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 Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs

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MessageSujet: Re: Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs    Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs   - Page 2 EmptyJeu 18 Juil 2019 - 17:50

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source http://www.consoglobe.com/lutte-biologique-auxiliaires-cg
Lutte biologique : 18 animaux pour lutter contre les ravageurs au jardin
Tout jardinier a dû faire face à un moment donné à des animaux ravageurs. Au jardin bio, pas question de lutter contre eux à grands coups de produits chimiques. On va plutôt privilégier des méthodes naturelles, et particulièrement la lutte biologique. Celle-ci s’accompagne de l’action d’autres animaux.

18 auxiliaires qui participent à la lutte biologique et la vie du jardin
Personne n’est ravi de faire face à une invasion de pucerons ou d’avoir à lutter contre les limaces dans son potager. La tentation de faire appel aux grands moyens, à savoir pulvériser des produits toxiques pour éradiquer l’espèce dans un périmètre acceptable pour nos cultures, est grande. Cette méthode est toutefois très contestable, d’autant qu’existent diverses astuces pour un jardin naturel. Si on veut conserver un jardin bio, et cultiver des légumes, par exemple, on pourra notamment utiliser des produits moins toxiques pour les sols comme le purin.

On peut également considérer que la majorité des êtres vivants du jardin ont leur place dans ce microcosme. Les traitements chimiques vont à l’encontre de cet équilibre, car ils perturbent l’intégralité de l’écosystème. Le résultat, paradoxal, est que le jardinier va devoir traiter plus souvent son jardin et donc appauvrir encore l’écosystème. Pour lutter contre les ravageurs, on préférera donc aider la lutte biologique naturelle.

Vivre en harmonie avec les animaux au jardin
Une première méthode consiste à introduire des mâles stériles de l’espèce qu’on souhaite combattre. On en lâche un nombre conséquent de manière à ce que les femelles puissent moins se reproduire. Sous une serre cette méthode est particulièrement efficace. Cette méthode n’est hélas toutefois pas destinée aux particuliers, mais plutôt utilisée pour faire disparaître une population dangereuse, comme des moustiques.

Plus à la portée du jardinier que vous êtes, on peut également utiliser des animaux d’une autre espèce pour combattre un certain type d’insectes. Les auxiliaires, comme on les appelle, s’installent naturellement au jardin, mais on peut participer activement à leur arrivée.

Pour cela on va favoriser l’apparition de certains animaux par des plantes par exemple, des nichoirs ou en construisant un hôtel à insectes, ou même en introduisant des espèces de manière un peu artificielle dans le jardin avant de voir l’équilibre se faire naturellement.
La plupart du temps, ces animaux auxiliaires sont des insectes entomophages, des acariens entomophages ou des parasites.
http://www.consoglobe.com/hotel-a-insectes-lutte-biologique-cg

Tous les animaux ne sont pas des prédateurs et il ne faut pas introduire que ces derniers au jardin. D’autres espèces vont participer à la préservation de la flore. On distinguera donc bien trois sortes d’auxiliaires, que nous présentons dans le reste de l’article :
les décomposeurs, qui transforment les déchets végétaux et animaux en humus ;
les pollinisateurs, qui favorisent la reproduction des plantes en transportant le pollen ;
les prédateurs, qui mangent les ravageurs.

Voici donc 18 animaux auxiliaires très utiles au jardin.
1. La chrysope dans la lutte biologique
Prédateur – La chrysope commune (Chrysopa perla), que l’on appelle également « demoiselle aux yeux d’or » (Chrysoperla carnea) a un rôle très important à jouer en matière de lutte contre les pucerons. C’est essentiellement la larve qui nous intéresse ici, car elle est carnivore et se nourrit de pucerons.
Les femelles pondent des oeufs dès le début d’année, à la fin de l’hiver. Chaque larve va manger quelques centaines de pucerons avant d’atteindre l’état adulte. L’adulte passe ensuite l’hiver dans des coins tranquilles de bâtiments non chauffés.

2. La coccinelle contre les pucerons
Prédateur – C’est un fait assez connu : la coccinelle est un des ennemis jurés des pucerons, chacune d’entre elles en mangeant plusieurs dizaines par jour. Les larves vont jusqu’à à manger 150, tandis que les adultes en mangent en général presque une centaine. Elles sont actives durant le printemps et l’été.
Pour attirer les coccinelles au jardin, rien ne vaut la tanaisie, puisqu’elles adorent y pondre leurs oeufs. Vous pouvez aussi planter l’achillée

3. Les abeilles aident le jardin bio
Pollinisateur – L’abeille est un auxiliaire, mais son action porte sur la pollinisation, essentielle au jardin bio. Les abeilles sauvages vont s’installer dans des trous, qu’ils soient dans des arbres ou des roches. Il est également possible d’installer des ruches. Chaque essaim est une société.

4. Les guêpes dans la lutte biologique
Prédateur et pollinisateur – Le rôle des guêpes n’est pas de polliniser même si elles le font de manière occasionnelle donc vous pouvez planter des plantes mellifères pour les attirer : fenouil, oeillets d’Inde, menthe ou encore camomille. Hormis l’action de pollinisation, elles viennent tuer un bon nombre d’insectes. Certaines guêpes, plus petites que les autres, pondent leurs oeufs dans les chenilles et les pucerons.

5. Les vers de terre participent à la vie du jardin naturel
Décomposeur – Ces animaux ne sont pas très ragoûtants mais ils ont une utilité que peu soupçonnent. En matière d’aération du sol, ils sont les plus forts, grâce aux galeries qu’ils creusent partout. Les vers de terre se nourrissent des restes de végétaux et leurs déjections forment l’humus. S’il y a beaucoup de vers de terre, on a donc un sol de qualité. Pour les attirer à un endroit, mettez un peu de vinaigre contre une bordure. A l’inverse, pour éviter de les blesser travaillez aux heures chaudes quand ils se cachent en profondeur où la température est plus fraîche.

6. Les libellules dans la lutte biologique
Prédateur – Malgré leur allure frêle, les libellules sont de redoutables prédateurs. Elles dévorent un nombre considérable d’insectes et de petits animaux comme les vers, les mites, les papillons ou les cochenilles. La méthode la plus efficace pour les attirer est bien entendu de créer une mare naturelle au jardin.

7. Les oiseaux participent à la lutte biologique
Prédateur – Le jardinier craint parfois les oiseaux car ils ont tendance à grignoter les graines en même temps que les insectes et les vers. Pour qu’ils continuent de fréquenter le jardin mais touchent moins aux graines, plantez des arbustes à baies comme le sureau, qui combleront cette partie de leur alimentation. L’oiseau reste un chasseur intéressant pour le jardin ; des espèces comme le rouge-gorge sont particulièrement friands de limaces et de larves en tous genres.

8. Les bombyles dans la lutte biologique
Prédateur et pollinisateur – Les bombyles cohabitent mal avec les abeilles et les guêpes, puisqu’ils ont tendance à tuer les larves. Ce sont pourtant de redoutables chasseurs de pucerons, qu’on peut attirer avec certaines fleurs, comme la plante mellifère Limnanthes douglasii.

9. Les lézards dans la lutte biologique
Prédateur – Vous ne trouverez pas de lézards dans toutes les régions mais dans les zones plus chaudes, on pourra compter sur eux pour s’installer sur les murailles et attaquer mouches, chenilles et grillons.

10. Le hérisson pour une lutte biologique très piquante
Prédateur – Le hérisson est en partie menacé en France à cause de la circulation routière, mais il reste un chasseur redoutable pour réguler les populations d’araignées, d’escargots, de vers, ainsi que pour terminer les carcasses d’animaux. Si vous le voyez au jardin, ne le chassez pas.

11. Les crapauds dans la lutte biologique
Prédateur – On aimerait vous dire que le crapaud peut se transformer en jardinier charmant mais, à défaut, il fera un festin des limaces. Evitez-donc de le chasser si vous le voyez et laissez-le faire son travail avant qu’il ne reparte repus.

12. Perce-oreilles et lutte biologique
Prédateur – Le perce-oreille est un chasseur de petits insectes. Il aime les acariens, mais également les pucerons et un peu tout ce qui traîne : comme le hérisson, il fera un festin de ce qui passe autour. Les jardiniers ne l’aiment pas toujours car il s’attaque aussi aux plantules, ayant un régime partiellement végétarien. Il sera par contre très utile au verger.

13. La syrphe participe à la lutte biologique
Prédateur et pollinisateur – Les syrphes font partie des butineurs mais ce sont les larves qui vont nous intéresser le plus au jardin bio. Si quelques espèces sont végétariennes ou nécrophiles, une majeure partie des larves de syrphes vont se délecter des pucerons et même les tuer sans les manger. On attire les syrphes avec le fenouil, le persil, le cerfeuil ou encore la carotte et le céleri.

14. La chauve-souris est une bonne chasseuse
Prédateur – Si, comme Batman, vous avez peur des chauve-souris, vous pourriez changer d’avis avec cette information : elles sont de véritables atouts contre les moustiques. Elles peuvent en avaler 600 par heure et mangent des milliers d’insectes par nuit. Les chauves-souris seront naturellement attirées par votre habitat s’il y a un nombre conséquent d’insectes autour de chez vous. Elles pourront également être tentées de rester s’il y a un abri ouvert et étroit ou des trous dans les arbres. On peut envisager de construire un nichoir dédié en bois.

15. Epeire et lutte biologique : ne chassez pas toutes les araignées !
Prédateur – Le mot « épeire » regroupe en réalité plusieurs araignées, qui vont réguler les populations de plusieurs ravageurs, qu’elles consomment vivants. Elles tissent des toiles, dans les feuillages, qui serviront essentiellement à capturer les insectes volants. Pour les attirer, rien ne valent des herbes hautes et des buissons.

16. Les papillons font aussi partie de la lutte biologique
Pollinisateur – Les papillons font partie des pollinisateurs. Ils sont attirés par les pétales des fleurs, colorés pour la journée et blancs pour la nuit, ainsi que par leur odeur. Les papillons butinent de manière à se nourrir de nectar et leurs corps se couvrent de pollen qu’ils distribuent ensuite de manière involontaire.

17. Carabe et lutte biologique
Prédateur – Le carabe se reconnaît à son corps allongé et des reflets métalliques bleus, dorés ou de couleur pourpre. Cet auxiliaire court aussi bien sur le sol que dans les herbes, généralement la nuit, et se nourrit de limaces, d’escargots, ainsi que de vers et d’insectes variés. Comme les syrphes, les carabes tuent un grand nombre de proies sans forcément les manger.

18. Staphylin et lutte biologique
Prédateur et décomposeur – Le staphylin est carnivore adulte et à l’état de larve, se nourrissant de restes de matière organique et également d’acariens, d’asticots, de mouches, de limaces ou encore de cochenilles.

Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs   - Page 2 4125590547 source http://www.consoglobe.com/comment-faire-de-votre-balcon-un-concentre-de-biodiversite-cg?plusloin=true
Comment faire de votre balcon un concentré de biodiversité
Que l’on soit citadin ou que l’on vive à la campagne, nous avons tous les moyens de contribuer au moins un tout petit peu à la protection de notre environnement. Eh oui, même en ville, vous pouvez faire de votre balcon un petit coin de paradis pour la biodiversité !

En ville, les espèces végétales et animales font face à de nombreuses menaces : perte d’habitats naturels, éclairage urbain, pollution atmosphérique et bien sûr, l’utilisation intensive de pesticides et herbicides. D’ailleurs, la France est le pays le plus consommateur de pesticides en Europe
Et si votre balcon venait à la rescousse la biodiversité ?
La bonne nouvelle est que chacun, à son échelle, peut aider à contrebalancer le phénomène, voire inverser la tendance en recréant des conditions idéales pour la faune et la flore.
Cela commence donc par créer un milieu diversifié pour offrir une multiplicité d’habitats à de multiples espèce.

Variez ainsi le paysage en aménageant votre balcon à l’aide de :
-jardinières suspendues qui contiendront les plantes qui ont besoin de beaucoup de lumière (marguerites, sauges des près, mauves musquées, coquelicots…)
-jardinières surmontées d’une treille en bois pour les grimpants (lierre commun, clématites, chèvrefeuille, houblon, vigne…)
-jardinières aromatiques
-jardinières pour cultiver vos légumes

Aménagez également des zones ensoleillées et des zones d’ombre car chaque espèce a des besoins différents
Des plantes pour attirer les pollinisateurs
Les papillons, les abeilles, les bourdons, etc. ont un rôle primordial pour l’environnement. Ce sont eux qui, par le biais de la pollinisation, assurent la fécondation des plantes.
Pour attirer les précieux insectes pollinisateurs, il faut leur fournir de quoi manger.

Veillez à planter sur votre balcon des plantes nectarifères, véritables garde-manger pour pollinisateurs. Les plantes à faible développement sont tout indiquées en ville, puisque l’espace y est en général réduit.

Les plantes aromatiques par exemple conviennent très bien : thym, serpolet, lavande, menthe, marjolaine, romarin, sauge et même les arbres fruitiers nains.

Il est important d’offrir une certaine variété de plantes et de fleurs car toutes ne peuvent être butinées par les mêmes insectes. En effet, la morphologie de la fleur est déterminante pour que l’insecte puisse y puiser le précieux nectar. Les fleurs en forme de tube par exemple attireront des papillons comme le morosphinx car celui-ci est doté d’une grande trompe, plus grande que son corps !

Les papillons avec leurs grandes ailes préfèrent les fleurs à large corolle qui leur seront plus accessibles.

La bourrache, parce qu’elle est très riche en nectar, attirera fortement les abeilles. Également, les plantes florifères comme la campanule à feuille ronde, la scabieuse colombaire aux fleurs lilas ou le buphtalme à feuille de saule offriront une longue période de floraison de mars à septembre et seront donc très appréciées des abeilles sauvages.

En France, on compte entre 450 et 500 espèces indigènes : des plantes odorantes, grimpantes, aromatiques, annuelles ou bisannuelles, de toutes tailles et toutes couleurs. Celles-ci sont à privilégier dans vos choix car elles procurent une nourriture adaptée aux insectes qui viendront vous rendre visite.

Favoriser la lutte biologique
Comme vu plus haut, c’est l’utilisation intensive d’intrants chimiques qui est, en grande partie, responsable du déclin de la biodiversité. Pourtant, il est tout à fait possible de prendre soin de ses plantes de manière tout à fait naturelle. Et ce sont les insectes qui vont vous y aider.

La lutte biologique fait ainsi appel à la nature, c’est-à-dire à des animaux, pour prévenir ou réduire les dégâts causés par les ravageurs. Ainsi, pour éradiquer un ravageur, on cherche à introduire son prédateur naturel, qui devient alors l’auxiliaire du jardinier, comme les coccinelles, les guêpes, les carabes, les syrphes et toutes sortes d’araignées.
La lutte biologique est un moyen de favoriser l’équilibre de l’écosystème car elle favorise la diversité.

Installez des abris, gîtes, nids et nichoirs
Ces petites installations sont destinés aux insectes, oiseaux et chauve-souris afin qu’ils puissent se protéger durant l’hiver, nidifier ou déposer leurs larves.

Les gîtes ou hôtels à insectes : ils permettent aux insectes de passer l’hiver au chaud. Disposez les dans un coin abrité de votre balcon afin d’inciter les coccinelles, les guêpes et abeilles sauvages ou autres chrysopes sauvages à venir y séjourner.

Un abri en osier invitera les moineaux, mésanges ou troglodyte à venir y construire leur nid.
Placez des nichoirs en hauteur sous l’avancée du toit

Quelques silhouettes anticollision éviteront aux oiseaux de percuter les fenêtres ou les grandes baies vitrées.

La LPO vous guide dans l’aménagement de votre balcon
La Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO), est l’une des premières associations de défense des oiseaux en France. Parmi ses divers actions et programmes, la Ligue invite les citadins à faire de leur balcon un « Refuge LPO ».
Pour ce faire, elle a élaboré un coffret contenant 1 livret technique pour bien aménager son balcon et apprendre à reconnaître les oiseaux, 1 abri pour passereaux en osier, 1 planche d’autocollants « La nature en ville », des étiquettes de semis, 5 sachets de graines (4 plantes aromatiques ; 1 potagère) à planter en jardinière et 1 an d’abonnement à l’espace « Mon espace Refuge » sur le site de la LPO.

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https://www.reperes-paysans.org/_ressources/user-files/Brochure_alternatives_pesticides.pdf

http://www.nord-nature.org/fiches/fiche_j7_lutte_biologique.htm

https://www.gammvert.fr/conseils/conseils-de-jardinage/lutte-biologique-utiliser-les-insectes-auxiliaires

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MessageSujet: Re: Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs    Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs   - Page 2 EmptyJeu 18 Juil 2019 - 17:50

Deux témoignages recueillis sur mon ancien forum.

Au printemps, je suis envahie par les escargots qui arrivent gaillardement du jardin de l'immeuble d'à côté.
Mes amaryllis, toutes les petites pousses nouvelles font le régal de ces affamés.
J'ai trouvé un truc, je mets une fine couche de sciure sur le pot, et je peux vous dire qu'ils n'aiment pas ça du tout, et l'année dernière j'ai eu de belles fleurs.

Ton truc est très utile, tout comme le mien qui consiste à saupoudrer la terre avec les cendres que j'ai laissé reposer pendant 3 mois, sinon elles brûlent tout.
Mais attention, tout ce que l'on ajoute à la terre peut influer son PH alors il faut faire attention, au risque de perturber l'évolution des plantes.

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MessageSujet: Re: Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs    Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs   - Page 2 EmptyJeu 18 Juil 2019 - 17:52

Même en plein coeur de Paris, il y a des assaillants
source http://www.pariscotejardin.fr/page/33/
11 mai 2014
Otiorhynque repéré !
L’otiorhynque est un petit charançon assez discret qui se repère davantage pas les dégâts qu’il provoque sur les feuilles qu’ils poinçonnent. Soigneusement blotti au creux des feuilles de mon Dahlia merckii, un adulte ne m’a pas échappé. Le temps de faire quelques photos et son sort était réglé, zigouillé !

Je ne dois plus en avoir beaucoup sur mon balcon parce que je n’ai pratiquement plus de feuilles découpées sur les rebords des limbes. Le dahlia n’a pas souffert, aucune de ses feuilles n’est grignotée. Et l’ennemi est trépassé. Enfin, celui que j’ai pu apercevoir…

http://www.jardiner-autrement.fr/fiches-techniques/bioagresseurs-generalistes/181-otiorhynque

http://www.rustica.fr/videos-jardin/maladies-et-parasites/lutter-contre-otiorhynques,7709.html

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Il n'y a pas que la chenille processionnaire qui fait de gros dégâts
source http://www.pariscotejardin.fr/page/24/
1 juin 2014
Attaque impressionnante d’hyponomeutes sur les saules du parc de Bercy (Paris 12e)
Si vous allez vous balader dans le parc de Bercy, vous rencontrerez quelques arbres, des saules uniquement, pratiquement sans feuille et couverts d’immenses toiles blanchâtres. Et si vous vous approchez davantage, vous repérerez vite les milliers de chenilles qui vivent sous ces tentures protectrices. Des chenilles de l’hyponomeute, un petit papillon nocturne.

http://www.commentfaiton.com/fiche/voir/355907/comment-reconnaitre-l-hyponomeute-et-la-traiter

source http://echonature.over-blog.com/article-l-hyponomeute-75438283.html
Malgré les nombreux et importants ravages qu'elle occasionne, la chenille hyponomeute n'est pas urticante et est donc totalement innofensive pour l'homme.

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MessageSujet: Re: Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs    Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs   - Page 2 EmptyJeu 18 Juil 2019 - 17:54

Message que j'avais trouvé sur le site il y a quelques années

source ICI sur jardiner autrement

Jardiner Autrement

Le site de référence pour jardiner sans pesticide

Pratiquez-vous la lutte biologique dans votre jardin? Dans notre dernier sondage, nous vous proposions de nous faire part de vos méthodes de lutte biologique au jardin. En effet, sous ce terme sont regroupées de nombreuses solutions permettant de contrôler différents ravageurs et maladies. Vous avez été plus de 250 à nous répondre et environ 88% d’entre vous ont recours à la lutte biologique, prouvant ainsi que les visiteurs de Jardiner Autrement sont bien informés sur les pratiques alternatives et naturelles !  

Les coccinelles contre les pucerons représentent, sans grande surprise, la méthode la plus utilisée par les jardiniers ayant répondu au sondage puisque qu’un tiers des votants utilise cet auxiliaire. A noter que 7% d’entre vous fait appel à une espèce spécifique de coccinelle qui s’attaque aux cochenilles : la coccinelle de Montrouzier.

En deuxième position des méthodes les plus populaires, la chrysope est utilisée par environ 13% d’entre vous. Cet auxiliaire précieux et naturellement présent est utile dans la lutte contre les pucerons mais aussi les acariens, thrips ou mouches blanches.

Presque à égalité avec la coccinelle de Montrouzier, vous êtes un peu plus de 7% à utiliser le Bacillus thuringiensis, micro-organisme efficace pour éliminer de nombreux ravageurs, notamment les larves de Lépidoptères (teignes, pyrales, tordeuses, carpocapse des pommes et des poires, processionnaire du pin…) mais à appliquer avec précautions car il peut être irritant et dangereux pour les abeilles.

En fin de classement se retrouvent trois espèces de nématodes permettant de lutter respectivement contre les limaces (5%), contre les vers blancs (3.4%) et contre les vers gris (2.7%) ainsi que l’acarien prédateur des tétranyques (4.6%).

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source https://www.jardiner-autrement.fr/reconnaitre/
Reconnaître
Les fiches techniques vous aident à identifier les ravageurs et maladies de vos cultures afin de mieux les protéger, et vous permettent de mieux connaître les auxiliaires amis du jardinier.

Dans les fiches techniques, retrouvez les principaux ravageurs et maladies présents au jardin, classés par types de plantes :
Plantes ornementales,
Plantes potagères,
Arbres fruitiers et petits fruits ;
Ainsi que des fiches « bioagresseurs généralistes » (ravageurs s’attaquant à de nombreuses plantes du jardin)
Et plantes invasives.

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MessageSujet: Re: Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs    Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs   - Page 2 EmptyJeu 18 Juil 2019 - 17:54

source ICI sur consommer durable

2 méthodes écologiques et simples pour lutter contre les maladies des plantes : champignons (rouille, oïdium, mildiou) et pucerons
Le 20/05/09 par cyrill.e

Comment réaliser un fongicide naturel (lutte contre la rouille, le mildiou…), pour un pulvérisateur ayant un volume d’un litre :
dans un pulvérisateur, mélanger une 1/2 cuillère à café de bicarbonate de sodium (2 g) et 4 cuillères à café d’huile d’olive
diluer ce mélange dans 1 litre d’eau
pulvériser les plantes avec ce liquide sans en mettre sur les fleurs
l’opération peut être renouvelée au bout de 3 semaines si nécessaire.

Les précautions d’utilisation :
Penser à vérifier que la solution obtenue n’engendre pas d’impact négatif sur la plante (brulure, etc…) en réalisant une première pulvérisation sur une petite partie du feuillage.

Arrêter le traitement si vous vous apercevez qu’il a un impact négatif sur la plante
Il est possible d’augmenter ou de diminuer jusqu’à 1g/l la concentration en bicarbonate de la solution. Mais attention, des concentrations supérieures à 5g de bicarbonate par litre d’eau engendrent régulièrement des impacts sur la plante (brulures…).

Comment réaliser un insecticide naturel (lutte contre les pucerons, …) :
écraser 2 gousses d’ail
mélanger avec un litre d’eau du robinet
laisser macérer pendant 24 h la préparation
filtrer et pulvériser la solution obtenue.

Les précautions d’utilisation :
Penser à vérifier que la solution obtenue n’engendre pas d’impact négatif sur la plante (brulure, etc…) en réalisant une première pulvérisation sur une petite partie du feuillage.
Arrêter le traitement si vous vous apercevez qu’il a un impact négatif sur la plante

A lire également :
Comment éliminer l’oïdium, d’une manière écologique
ICI

Comment se débarrasser et lutter contre quelques nuisibles au jardins : les “mauvaises herbes”, les chenilles et les mouches, les escargots et limaces, les pucerons
ICI

***
mickey mousse dit :
12 septembre 2010 à 12 h 34
Contre les pucerons, il y a plusieurs méthodes intéressantes et naturelles : en voici, issue du pamplemousse, ou plutôt de l’extrait de pépins de pamplemousse :
Les pépins de pamplemousse possède des vertus anti-microbiennes qui sont très utilisées pour la lutte contre les pucerons, les limaces ou toutes sortes d’insectes parasites, notamment par l’agriculture.

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MessageSujet: Re: Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs    Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs   - Page 2 EmptyJeu 18 Juil 2019 - 17:56

source http://www.tous-au-potager.fr/
Bienvenue sur Tous au Potager ! Vous êtes au bon endroit pour apprendre ou vous améliorer dans votre pratique du potager bio !
Pour en savoir plus cliquez ici
http://www.tous-au-potager.fr/a-propos/
Bienvenue sur Tous au Potager ! Je suis Aurélien et je partage à travers ce blog ma passion du jardinage au potager.
Je jardine dans une terre sableuse près de la Loire à proximité d’Angers. Mon potager n’est pas immense (300m²) mais suffisant pour cultiver une diversité de légumes, de fruits rouges, de quelques fruitiers (poiriers, vignes) de plantes aromatiques et médicinales (sauge, mélisse, menthe, romarin etc…) de fleurs (bourrache, soucis, camomille, oeillets d’inde, etc…) ainsi que d’autres plantes « utiles » et engrais verts (ortie, achillée millefeuille, phacélie, moutarde, vesce etc…).

Ma formation
Licencié en « protection des cultures et développement durable » j’ai voulu allier mes compétences acquises au fil de mes études et ma passion du jardinage afin de les transmettre à travers ce blog.
Puis technicien de recherche en pathologie végétale au GEVES, je suis capable d’identifier de nombreuses maladies des plantes potagères ainsi que de reconnaître des symptômes de résistance aux maladies.

POURQUOI CE BLOG ?
Entièrement convaincu que nous pouvons tous jardiner bio, facilement, en évitant les pesticides (herbicides, insecticides etc…) et les engrais inorganiques. Il suffit d’aller dans le sens de la nature en favorisant par exemple la diversité de la flore, en paillant votre jardin, en favorisant des plantes engrais (ex la consoude) et en faisant son propre compost.

QU’ALLEZ VOUS TROUVER SUR CE BLOG ?
Mes articles présentent les plantes que je cultive, les insectes que vous pouvez rencontrer au potager, comment favoriser les « utiles », comment faire votre compost, comment lutter contre les maladies naturellement, divers conseils pratiques, des astuces pour préserver des ressources comme l’eau et limiter les intrants comme les engrais organiques etc…
Voici quelques exemples d’articles :
Cultivez des engrais verts de printemps dans votre potager
Comment identifier et lutter contre le mildiou de la tomate
Comment attirer les coccinelles au potager
Associer carottes et poireaux, un double bénéfice au potager bio
8 conseils pour réussir un compost de qualité

Très bonne visite !

Aurélien

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Chaque année la vigne de mes voisins est envahie d'altises, l'article ci dessous a retenu mon attention:
source http://www.tous-au-potager.fr/
L’herbe à chat dans votre jardin potager bio
Test produits : Biogrif’ – Binette Duopro – Fourche à bêcher
Les travaux du mois de septembre au potager bio
La nécrose ou pourriture apicale de la tomate
Le purin de consoude – Fabrication & Utilisation

Comment lutter contre les altises sur les cultures de Brassicacées
Avez-vous déjà observé des dégâts d’altises sur vos cultures ? Des feuilles de cresson et de roquette entièrement poinçonnées, deviennent tout à coup beaucoup moins appétissantes. Vos choux, navets, radis et rutabaga avec les mêmes petits trous semblent ne plus vouloir grandir, comme épuisés par leurs hôte.
En cherchant le coupable on peut voir ce petit insecte, de quelques millimètres seulement. En approchant un doigt il saute comme une puce. Ne cherchez plus, vous avez bel et bien à faire à une altise.
Après une description de l’insecte nous verrons les moyens de lutte à mettre en œuvre.

Il existe d’autres espèces d’altises qui s’attaquent à d’autres plantes, comme les tomates, pomme de terre, raisins, céréales, toutefois leurs impact est moins important que sur la famille des Brassicacées.

Description L’altise est un insecte de l’ordre des coléoptère aux pattes arrières bien développées. Comme souvent un nom n’est pas donné au hasard, Altise vient du grec haltikos, signifiant « habile à sauter ». On la nomme aussi « puce de terre ». L’altise des crucifères, Phyllotreta nemorum, mesure de 3 à 5 mm, entièrement noire avec parfois des élytres jaunes. Les adultes apparaissent en juillet-août. Tous les dégâts ne sont pas visibles sur les feuilles, en effet les larves se nourrissent des racines des plantes.

Qu’est ce qui favorise sa présence ?
L’altise aime un milieu sec et chaud. Cette espèce aime en particulier l’odeur des Brassicacées cultivées et sauvages.

Comment lutter contre les altises ?
Avant de se mettre à lutter contre, commençons par relativiser. Posons nous quelques questions :
Sur quels légumes l’altise dérange vraiment ? Quelques trous sur les feuilles de choux sont-ils vraiment gênants ? A quel stade de croissance sont les plantes attaquées ? Sont-elles suffisamment nombreuses pour que je m’en inquiète ?
En effet quelques altises ne sont pas vraiment dérangeantes sur des choux déjà bien développés. Par contre sur du cresson et de la roquette on cherchera à les éviter totalement, ce qui est quand même plus appétant. De même on sera attentif sur les jeunes plantules (choux, navets) et les jeunes plantes repiquées (choux) où sa présence peut provoquer un déséquilibre jouant jusqu’à la survie des plantes.

En prévention
Si le potager est sujet aux attaques des altises il est préférable d’éviter la moutarde en engrais vert.
Placer un filet à maille très fine après le semis ou la plantation reste une solution très efficace. Vous pouvez trouver un filet ici : Filet anti-insectes
Pour les plantes où l’on mange les feuilles jeunes (cresson, roquette) le filet est vraiment utile.
Paillez généreusement vos plantations pour rendre l’accès à la terre difficile à l’altise (lieu de ponte).
Arrosez régulièrement vos choux (bon pour le chou, mauvais pour l’altise)

En cas d’attaque
Commencez par privilégier quelques moyens simples à mettre en œuvre :
Binez autour de vos cultures afin de déranger les pontes de l’altise, arrosez puis paillez.
Disposer autour de la culture des branches d’absinthe coupées. L’odeur les fait fuir, j’ai pu le vérifier cette année.
Saupoudrez les plantes de cendres de bois
Si ça ne suffit pas, tentez les moyens suivants :
Pulvérisez un purin d’absinthe ou de tanaisie, à renouveler fréquemment.
Pulvérisez une décoction d’ail, à renouveler fréquemment.

En guise de conclusion
La nuisance provoquée par les altises peut provoquer des dégâts irrémédiables à vos cultures, toutefois il faut que leur nombre soit important. Nous avons vu des moyens très simples à mettre en œuvre en cas d’attaque, ainsi que les bonnes pratiques en préventif comme l’utilisation d’un filet anti-insectes à maille fine.
Si vous avez appréciez cet article n’hésitez pas à le partager ou l’aimer sur les réseaux sociaux, vous pouvez aussi laisser un commentaire ci-dessous.
D’ailleurs j’ai quelques questions :
Quand est-il chez vous ? Avez-vous déjà eu à subir les attaques d’altises ? Que faites-vous si c’est le cas ?

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MessageSujet: Re: Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs    Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs   - Page 2 EmptyJeu 18 Juil 2019 - 17:56

source http://www.aspro-pnpp.org/
Pour la reconnaissance des alternatives aux pesticides
L’Aspro-PNPP (ASsociation pour la PROmotion des Produits Naturels Peu Préoccupants) regroupe des associations, des journalistes, des écrivains, des chercheurs, des entreprises, des agriculteurs, des jardiniers, de simples consommateurs, des collectivités locales. Pour tous, la préservation de notre environnement est une impérieuse nécessité.

Une association qui s'engage pour une agriculture respectueuse de la nature et des êtres vivants

Le purin d’ortie et les PNPP enfin reconnus par la loi
Posted on 31 octobre 2014 by Perrine Bertrand

Sortir des pesticides : Paul François, l’insoumis à Monsanto
Posted on 4 septembre 2013 by Dominique Jeannot

L’herbicide le plus vendu dans le monde présent dans le corps humain (Les Amis de la Terre Europe)
Posted on 24 juin 2013 by Dominique Jeannot

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MessageSujet: Re: Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs    Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs   - Page 2 EmptyJeu 18 Juil 2019 - 17:58

Agence de l'eau Rhône, Méditerranée, Corse
 source ICI
Grands dossiers
Adaptation au changement climatique
Epuration des eaux usées
Partage de l'eau
Protection des aires d'alimentation de captages
Restauration du fonctionnement naturel des cours d'eau
Réduction de la présence de substances dangereuses dans les eaux
Réduction de la présence de pesticides dans les eaux

Les solutions alternatives aux pesticides
Réduire, voire supprimer l'usage des pesticides pour l'entretien des espaces verts et des voiries, c'est possible ! Outre l'adoption d'autres gestes techniques par les services espaces verts des communes, il est important de changer notre perception de la nature dans nos villes et villages et de redonner une place aux plantes que l'on qualifie à tort de "mauvaises herbes".

Une autre approche du paysage urbain…
Faut-il vraiment désherber tous les espaces urbains ?
Laisser l’herbe se développer entre les pavés, les pissenlits sur certaines pelouses… Pourquoi pas ?
Les mentalités évoluent : 91 % des personnes interrogées se disent prêtes à accepter la végétation sauvage dans l’espace urbain. (Source : consultation du public sur l’eau et les milieux aquatiques sur le bassin Rhône-Méditerranée - 2008)
De nombreuses villes et villages partagent déjà cette démarche éco-citoyenne : à Lyon, Dijon, Grenoble, Fenay en Côte d’Or, ou encore à Murviel-les-Béziers dans l’Hérault… la végétation spontanée est tolérée.

Les solutions techniques pour ne pas avoir recours au traitement chimique
Des solutions préventives faciles à mettre en œuvre
Penser autrement la conception des aménagements
Privilégier le paillage et opter pour des plantes couvre-sol. En occultant la lumière, elles ne laisseront pas germer les graines des plantes spontanées présentes dans le sol.
Mener une réflexion sur les annuelles pour privilégier des espèces naturelles et faciles d’entretien avec un aspect plus champêtre.
Favoriser la diversité des essences végétales afin de rétablir un équilibre biologique et ainsi favoriser le développement de la faune auxiliaire…

Des solutions curatives alternatives au désherbage chimique
Désherbage mécanique, thermique, manuel…

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MessageSujet: Re: Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs    Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs   - Page 2 EmptyJeu 18 Juil 2019 - 18:02

source https://www.adalia.be/conseils-au-jardin
À propos d'Adalia
Oeuvrons pour des espaces verts sains, conçus et gérés dans le respect de l'environnement et de la nature

Pourquoi Adalia 2.0 ?
L’asbl tire son nom de la coccinelle Adalia bipunctata. Grande prédatrice de pucerons, elle est connue pour se substituer aux pesticides de synthèse dans les jardins. Tout comme elle, nous œuvrons aux côtés de la Wallonie pour limiter l’utilisation des pesticides et transiter vers un mode de gestion écologique des espaces verts.

En 2018, l’asbl Adalia fusionne avec le Pôle wallon de Gestion différenciée. Adalia 2.0 voit donc le jour : 2 associations pour 0 phyto et plus de nature.

Notre histoire
En 2001, l’asbl Adalia est fondée suite au succès rencontré par la campagne « Des coccinelles plutôt que des pesticides ». Organisée dans des centaines d’écoles de Wallonie, cette animation propose aux enfants des élevages de coccinelles et de papillons. L’objectif est simple : les sensibiliser à l’importance des insectes utiles au jardin et les préférer aux pesticides.

Très rapidement, l’asbl se fait connaître du grand public intéressé par les conseils et informations sur les alternatives aux méthodes chimiques. L'élargissement des missions de l’asbl devient dès lors essentiel afin de répondre à cette demande croissante. De nombreuses campagnes voient le jour comme le Printemps Sans Pesticides ou encore Abeilles et Compagnies.

En 2008, à l’initiative de l’asbl et du CRIE de Mouscron, le Pôle wallon de Gestion Différenciée est créé afin d'accompagner les gestionnaires d’espaces verts publics vers des modes d’entretien respectueux de l’environnement. Ses missions : informer, former et conseiller les communes wallonnes sur la gestion différenciée des espaces verts et la réduction des pesticides sur le domaine public.

Dix ans plus tard, en mars 2018, c’est tout naturellement que l’asbl Adalia fusionne avec le Pôle wallon de Gestion Différenciée. Adalia 2.0 voit le jour : Deux associations pour zéro phyto et plus de nature.

Nos missions
Sensibiliser professionnels et particuliers, enfants comme adultes, à la nécessité et aux enjeux d’une gestion écologique des espaces verts

Informer, conseiller et former sur les méthodes respectueuses de la nature et de la santé

Animer des réseaux, valoriser et accompagner les initiatives de conception et d’entretien d’espaces verts à impact positif sur l’environnement

Nos valeurs
Le vivant
Nous considérons le vivant comme un tout, où l’homme et la nature doivent cohabiter harmonieusement

L’audace
Nous cultivons l’audace et la créativité pour atteindre nos objectifs et remplir nos missions

La collaboration
A l’image du vivant, nous appliquons le principe de l’entraide, de l’écoute et de la collaboration au sein de réseaux ouverts et bienveillants

La recherche de qualité
De manière indépendante, nous nous appuyons sur l’expérience et des données vérifiées pour promouvoir des solutions de qualité, fiables et pertinentes

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MessageSujet: Re: Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs    Lutte (la plus naturelle possible) contre maladies et ravageurs   - Page 2 EmptyDim 21 Juil 2019 - 19:13

Au rayon jardinage : LA BOUILLIE NANTAISE
"A l’instar de la bouillie bordelaise, la bouillie nantaise est un fongicide sans danger pour l’environnement. Et contrairement à la première, qui contient du cuivre, elle n’appauvrit pas le sol. Sans compter qu’elle agit aussi comme un insecticide (elle a été créée en 1860 pour combattre les cochenilles des arbres fruitiers).

Vos plantes souffrent de maladies cryptogamiques (infections provoquées par des champignons) ? La tavelure, la cloque du pêcher, l’oïdium ou encore le mildiou attaquent vos protégées ? La solution verte, c’est la bouillie nantaise ! Elle permet une action curative (la bouille bordelaise a une action préventive) rapide et efficace et stimule la croissance.

On peut en trouver dans le commerce mais il est également possible de la préparer soi-même : pour cela, mélangez 100 g de soufre en poudre et 50 g de chaux éteinte avec 1 L d’eau et portez le tout à ébullition durant environ 30 min (en ajoutant régulièrement de l’eau pour compenser l’évaporation). Réalisez l’opération de préférence à l’extérieur car l’odeur est fortement désagréable. Laissez ensuite refroidir et conservez la solution dans un récipient étanche. Il ne reste plus qu’à diluer à 15 %, et à pulvériser directement sur les feuilles malades…"
http://actu.orange.fr/environnement/eco-geste/jardinage-utiliser-la-bouillie-nantaise_3848.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bouillie_nantaise

https://verger.ooreka.fr/fiche/voir/260112/faire-et-utiliser-de-la-bouillie-nantaise

https://fr.agroneo.com/techniques/intrants/fongicides/bouillie-nantaise

https://www.gammvert.fr/conseils/glossaire-jardinage/bouillie

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