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https://www.sante-corps-esprit.com/vaccin-hepatite-b/#respondVaccin Hépatite B : ce qu’on ne vous dit JAMAIS
2 août 2017Coup de tonnerre pour Emmanuel Macron et Agnès Buzyn, sa ministre de la Santé !
Au moment même où ils ont décidé d’obliger TOUS les bébés à être vaccinés contre l’hépatite B (et 10 autres vaccins)…
Et au moment où ils répètent sur tous les tons que la vaccination n’a JAMAIS d’effet indésirable grave…
… La Cour de Justice de l’Union européenne vient d’autoriser l’indemnisation d’un patient gravement victime du vaccin contre l’hépatite B.
Dans leur décision du 21 juin dernier, les juges européens autorisent notre Cour de Cassation à condamner Sanofi, le laboratoire qui fabrique ce vaccin, et à l’obliger à indemniser le pauvre Monsieur W., qui a développé une sclérose en plaque juste après avoir reçu le vaccin contre l’hépatite B.
Patatras : c’est donc la communication « officielle » qui s’écroule, puisque la Ministre explique à qui veut l’entendre que les scientifiques sont « unanimes » à réfuter le lien entre vaccin et scléroses en plaques.
Faux, disent les juges indépendants, qui ont écouté attentivement les plus éminents spécialistes : « la recherche médicale n’établit ni n’infirme l’existence d’un lien entre l’administration du vaccin et la survenance de la sclérose en plaques » (traduction : les scientifiques ne sont pas sûrs de leur coup).
En attendant, les juges observent qu’il y a bien chez Monsieur W « des indices graves, précis et concordants » montrant que le vaccin contre l’hépatite B a causé chez lui une sclérose en plaques, alors qu’il était en pleine santé !
Mais attention : les cas de sclérose en plaques ne sont pas « toute l’histoire ».
Le vaccin contre l’hépatite B comporte d’autres zones d’ombres encore plus troublantes :
]b]Vaccin contre l’hépatite B : comment cela a commencé[/b]Tout est parti d’une bonne intention – une de celles dont l’enfer est pavé.
En 1982, lorsqu’un vaccin contre l’hépatite B est mis au point, l’Organisation mondiale de la santé se prend à rêver.
Tiendrait-on le moyen d’éradiquer totalement le virus de l’hépatite B, responsable de centaines de milliers de morts chaque année dans le monde ?
L’OMS en est convaincue, et recommande donc à tous les pays de vacciner massivement leurs populations.
Pas seulement les pays en développement, où l’hépatite B est endémique et les traitements insuffisants.
Non, l’OMS a aussi recommandé la vaccination « universelle » dans les pays occidentaux, comme la France, où l’hépatite B n’a jamais été un grave problème de santé publique.
Le « hic », c’est que l’OMS n’avait pas la moindre idée de l’efficacité réelle du vaccin.
On savait que 95 % des vaccinés développent des anticorps contre l’hépatite B juste après le vaccin (ce n’est pas 100 %, mais c’était un chiffre très honorable).
Mais était-on encore protégé 10, 20 ou 30 ans après avoir reçu la vaccination ? Il était impossible de le savoir.
Avouez que c’est très ennuyeux, quand on décide de vacciner les bébés alors qu’on sait que l’infection par hépatite B se déclenche généralement après l’âge de 30 ans !
Vacciner les enfants était donc un immense pari : il fallait croiser les doigts pour que l’effet du vaccin dure toute la vie.
L’autre problème, c’est que l’OMS n’avait aucune idée des dangers du vaccin contre l’hépatite B, obtenu par manipulation génétique et contenant de l’aluminium.
Mais qu’importe… Ces considérations de prudence ne valurent pas grand-chose face à :
la foi naïve et inébranlable des élites médicales en la vaccination ;
et la redoutable influence des lobbys de l’industrie pharmaceutique.
Du coup, il fut décidé que… les bébés et les enfants serviraient de « cobayes » !
Et c’est ainsi que dans les années 1990, de nombreux pays occidentaux décidèrent de vacciner massivement les nouveau-nés et les adolescents contre l’hépatite B.
A l’époque, avec le manque de recul, c’était une forme d’inconscience.
Aujourd’hui, avec ce qu’on sait, c’est une mesure contraire au bon sens le plus élémentaire.
Un virus qui se transmet comme celui du SIDALe virus de l’hépatite B ressemble à celui du SIDA : il se transmet essentiellement par les « fluides corporels », comme le sang et le sperme (et pas la salive).
Comme le SIDA, l’hépatite B concerne donc surtout des hommes de plus de 30 ans, toxicomanes et/ou ayant des partenaires sexuels multiples et des rapports non protégés.
Dans les pays occidentaux, l’autre population à risque est celle des migrants, venus de pays où l’hépatite B est 10 fois plus répandue qu’en France (Afrique, Asie).
Si vous êtes né en France de parents français, que vous prenez vos précautions sexuellement et que vous évitez les drogues à injection, vous n’avez donc quasiment aucune chance d’être infecté.
Dans la plupart des cas, en plus, l’infection n’a rien de grave.
L’hépatite B guérit spontanément dans plus de 90 % des cas !
Parfois, on a quelques symptômes (comme la jaunisse…), mais le plus souvent, on ne la sent pas passer. C’est à l’occasion d’une prise de sang qu’on apprendra qu’on a eu la maladie.
Toutefois, dans des cas très rares (moins de 1%), le virus peut causer une redoutable « hépatite fulminante ». Heureusement, grâce aux transplantations du foie, il est devenu rarissime d’en mourir. [1]
(Entre parenthèse : la cause la plus fréquente d’hépatite fulminante est la consommation de Doliprane ! L’urgence serait de retirer le paracétamol de la vente libre. Mais ne vous attendez évidemment pas à ce que notre ministre de la Santé retire des pharmacies le médicament numéro 1 des ventes).
Enfin, dans 5 à 10 % des cas d’infection par hépatite B, on dit qu’elle devient chronique : votre corps n’a pas réussi à maîtriser le virus, qui reste à l’intérieur de vous.
Parmi les personnes qui développent une infection chronique, environ 1 sur 5 subit une cirrhose du foie (soit 1 à 2 % du total des personnes infectées).
Et sur ces cas de cirrhoses, un peu moins d’1 sur 10 dégénère en cancer du foie (donc 0,1 % environ du total des personnes infectées).
Et c’est ainsi qu’on attribue en France environ 1 000 morts à l’hépatite B, par cirrhose ou cancer. [2]
C’est toutefois un long processus, ce qui explique que l’espérance de vie des « infectés chroniques » était tout de même de 65 ans en 2001, contre 75 ans en population générale.
65 ans, c’est d’ailleurs une « moyenne » plutôt haute, quand on sait que la plupart des infectés ont des comportements « à risque » pour la santé (drogue, alcoolisme, VIH, etc.).
La question que personne n’ose poserDu coup, quand on a un poil d’esprit critique, on peut s’interroger.
Le virus de l’hépatite B cause-t-il réellement des morts ?
Je veux dire : est-ce réellement le virus de l’hépatite B qui réduit l’espérance de vie ou bien est-ce plutôt le mode de vie à risque de ceux qui sont infectés ?
La réponse est certainement « un peu des deux », mais on ne sait pas dans quelle proportion !
Prenez l’exemple d’une personne en pleine santé, au mode de vie irréprochable (pas de drogue, d’alcool, alimentation saine, etc.) :
Quelle est la probabilité qu’elle soit infectée par le virus ? Quasiment nulle, on l’a vu, hors personnel hospitalier.
Une fois infectée, quelle est la probabilité qu’elle ait des complications ? Très faible, là encore, sachant que 90 % en guérissent spontanément, alors même que ceux qui sont infectés ont sérieusement malmené leur foie (drogue, alcool…).
Et parmi ceux qui seraient infectés par la forme « chronique », quelle est la probabilité qu’ils soient victimes d’une cirrhose ou d’un cancer du foie malgré une bonne hygiène de vie (absence d’alcoolisme, notamment) ?
Je n’ai pas de chiffre.
Mais je suis prêt parier que, parmi les chirurgiens ou infirmiers ayant été infecté par le virus de l’hépatite B au contact des malades, il n’en existe quasiment aucun qui en ait été sérieusement malade (si vous avez des exemples contraires, merci de me les signaler en commentaire).
Au total, vous voyez que le virus de l’hépatite B et ses complications ne s’attrapent pas « par hasard ».
Dans les pays occidentaux, les effets les plus délétères de la maladie (cirrhose, cancer) s’expliquent à 99 % par des comportements d’adultes destructeurs pour la santé.
Ce n’est pas un jugement de valeur. C’est un fait qui pose la question de la légitimité d’injecter à des nourrissons en pleine santé un produit médicalement risqué.
Notez toutefois qu’il existe une exception importante :
Le seul cas où il semble logique de vacciner des nourrissonsComme le SIDA, l’hépatite B peut se transmettre de la mère à l’enfant.
Cela n’arrive quasiment jamais, heureusement, dans les pays occidentaux. En France, on recensait moins de 600 cas en 1991, essentiellement de mères étrangères.
Mais la contamination mère-enfant est assez dramatique, car un enfant en bas-âge a beaucoup plus de risques qu’un adulte de développer la forme chronique (dangereuse) de l’hépatite B.
Dans ce cas, il semble parfaitement légitime de vacciner un nourrisson.
Mais cela demande-t-il de vacciner des millions de nourrissons, pour toucher les quelques centaines de familles concernées ?
Evidemment non !
La solution est de dépister rigoureusement l’hépatite B chez toutes les femmes enceintes…
…et figurez-vous que c’est exactement ce qu’on fait déjà en France et dans la plupart des pays occidentaux, au 6ème mois de grossesse !
C’est une stratégie beaucoup plus pertinente que la vaccination généralisée :
Parce que lorsque la mère est infectée, il faut vacciner le bébé dans les 24 heures qui suivent sa naissance, et non pas 2 mois après, comme le prévoit le calendrier vaccinal français ;
Et parce que le vaccin seul n’est pas assez efficace : il faut aussi donner au bébé un médicament nommé immunoglobulines hyperimmunes. [3]
Au total, que ce soit chez le nourrisson ou chez l’adulte, on voit bien que la vaccination ne se justifie que chez les groupes les plus à risques.
C’est d’ailleurs la stratégie raisonnable qu’ont choisi plusieurs pays occidentaux comme la Suède, le Danemark ou la Grande-Bretagne.
Contre la recommandation de l’OMS de vacciner tout le monde, tous azimuts, ces pays ont décidé de réserver la vaccination (non obligatoire) :
aux nouveau-nés mis en danger par l’hépatite B de leur mère ;
aux adultes des populations à risque : toxicomanes, homosexuels, professionnels de santé, voyageurs dans les régions endémiques….
Du simple point de vue du rapport « coût / efficacité », cela paraît beaucoup plus logique.
En 1995, des chercheurs de l’INSERM avaient calculé le coût de la vaccination généralisée en France et l’avait comparé au coût des traitements. [4]
Leur conclusion avait été claire et nette :
« La rentabilité d’une politique d’immunisation active contre le virus de l’hépatite B ne peut être établie que pour des degrés élevés d’exposition au risque ».
Ces chercheurs avaient même calculé qu’une vaccination généralisée (et non pas ciblée) coûterait 20 fois plus cher que le traitement des hépatites !
Et pourtant, ce calcul avait été fait à partir de deux hypothèses très optimistes :
Les vaccins seraient efficaces tout au long de la vie ;
Et ils n’auraient pas d’effet indésirable grave !
Or on sait aujourd’hui que ces deux présupposés sont faux !
L’efficacité très incertaine du vaccin contre l’hépatite BAprès « l’expérimentation sauvage » des années 1990, on commence à avoir du recul sur l’efficacité réelle du vaccin… et c’est plutôt inquiétant.
Prenez cette étude flagrante, parue en 2013 dans le journal Hepatology. [5]
Parmi un groupe d’adolescents de 15 ans parfaitement vaccinés contre l’hépatite B à la naissance, 15 % avaient dans leur sang l’antigène HBsAg, qui signale une infection à l’hépatite B !
Conclusion des chercheurs : « une proportion significative des adolescents parfaitement vaccinés pourrait avoir perdu leur mémoire immunitaire contre le HBsAg ».
D’autres chercheurs ont suivi des adolescents micronésiens de 15 ans, eux aussi vaccinés à la naissance. Pour voir si le système immunitaire avait gardé en mémoire l’hépatite B, ils ont décidé de leur injecter un « rappel ».
Surprise : ce rappel n’a provoqué aucune réponse chez la moitié des adolescents. [6] Ce qui veut dire que 50 % des adolescents n’étaient manifestement plus protégés contre l’hépatite B !
Même résultat chez des enfants d’Alaska, testés à 15 ans eux aussi. [7]
Conclusion des chercheurs : « dans cette petite étude, la moitié des enfants qui avaient reçu un vaccin contre l’hépatite B à la naissance ne présentaient pas de signe d’une mémoire immunitaire, telle que mesurée par la réponse anamnestique après un rappel ».
Vous en voulez encore ?
Une large étude publiée dans The Journal of infectious diseases a trouvé le même phénomène « troublant » chez des lycéens taïwanais ! [8]
Je cite la conclusion : « Une proportion notable des adolescents parfaitement vaccinés avaient perdu leur mémoire immunitaire. Ce déclin de la mémoire immunitaire soulève la question du besoin d’effectuer un rappel de vaccination pour les groupes à haut risque ».
« Rappel », le mot est lâché : il faudra donc bientôt faire de nouvelles injections pour compenser l’inefficacité de la vaccination à la naissance !
Autrement dit, il n’aura servi strictement à rien de vacciner massivement les nourrissons, puisqu’ils ne risquent pas d’attraper cette maladie sexuellement transmissible pendant l’enfance !
Conclusion du Dr Dominique Le Houézec, pédiatre au CHU de Caen [9] :
« (Si cela se confirme), non seulement cette vaccination aura été totalement inutile, coûteuse, voire parfois à risques, mais elle aboutit à donner 15 à 20 ans plus tard une fausse sécurité à l’adolescent puis au jeune adulte qui se croira protégé contre ce virus, à tort au moins une fois sur deux si l’on croit les données chiffrées les plus récentes.
Et qu’en sera-t-il dans les décennies suivantes ? Pour ne pas perdre la face, il ne restera aux autorités sanitaires qu’à programmer un rappel vaccinal à l’adolescence, voire chez l’adulte jeune, multipliant ainsi les injections vaccinales et leur apport obligé d’adjuvant aluminique. »
Et j’en arrive au problème le plus épineux de ce vaccin : ses rares mais graves effets secondaires.
Le vaccin contre l’hépatite B et la sclérose en plaquesSi vous écoutez le discours « officiel », on vous dira qu’il n’y a « aucun lien » entre la vaccination contre l’hépatite B et la sclérose en plaques.
Et on vous assène plusieurs études statistiques financées par l’industrie pharmaceutique. [10]
Mais il faut bien comprendre qu’il est très difficile scientifiquement d’établir un lien de cause à effet net lorsque l’effet indésirable est rare (probablement 1 sur 100 000 vaccinations).
On ne peut obtenir de « signal » clair de cause à effet qu’en cas de vaccination massive… comme celle qui a eu lieu en France dans les années 1990 !
Et de fait : le Dr Dominique Le Houézec a identifié une augmentation de 65 % des cas de sclérose en plaques dans les années 1995-1996, soit deux ans après la vaccination de masse dans les collèges qui a eu lieu en 1994.
Il est clair que cet effet n’est pas dû au hasard.
Même le très « pro-vaccin » Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations, a justifié ces chiffres en reconnaissant que la vaccination accélère la survenue de la sclérose en plaques.
Selon lui, le vaccin n’a fait que « précipiter » une maladie qui se serait déclenchée de « toute façon » des années plus tard.
Je le cite :
« La stimulation immunitaire provoquée par le vaccin peut précipiter le passage d’une phase asymptomatique à une phase symptomatique de la maladie. Une maladie infectieuse peut avoir le même effet. » [11]
Mais dites-moi : si une vaccination peut « accélérer » l’apparition de la maladie, ne peut-on pas imaginer qu’elle soit la « goutte de trop » qui la déclenche chez des personnes à risque ?
Evidemment oui, c‘est possible. Et pour les tribunaux, cela ne fait aucun doute.
J’ai commencé cette lettre avec la décision fracassante de la Cour de Justice de l’Union européenne.
Mais ce n’est pas la première décision de Justice en ce sens, loin de là.
En 2014, les tribunaux administratifs français ont accordé une indemnité record (2,4 millions d’euros) à une infirmière française qui avait elle aussi contracté la sclérose en plaques à la suite d’une vaccination contre l’hépatite B.
Et il n’y a pas que la sclérose en plaques.
D’autres accidents peuvent arriver à votre enfantUne analyse scientifique des accidents rapportés à la pharmacovigilance américaine jusqu’en 2003 a relevé aussi [12] :
415 cas d’arthrite ;
166 cas de polyarthrite rhumatoïde ;
130 cas de myélite (inflammation de la moelle épinière) ;
100 cas de névrite optique ;
101 cas de syndrome de Guillain-Barré ;
29 cas de néphrite (maladie des reins) ;
et 4 cas de la terrible SLA (maladie de Charcot) qui tue en 5 ans, dans d’atroces souffrances.
Des maladies auxquelles on peut ajouter le lupus et la thyroïdite, fréquemment rapportés à la pharmacovigilance française dans les années 1990, au moment de la vaccination de masse.
Même si ces « accidents » sont statistiquement « rares », ils existent bel et bien !
Et ce n’est pas tout.
N’oubliez pas qu’à chaque fois que vous injectez un vaccin à un enfant, vous courez le risque qu’il fasse un choc anaphylactique, lié à une réaction allergique imprévisible.
En Chine, 2 enfants sont morts comme cela récemment, immédiatement après avoir été vaccinés contre l’hépatite B ! [13]
C’est très très rare, c’est vrai, probablement moins d’une chance sur un million… mais voulez-vous vraiment faire courir ce risque à votre bébé, pour le protéger (peut-être) contre une maladie sexuellement transmissible ?
Enfin, comme beaucoup de vaccins, celui contre l’hépatite B contient de l’aluminium, un adjuvant neurotoxique qui peut provoquer une maladie neurologique grave, la myofasciite à macrophage (voir ma lettre sur ce sujet).
Et peut-être des risques de cancer !!!Comme si cela ne suffisait pas, il faut ajouter à tout ceci le risque de cancer.
Pourquoi ?
Parce que le vaccin contre l’hépatite B est obtenu par manipulation génétique et contient de l’ADN étranger.
Or, lorsqu’une séquence d’ADN étranger vient s’insérer à proximité d’un gène, elle peut « l’activer » ou « l’éteindre », avec toutes les conséquences que vous pouvez imaginer s’il s’agit de gènes « pro-cancer » ou « anti-cancer ». [14]
C’est d’autant plus inquiétant qu’aucune étude de cancérogenèse, de mutagénèse ou de génotoxicité n’est réalisée sur les vaccins… contrairement à ce qui est exigé pour les médicaments !
Cela paraît aberrant, mais c’est ainsi : les vaccins sont considérés comme des substances « magiques », dotés de super-pouvoirs capables de les rendre 100 % efficaces et 100 % inoffensifs.
Ce n’est pas seulement un oubli invraisemblable du principe de prudence le plus élémentaire. Cela relève de la dérive sectaire, avec l’obligation pour tous ses membres de croire aveuglément à « l’infaillibilité » du Dieu Vaccin !
On en vient même à se demander s’il ne sera pas bientôt interdit de critiquer les vaccins !
Alors tant que c’est encore possible, je vous encourage à transmettre cette lettre à tous vos contacts, et à la partager sur Facebook.
Il est très important de diffuser au maximum la vérité sur ce sujet, car les médias dominants ne font pas leur travail (avez-vous lu ailleurs ce que je viens de vous raconter ?)
Notez que je m’apprête à publier d’autres lettres « vérité » sur la vaccination, avec notamment des révélations sur la coqueluche, le tétanos, le vaccin Prevenar, ou encore sur ce qui se cache parfois derrière la mystérieuse « mort subite du nourrisson ».
Si vous n’êtes pas déjà abonné à ma lettre, rendez-vous ici pour ne pas manquer ces enquêtes à venir.
Bonne santé,
Xavier Bazin
Sources
[1] Prise en charge des hépatites aiguës jusqu’à la transplantation hépatique, C. Colin et al., Science Direct, 2007
[2] Hépatites B et C : 4 000 morts par an en France, JG. Fournier, Inserm Actualités, 2008
[3] Recommandations pour la prévention de la transmission mère-enfant de l’hépatite B, C. Aebi et al., Office fédéral de la santé publique, 2007
[4] Analyse coût-avantage d’une politique de prévention vaccinale de l’hépatite virale 8, M. Kerleau et al., Médecine / Science, 1995
[5] Chronic hepatitis B infection in adolescents who received primary infantile vaccination, TW. Wu et al., NCBI, 2013
[6] Persistence of protection against hepatitis B virus infection among adolescents vaccinated with recombinant hepatitis B vaccine beginning at birth: a 15-year follow-up study, SR. Bialek et al., NCBI, 2008
[7] Hepatitis B immunity in children vaccinated with recombinant hepatitis B vaccine beginning at birth : A follow-up study at 15 years, L. Hammitt et al., Vaccine, 2007
Voir aussi cette étude allemande : Markers of Protection in Children and Adolescents Six to Fourteen Years After Primary Hepatitis B Vaccination in Real Life: A Pilot Study, B. Hummel et al., Pediatric Infectious Disease Journal, mars 2016
[8] Humoral and Cellular Immune Responses to a Hepatitis B Vaccine Booster 15–18 Years after Neonatal Immunization, CY. Lu et al, The Jounal of Infectious Diseases, 2008
[9] Vaccin Hépatite B, quelle protection ? Quelle durée ? D. Le Houézec, Revahb, 2016
[10] Voir le livre « Pourquoi vacciner » pour une analyse approfondie de la littérature scientifique :
http://pourquoi-vacciner.fr/livre.php[11] Vaccinations et affections démyélinisantes du système nerveux : une nouvelle étude, D. Floret, Mes Vaccins, 2014
[12] A case-series of adverse events, positive re-challenge of symptoms, and events in identical twins following hepatitis B vaccination: analysis of the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) database and literature review, MR. & DA. Geier, NCBI, 2004
[13] Analysis on the adverse events following immunization of 10 infants death after hepatitis B vaccination, FZ. Wang et al., NCBI, 2009
[14] Voir Michel Georget, L’apport des vaccinations à la santé publique ?, Dangles, 2014.
source
http://www.reponsesbio.com/2017/08/06/vaccins-marchandisation-etre-humain/Les vaccins et la marchandisation de l’être humain
6 août 2017Les marchands de mort de la vaccination obligatoire et de la médecine de masse répondent en priorité à des intérêts commerciaux, dans lesquels la santé de l’individu n’a tout simplement pas sa place.
De plus, les inventions nanoparticulaires, les métaux lourds ainsi que les nombreux OGM présents dans leur composition en font, et ce tout particulièrement pour les enfants et les personnes âgées, une arme de destruction massive. Il y a plus de cent ans, avec la généralisation des vaccins, ce que l’on appelle aujourd’hui « la loi du marché de la santé », une médecine de masse cherchant à dominer les autres par tous les moyens s’est affirmée en toute impunité, au détriment de celle composée essentiellement de médecines traditionnelles, de remèdes de grands-mères, et de naturothérapeutes itinérants vivant en bonne intelligence.
Par peur de nouvelles épidémies, essentiellement dues à l’ignorance générale dans laquelle la population était volontiers maintenue, on injectait le virus mortel ou handicapant de la maladie redoutée afin de la désamorcer, au cas où elle devrait un jour menacer l’organisme.
Un jeu dangereux pour la santé, pratiqué volontiers par une médecine de masse ne se préoccupant ni des dommages collatéraux, ni des dangers à long terme d’une pratique avant tout censée séduire les investisseurs.
Un jeu de dupes qui n’a pourtant jamais gêné les autorités médicales et les pouvoirs politiques pratiquant toujours, un siècle plus tard, une approche de la santé dépersonnalisée profitant essentiellement à l’industrie pharmaceutique.
A son époque, déjà, Pie XII mettait en garde très clairement sur ce principe : « Je m’insurge contre la médecine de troupeau qui asservit le malade aux appétits mercantiles des grands laboratoires et le bien portant aux appétits plus meurtriers encore des fabricants de vaccins. »
L’insurrection de ce pape illustre parfaitement le malentendu dont profite aujourd’hui encore l’industrie chimico-pharmaceutique.
Depuis la stratégie marketing menant à l’obligation des vaccins pour tous, non sens atteignant fondamentalement les droits civiques, bien des philosophes, groupes de pensée religieux, naturothérapeutes, scientifiques et journalistes, se sont élevés contre l’armada de la santé officielle, qui accompagnée de ses intransigeants adeptes, s’est empressée de dénoncer « un clergé réactionnaire et des sectes diffusant des idées rétrogrades. »
Ou encore « des modes bio et vegan provenant d’illuminés qui disparaîtront aussi vite qu’elles sont apparues ».
La mécanique du pouvoirDans la notion de pouvoir il y a un élément fondamental… le principe de domination.
S’exerçant généralement par l’incitation à la peur, l’autorité ou la brutalité, cette notion de pouvoir repose également sur un totem, un symbole censé résumer la lutte titanesque entre le bien et le mal, demandant à tous de s’agenouiller devant l’idole toute puissante.
Dans le cas de la vaccination, ce jeu d’une médecine dominatrice maniant habilement l’intox et la propagande, n’est même plus nécessaire.
Bien que ce soit à l’encontre de la liberté thérapeutique individuelle, et que cela implique une forme de trust entre les gouvernements et une industrie mercantile, certains pays, comme la France, imposent la vaccination aux plus démunis, allant jusqu’à traîner en justice les parents s’y opposant, afin de leur enlever la garde des enfants.
A la radio, la télévision, sur internet, une véritable conspiration du silence, étouffe, depuis des années, de très nombreux biologistes, médecins, penseurs et journalistes, dénonçant le mécanisme pervers de la vaccination.
Les enfants en première ligneHarris Coulter, éminent spécialiste américain, affirme preuves à l’appui que toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave empêchant un développement normal du cerveau et pouvant conduire à de nombreux handicaps, dont les troubles du comportement.
Le docteur Alain Scohy fait quant à lui remarquer que la dose vaccinale est sensiblement la même pour les bébés et les adultes, alors que le système immunitaire encore immature d’un bébé est incapable de mettre la moindre protection en place.
Et en observant la manière dont, depuis son apparition commerciale, l’étau s’est resserré et durci en toute légalité, on est effaré devant tant d’inconscience et de perversion.
Le système immunitaire d’un enfant mûrit très lentement, il devient fonctionnel seulement vers 10 ans, et pourtant on impose un produit vaccinal à des enfants de moins de deux ans.
S’ajoutant bien évidement aux études ayant prouvé que les métaux lourds et certaines nanoparticules, notamment métalliques, ainsi que l’absorption d’OGM reconnus comme dangereux puissent occasionner des séquelles, favoriser des maladies graves et même provoquer une mort rapide.
De toute façon, qui, plus tard, fera le lien avec les problèmes de croissance, de dyslexie, d’hypernervosité, d’asthme… avec les troubles caractériels, les dérèglements thyroïdiens, le diabète, ou de nombreuses autres maladies survenant généralement sept à dix ans après l’injection ?
Le vaccin est considéré comme un médicament miracle dans la mesure où il ne suppose aucun contradicteur ou contre-indication.
Pendant ce temps, les réactions physiologiques de chacun et les allergies n’entrent absolument pas dans les calculs de l’industrie pharmaceutique, occasionnant des morts qu’elle considère comme une quantité négligeable issue d’un dommage collatéral nécessaire.
Pourtant les alertes et les cris de désespoir face à ces mesures despotiques ont engendré un grand nombre de réactions.
En 1990 le docteur Louis Levy, chef du service des vaccinations à l’Institut Pasteur de Lyon, lança un cri d’indignation dans les médias :
« Si l’on vaccine contre la diphtérie, le tétanos, la polio, la coqueluche et l’hépatite B, l’ensemble représente tout de même 8mg d’hydroxyde d’aluminium.
Alors qu’au moins on ne vaccine pas les enfants allergiques avec ces types de vaccins ! »
Aluminium que l’on sait bien entendu toujours présent dans les préparations vaccinales actuelles.
Il affirma également aux membres de la commission de l’Assemblée européenne que :
« Le vaccin devrait perdre son caractère obligatoire et redevenir un acte médical à part entière, dont l’indication sera posée cas par cas, qui pourra être contre-indiqué, et dont l’efficacité et le suivi devront être mesurés et surveillés. »
Le professeur Jean Dausset, prix Nobel de la médecine en 1980 pour sa découverte du HLA (détermination du groupe cellulaire), proposait pour sa part ce qui s’avérera être une belle rêverie, que l’on l’espère aussi lucide que prophétique :
« La vaccination des enfants contre toute une série de maladies pourrait bientôt être une pratique du passé.
Les vaccins ne seront alors administrés que pour des maladies à risque élevé.
Nous sommes à la veille d’une nouvelle époque où chacun recevra un traitement personnalisé. »
La violence inclue dans le concept de domination On considère généralement que le virus présent dans un vaccin est atténué, considéré tacitement comme inoffensif, pourtant depuis les années 80 différentes publications médicales comme Le Généraliste mettent en garde :
« Un virus, même atténué, peut reprendre sa virulence, c’est notamment le cas du virus polio vaccinal, qui redevient pathogène après son passage dans l’intestin et contribue à contaminer l’entourage. »
Il était une époque où des électrons libres pouvaient encore combattre la médecine de masse à découvert, sans craindre de divulguer leur identité.
Lise Thiry, professeur de microbiologie en Belgique et conseiller scientifique au ministère de la Santé belge estima que les virus atténués l’avaient été « un peu à la grâce du hasard ».
En réalité, dès 1964, dans Le Maroc Médical numéro 43, le Docteur Garcia Silva déclara que toutes les souches vaccinales issues des singes étaient porteuses d’une virulence neurologique.
Ce qui n’a pas empêché les laboratoires de créer les vaccins à partir des singes verts d’Afrique et d’Asie, porteurs du HIV animal !
Selon le Professeur R. Delong, virologue et immunologue de l’université de Toledo, aux Etats-Unis, « les virus peuvent retrouver leur virulence », aussi juge-t-il inconcevable que les promoteurs de vaccins ignorent ce que les virologues ont découvert sur les infections virales, continuant sans scrupule à infecter les humains avec de nouveaux virus au nom de l’immunologie.
Ils savent que les vaccins à virus vivants, porteurs de virus infectieux, peuvent engendrer de nouvelles maladies ainsi que des malformations, des aberrations chromosomiques, des mutations et des cancers.
Ce professeur, refusant de se faire complice de ces « empoisonneurs », ira jusqu’à dire :
« L’introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d’infection.
Le mal qui est fait est incalculable ! »
Vendu comme une panacée, un bouclier protecteur, le vaccin s’avère pourtant très souvent inefficace.
Le 28 mai 1993, le Dayton Times publie une étude menée par le Département de la Santé montrant que la moitié des cas de coqueluche rapportés de 1987 à 1991 dans l’Etat de l’Ohio ont été décelés chez des sujets vaccinés contre cette maladie, et qu’en 1989, 72% des 2720 cas de rougeole relevés dans ce même Etat, ont été décelés chez des enfants encore et toujours vaccinés contre ce virus.
Le tabou de la vaccination généralisée comme celui de la médecine de masse continue ainsi de s’effriter, dévoilant ses faiblesses et son avidité.
La loi du silenceBien d’autres médecins, refusant de ramener l’homme à un rôle social de client endoctriné, mettent en garde contre les dangers des vaccins n’assurant aucune protection réelle.
Louis-Claude Vincent, ancien professeur à l’école d’anthropologie de Paris, a montré de façon incontestable, devant le Congrès de pathologie comparée, que toute vaccination contre une maladie microbienne prédispose aux maladies à virus et au cancer.
La vaccination antipoliomyélitique, par exemple, offrirait un terrain favorable à la tuberculose.
On fit silence sur sa déclaration, on évita qu’elle se répande dans la presse et les médias… le vaccin devait conserver sa place sacro sainte de médicament obligatoire pour tous.
La potion miracle devait continuer à permettre aux laboratoires de tourner à des cadences infernales tout en avançant leurs pions sur l’échiquier politico-économique.
Ce cynisme mercantile sans scrupule est visible régulièrement, ou à chaque nouvelle élection, sous forme de propagandes médiatiques atteignant le JT et les médias les plus populaires où il est question de l’urgence de se procurer des vaccins avant la pénurie, ou encore du manque de civisme de ne pas se vacciner ou de ne pas vacciner ses enfants, du danger qu’un individu non vacciné représente pour autrui…
La vaccination systématique, obligatoire, révèle un marketing totalitaire dangereusement vulgaire où la notion de choix et de différence n’a pas sa place.
Si l’humanité a la mauvaise idée de continuer à se laisser faire dans cette voie, nous ne serons plus qu’à un pas du Meilleur des mondes d’Aldous Huxley, ou du 1984 de Georges Orwell.
Des livres peignant un futur décérébré, sous contrôle, où l’individu n’est plus qu’un rouage privé de toute lucidité.
En 1979 dans The Dangers of immunization, les docteurs Kalokerinos et Dettmann, du Biologic Research Institute of Australia, rendaient public le résultat de leurs recherches :
« Les effets produits par les programmes vaccinaux de l’enfance sur les lymphocytes T montrent que le système immunitaire s’avère substantiellement endommagé à la suite des vaccinations de routine. »
Par la suite beaucoup d’efforts furent faits pour tenter de briser la chape de plomb et montrer l’incohérence de cette fausse médecine préventive.
En 1995, dans un dossier consacré à Pasteur, le Journal du CNRS s’interroge lui aussi :
« Que dire, à l’heure actuelle, des espoirs de la vaccination ?
L’époque à laquelle celle-ci était considérée comme la solution universelle à toutes les maladies infectieuses est révolue.
Face à la question du sida, de l’hépatite C et du paludisme, une prise de conscience des limites et des difficultés de la méthode est apparue.
Le problème essentiel est la variabilité, qui permet à l’agent pathogène d’échapper à la réponse immunitaire de l’hôte et d’établir une infection persistante. »
Les médecins responsables faisant preuve de lucidité reconnaissent généralement les dangers du vaccin, une étude datant de quelques années montre d’ailleurs que plus de 70% d’entre eux refusent de faire vacciner leurs enfants.
Le Professeur Roitt rappelle dans son traité intitulé Immunologie fondamentale et appliquée que « bien qu’il soit possible de détruire in vitro des virus ou des cellules infectées, il est difficile d’évaluer l’importance de ces mécanismes in vivo. »
Un problème qui aurait dû apparaître comme crucial aux instances officielles de santé dans la mesure où nous ne connaissons pas réellement les fonctions des mécanismes de protection chez l’homme, ni même sa résistance aux infections virales.
Dans ces conditions comment est-il possible d’injecter la souche d’un virus, même infime, en production systématique, empirique, et… obligatoire ?
Le risque d’activer des fonctions inappropriées provoquant des maladies parfois bien plus sévères que le virus injecté, est lui aussi parfaitement négligé.
S’il n’y avait pas derrière cette vaste désinformation, la volonté de verrouiller solidement un système de santé à sens unique, une telle prise de conscience aurait suffi à éloigner les stocks de vaccins des dispensaires et cabinets médicaux.
Pendant ce temps, le ministère français de la santé, fief de l’industrie pharmaceutique, comptabilise prudemment les accidents post-vaccinaux en n’intégrant à l’équation que ceux donnant lieu à des poursuites conséquentes.
Poursuites rapidement réglées, bien sûr, en prétendant l’absence de lien direct entre la vaccination et l’accident, désignant « de simples coïncidences ».
Et lorsque le tribunal administratif donne raison aux plaignants, l’Etat, condamné, refuse de verser les sommes dues aux victimes, souvent démunies, devant automatiquement multiplier les démarches si elles veulent avoir une chance de faire appliquer le jugement.
Choisir ce qui va dans le sens de la vieLe terme de vaccination obligatoire donne l’impression de vivre dans une forme de servitude médicale, faussement protectrice, nous assignant ad vitam aeternam à un rôle de client.
Un monopole effrayant réduisant l’être humain à un numéro dans un élevage en batterie, n’ayant que l’illusion du choix de consommer ce qu’il désire.
Mais bien entendu le renfort de l’OMS préconisant inlassablement une « couverture mondiale » par vaccinations massives de toute la population, est un argument laissant sans voix les pauvres gens ne comprenant pas les machiavéliques rouages du pouvoir de l’industrie pharmaceutique.
Comme preuve que le vaccin est une soit-disant panacée, cette organisation pourtant née de nobles intentions, cite la variole comme ayant été « éradiquée par le vaccin », ce qui est totalement faux.
En revanche, il est maintenant reconnu que la vaccination antivariolique favorise l’affaiblissement du système immunitaire, de sorte que la virulence du bacille de Koch s’en trouve renforcée, c’est en tout cas ainsi que la tuberculose est devenue le fléau du XIXème siècle.
A l’inverse, la suspension de la vaccination anti-virale a provoqué un spectaculaire déclin des cas de tuberculose dans les années 80.
Mais si la peste et la lèpre par exemple, ont été endiguées, c’est avant tout grâce aux progrès de l’hygiène ainsi qu’une connaissance relative de certaines médecines traditionnelles.
Les enfants sous-alimentés du tiers monde n’ont pas été sauvés par les vaccins !
C’est le retour à une bonne alimentation, l’eau potable et une hygiène fondamentale, qui ont été garants de leur survie.
Dans son livre Vaccinations : l’overdose Sylvie Simon écrit que le vrai héros de la lutte contre les épidémies, ce n’est pas Pasteur, mais le préfet Poubelle, qui a imposé la collecte rapide des ordures ménagères dans des récipients réservés à cet usage.
Pionnier de l’hygiène publique qui se battra encore pour instaurer la construction d’égouts dans toutes les villes.
Lorsque l’on découvrit que le choléra et la typhoïde se transmettaient par l’eau souillée et les matières fécales, l’adduction et les assainissements d’eau mirent fin aux épidémies sans avoir recours au moindre vaccin.
Comme tout le monde le sait, le bon état du système immunitaire permet de faire face, à conditions égales, aux mêmes maladies contractées par ceux au système immunitaire déficient.
C’est d’ailleurs par ce biais que la vaccination entend gérer la constance de sa consommation :
→ abaisser nos défenses immunitaires,
→ faire de nous des proies faciles pour d’autres maladies.
Une technique criminelle infiniment plus rentable que n’importe quelle association de malfaiteurs.
Par conséquent, conserver notre capital immunitaire tout en nous opposant à ces manipulations de mort, c’est aller dans le sens de la vie, à l’encontre des préjugés et de la désinformation.
Jean-Baptiste Loin
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