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 M= Oïdium

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MessageSujet: M= Oïdium   M= Oïdium EmptyJeu 18 Juil 2019 - 16:13

M= Oïdium 889353133

Dans un reportage de Silence ça pousse, un jardinier averti qui avait un nombre incalculable de rosiers avait dit qu'il utilisait du lait pour combattre l'apparition d'oïdium sur ses arbustes car d'après lui cette maladie ne craignait qu'une chose, c'est le lactose.
J'ai voulu en savoir plus et j'ai fait quelques recherches sur le net

source  https://fr.wikipedia.org/wiki/O%C3%AFdium
Oïdium

L'oïdium, ou maladie du blanc, est le nom générique donné à une série de maladies cryptogamiques causées par la forme asexuée de certains champignons ascomycètes appartenant à l'ordre des Erysiphales et à la famille des érysiphacées. Ces champignons sont responsables d'épiphyties qui parasitent, de manière plus ou moins spécifique, diverses espèces de plantes cultivées. Bien connu des jardiniers et des agriculteurs, l'oïdium s'attaque principalement à certaines espèces d'arbres comme le chêne, l'érable, le cognassier, le pommier ou l'aubépine qui y sont particulièrement sensibles. Elle se manifeste, comme la rouille, par des sortes de pustules apparaissant sur les feuilles, les fruits, et qui peuvent se développer pour former un feutrage blanc.

Principales formes d'oïdium
Source : OEPP (EPPO Plant Protection Thesaurus)1.

oïdium de la noix de cajou - Oidium anacardii
oïdium australien de la tomate - Oidium lycopersici
oïdium de la betterave - Erysiphe betae
oïdium de la bruyère - Oidium ericinum
oïdium de la carotte - Leveillula taurica
oïdium de la chicorée - Golovinomyces cichoracearum
oïdium de la cinéraire - Podosphaera fusca
oïdium de la laitue - Golovinomyces cichoracearum
oïdium de la luzerne - Leveillula taurica
oïdium de la myrtille - Podosphaera myrtillina
oïdium de la pomme de terre - Golovinomyces cichoracearum
oïdium de la spirée - Podosphaera spiraeae
oïdium de la tomate - Leveillula taurica
oïdium de la tomate - Oidium neolycopersici
oïdium de la verveine - Sphaerotheca verbenae
oïdium de la vigne - Erysiphe necator, anciennement Uncinula necator
oïdium de la viorne - Erysiphe viburni
oïdium de la viorne mancienne - Erysiphe hedwigii
oïdium de l'abricotier - Podosphaera tridactyla
oïdium de l'airelle - Microsphaera penicillata
oïdium de l'artichaut - 'Leveillula taurica
oïdium de l'aubépine - Podosphaera clandestina
oïdium de l'aulne - Microsphaera penicillata
oïdium de l'endive - Golovinomyces cichoracearum
oïdium de l'euphorbe - Podosphaera euphorbiae
oïdium de l'hévéa - Oidium heveae
oïdium de l'hortensia - Microsphaera polonica
oïdium de l'œillet - Oidium dianthii
oïdium de l'ortie royale - Neoerysiphe galeopsidis
oïdium des agrumes - Oidium tingitaninum
oïdium des berbéris - Microsphaera berberidis
oïdium des borraginacées - Golovinomyces cynoglossi
oïdium des céréales - Blumeria graminis
oïdium des chèvrefeuilles - Erysiphe lonicerae
oïdium des crucifères - Erysiphe cruciferarum
oïdium des cucurbitacées - Golovinomyces cichoracearum
oïdium des cucurbitacées - Golovinomyces orontii
oïdium des cucurbitacées - Leveillula cucurbitacearum
oïdium des cucurbitacées - Podosphaera fusca (syn. Sphaerotheca fuliginea)
oïdium des lamiacées - Erysiphe biocellata
oïdium des plantes ornementales - Golovinomyces orontii
oïdium des solanacées - Leveillula taurica
oïdium du bégonia - Microsphaera begoniae
oïdium du cerisier - Podosphaera clandestina
oïdium du châtaignier - Microsphaera penicillata  
oïdium du chêne - Microsphaera alphitoides
oïdium du chrysanthème - Oidium chrysanthemi
oïdium du cognassier - Podosphaera leucotricha
oïdium du concombre - Podosphaera fusca
oïdium du cornouiller - Microsphaera pulchra
oïdium du cotonnier - Leveillula taurica
oïdium du cotonnier - Brasiliomyces malachrae
oïdium du cyclamen - Oidium cyclaminis
oïdium du fraisier - Podosphaera aphanis
oïdium du framboisier - Podosphaera aphanis
oïdium du frêne - Phyllactinia fraxini
oïdium du fusain - Erysiphe euonymi
oïdium du fusain du Japon - Erysiphe euonymi-japonici
oïdium du groseillier - Podosphaera mors-uvae
oïdium du haricot - Podosphaera fusca
oïdium du houblon - Podosphaera macularis'
oïdium du kalanchoë - Oidium kalanchoeae
oïdium du lilas - Oidium syringae
oïdium du lilas des Indes - Erysiphe australiana'
oïdium du lin - Golovinomyces orontii
oïdium du manguier - Oidium mangiferae
oïdium du marronnier - Erysiphe flexuosa
oïdium du noyer pecan - Microsphaera penicillata
oïdium du papayer - Oidium caricae-papayae
oïdium du papayer - Oidium indicum
oïdium du pêcher - Podosphaera pannosa
oïdium du platane - Erysiphe platani
oïdium du poinsettia - Oidium poinsettiae
oïdium du poirier - Podosphaera leucotricha
oïdium du pois - Erysiphe polygoni f. sp. pisi
oïdium du pommier - Podosphaera leucotricha
oïdium du ramboutan - Oidium nephelii
oïdium du rosier - Podosphaera pannosa
oïdium du sainfoin - Leveillula taurica
oïdium du soja - Microsphaera diffusa
oïdium du tabac - Golovinomyces cichoracearum
oïdium du trèfle - Microsphaera trifolii
oïdium du troène - Erysiphe ligustri
oïdium européen du groseillier - Microsphaera grossulariae

M= Oïdium 2595565655

Terrains favorables
Contrairement à d'autres groupes de champignons (tavelure, mildiou, rouilles, etc.), il prolifère par temps relativement sec, sous réserve d'un taux d'humidité de 70 à 80 %. C'est souvent en mai qu'il commence ses ravages, favorisé par l'humidité encore bien présente et l'arrivée de la chaleur. Les écarts de température importants entre la nuit et le jour constituent des facteurs favorisant l'apparition de ce champignon qui menace grand nombre de cultures, aussi bien au jardin d'ornement qu'au verger ou au potager... Dans le cas d'attaque importante, la récolte fruitière est réduite.

Description
Son attaque commence par l'apparition d'un feutrage (poudre), blanc à blanc-grisâtre, d'aspect farineux à la surface des feuilles, des tiges et parfois des fleurs ou des fruits, d'où son surnom local de « meunier ». L'oïdium peut provoquer une déformation des feuilles, qui se gondolent et se boursouflent. Le champignon se multiplie préférentiellement sur les organes jeunes (feuilles), qu'il envahit et déforme. On note cependant que sur le petit pois, par exemple, ce sont les vieilles feuilles qui sont d'abord atteintes. Dans ce cas d'espèce, la culture tardive est fortement menacée. Sa conservation hivernale peut se faire sous forme de mycélium dans les bourgeons qui donneront alors des pousses totalement infectées appelées pousses "drapeaux".

Moyens de lutte
Traitement à l'eau de Javel
Action préventive ou curative. En pulvérisation préventive en début d'hiver, 25 ml d'eau de Javel pour deux litres d'eau, elle s'applique aussi en curatif, en évitant l'exposition au soleil. Le résultat est concluant même avec une forte infection.

Avantages : le coût, l'impact environnemental limité — le chlore s'évapore assez rapidement —, pas de taches. C'est un moyen radical de soin pour les rosiers sensibles à ce champignon.
Désavantages : cela tue la faune et la flore du sol, ce qui diminue la fertilité à moyen terme. Protéger le sol (bâche absorbante ou autre). Préférer donc en curatif dès l'apparition des premiers symptômes.
En solution plus concentrée, ce procédé est également particulièrement efficace pour l'« encre des arbres », des noyers notamment. La guérison et la cicatrisation interviennent rapidement même chez les très vieux spécimens.

Traitements naturels
L'utilisation de purin de prêles, contenant de la silice, ou une infusion d'ail additionnée de lait (composés soufrés pour l'ail, le lait servant d'adjuvant d'adhérence et aussi d'antifongique : voir plus bas), permettent de supprimer l'oïdium tout en préservant l'environnement et la fertilité du sol. À utiliser dès l'apparition des premiers symptômes.

L'oïdium est hydrophile : il ne suffit pas de l'asperger d'eau pour éviter son développement. Cependant, l'utilisation de plusieurs infusions de soufre en serre reste très efficace pour lutter contre l'oïdium.

Par ailleurs, la Coccinelle à vingt-deux points (Psyllobora vigintiduopunctata) se nourrit uniquement d'oïdium.

Action préventive
Espacement suffisant des plantes pour permettre une bonne aération qui limitera le niveau d'humidité.
Nettoyages réguliers autour des plantations (dégager le centre des plants pour ne pas favoriser le maintien d'humidité).
Suppression rapide des parties ou sujets atteints afin d'éviter ou de freiner la propagation (ne pas jeter les parties taillées au sol).
Ne pas arroser les feuillages ou les fleurs mais arroser au pied du plant.
Traiter préventivement les sujets sensibles.

Traitement au lait
Une vaporisation régulière du feuillage avec du lait écrémé ou du petit lait, dilués à 10% dans l'eau permet d'éradiquer l'oïdium2. Ce traitement fonctionne mieux par temps ensoleillé, la lumière solaire provoquant la création de radicaux peroxydes dans le sérum lacté, qui sont hautement toxiques pour l'oïdium. De plus, cette vaporisation renforcerait les défenses immunitaires de la plante, grâce au fer contenu dans le petit-lait. Utiliser de préférence une dilution de lait écrémé ou demi-écrémé pour éviter les odeurs de décomposition des graisses du lait. Ne pas surdoser le lait sinon d'autres types de champignons se développeraient.


Action curative
Suppression lorsque cela est possible des feuilles et rameaux atteints (et les brûler).
Sous réserve de traiter dès le tout début de l'apparition des premiers symptômes : traitement (pulvérisation ou poudrage) de produits fongicides type myclobutanil (triazole).

Traitement au bicarbonate
La pulvérisation de bicarbonate de soude ou bicarbonate de potassium est assez efficace. Leur pH basique empêche les spores de champignon de germer. Dissoudre 5 g (1 cuillère à café) de bicarbonate de soude ou de bicarbonate de potassium par litre d’eau et ajouter 1 cuillère à café de savon de Marseille liquide, de lait, ou d'huile horticole ou alimentaire afin que la solution s'accroche aux feuilles.

Pulvériser cette solution sous et sur les feuilles et renouveler après toute grosse pluie.

L'utilisation du bicarbonate est tolérée en Agriculture biologique.

Traitement au permanganate de potassium
Diluer 1,5 g de permanganate de potassium (disponible en pharmacie) dans 1 litre d’eau. Pulvériser l’arbre ou badigeonner avec un pinceau. Renouveler sous 15 jours. On pourra monter la dose à 15 g/l dans les cas difficiles en veillant à protéger la motte avant usage. Il est cependant conseillé de compléter ce traitement 48 heures plus tard avec un soufre sublimé ou mouillable.

Traitement au soufre
Le soufre, produit de base, employé depuis très longtemps contre l'oïdium (mis au point par Henri Marès vers 1850 sur la vigne), donne toujours de bons résultats en lutte préventive (fin d'automne et début du printemps) ou semi-curative. Il est autorisé en agriculture biologique et peut être employé très près de la récolte car il est totalement biodégradable. Ses actions secondaires sont aussi intéressantes sur un certain nombre d'autres champignons et d'insectes ou d'acariens.

Il agit par vapeur (on dit qu'il se sublime). En revanche, s'il a été mal réparti ou trop concentré, il peut être agressif sur les plantes par temps calme et chaud (supérieur à 25 °C). Il est conseillé de l’appliquer par des températures comprises entre 10 et 20 °C et de préférence hors soleil (comme tout traitement à pulvériser sur les feuilles), le soir par exemple, pour éviter les brûlures du feuillage. Généralement appliqué en pulvérisation, il forme un dépôt blanc sur les feuilles. Pour un arbre en pot, on peut mettre un petit récipient avec une solution de soufre au pied de l'arbre et les vapeurs de soufre empêchent le développement de l'oïdium.

Le soufre s'achète sous forme de « poudre à mouiller » que l'on dilue donc dans l'eau selon les doses indiquées sur l'emballage ; les augmenter n'améliore pas l'efficacité du traitement. Néanmoins ce "soufre à l'eau" est beaucoup moins efficace que le soufre en poudre.

En l'absence de traitement préventif, lorsque la maladie se déclare, il convient de traiter dès l'apparition des premiers symptômes. L'efficacité baisse très fortement au-delà de 10 à 15 % de surface atteinte.

À savoir que chaque traitement affecte plus ou moins l'environnement proche (sol, insectes, oiseaux...) il est nécessaire de respecter strictement les dosages. Un début d'épidémie peut être ralenti ou stoppé grâce à la bouillie bordelaise, nettement moins toxique que le soufre à grande dose.

Traitement à la bouillie bordelaise
Classiquement la bouillie bordelaise n'est pas considérée comme un traitement efficace contre l'oïdium, bien que des travaux en laboratoire aient prouvé une efficacité sur le nombre de cléistothèces formés. Ces traitements traditionnels ne seraient efficaces que de façon préventive sur la maladie, seules des substances chimiques de synthèse ont une relative efficacité curative3.

Traitements biologiques
Décoction de racines d’ortie ou d'oseille : faire tremper dans un litre d’eau, 100 g de racines pendant 24 h. Laissez frémir 30 minutes et utiliser pur.[réf. souhaitée]

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MessageSujet: Re: M= Oïdium   M= Oïdium EmptyJeu 18 Juil 2019 - 16:21

témoignages
source http://www.aujardin.org/oidium-sur-mes-courgettes-t112877-15.html

source http://www.filroses.com/forums/viewtopic.php?id=669
Citation :
C'est un truc qu'un rosiérite aujourd'hui retraité m'avait donné voici quelques temps déjà mais que je n'avais jamais utilisé. Les floraisons du rosier Cardinal Hume sont superbes (à mon goût) mais c'est un rosier très sensible au marsonia et à l'oïdium. Avec les méthodes traditionnelles, le problème est un aténué, le rosier garde ses feuilles mais demande une grande vigilance. J'étais résolu à le déterrer cette saison mais sa première floraison était tellement somptueuse que je me suis décidé à employer cette méthode et j'en suis totalement satisfait. Le feuillage est resté sain toute la saison et l'est toujours. J'ai pulvérisé cette  mixture mi-juin après la première floraison et j'ai récidivé en aôut. Le résultat est suprenant.
(Rescht a raison, le lait entier est trop gras et le feuillage reste collant ce qui engendre d'autres problèmes.

Citation :
...Ce truc eau+lait (1/2 écrèmé !), je l'utilise depuis 3 ans et il fonctionne très bien contre l'oïdium et n'a strictement aucun effet positif contre le marsonia, selon ce que je peux voir...Résultat visible dans les 48 heures s'il ne pleut pas entretemps et si l'infestation est prise à son début, donc vraiment trrès efficace !!!...
...La très belle saison et arrière-saison que nous connaissons en Belgique est assez exceptionnelle...mais favorable à l'oïdium qui se déclare en période de choc thermique entre le jour et la nuit...Ici, un vent léger desséchant accentue le phénomène, mais rien de catastrophique, l'oidium ne sévissant pas trop...

Citation :
désole de déterrer ce post mais j'ai peut etre fait une gaffe.
Voila quelque jours j'ai vu que quelques rosiers etant atteint de pucerons. Apres moulte recherche j'ai finalement lu sur le net a divers endroit qu'une pulvirisation de lait pouvait resoudre mon probleme. J'ai donc pulviriser les dit rosiers atteint et les autres par prevention au cas ou. J'ai pulviriser du lait pur. Sans eau. Les pucerons semblent dispparu mais le lait fait des taches blanche et collante sur les feuilles, bourgeons et boutons. Est-ce grave?

Citation :
vous avez bien fait : les posts sont faits pour être "déterrés", justement ! smile
S'il fait chaud en ce moment, votre pulvérisation de lait pur risque de former une "couche" empêchant le feuillage de respirer (avis strictoperso, comm'd'hab')...
A votre place, je rectifierais le tir : pulvérisez de l'eau tempérée sur vos rosiers afin de rincer toute cette laiterie, en début de matinée de préférence s'il fait chaud en ce moment dans votre jardin...
Rien de grave, je crois, si toutefois vous ne tardez pas trop...

...Puvériser du lait contre les pucerons ? Jamais entendu-lu parler...
De toute façon, en pulvérisation, le lait qu'il soit entier, 1/2 écr. ou écrèmé, ne doit pas être employé pur...

Citation :
Pour les pucerons, c'est une cuillère de savon mou de Marseille diluée dans dix litres d'eau (Philippe si je me trompe dans les proportions, tu rectifies STP?) à pulvériser sur les rosiers.
Pour le "rinçage" de tes rosiers, de l'eau tiède fonctionnerait mieux car diluerait les sucres et les graisses du lait...et toujours hors soleil évidemment pour ne pas bruler les feuilles!!

Citation :
La proportion du savon noir est 1cuillère à soupe dans 1 litre d'eau à pulvériser directement sur les pucerons.

M= Oïdium 262171387

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MessageSujet: Re: M= Oïdium   M= Oïdium EmptyJeu 18 Juil 2019 - 16:31

https://www.rustica.fr/tv/maladies-rosier,6628.html

http://www.rustica.fr/articles-jardin/arbres-et-arbustes/l-oidium,4027.html

source http://www.rustica.fr/articles-jardin/legumes-et-potager/recette-miracle-contre-l-oidium-sur-mache,3060.html
Si la mâche supporte parfaitement les températures froides, elle craint en revanche les fortes amplitudes thermiques entre le jour et la nuit qui, immanquablement, apportent de l’oïdium.
Cette maladie, causée par un champignon au mycélium blanc presque farineux au toucher, gagne alors l’ensemble de la plante et provoque son pourrissement.
Deux précautions vous en prémuniront : ne pas semer trop dru et pulvériser régulièrement, deux fois par semaine, du lait entier !
Je suis incapable d’expliquer scientifiquement pourquoi cela fonctionne, mais cette astuce, confiée par un ami jardinier, donne d’excellents résultats.


Dernière édition par Libellule le Jeu 18 Juil 2019 - 17:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: M= Oïdium   M= Oïdium EmptyJeu 18 Juil 2019 - 16:36

Aller sur le site pour consulter les documents

source https://www.sud-et-bio.com/viticulture/amont/experimentations
Éxpérimentations
mardi 16 octobre 2018

Expérimentations en oenologie bio
Maîtrise et gestion innovantes des populations microbiennes en bio
Programme régional réalisé grâce au soutien financier de la région Occitanie Pyrénées-Méditerranée
Durée prévue: 3 ans (2015-2017)
Coordonné par Sudvinbio en partenariat avec l'Institut Français de lavigne et de vin (IFV), le GIE ICV-VVS, Inter-Rhône et la Chambre d'Agriculture des Pyrénées-Orientales.
Ce projet vise à fournir des itinéraires techniques innovants et alternatifs au sulfitage en pré-fermentaire pour les vignerons bio, maîtrisier la gestion d'un levain indigène et renforcer la maîtrise et la gestion des populations levuriennes en fermentaiton alcoolique.

Documents consultables:
Compte rendu technique 2015- Publication Sudvinbio Août 2016 - consulter ici
Compte rendu technique 2016 - Publication sudvinbio Avril 2017 - consulter ici / annexes Graphiques
Document technique: Optimisation des protocoles de Pied de cuve indigènes (1er résultats d'essais) - Publication sudvinbio Septembre 2016

Amélioration de la qualité des vins et des cidres biologiques obtenus par l'utilisation des levures et bactéries indigènes.
Programme national Levainsbio, AAP Casdar n°1220 réalisé grâce au soutien financierdu Ministère de l'Agriculture de l'Agroalimentaire et de la Forêt
Durée: 4 ans (2012-2015)
Coordonné par l'ISVV (Institut des Sciences de la Vigne et du Vin) et l'IFV (Institut Français de la vigne et du Vin), en partenariat avec: l'ITAB, le SVBA, le CAB Pays de la Loire, le SEDARB, Sudvinbio, l'IFPC et Microflora.
La production biologique des vins favorise la mise en œuvre des microorganismes indigènes pour conduire les fermentations. Cette pratique attire de plus en plus de producteurs de vins bio et non-bio soucieux de valoriser les microorganismes des terroirs. Elle est également courante lors de la production des cidres, qui, traditionnellement, sont issus de fermentations spontanées. Cependant, elle peut mener à des difficultés de fermentation, des déviations aromatiques ou des altérations des produits. Le premier objectif du projet sera d’évaluer la spécificité des levures et bactéries indigènes présentes dans les sites de production des principales régions vinicoles et cidricoles. Deux approches seront ensuite testées pour les utiliser et les maîtriser. Premièrement, des protocoles seront développés pour sélectionner, produire et utiliser les souches locales, spécifiques de chaque site. Deuxièmement, des protocoles seront proposés pour optimiser et contrôler la préparation de pieds de cuve. Les résultats et protocoles issus du projet seront diffusés auprès des professionnels.
Documents de synthèses téléchargeables:
Protocole Pied de cuve levure et bactérie - Publication SVBNA 2016 - consulter ici
Cf autres articles publiés sur les sites internet des partenaires.

Etude de l'impact de différentes formes de nutrition des levures en vinification bio sur la qualité des vins

Ce programme régional a été réalisé grâce au soutien financier du CPER (Contrat de Projet Etat Région, financement FranceAgriMer, conseil régional du Languedoc-Roussillon).
Durée: 3 ans (2012-2014)
Partenaires: Institut Français de lavigne et de vin (IFV), le GIE ICV-VVS, Inter-Rhône et la Chambre d'Agriculture des Pyrénées-Orientales et a été coordonné par Sudvinbio.
Ce projet a permis de fournir des références techniques pour la vinification des vins méditerranéens bio et répondre aux exigences de la réglementation "vin bio" entrée en application en 2012. Il vise à étudier l'impact des formes de nutrition azotées utilisables en bio sur des paramètres clés de la vinification bio et notamment: les cinétiques fermentaires (durée, vitesse max), les paramètres analytiques et l'analyse sensorielle. Les trois années du projet ont permis d'évaluer l'impact des stratégies de nutrition azotée minérale et organique en condition de carences azotées relativement fortes des moûts et également en parrallèle sur des carences plus modérées.
Documents de synthèse téléchargeables :
Dossier technique : La nutrition azotée des levures en vinification bio - Publication Décembre 2015

Choix d'alternative à la caséine, non allergènes et conformes au bio
Ce programme régional a été réalisé grâce au soutien financier du CPER (Contrat de Projet Etat Région, financement FranceAgriMer, conseil régional du Languedoc-Roussillon).
Durée: 3 ans (2012-2014)
Partenaires: Institut Français de lavigne et de vin (IFV), le GIE ICV-VVS, Inter-Rhône et la Chambre d'Agriculture des Pyrénées-Orientales et a été coordonné par Sudvinbio.
Ce projet vis à trouver des alternatives à la caséine (soumise à l'étiquetage allergène) et à la PVPP (interdite en bio), vis à vis des problème sd'oxydation de la couleur des vins blancs et rosés. Des substances oenologiques utilisables en bio et de nouvelles substances non évaluées dans le cadre du règlement vin bio en 2012 (protéine de pomme de terre, Chitine glucane) ont été testées pour leur efficacité antioxydante dans le cadre d'itinéraires de collage en préventif pendant la fermentation alcoolique et en curatif sur vin.

Documents de synthèse téléchargeables :
Dossier technique: Choix d'alternative à la caséine, non allergènes et conformes au bio - Publication déembre 2015

Expérimentations en viticulture biologique
1) Amélioration des méthodes de lutte contre l'oïdium
Ce sujet a fait l'objet d'expérimentations dans le cadre d'un groupe de travail regroupant l'IFV (station de Nîmes Rodilhan), les Chambres d'Agriculture de l'Aude et des Pyrénées-Orientales et l'AIVB-LR (coordinateur du groupe). Les essais ont été réalisés entre 2008 et 2011 grâce au soutien financier du Contrat de Projet Etat Région (subventionné par le Conseil Régional Languedoc-Roussillon et Franceagrimer).

Les principaux résultats opérationnels obtenus lors de ces essais sont présentés dans la plaquette "La maîtrise de l'oïdium en viticulture biologique en Languedoc-Roussillon" (décembre 2013). Ce document présente également les dernières connaissances sur l'épidémiologie de l'oïdium de la vigne, l'ensemble des moyens disponibles en viticulture biologique pour maîtriser ce champignon, le témoignage d'une viticultrice régionale et une foire aux questions sur la gestion de cette maladie.

Les essais ont été poursuivis en 2013 et 2014 par Sudvinbio, les Chambres d'Agriculture de l'Aude et des Pyrénées-Orientales, pour tester l'intérêt des traitements de pré-débourrement de la vigne et des oudrages à la floraison et à la fermeture de la grappe. Les résultats sont disponibles dans la synthèse à télécharger.

2) Amélioration des méthodes de lutte contre la cicadelle de la FD
Ce sujet a fait l'objet d'expérimentations en région, en 2012 et 2013, grâce au soutien financier du CPER (Contrat de Projet Etat Région, financement FranceAgriMer, consiel régional du Languedoc-Roussillon). Les résultats obtenus sont consultables dans les compte-rendu 2012 et 2013.
A l'issue de cette campagne d'essais, 3 réunions d'information ont été organisées pour les vignerons par Sudvinbio et les Chambres d'Agriculture du Languedoc-Roussillon, les 27 mars 2014 à Rodilhan, 28 mars 2014 à Rivesaltes et Carcassonne.

Les documents présentés lors de ces réunions sont consultables ci-après :
situation de la FD en région LR (présentation du SRAL LR),
situation de la FD dans l'Aude (présentation de la FEDON 11),
situation de la FD dans les Pyrénées Orientales (présentation de la CA 66),
Biologie de Scaphoideus titanus et ses auxiliaires (présentation de L'UMR SAVE de l'INRA de Bordeaux),
présentation de résultats d'essais sur la cicadelle de la FD (présentation de Sudvinbio)

Le sous groupe "Flavescence Dorée" de la commission viti-vinicole biologique IFV-ITAB vient de publier une plaquette sur la "Gestion de la Flavescence Dorée en viticulture biologique". Ce document a été co-rédigé par N. Constant (Sudvinbio) et J. Lernould (Chambre d'Agriculture de l'Hérault).

3) Amélioration des méthodes de lutte contre l'eudémis en viticulture biologique
3 réunions d'information ont été orgnaisées pour les vignerons par Sudvinbio et les Chambres d'Agriculture du Languedoc-Roussillon, les 27 mars 2014 à Rodilhan, 28 mars 2014 à Rivesaltes et Carcassonne.
Les documents présentés lors de ces réunions sont consultables ci-après :
Biologie de l'eudémis et ses auxiliaires (présentation de l'UMR SAVE de l'INRA de Bordeaux),
Résultats d'expérimentations en viticulture biologique (présentation de la Chambre d'Agriculture 66),
Retour d'expérience de la confusion seuxelle dans l'Aude (présentation de la Chambre d'Agriculture de l'Aude)

Viticulture
Tronc commun
Présentation et chiffres clés
Commission filière Viti
CR Commission filière Viti
Les projets en cours
Annonces
Amont
Conduite culturale viti
Ressources techniques viti
Infos intrants viti
Vinification
Infos intrants oenologiques
Fournisseurs d'intrants
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Éxpérimentations
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MessageSujet: Re: M= Oïdium   M= Oïdium EmptyJeu 18 Juil 2019 - 16:37

source http://www.minutefacile.com/deco-brico-jardinage/jardinage/6402-comment-traiter-les-rosiers-avec-du-lait/
Soigner des rosiers avec du lait

Vous êtes amateur de plantes et spécifiquement des rosiers. Mais vous avez parfois du mal à les entretenir. Fernanda Voulgaropoulos, paysagiste de Kasavox.com, vous montre quelques astuces pour bien traiter vos rosiers de manière naturelle. Pour connaitre ces conseils, suivez l’experte en vidéo.

Utiliser des produits naturels Traiter des rosiers ne nécessite pas trop de temps et d’effort de votre part.
Vous pouvez les entretenir de façon simple et économique.
Les produits à utiliser se trouvent dans votre cuisine, plus précisément dans votre réfrigérateur.
Pour ce faire, vous avez juste besoin de ces éléments:
– Le lait
– L’eau
– Un pulvérisateur
Le mieux c’est d’utilisez du lait entier pour permettre une action durable et bien collante sur vos rosiers.

Protéger vos plantes Pour effectuer un bon traitement, pratiquez une action simple, mais qui peut vous être très bénéfique.
Traitez vos plantes avec des produits biologiques.
Utilisez les bonnes doses, à savoir :
Vous prenez un verre de lait que vous versez dans le pulvérisateur.
Faites la même action, mais cette fois avec 5 verres d’eau.
Mélangez bien le tout afin de pouvoir l’appliquer sur vos rosiers.
Insistez bien sur les feuilles pour que le produit reste bien collant.

Bon à savoir Une petite astuce pour bien réussir votre traitement, suivez toujours la météo.
Pour faciliter votre action et avant de pulvériser vos rosiers, il faut 4 jours avant sans pluie afin de donner un meilleur résultat à votre travail.
Il est important de savoir que le lait est un moyen radical de soins pour les rosiers sensibles aux champignons.
Il garde une action collante sur les feuilles des rosiers et étouffe les champignons.
Traitez déjà vos plantes dès la première apparition de cette dernière.
Voilà, vous avez donc en main un bon remède écologique contre les rosiers infestés de champignons.
Vous pouvez aussi appliquer cette formule sur des arbustes ou des arbres fruitiers.

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MessageSujet: Re: M= Oïdium   M= Oïdium EmptyJeu 18 Juil 2019 - 16:37

source http://www.jardiner-malin.fr/fiche/oidium-moisissures-feuilles-traitement.html
L’oïdium est un champignon de la famille des érysiphacées assez fréquent chez certains végétaux.
Il se caractérise par l’apparition d’une sorte de moisissure ou d’un léger duvet blanc.
Pourquoi l’oïdium se développe t-il ?

L’oïdium prolifère plus facilement par temps chaud associé à une forte humidité ambiante .

Il apparaît généralement au mois d’avril- mai lorsque les températures remontent et que l’humidité des mois de mars/avril est encore très présente.

On le retrouve également au début de l’automne, lorsque les nuits se rallongent et l’humidité stagne de nouveau.
Comment traiter l’oïdium ?

Il est recommandé de traiter l’oïdium de manière préventive et curative.
Aérez bien les plantations afin d’éviter que l’humidité ne stagne.
  L’oïdium se propage lorsque les plantes sont trop serrées entre elles…
  Supprimez immédiatement les parties touchées.
  Brûlez les feuilles et les parties infestées de la plante.
  Evitez les arrosages excessifs.
  Pulvérisez éventuellement un fongicide.
  Surtout s’il s’agit de légumes, choisissez de préférence les moyens de lutte biologiques :
  Le lait. Mélangez 1/2 litre de lait à 4,5 litres d’eau (total 5L) et pulvérisez toutes les semaines jusqu’à disparition totale !

Chaque espèce a sa propre forme d’oïdium : c’est à dire que celle qui touche la vigne ne touchera pas le rosier.

Arbres et arbustes les plus touchés par l’oïdium sont :
le chêne, l’érable, le cognassier, le pommier, le poirier, le rosier, le pêcher, l’aubépine, le groseillier, ou encore la vigne.

Au potager, l’oïdium touche principalement :
les radis, les poireaux, le maïs, le fraisier, la courgette, le cornichon, la carotte, l’aubergine, la betterave, l’endive, le concombre ou la pomme de terre.

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MessageSujet: Re: M= Oïdium   M= Oïdium EmptyJeu 18 Juil 2019 - 16:38

source https://www.deco.fr/jardin-jardinage/travaux-entretien/actualite-499628-video-traiter-rosiers-lait.html

Vidéo : traiter ses rosiers avec du lait
Proposé par Mickaël Genin le 3 juil. 2012
Prenez soin de vos rosiers grâce à un produit anodin du réfrigérateur

Votre jardin compte quelques rosiers , et vous êtes sans cesse à la recherche d'astuces pour les entretenir ? En effet, en plus d'opérer une taille régulière , il est important de veiller à leur santé. Pour cela, il existe différents traitements chimiques, mais saviez-vous qu'il est également possible de les traiter de manière naturelle, avec les produits que vous avez dans le réfrigérateur ?

Un produit anodin
Le produit qui peut vous permettre de traiter vos rosiers n'est autre que le lait. Avec lui, munissez-vous d'une bouteille d'eau et d'un pulvérisateur. Dans ce dernier, faites un mélange en respectant les proportions : 1 verre de lait pour 5 verres d'eau. Cela fait, mélangez bien le contenu du pulvérisateur, et aspergez vos rosiers. N'hésitez pas à insister. Le lait va créer une matière collante sur les feuilles qui tuera les champignons. A ce titre, préférez le lait entier, car ce dernier devient beaucoup plus collant quand il sèche.

Quelques recommandations
Attention ! Avant de procéder au traitement des rosiers avec du lait, informez-vous de la météo.
En effet, il est nécessaire d'avoir quatre jours sans pluie pour que le lait fasse véritablement son effet.
Notons que cette méthode peut également s'appliquer aux arbustes, ainsi qu'aux arbres fruitiers de votre jardin.
Vous disposez à présent d'une méthode simple et efficace pour traiter vos rosiers.
De plus, elle est peu onéreuse et a le bénéfice d'être entièrement respectueuse de l'environnement.
Alors n'hésitez plus à utiliser le lait à l'intérieur, et à l'extérieur de votre cuisine !

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MessageSujet: Re: M= Oïdium   M= Oïdium EmptyJeu 18 Juil 2019 - 16:39

source http://www.savoirtoutfaireaujardin.com/jardin-des-fongicides-maison,382.media?a=1231
Efficaces, les fongicides maison!
Voici des préparations "maison" 100% naturelles! Et en plus, ça marche...

Ces préparations naturelles permettent de lutter contre diverses maladies cryptogamiques. Dans tous les cas, laissez décanter dans un pulvérisateur et agitez bien avant l'usage.

-Couvrez 90 g d'ail en morceaux avec de l'huile végétale et ajoutez 1 litre d'eau savonneuse. Laissez reposer un jour puis filtrez. Pour traiter, diluez 1 part de solution dans 50 parts d'eau.

-Versez de l'eau bouillante sur des fleurs de camomille fraîches ou séchées. Laissez infuser puis refroidir. Utilisez cette tisane contre les champignons.

-Diluez 1 tasse de lait entier avec 9 tasses d'eau et utilisez cette solution contre le mildiou ou l'oïdium.

- Pour traiter l'oïdium, ajoutez 1 cuillerée à café de bicarbonate de soude à 1 litre l'eau. Appliquez tous les 3-4 jours jusqu'à ce que la situation s'améliore. Puis traitez les rosiers toutes les 2-3 semaines tant que le temps est chaud et humide.

- Le permanganate de potassium est très efficace contre diverses maladies cryptogamiques. Versez dans un seau d'eau juste ce qu'il faut de cristaux pour colorer l'eau en rose pâle.

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MessageSujet: Re: M= Oïdium   M= Oïdium EmptyJeu 18 Juil 2019 - 16:43

source https://jardinage.lemonde.fr/dossier-1102-insectes-ravageurs-maladies-traitements-rosiers.html
Insectes ravageurs, maladies et traitements des rosiers

Les rosiers (Rosa) sont des plantes plutôt robustes et si vous leur offrez de bonnes conditions de culture, à savoir une terre bien drainée riche en nutriments, un bon ensoleillement et une bonne aération, vous limitez les risques d’attaques d’insectes et de développement de maladies. Toutefois, vous ne serez pas à l’abri pour autant car les conditions de culture, le climat et la variété des rosiers influent aussi.

Les maladies cryptogamiques des rosiers
Les maladies cryptogamiques des rosiers sont les maladies fongiques, c'est-à-dire celles qui sont dues aux champignons qui se multiplient dès que l’humidité est forte. Le traitement le plus adapté à ces maladies reste la bouillie bordelaise et le purin de prêle.

Maladie des taches noires
Des taches noires apparaissent sur les feuilles, les faisant jaunir puis tomber. Les périodes pluvieuses de printemps et d’automne sont propices à ce développement qui contaminer les rosiers voisins. Ramassez les feuilles tombées et supprimez les feuilles atteintes.

Oïdium ou "blanc du rosier"
Une fine couche farineuse blanche recouvre les jeunes pousses et boutons qui se rabougrissent en s’enroulant, sans que les feuilles tombent. L’humidité notamment des nuits d’avril à juin et de septembre à novembre favorise son développement. En prévention, évitez d’arroser en excès, et placez le rosier davantage au soleil. Supprimez les parties atteintes. Pulvérisez un mélange de lait et d’eau (1/10) sur le rosier, et renouvelez tous les 5 jours jusqu’à disparition.

Botrytis
La pourriture grise fait pourrir les feuilles et les tiges qui se parent d’une moisissure grisâtre, tandis que les pétales ont des points blancs (ou rouges sur les roses blanches). Les périodes pluvieuses sont favorables à cette maladie. Supprimez les fleurs fanées et les parties atteintes.

Mildiou
Des taches jaunes apparaissent sur les feuilles, les faisant noircir puis tomber. Ce sont encore les saisons pluvieuses qui offrent un terrain idéal au développement de cette maladie. Il convient de supprimer les parties atteintes.

Chancre du rosier
Les rameaux se dessèchent après que les bactéries les aient contaminés via les plaies de taille ou la cicatrice de la greffe. La pluie favorise l’expansion de ces bactéries. Il faut supprimer les parties atteintes et pulvériser de la bouillie bordelaise.

Galle du collet
Si votre rosier perd de sa vigueur, des excroissances se sont peut-être développées sur les racines et le collet, pour accaparer la sève du rosier. Les périodes de plantation sont déterminantes : veillez à la bonne santé des racines et du collet du rosier que vous achetez car il n’existe pas de traitement contre cette galle.

Les attaques d’insectes sur les rosiers
Si vous observez vos rosiers pour les admirer ou les sentir, vous remarquerez la présence d’insectes ravageurs, le cas échéant car les attaques sont souvent massives.

Pucerons noirs ou verts
Ils colonisent les boutons, les jeunes pousses, les feuilles (y compris le dessous) et sucent la sève en laissant derrière eux un miellat qui entrainera la fumagine. Le purin d’ortie et les coccinelles sont efficaces, mais pulvérisez surtout une solution à base de savon noir, en renouvelant tous les 3 jours si nécessaire.

Cochenilles
elles forment des amas blanchâtres, et comme les pucerons, elles sucent la sève et rendent collantes les parties qu’elles ont parcourues, qui risquent aussi de développer la fumagine. Pour traiter, pulvérisez du purin d’ortie ou une solution de savon noir auquel vous aurez ajouté 1 cuillère à café d’huile végétale et autant d’alcool à 90° par litre.

Otiorhynques ou charançons du rosier
Les œufs de ces insectes sont déposés par les femelles sur les jeunes pousses qui finissent par dépérir, d’autant que ces insectes se multiplient très vite. Eliminez les parties couvertes de pontes ou les boutons qui se sont affaissés, et binez le pied du rosier où les charançons se cachent en journée. Sinon, utilisez un insecticide à base de pyréthrines naturelles.

Chenilles (noctuelles, papillon de nuit)
Elles sont vertes, se cachent sur le dessous des feuilles qu’elles dévorent. Ensuite, elles se développent en chenilles brunes qui se cachent sous terre au pied du rosier dans la journée et continuent à grignoter les feuilles dans la journée. Binez au pied pour attraper et supprimer les chenilles brunes, et sinon, pulvérisez du bacille de Thuringe (Bacillus thuringiensis) mais il n’agit que sur les jeunes chenilles. Servez-vous de l'effet répulsif de la tanaisie en en déposant des rameaux au pied du rosier : ce sera un plus.

Tenthrèdes
Ces petites guêpes défoliatrices sont des fausses chenilles, elles pondent également dans les tiges puis les larves mangent les feuilles n’en laissant que les nervures. Enlevez toutes les parties infestées, grignotées ou portant des œufs et écrasez les bien. Un insecticide au pyrèthre sera le seul moyen d’en venir à bout.

Acarien jaune ou tétranyques tisserands
Appelés souvent à tort araignées rouges : ils sont tellement petits qu’on les remarque, en été, toujours trop tard, lorsqu’ils ont déjà réussi à former des petites toiles fines, avec des points blancs sur les folioles, montrant qu’ils sucent la sève. Pulvérisez une décoction d’ail qui a des vertus acaricides.

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MessageSujet: Re: M= Oïdium   M= Oïdium EmptyJeu 18 Juil 2019 - 16:44

source http://gardenbreizh.org/forum/viewtopic-3729-14-conaissez-vous.html
pioupioute
connaisez vous un moyen biologique pour que je puisse lutter contre l'oidium et la monilose car mes rosiers sont atteints des deux maladies..
j'ai deja essayé des pulverisations repetees "normales" et rien n'y fait..
je desespere...
pensez vous que des pulverisations de decoction d'ail puisse faire effet?

**
Butia
Bonsoir
Ma réponse va peut être te surprendre, mais pour éviter de traiter il faut sélectionner les variétés reconnues résistantes, adaptées à ton jardin et ne pas s'entêter avec ces foyers permanents de maladies que sont certaines variétés.

**
Oli
Bonjour
L'oïdium apparait en été, quand le temps est lourd et humide. Planter les rosiers dans un endroit aéré évitera cette maladie.

Les taches noires sont transmises par les pucerons. Il y a plusieurs moyens bio pour lutter contre eux, donc de la moniliose par la même occasion. Ramasser les feuilles qui tombent au pied des plantes est le moyen le plus sûr d'empêcher cette maladie d'hiverner au pied de ses plantes favorites.

Après un orage violent en été, le feuillage est souvent abimé, donc plus sensible au maladies qui profitent des blessures pour envahir la plante. Le truc est de pulvériser de la bouillie bordelaise sur la plante après l'orage. C'est un produit naturel non nocif pour les insectes.

Je suis entièrement daccord avec Butia. Les rosiers modernes sont des saloperies toujours malades qu'il faut pulvériser tous les 15 jours si on veut éviter les maladies.
Rien de tel que les rosiers botaniques, anciens, de Chine, galliques, de Damas, Noisettes, alba, cent feuilles, mousseux, bourbons ...... 1.000 x plus beaux, 1.000 x plus résistants et souvent bien parfumés.

**
Blondy
Bonjour Piopioute,
l'utilisation d'une décoction à base d'ail pour traiter l'oïdium peut sembler farfelus. Le traitement chimique de l'oïdium est basé sur l'utilisation du soufre. L'ail est riche riche en soufre, iode, silice, ajoène, etc. l'ail contient aussi de l'allicine qui est un bon bactéricide. I1 est riche également en acides animiques, germanium, calcium, cuivre, zinc, potassium, magnésium, sélénium, zinc, vitamines A, B 1 et C, des acides gras essentiels (Vitamine F) et des douzaines de composés antioxydants .

Cependant, je ne pourrai que te conseiller de mener également une action préventive afin de réduire les possibilités de propagation de ce champignon :
* espacer suffisamment les plants , nettoyer régulièrement autour des plantations, dégager le centre des rosiers pour que l'humidité ne persiste pas longtemps (un facteur favorable à l'apparition de la maladie),
* supprimer rapidement les parties ou sujets atteints afin que la maladie ne se propage pas trop vite,
* lorsqu'il fait chaud, veiller à ne pas arroser le feuillage,
* traiter préventivement les sujets sensibles.
A plus sur le forum

Stéphane

**
pioupioute
merci a tous pour ces reponses!!!!
en fait j'habite dans le sud ou je loue une maison..
donc ce n'est pas moi qui les ai planté..je pense que ces rosiers doivent avoir une dixaine d'annees..voire plus..je les ai retrouvé a notre arrivee dans un etat pitoyable!
au debut j'ai beaucoup coupé et enleve des feuilles, traite, retraité..eliminé un max de feuilles.. et la ce soir en rentrant j'ai vu que c'etait reparti de plus belle..
au sujet de la variete, je ne saurai que vous dire!!!

j'ai une autre question quia aucun rapport..
a l'interieur, dans mes pots la terre s'est recouverte de moisissure, je me suis dit au debut que c'etais du a un arrosage trop intense..j'ai diminue et verifié quil ny ai pas de surplu d'eau mais ca continue..
je pense pas que ce soit grave mais j'aimerai savoir a quoi c'est du..

suite sur le site...

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