Bonjour à toutes et tous
Pour vous souhaiter la plus douce des années, avec beaucoup d'amour et de compassion, je vous offre les réflexions proposées dans ces deux textes.
source
http://www.reponsesbio.com/2017/12/25/dessine-moi-un-pere-noel/Dessine-moi un père Noël
25 décembre 2017Fête emblématique symbolisant la magie de l’enfance et le renouveau au cœur de l’hiver, Noël est un moment privilégié où, pour un regard illuminé l’on veut bien croire, l’espace d’un instant, que tout est encore possible.
Etre en bonne santé, réaliser ses rêves, aimer son prochain, vivre en harmonie avec son environnement, trouver la paix, sont autant de graines que nous semons à l’occasion de moments propices, hors du temps et de l’agitation.
Autant d’opportunités de reconsidérer notre rôle dans un processus englobant bien plus que l’humanité.Le monde fabuleux qui nous entoure existe depuis plus de 4,5 milliards d’années.
Certaines espèces comme le requin lutin peuplant les grands fonds marins, y sont présentes depuis quelques 125 millions d’années…
Tandis que le premier squelette d’hominidé date de seulement 3 millions d’années.
Or, la vie sur Terre aurait déjà connu cinq grandes Extinctions de masse.
Pendant celle du Permien, la plus importante d’entre elles, survenue 50 millions d’années avant l’apparition de l’Homo Sapiens, 95% de la vie marine ainsi que plus de 70% des espèces terrestres ont tout bonnement disparu.
En général ces grands cataclysmes sont le résultat :
→ de changements climatiques,
→ du mouvement des plaques tectoniques,
→ de catastrophes naturelles,
→ ou de météorites.
Mais il semblerait qu’au-delà de ces phénomènes, l’impact de la vie organique elle-même puisse devenir facteur d’une nouvelle Extinction.
Depuis le 18ème, on peut maintenant compter en siècles ce qui aurait dû normalement être le résultat de millions d’années.
L’Homo Sapiens Sapiens aura modifié son environnement à tel point que, comme le montre Elizabeth Kolbert dans son livre The Sixth Extinction (La Sixième Extinction), d’ici 2050 auront disparu:
→ 1/4 des mammifères,
→ 1/6 des oiseaux,
→ 1/5 des reptiles,
→ 1/3 des requins et des raies.
Elle y rapporte également que la déforestation anéantit en moyenne une espèce toutes les heures, et que sur les 130 millions de km² de terre n’étant pas immergée sous les glaces, il n’y a plus que 30 millions de km² de contrées sauvages.
A tel point que le constat de cette journaliste ayant reçu le prix Pulitzer pour son ouvrage, fit anthologie au musée américain d’Histoire naturelle, où l’on peut lire un résumé officialisant cette fameuse 6ème Extinction en ces termes :
« Nous sommes au milieu d’une sixième extinction de masse. Celle-ci est entièrement causée par la transformation de l’environnement écologique par l’homme ».
Cependant me direz-vous, pourquoi vous asséner cette dure réalité le jour de Noël ?
Eh bien justement parce que c’est le moment rêvé pour aborder un point qui selon certaines traditions, est la méditation idéale à cette occasion :
« Sortir du déni afin d’apprécier la réalité. »
Réalité n’étant finalement ni bonne, ni mauvaise, indiquant simplement qu’un certain nombre de choix, de devoirs, de prises de conscience, doivent immédiatement être reconsidérés si nous ne souhaitons pas que cette 6ème Extinction soit également celle de nos enfants, de nos petits-enfants, et finalement, de l’humanité.
Cela ne tient qu’à un unique principe à la portée de tout être sensible.
Un principe suggérant que la vision du système dans lequel l’homme évolue, se voyant au sommet de la création, de la chaîne alimentaire et de la maîtrise des éléments, pourra rejoindre la compréhension d’une systémique dans laquelle il n’est que l’un des composants d’un tout, sur lequel repose son propre équilibre.
L’exemple le plus flagrant que l’histoire puisse montrer à ce sujet est bien évidemment la découverte de l’énergie atomique.
Alors que la compréhension du concept de relativité, encore au stade de balbutiement, aurait pu bouleverser le rapport de l’homme à son environnement, le 20ème siècle s’est empressé d’en faire des bombes et des centrales nucléaires.
Un système générant un monde « moderne » épuisant l’environnement et ses ressources naturelles, que l’on pourrait troquer pour une systémique utilisant l’énergie infinie et non polluante des éléments, de l’espace, respectant les processus naturels, les autres espèces, son prochain, soi-même.
Pour réfléchir à cela, je vous invite à contempler quelques instants le monde dans le reflet de l’oeil d’un nouveau-né, passant son premier Noël sur Terre.
Par le prisme de cet œil où tout semble possible, chaque regard échangé est un don provoquant un bonheur indescriptible.
Pour illustrer la raison de ce combat visant à protéger les générations futures, je citerai Winston Churchill rétorquant à brûle pourpoint lorsqu’on lui demandait pourquoi se battre contre le nazisme :
« Nous gagnons notre vie avec ce que nous recevons, mais nous lui donnons un sens avec ce que nous donnons. »
Cette année je m’attarderai en détails sur les alternatives portées à ma connaissance afin de remplacer ce système, sans arme ni violence, par une systémique.
Je vous en dirai plus dès dimanche prochain, d’ici là, je me joins à toute l’équipe de Réponses Bio pour vous souhaiter à l’unisson un merveilleux Noël.
source
http://www.reponsesbio.com/2017/12/31/en-2018-je-systemique/En 2018, Je systémique !
31 décembre 2017Aujourd’hui, ce ne sera pas un, ni deux, mais huit principes de prospérité, d’abondance et de santé que je vous propose de mettre en pratique tout au long de l’année.
Isolément ils seront bénéfiques à plus d’un titre, mais ensemble ils constitueront un gage de santé tout en soutenant un processus visant à remplacer un système iatrogène par une « systémique » destinée à rendre la société plus humaine.
Mais qui saurait dire où le système s’arrête et où la systémique commence ?Nous l’avons rapidement vu la semaine dernière dans la lettre de Noël, au fil des millénaires, l’humanité a indirectement choisi de s’enfermer dans un système afin de se protéger de la rigueur du monde qui l’entoure.
Cela n’a sans doute pas toujours été le cas étant donné que des sociétés que l’on dit « primitives » étaient largement plus évoluées en ce sens.
Elles peuplaient par petits groupes, l’Amérique du Sud, la Chine, le Moyen Orient, l’Inde, quelques terres aujourd’hui enfouies dans les fonds marins, mais également l’Afrique ou encore l’Europe.
Malheureusement ces embryons de civilisations, se spécialisant tour à tour dans l’étude des rêves, la spiritualité, l’astronomie, la santé holistique… en un mot dans la compréhension du mystère de la vie, furent balayés par une forme de cannibalisme ayant trouvé son apogée dans des systèmes comme le nazisme.
Mais finalement cela ne se réduit pas à cet extrémisme, puisque tous les grands conquérants, y compris l’Occident avec l’empire britannique, les Etats-Unis, l’empire colonial français, etc. en étaient d’autres formes, plus ou moins cruelles dans leur destruction des traditions, imposition de religions et esclavagisme.
Et selon tous ceux s’étant vraiment intéressés à la question, à savoir :
→ anthroposophes,
→ journalistes d’investigation,
→ historiens,
→ érudits,
→ mathématiciens,
→ physiciens,
→ et même, de plus en plus de politiciens…
Le genre humain succombera probablement à un phénomène qui pourrait s’apparenter à de l’autocannibalisme, si nous continuons à soutenir, que ce soit par inconscience, indolence, indulgence, ou croyance, le système actuellement en place.
Maintenant, au lieu de nous apitoyer sur notre sort avant d’entrer en dépression, ou pire, de se dire que de toute façon il est trop tard et de participer à engraisser cette société malade, il est possible d’envisager à notre échelle un problème apparemment plus complexe que nous, le simplifiant comme une équation.
Par exemple lorsque vous tombez malade, votre corps vous prévient qu’il est nécessaire de changer vos habitudes et d’opter pour un certain type de médication, devenant ainsi votre propre médecin.
A présent, c’est un corps bien plus vaste qui demande à être soigné, un corps réclamant notre attention à l’unisson.
Comment y parvenir ?
La stratégie du repliC’est peut-être ici le plus beau, c’est en se soignant soi-même que soigner l’autre et le reste de la terre devient possible, et cela à très court terme.
Mais bien évidemment ce ne se fera pas sans reprendre conscience que la nature est notre remède.
Inutile donc, de chercher à l’extérieur ce qui se trouve à l’intérieur.
Pourquoi ?
Le dépassement de soiCe système ayant tout basé sur la consommation, le pouvoir de l’argent et l’écrasement de l’autre, il semblerait qu’employer ces mêmes outils, pour aller un sens totalement opposé à leur emploi initial, soit une des clés s’offrant à nous.
Je m’explique :
1/ La consommation soutenant en priorité le sens dans lequel va le monde, une consommation ciblée avec soin est un vote, actuellement, plus efficace que n’importe quel suffrage universel.
Pour en prendre conscience il suffit d’observer le simple fait qu’il y a généralement une ou plusieurs grandes firmes privées à la source du financement de pratiquement toutes les élections survenues ces dernières décennies.
2/ Le processus d’écrasement de l’autre quant à lui est facilement réversible par le soutien de ceux en ayant besoin et la privation de tout financement de ceux vendant du poison.
3/ Selon Wikipédia, la systémique est définie comme suit :
« Forgée sémantiquement à partir du mot en grec ancien systema, signifiant « ensemble organisé », la systémique privilégie une approche globale, macroscopique, holiste, la pluralité des perspectives selon différentes dimensions ou à différents niveaux d’organisation, et surtout la prise en compte des relations et interactions. »
Ce qui implique une profonde compréhension de soi ainsi que de son environnement.
Et par compréhension de soi, il est aussi bien question de son fonctionnement interne que de celui de l’autre, et, comme nous le verrons, du fonctionnement du système dans lequel nous nous sommes bon gré mal gré laissés enfermer.
Une micro systémiqueN’étant qu’un émissaire je souhaiterais vous offrir le déclic, voire un modèle miniature, de ce que cette consommation englobant une systémique pourrait être.
Dans un partage intelligent des ressources l’humanité pourrait survivre à son environnement tout en rendant au monde ce qui lui revient de naissance, à savoir l’ordre naturel des choses.
Mais ne nous faisons pas d’illusions, d’une manière ou d’une autre, avec ou sans le genre humain, ce corps céleste qu’est la terre retrouvera son sens premier.
L’histoire l’ayant montré, non pas à une mais à cinq reprises.
Ce n’est ni contre, ni pour nous que cela se produit, mais dans le sens d’un équilibre nous dépassant au moins autant qu’il nous est indispensable.
Les 8 principes s’attachant au concept de micro systémique que je vais vous présenter ces prochains mois, ainsi que tous les articles qui en découleront, seront le résultat d’une entraide coopérative entre l’équipe de Réponses Bio et :
→ les partenaires de la place de marché de Réponses Bio,
→ de nouveaux auteurs qui se dévoileront progressivement au fil des actualités et des saisons,
→ mes réponses et protocoles d’automédication et de bien-être,
→ mais, surtout et avant toute chose, votre détermination à couper les vivres du système industriel pour l’orienter plus volontiers vers la systémique des médecines holistiques, de l’alimentation saine et de l’environnement.
Et, lorsque cette micro systémique aura pris son essor comme elle le doit, eh bien, elle deviendra une macro systémique !
Bien que ce formidable mouvement ait déjà commencé un peu partout dans le monde, il est souvent téléguidé par des groupes financiers contrôlant de faux mouvements, de faux espoirs.
Rendant la chose infiniment plus complexe qu’elle ne l’est déjà.
Mais fort heureusement, nous ne sommes pas les seuls à penser de cette manière.
Je vous invite par exemple à regarder la dernière vidéo du Nouvel Obs, prouvant par A + B que c’est bien l’entraide la forme d’intelligence qui sera à l’origine du sauvetage de la race humaine ainsi que des espèces végétales et animales peuplant notre belle planète.
(voir vidéo sur le lien
http://www.reponsesbio.com/2017/12/31/en-2018-je-systemique/#video)
Et, dans le monde où nous vivons, qui dit entraide dit compréhension du principe de systémique.
Mais avant de vous intéresser à cette passionnante et spontanée petite vidéo présentant le livre intitulé La loi de la jungle n’existe pas, je vous serai particulièrement reconnaissant de répondre à cette question, dans l’espace commentaires en bas de l’article.
Pensez-vous que l’entraide à travers une systémique de consommation, de bien-être, de santé naturelle, ainsi que des mouvements allant justement dans le sens de la vie et de la protection de l’environnement, puisse sauver le genre humain ?
→ Que vous soyez optimiste ou pessimiste
→ Que vous pensiez que le genre humain ne risque rien
→ Que vous ayez l’habitude de participer ou non
→ Que vous soyez timide ou cherchiez à demeurer incognito
→ Ou encore que vous pensiez que votre opinion ne vaut pas grand chose
Faisons tout de suite un pas essentiel en direction de l’entraide que nous venons d’évoquer, en répondant le plus honnêtement possible à cette question.
N’hésitez pas à aborder des points cruciaux comme le problème de déserter les hyper surfaces, l’incompatibilité avec la vie active, la difficulté des handicaps, les budgets de médication naturelle, le non remboursement par la sécu, etc. etc.
Plus volontiers encore, des idées positives et constructives… ou même, pour celles et ceux à qui cela suffit, de chaleureux vœux de bonne année, une des graines originelles de cette entraide.
Il est aussi très fortement encouragé d’en débattre librement entre vous, répondant et interagissant dans l’espace commentaires.
Sur ce, il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une année étincelante, éclatante de joie, débordante de santé et de vitalité, en vous partageant cette réflexion si encourageante :
Pour ma part, je vous retrouve dans quelques jours avec la suite, qui promet d’être plus utile que jamais.
Jean-Baptiste Loin