Encore un petit effort et vous pourrez admirer la vue dégagée sur le port
Nouvelle place avec un calepinage tout en courbes et demi ronds.
Ceci est un trompe l'oeil, ce n'est pas le pin qui repart mais un arbrisseau qui a poussé juste derrière lui
Nous sommes arrivée en haut, de la colline du chateau
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http://www.nice.fr/Culture/Centre-du-patrimoine/Les-Fiches-Patrimoine-et-autres-publications/Le-chateau-de-NiceDe la forteresse au parc.
La colline du Château, promenade obligée pour qui désire découvrir la ville dans son écrin de collines ou encore apprécier sa fraîcheur estivale, n’est devenue cet îlot de verdure qu’au cours du XIXe siècle.
Aujourd’hui, seuls son nom et de discrets vestiges rappellent le rôle défensif qui fut le sien durant près d’un millénaire de l’histoire de notre cité.
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Sainte-Marie_de_CimiezLa cathédrale Sainte-Marie de Cimiez, ou cathédrale Sainte-Marie du château, est une ancienne cathédrale située sur la colline du château de Nice. La cathédrale est de style pré-roman, maintenant en ruine. Elle était construite dans l'ancien diocèse de Cimiez, diocèse du Ve siècle, maintenant rattaché à Nice et donc au diocèse de Nice.
Dans les années 1950-1960, tandis les vestiges de la cathédrale sortaient de terre, un parcours d'inspiration antique vint orner murs et cheminements.
Les fouilles en cours sur la colline du Château (2009)
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http://www.histoirepaca.com/base_article.asp?id_article_15=94Marc BOUIRON, vous venez de découvrir une église paléo-chrétienne du Ve siècle sur le site de la colline du Château à Nice. Pouvez-vous nous en parler ?
M.B. : La découverte principale de la campagne de fouille sur la colline du Château permet de résoudre une question qui se posait aux chercheurs depuis longtemps : la cathédrale du XIe s. avait elle succédé à un édifice plus ancien ? Nous avons pu mettre en évidence cette année (2009) qu'un bâtiment plus ancien existait au même emplacement, dont nous avons pu suivre les murs périmétraux (déjà partiellement dégagés par les fouilles anciennes mais rattachés alors à la période antique), ainsi que le sol, constitué d'un béton de tuileau à la mode antique. La céramique retrouvée dans les couches de préparation de ce sol est datée du Ve s. de notre ère. Le plan de l'édifice dégagé étant celui d'une église paléochrétienne et sa destruction étant réalisée lors de la construction de la cathédrale médiévale, il est très vraisemblable que l'on ait affaire à la première cathédrale de Nice.
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http://ns352447.ovh.net/ac06/une_fiche_2.asp?id_fiche=36&id_epoque=3La cité atteint son extension maximale dans la 1ère moitié du XIVème siècle mais les monuments majeurs (cathédrale, palais épiscopal, château comtal, …) continuent d'occuper la partie haute. A la fin du Moyen Âge, le passage de la Provence orientale des comtes de Provence aux comtes puis ducs de Savoie confère à Nice un statut particulier puisqu'elle devient à la fois ville frontière et seul débouché maritime du duché.
Marc Bouiron est directeur du Service Archéologie de la Ville de Nice et chercheur associé au CEPAM (UMR 6130), après avoir été archéologue de la Ville de Marseille pendant dix ans puis Conservateur régional de l'Archéologie de Haute-Normandie. Il a publié de nombreux articles et ouvrages sur l'Antiquité tardive et le Moyen Âge en Provence. Il a dirigé récemment les fouilles du tramway de Nice et coordonne depuis 2006 un projet collectif de recherches sur l'occupation humaine de la colline du Château de Nice de la fin de la Préhistoire à nos jours.
ça valait le coup de monter car la vue sur le port est superbe
L'entrée du port
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Quartier_du_port_%28Nice%29Situation
Le quartier du port est situé au sud-est de la ville. Il est généralement délimité à l'ouest par la colline du château, la rue Catherine Ségurane et le boulevard Risso, au nord par la rue Barla, à l'est par l'avenue Lympia, le mont Alban et le mont Boron, et au sud par la mer Méditerranée.
Histoire du port
Nice n'a jamais eu de port proprement dit jusqu'à la moitié du XVIIIe siècle.
De l'Antiquité au XVIIIe siècle
La méthode traditionnelle était, soit d'échouer le navire sur le rivage, soit d'attendre des barques plus petites à faible tirant d'eau qui se chargeraient de récupérer la cargaison et d'approcher suffisamment pour que des animaux ou des hommes s'occupent de les mettre en lieu sec. Des jetées de bois amélioraient le service, mais à Nice, la pente de la plage ne permettaient, hélas, que très courts pontons.
Les ingénieurs savoyards ont planché longtemps la question. Creuser un port, oui, mais quel peut être le choix idéal d'un emplacement à Nice ? De part et d'autre de la colline du château, les projets furent nombreux. Ce fut le roi qui trancha finalement : l'anse de Lympia à l'est de la colline. Entretemps, la géostratégie avait changé dans la mesure où le Roi-Soleil avait décrété le minage complet de la citadelle. Désormais sans défenses, ni pour la ville ni pour le royaume de Savoie-Piémont, la ville se devait d'exister dans le royaume sous un aspect économique de commerce et d'échange. La Savoie établit des contacts avec les Anglais et les Russes ; ils se révélèrent fructueux deux siècles plus tard durant la Belle Époque.
Le premier port Lympia
Le port Lympia est le nom donné au port de Nice.
Ce nom provient de la source Lympia qui alimentait un petit lac dans une zone marécageuse où les travaux du port3 commencent au milieu du XVIIIe siècle. Il constitue aujourd'hui la principale installation portuaire de Nice. Il existe également un petit port dans le quartier Carras.
Le premier à penser à l'étendue de Lympia fut en 1672, le Comte Amédée de Castellamont. Le lieu était quasi désert, mis à part une vieille chapelle abandonnée. Il suffisait d'excaver la lagune et de creuser un chenal pour communiquer avec la mer. Mais les ingénieurs piémontais tenaient, quant-à eux, au site des Ponchettes, ils élaborèrent des plans pour détourner le Paillon et ainsi utiliser l'embouchure asséchée.
Et toujours, de fait, le duché de Savoie ne possédait toujours comme unique débouché sur la mer que la voie routière qui devait franchir les montagnes pour rejoindre Turin, une des deux capitales du duché (la seconde étant Chambéry). Mais aucun port à Nice. En effet, la république de Gênes occupait le territoire le plus approprié, hélas. Le roi Charles-Emmanuel III, trancha finalement le conflit en 1748: le port se ferait dans la lagune de Limpia.
L'architecte Antonio Felice de Vincenti, est chargé de l'affaire et les travaux débutent en 1749 mais lentement, c'est le moins que l'on puisse dire, puisqu'en 1761, une commission se réunit à Turin pour faire accélérer le mouvement.
Le port de Nice peint par Isidore Dagnan (vers 1800?)
Sulzer donne une description précise du tout nouveau port : Un bassin circonscrit et dû tout entier à l'art. De fortes digues formées de puissantes assises calcaires protègent son entrée. Accidenté dans son fond de quartiers de roches, il ne peut recevoir les navires de 400 tonneaux qui sont obligés d'aller à Villefranche. Tout petit qu'il soit, il ne chôme jamais de visiteurs : sacolèves, tartanes, felouques à voiles latines, polacres, y accourent de Sicile, de Sardaigne, de Gênes, de Toulon, de Barcelone et des Baléares.
Smolett, autre découvreur de Nice, évoque lui, les petits bâtiments chargés de sel et de vin. Il donne aussi une description du quartier naissant : Du côté du môle, il y a des soldats de garde en permanence et une batterie de sept canons pointés vers le large, de l'autre côté, il y a une curieuse manufacture pour tresser et tisser la soie, il y a aussi une taverne, un café et plusieurs autres bâtisses fréquentées par les marins. Y arrivaient donc les tartanes, les felouques, en un spectacle coloré, mais du strict point de vue commercial, l'activité du port naissant restait encore bien modeste.
On y exportait les produits locaux du comté comme huile d'olive, citrons, oranges, anchois et thons pêchés dans la Baie des Anges, mais aussi des produits issus de la plaine piémontaise qui transitaient à dos de mules par le col de Tende ; la soie grège, le riz et le chanvre.
Côté importation, les céréales que les négociants niçois achetaient jusque dans les colonies anglaises de l'Amérique du Nord, le sel, le sucre, le cacao, le café. Les Niçois se contentèrent de ce modeste trafic jusqu'à l'arrivée de commerçants plus habiles, essentiellement des juifs levantins habitués au négoce en gros. Ce qui choquait les nouveaux arrivants, c'était non seulement le peu d'activité du port, mais aussi la pauvreté des installations portuaires. Constantin Sabat, originaire de Trieste, constatait Les habitations du port de Lympie offrent un coup d'œil mesquin, n'étant composé que de petites baraques en bois. Le remède ? Bâtir une isle, c'est-à-dire un quartier d'immeubles à plusieurs étages, nombre d'autres en suivraient l'exemple.
Contre ce qu'ils appelaient des « préjugés », les Levantins s'offraient à établir des manufactures et surtout des raffineries de sucre. Ce sentiment était partagé par quelques commerçants niçois, plus aventureux que les autres et qui, dès 1755, envoyaient au roi un mémoire dans lequel ils indiquaient les moyens de développer le port pour l'exportation des produits manufacturés comme les étoffes, le papier et le plomb.
Les agrandissements aux XIXe et XXe siècles
1898 : Creusement du second bassin en amont Du premier. De nombreux entrepôts et habitations d'armateurs ou de commerçants disparaissent (dont celle de la famille Garibaldi).
Noter aussi les prolongations successives de la jetée du port en deux étapes.
Le commerce actuel et la part touristique du port
Le commerce de marchandise
Il ne représente plus qu'une faible part des mouvements portuaires. Il ne reste que le ciment fabriqué dans les deux grandes cimenteries de Contes et de la Grave de Peille.
Les sucettes glacées roses que vous voyez tout en bas, sont des citernes de ciments, car le port est en plein travaux de restructuration
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http://www.20minutes.fr/nice/581085-Nice-c-est-la-valse-des-parkings-Sur-le-port-de-Nice.phpc'est la valse des parkings sur le port de Nice: 25 juin 2010.
Urbanisme En cinq ans, de nombreux stationnements disparaîtront au profit d'un parking souterrain
Voilà un drôle de jeu de chaises musicales. A la faveur du réaménagement du port de Nice, les places de parking font faire un sacré chassé croisé ces prochaines années. Deux ans tout juste après avoir annoncé le lancement de grands travaux, le propriétaire du port de Nice fait le point. Le conseil général a en effet présenté hier le nouveau protocole établi avec le concessionnaire du port (la CCI Nice-Côte d'Azur), et « le programme prévisionnel d'investissement » qui va avec. Tout d'abord, la poursuite de l'élargissement des trottoirs autour du bassin Lympia a été confirmée. L'hiver prochain, ce sera donc au tour des quais des Deux Emmanuel et des docks d'être réhabilités. En face, sur les quais Lunel et Papacino, les travaux devraient s'achever à la fin du mois de juillet 2010 avec un trimestre de retard.
450 places quai de la Douane
Que les automobilistes se rassurent : les places de parking supprimées par ces aménagements seront remplacées par un parking souterrain de 460 à 470 places, situé sur le quai de la Douane. Cet ouvrage devrait être livré fin 2013, après deux ans de travaux, et devrait également compenser la suppression à venir des parkings des quais inférieurs. Une centaine de places devrait aussi être aménagée sous l'actuel parking Infernet, qui lui-même serait voué à disparaître. « Au final, la capacité de stationnement sur le port aura augmenté », assure le président du conseil général, Eric Ciotti.
Ajoutés au dragage du bassin et diverses mises en conformité des installations, la facture s'élèvera à 50 millions d'euros, engagés sur cinq ans de travaux.
Jean Christophe Magnenet
Infernet, un enfer
La transformation du parking Infernet, situé au-dessus du quai éponyme apparaît plutôt complexe. Le projet de création d'un parking en souterrain de près de 500 places est abandonné. « Creuser là-dessous sans fragiliser la digue est très compliqué », confie un urbaniste. Son aménagement le semble tout autant : « construire un bâtiment à cet endroit risque de boucher la perspective sur le port, poursuit cet expert. De plus, l'esplanade est triangulaire... Difficile d'y caser quoi que ce soit. » Christian Estrosi avait évoqué l'idée d'y bâtir une piscine. « Nous avons lancé un concours de réflexion pour transformer cet espace stratégique », explique Eric Ciotti, qui veut prendre le temps et ne ferme aucune porte. « Un jour peut-être pourra-t-on installer un équipement de tourisme ou sportif ».
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http://www.nice-premium.com/actualite,42/port-de-nice-premier-coup-de-pioche-pour-le-parking-de-la-douane,9133.htmlPort de Nice : premier coup de pioche pour le parking de la Douane 3/04/2012
Le Parking de la Douane est certainement un équipement très attendu par les uagers, les riverains et les professionnels du Port de Nice. Après les travaux d'aménagement des quais supérieurs latéraux , en prévision de la future station terminus de la ligne 2 du tramway qui arrivera quai Cassini (mise en service prévue fin 2016), cette réalisation est une nouvelle étape dans le renouveau du Port de Nice.
"En janvier 2007, le Conseil général en devient propriétaire et affirme sa volonté d’en faire un lieu de proximité, d’ouverture et de convivialité, capable de jouer un rôle prédominant au coeur de la cité" dixit Eric Ciotti, président du Conseil Général des Alpes-Maritimes.
"Cette réorganisation va permettre de créer une aire multi-activités pour le port, intégrant sa zone de pré-embarquement, le parking souterrain pour libérer les espaces extérieurs et offrir une meilleure fluidité de circulation aussi bien pour les piétons que pour les automobilistes" ajoute Bernard Kleynhoff, président de la CCI de Nice qui est la délégataire-gérante des 8 ports du département.
Pour en terminer : "Notre but est de faire du quai de la Douane un lieu de promenade intégré, agréable et sécurisé. Ce projet de réaménagement redynamisera le quartier du port en rendant sa place fonctionnelle, qualitative et symbolique à un lieu chargé d’histoire".
L’occasion pour Christian Estrosi, maire de Nice, de rappeler le rôle moteur et stratégique du Port de Nice dont l’action se développe autour de quatre activités :
- Le trafic des passagers vers la Corse ( plus de 800000 passagers et 265000 véhicules par)
- La croisière ( plus de 180 escales par an)
- La grande plaisance et la plaisance (plus de 80000 nuitées de passage, 503 places au quai dont 153 places visiterus pour des navires jusqu’à 180 mètres de longueur)
- Le trafic ciment ( premier port de France avec plus de 300000 tonnes par an)
Quelques chiffres :
l’investissement sera de 20.5 mio d’euros HT
pour 482 places de parking, réparties sur 5 niveaux en sous-sol
mise en service : début 2014
conception-réalisation : Impresa Pizzarotti (Parme, Italie)
source
http://www.20minutes.fr/nice/606421-nice-retour-travaux-port-niceRetour des travaux sur le port de nice: 8 octobre 2010.
La deuxième phase des travaux de rénovation du port de Nice est lancée. Après le côté Ouest du bassin Lympia, c'est le quai Est, des Deux Emmanuels qui entre en chantier. Sur les voies latérales supérieures, le long des façades des bâtiments, les trottoirs seront agrandis pour permettre une meilleure circulation des piétons et faciliter l'implantation des terrasses des bars et restaurants qui longent ce quai. Ces travaux devraient théoriquement être achevés pour le retour du printemps, en avril prochain.
drapeau nissart