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 Confinements, épidémies, coronavirus

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MessageSujet: Re: Confinements, épidémies, coronavirus   Confinements, épidémies, coronavirus - Page 6 EmptyMer 28 Fév 2024 - 14:59

D'autres infos, de moins en moins rassurantes, alors faites votre recherche complémentaire de votre côté.

source https://www.reponsesbio.com/la-viande-animale-contamines-graphene/

Le nouveau scandale de la viande contaminée
Par Réponses Bio
24 février 2024


Après avoir rendu publique une analyse spectroscopique infrarouge mesurant la conductivité du sang de certains de ses patients vaccinés, le Dr Ana Maria Mihalcea, spécialiste des nanotechnologies, plaidant pour une médecine intégrative plus douce et plus spirituelle, auteure d’un ouvrage intitulé « La médecine de lumière : Un nouveau paradigme », a été contactée par un de ses collègues, le Dr David Jernigan, exerçant dans l’État du Tennessee, pour lui faire part du résultat de ses propres recherches.

À l’époque, le Dr Jernigan, traitant régulièrement des patients touchés par les injections anti-covid, venait de développer une méthode permettant de détecter la « fréquence » de métabolismes vaccinés dont la mort avait été provoquée par l’apparition de caillots sanguins.

Cette information confirmant les résultats qu’il avait obtenus, il s’empressa de lui confier la réflexion suivante :

Après avoir constaté que certains membres de sa famille, non vaccinés, mais mangeant régulièrement de la viande, avaient développé les mêmes symptômes que ses patients vaccinés, le Dr. Jernigan a appliqué sur eux sa méthode de détection par les fréquences, à laquelle ils furent tous positifs.

Sachant qu’aucun d’entre eux n’avait reçu la moindre dose d’injection ARNm, il décida d’analyser la viande qu’ils consommaient et s’aperçut qu’elle affichait la même fréquence que les caillots de sang retrouvés sur les cadavres humains.

Il prit donc l’initiative de se rendre dans son épicerie locale afin de vérifier un maximum de produits à base de viande, tant biologique que non.  

Or, il constata que tous les échantillons sanguins des viandes qu’il venait d’analyser présentaient la même fréquence d’émission.

Suite à quoi il invita le Dr Mihalcea à se procurer à son tour de la viande dans les magasins se trouvant près de chez elle, éloignés de plusieurs milliers de kilomètres de son épicerie témoin, pour procéder à des analyses lui permettant de confirmer ou non ses propres résultats.

Ayant elle aussi été confrontée à des personnes non vaccinées souffrant de symptômes comme des diarrhées persistantes de plusieurs mois, testées négatives aux parasites et bactéries, mais affichant le même type de sang contaminé que les vaccinés, elle décida de suivre les recommandations du Dr Jernigan.

Ainsi, dans son post publié sur Substack(1) elle déclare avoir « soupçonné l’excrétion de vaccins, la pulvérisation de chemtrail, les écouvillonnages nasaux, les masques et la contamination par la biologie synthétique appelée « Covid et Covid long ».
Mais selon elle, si « beaucoup disent que ce que nous voyons dans le sang sont des parasites, mais ce n’est pas le cas.
Ce sont des formes de vie synthétiques auto-assemblées à base d’hydrogel, semblables aux microplastiques » – et aux technologies issues du graphène – « biologiquement modifiées. » …dont les photographies au microscopes ressemblent fort aux clichés pris par l’équipe de chercheurs du Dr Pablo Campra que je présente en détails dans cet article.

Décidant donc d’analyser le sang contenu dans plusieurs types de viandes, biologiques comme industrielles, mais aussi de lait animal, voici le résultat de ses recherches :
(photos sur le site)

Elle en conclut que « notre approvisionnement alimentaire – en particulier les produits animaux – est contaminé par des structures similaires à celles découvertes dans le sang humain. »

Et que, bien que les tests du Dr. Jernigan réalisés sur la fréquence de fruits et les légumes se soient avérés être négatifs, elle « encourage les autres à reproduire ce type de recherches ».
Recherches pouvant, selon elle, expliquer « pourquoi l’on retrouve ces structures sanguines apparemment vivantes chez tout le monde, qu’ils soient consommateurs de produits biologiques ou non. »

Il serait donc intéressant que des scientifiques français puissent, à leur tour, chercher une source locale de produits alimentaires d’origine animale, mais aussi procéder à des analyses de sang sur des vaches ou des porcs vivants.

S’ils sont contaminés en l’absence d’injection ARNm, le Dr Mihalcea pense que « cela pourrait indiquer une source de pollution environnementale, ou par pulvérisation de géo-ingénierie. »
Impliquant de si lourdes conséquences pour l’humanité qu’elle a immédiatement demandé à ses collègues, le Dr. David Nixon en Australie, Matt Taylor en Équateur et Shimon Yanowitz en Israël, de reproduire ses recherches et de partager leurs conclusions.
Insistant sur le fait que « nous devons vérifier ces résultats dans le monde entier. »

Montrant, si leurs découvertes s’avèrent positives à ce type de contaminants, que ces mystérieux organismes de synthèse auraient déjà colonisé la planète.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

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MessageSujet: Re: Confinements, épidémies, coronavirus   Confinements, épidémies, coronavirus - Page 6 EmptyVen 12 Avr 2024 - 16:47

source https://www.reponsesbio.com/contrainte-la-fda-oblige-pfizer-a-publier-des-documents-montrant-lutilisation-de-graphene-dans-les-injections-covid-19/

Contrainte, la FDA oblige Pfizer à publier des documents montrant l’utilisation de graphène dans les injections Covid 19
Par Réponses Bio -16 mars 2024

Tandis que la FDA, ou agence du médicament américaine, vient de contraindre Pfizer à divulguer les procédés de fabrication de ses technologies ARNm, après y avoir été elle-même obligée par un juge fédéral répondant aux plaintes d’un collectif de scientifiques, la question de la présence ou non d’oxyde de graphène dans les injections refait surface.

Et pour cause, si la FDA a tout d’abord tenté d’accorder un délai de soixante-quinze ans à Pfizer pour la publication des documents en question, et que les médias main stream, les réseaux sociaux et les agences de sécurité s’empressent de couvrir l’affaire en jurant que cela ne prouve rien… le fait est, bien que la formulation chimique l’accompagnant soit indéchiffrable pour le commun des mortels, que la mention « oxyde de graphène » figure bel et bien dans la liste des composants nécessaires à la fabrication des injections Pfizer. (1) p7

Or, même si les institutions ont peut-être raison d’insister sur le fait que l’oxyde de graphène ne figure pas dans la composition des injections ARNm Pfizer et Moderna, il intervient effectivement dans leur fabrication.

Et, lorsque l’on parle du devenir de nanoparticules entrant en contact avec un matériau, quel qu’il soit, personne ne peut dire avec certitude quelle quantité aura ou non transité dans le produit final sans réaliser une analyse au microscope moléculaire.

Si bien qu’une loi datant d’une quinzaine d’années permet à n’importe quel industriel de cacher la présence de nanoparticules entrant dans la composition de son produit, dans la mesure où ces dernières représentent moins de 50% de sa structure physicochimique.

Autant dire que, et ce depuis plus d’une décennie, nous ne devrions pas uniquement nous soucier du problème des nanoparticules de graphène dans les vaccins et injections ARNm, mais de celui des nanoparticules dans l’intégralité des produits de consommation, tant industriels que biologiques.

Autre exemple montrant que ce type de procédé est fort courant :
Les innocentes pastilles d’acérola bio que l’on trouve dans toute pharmacie et Biocoop promettant un apport naturel en vitamine C… sont farcies de stéarate de magnésium, un additif nanoparticulaire dont la dangerosité pour la consommation humaine est largement sous-évaluée, sans qu’il soit nécessaire de l’indiquer dans la composition.

Pourquoi ?
Parce que le stéarate de magnésium ne fait pas partie des ingrédients du produit, mais facilite sa fabrication.

Permettant de faire glisser plus aisément la poudre collante d’acérola dans les tuyaux des machines automatiques des façonniers, il est probable que certains producteurs ne soient même pas au courant que leurs produits en contiennent une dose non négligeable.

Tout comme dans cet exemple, le graphène est employé dans de si nombreux produits destinés à la consommation humaine, puis s’est si largement répandu dans l’air et les nappes phréatiques, qu’il n’est pas impossible que nous soyons tous touchés plus ou moins abondamment par ce toxique.

Les expériences in vitro et in vivo sur la toxicité des nanoparticules de graphène
Bien que l’on ait peu de recul et que, finalement, d’importantes franges de la population aient décidé de se faire vacciner sans connaître intégralement le contenu des injections, il semblerait que l’humain ait remplacé la souris dans une expérience à échelle planétaire.

Néanmoins, et fort heureusement, quelques scientifiques ont tout de même pris les devants en analysant la toxicité de différentes formes de graphène sur le vivant.

Notamment sur :
des cellules épithéliales pulmonaires,
des ribroblastes,
des cellules neuronales,
ainsi que différents modèles animaux.

Les résultats de ces examens allant directement dans le sens des inquiétudes et observations d’un nombre croissant de chercheurs, journalistes et lanceurs d’alertes concernant les effets toxiques des nanoparticules d’oxyde de graphène sur l’être humain.

En voici quelques rapides exemples.

Sur les macrophages péritonéaux :
Une exposition à du graphène vierge pendant 24h aboutit à une transcription et sécrétion anormalement élevées de cytokines et de chimiokines déclenchées par l’activation de la voie de signalisation NF-bB.
Une exposition à du graphène vierge pendant 48h aboutit à une induction de la cytotoxicité par appauvrissement du potentiel membranaire mitochondrial et augmentation des espèces d’oxygène réactif intracellulaire, déclenchant l’apoptose des cellules par activation de la voie mitochondriale.
Une exposition à du graphène vierge et du graphène fonctionnalisé pendant 48h, aboutit à une forte absorption intracellulaire du graphène hydrophile fonctionnalisé comparé au graphène vierge hydrophobe.

Observations globales : Les nanoparticules de graphène pénètrent à l’intérieur des cellules par la membrane, dans les aspérités de bord et les sites d’angle.

Les réponses cellulaires, dépendant du type de cellule ou de la composition de la protéine de couronne, ou protéine spike, sont perçues par le système immunitaire comme une attaque pouvant mener à des orages citokyniques et apoptose des cellules.

Sur des cellules pulmonaires :
Une exposition à des points quantiques graphène ou DQG répétée à 24h, 48h et 72h induit une réponse inflammatoire, puis une apoptose et autophagie dans les macrophages par voies de signalisation p38 MAPK et NF-bB.
Une exposition à du pluronique dispersé de graphène et de l’oxyde de graphène, administrés directement dans les poumons d’une souris, aboutit à une augmentation de la respiration mitochondriale et production d’espèces d’oxygène réactives, activant les voies inflammatoires et apoptotiques, conduisant à l’autodestruction des cellules.

Sur des cellules HepG2 :
Une exposition au graphène pur pendant 24h aboutit à la cytotoxicité des cellules HepG2 avec dommages à la membrane plasmique et induction de stress oxydatif.
Une exposition à l’oxyde graphène pendant 24h aboutit à la formation de ROS dépendante de la NADPH oxydase; puis une déréglementation des gènes liés à la réparation d’antioxydants et de l’ADN, menant à l’apoptose des cellules.

Sur la souris :
Une exposition à l’oxyde de graphène nanométrique administré à 24h, 48h, 72h et 1 semaine d’intervalle, aboutit à des blessures pulmonaires aiguës et une fibrose pulmonaire chronique.
Une exposition à du graphène à faible couche ou FLG par gavage oral ou instillation intratrachéale, à 3 et 28 jours, aboutit à un oedème pulmonaire aigu et oedème pulmonaire intratrachéal sans absorption détectable dans le tractus gastro-intestinal.
Une exposition à des plaquettes de graphène ou GP par inhalation, à 1 jour et 6 semaines, aboutit à une inflammation aiguë du poumon à 1 jour, et inflammation généralisée du poumon à 6 semaines.
Une exposition à de l’oxyde de graphène par injection intraveineuse aboutit à une forte accumulation, rétention prolongée, et formation d’oedème pulmonaire et de granulome.
Une exposition à de l’oxyde de graphène et des points quantiques de graphène ou GQD par injection intraveineuse aboutissent à une toxicité extrême causant rapidement la mort de l’animal.
Ces observations témoignent de la nocivité de la plupart des formes de nanoparticules de graphène, qu’elles soient utilisées comme vecteur ou non.

Amenant les auteurs de cette étude à déplorer que la majorité des recherches touchant à la toxicité du graphène se concentrent uniquement sur l’aspect cellulaire, et non sur ses interactions génétiques et celles avec le système nerveux central… (2)

Après plusieurs années de recul, quel est le meilleur moyen connu pour éliminer l’oxyde de graphène et les nanomatériaux en général ?
Bien que naturopathes, nutritionnistes et scientifiques aient proposé mille et une techniques censées chélater, capturer, ou réparer les dégâts causés par l’oxyde de graphène dans le corps humain, force est de constater qu’il n’y en a qu’une que l’on peut retenir pour avoir prouvé son efficacité en débarrassant l’organisme de suffisamment de molécules nocives pour être digne d’intérêt.

Aucune autre forme de charbon actif, aucune argile ou zéolite ne peut égaler le pouvoir de captation des nanoparticules du Moso 3000. Opérant une action puissante d’autant plus adaptée à piéger une autre forme carbonée, qu’il est lui-même essentiellement constitué de carbone et que le carbone s’attire.

Mais pas uniquement, puisque son triple pouvoir vient à la fois :
1/ Du bois de bambou Moso dont il est issu, produisant le plus fibreux et le plus adsorbant des charbons activés jamais produits par l’humanité.

2/ De son activation artisanale, assurant la conservation de la structure moléculaire de ses fibres intacte, permettant d’enfermer dans un vaste réseau de micropores les nanoparticules rencontrées sur sa route.

3/ Et enfin, sa fine micronisation, décuplant encore son pouvoir d’adsorption des molécules les plus fines.

Je le répète, puisque c’est pour tenter d’éviter un carnage que j’ai longuement travaillé sur ce sujet, le Charbon végétal ultra activé Moso 3000 est le seul remède à pleinement garantir votre sécurité en la matière.

Le Gluthation et la Vitamine C ainsi que tous les antioxydants présents dans la nature « répareront » le terrain autant que possible.

L’argile verte Montmorillonite ultra ventilée calmera les voies intestinales et participera à adoucir l’effet détox du Moso 3000.

Et de nombreuses autres solutions peuvent être utilisées en complément ; toutefois il est impératif de commencer par le commencement en expulsant au plus vite les envahisseurs.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

Sources et références :
1 https://phmpt.org/wp-content/uploads/2023/02/125742_S1_M4_4.2.1-vr-vtr-10741.pdf

2 https://europepmc.org/article/PMC/6075845

Sur Le Même Sujet , à lire sur le lien en début de ce message
Les dangers du graphène et ses dérivés
Les vaccins, le SARS-CoV-2 et le charbon ultra activé 3000
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