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https://www.reponsesbio.com/la-grenade-un-concentre-de-jouvence-pour-dynamiter-les-radicaux-libres/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_campaign=Re-10-bienfaits-grenade-168La grenade, un concentré de Jouvence pour dynamiter les radicaux libres
Par Jean-Baptiste Loin -10 juin 20232
Bien que propre à la vie cellulaire, le stress oxydatif ne cesse de s’amplifier de décennies en décennies, atteignant aujourd’hui une ampleur totalement démesurée.
Si bien que même la consommation régulière d’antioxydants semble être de moins en moins suffisante pour compenser les effets des radicaux libres générés par des sources toujours plus nombreuses et obscures, amenant l’être humain à subir en permanence un processus exponentiel d’oxydation, asphyxiant lentement mais sûrement les cellules.
Altérant leur fonctionnement optimal, endommageant les mécanismes métaboliques, conduisant à une privation définitive de vitalité.
Or, c’est justement dans ces cas qu’interviennent certains composés phytochimiques précis, intéressant tant les scientifiques, les laboratoires, que les naturothérapeutes.
Au-delà de l’indispensable aspect nutritif des fruits offerts par la Nature, les précieuses substances du monde végétal recèlent de véritables trésors permettant de limiter, voire de neutraliser l’oxydation organique rongeant vos cellules.
Parmi ces principes actifs végétaux, l’extrait concentré de grenade tient sans aucun doute une place de tout premier ordre.
Symbole de fécondité, de vie et de jeunesse éternelle pour la plupart des traditions du monde, la grenade offre une formidable source de régénération cellulaire.
Ses 10 effets bénéfiques prouvés par la science
Fruit de recherches menées sur la base de plusieurs dizaines d’études croisées, voici un compte-rendu des 10 principales vertus scientifiquement étayées concernant l’extrait de grenade titré en polyphénols, prévenant et améliorant tant les maladies cardiovasculaires que le diabète, l’arthrite, l’herpès, les tumeurs… et bien d’autres affections.
Comme pour beaucoup de remèdes naturels, ce sont les composés polyphénoliques de la grenade, au cœur de ces recherches, dont l’étude en laboratoire permet aux scientifiques de redécouvrir ce qui était déjà su des Anciens.
Mais en l’occurrence, le microscope nous permet de décortiquer minutieusement les sources de ses bienfaits, avec :
Des phytoestrogènes et de l’acide punicique, principalement contenus dans les graines. (1) (2)
Des flavonoïdes, parmi lesquels on retrouve les anthocyanes, la lutéoline, le kaempférol et la quercétine.
Des anthocyanes, pigments végétaux que l’on trouve en abondance dans la peau de la grenade, mais aussi le péricarpe, les arilles, les fleurs et les feuilles du grenadier.
Des ellagitanins et des gallotanins, ou encore des tanins hydrolysables tels que la punicalagine, l’acide ellagique, la punicaline et l’acide gallagique, présents dans toutes les parties de la plante.
Ainsi que des alcaloïdes, qui se situent principalement dans les racines et l’écorce. (3) (4)
Si toutes les parties du grenadier sont traditionnellement utilisées à des fins thérapeutiques, des fleurs aux racines en passant par les feuilles, l’écorce, les fruits et les graines, c’est particulièrement l’extrait du fruit qui nous intéresse aujourd’hui, et que nous allons étudier pour ses qualités :
1. Antioxydante
2. Tonique de la sphère cérébrale
3. Antidépressive
4. Protectrice du système cardiovasculaire
5. Anti-arthritique
6. Anti-virale
7. Inhibitrice du virus de l’herpès simplex de type 1
8. Anti-diabétique
9. Régénératrice de l’intégrité de la sphère cutanée
10. Et anti-tumorale.
Mais pour ne pas succomber à un leurre marketing, vendant les véritables qualités du concentré de grenade dans des produits dévitalisés, il faut toujours s’assurer que les principes phytothérapiques listés plus haut soient extraits à l’eau, sans solvant chimique, et dont la teneur en polyphénols soit analysée pour garantir un titrage efficace.
Dans ce cas, et dans ce cas uniquement, vous fournirez à votre organisme les ressources nécessaires à la préparation de bonnes défenses contre les radicaux libres.
Une cascade de métabolisation positive permettant au corps de restaurer ses fonctions vitales ainsi que l’élan juvénile des cellules.
1/ Un antioxydant majeur
L’activité antioxydante de la grenade a été étudiée in vitro par plusieurs auteurs, dont TEZCAN et al. en 2009, JACOB et al. en 2018 ou encore TZULKER et al. en 2007.
Certaines de leurs études suggérant que les composés phénoliques de la grenade provoquent une réaction dite « redox », c’est à dire d’oxydoréduction.
D’autres pensent que l’activité antioxydante des composés phénoliques est tout simplement due à leur habileté à capter les radicaux libres. (5)
Montrant dans tous les cas que le jus de grenade est un puissant inhibiteur de l’anion superoxyde, responsable, entre autres, de l’élimination du monoxyde d’azote. (6)
Comparativement, son pouvoir antioxydant immédiat est largement plus important que celui du jus de raisin, du jus de myrtille, du vin rouge, de l’acide ascorbique ou vitamine C, et du DL-Alpha-tocophérol.
La multitude d’études in vitro et in vivo ayant été menées jusqu’à présent démontrent que les polyphénols de la grenade sont capables d’agir à la fois sur les cellules neuronales et gliales, améliorant la fonction de la barrière hémato-encéphalique, rétablissant l’équilibre redox grâce à une réaction d’oxydoréduction dans le sang et le cerveau, et augmentant le flux sanguin vers le cerveau.
Ses effets neuroprotecteurs étant également liés aux propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et chélatrices des polyphénols.
Mais c’est encore et avant tout le stress oxydatif que la grenade atténue significativement.
Hosseini et al. montre que la consommation orale d’extrait de grenade réduit le stress oxydatif chez les personnes en surpoids ou obèses, juste après que Wu et al., en 2015, observe les effets bénéfiques de l’extrait de polyphénols de grenade sur le stress oxydatif chez les patients hémodialysés.
2/ Un tonique inattendu de la sphère cérébrale
La capacité des polyphénols contenus dans la grenade aidant le cerveau à activer diverses voies de signalisation et à influencer les dommages mitochondriaux, permet d’équilibrer les processus d’autophagie, d’apoptose, et de signalisation des neurotransmetteurs.
Les meilleurs résultats étant toujours obtenus grâce à l’administration par voie orale d’extrait de grenade dont la richesse en polyphénols aura été contrôlée.
Le cerveau étant lui-même tant générateur que particulièrement sensible au stress oxydatif en raison de sa forte consommation d’oxygène et de ses faibles niveaux d’antioxydants endogènes, en cas d’infection, de stress mental ou d’exposition à des sources de pollution, ses réserves d’antioxydants sont rapidement pillées. (7)
Le stress, tant physique que mental, la dépression et la privation de sommeil étant des sources susceptibles de provoquer un niveau d’oxydation submergeant les défenses antioxydantes du cerveau. (8)
Batandier et al. a d’ailleurs scientifiquement démontré qu’un stress émotionnel aigu augmente le stress oxydatif du cerveau.
Stress oxydatif pouvant entraîner une peroxydation lipidique affectant les fonctions cérébrales, qui ne peuvent être régulées convenablement, vous l’aurez compris, que par l’alimentation éclairée ainsi que la micronutrition. (9)
Pour compléter le système antioxydant endogène, permettant de synthétiser naturellement superoxyde dismutase, catalase, glutathion peroxydase, glutathion réductase, glutathion, etc., les polyphénols apportent les meilleurs antioxydants exogènes, c’est à dire extérieurs, assurant, entre autres choses, l’équilibre redox cellulaire. (8)
C’est pourquoi la grenade, un des végétaux les plus riches en antioxydants, est capable de diminuer la peroxydation des lipides dans le système nerveux, les mitochondries cérébrales, de l’hippocampe et de l’hypothalamus.
D’autres études vont jusqu’à prouver que l’extrait de grenade joue un rôle indéniable dans la préservation de la myélinisation.
Pour finir ce bref tour d’horizon de ses actions sur la sphère cérébrale, une étude américaine a mis en évidence in vitro ainsi que sur un modèle animal, certaines propriétés protectrices des urolithines, polyphénols de la grenade, contre la maladie d’Alzheimer.
Bien que ces résultats restent à démontrer cliniquement chez l’Homme, elles font de la grenade un des tout premiers candidats pour lutter contre ce type d’affections. (10)
3/ Ses effets sur la sphère cognitive, l’anxiété et la dépression
Lorsqu’ils sont pris pendant une longue période, dépassant trois mois de complémentation quotidienne, au-delà des mécanismes biochimiques profitant à l’équilibre physique et cellulaire, on sait que les polyphénols réduisent aussi les comportements anxieux et dépressifs. (11)
Des recherches menées chez la souris, montrent que la privation de sommeil induit des troubles de la mémoire et de l’anxiété générant des niveaux élevés de cytokines pro-inflammatoires comme l’interleukine (IL)-1β, l’IL-6, mais aussi un facteur de nécrose tumorale (TNF)-α et du stress oxydatif, qui variera en fonction des taux de superoxyde dismutase, de glutathion peroxydase, Vitamine C et malonyl dialdéhyde de chaque individu.
Un traitement à l’extrait de grenade pendant deux semaines a non seulement amélioré les déficits de mémoire et d’apprentissage induits par la privation de sommeil, mais a également réduit l’anxiété associée confirmant des effets similaires aux observations empiriques humaines.
Son action sur la fonction cognitive pouvant s’avérer étroitement liée à un effet de modulation de la dopamine dans le cerveau cumulé à son pouvoir antioxydant immédiat. (12)
4/ Un protecteur de la sphère cardiovasculaire
Alors que l’étude de Wu et al. citée plus haut, montre que l’extrait de polyphénols de grenade est en mesure de diminuer la pression artérielle chez les patients hémodialysés, quelques années plus tard Jafari découvre que la consommation d’extrait d’écorce de grenade et de vitamine E améliore la fonction endothéliale chez ce type de malades.
D’autres ayant, avant eux, mis l’accent sur le fait que la prise orale d’extrait de grenade a une activité anti-athérogène. (13)
Ainsi qu’un effet protecteur cardiovasculaire chez des sujets obèses ou en surpoids, grâce à l’urolithine qu’il contient. (14)
Rejoignant les observations d’Hosseini, en 2016, ayant souligné les effets bénéfiques de l’extrait de grenade pour le système cardiovasculaire en général.
Quant au jus de grenade bio et cru, sous forme de cure, il présenterait également des effets appréciables comme :
la gestion des triglycérides et de la pression artérielle, améliorant l’équilibre cholestérolémique des lipoprotéines de haute densité (HDL-C) (15) et luttant contre l’athérosclérose (16)
la diminution de la tension artérielle chez les diabétiques (17) et chez les victimes du syndrome métabolique (18)
l’amélioration de la tension artérielle (19)
l’aide au traitement des cardiopathies ischémiques (20)
un potentiel bénéfique pour les personnes atteintes de maladie coronarienne ischémique (21)
la prévention des maladies cardiovasculaires, l’abaissement des triglycérides et la pression artérielle et l’augmentation du HDL-C chez les patients atteints du SOPK. (22)
5/ Son activité anti-arthritique
Seules quelques études se sont concentrées sur les effets thérapeutiques de la consommation de grenade concernant son activité anti-arthritique, modulée par les effets antioxydants de la grenade. (23)
Ghoochani a découvert l’activité antioxydante du jus de grenade chez les patients souffrant d’arthrose, tandis que d’autres études amènent à penser que la consommation d’extraits de grenade est bénéfique aux personnes souffrant de polyarthrite rhumatoïde. (24)
Malgré tout, le protocole scientifique devrait mener à des études complémentaires pour approfondir les recherches et mettre en évidence les propriétés médicinales de la grenade ainsi que les mécanismes sous-jacents aux questions de l’arthrite comme de l’arthrose.
6/ Son action anti-virale
Les ellagitanins et l’acide ellagique, polyphénols dont la grenade regorge, apportent, comme nous l’avons précédemment vu, une activité anti-inflammatoire et antioxydante.
Or, ce processus est crucial afin d’optimiser vos défenses contre une infection virale. (25)
Cependant les données actuelles vont bien plus loin, montrant que l’extrait de grenade titré en polyphénols a des effets bénéfiques sur le contrôle de l’infiltration des cellules immunitaires, régulant la sécrétion de cytokines comme la production d’espèces réactives d’oxygène et d’azote, permettant de moduler l’activité de la voie NFκB.
In vitro, les extraits de grenade et les ellagitanins inhibent l’infectivité d’une gamme de virus, notamment le SRAS-CoV-2.
Des études d’amarrage in silico montrent que les ellagitanins se lient à plusieurs protéines du SRAS-CoV-2, y compris un certain nombre de protéases.
Étant capables de cibler le virus SARS-CoV-2 tout en limitant la réponse inflammatoire de l’hôte à la prolifération virale, mais aussi en complétant les niveaux d’antioxydants appauvris pendant la phase de récupération d’un COVID-19.
D’autres résultats prouvent que l’extrait de grenade est efficace contre l’alphavirus MAYV, ou virus Mayaro, caractérisant plus en détails l’effet virucide de l’extrait de grenade. (26)
Constituant un nouveau candidat pour la lutte contre les virus à ARN enveloppé, qu’ils soient d’origine naturelle ou synthétique.
7/ Son efficacité contre l’herpès simplex de type 1 (HSV-1)
La grenade étant une excellente source de composés bioactifs, la peau de la grenade et la feuille du grenadier ont montré des résultats positifs contre le virus de l’herpès simplex de type 1.
Conduisant à l’identification de différents composés, dont les ellagitanins, les flavonoïdes et les acides phénoliques, également présents dans la chair, la pulpe et les grains, révélant un effet inhibiteur remarquable sur la formation des plaques virales.
Parmi ses composants, la punicalagine a été en mesure d’inhiber la réplication du HSV-1, réduisant l’accumulation d’ADN viral, la transcription des gènes viraux, ainsi que les protéines des trois phases de la cascade de réplication virale. (27)
En revanche, aucune activité antibactérienne n’a été détectée.
8/ Un atout contre le diabète
Les effets bénéfiques de la prise orale de jus de grenade chez les diabétiques, améliorant les paramètres cardiovasculaires (28), le contrôle de la glycémie (29), les effets inflammatoires (30) et oxydatifs, montrent l’immense potentiel de son extrait concentré. (31)
La cure de jus de grenade pouvant abaisser la glycémie après un repas riche en gluten par l’inhibition de l’α-amilase, grâce aux urolithines, a la capacité de réguler le métabolisme du glucose de 3 à 6 heures après un repas. (32)
L’extrait de grenade réduit les taux sanguins d’insuline et de glucose chez les personnes en surpoids ou obèses. (33)
Par ailleurs, d’autres études ont montré que l’huile de pépins de grenade peut améliorer les paramètres diabétiques chez les personnes obèses et atteintes de diabète sucré de type 2, ou encore que la consommation régulière de jus de grenade abaisse les niveaux de cortisol. (34)
9/ Un régénérateur cutané et un stimulateur de la production de collagène
La prise régulière d’extrait, mais aussi de jus de grenade, protège la peau des rayons ultraviolets. (35)
Si l’action antioxydante de l’extrait de grenade favorise globalement la santé de la peau, principal bouclier contre les agressions extérieures, pollution, germes, microbes… l’application d’une authentique huile pépins de de grenade constituera un atout supplémentaire considérable dans la lutte contre la dévitalisation et l’affaissement cutanés, les rides et les ridules.
Raffermissante, assouplissante et nourrissante, l’huile de pépins de grenade contient une importante quantité de phytostérols, tocophérol et squalène.
Mais aussi 60% d’acide pucinique qui agit à plusieurs niveaux sur la santé cutanée, renforçant les membranes cellulaires, limitant la perte en eau, tout en stimulant la production de collagène.
Elle favorise les mécanismes endogènes de réparation de l’épiderme, mais présente aussi l’avantage de réduire les inflammations en cas de brûlure, irritation post-épilation ou coup de soleil.
Vous l’aurez compris, l’action conjointe d’une cure d’extrait de grenade à une application quotidienne d’huile de pépins de grenade, rendra fermeté et souplesse à votre peau, lui apportant un effet anti-âge durable.
10/ Les tumeurs et l’extrait de grenade titré en polyphénols
Les fruits du grenadier sont employés à des fins thérapeutiques depuis fort longtemps.
Cependant ses propriétés anti-tumorales n’ont été reconnues que très récemment.
Depuis peu il est donc admis par la communauté scientifique que la consommation d’extrait de grenade améliore les résultats cliniques chez les patients atteints d’un cancer de la prostate. (36)
Cette activité, générée par les métabolites des polyphénols, a également un effet bénéfique chez les patients atteints de cancer colorectal. (37)
De nombreuses études étayent le fait que les extraits de grenade régulent les microARN et l’expression des gènes dans les tissus du cancer colorectal. (38)
L’extrait de grenade s’avérant, au final, être source d’actions anticancéreuses globales, dans la mesure où il exerce une influence sur la tumorogenèse et l’angiogenèse ainsi que la transformation et la prolifération cellulaires. (39)
Sa capacité à inhiber la prolifération cellulaire a d’ailleurs été testée sur de nombreuses lignées cellulaires cancéreuses comme celles du sein (40), de la leucémie (41), de la prostate (42), du poumon (43) et du fibrosarcome (44).
Pour finir, l’extrait de Punica granatum ou grenade bio, inhibe la viabilité, l’invasion et la migration des cellules cancéreuses de la vessie par la régulation et la baisse de la voie de signalisation HOXD10. (45)
Observations scientifiques complétant des connaissances empiriques, faisant de l’extrait de grenade, accompagné d’une bonne cure de jus fait maison et éventuellement de son huile, un trio explosif qui vous libèrera de bien des maux.
Jean-Baptiste Loin
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Sources et références :
1. Shabbir et al., 2017
2. Zarfeshany et al., 2014
3. Bar-Ya’akov et al., 2019
4. Sreekumar et al., 2014)
5. AMARROWICZ et al., 2004
6. Ignarro et al. (2006)
7. Morzelle M.C., Salgado J.M., Telles M., Mourelle D., Bachiega P., Buck H.S., Viel T.A. Neuroprotective Effects of Pomegranate Peel Extract after Chronic Infusion with Amyloid-β Peptide in Mice. PLoS ONE. 2016;11:e0166123. doi: 10.1371/journal.pone.0166123.
8. Feng Y., Yang S., Du X., Zhang X., Sun X., Zhao M., Sun G., Liu R. Ellagic Acid Promotes Aβ42 Fibrillization and Inhibits Aβ42-Induced Neurotoxicity. Biochem. Biophys. Res. Commun. 2009;390:1250–1254. doi: 10.1016/j.bbrc.2009.10.130.
9. Fang E.F., Hou Y., Palikaras K., Adriaanse B.A., Kerr J.S., Yang B., Lautrup S., Hasan-Olive M.M., Caponio D., Dan X., et al. Mitophagy Inhibits Amyloid-β and Tau Pathology and Reverses Cognitive Deficits in Models of Alzheimer’s Disease. Nat. Neurosci. 2019;22:401–412. doi: 10.1038/s41593-018-0332-9.
10. Tao Yuan et al, Pomegranate’s Neuroprotective Effects against Alzheimer’s Disease. ACS Chemical Neuroscience, Novembre 2015.)
11. Girish C., Raj V., Arya J., Balakrishnan S. Involvement of the GABAergic system in the anxiolytic-like effect of the flavonoid ellagic acid in mice. Eur. J. Pharm. 2013;710:49–58. doi: 10.1016/j.ejphar.2013.04.003.
12.
https://europepmc.org/article/MED/3676818513. Hamoud et al., 2014
14. González-Sarrías et al., 2017
15. Barati Boldaji et al., 2020 ; Shema-Didi et al., 2014
16. Shema-Didi et al., 2012
17. Sohrab et al., 2019
18. Moazzen et Alizadeh, 2017
19. Lynn et al, 2012
20. Razani et al., 2017
21. Sumner et al., 2005
22. Abedini et al., 2021
23. Balbir-Gurman et al., 2011 ; Ghavipour et al., 2017 ; Ghoochani et al., 2016
24. Balbir-Gurman et al., 2011 ; Ghavipour et al., 2017
25.
https://europepmc.org/article/MED/3717518126.
https://europepmc.org/article/MED/3447960527.
https://europepmc.org/article/MED/3656064328. Sohrab et al., 2019
29. Banihani et al., 2014
30. Sohrab et al., 2018
31. Rosenblat et al., 2006 ; Sohrab et al., 2017
32. Kerimi et al., 2017
33. Hosseini et al., 2016
34. Khajebishak et al., 2019 ; Banihani et al. 2020
35. Henning et al., 2019 ; Kasai et al., 2006
36. Paller et al., 2013 ; Pantuck et al., 2006
37. González-Sarrías et al., 2010
38. Nuñez-Sánchez et al., 2015 ; Nuñez-Sánchez et al., 2017
39. Ahmadiankia N. Molecular targets of pomegranate (Punica granatum) in preventing cancer metastasis. Iran J. Basic. Med. Sci. 2019;22:977–988. doi: 10.22038/ijbms.2019.34653.8217
40. Gul H.F., Ilhan N., Ilhan N., Ozercan I.H., Kuloglu T. The combined effect of pomegranate extract and tangeretin on the DMBA-induced breast cancer model. J. Nutr. Biochem. 2021;89:108566. doi: 10.1016/j.jnutbio.2020.108566
41. Dahlawi H., Jordan-Mahy N., Clench M.R., Le Maitre C.L. Bioactive actions of pomegranate fruit extracts on leukemia cell lines in vitro hold promise for new therapeutic agents for leukemia. Nutr. Cancer. 2012;64:100–110. doi: 10.1080/01635581.2012.630155
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43. Shaikh S.B., Bhandary Y.P. Therapeutic properties of Punica granatum L. (pomegranate) and its applications in lung-based diseases: A detailed review. J. Food Biochem. 2021;45:e13684. doi: 10.1111/jfbc.13684
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45.
https://europepmc.org/article/MED/33895929---------------------------------------------------------------------------
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