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 *Ginseng: culture et utilisations

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MessageSujet: *Ginseng: culture et utilisations   *Ginseng: culture et utilisations EmptyMer 20 Sep 2017 - 12:16

*Ginseng: culture et utilisations 889353133

source http://www.reponsesbio.com/2017/08/30/peut-on-cultiver-ginseng-chez-soi/
Peut-on cultiver du Ginseng chez soi ?
30 août 2017


Il est possible de cultiver du Ginseng en France.
De l’ombre, une terre légère et acide, un arrosage régulier et de la patience sont nécessaires pour voir grandir cette racine de longue vie, dont les vertus revigorantes étaient l’apanage des empereurs chinois des anciennes dynasties.

En plus du plaisir que l’on éprouve à élever une plante rare et fragile, tout jardinier peut maintenant bénéficier, dans son jardin ou même dans un pot, après soins et patience, des vertus thérapeutiques de cette plante mythique.

Parce qu’elle évoque une silhouette humaine, avec une tête, un tronc et deux sous-racines qui ressemblent à des jambes, les Chinois lui ont donné le nom de Ginseng, « racine-homme ».

Le Ginseng Panax C.A Mayer, son nom botanique, est originaire de Mandchourie et de Corée.

Sa culture intensive a commencé à la fin du XVIème siècle en Corée.

Les paysans ont cherché à reproduire les conditions naturelles de pousse de la plante.

Aujourd’hui, il est produit en Corée et en Chine.

Pendant ce temps la consommation française croît chaque année.

La France importait 20 tonnes de Ginseng asiatique en 1988, 105 tonnes en 1999, et pratiquement le double aujourd’hui, l’essentiel en provenance de Chine, où le prix au kilo est nettement plus bas que celui du Ginseng coréen, réputé de meilleure qualité.

On le trouve en pharmacie et magasins bio, herboristeries, magasins asiatiques, et sur Internet sous forme de :
→ Ginseng blanc, en racine généralement plus jeune

 → ou de Ginseng rouge, une racine de 5-6 ans enduite au séchage d’un sirop sucré, dont la qualité est contrôlée, en Corée, par des organismes d’Etat.

Des propriétés stimulantes
La racine de Ginseng est réputée stimulante et aphrodisiaque.

Elle ne traite pas une maladie précise, mais stimule la résistance de l’organisme aux agressions du milieu.

Son efficacité contre le stress, les effets de l’âge ou pour retrouver de la vigueur est reconnue depuis des siècles et le secret de ses nombreuses vertus s’est transmis en Corée et en Chine de génération en génération.

Aujourd’hui le Panax Ginseng asiatique, souvent mis en vitrine en pharmacie et intégré dans de nombreux produits de « remise en forme » et de beauté, est l’objet de recherches médicales et pharmaceutiques intensives.

On a identifié une vingtaine de substances spécifiques « expliquant » les vertus bienfaisantes du Ginseng sur :
→ le métabolisme,

 → le système cérébral,

 → la synthèse des protéines,

 → les troubles de la tension artérielle,

 → la fatigue,

 → le diabète,

 → et l’asthénie sexuelle.

Mais, comme pour toutes les plantes médicinales, c’est la synergie de l’ensemble de ses composants qui lui donne son efficacité.

Outre les saponides, appelés ginsénosides, principales substances actives du Ginseng, il est riche en :
→ sels minéraux,

 → enzymes,

 → vitamines B1 et B2.

Un vrai cocktail d’énergie Yang, ce pourquoi il est reconnu en médecine chinoise.

Sa consommation en cure de 2 à 4 semaines, sous forme de poudre de racine ou en infusion à raison de 1 à 3 grammes par jour, est absolument sans danger pour l’organisme.

Seuls des surdosages ou des utilisations trop prolongées peuvent provoquer des insomnies, de la nervosité ou de l’hypertonie.

Le Panax Quinquifolium L., originaire de la région des Grands Lacs, en Amérique du Nord, a quant à lui des propriétés plus spécifiques.

La production industrielle
Il y a quelques décennies, des agriculteurs français ont mis en place, avec l’aide d’experts canadiens, une culture industrielle d’environ 10 à 15 ha de Panax quinquifolium L., le « Ginseng nord-américain ».

Comme les productions nord-américaines, il a été écoulé sur le marché international, à Hong-Kong, place tournante du marché mondial du Ginseng, car il n’est pas inscrit à la pharmacopée officielle et l’industrie pharmaceutique européenne ne l’utilise pas.

La croissance très lente du Ginseng, les soins minutieux qu’il demande, les sols épuisés qu’il engendre pendant plusieurs années, vidés de leurs substances nutritives et minérales, expliquent à eux seuls les raisons d’un prix si élevé en Europe.

D’où une tendance marquée à l’utilisation de sous-produits, radicelles ou racines de jeunes plants, moins chères que des racines matures de 5 à 7 ans.

En outre, en février 1996, le magazine 60 Millions de Consommateurs, après analyse de 18 préparations commerciales de toutes provenances, a constaté des dosages farfelus et surtout des excès de pesticides.

Raison de plus pour le cultiver dans son jardin !

En France, très peu de personnes cultivent du Ginseng asiatique à partir de plants d’un an.

La culture en bacs est préférable
Le Ginseng a besoin d’un climat tempéré, avec quatre saisons distinctes et des écarts de température modérés.

En France, les plants n’ont jamais été perturbés par les climats locaux.

On repique les plants de 1 an en Février-Mars.

La jeune plante lève avec les réchauffements de Mars-Avril.

C’est une plante de sous-bois, et l’ombre permanente est un facteur essentiel de réussite.

Une exposition directe d’une heure par jour suffit à faire blanchir les feuilles et perturber le fonctionnement de la plante jusqu’à son dessèchement complet et prématuré.

Si la culture se fait en pots ou en bacs, ils seront disposés à l’ombre d’arbres, de haies ou de murs et si possible, exposés au Nord.

Pour une culture en pleine terre, il faut ombrer les plantations avec des claies et des pailles ou des filets corbières, et chasser soigneusement le moindre rayon de lumière directe.

Il faut rechercher ou obtenir une terre légère, sans cailloux, plutôt acide (pH de 5,5 à 6,5) et bien drainée.

La racine grossira volontiers dans un sol sableux et humifère, alors qu’elle végétera dans un sol argileux et battant.

Comme toute plante de sous-bois, le Ginseng apprécie un milieu frais, humide, mais sans excès.

Il faut donc l’arroser régulièrement mais en petite quantité.

Attention aux maladies, la plante est sensible au rhizoctone de la pomme de terre, au phytophtora, et aux champignons de sol responsables de pourriture ou de fonte des semis.

Aussi, pour débuter prudemment, mieux vaut la planter dans des bacs remplis de terre de bruyère, les paramètres culturaux, maladies, ombre, limaces et arrosage sont ainsi mieux maîtrisés.

Une plante de moins de 3 ans a besoin d’un espace de 20 x 20 cm sur 30 cm de profondeur.

Une plante adulte exige 30 x 30 cm sur 40 cm de profondeur.

Une végétation lente
La plante ne développe pas une végétation abondante : une feuille la première année, une ou deux feuilles la deuxième année, puis une feuille supplémentaire par an.

Chaque automne, le Ginseng perd ses feuilles et tiges, il entre en repos végétatif.

On rentre les pots ou on les protège du gel avec de la paille et une bâche, selon les climats, bien que la racine ne soit pas sensible au froid.

Au printemps, cette plante vivace reprend son développement végétatif à partir d’un bourgeon apical sur la partie souterraine de la plante.

Elle est fragile au vent, lors de son installation sur site, prévoyez des coupe-vent.

Des graines de Ginseng et des plants d’un an prêts à être repiqués étaient encore il y a peu disponibles, en quantité limitée, auprès du Conservatoire national des plantes médicinales et aromatiques, Route de Nemours, 91490 Milly La Forêt.

Les racines du Ciel
Si de tous temps les hommes ont recherché le remède universel, les Chinois estiment l’avoir découvert depuis plus de 3000 ans.

Linné, « le père de la botanique », l’a confirmé en qualifiant le Ginseng de Panax, nom latin de panacée.

Les premiers écrits retrouvés sur les effets miraculeux du Ginseng datent du premier siècle après J.C. où on n’utilisait alors que des racines sauvages, qui valaient plus cher que l’or !

Il était donc réservé aux empereurs ainsi qu’aux grands dignitaires.

En 1274 Marco Polo, qui effectue son grand voyage en Chine, mentionne bien évidemment le Ginseng dans son Livre des Merveilles.

Ce qui n’empêchait pas les médecins hollandais d’utiliser le Ginseng avec une précaution :

L’interdisant « aux jeunes gens et aux personnes de constitution chaude car il allume le sang ».

Depuis sa réputation tenace d’aphrodisiaque est restée entière.

En France, la consommation de Ginseng aurait été lancée par Louis XIV qui séduit par les effets des racines offertes par le Roi de Siam en 1713, ne pouvait plus s’en passer.

Mais sa réputation est aussi liée à l’aspect anthropomorphe de sa racine, son étrange resemblance avec un corps humain la destinait, par analogie, à concourir au bien-être de l’homme.

La première description complète du Ginseng asiatique établie par un missionnaire jésuite français, le Père Jartoux, date de 1711.

En 1818, le Ginseng d’origine asiatique est inscrit à la pharmacopée française, mais il n’est vraiment utilisé en thérapeutique médicale que depuis quelques décennies.

En 1843, Carl Anton Meyer identifie précisément la plante et lui donne son nom botanique complet, Panax Ginseng C.A. Meyer, qui la distingue de l’espèce canadienne, découverte en 1715 par le Père Lafitau, autre jésuite français, Panax Quinquifolium L., qui porte l’appellation « Ginseng » et n’est pas inscrite à la pharmacopée française.

Un pépiniériste à Orléans
La consommation de Ginseng augmente régulièrement en France, mais peu de personnes savent qu’il est possible de produire cette plante et de la consommer en direct de son jardin à moindre coût et dans des conditions de culture saines.

Pourtant sa culture est à la portée de tous, même si l’on ne dispose pas d’un terrain.

Depuis des années, Jean-Marie Blanvillain cultive de l’authentique Ginseng médicinal asiatique, Panax Ginseng C.A Meyer, et du Panax Quinquifolium L. nord-américain, aux propriétés différentes.

Jean-Baptiste Loin

Pour plus de renseignements ou pour trouver directement des plants et graines de Ginseng, suivez ce lien
source http://www.ginseng-graines-plants.com/
Il est désormais possible de cultiver chez soi le Ginseng, Cette plante aux nombreuses vertus exploitées depuis des siècles dans la médecine chinoise.

Ce site vous fait découvrir cette plante fascinante et mystérieuse, et vous offre le moyen de bénéficier de ses vertus en la cultivant vous-même pour votre propre consommation.

Jean-Marie BLANVILLAIN est ingénieur en agriculture, et depuis 1989, il a pour passion la culture du Ginseng.

LE GINSENG : LA "RACINE-HOMME"
Rare en France pour l'instant, il est désormais possible de cultiver du Ginseng sous nos conditions climatiques : de l'ombre, une terre légère, un arrosage modéré et ... de la patience sont nécessaires pour voir grandir "l'élixir de longue vie", cette plante médicinale dont les racines, réduites en poudre, transmettaient déjà aux empereurs chinois des anciennes dynasties leurs vertus revigorantes.

Souvent évoqué dans la publicité ou dans des ouvrages divers, cette espèce fait l'objet d'un important commerce à travers le monde.
En plus du plaisir qu'on éprouve à élever une plante rare et fragile, tout jardinier peut maintenant bénéficier, en direct de son jardin, après soins et patience, des vertus thérapeutiques de cette plante mythique.

Evoquant une silhouette humaine, avec une tête, un tronc et deux racines qui figurent les jambes, les Chinois lui ont donné le nom de GINSENG signifiant la "racine-homme".

GINSENG : TROIS MILLÉNAIRES D'HISTOIRE
* Les hommes ont de tous temps été à la recherche du remède universel ; les chinois estiment l'avoir découvert depuis 3000 ans.
* LINNEE, le père de la botanique, confirme leur expérience en qualifiant le Ginseng de PANAX, nom latin de panacée.
* Les premiers écrits retrouvés sur les effets miraculeux du Ginseng datent du premier siècle après J.C. On n'utilisait alors que des racines sauvages, qui valaient à poids égal plus cher que l'or ; elles étaient, de ce fait, réservées aux Empereurs et aux grands dignitaires.
* En 1274, Marco Polo effectue son voyage en Chine et mentionne le Ginseng dans son livre des merveilles.
* On raconte que la consommation de Ginseng en Occident fut lancée par Louis XIV, séduit par les effets aphrodisiaques des racines offertes par le Roi de Siam en 1713.
* A cette période, les médecins hollandais utilisent le Ginseng avec cette restriction: "interdit aux jeunes gens et aux personnes de constitution chaude car il allume le sang" ! C'est le début d'une réputation tenace.
* Réputation également liée à l'aspect anthropomorphe de sa racine : sa ressemblance avec un corps humain la destine tout naturellement à concourir au bien-être de l'homme.
* 1711 : première description complète du Ginseng asiatique par un missionnaire jésuite français, le Père JARTOUX.
* En 1818, le Ginseng d'origine asiatique est inscrit à la pharmacopée française mais il n'est vraiment utilisé en thérapeutique médicale que depuis quelques décennies.
* C'est en 1843 que Carl Anton MEYER identifie précisément la plante et lui donne son nom botanique : PANAX GINSENG C.A. MEYER ; il la distingue de l'espèce canadienne, découverte en 1715 par le Père LAFITAU, autre jésuite français : PANAX QUINQUIFOLIUM L. ; ce dernier n'a pas l'appellation "Ginseng" et n'est pas inscrit à la pharmacopée française.

LA CULTURE DU GINSENG PASSE PAR LA MAITRISE DE TROIS PARAMÈTRES
* La culture intensive du Ginseng a débuté fin XVIème siècle en Corée : les paysans ont cherché à reproduire les conditions naturelles de pousse de la plante.
* Le Ginseng est une plante de sous bois ; l'ombre permanente est un facteur essentiel de réussite : une exposition directe d'une à deux heures par jour suffit à faire blanchir les feuilles et perturber le fonctionnement de la plante jusqu'à son dessèchement complet et prématuré.
* Si la culture se fait en pots ou en bacs, ceux-ci seront disposés à l'ombre d'arbres, de haies ou de murs et si possible, exposés au nord. Dans le cas d'une culture en pleine terre, il faudra ombrer les plantations à l'aide de claies et de paille ou avec des filets ombrières et chasser scrupuleusement le moindre rayon solaire direct.
* Il faut rechercher une terre légère, sans cailloux, plutôt acide (pH de 5,5 à 6,5) et bien drainée. La racine grossira mieux dans un sol sableux et humifère que dans un sol argileux ou battant.
* Comme toute plante de sous bois, le Ginseng apprécie un milieu frais, humide mais sans excès : il faut donc l'arroser régulièrement mais en petite quantité.

* Maladies : la plante est sensible au rhizoctone de la pomme de terre, au phytophtora, et aux champignons de sol responsables de pourriture ou de fonte des semis.
* Pour débuter prudemment, mieux vaut planter dans des bacs remplis de bon terreau du commerce ; les paramètres culturaux (maladies, ombre, limaces, arrosage) sont ainsi mieux maîtrisés.
* Une plante de moins de 3 ans aura besoin d'un espace de 20 X 20 cm sur 30cm de profondeur ; une plante adulte exige 30 X 30 cm sur 40 cm de profondeur.
* Le Ginseng a besoin d'un climat tempéré, avec quatre saisons distinctes et des écarts de température modérés. Les situations françaises où le Ginseng a été essayé n'ont jamais été perturbantes.
* Dans les conditions de la France, repiquer les plants en mars. La jeune plante lève avec les réchauffements de Mars-Avril.
* La plante ne développe pas une végétation abondante : une feuille de trois folioles en première année, une ou deux feuilles de trois ou cinq folioles en deuxième année, puis une feuille supplémentaire de cinq folioles par an.
* Chaque automne, le Ginseng perd ses feuilles et tiges ; il entre en repos végétatif : il faut rentrer les pots ou les protéger par une bâche même si la racine n'est pas sensible au froid.
* Au printemps, cette plante vivace reprend son développement végétatif à partir d'un bourgeon apical situé sur la partie souterraine de la plante.
* La plante est fragile au vent : à prendre en compte lors de son installation sur un site ou prévoir des coupe-vent.

DES PROPRIÉTES STIMULANTES ET ADAPTOGÈNES
* La racine de Ginseng est réputée stimulante et aphrodisiaque. On l'emploie davantage pour augmenter la résistance de l'organisme aux agressions du milieu, que pour traiter une maladie précise.
* Contre le stress, les effets de l'âge ou pour retrouver de la vigueur, son efficacité a été testée au long des siècles et le secret de ses nombreuses vertus s'est transmis en Corée et en Chine de génération en génération.
* Largement présent à la devanture des pharmacies, intégré dans de nombreux produits de remise en forme comme dans les cosmétiques, le Panax Ginseng asiatique fait l'objet de recherches médicales et pharmaceutiques intensives.
* Une vingtaine de substances spécifiques sont identifiées, expliquant les vertus bienfaisantes du Ginseng sur le métabolisme, le système cérébral, la synthèse des protéines ainsi que contre les troubles de la tension artérielle, la fatigue, le diabète, l'asthénie sexuelle.(1)
* A coté des saponides appelées ginsénosides, principales substances actives du ginseng, la plante est "bourrée" de sels minéraux, riche en enzymes et en vitamines B1 et B2 : elle est un vrai cocktail d'énergie Yang, ce pourquoi elle est reconnue en médecine chinoise.
* Sous forme de poudre de racine ou en infusion (1 à 3 grammes par jour), sa consommation se fait en cure de 2 à 4 semaines, sans danger pour l'organisme. Seuls des surdosages ou des utilisations trop prolongées peuvent provoquer des insomnies, nervosité ou hypertonie.
* Les scientifiques canadiens de l'université d'Alberta (Colombie britannique) ont déposé un brevet sur l'utilisation du Ginseng (riche en RB1 ) dans le traitement de la maladie d'Alzheimer.
* Mais, en Février 1996, " 60 Millions de consommateurs", après analyse de 18 préparations commerciales, révèle une mauvaise surprise ; les " racines du Ciel " peuvent aussi cacher des secrets peu avouables : dosages farfelus et surtout pesticides en excès. Raison de plus pour le cultiver dans son jardin.

1 Voir les synthèses du Docteur DONADIEU, sur les résultats médicaux du Ginseng: "Le Ginseng, thérapeutique naturelle" MALOINE EDITEUR; 27, RUE DE L'ECOLE DE MEDECINE; 75006 PARIS.

Pour tout savoir sur les meilleures utilisations thérapeutiques de cette extraordinaire racine, découvrez le site de référence du Docteur Donadieu, spécialiste du ginseng, internationalement reconnu : www.01sante.com . Un seul clic pour bien et mieux se porter.

UNE VIVACE DE LA FAMILLE DES ARALIACÉES
* Originaire d'Asie (Mandchourie, Corée) pour le PANAX GINSENG C. A. MEYER ou de la région des grands lacs en Amérique du Nord pour le Panax Quinquifolium L.

* Cette plante vivace de la famille des araliacées, mesure 40 à 50 cm de haut à l'état adulte.

* Elle poussait à l'état naturel, sur les versants des montagnes humides, au milieu d'épaisses forêts. Sa présence y est devenue très rare et le Ginseng consommé en occident provient de cultures.

* Les fleurs, de minuscules ombelles blanchâtres (photo ci-dessus), n'apparaissent qu'à partir de la 3ème année : elles s'épanouissent en juin et se transforment en juillet en baies rouge vif. (photo. ci-dessus)

* Récoltées en août, les graines peuvent être semées, après une période de stratification, de 6 à 8 mois : 1 hiver est donc nécessaire pour lever la dormance.

* La plante atteint sa pleine maturité vers l'âge de 5-6 ans. Elle porte alors 4 à 5 feuilles digitées : la taille de la partie végétative ne dépassera guère 40 à 50 cm. On peut alors consommer la racine pour ses bienfaits reconstituants.

UNE PRODUCTION ESSENTIELLEMENT ASIATIQUE
*  Le Panax Ginseng est surtout produit en Corée et en Chine.
* La consommation française croit chaque année : la France importait 25 tonnes de Ginseng asiatique en 1988, 38 tonnes en 1989, 43 tonnes en 1991, et plus de 100 tonnes aujourd'hui, l'essentiel en provenance de Chine ou le prix moyen au kilo est nettement plus bas que le Ginseng coréen qui lui est réputé de meilleur qualité. (2)
* La distribution se fait par la pharmacie, la vente à domicile où par correspondance, les magasins diététiques, les herboristeries, les magasins asiatiques.
* On le trouve sous forme de Ginseng blanc (racine généralement plus jeune) ou de Ginseng rouge (racine plus grosse, enduite au séchage d'un sirop sucré) dont la qualité est contrôlée, en Corée, par des organismes d'Etat.
* En France, quelques particuliers cultivent dans leur jardin du Ginseng asiatique à partir de graines ou de plants de 2 ans.
* Les productions nord-américaines de Panax Quinquifolium sont absentes du marché européen : elles prennent la direction de Hong Kong, place tournante du marché mondial du Ginseng.

* Dans les années 90, des agriculteurs en divers endroits de France, ont mis en place, avec l'aide d'experts techniques canadiens, une culture industrielle de "ginseng" nord-américain : la production d'environ 10 à 20 ha s’est écoulée sur le marché international, le Panax Quinquifolium n'étant pas utilisé par les laboratoires pharmaceutiques européens parce que non-inscrit à la pharmacopée. En 2008, un seul agriculteur de l’Aisne continue.
* La croissance très lente du Ginseng, les soins minutieux qu'il demande, les sols épuisés qu'il engendre pendant plusieurs années, vidés de leurs substances nutritives et minérales, expliquent le coût élevé du produit fini.
* Se développe aussi une tendance marquée à l'utilisation de sous-produits (radicelles) ou de racines de jeunes plantes moins chères que des racines matures de 5 à 7 ans.
(2) Source : ONIPPAM ; BP 08 ; 04130 VOLX Tel : 04.92.79.34.46

Articles et reportages parus à ce jour dans la presse nationale
* Vivre au jardin - novembre 1991
* L'ami des jardins et de la Maison - novembre 1991 et octobre 1994
* Les quatre saisons du jardinage - février 1992
* Rustica - avril 1993 et juin 1993
* Le Chasseur Français - juin 1994
* Reportage TV - France 3 Centre – juin 1994
* L’inconnu n° 216 - septembre 1995
* Hommes et plantes n°13 - printemps 1995
http://www.ginseng-graines-plants.com/images/presse/Hommes_et_Plantes.pdf
* Réponse à tout - juin 1995
* Mon jardin Ma maison - novembre 1995
* Femme actuelle N°595 – février 1996
* Pour nos jardins – février 1996
http://www.ginseng-graines-plants.com/images/presse/Pour_nos_Jardins.pdf
* La nouvelle République du Centre-Ouest – septembre 1996
* France Inter et France Info - Michel Lis – décembre 1996
* L’impatient n° 228 - novembre 1996
* Culture coréenne - avril 1997
http://www.ginseng-graines-plants.com/images/presse/Culture_Coreenne.pdf
* Le Républicain Lorrain
* Médecine Douce - novembre 1997
* La Gazette des Jardins n° 38 – juillet/septembre 2001
* Jardin pratique n° 121 – juillet/août 2001
http://www.ginseng-graines-plants.com/images/presse/Jardin_Pratique.pdf
* Jardins n° 26 - hiver 2002/2003
* Le Chasseur Français - mai 2005
http://www.ginseng-graines-plants.com/images/presse/Le_Chasseur_Francais.pdf

COMMANDES
Les envois de plants pour repiquage et de graines pour le semis n’ont lieu que pendant la période d’arrêt de végétation, soit de novembre à Février.
Les envois de racines séchées ont lieu toute l'année. N'hésitez pas à en commander pour commencer une cure dès à présent

La marche à suivre :
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Jean-Marie BLANVILLAIN
12 bis, rue des Trois Cornets
45140 ORMES (FRANCE)

Vous recevrez fin novembre un bon de commande que vous complèterez et renverrez.

2- Imprimez le bon de commande ci-joint, complétez le et renvoyez le accompagné de votre règlement par chèque à l’adresse postale indiquée.
Votre livraison sera faite par la poste et sera accompagnée d'une fiche technique de culture.
NB : Les paiements se font par chèque uniquement.

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