Encore
Site intéressant de Christophe Bernard, Herbaliste
source
https://www.altheaprovence.com/BIENVENUE
Une rencontre entre science et tradition
Au travers de ce site, je partage mon expérience sur les plantes médicinales, en espérant participer à petite échelle à votre bien-être.
Ce site est très riche en information. Je vous laisse l'explorer au grès de vos envies en utilisant les menus ci-dessus. Je vous encourage aussi à vous abonner à ma lettre d'information gratuite afin d'être informé sur les derniers articles.
Voici les catégories les plus consultées du site. Il y en a d'autres que vous pouvez découvrir au travers des menus ci-dessus. Mais si vous ne savez pas par où commencer, je vous conseille d'attaquer par ici.
Rétrospective des 10 ans d'AltheaProvence !
Des centaines de vidéos sur les plantes !
Eh oui, c'est gratuit en plus.
Cette section du site est définitivement devenue la plus populaire. Et puis cela vous permet de me connaître avé les gestes, l'accent, et tout et tout.
Vidéos sur les plantes (voir liens sur le site)
https://www.altheaprovence.com/videos/Vidéos sur les plantes
Ache des marais (Apium graveolens var. graveolens)
Achillée millefeuille (Achillea millefolium)
Aigremoine (Agrimonia eupatoria)
Agripaume (Leonurus cardiaca)
Ail (Allium sativum)
Ail des ours (Allium ursinum)
Alchémille (Alchemilla vulgaris)
Anis vert (Pimpinella anisum)
Armoise annuelle (Artemisia annua)
Armoise commune (Artemisia vulgaris)
Aubépine (Crataegus monogyna)
Bardane (Arctium lappa)
Bistorte (Polygonum bistorta)
Bleuet (Centaurea cyanus)
Bouleau (Betula pendula)
Bourse à Pasteur (Capsella bursa-pastoris)
Brahmi (Bacopa monnieri)
Brunelle (Prunella vulgaris)
Bruyère cendrée (Erica cinerea)
Café (Coffea arabica) - bon ou pas pour la santé ?
Calament (Clinopodium nepeta)
Camomille matricaire (Matricaria recutita)
Camomille romaine ou noble (Chamaemelum nobile)
Cannelle (Cinnamomum verum)
Cardamome (Elettaria cardamomum)
Chardon-marie (Silybum marianum)
Chêne (Quercus spp.)
Chia (Salvia hispanica), les graines
Chicorée sauvage (Cichorium intybus)
Chiendent (Agropyron repens)
Citronnelle (Cymbopogon citratus)
Cola (Cola nitida), la noix
Curcuma (Curcuma longa)
Echinacée (Echinacea purpurea)
Eleuthérocoque (Eleutherococcus senticosus)
Églantier (Rosa canina)
Epilobe (Epilobium angustifolium)
Euphorbes (Euphorbia spp.)
Fenouil (Foeniculum vulgare)
Fenugrec (Trigonella foenum-graecum)
Fragon petit-houx (Ruscus aculeatus)
Frêne à manne (manne de frêne)
Fumeterre (Fumaria officinalis)
Genévrier (Juniperus communis)
Gentiane (Gentiana lutea)
Gingembre (Zingiber officinale)
Ginseng (Panax ginseng)
Girofle - les clous (Syzygium aromaticum)
Gotu kola (Centella asiatica)
Gros thym (Plectranthus amboinicus)
Harpagophytum (Harpagophytum procumbens)
Hélichryse Italienne (Helichrysum italicum)
Hysope (Hyssopus officinalis)
Karkadé (Hibiscus sabdariffa)
Lapacho ou Pau d'Arco (Tabebuia impetiginosa)
Lavande (Lavandula angustifolia)
Lierre terrestre (Glechoma hederacea)
Maca (Lepidium meyenii)
Maïs - la barbe (Zea mays)
Marronnier d'Inde (Aesculus hippocastanum) - Fabrication de la teinture, la fiche complète se trouve ici
Marrube (Marrubium vulgare)
Mauve (Malva sylvestris)
Mélisse (Melissa officinalis)
Menthe poivrée (Mentha x piperita)
Millepertuis (Hypericum perforatum) - vidéo sur la cueillette, la fiche complète se trouve ici
Moringa (Moringa oleifera et autres)
Nigelle cultivée (Nigella sativa)
Noisetier (Corylus avellana) - la feuille
Olivier (Olea europa) – la feuille
Oranger (Citrus aurantium), les écorces
Origan (Origanum vulgare)
Ortie (Urtica dioica) - feuille, racines, graines
Pâquerette (Bellis perennis)
Pariétaire (Parietaria officinalis)
Partenelle (Tanacetum parthenium)
Passiflore (Passiflora incarnata)
Pavot de Californie - Escholtzia (Eschscholtzia californica)
Pensée sauvage (Viola tricolor)
Persil (Petroselinum crispum)
Piment (Capsicum spp)
Pin, bourgeons (Pinus sylvestris)
Pissenlit (Taraxacum officinale)
Plantain (Plantago lanceolata, P. major)
Pourpier (Portulaca oleracea)
Propolis (ok, pas vraiment une plante, mais bon)
Psyllium (Plantago psyllium)
Réglisse (Glycyrrhiza glabra)
Ricin (Ricinus communis) - l'huile
Ronce ou murier sauvage (Rubus spp)
Safran (Crocus sativus)
Sauge (Salvia officinalis)
Sauge blanche (Salvia apiana)
Souci des jardins (Calendula officinalis)
Souci des champs (Calendula arvensis)
Sureau (Sambucus nigra) - la fleur
Tilleul (Tilia platyphyllos) – fleurs avec bractées
Tilleul (Tilia sylvestris) - aubier
Thym (Thymus vulgaris)
Tribule terrestre (Tribulus terrestris)
Tulsi ou Basilic sacré (Ocimum sanctum)
Vergerette du Canada (Erigeron canadensis)
Verge d'or solidage (Solidago virgaurea)
Verveine citronnelle (Aloysia citriodora)
Verveine officinale (Verbena officinalis)
Vigne rouge (Vitis vinifera var. tinctoria)
Vipérine (Echium vulgare)
Herboristerie
source
https://www.altheaprovence.com/bourse-a-pasteur-capsella-bursa-pastoris/Petite brassicacée au goût moutardé, la capselle “bourse à pasteur” nous offre une propriété des plus intéressantes. Elle est, entre autres choses, l'une des meilleures plantes hémostatiques (stoppe les saignements) qui pousse autour de chez vous. Je vous la présente dans cette fiche complète.
Nom commun : Capselle, Bourse à Pasteur
Nom latin : Capsella bursa-pastoris
Famille : Brassicaceae
Constituants :
*Flavonoïdes (diosmine, lutéoline, scolymoside, etc)
*Caroténoïdes
*Minéraux (Calcium, Potassium)
*Acides phénoliques (dérivés d'acide caféique)
*Acides aminés
*Huiles volatiles (camphre)
Goût :
*Acre
*Salé
*Légèrement pénétrant (camphre)
Energétique :
*Réchauffant
*Asséchant (dans le sens diurétique - perte de fluide, mais aussi assèche les saignements)
Utilisation de la Bourse à Pasteur
Hémostatique
La bourse à pasteur est capable d'arrêter les saignements. Elle fut l'une des plantes la plus utilisées par les sages femmes dans les années 1800 à 1900. Elle est toujours utilisée aujourd'hui par les sages femmes herbalistes aux Etats-Unis.
La seule plante qui rivalise avec elle pour stopper les saignements : l'achillée millefeuille.
Matthew Wood nous donne une différentiation importante entre les différents types de saignements, afin de choisir la bonne plante (ref : Wood) :
*La bourse à pasteur, en tant que réchauffante et stimulante, agit mieux sur les conditions de saignement provenant d'un organe atone, “froid”, avec un sang sombre et épais qui a du mal à s'écouler (et demande donc une stimulation afin de résoudre la situation) ;
*L'achillée millefeuille agit plutôt en tant qu'hémostatique refroidissante, et agit donc mieux sur les saignements rouge vif qui s'écoulent abondamment.
Sans aller dans ces détails, on notera que la bourse à pasteur, d'une manière traditionnelle, a surtout été utilisée pour les saignements de la femme. Ce qui ne veut pas dire qu'elle n'est pas efficace pour d'autres saignements, bien au contraire.
Michael Moore, qui a développé une grande connaissance de la bourse à pasteur, la recommande (ref : Moore) :
-En application locale (peau et muqueuses), la teinture est à appliquer avec de l'argile verte ou un morceau de pain saturé de teinture pour la maintenir en place ;
-En interne pour :
*La métrorragie (saignements hors de la période des règles, par exemple en milieu de cycle).
Leclerc rajoute que la bourse à pasteur est, en effet, un régulateur du flux menstruel n'entrainant aucun trouble congestif local ou à distance (au contraire elle disperse les congestion de par son effet réchauffant) ;
Leclerc l'emploie à la puberté et à la ménopause, « deux âges extrêmes de la vie qui se traduisent si souvent par des métrorragies ». « Contre les métrorragies, j'en donne, selon les cas, jusqu'à 6 cuillères à café dans les 24 heures » (ref : Leclerc, en référence à l'extrait fluide).
*Les saignements qui surviennent vers la fin des règles, le liquide étant rouge vif et non foncé (distinguer entre expulsion de l'endomètre et saignement) ;
*Les saignements dus aux fibromes utérins ;
*Les saignements erratiques de la ménopause ;
*Les saignements après un curettage ;
*Les saignements post-opératoires dans les cas de résection (retrait chirurgical d'organe) ;
*Les saignements des hémorroïdes, utiliser la teinture diluée, en lavement si l'hémorroïde est interne ;
*Les saignements de nez que l'on n'arrive pas à arrêter - prendre une dose de teinture en interne, ceci devrait stopper le saignement en 10 minutes ;
*Arrêter l'hématurie (présence de sang dans les urines) due à un accident (choc aux reins) ;
Moore la porte en grande estime pour les problèmes d'accouchement, car elle fonctionne rapidement et est prévisible:
-Les sages femmes l'utilisaient pour l'hématome rétroplacentaire (une situation sérieuse pour la mère et le bébé) ;
-Les saignements du post-partum, en particulier pour calmer les saignements des accouchements à domicile. La plante augmente légèrement la force de contraction.
*Pour les saignements de l'accouchement, Moore explique que l'absorption de la teinture est très rapide car la mère a le ventre vide. Les effets se font ressentir au bout de 5 à 10 minutes. Le dosage est “autant que nécessaire pour stopper le saignement” : une dosette de flacon compte goutte dans un peu d'eau, attendre 10 minutes, donner une autre dosette, etc.
-Les saignements dus à une césarienne ;
Moore estime qu'elle fonctionne mal dans les cas d'hémophilie déclarés.
Felter l'utilise pour la ménorragie chronique, avec un flux trop long, trop fréquent, et presque sans couleur (ref : Felter). Ellingwood rajoute que la plante amène une résolution permanente de la dite ménorragie (ref : Ellingwood).
Cazin rajoute : “j'ai eu l'occasion, l'année dernière, de vérifier les bons effets de la bourse à pasteur chez une demoiselle âgée de dix-huit ans, lymphatique et nerveuse, dont les menstrues, très abondante et ayant une durée de dix à douze jours, amenait un état de débilité que les toniques et l'usage du fer dans les intervalles ne pouvaient combattre, à cause du peu de temps laissé entre les pertes utérines. La décoction de bourse à pasteur (une poignée d'herbe fraiche pour 1 kil. d'eau), prise par tasses de deux heures en deux heures, arrête peu à peu l'écoulement dans l'espace de deux jours.”
Leclerc cite Hannon, qui pense que la plante fonctionne le mieux lorsque la fibrine manque au liquide sanguin, aux femmes dont les règles se répètent trop fréquemment ou durent trop longtemps, aux sujets qui saignent ou ont des ecchymoses aux moindres chocs (ref : Leclerc).
Mise en garde : tout saignement n'est pas anodin. La première des choses à faire est de passer aux urgences ou d'aller consulter un médecin. Ne vous amusez pas à essayer de résoudre une situation d'hémorragie seul. Comment fonctionne-t-elle ?
Les scientifiques n'ont pas réussi à élucider le composant responsable de son action. C'est donc dans le “totum” de la plante qu'il faut regarder (comme toujours) et ne pas appliquer une vision réductionniste.
Voici ce qui est intéressant au sujet de la bourse à pasteur : ce n'est pas une plante tannique. Et ce sont en général les tannins des plantes qui sont responsables de l'action hémostatique.
Il faut donc probablement regarder du coté de son action circulatoire. En augmentant la circulation vers les extrémités, la bourse à pasteur pourrait bien “tirer” le sang loin de la zone de saignement, ou au moins égaliser la circulation de telle manière que le sang n'aille pas en force vers la zone endommagée.
Matthew Wood fait un parallèle avec d'autres plantes hémostatiques épicées comme le piment (Capsicum sp).
Michael Moore explique que la plante encourage le processus de formation des caillots lors des saignements. Elle semble améliorer la transformation de prothrombine en thrombine (enzyme qui convertit le fibrinogène en fibrine). Moore estime qu'elle n'agit pas en interagissant avec la vitamine K, une théorie des années 80 qui n'est plus valide aujourd'hui.
Leclerc lui trouve une action tonique et stimulante sur les vaso-moteurs centraux ayant beaucoup d'analogie avec celle de l'Hydrastis canadensis, mais incontestablement moins brutale.
Ulcérations chroniques
Moore, qui avait une longue expérience d'utilisation de la plante, explique qu'elle est mal adaptée aux saignements dus à une ulcération chronique des muqueuses de l'estomac (ulcère), de l'intestin (colite ulcéreuse) ou du colon (maladie de Crohn).
Moore fait la distinction entre dommage infligé aux tissus (ouverture, choc) et dégénération lente des tissus. La dégénération lente entraine un saignement faible mais constant avec constante irritation et dommage aux capillaires sanguins. Les capillaires ont perdu une partie de leur intégrité. La structure sous-jacente des tissus ne peut plus exercer sa fonction primaire.
Dans ces cas de dégénération lente, Moore préfère largement les astringents du système digestif, avec deux plantes en particulier:
*La vergerette du Canada (Conyza canadensis)
*La cannelle (Cinnamomum sp.)
Synergiste de l'ocytocine
Moore la classe comme synergiste de l'ocytocine.
Elle peut être utilisée pour améliorer le réflexe d'éjection pendant l'allaitement. La bourse à pasteur est loin d'être aussi efficace que l'écorce de la racine du cotonnier (Gossypium sp.), mais elle peut faire l'affaire si une teinture de racine de cotonnier n'est pas disponible.
Elle peut aussi causer des contractions utérines. Elle est donc contrindiquée pendant la grossesse.Sphère Urinaire
Felter la recommande pour toute irritation du système urinaire accompagnée de dépôts phosphatiques et d'une envie constante d'uriner. Ellingwood rajoute qu'elle est utile lorsque cette irritation est aussi causée par de l'acide urique ou des cristaux insolubles de carbonates.
La fameuse British Herbal Pharmacopoeia recommande la capselle pour toute cystite aiguë et catarrhale (hypersécrétion de mucus), expliquant qu'elle agit comme antiseptique.
C'est dans l'ensemble un bon astringent et anti-inflammatoire du système urinaire. Rademacher, médecin du début des années 1800 très inspiré de Paracelse, l'utilisait dans les cas de calculs rénaux. La bourse à pasteur, d'après Rademacher, est particulièrement adaptée lorsque il y a présence de sang et de sédiments dans les urines. La plante provoquerait l'élimination de particules de sable non-visibles à l'oeil nu.
Les études nous disent que la plante a une action anti-inflammatoire et antibactérienne(1) qui pourrait s'avérer très utile dans les cas d'infection bactérienne des voies urinaires. L'étude en question parle d'effet “anti-superbactérie” lorsque la bactérie est résistante aux antibiotiques (entérocoque résistant à la vancomycine, Bacillus anthracis).
Pour toute application relevant de la sphère urinaire, favorisez plutôt l'infusion de plante récemment séchée si vous avez le choix. Sinon la teinture fera l'affaire.
Effets indésirables
La plante (comme la plupart des plantes médicinales d'ailleurs) ne doit pas être prise pendant la grossesse.
Moore a pu observer quelques effets indésirables, certes rares, mais qu'il est bon de mentionner ici.
Tout d'abord, la bourse à pasteur peut entraîner une légère baisse de tension, observée surtout sur des sujets âgés souffrant de bradycardie, légèrement aggravée par la plante. La bourse à pasteur contient un ester de choline, qui pourrait mimer l'acétylcholine. D'autres plantes dans la famille des moutardes (brassicacées) ont aussi cet effet.
Un autre effet rare est une hypertension idiosyncratique.
En tant que brassicacée, elle est aussi goitrogène, et donc contrindiquée en prise au long terme si hypothyroïdie.
Bref, Moore mentionne que la plante n'est pas si anodine que ce qu'on pourrait le croire. Elle fonctionne extrêmement bien lorsqu'il y a saignement. Mais hors de ce contexte, elle peut parfois amener ces effets indésirables. Comme vous pouvez aussi le constater, c'est une plante pour utilisation ponctuelle, et pas à prendre en cure prolongée.Autres indications
*Comme astringent modéré dans les cas de diarrhées, d'après Cazin “pour ensuite faire usage des médicaments plus actifs” (ref : Cazin) ;
Préparation de la Bourse à Pasteur
Parties utilisées :
*C'est une annuelle, la plante commence sa vie avec une petite rosette au ras du sol - ne ramassez pas à ce moment là, attendez la floraison ;
*Elle est minuscule dans les endroits où la terre est pauvre, beaucoup plus développée aux abords des champs ou autres endroits où il y a de la fumure. Attention à ne pas ramasser au bord des champs de culture industrielle, elle sera couverte de pesticides et autres produits chimiques ;
*Ramassez lorsqu'il y a beaucoup de poches à graines sur la plante mais lorsqu'elles n'ont pas encore commencé à s'ouvrir, elles n'ont pas encore tourné au marron clair (toujours vertes), avec quelques fleurs blanches au sommet. Même si les poches à graines du bas ont commencé à tourner au marron et à s'ouvrir, vous pouvez ramasser, tant qu'il y a encore quelques fleurs blanches sur le sommet ;
*Toute la partie aérienne est utilisée (et même toute la plante, racine incluse).
Formes utilisées :
*Si la plante a été récemment séchée, vous pouvez utiliser l'infusion de la plante ;
*Teinture de la plante fraiche (1:2, alcool à 90°) ou teinture de plante “quasi fraîche” (voir mon article sur la teinture - 1:5, alcool à 45°), 20 à 60 gouttes dans un peu d'eau (ref : Moore). Dans la plupart des cas, 30 gouttes toutes les 30 minutes jusqu'à 5 fois par jour ou jusqu'à l'arrêt des saignements fonctionne plutôt bien.
*La rosette se mange en salade et rajoute une saveur moutardée.
Références
(1) Choi WJ, Kim SK, Park HK, Sohn UD, Kim W. Anti-Inflammatory and Anti-Superbacterial Properties of Sulforaphane from Shepherd's Purse. Korean J Physiol Pharmacol. 2014 Feb;18(1):33-9. doi: 10.4196/kjpp.2014.18.1.33. Epub 2014 Feb 13.
Livres et ouvrages cités :
*Cazin, « Traité Pratique et Raisonné des Plantes Médicinales Indigènes », 1868
*Ellingwood, « The American Materia Medica, Therapeutics and Pharmacognosy », 1919
*EMA - European Medicines Agency, rapport EMA/HMPC/262767/2010 ;
*Felter, Lloyd, « King’s American Dispensatory », 1898
*Leclerc, « Précis de Phytothérapie », 1973
*Wood, Matthew, « The Earthwise Herbal: A Complete Guide to Old World Medicinal Plants » , 2008.
Accueil 
Dernières images 
Connexion 
