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 Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 EmptyJeu 6 Juil 2017 - 16:10

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 3230579087  Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 3230579087  Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 3230579087  Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 3230579087  Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 3230579087

source https://www.neo-nutrition.net/
6 juillet 2017
Madame, Monsieur,

Dans cinq mois, en France, vous aurez le choix entre injecter un poison à votre enfant, ou aller vous-même en prison.

Allez-vous laisser faire ça ?
Oui, onze vaccins vont devenir obligatoires dès 2018. Emmanuel Macron l’a décidé le 4 juillet sans aucune concertation. Et sans savoir ce qu’un cocktail pareil peut produire sur un nouveau-né…

Dans 5 mois, tout aura été mis en place par le Gouvernement, mais c’est maintenant que tout se joue. Le Gouvernement Macron veut profiter des vacances d'été pour passer en force. Le Parlement part en vacances le 24 juillet. Après cette date, il sera trop tard. C'est pourquoi nous devons agir aujourd'hui !


Le premier coup de poignard de Macron
Macron règne en Jupiter. Le gouvernement est à sa botte. Le parlement est muselé. Il a la police et les tribunaux pour exécuter ses décisions. Les Français ne l’intéressent pas.

Pour des millions de Français qui ont espéré avec son élection, c’est la douche froide. Aucun débat, aucune modération, plus de dialogue entre le peuple et ses élus. Juste de la violence et du rapport de force.

On nous a fait miroiter une République « apaisée ». Il n’aura fallu que quelques semaines pour que les élites reprennent les armes contre le peuple.

L’enjeu véritable de l’élection de 2017 révélé au grand jour
Cette folie vaccinatoire révèle la collusion entre Macron, des grands patrons et des hauts fonctionnaires sans scrupules.

Depuis des années le secret était parfaitement gardé.

Jusqu’à aujourd’hui…

Soyons clair : les personnes impliquées ne s’attendaient pas à ce que les détails de leur plan soient dévoilés.

Mais dans leur précipitation ils ont dévoilé leurs véritables intentions…

Et cette maladresse a révélé que…
Celui qui s’est installé à l’Elysée le 14 mai 2017 n’était pas le vainqueur d’une élection libre et régulière…

Mais le pantin d’un groupe de financiers et d’industriels.

Et 99,98% des Français ne connaîtront jamais cette vérité qui dérange…

La désignation de Macron – sans doute un des événements les plus importants de notre époque - a été organisée il y a dix ans à huis clos dans un palais de la République.

Comment le sais-je ? Je vais tout vous dire… mais laissez-moi d’abord me présenter.

Je m’appelle Bertrand Goteval. Je travaille pour une organisation dont le but est de surveiller les lobbys politiques, financiers et industriels qui font précisément ce genre de choses.

Je ne peux pas révéler mes sources, mais sachez simplement qu’un réseau d’initiés me donne accès exclusif à ce genre d’information.

Depuis 1990 nous avons découvert quantité de scandales… mais jamais quelque chose d’aussi ÉNORME.

Nous risquons beaucoup en publiant ce rapport aujourd’hui. Mais c’est mon devoir de lanceur d’alerte pour défendre notre démocratie sanitaire et notre modèle social.

Ça fait des années que nous sommes à leurs trousses… en collectant tout ce qu’ils disent, en vérifiant les faits, en croisant les sources et en accumulant une montagne de preuves…

Il est encore temps d’arrêter cette tragédie en rejoignant notre grand mouvement populaire. Il nous faut au moins un million de signatures d’ici 15 jours. Tout indique que Macron veut profiter de la torpeur de l’été pour faire voter sa loi sur les vaccins.

Or le Parlement est en vacances le 24 juillet. Il est encore temps de barrer la route à cette confiscation de notre liberté de soin.

Signez et partagez le plus largement cette pétition contre les 11 vaccins obligatoires, en transférant ce message, en le partageant sur Facebook ou sur tout autre réseau social, par tout moyen à votre disposition.

************************************************

Moi-même je n’ai pas voulu croire qu’une chose pareille puisse arriver en France en 2017

En fait pendant mon enquête j’ai découvert les preuves d’une organisation qui tire les ficelles derrière le décor…

Autour de Macron on trouve les principaux oligarques français, tous propriétaires des grands médias :
Xavier Niel et Pierre Bergé (Le Monde),
Dassault (Le Figaro),
Bernard Arnault (Le Parisien),
Lagardère (Paris Match, Le Journal du Dimanche),
Mathieu Pigasse (Les Inrockuptibles, Huffington Post)…
Mais aussi Denis Olivennes (Europe 1), le milliardaire Patrick Drahi (SFR-Numéricable), Martin Bouygues (TF1), Bolloré (Canal+), et bien d’autres.

Ses autres soutiens préfèrent l’ombre à la lumière, mais ils sont encore plus puissants.

La République aux mains des laboratoires pharmaceutiques

Remontons rapidement en arrière :
En 2002 Macron se lie au richissime Henry Hermand. Cet homme de réseaux et d’influence, proche du PS, fait entrer Macron dans le monde fermé du grand patronat français.

À sa sortie de l’ENA en 2004 Macron devient le protégé de Jean-Pierre Jouyet, le tout-puissant parrain de l’Inspection des Finances – la clé de voûte de la technocratie française ultralibérale.

C’est l’année 2007 où le destin de Macron est noué… à jamais :

Des amis puissants qu’il faut récompenser… maintenant !

En juin 2007 le président Sarkozy confie au jeune Macron la co-rédaction d’un projet de purge ultralibérale pour notre pays… Aidé de Jacques Attali, Macron met immédiatement dans le coup quarante-deux grands patrons, industriels, financiers et énarques.

C’est lors de ces réunions que Macron devient l’intime de Serge Weinberg, le président du géant de la pharmacie Sanofi. Son amitié avec Bernard Spitz (Fédération Française de l’Assurance) date du même moment.

La pharmacie et les assurances… vous voyez qu’il n’y a pas de hasard pour l’argent.
Parce qu’avec la privatisation de la Sécu on leur promettait d’empocher 10 milliards d’euros – dans un premier temps !

(Oui, un 1 suivi de 10 zéro.)

Nous savons comment l’histoire s’est terminée à l’époque :
Ces plans ont été tués dans l’œuf début 2008 et les amis de Macron n’empochèrent pas leurs gains – ce n’était que partie remise…

Cet échec n’a pas découragé Macron. Au contraire son goût pour le pouvoir est devenu insatiable…

En 2008 grâce au puissant Serge Weinberg, Macron entre dans le saint des saints de la haute finance internationale : la banque Rothschild.

Chez son puissant employeur, Macron prend soin des intérêts du laboratoire pharmaceutique américain Pfizer (au détriment de notre champion français Danone).

Je saute d’autres épisodes effarants quand il était au Ministère de l’Économie.

À chaque étape de sa campagne présidentielle j’ai reconnu la main de tel magnat de la presse, de tel financier ou de tel marionnettiste du pouvoir…

Ils ont fait la carrière de Macron

… avec son approbation PLEINE ET ENTIÈRE.


Tout au long de ces dix dernières années, ces hommes étaient présents à chaque étape de son ascension vers le pouvoir…
… pour bouger les pions sur l’échiquier du pouvoir

… pour écarter les gêneurs sur son chemin (Mélenchon, Hollande, Fillon, Le Pen)

… sachant qu’en 2017 – une fois le « prince héritier » à l’Elysée – il leur renverrait l’ascenseur.

Exactement : en échange de l’Elysée sur un plateau d’argent, il leur confierait les clés du système de santé français… avec d’immenses profits à la clé.

L’obligation de prendre onze vaccins est la première partie de leur plan

Pourquoi se priveraient-ils ? Les caisses de l’Etat sont ouvertes pour eux. La combine a parfaitement marché. Avec la vente forcée des nouveaux vaccins, les bouchons de champagne vont sauter dans les bureaux des labos.

En comptant les rappels, imaginez 25 à 40 doses sur des défenses naturelles immatures (avant l’âge de 18 mois, le système immunitaire du bébé n’est pas achevé).  
C’est plusieurs centaines de millions d’euros par an – selon la ministre de la Santé elle-même.
--> Or, personne à ce jour n’a étudié les risques d’injecter autant de vaccins en aussi peu de temps ;  

--> Aucun scientifique ne sait ce que peuvent donner à court et moyen terme tant de vaccins, en termes d'allergies, de maladies auto-immunes, sclérose en plaque ou autre.  

Rendre obligatoires onze vaccins pour toute la population est un non-sens médical car les réactions à un vaccin sont strictement individuelles. Elles dépendent de l’état physiologique et de l'hérédité de celui qui le reçoit. Les effets secondaires éventuellement dommageables sont donc totalement imprévisibles.  

Est-ce que le gouvernement de Macron s’apprêterait à donner les bébés français comme cobayes à Big Pharma ?

*********************************************

Jackpot pour les labos !
Mon expérience m’a montré que les amis d’Emmanuel Macron sont rusés et dangereux…


Ce sont des hommes de l’ombre, hauts fonctionnaires, banquiers, industriels, grands patrons… on trouve même des responsables syndicaux.

Ils ont placé des personnes de confiance aux postes clés :
Le Président du Comité de Vaccination, le Pr Alain Fischer est en lien étroit avec le laboratoire Sanofi dont il a reçu en 2013 le Prix “Sanofi-Pasteur”;  

La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a reconnu dans le journal Le Parisien que « les industriels allaient gagner de l’argent avec cette mesure ». On parle de 110 à 120 millions €/an ;  

Elle était au Conseil d’Administration (« board ») de deux laboratoires très impliqués dans les vaccins, Novartis et Bristol-Meyers Squibb, et à ce titre indemnisée de 2009 à 2011 ;  

Le directeur de cabinet du ministre de la Santé Gilles de Margerie était un des patrons du groupe privé de protection sociale Humanis – ce qui n’a rien pour rassurer sur l’avenir de la Sécurité Sociale universelle.

Certains ont été démasqués et ont dû quitter la scène, comme le cardiologue Jean-Jacques Mourad, présenté en février comme un des initiateurs du programme santé d'Emmanuel Macron, qui avait bénéficié de nombreuses prestations auprès du laboratoire Servier.

Leur habileté est diabolique. Ils passent en force, ils infiltrent la République, ils utilisent tous les moyens de l’Etat pour parvenir à leurs fins… et c’est eux qui accusent leurs contradicteurs d’être des extrémistes, des fanatiques et des excités !?

Ne vous laissez pas faire. Signez et faites signer la grande pétition d’urgence !!!  

Les vrais fous-furieux sont au gouvernement !
L’autoritarisme d’Emmanuel Macron devient inquiétant pour la liberté dans notre pays. Même les médecins changent d'avis :"Là, ça fait trop de vaccins" entend-on dans les réunions locales…

Le Conseil Scientifique du Collège National des médecins généralistes enseignants (CNGE) a fait connaître son point de vue : « il n’y a aucun élément scientifique pour attester que cette mesure aboutisse à une meilleure protection, notamment pour les enfants. Il est à craindre que son caractère autoritaire renforce la défiance et la suspicion d’une partie croissante de la population ».

Où sont donc les forcenés ? Ils sont dans les palais de la République, à vouloir vacciner tous les nourrissons contre l’hépatite B – quitte à provoquer la sclérose en plaque. Justement ce 21 juin 2017, Sanofi a été condamné par la Cour de Justice Européenne pour avoir provoqué la mort par sclérose en plaque après une vaccination contre l’hépatite B !

Sans parler des conséquences dramatiques de l’aluminium, du brome ou du mercure contenus dans les vaccins pour humains. Les animaux sont mieux traités : on a retiré ces poisons des vaccins vétérinaires !

Et Macron exige que vous obéissiez aveuglément aux injonctions des autorités même si cela implique d’empoisonner vos enfants, même si ça provoque des maladies encore plus graves… Et gare aux parents récalcitrants : des administrations menaçantes sont prêtes à leur retirer leurs enfants s’ils refusaient la tyrannie vaccinale du gouvernement.

Un sursaut démocratique !!
La ministre de la Santé actuelle est pressée. Elle veut contourner la décision impérative du Conseil d’Etat qui lui impose de mettre en place dans les pharmacies de métropole et outre mer le fameux vaccin trivalent DTP avant le 8 août 2017.

Une seule solution : faire voter en plein été une loi imposant les onze vaccinations. Nous allons lui barrer la route.

Le gouvernement n’a pas le droit de démolir la confiance à peine reconstituée.

C’est pourquoi nous devons être les plus nombreux et le plus vite possible avant les vacances parlementaires le 24 juillet !

**********************************************************

Les prises de conscience individuelles sont importantes, mais face aux forces de l’argent qui ont porté Macron au pouvoir, elles ne pèsent rien.

Il faut une action citoyenne groupée, et faire monter au maximum le compteur de notre pétition !

N’ayez aucun doute : aucun gouvernement ne résiste à la pression populaire. La tentation de passer en force fléchira face à notre mobilisation.

Je ne demande rien d’autre de votre part que d’ajouter votre nom à la liste des opposants à l’injection forcée des onze vaccins.

Signez pour vos enfants, vos petits-enfants, pour que notre pays ne tombe pas entre les mains de Big Pharma.

C’est notre dernière chance de rétablir une République impartiale et exemplaire.

Sinon dans moins de trois semaines, les jeunes parents français paieront une rougeole (maladie bégnigne chez des enfants bien nourris) de deux ans de prison.

Je vous remercie d’avance.

Bertrand Goteval

Je signe la pétition ICI

PS : J'aimerais remercier Eric Müller d'avoir fait passer ce message urgent.[/color]

***********************************************

Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L'éditeur n'est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L'éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s'interdit formellement d'entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.

Néo-nutrition est un service d'information gratuit de Santé Nature Innovation (SNI Editions).
Service courrier : Sercogest, 44 avenue de la Marne, 59290 Wasquehal - France

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 EmptySam 8 Juil 2017 - 18:27

source https://www.neo-nutrition.net/

Signez avant qu'ils réussissent à bloquer notre pétition citoyenne !

Bonjour,

Un lecteur vient de m'envoyer un message urgent :
« J’ai beau cliquer sur le lien pour signer la pétition contre les vaccins la page refuse de s’afficher.
Après plusieurs tentatives désolé de ne pouvoir signer cette lettre de pétition contre la campagne de vaccination obligatoire. »

Je ne sais pas qui est à l'origine de ce blocage. Malgré tout à l'heure où je vous écris, notre pétition est encore accessible. Alors ne perdez pas de temps. Signez-la et faites signer vos proches.

Il est encore temps de leur barrer la route !

Je vous mets ci-dessous deux liens pour signer la pétition (j'espère qu'au moins l'un d'eux marchera).

Merci d'avance !

JE REFUSE QUE LE GOUVERNEMENT MACRON MULTIPLIE PAR 4 LE NOMBRE DE VACCINS OBLIGATOIRES
https://petitions.santenatureinnovation.com/macron-vaccination-de-force/?utm_source=NEO&utm_campaign=vax3


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source https://www.neo-nutrition.net/
PS : Quelque chose de jamais vu est en train de se passer en France : en seulement quelques heures nous avons récolté plus de 30.000 signatures !
Rejoignez le mouvement.
Une vague immense balaye la France.
Partagez ce message à vos proches pour atteindre le million de signatures avant le 14 juillet, et faire tomber la nouvelle Bastille du pouvoir politico-vaccinal.

>>>> JE SIGNE LA PÉTITION <<<<
https://petitions.santenatureinnovation.com/macron-vaccination-de-force/?utm_source=NEO&utm_campaign=vax2

Sources :
[1] Saluzzo
http://initiativecitoyenne.be/article-dr-saluzzo-de-sanofi-pasteur-on-ne-sait-pas-comment-marchent-les-vaccins-114130498.html

[2] Eurosurveillance
http://www.eurosurveillance.org/images/dynamic/EE/V17N22/DAncona_tab1.jpg

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 EmptyDim 6 Aoû 2017 - 22:47

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Quiz de l’été sur les vaccins !
Par Eric Müller/27 juillet 2017

https://www.neo-nutrition.net/quiz-vaccins/#Qo9gbdpfGzHbTzXo.99

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 1704051259076491714964471

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 EmptyMer 9 Aoû 2017 - 23:31

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source https://www.sante-corps-esprit.com/vaccin-hepatite-b/#respond
Vaccin Hépatite B : ce qu’on ne vous dit JAMAIS
2 août 2017


Coup de tonnerre pour Emmanuel Macron et Agnès Buzyn, sa ministre de la Santé !

Au moment même où ils ont décidé d’obliger TOUS les bébés à être vaccinés contre l’hépatite B (et 10 autres vaccins)…
Et au moment où ils répètent sur tous les tons que la vaccination n’a JAMAIS d’effet indésirable grave…
… La Cour de Justice de l’Union européenne vient d’autoriser l’indemnisation d’un patient gravement victime du vaccin contre l’hépatite B.

Dans leur décision du 21 juin dernier, les juges européens autorisent notre Cour de Cassation à condamner Sanofi, le laboratoire qui fabrique ce vaccin, et à l’obliger à indemniser le pauvre Monsieur W., qui a développé une sclérose en plaque juste après avoir reçu le vaccin contre l’hépatite B.

Patatras : c’est donc la communication « officielle » qui s’écroule, puisque la Ministre explique à qui veut l’entendre que les scientifiques sont « unanimes » à réfuter le lien entre vaccin et scléroses en plaques.

Faux, disent les juges indépendants, qui ont écouté attentivement les plus éminents spécialistes : « la recherche médicale n’établit ni n’infirme l’existence d’un lien entre l’administration du vaccin et la survenance de la sclérose en plaques » (traduction : les scientifiques ne sont pas sûrs de leur coup).

En attendant, les juges observent qu’il y a bien chez Monsieur W « des indices graves, précis et concordants » montrant que le vaccin contre l’hépatite B a causé chez lui une sclérose en plaques, alors qu’il était en pleine santé !

Mais attention : les cas de sclérose en plaques ne sont pas « toute l’histoire ».

Le vaccin contre l’hépatite B comporte d’autres zones d’ombres encore plus troublantes :

]b]Vaccin contre l’hépatite B : comment cela a commencé[/b]
Tout est parti d’une bonne intention – une de celles dont l’enfer est pavé.

En 1982, lorsqu’un vaccin contre l’hépatite B est mis au point, l’Organisation mondiale de la santé se prend à rêver.

Tiendrait-on le moyen d’éradiquer totalement le virus de l’hépatite B, responsable de centaines de milliers de morts chaque année dans le monde ?

L’OMS en est convaincue, et recommande donc à tous les pays de vacciner massivement leurs populations.

Pas seulement les pays en développement, où l’hépatite B est endémique et les traitements insuffisants.

Non, l’OMS a aussi recommandé la vaccination « universelle » dans les pays occidentaux, comme la France, où l’hépatite B n’a jamais été un grave problème de santé publique.

Le « hic », c’est que l’OMS n’avait pas la moindre idée de l’efficacité réelle du vaccin.

On savait que 95 % des vaccinés développent des anticorps contre l’hépatite B juste après le vaccin (ce n’est pas 100 %, mais c’était un chiffre très honorable).

Mais était-on encore protégé 10, 20 ou 30 ans après avoir reçu la vaccination ? Il était impossible de le savoir.

Avouez que c’est très ennuyeux, quand on décide de vacciner les bébés alors qu’on sait que l’infection par hépatite B se déclenche généralement après l’âge de 30 ans !

Vacciner les enfants était donc un immense pari : il fallait croiser les doigts pour que l’effet du vaccin dure toute la vie.

L’autre problème, c’est que l’OMS n’avait aucune idée des dangers du vaccin contre l’hépatite B, obtenu par manipulation génétique et contenant de l’aluminium.

Mais qu’importe… Ces considérations de prudence ne valurent pas grand-chose face à :

la foi naïve et inébranlable des élites médicales en la vaccination ;
et la redoutable influence des lobbys de l’industrie pharmaceutique.
Du coup, il fut décidé que… les bébés et les enfants serviraient de « cobayes » !

Et c’est ainsi que dans les années 1990, de nombreux pays occidentaux décidèrent de vacciner massivement les nouveau-nés et les adolescents contre l’hépatite B.

A l’époque, avec le manque de recul, c’était une forme d’inconscience.

Aujourd’hui, avec ce qu’on sait, c’est une mesure contraire au bon sens le plus élémentaire.

Un virus qui se transmet comme celui du SIDA
Le virus de l’hépatite B ressemble à celui du SIDA : il se transmet essentiellement par les « fluides corporels », comme le sang et le sperme (et pas la salive).

Comme le SIDA, l’hépatite B concerne donc surtout des hommes de plus de 30 ans, toxicomanes et/ou ayant des partenaires sexuels multiples et des rapports non protégés.

Dans les pays occidentaux, l’autre population à risque est celle des migrants, venus de pays où l’hépatite B est 10 fois plus répandue qu’en France (Afrique, Asie).

Si vous êtes né en France de parents français, que vous prenez vos précautions sexuellement et que vous évitez les drogues à injection, vous n’avez donc quasiment aucune chance d’être infecté.

Dans la plupart des cas, en plus, l’infection n’a rien de grave.

L’hépatite B guérit spontanément dans plus de 90 % des cas !

Parfois, on a quelques symptômes (comme la jaunisse…), mais le plus souvent, on ne la sent pas passer. C’est à l’occasion d’une prise de sang qu’on apprendra qu’on a eu la maladie.

Toutefois, dans des cas très rares (moins de 1%), le virus peut causer une redoutable « hépatite fulminante ». Heureusement, grâce aux transplantations du foie, il est devenu rarissime d’en mourir. [1]

(Entre parenthèse : la cause la plus fréquente d’hépatite fulminante est la consommation de Doliprane ! L’urgence serait de retirer le paracétamol de la vente libre. Mais ne vous attendez évidemment pas à ce que notre ministre de la Santé retire des pharmacies le médicament numéro 1 des ventes).

Enfin, dans 5 à 10 % des cas d’infection par hépatite B, on dit qu’elle devient chronique : votre corps n’a pas réussi à maîtriser le virus, qui reste à l’intérieur de vous.

Parmi les personnes qui développent une infection chronique, environ 1 sur 5 subit une cirrhose du foie (soit 1 à 2 % du total des personnes infectées).

Et sur ces cas de cirrhoses, un peu moins d’1 sur 10 dégénère en cancer du foie (donc 0,1 % environ du total des personnes infectées).

Et c’est ainsi qu’on attribue en France environ 1 000 morts à l’hépatite B, par cirrhose ou cancer. [2]

C’est toutefois un long processus, ce qui explique que l’espérance de vie des « infectés chroniques » était tout de même de 65 ans en 2001, contre 75 ans en population générale.

65 ans, c’est d’ailleurs une « moyenne » plutôt haute, quand on sait que la plupart des infectés ont des comportements « à risque » pour la santé (drogue, alcoolisme, VIH, etc.).

La question que personne n’ose poser
Du coup, quand on a un poil d’esprit critique, on peut s’interroger.

Le virus de l’hépatite B cause-t-il réellement des morts ?

Je veux dire : est-ce réellement le virus de l’hépatite B qui réduit l’espérance de vie ou bien est-ce plutôt le mode de vie à risque de ceux qui sont infectés ?

La réponse est certainement « un peu des deux », mais on ne sait pas dans quelle proportion !

Prenez l’exemple d’une personne en pleine santé, au mode de vie irréprochable (pas de drogue, d’alcool, alimentation saine, etc.) :

Quelle est la probabilité qu’elle soit infectée par le virus ? Quasiment nulle, on l’a vu, hors personnel hospitalier.

Une fois infectée, quelle est la probabilité qu’elle ait des complications ? Très faible, là encore, sachant que 90 % en guérissent spontanément, alors même que ceux qui sont infectés ont sérieusement malmené leur foie (drogue, alcool…).

Et parmi ceux qui seraient infectés par la forme « chronique », quelle est la probabilité qu’ils soient victimes d’une cirrhose ou d’un cancer du foie malgré une bonne hygiène de vie (absence d’alcoolisme, notamment) ?

Je n’ai pas de chiffre.

Mais je suis prêt parier que, parmi les chirurgiens ou infirmiers ayant été infecté par le virus de l’hépatite B au contact des malades, il n’en existe quasiment aucun qui en ait été sérieusement malade (si vous avez des exemples contraires, merci de me les signaler en commentaire).

Au total, vous voyez que le virus de l’hépatite B et ses complications ne s’attrapent pas « par hasard ».

Dans les pays occidentaux, les effets les plus délétères de la maladie (cirrhose, cancer) s’expliquent à 99 % par des comportements d’adultes destructeurs pour la santé.

Ce n’est pas un jugement de valeur. C’est un fait qui pose la question de la légitimité d’injecter à des nourrissons en pleine santé un produit médicalement risqué.

Notez toutefois qu’il existe une exception importante :
Le seul cas où il semble logique de vacciner des nourrissons
Comme le SIDA, l’hépatite B peut se transmettre de la mère à l’enfant.

Cela n’arrive quasiment jamais, heureusement, dans les pays occidentaux. En France, on recensait moins de 600 cas en 1991, essentiellement de mères étrangères.

Mais la contamination mère-enfant est assez dramatique, car un enfant en bas-âge a beaucoup plus de risques qu’un adulte de développer la forme chronique (dangereuse) de l’hépatite B.

Dans ce cas, il semble parfaitement légitime de vacciner un nourrisson.

Mais cela demande-t-il de vacciner des millions de nourrissons, pour toucher les quelques centaines de familles concernées ?

Evidemment non !

La solution est de dépister rigoureusement l’hépatite B chez toutes les femmes enceintes…

…et figurez-vous que c’est exactement ce qu’on fait déjà en France et dans la plupart des pays occidentaux, au 6ème mois de grossesse !

C’est une stratégie beaucoup plus pertinente que la vaccination généralisée :

Parce que lorsque la mère est infectée, il faut vacciner le bébé dans les 24 heures qui suivent sa naissance, et non pas 2 mois après, comme le prévoit le calendrier vaccinal français ;
Et parce que le vaccin seul n’est pas assez efficace : il faut aussi donner au bébé un médicament nommé immunoglobulines hyperimmunes. [3]
Au total, que ce soit chez le nourrisson ou chez l’adulte, on voit bien que la vaccination ne se justifie que chez les groupes les plus à risques.

C’est d’ailleurs la stratégie raisonnable qu’ont choisi plusieurs pays occidentaux comme la Suède, le Danemark ou la Grande-Bretagne.

Contre la recommandation de l’OMS de vacciner tout le monde, tous azimuts, ces pays ont décidé de réserver la vaccination (non obligatoire) :

aux nouveau-nés mis en danger par l’hépatite B de leur mère ;
aux adultes des populations à risque : toxicomanes, homosexuels, professionnels de santé, voyageurs dans les régions endémiques….
Du simple point de vue du rapport « coût / efficacité », cela paraît beaucoup plus logique.

En 1995, des chercheurs de l’INSERM avaient calculé le coût de la vaccination généralisée en France et l’avait comparé au coût des traitements. [4]

Leur conclusion avait été claire et nette :

« La rentabilité d’une politique d’immunisation active contre le virus de l’hépatite B ne peut être établie que pour des degrés élevés d’exposition au risque ».

Ces chercheurs avaient même calculé qu’une vaccination généralisée (et non pas ciblée) coûterait 20 fois plus cher que le traitement des hépatites !

Et pourtant, ce calcul avait été fait à partir de deux hypothèses très optimistes :

Les vaccins seraient efficaces tout au long de la vie ;
Et ils n’auraient pas d’effet indésirable grave !
Or on sait aujourd’hui que ces deux présupposés sont faux !

L’efficacité très incertaine du vaccin contre l’hépatite B
Après « l’expérimentation sauvage » des années 1990, on commence à avoir du recul sur l’efficacité réelle du vaccin… et c’est plutôt inquiétant.

Prenez cette étude flagrante, parue en 2013 dans le journal Hepatology. [5]

Parmi un groupe d’adolescents de 15 ans parfaitement vaccinés contre l’hépatite B à la naissance, 15 % avaient dans leur sang l’antigène HBsAg, qui signale une infection à l’hépatite B !

Conclusion des chercheurs : « une proportion significative des adolescents parfaitement vaccinés pourrait avoir perdu leur mémoire immunitaire contre le HBsAg ».

D’autres chercheurs ont suivi des adolescents micronésiens de 15 ans, eux aussi vaccinés à la naissance. Pour voir si le système immunitaire avait gardé en mémoire l’hépatite B, ils ont décidé de leur injecter un « rappel ».

Surprise : ce rappel n’a provoqué aucune réponse chez la moitié des adolescents. [6] Ce qui veut dire que 50 % des adolescents n’étaient manifestement plus protégés contre l’hépatite B !

Même résultat chez des enfants d’Alaska, testés à 15 ans eux aussi. [7]

Conclusion des chercheurs : « dans cette petite étude, la moitié des enfants qui avaient reçu un vaccin contre l’hépatite B à la naissance ne présentaient pas de signe d’une mémoire immunitaire, telle que mesurée par la réponse anamnestique après un rappel ».

Vous en voulez encore ?

Une large étude publiée dans The Journal of infectious diseases a trouvé le même phénomène « troublant » chez des lycéens taïwanais ! [8]

Je cite la conclusion : « Une proportion notable des adolescents parfaitement vaccinés avaient perdu leur mémoire immunitaire. Ce déclin de la mémoire immunitaire soulève la question du besoin d’effectuer un rappel de vaccination pour les groupes à haut risque ».

« Rappel », le mot est lâché : il faudra donc bientôt faire de nouvelles injections pour compenser l’inefficacité de la vaccination à la naissance !

Autrement dit, il n’aura servi strictement à rien de vacciner massivement les nourrissons, puisqu’ils ne risquent pas d’attraper cette maladie sexuellement transmissible pendant l’enfance !

Conclusion du Dr Dominique Le Houézec, pédiatre au CHU de Caen [9] :

« (Si cela se confirme), non seulement cette vaccination aura été totalement inutile, coûteuse, voire parfois à risques, mais elle aboutit à donner 15 à 20 ans plus tard une fausse sécurité à l’adolescent puis au jeune adulte qui se croira protégé contre ce virus, à tort au moins une fois sur deux si l’on croit les données chiffrées les plus récentes.

Et qu’en sera-t-il dans les décennies suivantes ? Pour ne pas perdre la face, il ne restera aux autorités sanitaires qu’à programmer un rappel vaccinal à l’adolescence, voire chez l’adulte jeune, multipliant ainsi les injections vaccinales et leur apport obligé d’adjuvant aluminique. »

Et j’en arrive au problème le plus épineux de ce vaccin : ses rares mais graves effets secondaires.

Le vaccin contre l’hépatite B et la sclérose en plaques
Si vous écoutez le discours « officiel », on vous dira qu’il n’y a « aucun lien » entre la vaccination contre l’hépatite B et la sclérose en plaques.

Et on vous assène plusieurs études statistiques financées par l’industrie pharmaceutique. [10]

Mais il faut bien comprendre qu’il est très difficile scientifiquement d’établir un lien de cause à effet net lorsque l’effet indésirable est rare (probablement 1 sur 100 000 vaccinations).

On ne peut obtenir de « signal » clair de cause à effet qu’en cas de vaccination massive… comme celle qui a eu lieu en France dans les années 1990 !

Et de fait : le Dr Dominique Le Houézec a identifié une augmentation de 65 % des cas de sclérose en plaques dans les années 1995-1996, soit deux ans après la vaccination de masse dans les collèges qui a eu lieu en 1994.

Il est clair que cet effet n’est pas dû au hasard.

Même le très « pro-vaccin » Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations, a justifié ces chiffres en reconnaissant que la vaccination accélère la survenue de la sclérose en plaques.

Selon lui, le vaccin n’a fait que « précipiter » une maladie qui se serait déclenchée de « toute façon » des années plus tard.

Je le cite :
« La stimulation immunitaire provoquée par le vaccin peut précipiter le passage d’une phase asymptomatique à une phase symptomatique de la maladie. Une maladie infectieuse peut avoir le même effet. » [11]

Mais dites-moi : si une vaccination peut « accélérer » l’apparition de la maladie, ne peut-on pas imaginer qu’elle soit la « goutte de trop » qui la déclenche chez des personnes à risque ?

Evidemment oui, c‘est possible. Et pour les tribunaux, cela ne fait aucun doute.

J’ai commencé cette lettre avec la décision fracassante de la Cour de Justice de l’Union européenne.

Mais ce n’est pas la première décision de Justice en ce sens, loin de là.

En 2014, les tribunaux administratifs français ont accordé une indemnité record (2,4 millions d’euros) à une infirmière française qui avait elle aussi contracté la sclérose en plaques à la suite d’une vaccination contre l’hépatite B.

Et il n’y a pas que la sclérose en plaques.

D’autres accidents peuvent arriver à votre enfant
Une analyse scientifique des accidents rapportés à la pharmacovigilance américaine jusqu’en 2003 a relevé aussi [12] :
415 cas d’arthrite ;
166 cas de polyarthrite rhumatoïde ;
130 cas de myélite (inflammation de la moelle épinière) ;
100 cas de névrite optique ;
101 cas de syndrome de Guillain-Barré ;
29 cas de néphrite (maladie des reins) ;
et 4 cas de la terrible SLA (maladie de Charcot) qui tue en 5 ans, dans d’atroces souffrances.
Des maladies auxquelles on peut ajouter le lupus et la thyroïdite, fréquemment rapportés à la pharmacovigilance française dans les années 1990, au moment de la vaccination de masse.

Même si ces « accidents » sont statistiquement « rares », ils existent bel et bien !

Et ce n’est pas tout.

N’oubliez pas qu’à chaque fois que vous injectez un vaccin à un enfant, vous courez le risque qu’il fasse un choc anaphylactique, lié à une réaction allergique imprévisible.

En Chine, 2 enfants sont morts comme cela récemment, immédiatement après avoir été vaccinés contre l’hépatite B ! [13]

C’est très très rare, c’est vrai, probablement moins d’une chance sur un million… mais voulez-vous vraiment faire courir ce risque à votre bébé, pour le protéger (peut-être) contre une maladie sexuellement transmissible ?

Enfin, comme beaucoup de vaccins, celui contre l’hépatite B contient de l’aluminium, un adjuvant neurotoxique qui peut provoquer une maladie neurologique grave, la myofasciite à macrophage (voir ma lettre sur ce sujet).

Et peut-être des risques de cancer !!!
Comme si cela ne suffisait pas, il faut ajouter à tout ceci le risque de cancer.

Pourquoi ?
Parce que le vaccin contre l’hépatite B est obtenu par manipulation génétique et contient de l’ADN étranger.

Or, lorsqu’une séquence d’ADN étranger vient s’insérer à proximité d’un gène, elle peut « l’activer » ou « l’éteindre », avec toutes les conséquences que vous pouvez imaginer s’il s’agit de gènes « pro-cancer » ou « anti-cancer ». [14]

C’est d’autant plus inquiétant qu’aucune étude de cancérogenèse, de mutagénèse ou de génotoxicité n’est réalisée sur les vaccins… contrairement à ce qui est exigé pour les médicaments !

Cela paraît aberrant, mais c’est ainsi : les vaccins sont considérés comme des substances « magiques », dotés de super-pouvoirs capables de les rendre 100 % efficaces et 100 % inoffensifs.

Ce n’est pas seulement un oubli invraisemblable du principe de prudence le plus élémentaire. Cela relève de la dérive sectaire, avec l’obligation pour tous ses membres de croire aveuglément à « l’infaillibilité » du Dieu Vaccin !

On en vient même à se demander s’il ne sera pas bientôt interdit de critiquer les vaccins !

Alors tant que c’est encore possible, je vous encourage à transmettre cette lettre à tous vos contacts, et à la partager sur Facebook.

Il est très important de diffuser au maximum la vérité sur ce sujet, car les médias dominants ne font pas leur travail (avez-vous lu ailleurs ce que je viens de vous raconter ?)

Notez que je m’apprête à publier d’autres lettres « vérité » sur la vaccination, avec notamment des révélations sur la coqueluche, le tétanos, le vaccin Prevenar, ou encore sur ce qui se cache parfois derrière la mystérieuse « mort subite du nourrisson ».

Si vous n’êtes pas déjà abonné à ma lettre, rendez-vous ici pour ne pas manquer ces enquêtes à venir.

Bonne santé,

Xavier Bazin

Sources
[1] Prise en charge des hépatites aiguës jusqu’à la transplantation hépatique, C. Colin et al., Science Direct, 2007

[2] Hépatites B et C : 4 000 morts par an en France, JG. Fournier, Inserm Actualités, 2008

[3] Recommandations pour la prévention de la transmission mère-enfant de l’hépatite B, C. Aebi et al., Office fédéral de la santé publique, 2007

[4] Analyse coût-avantage d’une politique de prévention vaccinale de l’hépatite virale 8, M. Kerleau et al., Médecine / Science, 1995

[5] Chronic hepatitis B infection in adolescents who received primary infantile vaccination, TW. Wu et al., NCBI, 2013

[6] Persistence of protection against hepatitis B virus infection among adolescents vaccinated with recombinant hepatitis B vaccine beginning at birth: a 15-year follow-up study, SR. Bialek et al., NCBI, 2008

[7] Hepatitis B immunity in children vaccinated with recombinant hepatitis B vaccine beginning at birth : A follow-up study at 15 years, L. Hammitt et al., Vaccine, 2007
Voir aussi cette étude allemande : Markers of Protection in Children and Adolescents Six to Fourteen Years After Primary Hepatitis B Vaccination in Real Life: A Pilot Study, B. Hummel et al., Pediatric Infectious Disease Journal, mars 2016

[8] Humoral and Cellular Immune Responses to a Hepatitis B Vaccine Booster 15–18 Years after Neonatal Immunization, CY. Lu et al, The Jounal of Infectious Diseases, 2008

[9] Vaccin Hépatite B, quelle protection ? Quelle durée ? D. Le Houézec, Revahb, 2016

[10] Voir le livre « Pourquoi vacciner » pour une analyse approfondie de la littérature scientifique : http://pourquoi-vacciner.fr/livre.php

[11] Vaccinations et affections démyélinisantes du système nerveux : une nouvelle étude, D. Floret, Mes Vaccins, 2014

[12] A case-series of adverse events, positive re-challenge of symptoms, and events in identical twins following hepatitis B vaccination: analysis of the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) database and literature review, MR. & DA. Geier, NCBI, 2004

[13] Analysis on the adverse events following immunization of 10 infants death after hepatitis B vaccination, FZ. Wang et al., NCBI, 2009

[14] Voir Michel Georget, L’apport des vaccinations à la santé publique ?, Dangles, 2014.

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source http://www.reponsesbio.com/2017/08/06/vaccins-marchandisation-etre-humain/
Les vaccins et la marchandisation de l’être humain
6 août 2017


Les marchands de mort de la vaccination obligatoire et de la médecine de masse répondent en priorité à des intérêts commerciaux, dans lesquels la santé de l’individu n’a tout simplement pas sa place.

De plus, les inventions nanoparticulaires, les métaux lourds ainsi que les nombreux OGM présents dans leur composition en font, et ce tout particulièrement pour les enfants et les personnes âgées, une arme de destruction massive.


Il y a plus de cent ans, avec la généralisation des vaccins, ce que l’on appelle aujourd’hui « la loi du marché de la santé », une médecine de masse cherchant à dominer les autres par tous les moyens s’est affirmée en toute impunité, au détriment de celle composée essentiellement de médecines traditionnelles, de remèdes de grands-mères, et de naturothérapeutes itinérants vivant en bonne intelligence.

Par peur de nouvelles épidémies, essentiellement dues à l’ignorance générale dans laquelle la population était volontiers maintenue, on injectait le virus mortel ou handicapant de la maladie redoutée afin de la désamorcer, au cas où elle devrait un jour menacer l’organisme.

Un jeu dangereux pour la santé, pratiqué volontiers par une médecine de masse ne se préoccupant ni des dommages collatéraux, ni des dangers à long terme d’une pratique avant tout censée séduire les investisseurs.

Un jeu de dupes qui n’a pourtant jamais gêné les autorités médicales et les pouvoirs politiques pratiquant toujours, un siècle plus tard, une approche de la santé dépersonnalisée profitant essentiellement à l’industrie pharmaceutique.

A son époque, déjà, Pie XII mettait en garde très clairement sur ce principe : « Je m’insurge contre la médecine de troupeau qui asservit le malade aux appétits mercantiles des grands laboratoires et le bien portant aux appétits plus meurtriers encore des fabricants de vaccins. »

L’insurrection de ce pape illustre parfaitement le malentendu dont profite aujourd’hui encore l’industrie chimico-pharmaceutique.

Depuis la stratégie marketing menant à l’obligation des vaccins pour tous, non sens atteignant fondamentalement les droits civiques, bien des philosophes, groupes de pensée religieux, naturothérapeutes, scientifiques et journalistes, se sont élevés contre l’armada de la santé officielle, qui accompagnée de ses intransigeants adeptes, s’est empressée de dénoncer « un clergé réactionnaire et des sectes diffusant des idées rétrogrades. »

Ou encore « des modes bio et vegan provenant d’illuminés qui disparaîtront aussi vite qu’elles sont apparues ».  

La mécanique du pouvoir
Dans la notion de pouvoir il y a un élément fondamental… le principe de domination.

S’exerçant généralement par l’incitation à la peur, l’autorité ou la brutalité, cette notion de pouvoir repose également sur un totem, un symbole censé résumer la lutte titanesque entre le bien et le mal, demandant à tous de s’agenouiller devant l’idole toute puissante.

Dans le cas de la vaccination, ce jeu d’une médecine dominatrice maniant habilement l’intox et la propagande, n’est même plus nécessaire.

Bien que ce soit à l’encontre de la liberté thérapeutique individuelle, et que cela implique une forme de trust entre les gouvernements et une industrie mercantile, certains pays, comme la France, imposent la vaccination aux plus démunis, allant jusqu’à traîner en justice les parents s’y opposant, afin de leur enlever la garde des enfants.

A la radio, la télévision, sur internet, une véritable conspiration du silence, étouffe, depuis des années, de très nombreux biologistes, médecins, penseurs et journalistes, dénonçant le mécanisme pervers de la vaccination.

Les enfants en première ligne
Harris Coulter, éminent spécialiste américain, affirme preuves à l’appui que toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave empêchant un développement normal du cerveau et pouvant conduire à de nombreux handicaps, dont les troubles du comportement.

Le docteur Alain Scohy fait quant à lui remarquer que la dose vaccinale est sensiblement la même pour les bébés et les adultes, alors que le système immunitaire encore immature d’un bébé est incapable de mettre la moindre protection en place.

Et en observant la manière dont, depuis son apparition commerciale, l’étau s’est resserré et durci en toute légalité, on est effaré devant tant d’inconscience et de perversion.

Le système immunitaire d’un enfant mûrit très lentement, il devient fonctionnel seulement vers 10 ans, et pourtant on impose un produit vaccinal à des enfants de moins de deux ans.

S’ajoutant bien évidement aux études ayant prouvé que les métaux lourds et certaines nanoparticules, notamment métalliques, ainsi que l’absorption d’OGM reconnus comme dangereux puissent occasionner des séquelles, favoriser des maladies graves et même provoquer une mort rapide.

De toute façon, qui, plus tard, fera le lien avec les problèmes de croissance, de dyslexie, d’hypernervosité, d’asthme… avec les troubles caractériels, les dérèglements thyroïdiens, le diabète, ou de nombreuses autres maladies survenant généralement sept à dix ans après l’injection ?

Le vaccin est considéré comme un médicament miracle dans la mesure où il ne suppose aucun contradicteur ou contre-indication.

Pendant ce temps, les réactions physiologiques de chacun et les allergies n’entrent absolument pas dans les calculs de l’industrie pharmaceutique, occasionnant des morts qu’elle considère comme une quantité négligeable issue d’un dommage collatéral nécessaire.

Pourtant les alertes et les cris de désespoir face à ces mesures despotiques ont engendré un grand nombre de réactions.

En 1990 le docteur Louis Levy, chef du service des vaccinations à l’Institut Pasteur de Lyon, lança un cri d’indignation dans les médias :
«  Si l’on vaccine contre la diphtérie, le tétanos, la polio, la coqueluche et l’hépatite B, l’ensemble représente tout de même 8mg d’hydroxyde d’aluminium.

Alors qu’au moins on ne vaccine pas les enfants allergiques avec ces types de vaccins ! »

Aluminium que l’on sait bien entendu toujours présent dans les préparations vaccinales actuelles.

Il affirma également aux membres de la commission de l’Assemblée européenne que :
«  Le vaccin devrait perdre son caractère obligatoire et redevenir un acte médical à part entière, dont l’indication sera posée cas par cas, qui pourra être contre-indiqué, et dont l’efficacité et le suivi devront être mesurés et surveillés. »

Le professeur Jean Dausset, prix Nobel de la médecine en 1980 pour sa découverte du HLA (détermination du groupe cellulaire), proposait pour sa part ce qui s’avérera être une belle rêverie, que l’on l’espère aussi lucide que prophétique :
«  La vaccination des enfants contre toute une série de maladies pourrait bientôt être une pratique du passé.

Les vaccins ne seront alors administrés que pour des maladies à risque élevé.

Nous sommes à la veille d’une nouvelle époque où chacun recevra un traitement personnalisé. »

La violence inclue dans le concept de domination
On considère généralement que le virus présent dans un vaccin est atténué, considéré tacitement comme inoffensif, pourtant depuis les années 80 différentes publications médicales comme Le Généraliste mettent en garde :
« Un virus, même atténué, peut reprendre sa virulence, c’est notamment le cas du virus polio vaccinal, qui redevient pathogène après son passage dans l’intestin et contribue à contaminer l’entourage. »

Il était une époque où des électrons libres pouvaient encore combattre la médecine de masse à découvert, sans craindre de divulguer leur identité.

Lise Thiry, professeur de microbiologie en Belgique et conseiller scientifique au ministère de la Santé belge estima que les virus atténués l’avaient été « un peu à la grâce du hasard ».

En réalité, dès 1964, dans Le Maroc Médical numéro 43, le Docteur Garcia Silva déclara que toutes les souches vaccinales issues des singes étaient porteuses d’une virulence neurologique.

Ce qui n’a pas empêché les laboratoires de créer les vaccins à partir des singes verts d’Afrique et d’Asie, porteurs du HIV animal !

Selon le Professeur R. Delong, virologue et immunologue de l’université de Toledo, aux Etats-Unis, « les virus peuvent retrouver leur virulence », aussi juge-t-il inconcevable que les promoteurs de vaccins ignorent ce que les virologues ont découvert sur les infections virales, continuant sans scrupule à infecter les humains avec de nouveaux virus au nom de l’immunologie.

Ils savent que les vaccins à virus vivants, porteurs de virus infectieux, peuvent engendrer de nouvelles maladies ainsi que des malformations, des aberrations chromosomiques, des mutations et des cancers.

Ce professeur, refusant de se faire complice de ces « empoisonneurs », ira jusqu’à dire :
«  L’introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d’infection.

Le mal qui est fait est incalculable ! »

Vendu comme une panacée, un bouclier protecteur, le vaccin s’avère pourtant très souvent inefficace.

Le 28 mai 1993, le Dayton Times publie une étude menée par le Département de la Santé montrant que la moitié des cas de coqueluche rapportés de 1987 à 1991 dans l’Etat de l’Ohio ont été décelés chez des sujets vaccinés contre cette maladie, et qu’en 1989, 72% des 2720 cas de rougeole relevés dans ce même Etat, ont été décelés chez des enfants encore et toujours vaccinés contre ce virus.

Le tabou de la vaccination généralisée comme celui de la médecine de masse continue ainsi de s’effriter, dévoilant ses faiblesses et son avidité.

La loi du silence
Bien d’autres médecins, refusant de ramener l’homme à un rôle social de client endoctriné, mettent en garde contre les dangers des vaccins n’assurant aucune protection réelle.

Louis-Claude Vincent, ancien professeur à l’école d’anthropologie de Paris, a montré de façon incontestable, devant le Congrès de pathologie comparée, que toute vaccination contre une maladie microbienne prédispose aux maladies à virus et au cancer.

La vaccination antipoliomyélitique, par exemple, offrirait un terrain favorable à la tuberculose.

On fit silence sur sa déclaration, on évita qu’elle se répande dans la presse et les médias… le vaccin devait conserver sa place sacro sainte de médicament obligatoire pour tous.

La potion miracle devait continuer à permettre aux laboratoires de tourner à des cadences infernales tout en avançant leurs pions sur l’échiquier politico-économique.

Ce cynisme mercantile sans scrupule est visible régulièrement, ou à chaque nouvelle élection, sous forme de propagandes médiatiques atteignant le JT et les médias les plus populaires où il est question de l’urgence de se procurer des vaccins avant la pénurie, ou encore du manque de civisme de ne pas se vacciner ou de ne pas vacciner ses enfants, du danger qu’un individu non vacciné représente pour autrui…

La vaccination systématique, obligatoire, révèle un marketing totalitaire dangereusement vulgaire où la notion de choix et de différence n’a pas sa place.

Si l’humanité a la mauvaise idée de continuer à se laisser faire dans cette voie, nous ne serons plus qu’à un pas du Meilleur des mondes d’Aldous Huxley, ou du 1984 de Georges Orwell.

Des livres peignant un futur décérébré, sous contrôle, où l’individu n’est plus qu’un rouage privé de toute lucidité.

En 1979 dans The Dangers of immunization, les docteurs Kalokerinos et Dettmann, du Biologic Research Institute of Australia, rendaient public le résultat de leurs recherches :
«  Les effets produits par les programmes vaccinaux de l’enfance sur les lymphocytes T montrent que le système immunitaire s’avère substantiellement endommagé à la suite des vaccinations de routine. »

Par la suite beaucoup d’efforts furent faits pour tenter de briser la chape de plomb et montrer l’incohérence de cette fausse médecine préventive.

En 1995, dans un dossier consacré à Pasteur, le Journal du CNRS s’interroge lui aussi :

« Que dire, à l’heure actuelle, des espoirs de la vaccination ?

L’époque à laquelle celle-ci était considérée comme la solution universelle à toutes les maladies infectieuses est révolue.

Face à la question du sida, de l’hépatite C et du paludisme, une prise de conscience des limites et des difficultés de la méthode est apparue.

Le problème essentiel est la variabilité, qui permet à l’agent pathogène d’échapper à la réponse immunitaire de l’hôte et d’établir une infection persistante. »

Les médecins responsables faisant preuve de lucidité reconnaissent généralement les dangers du vaccin, une étude datant de quelques années montre d’ailleurs que plus de 70% d’entre eux refusent de faire vacciner leurs enfants.

Le Professeur Roitt rappelle dans son traité intitulé Immunologie fondamentale et appliquée que « bien qu’il soit possible de détruire in vitro des virus ou des cellules infectées, il est difficile d’évaluer l’importance de ces mécanismes in vivo. »

Un problème qui aurait dû apparaître comme crucial aux instances officielles de santé dans la mesure où nous ne connaissons pas réellement les fonctions des mécanismes de protection chez l’homme, ni même sa résistance aux infections virales.

Dans ces conditions comment est-il possible d’injecter la souche d’un virus, même infime, en production systématique, empirique, et… obligatoire ?

Le risque d’activer des fonctions inappropriées provoquant des maladies parfois bien plus sévères que le virus injecté, est lui aussi parfaitement négligé.

S’il n’y avait pas derrière cette vaste désinformation, la volonté de verrouiller solidement un système de santé à sens unique, une telle prise de conscience aurait suffi à éloigner les stocks de vaccins des dispensaires et cabinets médicaux.

Pendant ce temps, le ministère français de la santé, fief de l’industrie pharmaceutique, comptabilise prudemment les accidents post-vaccinaux en n’intégrant à l’équation que ceux donnant lieu à des poursuites conséquentes.

Poursuites rapidement réglées, bien sûr, en prétendant l’absence de lien direct entre la vaccination et l’accident, désignant « de simples coïncidences ».

Et lorsque le tribunal administratif donne raison aux plaignants, l’Etat, condamné, refuse de verser les sommes dues aux victimes, souvent démunies, devant automatiquement multiplier les démarches si elles veulent avoir une chance de faire appliquer le jugement.

Choisir ce qui va dans le sens de la vie
Le terme de vaccination obligatoire donne l’impression de vivre dans une forme de servitude médicale, faussement protectrice, nous assignant ad vitam aeternam à un rôle de client.

Un monopole effrayant réduisant l’être humain à un numéro dans un élevage en batterie, n’ayant que l’illusion du choix de consommer ce qu’il désire.

Mais bien entendu le renfort de l’OMS préconisant inlassablement une « couverture mondiale » par vaccinations massives de toute la population, est un argument laissant sans voix les pauvres gens ne comprenant pas les machiavéliques rouages du pouvoir de l’industrie pharmaceutique.

Comme preuve que le vaccin est une soit-disant panacée, cette organisation pourtant née de nobles intentions, cite la variole comme ayant été « éradiquée par le vaccin », ce qui est totalement faux.

En revanche, il est maintenant reconnu que la vaccination antivariolique favorise l’affaiblissement du système immunitaire, de sorte que la virulence du bacille de Koch s’en trouve renforcée, c’est en tout cas ainsi que la tuberculose est devenue le fléau du XIXème siècle.

A l’inverse, la suspension de la vaccination anti-virale a provoqué un spectaculaire déclin des cas de tuberculose dans les années 80.

Mais si la peste et la lèpre par exemple, ont été endiguées, c’est avant tout grâce aux progrès de l’hygiène ainsi qu’une connaissance relative de certaines médecines traditionnelles.

Les enfants sous-alimentés du tiers monde n’ont pas été sauvés par les vaccins !

C’est le retour à une bonne alimentation, l’eau potable et une hygiène fondamentale, qui ont été garants de leur survie.

Dans son livre Vaccinations : l’overdose Sylvie Simon écrit que le vrai héros de la lutte contre les épidémies, ce n’est pas Pasteur, mais le préfet Poubelle, qui a imposé la collecte rapide des ordures ménagères dans des récipients réservés à cet usage.

Pionnier de l’hygiène publique qui se battra encore pour instaurer la construction d’égouts dans toutes les villes.

Lorsque l’on découvrit que le choléra et la typhoïde se transmettaient par l’eau souillée et les matières fécales, l’adduction et les assainissements d’eau mirent fin aux épidémies sans avoir recours au moindre vaccin.

Comme tout le monde le sait, le bon état du système immunitaire permet de faire face, à conditions égales, aux mêmes maladies contractées par ceux au système immunitaire déficient.

C’est d’ailleurs par ce biais que la vaccination entend gérer la constance de sa consommation :
→ abaisser nos défenses immunitaires,

 → faire de nous des proies faciles pour d’autres maladies.

Une technique criminelle infiniment plus rentable que n’importe quelle association de malfaiteurs.

Par conséquent, conserver notre capital immunitaire tout en nous opposant à ces manipulations de mort, c’est aller dans le sens de la vie, à l’encontre des préjugés et de la désinformation.

Jean-Baptiste Loin

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source http://www.reponsesbio.com/2017/10/08/lallaitement-maternel-un-bienfait-pour-la-mere-et-lenfant/
L’allaitement maternel, un bienfait pour la mère et l’enfant
8 octobre 2017


A en croire cette étrange habitude, contractée il y a plus de soixante-dix ans, de nourrir les bébés avec des laits de substitution, on pourrait penser que l’humanité ne fait plus partie de la classe de mammifères.

Pourtant le nourrisson a toujours besoin à la fois de connaître la douceur du sein maternel et de s’alimenter de ce lait parfaitement programmé par la nature pour répondre à ses besoins nutritionnels.


Les bénéfices de l’allaitement
Sans doute n’est-il pas inutile de rappeler les inconvénients du biberon.

Aujourd’hui, c’est d’une voix unanime que le monde scientifique admet que le lait industriel est très inférieur au lait maternel et qu’il entraîne de graves conséquences sur le plan de la santé publique, de celle de l’enfant et même de celle de la mère.

Tout d’abord, la composition du lait de vache, tant en protéines, glucides et lipides qu’en oligo-éléments, est très différente de celle du lait humain.

Ensuite le lait artificiel ne stimule ni l’appareil immunitaire ni la flore intestinale.

Pire encore, il contient de nombreux éléments très indigestes pour le bébé dont le système digestif est alors constamment stressé et incapable de se défendre.

En conséquences, le lait artificiel favorise :
→ les troubles digestifs et rénaux,

 → les maladies infectieuses,

 → les allergies,

 → et même, dans certains cas, l’entérocolite ulcéro-nécrosante du nouveau-né,

 → la mort subite du nourrisson,

 → certains cancers

 → et le diabète insulino-dépendant.

Le lait maternel, lui, est vivant, c’est-à-dire en constante évolution d’une tétée à l’autre.

Le bébé y puise donc des éléments différents chaque jour, et notamment des immunoglobulines et des cellules macrophages qui vont lui permettre de se défendre contre les agents pathogènes et d’éviter nombre de dysfonctionnements physiologiques.

En fait, le lait maternel est un aliment de santé de tout premier ordre.

Et puis, le contact étroit avec la mère fait aussi de la tétée une véritable psychothérapie.

Ou tout au moins assure au bébé une sécurité affective que ne permettra jamais un biberon.

De plus, le sein n’entrave pas le développement correct du palais et des dents, contrairement à la tétine.

Enfin, c’est la santé de la mère elle-même que le biberon met en danger.

Car l’allaitement naturel instaure un équilibre hormonal qui empêche que le retour de couches survienne à peine quelques semaines après la naissance, comme cela se passe en cas d’alimentation artificielle du bébé.

En allaitant son petit, la mère prévient donc à la fois l’anémie et les grossesses rapprochées.

Mais certaines études montrent également que de ne pas allaiter augmente le risque de cancer du sein, de cancer de l’ovaire et d’ostéoporose.

Les recommandations des systèmes de santé publique
Le plus triste, c’est que le biberon coûte en moyenne trois fois plus cher que le sein.

Il faut donc payer pour être en mauvaise santé !

Or, les familles économiquement défavorisées sont les premières touchées par cette mode déplorable.

La collectivité supporte aussi les frais de l’alimentation au biberon, puisqu’elle entraîne un net surcroît de médicalisation, voire d’hospitalisation.

Aux Etats-Unis, par exemple, on estime qu’on économiserait 1,3 milliards de dollars si les bébés étaient allaités au sein.

Enfin, la planète pâtit aussi de ce gâchis, puisque la fabrication et le transport de toutes ces boîtes de lait et de biberons polluent énormément.

C’est pour toutes ces raisons, ajoutées aux troubles de santé, que le monde médical, l’OMS et l’UNICEF notamment, alertent régulièrement l’opinion publique et les gouvernements au sujet des dangers que le lait artificiel fait peser sur l’humanité.

A l’issue d’études statistiques démontrant clairement que la baisse du taux d’allaitement est directement lié à l’augmentation de la morbidité et de la mortalité infantile, des recommandations ont été faites concernant la meilleure alimentation possible pour les enfants, que l’on peut résumer en deux points :
→ les six premiers de vie, les bébés doivent bénéficier d’un allaitement maternel exclusif

 → jusqu’à deux ans ou plus, les jeunes enfants doivent être allaités tout en recevant des aliments de complément adéquats.

Ceci implique que, dans les six ou neuf premiers mois, ni l’eau, ni les tisanes, ni les jus de fruits doivent entrer dans l’alimentation de bébé.

D’autre part, dans les mois qui suivent, la complémentation de l’allaitement par des aliments adaptés ne doit en aucun cas être assimilée à un sevrage, le lait maternel devant représenter au moins 50% de la ration totale jusqu’à un an, puis un tiers jusqu’à deux ans.

Déclaration d’Innocenti (extrait)
Cette déclaration a été élaborée et adoptée par les participants à la réunion OMS/UNICEF sur « l’allaitement maternel dans les années 90 ».

Elle établit que l’allaitement maternel constitue un moyen sans égal de nourrir l’enfant, qui :
→ assure aux nourrissons une alimentation idéale qui favorise leur croissance et leur bon développement

 → réduit l’incidence et la gravité des maladies infectieuses, faisant baisser la morbidité et la mortalité infantile

 → contribue à la santé des femmes en réduisant le risque de cancer du sein et de l’ovaire, et en augmentant l’intervalle entre les grossesses

 → apporte des avantages sociaux et économiques à la famille et à la nation

 → donne un profond sentiment de satisfaction à la plupart des femmes pour qui l’expérience est réussie

 → et des recherches ont prouvé que ces avantages augmentent si les nourrissons sont exclusivement nourris au sein pendant les six premiers mois de la vie, et si, par la suite, la mère continue de les allaiter tout en leur donnant une alimentation de complément…

Décret 98-688 du 30 juillet 1998 (extrait)
Art. 1er – Toute documentation à but d’information ou d’éducation, tant écrite qu’audiovisuelle, portant sur l’alimentation des nourrissons doit comporter des informations sur :
a/ Les avantages et la supériorité de l’allaitement au sein

b/ La nutrition de la mère et la façon de se préparer à l’allaitement au sein et de le poursuivre

c/ L’éventuel effet négatif sur l’allaitement au sein d’une alimentation partielle au biberon

d/ La difficulté de substituer un allaitement au sein à une alimentation utilisant des préparations pour nourrissons.

Comment allaiter ?
Ce que recommande aussi l’OMS, c’est de s’informer sur le fonctionnement de la glande mammaire et de la tétée.

En effet, leur méconnaissance a entraîné et entraîne encore beaucoup de comportements erronés… jusqu’à celui consistant à nourrir l’enfant au biberon.

Par le passé, bien sûr, on se transmettait de mère en fille un savoir millénaire sur l’allaitement.

Mais aujourd’hui cette connaissance est pratiquement perdue, et se voit remplacée, au pire, par une ignorance totale, au mieux par une connaissance scientifique et des statistiques.

On sait donc que le bébé tète en moyenne huit à douze fois par jour, et que les premiers jours les tétées durent une dizaine de minutes.

Mais ces statistiques ne tiennent évidemment pas compte des particularités.

Par exemple, le bébé en contact constant avec sa mère, comme c’est le cas en Afrique, peut téter tous les quarts d’heure.

En Occident, les bébés dorment plus longtemps et tètent moins fréquemment.

Mais ceci ne veut pas dire qu’ils sont réglés comme des horloges !

Un bébé peut parfaitement s’arrêter de téter dix minutes, puis reprendre le sein.

Faut-il alors compter une ou deux tétées ?
Ce genre de question n’aurait naturellement pas lieu d’être si les Occidentaux n’avaient pas cette manie de vouloir tout contrôler et ce besoin de se rassurer en tentant de rendre tout prévisible.

Dans le système d’allaitement à l’occidental, on compte qu’il faut en moyenne une tétée de dix minutes à chaque sein toutes les trois heures.

C’est peut-être pratique, mais ça ne fonctionne pas comme cela !

En fait, c’est le bébé qui doit indiquer le rythme et la durée des tétées.

C’est en fonction de ses réserves nutritionnelles, de ses besoin alimentaires et affectifs, de son environnement et de sa santé, qu’il va réclamer le sein.

En un mot : l’allaitement doit être réglé à la demande du bébé !

Mais ceci implique la nécessité absolue d’une grande proximité entre l’enfant et sa mère… et d’une parfaite écoute de sa part.

Et le sevrage ?
Le premier conseil que l’on pourrait donner aux mères, c’est de ne pas succomber à cette tendance, également très occidentale, consistant à penser au sevrage pratiquement dès le début de l’allaitement, comme s’il fallait prévoir au plus vite la fin d’une corvée.

Conséquence : beaucoup d’allaitement se terminent sur une espèce de constat d’échec, de regret de n’avoir pas pu allaiter plus longtemps, ou d’impression que le bébé ne voulait plus du sein, tous sentiments une fois de plus dus à une méconnaissance du fonctionnement du sein et du bébé.

Il est vrai que certains bébés relâchent leur intérêt pour le sein entre quatre et cinq mois, vers sept mois et entre neuf et douze mois.

Mais il ne faut surtout pas interpréter cela comme un signe de volonté de sevrage.

Inversement, entre treize et dix-huit mois, le bébé est souvent très attaché à sa mère, et il n’est pas conseillé de le sevrer durant cette période.

D’une manière générale, le sevrage doit être un détachement progressif du sein, programmé par l’enfant… lorsqu’on l’a laissé grandir à son rythme.

Selon Ted Greiner, le mot sevrage recouvre quatre pratiques distinctes :
→ l’offre à l’enfant d’autres aliments dans des quantités n’étant pas censées avoir un impact nutritionnel réel

 → le don d’aliments dans un but nutritionnel, parallèlement à la poursuite de l’allaitement

 → le remplacement des tétées par d’autres aliments

 → la cessation totale de l’allaitement.

La chose doit donc être progressive, et ne survenir qu’à partir d’un certain âge.

Les différentes études anthropologiques s’accordent à dire que l’âge naturel du sevrage se situe entre deux et six ans.

La fourchette est large, comme on le voit, ce qui veut dire que le sevrage naturel est un peu une aventure, tout le contraire d’une planification.

Jean-Baptiste Loin

Pour en savoir plus sur les bonnes pratiques pour allaiter, sevrer, alimenter et soigner son bébé naturellement, je vous invite à lire l’ouvrage de Françoise Jourdain : « Une maman bio pour un un bébé bio » en vous rendant sur cette page.
https://reponsesbio.shop/produit/maman-bio-bebe-bio/

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 EmptyMar 21 Nov 2017 - 23:08

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 1704271159246491715004140

source http://www.reponsesbio.com/2017/11/19/proteger-peau-de-bebe/
Protéger la peau de bébé
19 novembre 2017


On sait combien l’exposition à des perturbateurs hormonaux ou des allergènes, potentiellement présents dans les secteurs du textile, de l’alimentation, des cosmétiques… ont à long terme des conséquences fâcheuses sur la santé.

Pour la peau, le contact prolongé avec ces composés favorise le développement d’allergies et d’eczémas, mais aussi de dessèchement, d’irritations, etc.

Or, le pH de la peau d’un nouveau-né est neutre, et celle-ci n’est pas encore protégée par le film hydrolipidique mettant les cellules à l’abri des influences extérieures, c’est la raison pour laquelle on veillera à ne surtout pas décaper l’épiderme des tout-petits avec des produits nettoyants, la plupart du temps toxiques et irritants.

Des recettes maison aux pratiques de bon sens, voici comment nettoyer en douceur tout en protégeant la peau de bébé.


Epargnez les tout-petits !
La peau des bébés comme des jeunes enfants étant très fragile, les produits utilisés pour leur toilette doivent faire l’objet d’une attention toute particulière.

Une récente étude du réseau WECF fournit un aperçu de la composition des produits cosmétiques et soins corporels destinés aux bébés et enfants, vendus en pharmacies, parapharmacies, supermarchés et magasins biologiques, concernant les :
→ laits de toilette,

 → lotions,

 → shampoings,

 → produits pour le bain,

 → liniments,

 → lingettes,

 → eaux nettoyantes,

 → eaux de toilette,

 → et les produits solaires.

Sans entrer dans le détail, voici 3 points fondamentaux débordant d’éloquence :
1/ Parmi les composés classés comme présentant un « risque élevé » entrant dans la composition de la majorité des produits listés ci-dessus, se trouvent des allergènes de contact et des conservateurs soupçonnés d’avoir des effets toxiques sur le système reproducteur.

2/ Parmi les substances classées, elles, à « risque modéré », on trouve :
→ de l’EDTA, surtout dans les lingettes et les produits moussants,

 → des sulfates,

 → des huiles minérales, c’est à dire des dérivés pétrochimiques,

 → et bien évidemment, des nanoparticules, dont nous n’avons décidément pas fini d’entendre parler.

3/ Et même dans les produits « bio » vendus en magasins biologiques, on peut trouver :
→ des parfums chimiques ajoutés quasiment systématiquement,

 → de la glycérine de synthèse issue de dérivés du pétrole,

 → ou encore du benzoate de sodium, à propos duquel il est difficile de trouver des études, néanmoins suspecté d’être allergène et cancérigène quand il est associé à de la vitamine C, dont l’association pourrait produire du benzène, à l’origine de leucémies et cancers.

Un exemple typique de composant utilisé en cosmétique « bio » qu’il conviendra d’éviter, au moins en attendant que des recherches fiables soient menées sur cet additif.

A la suite de ce constat évidemment, et on les en remercie, le WECF « demande l’interdiction des trois ingrédients à risque élevé dans tous les cosmétiques destinés aux enfants de moins de trois ans, ainsi que des restrictions d’usage pour les ingrédients classés « à risque modéré », en respect du principe de précaution ».

Cette ONG est également à l’origine de la demande d’un moratoire sur l’usage de substances suspectées d’être des perturbateurs endocriniens (PE) dans les cosmétiques pour bébés en attendant la définition des PE que doit publier la Commission Européenne.

Ce qui ne l’empêche pas de s’inquiéter, en même temps, de l’omniprésence de parfums sensibilisants, souvent mis en cause dans les allergies de contact.

D’ailleurs, pourquoi vouloir parfumer la peau des bébés ?

Ne dit-on pas « sentir bon comme un bébé » ?

Des produits simples pour le bain
Baigner un bébé tous les jours n’est absolument pas nécessaire, et aurait même tendance à favoriser le dessèchement cutané, surtout si vous ne disposez pas d’une eau pure et vivante, c’est à dire si vous utilisez l’eau du robinet.

Néanmoins, l’eau ayant constitué leur environnement naturel pendant les 9 mois de leur gestation, le bain est souvent un vrai moment de bonheur pour les tout-petits.

C’est aussi un espace privilégié pour l’envelopper de votre affection, peau contre peau, en échangeant sourires et caresses…

Toutefois, rien n’oblige à savonner son bébé à chaque fois qu’il prend son bain, une ou deux fois par semaine suffiront amplement.

Evitez autant que possible les bains moussants et autres gels lavants, en optant plus volontiers pour un savon doux exempt de :
→ glycérine synthétique,

 → hydrocarbures,

 → conservateurs,

 → parabènes,

 → colorants,

 → parfum,

 → huile essentielle,

 → etc.

Mais oui ça existe !

Des savonniers traditionnels proposent encore de parfaits savons fabriqués à froid, aux huiles végétales biologiques, enrichis en :
→ eau florale et pétales de rose
https://reponsesbio.shop/produit/savon-bio-rosaline-maman-bebe/

 → huile d’amande douce, eau florale de sureau et pétales de calendula
https://reponsesbio.shop/produit/savon-bio-amandine-maman-bebe/

 → hydrolat et fleurs de lavande
https://reponsesbio.shop/produit/savon-bio-lavandine-maman-bebe/

 → ou encore en lait de jument bio, miel et eau de fleurs d’oranger…
https://reponsesbio.shop/produit/savon-au-lait-de-jument-jojoba-fleur-doranger/

Et pour accompagner ces remarquables savons, la meilleure alternative au gant de toilette, pouvant s’avérer irritant, consistera à choisir une éponge de mer 100% naturelle, écologique et biodégradable.
https://reponsesbio.shop/produit/minis-eponges-de-mer-naturelles/

Accessoire idéal pour la toilette de la peau fragile des enfants, et spécifiquement des bébés, grâce à son action à la fois :
→ nettoyante,

 → très légèrement exfoliante, ce qui rend inutile de frotter,

 → antibactérienne grâce à la grande quantité d’iode qu’elle contient,

 → stimulant le renouvellement cellulaire,

 → et surtout, d’une douceur incomparable…

Ce qui n’empêchera pas les mamans aux peaux délicates, sensibles, très sèches, sujettes à l’eczéma ou au psoriasis, d’en choisir une rien que pour elles.

Et pour le change ?
Chez le bébé, la zone du siège, milieu humide renfermé et chaud est tout particulièrement sensible, car elle favorise davantage l’absorption des substances par voie cutanée.

Pour nettoyer le siège de bébé à chaque change – c’est à dire très souvent – le mieux est le liniment oléo-calcaire, un produit ancien utilisé en cas de brûlures, coups de soleil, irritation cutanée, etc.

S’il est possible d’en trouver des convenables dans le commerce, là encore, malheureusement, ils sont généralement agrémentés de toutes sortes d’additifs tels que :
→ « pentylene glycol », un solvant chimique responsable de réactions allergiques et de dessèchement de la peau,

 → « caprylyl glycol », un alcool gras de synthèse irritant et polluant pour l’environnement,

 → « PEG-8 », dérivé de PolyEthylene Glycol obtenu à partir de procédés chimiques utilisant des gaz toxiques cancérigènes,

 → etc.

Pour être sûr de ne pas empoisonner bébé, je vous conseille sans hésiter d’opter pour le fait maison.

Afin de vous aider en ce sens, voici ma petite recette perso de liniment oléo-calcaire, une préparation simplissime… et très économique !

Ingrédients :
ၑ 50g d’eau de chaux (50ml)

    ၑ 50g d’huile d’olive bio (55ml)

    ၑ 2g de cire d’abeille bio

    ၑ 10 gouttes d’extrait de pépin de pamplemousse

Préparation :
Dans un bol, faire fondre la cire d’abeille dans l’huile d’olive au bain-marie.

Hors du feu, verser l’eau de chaux en fouettant.

Ajouter l’extrait de pépin de pamplemousse, homogénéiser puis transvaser dans un flacon bien propre.

Ce liniment se conserve pendant un mois sans problème, grâce à l’EPP qui va jouer le rôle d’antioxydant.

A la fois simple et parfaitement naturel, le liniment possède des propriétés :
→ nettoyantes,

 → protectrices et cicatrisantes grâce à la cire d’abeille,

 → et hydratantes.

Il pourra aussi aider à faire disparaître les croûtes de lait.

Et en bonus, cette préparation pourra être utilisée telle quelle comme démaquillant nettoyant, protégeant et nourrissant la peau !

Natacha Lange

Pour trouver les savons et éponges de mer choisis par le comité de sélection de Réponses Bio, rendez-vous ici
https://reponsesbio.shop/categorie-produit/maman-bebe/soins-bebe/toilette-change/

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 EmptyDim 14 Jan 2018 - 22:40

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 1510091202536491713645195

source http://www.reponsesbio.com/2018/01/07/systemique-1-leducation-et-la-pedagogie/
Systémique # 1 L’éducation et la pédagogie
7 janvier 2018


Je me suis engagé, ce nouvel an, à vous parler des solutions les plus propices à une systémique salvatrice pour l’équilibre de l’humain dans son environnement.

Cependant à quoi servirait cet équilibre, s’il n’était pas basé sur le paramètre le plus enclin à faire évoluer la société à court terme, à savoir l’éducation de nos enfants.

C’est pourquoi je vous invite aujourd’hui à découvrir la passionnante analyse d’un nouvel auteur que nous espérons retrouver régulièrement dans les colonnes de Réponses Bio, Yolande Dutot, professeur dans l’enseignement secondaire.

Pour ma part je vous retrouve dès mercredi.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin


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« Montessori », ces quatre syllabes résonnent comme une terre promise pédagogique et éducative, et des écoles privées hors contrat avec l’Etat voient le jour dans des endroits auparavant improbables.

A une ère où la compréhension des intelligences multiples s’élargit avec les connaissances des neurosciences,  malgré près d’un siècle d’existence, l’extrême simplicité de cette méthode reste pourtant parfaitement novatrice tant par sa précision que par son respect de l’individu.

En voici un petit tour d’horizon…


Novatrice et continuatrice
Maria Montessori -1870 – 1952-, fut une des toutes premières femmes médecins, diplôme qu’elle obtint en Italie dès 1896, malgré l’hostilité bien masculine qui l’entourait.

Se dédiant ensuite au domaine de la psychiatrie, auprès d’enfants dits « retardés mentaux », son sens aigu de l’empathie et de l’observation lui fait rapidement prendre conscience que les troubles présentés par ses jeunes patients sont davantage d’ordre éducatif que médical, et que leurs déficiences sont le fruit d’un environnement peu stimulant et d’un manque d’expérience sensorielle du monde.

A la suite de quoi, en 1901, elle entreprend des études de psychologie et philosophie, et, cinq ans plus tard, commence une observation des enfants dits « normaux ».

C’est cette année-là qu’elle bâtit sa théorie des « périodes sensibles » de l’enfant, selon laquelle il y aurait des moments où il serait plus enclin à un type d’apprentissage particulier :
→ L’ordre : l’enfant aime classer, trier, ordonner le monde qui l’entoure

 → Le langage : l’enfant nomme les choses et les concepts

 → Le mouvement : l’enfant affine l’usage de ses mains et peut acquérir la préhension fine

 → Le raffinement sensoriel : l’enfant explore ses cinq sens et découvre le monde grâce à eux

 → Le développement social : l’enfant se construit une identité et cherche à vivre en groupe

 → La sensibilité aux petits objets : cette période sensible, peu documentée car très labile, a à voir avec la qualité de l’observation

Selon l’analyse de Maria Montessori, les acquisitions de chaque  période sensible sont faciles et évidentes pour l’enfant et ne doivent absolument pas être contrariées sous peine d’être perdues.

C’est notamment en laissant s’exprimer ces périodes sensibles que les éducateurs et éducatrices Montessori permettent à l’enfant d’approfondir ses acquisitions sans effort et en étant pleinement acteur de son vécu.

En parallèle, elle découvre les travaux du docteur Jean Itard -1774 – 1838-, bien connu pour son observation de Victor, l’enfant sauvage de l’Aveyron ainsi que du pédagogue Edouard Seguin -1812 – 1880-.

Elle en prolonge les observations et outils jusqu’à créer les siens, tout en gardant à l’esprit ces principes fondamentaux :
→ L’individualisation du travail de chaque enfant.

 → La liberté laissée à l’enfant de choisir son travail et de l’exécuter aussi longtemps qu’il le souhaite.

 → La nécessité de permettre à l’enfant une approche et une compréhension sensorielles du monde.

 → Le contrôle de l’erreur directement par l’enfant.

Puis, en 1907, le quartier populaire de San Lorenzo fait l’objet d’une réhabilitation immobilière.

Dans ce contexte, Maria Montessori se voit attribuer une « Casa dei Bambini », la première maison des enfants dans laquelle elle va pouvoir mettre en œuvre et affiner ses principes pédagogiques.

Les objectifs premiers étant :
→ D’empêcher les enfants, délaissés par leurs parents au travail, d’errer et de semer le désordre

 → De participer à rétablir une harmonie familiale

Cette expérience est d’ailleurs un réel succès pour ces enfants qui, malgré un milieu peu favorable, acquièrent une autodiscipline et des qualités d’élaboration égales à des enfants de milieux plus favorisés et  contraints dans l’apprentissage.

Dès 1913, Maria Montessori décide d’organiser des formations internationales.

Et lorsque la première guerre mondiale éclate elle part aux Etats-Unis, où elle ouvre des écoles de formation d’enseignants.

De retour dans une Europe assombrie par les totalitarismes elle quitte l’Italie mussolinienne, puis l’Espagne franquiste, pour s’installer aux Pays-Bas.

Mais en 1939, elle quitte l’Europe pour Madras, en Inde, où elle restera jusqu’en 1946, pour y finaliser les subtilités de sa pédagogie.

Après la seconde guerre mondiale, la construction de l’Europe se fait politiquement par la création d’un imaginaire collectif, et le « baby-boom » entraîne, notamment en France, le développement d’une architecture de masse tournée vers l’accueil d’une population scolaire destinée à obtenir le baccalauréat dans 100% des cas.

Nous sommes hélas bien loin de la volonté d’accueil chaleureux et individualisé ainsi que de la volonté de construction d’un groupe restreint unissant des élèves d’âges différents, de 3 à 6 ans, de 6 à 9 ans, de 9 à 12 ans, prônée par la pédagogie Montessori, qui restera confidentielle en Europe, notamment en France, jusqu’à l’arrivée de découvertes en neurosciences offrant une nouvelle dimension scientifique à cette pédagogie.

Une intuition confirmée par les neurosciences
Les connaissances récemment acquises sur le fonctionnement du cerveau ont confirmé l’extrême adaptation du matériel Montessori et de la méthode d’apprentissage lui étant liée à la plasticité et aux besoins du cerveau :

 → De l’enfant, bien sûr, l’ouvrage de Céline Alvarez, Les lois naturelles de l’enfant, montre une expérience pédagogique extrêmement bien argumentée dans laquelle se croisent et s’affinent toutes les connaissances acquises sur le développement de l’enfant et le cerveau humain depuis un siècle.

 → De l’élève mais aussi du dyspraxique, les psychomotriciens étant formés pour accompagner des patients présentant ces troubles de la gestuelle.

 → Face à la maladie d’Alzheimer, Montessori étant une méthode d’apprentissage, mais aussi une technique de réapprentissage ou de conservation des savoirs, les patients atteints de la maladie d’Alzheimer pris en charge dans des structures utilisant cette pédagogie, montrent un déclin de la cognition et une appartenance plus longue à la vie de la structure, avant l’inévitable « bulle » dans laquelle enferme la maladie.

De plus, les connaissances modernes relatives aux intelligences multiples nous font redécouvrir la méthode Montessori de par son incroyable adaptation aux diverses sensibilités des enfants.

Montessori, une pédagogie mais également un label vendeur
La méthode Montessori est aussi devenue une aubaine commerciale sur laquelle se ruent de nombreux fabricants de jouets, de matériel dit pédagogique et d’éditeurs de traités d’éducation ou de cahiers d’apprentissage.

Force est de constater que le nom de la pédagogue italienne fait vendre !

Mais avant de se tourner vers des produits dérivés, il est important de lire Maria Montessori sans modération, de s’imprégner de l’amour inconditionnel qu’elle porte à l’enfance, de prendre conscience des grandes exigences d’exemplarité qu’elle a envers les parents comme toute la communauté dans laquelle l’enfant vit et grandit.

Et, après lecture, il est essentiel de réaliser que nos erreurs ne sont pas des impasses, elles sont l’exploration du chemin.

Car c’est en lisant le texte originel que l’on réalise que ce matériel si tentant, si bien présenté, si beau, si révélateur des hautes compétences de l’enfant, n’est rien sans la vigueur de l’amour apporté aux enfants, sans une présence exigeante et bienveillante à la fois.

Oui, contrairement aux idées reçues il est bien ici question de « Présence », à mille lieues du mirage de l’autonomie de l’enfant vendu avec le matériel labellisé, la méthode Montessori est un apprentissage à partager.

Vous serez donc invités à modifier votre manière d’être présents à l’enfant, dans un retrait propice à sa découverte mais jamais à le laisser seul devant la difficulté.

Ainsi, quand on installe sur la tablette familiale une application permettant de tracer des lettres de couleurs criardes accompagnée d’une musique synthétisée, on n’est plus dans la méthode Montessori mais dans le marketing Montessori.

Certes, cela vaut peut-être mieux que d‘autres jeux numériques, mais ne nous leurrons pas, ayons conscience que nous fournissons à nos enfants de quoi nous rendre, nous, présents à la visite que nous recevons, moins agacés par l’attente chez le médecin, ou que nous laissons nos enfants se servir d’un outil numérique et vivre avec leur temps.

Les initiatives Montessori : des gages de sérieux très exigeants
Les inspecteurs de l’Education Nationale, seuls en France habilités à valider la qualité de l’instruction des enfants, se montrent en général bienveillants avec ces initiatives, impressionnés qu’ils sont par le calme et l’autodiscipline qui règnent si souvent dans ces structures, ou par le niveau de maîtrise des apprentissages des enfants dépassant assez régulièrement les connaissances attendues à leur âge.

D’un autre côté, cette méthode tendant à se démocratiser, de plus en plus d’enseignants d’écoles publiques ou privées œuvrent, avec autant de ténacité que de difficultés financières, pour acquérir du matériel neuf ou d’occasion, ou le fabriquer avec leurs fonds propres.

Les documents officiels aident les enseignants à s’inspirer de la méthode Montessori pour renforcer ou aborder certains apprentissages délicats, cependant initier de nouveaux rapports entre élèves et professeurs, comme l’aurait souhaité Maria Montessori, est une démarche semblant encore difficile à mettre en œuvre.

Le « lâcher prise » demandé aux éducatrices et éducateurs Montessori peut-il être obtenu sur demande ?

Car bien que la pédagogie Montessori soit un ensemble de gestes et techniques, c’est avant tout une manière d’être au monde pour laquelle les intervenants sont formés et obtiennent des diplômes, dont les plus exigeants sont validés par l’Association Montessori Internationale, mise en place en 1929 par Maria Montessori, continuée par son fils Mario -1898 – 1982-, dont le but est de préserver, propager et promouvoir les principes de la pédagogie Montessori.

Propio non hanno capito niente !
Nous venons de le voir, la méthode Montessori proposée dans certaines ressources destinées aux enseignants est considérée comme un outil pédagogique et non pas comme un travail permettant à l’enfant de découvrir le monde et d’en prendre conscience de manière harmonieuse.

Le fait de ne pas bénéficier d’une démarche individualisée ne  laisse aux élèves ni le temps, ni la possibilité de développer une approche personnelle de leur enseignement.

Voilà pourquoi Maria Montessori, sur la fin de sa vie, disait :
« Propio non hanno capito niente ! »

Se traduisant littéralement par : Ils n’ont vraiment rien compris !

Mais le mal peut être plus profond encore puisqu’il arrive que les inspecteurs chargés de valider l’objectif d’instruction des écoles privées hors contrat, découvrent des fonctionnements aberrants et dangereux.

On recense parfois des « ateliers Montessori » étant en fait des écoles fondamentalistes et intégristes dans lesquelles les enfants manipulent à l’envi du matériel labellisé sous le regard bienveillant d’un éducateur ou d’une éducatrice Montessori.

Il y règne tout Montessori, tout sauf la liberté voulue par Maria Montessori étant dangereusement tronquée par le prisme de doctrines religieuses.

Ces écoles ne sont pas nombreuses, heureusement, mais il y a déjà eu en France des procès attentés par d’anciens élèves d’écoles alternatives pour défaut d’instruction, qui ont été gagnés.

Montessori et ses continuateurs
Maria Montessori a vécu à une époque très riche en découvertes et expériences pédagogiques : John Dewey, Francisco Ferrer, Roger Cousinet, Célestin Freinet, Alexander Sutherland Neill furent tant ses contemporains que, parfois, ses contradicteurs.

Tous, notamment après la première guerre mondiale, pariaient sur l’éducation pour que le monde ne revive plus jamais l’horreur des conflits.

Tous ont échoué, tant la tâche est immense et le projet semble utopique.

Elle seule fut nominée trois fois consécutives pour le prix Nobel de la Paix, en 1949, 1950 et 1951, dans la mesure où son approche est complète et cherche à faire de l’enfant, pas à pas et à son échelle, un artisan de paix ainsi qu’un être libre.

Aujourd’hui, la pédagogie Montessori connait un succès et une reconnaissance mondiaux et ses continuateurs s’emploient à faire toujours plus de l’école un lieu ouvert et protégé à la fois.

La philosophie entre dans les écoles Montessori, et les élèves sont invités à se rassembler autour de questions métaphysiques, à trouver leur réponse et à l’éprouver dans l’écoute des autres.

La pédagogie Montessori, que certains croient réservée à des données immédiatement vérifiables, s’enrichit et se prolonge dans des domaines éloignés du concret sensoriel l’ayant rendue si célèbre.

Et surtout, car les pédagogues ont beaucoup œuvré auprès des enfants du primaire, elle pousse sa corne sur cette terra incognita de l’enseignement qu’est le collège.

En effet, les formations des enseignants du second degré, éternellement à cheval entre le savoir magistral et l’approche méthodologique plus « maternante », n’ont pas intégré l’approche Montessori dans leurs programmes, mais Sylvie d’Esclaibes, enseignante Montessori, nous fait part, dans son livre Montessori au collège, de l’efficacité de cette méthode, sans nous cacher la vérité : « c’est plus dur au collège, mais cela en vaut la peine ».

Et sans s’éloigner, pour ne pas marginaliser les élèves, des programmes de l’Education Nationale, il est possible de rattacher des élèves en difficulté grâce à la présence individualisée, ou de laisser des élèves autonomes et intéressés exprimer leur soif de connaissances et leur élan vers le savoir sans les enfermer dans le programme hebdomadaire d’un enseignant seul devant 25 à 30 élèves traversés par l’adolescence et ses tourments.

Il semble donc tout à fait réalisable, en faisant confiance, de mener chacun à la réussite en respectant sa manière de faire et d’apprendre.

Quelques pistes pour faire rentrer Maria Montessori dans vos vies ?

Maria Montessori à la maison, quelques idées
Dans la chambre de Bébé, l’enfant doit avoir un accès facilité à ses jouets, c’est pourquoi il est recommandé de laisser un matelas sur un sommier sans pieds pour laisser le matelas respirer.

Une petite barrière pourra être mise, qui aura pour seule fonction d’empêcher l’enfant de tomber pendant son sommeil mais ne lui sera pas un frein lors de ses premiers déplacements.

La chambre de l’enfant sera un lieu lumineux et chaleureux, organisée en zones :
→ une pour le change,

 → une pour l’allaitement ou le biberon,

 → une pour le jeu,

 → une pour le sommeil.

Des tableaux, photos, changés régulièrement, seront placés à hauteur de l’enfant.

La décoration sera sobre et l’enfant aura peu de jouets à sa disposition, mais qui seront tous choisis pour leur beauté, leur maniabilité et le plaisir qu’ils procure à l’enfant.

Régulièrement, les parents proposeront à l’enfant d’autres jeux, et ce roulement, basé sur l’observation des intérêts de l’enfant, lui permettra d’explorer ses périodes sensibles.

Cela se fera dans un environnement calme dans lequel l’enfant pourra développer ses qualités de concentration.

Les jouets seront à la hauteur de l’estime dans laquelle on tient l’enfant : des matériaux nobles comme le bois, les tissus végétaux ou la laine seront donc à privilégier.

Pour permettre à l’enfant de se découvrir, il est possible de mettre à sa hauteur un miroir.

Certains parents n’hésitent pas à faire poser des fenêtres à hauteur de sol, fixes bien entendu, permettant à l’enfant de regarder le monde qui l’entoure.

Prendre soin de soi :
Pour apprendre les premiers gestes de la toilette, l’enfant pourra avoir, dès l’âge de la marche, une petite installation comprenant miroir, petite cuvette (l’eau est à changer aussi souvent que nécessaire), savon et porte-savon, gobelet, dentifrice et brosse à dents, ainsi que brosse à cheveux et porte-serviette, ce qui lui permettra de soigner son apparence et d’acquérir autonomie et sérieux dans le soin à lui-même.

A défaut, n’oubliez pas de mettre à sa disposition une petite marche qui facilitera son accès à cette chose merveilleuse qu’est le lavabo de la salle de bains familiale.

Pour commencer à le laisser explorer ses vêtements, vous pouvez fournir l’enfant une penderie à sa hauteur, ce qui sera aussi l’occasion de parler de la météo et des activités prévues, l’ancrage temporel pouvant se faire tout simplement par ce biais pratique.

Les gestes quotidiens
Votre cher petit commence à s’intéresser aux boutons de ses vêtements ?

Proposez-lui une séance d’habillage devant le miroir, cela lui permettra de s’autocorriger, et n’attendez pas qu’il se décourage pour l’aider.

De impatience au petit déjeuner ?
N’est-ce pas le moment d’anticiper et de sortir le beurre le soir, afin qu’il soit assez mou le lendemain matin ?

Armé d’un couteau à tartiner, votre enfant préparera ses premières tartines et sera fier d’acquérir de l’autonomie.

Dans le même esprit, donnez à votre bébé une cuillère pour qu’il se serve par lui-même lors des repas.

Bien sûr, vous lui donnerez vous aussi à manger pour assurer la continuité du service, mais il acquerra progressivement la si délicate et précieuse coordination main-bouche.

Après le repas, un gant mouillé sera mis à sa disposition pour qu’il se débarbouille, ainsi qu’une éponge ou une lavette avec laquelle il essuiera sa tablette.

Rien de négatif ne sera dit quant aux éclaboussures, et ce petit ménage bien imparfait au début sera un autre moyen pour votre enfant de découvrir les textures de ses repas, d’être en contact avec la réalité de son alimentation, et de prendre plaisir à ordonner son environnement.

Votre enfant joue dans son bain à verser de l’eau ?
Prolongez le plaisir de cette découverte en mettant à sa disposition un cruchon pour qu’il puisse remplir son verre. Plus il grandira, plus il se montrera habile dans la gestion du poids et de la chute d’eau.

Mais la pédagogie Montessori se cache partout…

 → Bannissez « truc » et « machin » de votre vocabulaire, et prenez le temps de trouver les mots justes pour désigner le monde qui vous entoure. Utilisez les mots spécifiques plus que les mots génériques : dites « ficus », « orchidée », etc…au lieu de « plantes ». Les enfants sont sensibles au raffinement langagier.

 → Le bain langagier dont votre enfant a besoin lui est nécessaire dès le début de sa vie : installez-le à un endroit où il verra les membres de la famille vivre et communiquer, invitez-le à observer de petites choses comme la croissance de vos plantations, les floraisons, la lune, le passage des oiseaux…

 → Vous venez de passer un moment agréable avec des gens que vous voyez peu ? Faites-vous secrétaire pour votre enfant et proposez-lui d’envoyer une lettre ou une carte postale de remerciement dont il vous dictera le contenu.

 → Faites participer vos enfants à la vie de la famille : chacun peut faire une part du ménage.

 → Vous allez ranger le linge sec : pourquoi ne pas inviter votre enfant à reconstituer les paires de chaussettes ou à reconnaître ses affaires à lui ? Peut-être sera-t-il très content de vous aider à le ranger à sa place…

 → Soyez ferme ! Un enfant élevé selon la pédagogie Montessori ne fait pas ce qu’il veut, il a autour de lui des adultes qui l’observent et lui permettent de vouloir ce qu’il fait.

 → Si vous utilisez des bornes de recyclage, observez la fascination de vos enfants devant cette énorme poubelle grâce à laquelle on fait le geste fou de jeter tout en ordonnant selon la nature du produit. C’est l’occasion de nommer la matière de vos déchets, de repérer avec votre enfant les consignes de tri, accessibles généralement sous forme d’images, et, pourquoi pas, de le faire participer. Et si vous pensez à emporter un marchepied, ils pourront même vous aider.

 → Enfin, pour permettre à votre enfant de développer son sens de l’ordre et de l’organisation, prenez des photos! Collez dans l’entrée une photo de l’entrée rangée : elle servira de guide à votre enfant au moment de sortir son manteau. Faites de même avec les contenus des tiroirs et des boîtes de jeux et jouets. Cette méthode peut être utilisée dans de nombreux cas : rituel d’habillage été/ hiver, préparation de la valise lors d’un week-end à l’extérieur, du cartable, etc… Vous pouvez aussi ancrer l’enfant dans le temps en mettant à sa disposition des photos rangées dans l’ordre chronologique pour les routines du soir et du matin.

Yolande Dutot


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Réponses Bio est un magazine en ligne proposant une formule 100% santé naturelle, 100% pratique et 100% gratuite ! Profitez de deux lettres d'information par semaine animées par Jean-Baptiste Loin, des actus, des reportages vidéo et de nombreux guides numériques. Vous avez des questions ? Nous avons des réponses !

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 EmptyJeu 26 Avr 2018 - 10:30

source https://www.sante-corps-esprit.com/11-vaccins-obligatoires/#vaccins
11 vaccins obligatoires : ce médecin révèle le « pot aux roses »
9 avril 2014


Il faut voir cette vidéo.

Un grand médecin français, le Dr Michel de Lorgeril, vous révèle la face cachée des 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons.

En quelques minutes, vous allez comprendre :
Pourquoi on nous « mène en bateau » avec la pseudo épidémie de rougeole ;

Comment notre traditionnel « DTP » a disparu de la circulation… et a été remplacé par un « super-vaccin » 5 fois plus cher ;

Ce que l’on peut penser des liens entre vaccination et autisme

Le gros problème des adjuvants comme l’aluminium

Bonne santé,

Xavier Bazin

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Qui est Xavier Bazin ?
Xavier Bazin est journaliste scientifique, éditeur et écrivain, passionné de médecine naturelle.

Il porte le projet Santé Corps Esprit, pour aider un maximum de personnes à améliorer leur santé.

Doté d’une solide formation initiale en sciences sociales acquise à Paris, il a travaillé dans des domaines très divers, jusqu’à ce qu’il soit touché par de graves problèmes de santé.

Pendant des années, il a subi un état de fragilité prolongée : une fatigue persistante, un déséquilibre hormonal et un brouillard mental handicapant.

Au pic de ses difficultés, Xavier Bazin a été contraint de se mettre à mi-temps dans son travail. Il s’est alors plongé corps et âme dans la compréhension du corps humain. A la recherche de solutions, il a passé des années à lire méthodiquement une somme monumentale d’écrits et d’études scientifiques sur la santé.

C’est ainsi qu’il a découvert les incroyables bienfaits de la médecine naturelle, et qu’il a souhaité partager ce savoir avec le grand public.

Après avoir contribué au développement d’une grande maison d’édition dans la santé naturelle, il s’est lancé dans le projet Santé Corps Esprit, auquel il contribue depuis le début de l’année 2016.

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 EmptyVen 4 Mai 2018 - 11:11

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 1601110823576491713888032

source http://www.reponsesbio.com/2018/04/29/des-bonbons-aux-huiles-essentielles-comme-alternative-aux-gelatines-industrielles/
Des bonbons aux huiles essentielles comme alternative aux gélatines industrielles
29 avril 2018


En matière de bonbons, les enfants sont pris au piège d’un engrenage addictif et iatrogène dépassant largement les limites de l’acceptable.
Je vous propose aujourd’hui non seulement d’étudier, mais aussi de mettre en pratique des recettes faciles de bonbons avec ou sans huiles essentielles, afin de mieux transformer une habitude préoccupante en pur plaisir, voire en geste de santé.


Ces dernières générations ont vu des armées de techniciens du goût s’en donner à cœur joie dans le but de pérenniser des marques cherchant à rendre le consommateur « accro ».

Le sucre étant vite apparu comme l’ingrédient numéro un destiné à fidéliser un public allant de 1 à 99 ans, l’agroalimentaire s’en est servi pour désorienter les repères gustatifs, transformant un élan naturel en stratégie de l’addiction.

Nous en avons tous souffert, et dans une certaine mesure nous en souffrons encore, mais les plus touchés sont bien évidemment les enfants, auprès desquels les bonbons faits de gélatine animale, bourrés d’OGM et de nanoparticules, font tous les jours des ravages dans les cours de récréations.

Mais il n’est bien évidemment pas suffisant de leur interdire un tel comportement, que parfois même certains adultes considèrent comme inoffensif.

L’interdiction pure serait certainement vue comme une injustice, risquant qui plus est de livrer l’enfant à une exclusion de ses cercles d’amis.

Dans ce cas, n’est-il pas mieux de faire évoluer la consommation iatrogène et archaïque de gélatines animales et sucres ultra-corrosifs par une alternative totalement bio et naturelle, pouvant même dans certains cas se montrer thérapeutique ?

Des bonbons sains pour des enfants en bonne santé
Plus que des bonbons, en y ajoutant quelques huiles essentielles douces, dans un ratio toléré par les plus petits, on peut aller jusqu’à concevoir de mini remèdes pour la prévention et l’accompagnement de diverses affections bénignes.

Il pourrait également être opportun d’employer les fleurs de Bach ou même de se contenter de purées de fruits, mais pour éviter toute confusion entre le bonbon sain et celui enrichi aux huiles essentielles, je vous propose de les séparer avec soin.

Ceux contenant des huiles essentielles ne serviront que dans certains cas, et dans une mesure minutieusement orchestrée par les parents ou les grands-parents.

Un peu comme ce serait le cas pour des pastilles pour la gorge ou des sirops.

Et, en augmentant les doses, même les adultes pourront espérer profiter de bonbons véritablement thérapeutiques.

Quant aux autres, ils pourront être emmenés sans complexe à l’école pour être généreusement partagés avec les petits camarades de vos angelots.

Bonbons plaisir
Ingrédients :
300 grammes de purée de fruits : fraises puisque la saison commence, mais aussi abricots, pêches, poires…
ou 300ml de jus de fruits passés à l’extracteur : raisin, ananas…
5 grammes d’agar-agar en poudre
si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter 1 pincée de stevia, 50 grammes de sucre de fleur de coco, ou même de miel du moment qu’il est ajouté après la cuisson

Préparation :
Mélanger dans une casserole le jus ou la purée de fruits avec l’agar-agar.

Porter à ébullition et enlever du feu immédiatement.

Pour ceux qui souhaitent ajouter un peu de miel, c’est le moment.

Huiler très légèrement de petits moules « oursons » (ou autre), devant absolument être garantis sans BPA ni nanoparticules.

Verser la préparation bien homogénéisée en remplissant à ras bord, et placer au réfrigérateur pendant 3 heures environ.

Bonbons thérapeutiques
Ingrédients :
300g de jus de fruits comme par exemple : pomme, raisin, ananas, myrtilles…
5 grammes d’agar-agar en poudre
20g de miel
Huile essentielle ou élixir floral

Préparation :
Mélanger dans une casserole le jus de fruits et l’agar-agar.

Porter à ébullition et enlever du feu immédiatement.

Ajouter le miel et bien mélanger.

Huiler très légèrement de petits moules à bonbons.

Verser la préparation puis ajouter dans chaque bonbon 1 goutte d’huile essentielle que vous choisirez parmi les plus douces pour convenir aux enfants :
→ Orange douce (Citrus aurantium sinensis) pour aider un enfant à trouver le calme, ou apaiser des troubles digestifs passagers

 → Citron (Citrus limonum) en cas de mal des transports

 → Sapin baumier (Abies balsamea) en cas de toux, rhume ou bronchite

 → Niaouli (Melaleuca quinquinervia viridiflora) pour lutter contre les infections virales, mais aussi les sinusites, bronchites, rhino-pharyngites

Pour les plus émotifs on peut remplacer les huiles essentielles par deux gouttes d’élixirs floraux, susceptibles de répondre à des situations existentielles variées, chez les grands comme les plus petits.

Voici quelques suggestions :
→ la Centaurée ou le composé « Timidité » pour ceux qui se laissent marcher sur les pieds et ont du mal à se faire respecter (dans la cour de récré ou plus tard)

 → le composé « Colère » pour ceux qui gèrent difficilement leur irascibilité

 → le composé « Dépendances » pour un petit coup de pouce en cas d’envie intempestive de grignoter

 → le composé « Stop tabac » pour contrecarrer une envie de cigarette

 → le composé « Peurs » pour aider à surmonter les épreuves

 → et bien sûr le composé « Urgence » ou « Rescue » pour tous les coups durs

 → etc.

Placer les bonbons au réfrigérateur sans descendre en-dessous de 4°C, pendant environ 3 heures avant de démouler.

Ils se conservent pendant 10 jours dans une boîte hermétique, mais pour plus d’efficacité les bonbons thérapeutiques se consommeront dans les jours suivant leur fabrication.

Et pour les adultes
Comme je le disais les adultes pourront profiter de cette même composition tout en l’élargissant à d’autres huiles essentielles plus puissantes.

Il suffira pour cela d’ajouter non pas une mais trois ou quatre gouttes d’huile essentielle par bonbon, en fonction des cas.

Cependant, même les adultes veilleront à ne pas dépasser une à deux gouttes pour des certaines huiles essentielles les plus fortes comme :
→ l’Origan,

 → les Thyms,

 → la Cannelle…

Jean-Baptiste Loin

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Anne-Sophie
Bonjour Jean-Baptiste,
Merci pour cette super idée 🙂
Le problème, c’est de trouver des moules à bonbons qui soient sains? En silicone?
Merci pour vos suggestions, si vous en avez 😉
Belle journée

***********

Anne-Sophie bonjour,
Effectivement, j’aurais dû m’attarder davantage sur ce point, la qualité des moules est essentielle.

La plupart des gens étant habituée au silicone j’indique qu’il est important d’en choisir sans BPA ni phtalates, cependant d’une part il est possible que les HE soient corrosives à long terme si elles touchent directement la surface, et d’autre part le silicone est généralement nanoparticulaire.

De toute façon il faut à tout prix éviter le silicone au peroxyde, dont certaines particules nocives migrent vers les aliments à partir de 160°C.

Plus généralement et par mesure de précaution, et même si dans ma recette de bonbons il n’y a pas de cuisson dans le moule, je vous conseillerai plus volontiers d’utiliser des moules en métal.

Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin

************

Anne-Sophie
Oh, merci pour votre réponse si rapide, et un dimanche, en plus 🙂
Reste à trouver ce type de moule… Pas simple. Au pire, on détournera un objet, je réfléchis 😉
Merci pour votre travail si passionnant, et pour vos partages!
Belle journée,

***********

SIBUE Eliane
Bonjour,
Les moules Demarle réponde-t-ils à ces normes?
Merci pour votre réponse

**********

Eliane bonjour,
Cette marque a effectivement fait un bel effort concernant les BPA, phtalates et peroxyde, cependant reste le problème des nanoparticules dans les ustensiles et emballages alimentaires.

En plus de la composition nannoparticulaire du silicone dont les informations sur la toxicité manquent, il est également probable que la fibre de verre l’accompagnant soit à base de nanoparticules encore plus nocives.

Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 2 EmptySam 23 Juin 2018 - 16:19

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source http://www.vsd.fr/actualite/danger-decouverte-de-substances-cancerigenes-dans-des-couches-pour-bebes-pampers-17719
Publié le mardi 25 octobre 2016 à 13:45  par Marine GIRARD
DANGER DÉCOUVERTE DE SUBSTANCES CANCÉRIGÈNES DANS DES COUCHES POUR BÉBÉS PAMPERS

Selon une étude de l'association Santé Environnement France, les couches de cette marque contiendraient des dérivés du pétrole.
Une étude de de l'Asef (association Santé Environnement France), rapportée par Le Parisien ce mardi 25 octobre, dévoile que des traces de composants dérivés du pétrole, potentiellement toxiques pour les plus petits auraient été découvertes dans des couches de la marque Pampers, leader du marché français.

Il s'agit plus précisément de benzo anthracène et de chrysène, appelés « petrolatum » sur les étiquettes. Ce sont ces HAP (hydrocarbures aromatiques polycycliques) qui sont utilisées pour rendre les couches moins irritantes pour les fesses des nourrissons. Les taux trouvés sont très bas, moins de 0,2 mg par kilo de couches, en dessous du seuil autorisé par la réglementation européenne, mais l'association Santé environnement France prône le principe de précaution et estime que la présence des ces produits favorisent certaines maladies, comme les cancers.

 Favoriser les couches écologiques
« C'est légal mais mais laisser ainsi ne serait-ce que quelques traces de composants dangereux, c'est moralement trop » dénonce Ludivine Ferrer, la directrice de l'Asef, auprès du Parisien et qui rappelle que ces fameuses couches sont « en contact avec les parties intimes de nos enfants 23h30 sur 24 ! ».

« Si l'effet était immédiat, il y a bien longtemps que les producteurs auraient changé leurs méthodes de fabrication », estime encore la directrice de l'Asef, ajoutant que ces HAP sont responsables de « la hausse de maladies chroniques comme les cancers ou l'infertilité ».

Ludivine Ferrer milite donc pour l’utilisation des couches écologiques, garanties sans produits chimiques. Elles peuvent s’acheter en grande surface à un prix défiant ceux des grandes marques (0,3€ l'unité pour une couche Love & Green contre 0,2€ pour une couche Pampers). Contactée par Le Parisien, la société propriétaire de Pampers, Procter & Gamble, n'a pas souhaité réagir.

******************************************************

source http://www.leparisien.fr/societe/des-produits-toxiques-dans-les-couches-25-10-2016-6248697.php
Consommation : des produits cancérigènes dans les couches
|Emilie Torgemen|25 octobre 2016

Le pétrolatum utilisé dans les couches pour protéger les fesses de bébé contient des HAP, mais sans dépasser les taux légaux autorisés.LP/MATTHIEU DE MARTIGNAC.

Une association a fait analyser les couches du leadeur du marché, la marque Pampers. Les résultats révèlent la présence d'un produit cancérigène.

Alerte au rayon bébé ! La société de couches écolo Love and Green a fait tester par un laboratoire indépendant la composition des couches Pampers, le leadeur très copié du marché. Les résultats, que nous avons pu consulter, révèlent que ces produits de puériculture contiennent des HAP (hydrocarbures aromatiques polycycliques). Précisément du benzo anthracène et du chrysène, des dérivés du pétrole classés cancérogènes par l'Union européenne. Contactée lundi, la société Procter & Gamble, propriétaire de Pampers, n'a pas été en mesure de nous répondre.

Ironie de l'histoire, les HAP sont notamment utilisés pour protéger la peau douce des tout-petits. Sur les paquets, c'est ce composant, mentionné comme étant du « pétrolatum », qui contient des molécules potentiellement dangereuses. Bien plus connu de l'acheteur lambda sous le nom de vaseline, il limite les irritations et l'effet fesses rouges. Parce qu'une couche-culotte classique, c'est une garniture de billes gélatineuses insérée dans un mille-feuille de voiles plastiques, très abrasifs pour la peau.

0,2mg/kg
C'est la quantité de HAP (hydrocarbures aromatiques polycycliques), une substance cancérogène, contenue dans les couches analysées.

Depuis leur naissance et jusqu'à ce qu'ils apprennent la propreté entre 2 et 3 ans, les enfants n'ont pas d'autre choix que d'être frottés à ces produits réputés toxiques, « en contact avec les parties intimes de nos enfants 23 h 30 sur 24 ! », s'alarme Ludivine Ferrer, directrice de l'Asef (Association santé environnement France, qui rassemble plus de 2 500 professionnels de santé en France). Elle estime que le risque est d'autant plus important qu'il est insidieux. « Si l'effet était immédiat, il y a bien longtemps que les producteurs auraient changé leurs méthodes de fabrication », soutient-elle.

Pour la directrice de l'association, les HAP sont, « par une chaîne causale complexe », à l'origine de « la hausse dans la population de maladies chroniques comme les cancers ou l'infertilité ».

Concrètement, cette étude de l'Asef révèle des taux très faibles de HAP. Sous le seuil de 0,2 mg/kg. Les couches pour bébé restent donc sous les seuils tolérés par la réglementation européenne. « C'est légal mais laisser ainsi ne serait-ce que quelques traces de composants dangereux, c'est moralement trop, s'insurge Ludivine Ferrer. D'autant que les industriels ne sont pas obligés d'utiliser ces éléments chimiques ! »

Son association promeut le « principe de précaution » dans « le Petit Guide santé du bio-bébé » distribué dans les PMI et chez certains gynécologues. Elle vient de convaincre deux maternités des Bouches-du-Rhône de passer, le 1er janvier, aux couches écolos. C'est-à-dire dont le voile intérieur en contact avec la peau des nourrissons est garanti sans produit chimique.

La société Pampers a tenu à démentir la présence de ces produits. Dans un communiqué envoyé ce jeudi au Parisien-Aujourd'hui-en-France, le fabricant de couches assure qu'il n'ajoute pas de HAP dans ses produits et que «tous les composants de nos couches sont strictement sélectionnés et évalués en détail. Ils sont conformes au rigoureux règlement européen Reach qui sécurise la fabrication et l’utilisation des ingrédients».

Et précise également que «des tests cliniques sont réalisés avec le plus grand sérieux par des experts scientifiques et des pédiatres extérieurs avant la commercialisation des produits».

Couche lavable ou jetable écolo, une bonne alternative ?
Pour éviter les produits toxiques, faut-il revenir aux langes de nos grands-mères ? « Les parents sont de plus en plus sensibles à ces questions », assure Céline Augusto de la marque Love & Green, qui pèse 4 % du marché. Première alternative, les couches lavables nouvelle génération (Popolini, P'tits Dessous, Best Bottom). La partie intérieure est le plus souvent en coton, chanvre ou bambou. Compter environ 200 € pour démarrer mais à terme, l'investissement vaut en théorie le coup puisque les couches sont réutilisables un grand nombre de fois. On ne les trouve que dans les magasins bio et sur Internet. Gros bémol : « Je les ai testées le premier mois après la naissance de mon fils. Franchement, j'avais l'impression de passer ma vie à faire tourner des machines de couches », confie Maëlle, une jeune maman.

Une autre solution : favoriser des couches jetables écologiques. Elles affichent un minimum de 50 % de matières naturelles et surtout zéro chimie dans le voile de maintien en contact avec la peau. A côté des marques Love & Green, Moltex ou Naty, les distributeurs ont développé leur propre gamme verte (Carrefour Baby Eco Planet, Pommette Ecologic, Auchan mieux vivre...). Elles restent plus chères que les couches jetables premier prix, mais moins que celles des marques traditionnelles.
 Le Parisien

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http://www.magicmaman.com/,les-2-marques-de-couches-sans-produits-toxiques-sont-aussi-les-moins-cheres,3461985.asp
Les 2 marques de couches sans produits toxiques sont aussi les moins chères
Selon une étude du magazine "60 millions de consommateurs", seules 2 marques de couches sur 12 ne contiennent pas de substances toxiques. On vous dit lesquelles !

Sur 12 couches de marques différentes, seulement 2 d'entre elles ne contiennent pas de "résidus potentiellement toxiques". Les autres se composent d'au moins une substance indésirable (y compris les couches dites écologiques). Ces chiffres sont le résultat d'une étude publiée dans le magazine 60 millions de consommateurs.

Des substances peu désirables...
Tout comme les tampons hygiéniques, les couches censées protéger les fesses des bébés contiennent des résidus de pesticides. Les chercheurs ayant mené cette étude ont en effet trouvé du glyphosate (une substance qu'on retrouve dans les herbicides), des hydrocarbures aromatiques polycycliques, des dioxines et des traces de composés organiques volatils. Or le gyphosate a été classé "cancérigène probable pour l'homme" par le Centre International de Recherche sur le cancer (CIRC). Ceci reste une probabilité et le magazine ajoute que "le risque sanitaire reste à déterminer".

Ces substances ont été retrouvées dans certaines couches telles que les "Pampers Baby Dry" ou encore les couches écologiques "Carrefour Baby Eco Planet". Ces deux distributeurs assurent tous deux "respecte(r) scrupuleusement la réglementation en vigueur". Aussi, le magazine insiste sur le fait qu'il est nécessaire d'instaurer une réglementation spécifique et des contrôles plus stricts, sans quoi les consommateurs ignorent la composition des produits et ne sont pas assurés de la sécurité sanitaire de leurs bébés.

Car outre la composition douteuse de ces couches, c'est également le manque de transparence des marques qui est reproché par le magazine : "Chez Pampers, leader incontesté du secteur, on se contente d'inscrire sur les paquets que les couches sont 'douces comme de la soie'". Il s'avère que ce sont la cellulose (fibre issue du bois) et plusieurs matières plastiques qui permettent cette douceur dont la marque fait référence. La composition des langes n'est pas explicitement révélée sur les produits, la réglementation n'obligeant pas les fabricants de couches à le faire, contrairement aux produits cosmétiques.

2 marques de couches irréprochables
Seules les marques écologiques "Love&Green" et "Mots d'enfants" (Leclerc) ne contiennent aucune substance potentiellement toxique. En plus de ne présenter aucun risque sanitaire, ces couches figurent parmi les moins chères du marché : celles de Leclerc, "Mots d'enfants", sont à 20 centimes l'unité et celles de "Love&Green" sont estimées à 44 centimes l'unité (52,90€ le pack de 120 couches taille 5). Céline Augusto, cofondatrice de Love&Green, affirme que leurs couches sont composées de 40 à 50% de cellulose et de bioplastiques des matières, contrairement à une grande majorité d'autres marques qui utilisent plastiques, pétrolum et autres matériaux moins onéreux...

Rappelons que 60 millions de consommateurs n'est pas le premier à dénoncer la composition douteuse des couches pour bébés. En octobre dernier, déjà, un contrôle de qualité avait été réalisé dans un laboratoire indépendant suite à la demande du fabricant de couches Love&Green. L'analyse de la composition des couches Pampers avait effectivement révélé la présence d'hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). Ces composants sont dérivés du pétrole et classés cancérigènes par l'Union Européenne.

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https://www.journaldesfemmes.com/maman/bebe/1733793-couches-bebe-enquete-60-millions-de-consommateurs/

http://www.loveandgreen.fr/nos-couches/?gclid=EAIaIQobChMI9-7L_vPp2wIVBOcbCh0shwFeEAAYAiAAEgL0MPD_BwE

https://www.consobaby.com/avis-couches-mots-d-enfants-taille-4-mots-d-enfants.html

https://www.lillydoo.com/fr/?gclid=EAIaIQobChMI9-7L_vPp2wIVBOcbCh0shwFeEAAYASAAEgI0CPD_BwE

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Dernière édition par Libellule le Dim 24 Fév 2019 - 16:00, édité 1 fois
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