisé dans le processus de fabrication. Par rapport à la fabrication d’autres fibres cellulosiques, la production de lyocell est nettement moins toxique et gaspilleuse. Le processus de fabrication du lyocell est court. Il faut environ deux heures et demie entre la coupe du bois et le filage. Ainsi, par rapport à la production d’autres fibres synthétiques, elle utilise moins d’eau et d’énergie. Les propriétés du lyocell en font donc une star dans le domaine de la mode et de l’industrie textile. Cela dit, nous ne pouvons pas parler du lyocell et ne pas le comparer au coton. Dans la plupart des cas, le coton est encore considéré comme l’étalon-or en matière de tissus, principalement en raison de son prix. Le tissu de coton est beaucoup moins cher à l’achat que le tissu de lyocell. 6. Principales différences entre le Lyocell et le coton1. Confort Le Lyocell a tendance à être plus doux que le coton. Cette douceur est due à une surface très lisse. Non seulement cela procure une sensation de bien-être, mais cela le rend également non irritant, même pour les peaux sensibles. Il compense l’un des inconvénients courants des draps en coton: leur tendance à gratter. 2. Hygiène Le Lyocell (Tencel) est composé de très petites fibres hydrophiles, littéralement « amoureux de l’eau ». Cela signifie qu’il absorbe l’humidité de la peau. Cependant, le coton est aussi très respirant et généralement non irritant pour la peau, et hypoallergénique. Si vous n’avez pas de problèmes majeurs avec les draps en coton, il n’est peut-être pas nécessaire de changer les choses. 3. Fraîcheur La qualité hydrophile du Lyocell le rend plus efficace pour garder le corps au frais pendant le sommeil, et ceci dans une grande variété de climats. Il est extrêmement respirant, car toute la nuit, la sueur est absorbée par le corps. La fraîcheur du tissu peut être un facteur décisif pour les personnes dont la température corporelle est élevée et qui ont des difficultés à dormir à cause de la achaleur. Le coton est aussi un drap confortable en termes de chaleur, grâce à sa respirabilité, bien qu’il ne soit pas aussi absorbant que le Lyocell. 4. Impact sur l’environnement Le tencel (Lyocell) est généralement obtenu à partir d’eucalyptus. La fabrication de tissus à partir de pâte de bois est plus efficace que celle des plants de coton. La croissance et la culture de ces eucalyptus requiert moins de pesticides ou d’irrigation, un bon point pour l’environnement. 5. Durabilité Le Lyocell se froisse moins que le coton et assez facile à entretenir. Il se lave facilement, les vêtements en Lyocell sont moins susceptibles de rétrécir ou de se déformer au lavage. De plus, il est très résistant et n’a pas tendance à perdre du poids avec le temps. 6. Le prix Comparé au coton, le Lyocell est plus cher. La production de feuilles de Tencel est généralement un processus qui nécessite plus d’investissement que pour la plupart des tissus de coton. Cependant, les feuilles de Lyocell sont généralement plus durables, avec moins de temps pour le lavage et le repassage, ce qui rend la différence de coût assez difficile à quantifier. 7. Esthétique Le pouvoir absorbant élevé des fibres de Tencel (Lyocell) rend le tissu plus doux, plus frais et plus hygiénique. Le coton a l’air plus rugueux et plus mat que le Tencel. Il absorbe aussi très bien la couleur et n’est pas excessivement sujet aux froissements et plis. 7. Où acheter des tissus en lyocell ?Vous pourrez trouver des vêtements ou draps en lyocell/tencel dans un grand nombre de magasins et magasins en ligne. Nous allons en mentionner quelques-uns ici, mais la liste n’est pas du tout exhaustive. La société Eucalypso, pionnière dans la production de tissus Lyocell d’excellente qualité, dispose d’une boutique en ligne avec d’excellents délais de livraison, et des produits très bon rapport qualité/prix. D’autre part, l’organisation Made Trade offre la livraison gratuite partout aux États-Unis (pas en Europe malheureusement), pour l’achat de tout produit fabriqué en Lyocell, dans son catalogue il existe une grande variété de produits constitués de cette fibre. Sur les grandes marques qui fabriquent les produits Lyocell, des draps aux pantalons et chemises, vous pouvez visiter les magasins d’entreprises renommées telles que H&M, Levi’s, Victoria’s Secret, PBteen, Ted Baker et Hanes. Dans leurs catalogues, vous trouverez les produits Lyocell. En 2019, le marché a vu une grande variété de nouveautés dans les produits Lyocell. Chacune des options que nous avons partagées avec vous dans cette section représente la meilleure qualité et le meilleur rapport qualité-prix des produits des principales entreprises de l’industrie. Quelle que soit l’option que vous choisirez, vous obtiendrez un produit qui répondra à vos exigences en termes de confort, de qualité et de durabilité. Nous vous invitons à donner une chance aux articles en fibre Lyocell. Une fois que vous aurez acheté un produit fabriqué à partir de cette fibre, vous ne voudrez plus jamais un autre tissu ! 8. Comment laver le lyocell?Que vous achetiez du tissu lyocell/Tencel pour coudre vos propres vêtements ou que vous achetiez des vêtements en Tencel, apprendre à les garder propres peut vous aider à conserver leur texture fine. Les vêtements comme le linge de lit, les hauts, les pantalons, les écharpes, qui sont composés à 100% de tissus lyocell doivent être lavés à la main dans un récipient d’eau chaude ou froide et avec un détergent doux. Le lavage des mains est plus doux et suffit à prévenir les dommages. N’oubliez pas de ne jamais tordre ou presser le tissu mouillé et de le sécher à l’air libre à l’aide d’un cintre. De plus, les raideurs indésirables peuvent être éliminées en mettant le vêtement avec une serviette dans une sécheuse à basse température pour améliorer la douceur du vêtement. Certains fabricants de vêtements combinent le tissu lyocell avec d’autres matériaux comme le coton ou le nylon pour réduire les coûts. Le lavage de ce type de vêtement est délicat. Assurez-vous donc de lire d’abord l’étiquette du vêtement. S’il est écrit que vous devez nettoyer à sec, nettoyez-le à sec. Cependant, pour les tissus traités au lyocell, vous pouvez utiliser une machine à laver et un sèche-linge. Assurez-vous juste qu’il est sur la position basse ou moyenne. Note : les vêtements 100% lyocell n’utilisent pas de machine à laver ou de sèche-linge. Les fibres de lyocell entièrement humides perdent presque la moitié de leur résistance à la traction et peuvent se déchirer. Il est conseillé d’utiliser de l’eau de Javel à base d’oxygène pour blanchir et enlever les taches sur les tissus en lyocell, bien que certains peuvent prendre de l’eau de Javel au chlore diluée. Voir d’abord l’étiquette du vêtement. 9. Comment repasser le lyocell?Utiliser la température de fer la plus basse qui produira de la vapeur (réglage moyen maxi) Fer toujours sur l’envers du tissu. Utiliser un chiffon de pressage entre le tissu lyocell et le fer à repasser. 10. Comment produit-on le Lyocell?Fabriquer la pulpe. Les arbres tels que l’eucalyptus, le chêne et le bouleau sont récoltés dans des fermes d’arbres ou des forêts et envoyés à l’usine pour être écorcés et coupés en plusieurs morceaux. Ces morceaux de bois sont ensuite mis dans des digesteurs chimiques pour les ramollir et en faire une pâte humide. Plus tard, la pulpe est lavée à l’eau et, dans certains cas, blanchie. Il est séché puis enroulé sur des bobines. Dissoudre la cellulose . L’étape suivante consiste à dissoudre la cellulose en la brisant en petits morceaux et en la chargeant dans des récipients chauffés et pressurisés remplis d’oxyde d’amine. Filtrage. A ce stade, dès que la cellulose dans le solvant se dissout dans une solution claire, elle est projetée à travers un filtre, pour s’assurer que toute la cellulose écaillée a été dissoute. Spinning. A ce stade, la solution est pompée à travers des filières. La filière ressemble à une pomme de douche, de sorte que lorsque la cellulose est forcée à travers elle, de longs brins de fibres sortent. Cela permet de fixer les brins de fibres et de les laver ensuite avec de l’eau déminéralisée. Sécher et lubrifier à ce stade, l’eau contenue dans la fibre de lyocell est éliminée par chauffage. À ce point, les brins de fibres passent à travers une zone de finition, où un lubrifiant comme du savon, du silicone ou un autre agent est appliqué. Cela aide à démêler les brins de fibres et facilite le processus de cardage et de filage en fils. Carding. À ce niveau, le câble (c’est-à-dire les torons de fibres séchées et finies sont appelés câble qui est essentiellement un gros faisceau de filaments non torsadés) est comprimé par une machine de sertissage pour lui donner texture et volume. Ensuite, une machine cardera (peigne) la fibre. C’est-à-dire qu’il sépare les brins de fibres. Enfin, les fils de fibres cardés sont enroulés et envoyés ou expédiés à une usine de tissus. Les principales étapes de la production sont donc résumées comme suit : Utilisation d’oxyde d’amine pour créer une solution de solvant à partir de cellulose Filage de la fibre de lyocell à partir de la solution de solvant d’oxyde d’amine Lavage de la fibre de lyocell pour éliminer les solvants Teindre la fibre et produire des fils Finition pour produire du tissu de lyocell
Dernière édition par Libellule le Mer 6 Nov 2019 - 15:10, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: Choisir ses vêtements, les matières qui les composent, les entretenir + Made in France Mer 6 Nov 2019 - 14:59 | |
| source https://www.street-one.fr/blog/Lyocell3 raisons de craquer pour le lyocell J'aime bien porter des fibres naturelles. J'avais déjà entendu parler de la viscose, mais le lyocell... J'ai découvert cette matière il y a quelques années en achetant un pantalon. J'avais été séduite par son toucher doux et son aspect fluide sans connaître les avantages du lyocell. Et je suis aujourd'hui d'autant plus impressionnée par cette matière estivale pour les raisons suivantes : Le lyocell est absorbant et a un effet rafraîchissant Cette superbe fibre garantit un transport optimal de l'humidité et régule ainsi la température corporelle. En été, elle est agréablement rafraîchissante, encore plus que du lin. Le lyocell est particulièrement agréable à porter La surface lisse est agréablement douce et empêche les irritations de la peau. C'est en outre ce qui lui confère son aspect fluide. Le lyocell est fabriqué de manière écologique L'impact résultant de la production des fibres de lyocell est considérablement plus faible que pour les fibres synthétiques. La matière première, le bois, peut provenir de forêts exploitées de manière durable. Cette matière arbore un plus un superbe look et peut se porter de manière chic ou décontractée. Vous trouverez sur le site de vente les articles suivants: Vêtements & Accessoires Accessoires T-shirts & débardeurs Blouses & tuniques Pantalons Jeans Robes & jupes Vestes, etc. Vestes de tailleur Pulls & vestes en maille Pulls Vestes en maille Sweats & vestes en molleton Poncho´s & capes source https://www.modetic.com/blog/lyocell/CHARTE Chez Modetic, nous croyons qu'il est possible de s'habiller dans le respect des matières, ainsi que des hommes et des femmes qui les travaillent. C'est pourquoi nous vous proposons une collection de prêt-à-porter mixte, pointue et accessible. Nos vêtements, chaussures et accessoires sont fabriqués en France, en Europe ou issus du commerce équitable. Depuis 2007, c'est toute l'équipe Modetic qui s'engage, avec ses partenaires et avec vous, consomm'acteurs, pour dessiner une mode plus juste. Les matières sélectionnées sont éco-responsables et non toxiques : coton biologique et autres fibres naturelles comme le lin, le chanvre ou les fibres de bois, parfois à base de matériaux recyclés ou encore du détournement raisonné de nos déchets. Le tannage de nos cuirs est majoritairement végétal ou semi-végétal. Nos partenaires garantissent la durabilité de leurs modèles et la traçabilité de leurs filières de production. Nos boutiques sont éco-conçues par des artisans locaux et alimentées en énergie propre. CRITÈRES Parce que la mode responsable englobe différents standards, et parce que tout est perfectible, voici nos critères de sélection. Choisissez vos critères pour trouver les articles correspondant : Coton biologique Fibres écologiques Fibres recyclées Vegan Eco-conçu Fabriqué en France Fabriqué en Europe Commerce Équitable LE LYOCELL, UNE MATIÈRE INNOVANTE À LA FIBRE VERTE Parmi les matières stars des vêtements écologiques, il y a bien sûr le coton bio, le lin, le chanvre… mais connaissez-vous le lyocell ? Un mot original pour une fibre durable aux nombreuses qualités ! L’ALCHIMIE DU LYOCELL Peut-être avez-vous déjà rencontré le lyocell sous un autre nom, car il est commercialisé sous diverses marques déposées telles que le Tencel . Dans « lyocell », on peut entendre « cell », contraction de « cellulose ». Pour le « lyo », mieux vaut pratiquer le grec ancien ! Pour l’antisèche, comprenez « dissoudre ». Une dissolution de cellulose… Eh oui, le vêtement écologique peut aussi nous amener à faire des détours par la chimie ! Le lyocell est une fibre fabriquée à partir de cellulose de bois. Cette cellulose peut provenir d’eucalyptus, de hêtres, de bambous… Elle est broyée puis dissoute avec un solvant non toxique, le NMMO, qui est recyclé dans sa quasi-totalité. Cette confection en circuit fermé couplée à une faible consommation en eau rend le lyocell particulièrement écologique. UN TEXTILE DURABLE Si le lyocell est une fibre artificielle (contrairement au coton, par exemple), il est fait à base d’un produit naturel, donc renouvelable et biodégradable (à l’inverse du nylon ou du polyester, qui sont des fibres synthétiques issues du pétrole). L’achat d’habits en fibres biodégradables apparaît d’autant plus urgent quand on sait qu’en passant dans nos lave-linges, nos vêtements synthétiques polluent l’eau de microparticules de plastique qu’il est impossible de filtrer ! Ces toutes petites particules représentent au final une pollution énorme : 500 000 tonnes de plastique déversées chaque année dans nos océans… Avec des matières comme le lyocell, fini les dégâts ! L’autre atout écologique du lyocell est de nécessiter beaucoup moins de surface que le coton pour être produit. Des arbres tels que les eucalyptus vont représenter une masse végétale beaucoup plus importante que les cotonniers. Sur 2 000 m2 de forêt, ils vont permettre de fabriquer 1 tonne de lyocell là où ne seraient produits qu’environ 200 kg de coton. Le lyocell étant à base de bois, encore faut-il que les forêts qui servent à sa production soient gérées durablement. Les marques éthiques sélectionnées par Modetic ont recours à du lyocell issu de forêts détenant le label PEFC ou FSC. Ces certifications garantissent une exploitation forestière respectueuse de l’environnement. LES POINTS FORTS D’UN VÊTEMENT EN LYOCELL Le lyocell est une matière aux caractéristiques techniques particulièrement intéressantes. Il est à la fois résistant, respirant et absorbe bien l’humidité. Les vêtements en lyocell ont aussi l’avantage d’être infroissables et très doux, à mi-chemin entre la soie et le coton. Un pantalon ou un top en lyocell se remarque par son aspect soyeux et fluide. Au porté, il séduit immanquablement par son confort. Faciles à entretenir, les vêtements en lyocell ne peluchent pas et leurs couleurs ont une bonne tenue dans le temps. Chez Modetic, vous pouvez trouver des habits en lyocell pour femme chez les marques Armedangels, Komodo, ou encore Bleed. Le lyocell s’invite aussi bien sûr chez les hommes. On adore le look chic qu’il apporte tout en douceur ! source https://goudronblanc.com/blog/t-shirt-tencel-lyocell/3542/Le T-shirt en Tencel (lyocell) : En quoi c’est bien ? MISE À JOUR : 19 JUILLET 2019 / GUERRIC / AUCUN COMMENTAIRE Le Tencel (ou lyocell) est le nouveau tissu écologique à la mode. Il est de plus en plus utilisé pour fabriquer des T-shirts. Qu’est-ce que le lyocell (ou Tencel) Le lyocell est une fibre naturelle. Elle est produite à partir de pulpe de bois et le fil obtenu est ensuite utilisé comme tissu. Certains sont plus familiers avec le nom « Tencel », qui est une marque de lyocell. C’est comme « Kleenex » est une marque de mouchoir. els sont donc les avantages d’un T-shirt en lyocell (ou Tencel) ? Les propriétés d’un T-shirt en lyocell Le lyocell est une matière présente de nombreux avantages. Elle est très appropriée pour des T-shirts. 1. Une matière résistante Le lyocell est un tissu résistant. C’est du bois, après tout. En effet, sa composition en fibres de cellulose de bois rend la matière durable dans le temps. Bonus : Le lyocell ne bouloche quasiment pas. 2. Une matière douce Comme le coton bio GoudronBlanc, le lyocell est une matière très douce au toucher. Mais un type de douceur diffèrent : Le coton bio GoudronBlanc est doux comme du cachemire. Le lyocell est plutôt doux comme de la soie. C’est quelque chose qui m’a sauté aux yeux quand j’ai vu des échantillons de lyocell pour la première fois. La raison ? Les fibres issues de la pulpe de bois sont très fines et très longues. Cela permet d’éviter le côté rêche que présentent des fibres plus épaisses. En effet, une fibre fine tend à être plus douce. Si vous êtes vraiment pointilleux, il y a d’autres critères à vérifier. Par exemple : « Sa structure microscopique : la fibre est-elle très lisse ? Très souple ? Ou au contraire assez rigide ? Même une fibre d’une extrême finesse, si elle n’était que très peu souple, aurait au final un toucher plutôt « craquant » que doux. » A retenir : En général, la laine mérinos (fibre fine) est plus douce que la laine classique (fibre épaisse). 3. Une matière qui sèche vite Le lyocell est également un tissu technique. La star des matières naturelles techniques est la laine. (Pourquoi ? Lisez notre article sur les T-shirts en laine pour avoir la réponse.) Et le lyocell (ou Tencel) a aussi des propriétés très intéressantes pour l’été. C’est une matière qui sèche vite. En effet, un T-shirt en lyocell sèche plus vite qu’un T-shirt en coton. Cela est donc très bien si vous risquez de transpirer. Quand porter un T-shirt en lyocell (ou Tencel) Le lyocell est une très bonne matière pour l’été. Un T-shirt en lyocell est d’ailleurs approprié comme couche de base en été. (Lisez notre article sur comment s’habiller en randonnée pour en savoir plus.) En effet, le lyocell absorbe bien l’eau (c’est-à-dire la sueur), mais il sèche plus vite que le coton. C’est aussi une matière qui ne retient quasiment pas les odeurs (contrairement aux matières synthétiques). Cela en fait donc un parfait compagnon pour les randonnées ou les journées chaudes d’été. Sa douceur soie rend le tissu en lyocell aussi très confortable. Le lyocell, une matière responsable Il y a une autre chose qui est génial avec le lyocell. C’est son côté responsable. Bien sûr, toute matière (même les matières recylées) consomme de l’eau et de l’énergie pour être fabriquée. Gros avantage du lyocell : Sa production requiert peu d’énergie. Le Tencel est fabriqué en utilisant un solvant qui est utilisé en cercle fermé. Pas de rejet. Pas de pollution. Tout est bien contrôlé. D’ailleurs l’entreprise qui fabrique le Tencel a reçu le European Award for the Environment qui lui a été donné par l’Union Européenne. Et aussi : Le lyocell vient d’arbres qui poussent dans des forêts gérées de façon responsable. Cela garantit la plantation après la coupe des arbres et La bonne préservation de l’écosystème sur le long terme. Le lyocell peut aussi être recyclé. Et au pire, il est dit biodégradable. Intéressé par le développement durable dans la mode ? Lisez notre article sur la mode éthique. https://goudronblanc.com/blog/mode-ethique/3282/ source https://www.gaiaetdubos.com/blogs/blogue-de-gaia-dubos/le-lyocell-une-fibre-ultra-ecologiqueLe Lyocell: une fibre ultra écologique 04 juillet, 2016 • Industrie de la mode • Textiles • Vêtements écologiques Le Lyocell, aussi appelée Tencel , est une fibre synthétique ultra écologique faite à partir de pulpe de bois. Cette fibre révolutionnaire est dite douce comme la soie, forte comme le polyester, légère comme le lin, chaude comme la laine et absorbante comme le coton. Découvrez comment elle est créée et pourquoi elle rencontre de hauts standards environnementaux. |
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| Sujet: Re: Choisir ses vêtements, les matières qui les composent, les entretenir + Made in France Mer 6 Nov 2019 - 15:36 | |
| source https://www.femininbio.com/beaute-mode/conseils-astuces/coton-sabra-lenpur-lyocell-tissus-a-connaitre-85131COTON, SABRA, LENPUR, LYOCELL... LES TISSUS À CONNAÎTRE Publié le 23 septembre 2016 - Mis à jour le 27 septembre 2016 Par Gwendoline Yzèbe Pas facile de passer à la mode végane ! Et même si ce n'est pas votre objectif, il est toujours utile de savoir décrypter les étiquettes des vêtements que l'on porte. Les vêtements en fibre végétale existent, mais certains nécessitent des traitements chimiques assez lourds comme le soja, le bambou ou la viscose de bambou. Alors, comment choisir ? Tour d'horizon des fibres végétales utilisées dans l'industrie de la mode. Le coton est une matière naturelle qu’il est préférable d’acheter en « biologique », car sa fabrication en « conventionnel » implique de grandes quantités de pesticides et de substances blanchissantes. on trouve assez facilement des vêtements dans cette matière dans diverses boutiques en ligne, comme ecocentric.fr et d’autres, citées plus loin. Pour ceux qui tricotent, des pelotes de coton bio (couplés parfois à du bambou) sont en vente sur veganyarn.com. Matière naturelle moins connue que le coton, le sabra, fabriqué notamment au Maroc à partir d’aloe vera est une soie végétale infroissable. Il est souvent couplé à du coton, mais aussi parfois à de la laine. Le lenpur, tiré de branches de pin blanc, est, quant à lui, appelé cachemire végétal. Il est cultivé au Canada et en Chine. Cette matière est dite douce, brillante, anti-odeur... on en trouve notamment dans la literie ou les sous-vêtements. La fibre Ingeo obtenue par la fermentation du sucre de maïs est biodégradable, résistante aux taches et à l’humidité. Elle est ce- pendant peu produite. on peut la retrouver dans des vêtements de sport. La fibre d’ortie reste, elle aussi, peu connue bien qu’elle servait autrefois à faire des cordes, car elle est très solide, mais aussi souple. Elle permet d’être au chaud l’hiver en emprisonnant l’air et au frais l’été. Plante vivace, elle ne nécessite pas l’utilisation de produits phytosanitaires pour sa production. Son utilisation reste cependant rare, d’où les prix élevés quand on trouve des produits en contenant, même en faible pourcentage. Tout comme l’ortie, l’asclépiade est une mauvaise herbe au Québec. Pourtant elle peut se transformer en feutre et devenir un duvet plus chaud et plus isolant que les plumes d’oie. Plus commercialisé que l’ortie, le lyocell, notamment de la marque Tencel, est extrait de la cellulose de bois d’eucalyptus provenant d’exploitations forestières gérées durablement. Cette matière a un impact réduit sur l’environnement, car les solvants utilisés pour son traitement ne sont pas nocifs. Le lyocell est dit 50 % plus absorbant que le coton, plus doux que la soie et plus rafraîchissant que le lin. on en retrouve par exemple dans des vêtements sur ekyog.com ou komodo.co.uk, quelques-uns sur vetementbio.com, mais aussi dans des matelas. Il faut compter une centaine d’euros pour un pantalon, 70 € pour un T-shirt. Pour en découvrir d'autres, c'est par ici ! source https://www.femininbio.com/beaute-mode/conseils-astuces/si-on-privilegiait-vetements-en-chanvre-en-lin-85136ET SI ON PRIVILÉGIAIT LES VÊTEMENTS EN CHANVRE ET EN LIN? Publié le 23 septembre 2016 - Mis à jour le 27 septembre 2016 Que portez-vous aujourd'hui, du synthétique ou du naturel ? Pas facile de s'y retrouver dans les étiquettes de nos vêtements. Les vêtements en fibre végétale existent, mais certains nécessitent des traitements chimiques assez lourds comme le soja, le bambou ou la viscose de bambou. Alors, comment choisir ? Tour d'horizon des fibres végétales utilisées dans l'industrie de la mode. Le chanvre est également réputé pour sa production ayant peu d’impact sur l’environnement. Une expérimentation de 2012 de la chambre d’agriculture de dordogne a montré qu’il est facile à cultiver, car il nécessite peu d’eau, ne demande pas de produits phytosanitaires, peu d’engrais et pousse vite. Le chanvre permet de créer un tissu très résistant, absorbant, protégeant des UV et agréable à porter été comme hiver. Le filage étant difficile, il reste une matière assez chère, mais pas autant que la fibre d’ortie. En ligne, on peut trouver toute une gamme de vêtements avec du chanvre (à 100 % ou couplé à du coton biologique) sur naturellementchanvre.com. on peut s’en procurer également sur filabio. com, ecoline.com, cabaneachanvre.com, fibris.fr, veggieshop.be... Il faut compter environ 80 € pour un jean en chanvre et coton et autour de 110 € pour un pantalon 100 % chanvre. Dernière matière à l’honneur : le lin, produit à 80 % en Europe et notamment en France dans le Nord-Pas-de-Calais, en Picardie et en Normandie. Cette fibre ne représente que 1 % des fibres textiles consommées dans le monde. Elle possède pourtant de nombreux atouts : résistante, légère, isolante, biodégradable, anallergique... et sa culture demande moins d’engrais et de pesticides que le coton. Lorsque les plants sont arrivés à maturité, ils sont arrachés et laissés sur place, ce qu’on appelle le rouissage. Les graines permettent de donner l’huile de lin : toute la plante a une utilisation. Après cette étape, le lin est teillé en France, en Belgique ou au Pays-Bas. En revanche, il existe très peu de filatures en Europe et 90 % de la production de lins teillés part en Chine où les vêtements sont alors confectionnés... et principalement vendus en Europe ! on peut trouver des vêtements en lin presque entièrement fabriqués en France, par exemple, sur la boutique « Juste : la révolution textile » (larevolutiontextile.com). 9 étapes sur 10 sont faites dans l’hexagone, seule la filature est assurée en Italie et en Lituanie. Les teintures sont certifiées oeko-Tex, exemptes de produits toxiques pour le corps et l’environnement. Il faut compter 90 € pour un pull et 80 € pour un débardeur. Attention, cette boutique vend également des articles en laine. Toutes ces fibres ont généralement un coût plus élevé que ce que l’on peut acheter dans la grande distribution. reste à savoir les valeurs que l’on souhaite défendre et s’il n’est pas nécessaire de préférer une armoire éthique à une armoire remplie de vêtements dont certains ne voient presque jamais le jour. Cet article est extrait de Vivre Végane de Gwendoline Yzèbe. Le livre de Poche 13,90 euros |
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| Sujet: Re: Choisir ses vêtements, les matières qui les composent, les entretenir + Made in France Mer 6 Nov 2019 - 15:39 | |
| source https://www.aatise.com/fr/blog/viscose-versus-lyocell-fibres-a-base-de-pulpe-de-bois-b15.htmlVISCOSE VERSUS LYOCELL – FIBRES À BASE DE PULPE DE BOIS Vous l’avez sans doute compris si vous nous suivez sur nos réseaux sociaux, chez Aatise nous donnons la priorité aux fibres naturelles et donc aux tissus respectueux de l’environnement. Et comme il peut parfois paraître compliqué de s’y retrouver dans toutes ces classifications aux noms barbares, profitons de cette série d’articles techniques pour découvrir les caractéristiques des matières que vous portez au quotidien. Qu’est-ce que je porte ? Session 2 Après avoir partagé avec vous notre passion du lin dans un précédent billet, il est temps de vous parler du match contesté, mais palpitant, qui oppose la Viscose au Lyocell. Prenez vos paris, c’est parti ! LA VISCOSE Très présente dans les productions textiles actuelles, la viscose est une fibre de fabrication artificielle, conçue à partir d’une matière naturelle. En effet, elle se compose de cellulose (bois ou bambou) régénérée chimiquement à partir de la pulpe de bois. Ce procédé a connu un essor important jusqu’en 1950 avant d’être concurrencé par l’arrivée des fibres synthétiques, à base de produits pétroliers, comme le polyester – qui d’ailleurs n’est pas biodégradable. L’obtention de la fibre de viscose résulte de l’utilisation du disulfure de carbone (CS2), un produit toxique, inflammable et polluant qui n’est pas récupérable après son utilisation. C’est pour cette raison qu’on ne considère pas cette matière comme «BIO» et qu’elle est sujette à controverse dans l’actualité. Les propriétés de la viscose : fort pouvoir absorbant, biodégradable et peu élastique, se froisse peu, stabilité au lavage. LE LYOCELL C’est le nom générique de la matière, mais vous la connaissez peut-être sous les appellations spécifiques des différentes marques commerciales : TENCEL et Lenzing Modal - de Lenzing en Autriche par exemple ! Les problèmes environnementaux générés par le procédé de fabrication de la viscose ont incité les chercheurs à mettre au point un nouveau processus de fabrication plus naturel. C’est ainsi que le Lyocell, fibre 100% cellulosique, est né. Fabriquée en circuit quasi fermé, il s’agit d’une fibre bien plus respectueuse de l’environnement que la viscose, puisque le solvant (NMMO) utilisé pour dissoudre la cellulose est récupéré à plus de 97% et que sa production ne nécessite que très peu d’eau. Entièrement naturel et écologique, le Lyocell a mérité son titre de fibre « biologique ». Avantages écologiques du Lyocell : * Made in Europe (issu du bois, forêts gérées durablement), * Empreinte Carbone minimale, * Biodégradable, * Procédé de fabrication biologique. Propriétés du Lyocell : La liste est longue ! * Infroissable (pas besoin d’énergie pour repasser), * stabilité au lavage et au séchage (ne rétrécit pratiquement pas), * bonne absorption à humidité ce qui limite la formation des bactéries et enfin facile à laver. * doux Et pour couronner le tout : un touché soyeux proche de celui de la soie ! Pour toutes ces raisons, nous privilégions autant que possible le Lyocell (Modal ou Tencel) dans la confection des pièces de nos collections. Même si la matière est plus coûteuse et qu’il est parfois difficile de s’approvisionner, notre souhait est de remplacer à très court terme nos produits en viscose par cette fibre 100% naturelle. Pour en savoir plus: lien vers le site Lenzing https://www.lenzing.com/ |
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| Sujet: Re: Choisir ses vêtements, les matières qui les composent, les entretenir + Made in France Mer 6 Nov 2019 - 15:44 | |
| Encore sur le Lyocell, tencell Le Lyocell - Le substitut doux au jean raide ! https://www.cecil-mode.fr/magazine/lyocell source https://www.bonnegueule.fr/petit-guide-achat-matieres-textiles-artificielles-viscose-modal-lyocell/LE LYOCELL ET SES DÉRIVÉS (TENCEL, SEACELL, HEMPCELL, FICÈLE) C'est un peu la viscose moderne, car elle est créée à l'aide de procédés chimiques moins polluants. Elle est aussi plus coûteuse, et particulièrement douce et respirante. On la trouve de plus en plus en mélange dans des matières techniques destinées à être portées près du corps, pour tirer parti de sa douceur et de sa respirabilité. L'autre grande différence avec la viscose, c'est qu'il innove sur les procédés chimiques utilisés pour l'obtenir, moins nocifs pour l'environnement. Le lyocell est reconnu comme bien plus écologique. |
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| Sujet: Re: Choisir ses vêtements, les matières qui les composent, les entretenir + Made in France Mar 17 Déc 2019 - 18:48 | |
| source https://www.lemonde.fr/m-perso/article/2019/10/07/acheter-laver-se-debarrasser-six-reflexes-ecolos-pour-votre-garde-robe_6014482_4497916.htmlAcheter, laver, se débarrasser… six réflexes pour une garde-robe écoloChaque premier lundi du mois, « La Matinale » vous propose une série d’habitudes à adopter pour réduire votre impact sur la planète. En octobre : comment renouveler son dressing. Par Juliette Desmonceaux Publié le 07 octobre 2019 à 06h30 - Mis à jour le 07 octobre 2019 à 20h38 LA LISTE DE LA MATINALE C’est l’automne, et vous avez l’habitude à cette période de renouveler votre garde-robe en prévision du froid. Problème, dont vous commencez à prendre conscience : de la fabrication des matières premières à la distribution des produits finis en magasin, la mode compte parmi les industries les plus polluantes au monde. 2 500 litres d’eau pour fabriquer un tee-shirt, 7 500 pour un jean… Le secteur est aussi une industrie gourmande en énergies non renouvelables. Son recours massif à des teintures chimiques et à des fibres synthétiques contribue aussi à abîmer notre écosystème. Alors, on fait comment pour allier l’agréable et l’écoresponsable ? Si trente-deux géants du textile ont signé en août un « Fashion Pact » (pacte de la mode) dans lequel ils s’engagent à réduire leur empreinte carbone, quelques gestes du quotidien peuvent également permettre de réduire à l’échelle individuelle son empreinte écologique. Niveau débutant : acheter et laver différemment1. Acheter autrement (ou louer) Une dizaine de fois par an, de nouveaux tee-shirts à bas prix débarquent dans les rayons. Avec l’arrivée de la fast fashion dans les années 2000, le rythme des collections s’en est trouvé complètement bouleversé. Jusqu’à atteindre des chiffres qui donnent le tournis : 100 milliards de vêtements ont été vendus dans le monde en 2014, selon Greenpeace. Contre le risque d’overdose vestimentaire, mieux vaut éviter d’acheter toujours la dernière paire de baskets à la mode, ce qui finalement revient à acheter moins (la solution la plus simple !). Autre option, se tourner vers la mode de seconde main. Outre les habituelles friperies, les applications de revente de vêtements d’occasion se multiplient, et permettent en outre de s’habiller à petits prix. Parmi elles, le géant Vinted, qui revendique huit millions d’utilisateurs en France, mais aussi United Wardorbe, Vide dressing ou encore le Français Vestiaire collective, tourné vers le luxe. Flairant le bon filon, les sites d’occasion comme Leboncoin et Ebay ont également développé une section vêtements. Besoin d’une tenue juste le temps d’une soirée ? Certains sites, comme The Closet, Les Cachotières, spécialisé pour les petits budgets, ou encore Une robe, un soir, proposent également de louer en ligne robes ou costumes pour briller l’espace de quelques heures. 2. Entretenir ses habits de façon plus écologique La meilleure façon d’agir à l’échelle individuelle pour diminuer les dépenses environnementales liées à l’industrie textile est d’entretenir ses vêtements de façon plus respectueuse de la planète. Pour cela, l’Ademe recommande de laver ses vêtements moins souvent, en les aérant par exemple simplement de temps à temps. Côté lavage à la machine, l’agence préconise de préférer une basse température, 30 °C ou 40 °C seulement. Puis de faire sécher les habits à l’air libre. Elle déconseille en revanche le nettoyage à sec, souvent fait à partir de solvants très polluants. Pour un lavage plus écologique, il existe également des lessives biologiques. Mieux vaut préférer celles qui portent l’Ecolabel européen. Niveau intermédiaire : acheter français et recycler1. Privilégier les fabrications françaises Les vêtements made in China fabriqués par une main-d’œuvre bon marché font le tour du monde depuis le début des années 2000. Mais le déplacement des sites de production en Asie du Sud-Est, ajouté à un éclatement des étapes de fabrication à travers le globe, coûte cher en émissions de gaz à effet de serre. Pour limiter l’empreinte carbone de son pull, mieux vaut donc préférer les fabrications françaises. Attention toutefois aux étiquettes, elles n’indiquent que le lieu de la dernière étape de fabrication du vêtement. Les formulations du type « conception française » ou « création française » sont aussi souvent trompeuses. Mieux vaut donc se fier à certains labels, comme Origine France garantie ou France Terre Textile. 2. Recycler ses vêtements Quand on veut faire du tri dans ses placards, plutôt que de tout jeter à la poubelle, l’Ademe conseille de se tourner vers des organismes de tri pour recycler ses vêtements. Associations ou boutiques peuvent les récupérer et les réutiliser ensuite comme matière première. Toutefois, dans les faits, très peu de vêtements sont recyclés. Greenpeace estime que des millions de tonnes de textile finissent tous les ans à la décharge ou dans un incinérateur, créant encore plus de pollution. D’après un rapport de la fondation Ellen MacArthur, quels que soient les pays, les systèmes de recyclage sont tout simplement insuffisants pour absorber l’ensemble des vêtements jetés chaque année. Les techniques de recyclage du coton actuellement existantes conduisent à une perte de qualité de la fibre et ne sont donc pas infinies. Concernant les matières synthétiques, les entreprises sont rares à pratiquer ce type de recyclage. Dans l’Union européenne, sur 1,5 million de tonnes de vêtements produits par an, seuls 10 % à 12 % sont donc revendus localement et une grande partie est envoyée dans des pays émergents. En France, le taux de recyclage des textiles s’élève à plus du tiers (36 %) des vêtements achetés, selon des chiffres de 2016 donnés par l’European Clothing Action Plan (ECAP). Un chiffre élevé, conséquence de la création par la loi de finances de 2007 d’une filière Responsabilité élargie du producteur (REP) relative aux textiles, linge de maison et chaussures (TLC) destinés aux particuliers. Cette décision, qui avait d’abord pour but de dynamiser la filière du tri alors en difficulté économique, oblige les entreprises de textile à contribuer ou à pourvoir au recyclage des habits qu’elles ont produits, ce qui a permis de limiter le gâchis de vêtements. Malgré cela, l’augmentation du nombre d’habits bon marché et de mauvaise qualité raccourcit leur durée de vie et les rend de plus en plus souvent impossibles à revendre. Mieux vaut donc encore une fois limiter ses achats vestimentaires. Niveau confirmé : privilégier le brut1. Préférer certaines matières Entre matières naturelles, matières synthétiques faites à partir de pétrole et/ou avec des ressources naturelles, la mode est innovante en termes de fibres textiles et il peut être difficile de s’y retrouver. Les deux matières les plus utilisées, le polyester et le coton, sont toutes deux très polluantes. La première parce qu’elle est faite à partir de pétrole et qu’elle rejette de nombreux microplastiques dans les océans, et la deuxième parce que sa culture est très consommatrice en eau. Pour limiter les dégâts environnementaux, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) conseille de privilégier le coton bio et les tissus qui nécessitent peu d’eau et d’engrais dans leur processus de fabrication, comme le lin ou le chanvre. Les matières synthétiques ne sont pas non plus complètement à jeter, mais mieux vaut privilégier les tissus obtenus à partir de ressources naturelles, par exemple le viscose ou le lyocell. Ces textiles ne sont pas toutefois sans dégât pour l’environnement car leur fabrication implique l’utilisation de produits chimiques. L’Ademe recommande par ailleurs certaines fibres synthétiques issues de bouteilles en plastique recyclé, telles que la polaire. 2. Eviter les textiles très transformés Des jeans délavés, troués, colorés ou brillants… Malgré leur aspect tendance, ces tenues, obtenues après des procédés chimiques, ont des conséquences désastreuses pour l’environnement. Pour obtenir un jean délavé, il existe différentes techniques : pulvérisation de sable à haute pression, délavage à l’ozone ou aux lasers. Ces procédés demandent beaucoup d’eau, d’énergie et sont dangereux pour la santé des ouvriers. L’Ademe recommande donc de privilégier les jeans bruts non vieillis et de se renseigner sur les procédés de fabrication des vêtements en se rendant sur les sites Web des marques. Les produits utilisés pour les teintures chimiques rejettent également des métaux lourds ou des solvants qui polluent les eaux. Mieux vaut donc préférer les vêtements teints à partir de végétaux ou faits à partir de fibres naturellement colorées. Une façon de s’en assurer est d’acheter des habits labellisés BioRé, garantis sans produit chimique. Cette appellation suisse s’assure également que les salariés et les producteurs sont payés correctement et que les exploitants adoptent une culture diversifiée, plus respectueuse des sols. Un achat plus écolo, mais aussi plus éthique. Des groupes de mode s’engagent à réduire leur impact sur l’environnement |
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| Sujet: Re: Choisir ses vêtements, les matières qui les composent, les entretenir + Made in France Jeu 26 Nov 2020 - 13:23 | |
| source https://www.reponsesbio.com/des-vetements-pour-la-vie/Des vêtements pour la vie Par Jean-Baptiste Loin -22 novembre 2020 Saviez-vous qu’à chaque fois que vous achetez des vêtements industriels pour vos enfants ou petits-enfants, à l’autre bout du monde la vie d’un mineur est compromise par les produits chimiques qu’il absorbe malgré lui, dans des usines de travaux forcés déguisées en ateliers de confection ?
Envisager chaque centime dépensé comme une énergie pouvant résonner positivement ou négativement, favoriser l’éveil ou la souffrance, ne peut plus être ignoré.
C’est pourquoi, en cette fin d’année particulièrement troublée par des préoccupations nécessairement personnelles, il m’a semblé judicieux de mettre l’accent sur l’Autre.
D’apprendre de nouvelles approches vestimentaires pour nos enfants, tout en libérant les esclaves inconnus d’un pays lointain, et en préservant notre environnement et notre intégrité d’êtres humains.
Or, si atteindre ces objectifs individuellement semble difficile, certaines innovations apportées par ceux ayant repensé les incohérences de notre consommation, offrent d’ores et déjà des alternatives en ce sens.
Je vous propose de découvrir l’une des plus intelligentes en la matière.Récemment, j’ai évoqué l’impact trop sous-estimé, bien que largement connu, de l’industrialisation de la mode, entre le bio et le non bio, les alternatives de vêtements recyclés pour les femmes comme pour les hommes. Cependant, bien que sacrifier une partie de l’aspect pseudo-pratique du bas en nylon et du jean tout en acceptant d’autres conceptions de la mode, soit urgent, la question la plus cruciale n’a pas encore été abordée ici. Cette question étant de savoir habiller intelligemment les petits comme les grands enfants, qui à leur tour habilleront vos petits et arrière-petits-enfants. Un vêtement contre une vieJe vous épargnerai ici l’horreur des détails concernant la mode enfantine et l’esclavagisme mondial en découlant, que l’on croirait venus d’un autre millénaire. Il n’est toutefois pas difficile, grâce aux informations glanées ces dernières décennies par les grands reporters, de se figurer honnêtement la situation. Or, durant les six premières années de sa vie, la croissance d’un enfant humain étant très rapide, les parents doivent être en mesure de l’habiller dans une bonne dizaine de tailles différentes. C’est à dire, pour tous ceux n’ayant pas la chance de pouvoir facilement échanger les vêtements des cousins et cousines ayant déjà connu une ou plusieurs vies, autant un carnage humanitaire, écologique et sanitaire, qu’un gouffre financier. Pour les plus petits, cette industrie s’est appliquée à décliner à l’infini les tailles, les marques et les coloris avec des matières tant nocives que fragiles, dans l’unique but de maximiser ses profits, incitant régulièrement à consommer davantage. Tandis qu’accorder du temps, de l’énergie, de l’intérêt, donc de l’argent, à des entreprises entretenant les cercles vicieux de cette nature soit déjà incompréhensible, qui se soucie vraiment des enfants chinois, indiens et africains ruinant leur existence dans la confection des articles de mode occidentaux ? Pourtant, si les Occidentaux perdent leur pouvoir économique ils pourraient rapidement devenir à leur tour les « petits » Chinois des Chinois et des Africains. Et il sera probablement trop tard, à ce moment-là, pour exiger des conditions de travail équitables ainsi que des productions bio et écologiques. Je vous propose donc ni plus ni moins de court-circuiter les artefacts de cette mécanique sans fond, en vous orientant résolument vers le second millénaire du vêtement pour enfant. Grandir avec l’enfantAu lieu de regarder le courant industriel ne comptant que sur les pertes et profits, Little Woude a su développer un concept pour le moins génial. Si concevoir des vêtements pour enfants en France à base de textiles bio est déjà un tour de force considérable, cela ne résout pas nécessairement la surconsommation ou l’impact financier pour autant. Little Woude en a donc profité pour littéralement réinventer la mode enfantine en mettant au point un panel de quatre tailles seulement, accompagnant l’enfant de zéro à six ans. (1) Pour vous donner quelques exemples, avec les robes, jupes et salopettes tout est dans les revers et les bretelles. Tandis que des rangées de boutons parallèles et d’ingénieux systèmes d’élargissement du vêtement, assureront au moins deux ans de tranquillité pour la plupart des modèles. De plus tous les vêtements sont réversibles, ce qui permet aisément à l’enfant de changer de couleur en fonction de son humeur. Et pour éviter de pousser à la consommation, cette entreprise pas comme les autres a décidé de proposer des matières, designs et coloris, s’accommodant à pratiquement n’importe quel moment de l’année. Pas de mode saisonnière pour renflouer les caisses, mais, tout de même, un joli cadeau à offrir en fin d’année à de jeunes parents esseulés devant les besoins urgents de leur bébé. D’ailleurs, dans le courant direct de cette philosophie, le vieil adage disant qu’un enfant n’a pas de sexe a fort élégamment été abordé avec ces modèles unisexes solides et colorés, pouvant être réutilisés à volonté pour tous les nouveaux enfants de la famille. L’approche de Little Woude a vraiment paru exemplaire au comité de sélection de Réponses Bio que, je vous le rappelle, je préside. Toutefois, si elle mérite largement les trophées reçus pour sa démarche, englobant : -L’utilisation de coton et chanvre bio certifiés GOTS, garantissant, comme vous le savez, une consommation raisonnable d’eau et d’énergie, l’absence de métaux lourds et de pesticides, ainsi que des conditions de travail respectueuses de l’humain. (2) -Un tissage français avec des procédés artisanaux et des matières d’origine naturelle. (3) -Une solide conception pensée pour suivre l’enfant jusqu’à ses premières dents d’adulte, et… servir à nouveau. -La patience de mettre à l’épreuve ses créations au standard de confiance textile OEKO-TEX, garantissant l’absence de C.O.V. et autres substances nocives pour la santé humaine. -Ou encore l’ingéniosité d’adapter en largeur comme en hauteur ces robustes vêtements au fil des ans. (4) Et bien que cela soit déjà remarquable, ce n’est ni l’économie que représente ce genre d’investissement, ni encore le respect de l’humain et de l’environnement qu’elle permet, qui, finalement, aura motivé le coup de cœur de la rédaction. La raison profonde étant que cette approche de la mode, dans le contexte où nous vivons, est accompagnée des promesses immédiates d’un monde plus juste. C’est une réflexion sereine et joyeuse mise en pratique et affinée patiemment, invitant le système de consommation tout entier à redessiner ses patrons. Une systémique où l’offre ne définit plus la demande, mais où, au contraire, celle-ci est étudiée pour être satisfaite le plus humainement et écologiquement possible. Où les créateurs proposant de nouvelles perspectives aux enfants sont justes, et justement rémunérés pour cela. Et bien figurez-vous que, malgré l’hyper contrôle empêchant généralement les initiatives les plus humaines de voir le jour, il vous est possible, ici et maintenant, de rompre cette mécanique infernale en offrant à vos enfants, petits-enfants, ou encore à vos filleul(e)s, nièces et neveux, des petits vêtements Little Woude à échanger à volonté. Bien à vous, Jean-Baptiste Loin Références : 1 Concept innovant pour habiller les enfants : https://www.little-woude.com/fr/content/11-le-concept2 Tissus bio et certifiés GOTS : https://www.little-woude.com/fr/content/10-tissus-certifies3 Fabrication française : https://www.little-woude.com/fr/content/12-fabrication-francaise4 Guide des tailles : https://www.little-woude.com/fr/content/9-conseil-de-taille Sur Le Même Sujet : Les vêtements recyclés, des fibres d’avenir https://www.reponsesbio.com/les-vetements-recycles-des-fibres-davenir/Des sous-vêtements sains et naturels https://www.reponsesbio.com/sous-vetements-sains-naturels/Pourquoi les vêtements en chanvre sont-ils plus chers ? https://www.reponsesbio.com/vetements-chanvre-plus-chers/Des vêtements de sport qui respirent la santé https://www.reponsesbio.com/vetements-de-sport-respirent-sante/Quel coton pour votre santé ? https://www.reponsesbio.com/quel-coton-pour-votre-sante/
Dernière édition par Libellule le Mar 9 Nov 2021 - 18:33, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: Choisir ses vêtements, les matières qui les composent, les entretenir + Made in France Jeu 26 Nov 2020 - 15:11 | |
| source https://www.reponsesbio.com/la-folle-aventure-du-calecon-parachute/La folle aventure du caleçon parachute Par Jean-Baptiste Loin -15 novembre 2020Un jour, presque par hasard, un homme spécialisé dans la logistique et le transport de marchandise en a eu assez et a dit stop.
Puis, en quelques minutes il a réinventé son quotidien en transférant le poids de ses actes vers quelque chose de plus juste, de plus sobre et pourtant de plus drôle, bref de plus intelligent.
Découvrez sans plus attendre la folle aventure des caleçons Feuille de vigne…L’histoire qu’il raconte, qui est aussi la sienne, ou plus exactement celle du moment de sa transformation, j’aimerais la partager avec vous. Touchant, empreint d’imagination et d’optimisme, ce récit est aussi l’exemple d’une prise de conscience que nous pourrions, chacun à notre manière, partager : « J’étais là, un matin, en caleçon devant mon miroir, et j’ai soudainement réalisé que quelque chose n’allait pas. En regardant ce bout de tissu qui ne devait pas peser plus de quelques centaines de grammes, j’ai rapidement fait le calcul. Pour le fabriquer énormément de ressources humaines ont été nécessaires, il a fallu du carburant, beaucoup d’eau, du coton venant de l’autre bout du monde, des produits chimiques. Tout ça en faisant travailler des enfants dans des conditions abominables… Et moi qui avais acheté ce caleçon, j’étais bien malgré moi un maillon de cette chaîne infernale. J’ai donc compris pourquoi j’étais constamment maussade, négatif, dépressif, quelque chose n’allait pas, vous comprenez ? Ce qui est dommage, c’est qu’il faut des évènements comme ça pour créer un électrochoc. Alors j’ai décidé de me prendre en main. Je suis parti de rien, ai réfléchi longuement, en me demandant comment mettre à contribution les compétences acquises sur le terrain, mes connaissances sur le coût du transport… En regardant mon placard j’ai réalisé que sur le paquet de chemises qui y étaient rangées, je n’en mettais que quelques unes. La plupart m’étaient absolument inutiles et ne faisaient que trôner là comme un garde-manger géant pour les mites. Et pourtant elles avaient suivi le même cercle vicieux que le caleçon. Voilà, c’est comme ça que le déclic m’est venu. » Des caleçons artisanaux de luxe… équitables et recyclés« Après avoir sérieusement hésité, et que ma femme m’a pris pour un illuminé… j’ai retourné la question mentalement maintes et maintes fois. Vous comprenez, je viens des quartiers difficiles et je sais à quel point c’est important d’être convenablement rémunéré pour son travail. J’ai aussi conscience à quel point chacun a besoin d’un métier à échelle humaine. J’ai donc poursuivi ma réflexion tout en cherchant une paire de ciseaux. Et c’est comme ça que j’ai transformé pour la première fois mes chemises en caleçons. Mon caleçon prototype venait de naître de la rencontre entre la création d’un grand couturier et une chemise de supermarché ! Ensuite, tout est allé très vite. J’ai monté une petite entreprise, puis j’ai pris contact avec une association chartraine faisant travailler des jeunes dans des chantiers d’insertion. C’est comme ça que mon partenariat avec La dame à la licorne a démarré et que l’idée m’est venue de faire participer des jeunes en difficulté. On s’est réunis avec les filles et ça a tout de suite été productif. Tout le monde avait des idées. Je crois qu’en quelques heures nous avions mis au point un processus de fabrication artisanal totalement unique en son genre. À chaque pas dans cette direction, je réalisais un peu plus que c’est ce que je voulais faire depuis le début, aider ceux qui en ont vraiment besoin. Leur offrir un métier humain, une rémunération correcte. Et en même temps, chaque caleçon créé est une œuvre d’art dans son genre, il n’y en a pas deux pareils. Il faut presque une journée de travail par caleçon, et l’atelier ne produit que soixante-dix pièces par mois. C’est bien plus qu’un simple métier d’usine, ça devient un atelier de mode artisanale, mais facile d’accès puisqu’il suffit de savoir coudre. Et absolument tous les maillons de la chaîne sont éthiques : Je trouve les chemises chez Emmaüs pour participer à aider les communautés en difficulté. Je choisis le meilleur coton possible qui aura été très peu utilisé. Ensuite, les filles stérilisent les étoffes tout en finissant d’enlever les éventuelles traces de produits chimiques, font le repassage et passent à l’assemblage en fonction de leur humeur. Puis, comme je l’expliquais, les personnes à qui cela profite le plus sont celles qui apprennent un métier ou le perfectionnent, tout en retrouvant une place dans la société. Le tout se déroulant dans un rayon de quelques dizaines de kilomètres seulement, que je ne suis même pas obligé de faire quotidiennement. La boucle est bouclée, de l’économie circulaire, sociale, équitable et écologique. C’est une véritable dynamique zéro déchet. C’est en tout cas ce qui m’est apparu comme une évidence pour rendre un peu de sens à ma vie, tout en participant, peut-être, à servir d’exemple à ceux qui se posent les mêmes questions. » La pudeur d’être« On consomme trop de choses inutiles. Mais, à moins qu’on soit naturiste, un caleçon c’est quand même plutôt utile, et c’est un vêtement qui doit être à la fois sain et original sans faire de mal. Avec peu de choses, avec trois fois rien en fait, avec une feuille de vigne, on peut réinventer sa façon d’interagir avec le monde tout en changeant son métier et sa manière de consommer. C’est ce que je pense, et c’est ce que j’essaie de faire. » Réinventer sa manière de consommerPourquoi avoir décidé d’accorder l’antenne de Réponses Bio à cette histoire ? Parce que Chérif Haine, ancien salarié dans le transport et jeune créateur de Feuille de vigne, est l’exemple même de ce que l’on devrait faire, chacun à son échelle et à son rythme. Étant donné qu’un des plus gros problèmes de l’industrialisation se trouve dans la gestion des déchets dus à la surconsommation, tous ceux en ayant l’expérience, comme Chérif, peuvent rompre les chaînes de la loi du marché. C’est aussi la raison pour laquelle je vous encourage vivement à offrir ce cadeau original et vertueux, qui ne manquera pas de faire sourire au coin du feu, en commandant vos caleçons, ceux de vos enfants ou conjoint chez Feuille de vigne. Bien à vous, Jean-Baptiste Loin Prix unique, frais de port compris pour la France, pour découvrir des caleçons artisanaux sans pareil, rendez-vous derrière ce lien https://www.feuilledevigne.fr/e-boutiqueSur Le Même Sujet : 1 Des sous-vêtements sains et naturels https://www.reponsesbio.com/sous-vetements-sains-naturels/2 Quel coton pour votre santé ? https://www.reponsesbio.com/quel-coton-pour-votre-sante/3 Les vêtements recyclés, des fibres d’avenir https://www.reponsesbio.com/les-vetements-recycles-des-fibres-davenir/4 Les avantages des couches lavables https://www.reponsesbio.com/les-avantages-des-couches-lavables/ |
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| Sujet: Re: Choisir ses vêtements, les matières qui les composent, les entretenir + Made in France Lun 5 Avr 2021 - 19:06 | |
| https://www.reponsesbio.com/source ICILe double danger des sous-vêtements chimiques Par Jean-Baptiste Loin -7 mars 2021De tous les accessoires de mode synthétiques, celui représentant le plus grand danger pour la santé humaine et l’environnement, est indéniablement le sous-vêtement. Au contact direct des plus importantes muqueuses de l’organisme le jour, et se diffusant dans les nappes phréatiques la nuit, lavage après lavage, les produits chimiques additionnés à des matières synthétiques font courir un double risque sanitaire et environnemental, réévalué à la hausse à chaque nouvelle sérieuse investigation. Débouchant, d’une part, sur la prise de conscience d’une catastrophe écologique avec des millions de tonnes de microfibres de synthèse polluant sols, rivières et océans. Et d’autre part, vers un mea culpa scientifique conduisant à des études mesurant l’impact de ces mêmes microfibres et nanoparticules, lorsque traversant les barrières de la peau… elles se retrouvent piégées dans l’organisme. Qui pourrait en vouloir aux dernières générations d’utiliser principalement des sous-vêtements en viscose et nylon, farcis de produits chimiques ? C’est ainsi que notre société les a conditionnées. Il est d’ailleurs probable que, malgré nos efforts et notre conscience du problème, nous partagions tous plus ou moins ce conditionnement. Bien que les plus mûrs d’entre nous puissent apprécier les canons de la mode avec davantage de recul, il n’en demeure pas moins délicat de mettre son intimité à l’abri des insidieuses pollutions dont l’épiderme peut être témoin. Même lorsque, dans le meilleur des cas, la matière choisie est bio, l’élasthanne serrant la taille est-il en contact direct avec la peau, les colorants utilisés sont-ils naturels, y a-t-il absence de métaux lourds, respect des normes de précaution environnementales et sanitaires ? En pratique, force est de constater que l’ampleur de la pollution humaine, que ce soit envers l’environnement ou l’homme lui-même, est régulièrement additionnée d’un nouveau constat scientifique dont la compréhension rend la note toujours un peu plus salée et le temps pour renverser la vapeur, toujours plus court. Pourtant, bien que les alternatives soient peu nombreuses, elles existent. Si la polémique a été repoussée de décennies en décennies par les cohortes juridiques des marques et enseignes industrielles, les dernières études en la matière apportent une tangibilité irréfutable. Tangibilité à la lueur de laquelle personne ne peut plus ignorer l’importance d’une totale absence de fibres synthétiques et de produits chimiques, concernant, au minimum, toute matière entrant en contact avec la peau. Des fabriques de coton « vert » remises en questionDans une étude réalisée par le laboratoire de Toxicologie et de Santé Environnementale espagnol de Catalogne, une liste de vingt-six métaux lourds et matières synthétiques microscopiques identifiés dans des produits de différentes marques, ont montré être largement au-dessus des seuils internationaux de sécurité. Toutes sortes de substances nocives, qu’elles soient directement cancérigènes ou non, ont été retrouvées dans les modèles étudiés, même parmi ceux issus des usines de coton se prétendant respectueuses de l’environnement. Ces polyamides, polyesters et cotons ont généralement reçu un ou plusieurs traitements conventionnels réservés aux textiles, à savoir : colorants complexes métalliques, pigments, mordants, catalyseurs pour la fabrication de tissus synthétiques, agents retardant les flammes, ou encore agents antimicrobiens et répulseurs d’eau pour la prévention des odeurs. Bien que l’étude ne le précise pas, les « agents » cités dans le dernier point sont des nanoparticules d’argent. (1) Tandis qu’une synthèse des données existantes menée par Joaquim Rovira et José L. Domingo ajoute à cette liste : bisphénol, benzothiazole, phthalates, formaldehyde, et, eux le précisent, des nanoparticules métalliques. (2) Par conséquent, de nos jours, acheter une petite culotte, un caleçon, un soutien-gorge ou un tee-shirt dans un grand magasin, même de marque prestigieuse et se prétendant « eco-friendly », signifie se confronter à des risques de santé majeurs tout en mettant l’environnement à mal. Pour l’humain, les dangers connus vont des cancers aux dérèglement de la thyroïde, en passant par un vaste panel de troubles endocriniens. Et pour l’environnement, la suffocation des matières vitales par les matières plastiques et métalliques, générée par toutes les machines à laver du monde envoyant quotidiennement quantité de microfibres et nanoparticules en tout genre dans la nature. Toutefois le cycle ne s’arrête pas là. La santé humaine est mise une seconde fois à l’épreuve lorsque, non contentes de ravager la planète ces particules nous reviennent dans les canalisations domestiques, l’eau de boisson, l’atmosphère, les viandes animales et la baignade. Or, nos sciences gouvernées par les instances politiques ont bien trop minimisé l’impact de certaines substances, dont en particulier les nano et microparticules, à la fois dangereuses pour le monde végétal, outrepassant facilement la plupart des systèmes de filtrations, et représentant un risque pour la santé gravement sous-évalué. Le constat environnementalGénéralement, le pire n’est pas tant le danger que l’on redoute que celui que l’on ne voit pas venir. Lorsque l’organisme est directement confronté à une consommation industrielle il peut être plus ou moins aisé de l’en sortir, mais lorsque, sans le savoir, nous menaçons l’environnement à une échelle suffisamment vaste pour en percevoir rapidement les conséquences, comment faire machine arrière ? Selon l’Institut pour les Polymères, Composites et Biomatériaux du Centre National de Recherches d’Italie, chaque lavage de sous-vêtement en polyester relâche dans les réseaux sous-terrains jusqu’à quatre mille fibres par gramme de tissu. (3) Leurs recherches montrent également qu’une personne pourrait libérer à elle seule près de trois cent millions de microfibres par an, en se contentant simplement de laver son linge. Faire le calcul sur plusieurs milliards d’individus suffirait-il pour prendre conscience que ces micro et nanoparticules sont bien plus résistantes dans le temps que les accidents radioactifs ne l’ont jamais été ? Malheureusement, d’après les observations du Dr Francesca De Falco le problème est pire encore. Les microfibres ne polluent pas uniquement les nappes phréatiques et milieux aquatiques, les plus volatiles d’entre elles parviennent à s’évaporer pour être transportées par voies aériennes, se retrouvant par ce biais dans l’eau de pluie ainsi que dans les poumons et branchies des créatures dotées d’un système respiratoire. Selon elle : « C’est un message crucial mettant en lumière l’importance de designs respectueux de l’environnement par l’industrie de la mode. » Des alternatives pour une nouvelle mode Bien que de vivre sans culotte nous mettrait tous à l’abri des pollutions que nous venons d’évoquer, je ne pense pas qu’une telle uniformité soit de mise. Ce que je veux dire, c’est que les modes changent. Et le type de mode cherchant un équilibre entre le respect de l’humain, de l’environnement, l’aspect pratique et la coquetterie, est actuellement en pleine effervescence. Une évolution qu’il convient de soutenir en changeant le regard que nous portons sur notre façon de nous vêtir. C’est en tout cas dans cet esprit que le comité de sélection a trouvé des alternatives accessibles pour femme, enfant et homme, parmi les modèles de nos partenaires les plus précurseurs en la matière. Un large choix aussi bien pour les femmes :Shorty en pur coton bio, sans coutures latérales et dont les élastiques à la taille et aux jambes sont recouverts de coton bio, et n’entrent donc pas en contact avec la peau. https://www.filabio.com/femme/lingerie/lingerie-en-coton-biologique/shorty-pur-coton-bio-fabienne.htmlCulotte en jersey fin de pur coton bio certifié GOTS et Fairtrade, simple, sans couture latérale, idéale pour le confort quotidien. https://www.filabio.com/femme/lingerie/lingerie-en-coton-biologique/culotte-jazz-coton-bio-fairtrade.htmlDébardeur à la coupe très féminine, sans coutures latérales et sans élasthanne : doux et léger, il se porte comme tricot de peau, ou tel quel. https://www.filabio.com/femme/lingerie/debardeur-coton-bio.htmlPour les enfants :Pour les filles, un lot de 3 culottes à la coupe classique et intemporelle, en pur coton biologique, avec de jolis motifs. https://www.filabio.com/bebe-enfant/sous-vetements-bio-enfant/3-culottes-coton-bio-deer.htmlOu une culotte de jersey peu plus épais et légèrement chiné. https://www.filabio.com/bebe-enfant/sous-vetements-bio-enfant/culotte-fille-en-coton-bio.htmlPour les garçons, un lot de 3 boxers en pur coton biologique, avec élastique sous coulisse à la taille, sans contact avec la peau. https://www.filabio.com/bebe-enfant/sous-vetements-bio-enfant/3-boxers-coton-bio-espace.htmlOu, plus sobre, un boxer en jersey fines côtes bleu marine. https://www.filabio.com/bebe-enfant/sous-vetements-bio-enfant/boxer-coton-bio-garcon.htmlPour les hommes :Débardeur de couleur naturelle, en pur coton biologique et naturellement légèrement élastique, à porter sous un t-shirt ou une chemise. https://www.filabio.com/homme/sous-vetements/marcel-pur-coton-biologique.htmlSlip simple et confortable sans coutures latérale. https://www.filabio.com/homme/sous-vetements/slip-coton-bio.htmlBoxer de la même collection, certifié GOTS et FairTrade. https://www.filabio.com/homme/sous-vetements/boxer-coton-bio-jeremy.htmlCaleçon homme ample et confortable en jersey souple de coton bio, dont la coupe classique se décline dans des tons neutres. https://www.filabio.com/homme/sous-vetements/calecon-en-jersey-de-coton-bio.htmlOu encore un lot de 2 caleçons en flanelle de coton bio, doux et confortables avec motif à carreaux et bouton en ivoire végétal. https://www.filabio.com/homme/sous-vetements/deux-calecons-flanelle-bio.htmlQue pour les bébés :Lot de 2 adorables bodys manches longues en pur coton bio, sans élasthanne, garantis sans substances nocives ni métaux lourds dans les couleurs. https://www.filabio.com/bebe-enfant/bodys-et-grenouilleres/body-pur-coton-bio-hippocampe.htmlBien à vous, Jean-Baptiste Loin Sources et références : Exposition humaine aux oligo-éléments par la peau par contact direct avec les vêtements : évaluation des risques : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25889781/Risques pour la santé humaine dus à l’exposition aux produits chimiques inorganiques et organiques provenant des textiles : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30278363/Le port de vêtements peut libérer plus de microfibres dans l’environnement que de les laver : https://www.sciencedaily.com/releases/2020/03/200309221340.htmPour soutenir Réponses Bio et nous permettre de rester un media indépendant, RDV sur notre page Tipeee en cliquant sur ce lien. Sur Le Même Sujet ( voir liens sur le site ) Les vêtements recyclés, des fibres d’avenir La folle aventure du caleçon parachute Des vêtements pour la vie Quel coton pour votre santé ? L’allaitement maternel, un bienfait pour la mère et l’enfant Protéger la peau de bébé Un peignoir bio et doux, qui absorbe l’eau La fabuleuse odyssée des abeilles *************************************************** |
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