Liens sur les Orchidées sauvages, botaniques ou hybrides

Orchidées, phalaenopsis botaniques et hybrides primaires (Alain Brochard)
Phalaenopsis
source http://www.phals.net/Liens/Liens_Perso.html
Vous allez pouvoir découvrir dans ce site une toute petite partie de la famille des Orchidées : les Phalaenopsis. Ce genre est constitué d'une soixantaine d'espèces aux fleurs de couleurs et formes diverses. Le but de ce site est de faire partager une passion et de rassembler le plus d'information possible sur ces plantes.

Phalaenopsis equestris.Un de mes phalaenopsis préféré est le Phalaenopsis equestris. Le Phalaenopsis equestris est une plante très florifère qui produit des tiges florales multiples. Pour cette raison c'est l'une des espèces les plus utilisées pour l'hybridation des Phalaenopsis. A l'origine, ce site lui était entièrement dédié, c'est pourquoi aujourd'hui encore les pages qui lui sont consacrées sont les plus complètes.

Ce site est loin d'être complet. Un nombre important de photos manque aujourd'hui. Si vous avez des photos de Phalaenopsis botanique et/ou de Phalaenopsis hybride primaire que vous souhaitez partager, écrivez moi : j'apprécierai toute aide pour le développement du site. Attention : à cause du spam, l'adresse email ci-dessus est fausse, pour me contacter il vous faut en retirer le premier point qui s'y trouve !

Avertissement : le pouvoir de fascination des ces plantes est tel que si vous n'y prenez garde, vous aurez bientôt des dizaines de celles-ci chez vous...

source http://orchidorama.free.fr/ACCUEIL2.htm
Ce site, destiné à la publication de photos d'orchidées, est mis à jour au fur et à mesure des floraisons dans nos serres.

BONNE VISITE !

Je rajoute quelques liens trouvés sur mon ordi, il se peut qu'il y ait des doublons

http://www.flickriver.com/photos/nurelias/tags/miltonia/

http://www.stenasa.se/bildarkiv/orkide/index.htm



Site très bien fait avec des explications sur le nom des parties de la fleur, sur la reproduction et beaucoup d'autres choses
http://www.tropi-qualite.fr/?page_id=32

Un pas à pas en photos  sur Comment favoriser l’apparition et le développement des racines sur un keiki
source http://www.tropi-qualite.fr/?p=3310



Culture des Cymbidiums
http://lalam.pagesperso-orange.fr/culture/culture_cymbi.htm
http://www.lorchidee.fr/cymbidium.html
http://www.lesorb.com/index.php?option=com_content&view=article&id=46&1c53156ab736933e659067270476e12d=5785fb6ffb89652440196b93fa42d0ec



Forum que j'ai longtemps fréquenté
http://www.forum-jardins.com/f5-orchidees-public

jardinaute qui partage ses conseils
http://www.orchidees-jani.com/

Rempoter ses Orchidées: vidéo Patrick Mioulane nous donne ses conseils
https://www.youtube.com/results?search_query=rempotage+cymbidium+

Rempotage
http://www.aujardin.info/fiches/orchidees-rempotage.php

Soins pour orchidées en pots
http://www.rustica.fr/articles-jardin/fleurs/quels-soins-pour-orchidee,3663.html



source http://gardenbreizh.org/forum/viewtopic-8376-14-culture-des-orchidees.html
-une expérience réalisée par un membre de mon club orchidophile sur des masdevallias a abouti a la conclusion suivante : les orchidées aiment être cultivée a l'étroit mais dans des pots profonds. pour se faire il a emboité 2 pots pour faire une belle profondeur. les masdevallias cultivées ainsi, sont le double des autres cultivées en pot normal.
joce62

-bonsoir
j'ai connu une personne qui les cultivait sur un faut tronc,c.a.d. qu'il prenait du grillage et le formait en forme de tronc le remplissait de sphaigne et mettait un goutte a goutte au dessus pour l'arrosage,epose dans une veranda aux alentours de brest(29),il fixait dessus ses masdevallias et je peux vous dire qu'elles etaient belles
a+
hylatiti

-Pourtant, les Masdevallia n'ont pas de longues racines !
D'ailleurs, elles croissent généralement en épiphyte, donc dans un substrat de faible profondeur.
Personnellement, je les cultive "normalement", et j'ai de bons résultats.
ADAM Yves,

ça ne coute rien d'essayer !
perso, j'ai remarqué que mes orchidées les plus belles et les plus stables sont en fait dans des pots profonds. les petits pots manquent d'équilibre, s'asséche plus vite....
au fait parfois des personnes ont des déboires avec les billes d'argile car mine de rien elles peuvent être trés alkalines. solution les laver dans de l'eau additionnée d'un peu de vinaigre blanc avant utilisation, et ne pas hésiter a les rincer plusieurs fois.
amitiès
joce62



Hydro-culture
http://pagesperso-orange.fr/lalam/orchigazette/hydroculture.htm
l’hydro-culture (suite)
http://pagesperso-orange.fr/lalam/orchigazette/hydroculture2.htm



La culture des orchidées chez soi
http://jfplet.free.fr/La%20culture%20des%20orchidees%20chez%20soi.htm

http://orchfuture.free.fr/
http://orchfuture.free.fr/orchpages/index.html

http://www.planet-orchid.net/

http://passionorchid.e-monsite.com/

http://orchidee-passion-forum.xooit.com/index.php

Société française d'orchidophilie
http://www.sfo-asso.com/

Société française d'Orchidophilie Lorraine-Alsace
https://sfola.fr/?option=com_content&view=article&id=55%3Aculture-des-orchidees-hybrides&catid=15&Itemid=112

SFO-PCV Société Française d'Orchidophilie de Poitou-Charentes et Vendée
http://www.orchidee-poitou-charentes.org/article582.html



Les conseils des pro des orchidées
http://www.entretien-orchidee.fr/entretien/

http://www.entretien-orchidee.fr/especes/orchidee-dendrobium/

https://www.alsagarden.com/blog/entretien-dune-orchidee-ce-que-vous-devez-savoir/



Maladies et parasites
http://orchfuture.free.fr/orchpages/maladies.html

http://cyberpassions.over-blog.com/article-1552526.html



moteurs de recherche
http://www.orchidwire.com/Earth/1/France.html?v=147

http://www.phals.net/Liens/Liens_Perso.html



http://musgoverde.blogspot.com/
José MM Santos
Auteur du livre "La passion des orchidées" et président du Orchid Club of Portugal.
Après 13 ans de blogging dans le blogspot, il était temps d'avoir un de mes espaces, avec mon nom.
Ainsi, j'informe tous mes lecteurs, suiveurs et autres amis que ce BLOG a été transféré sur le domaine
http://www.josemmsantos.com où ils auront à la fois ce qui se cache derrière de nombreuses nouvelles et de nouvelles mises à jour.



Les orchidophiles réunis de Belgique
http://www.lesorb.com/

Société des orchidophiles du Marynland
http://marylandorchids.org/photos.html

Les orchidophiles du Québec
http://orchidophilesdequebec.ca/orchidophiles-de-quebec/

de Montréal
http://orchidophilesmontreal.ca/

http://www.jardiner-malin.fr/fiche/orchidee-phalaenopsis.html

http://www.tropi-qualite.fr/?tag=culture-phalaenopsis

http://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/orchidee-phalaenopsis-trucs-astuces,1108.html
Faire refleurir une orchidée
http://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/fp_orchidee_refleurir.php3



http://leparadisdesorchidees.com/index.cfm?fuseaction=fiches.phalaenopsis

http://dwaittaleb.free.fr/dwaittaleb/MesOrchidees2.htm

faire refleurir une orchidée
http://mag.plantes-et-jardins.com/conseils-de-jardinage/fiches-conseils/faire-refleurir-une-orchidee

http://www.adrianemleblog.fr/conserver-et-entretenir-une-orchidee-temperature-arrosage-lumiere%E2%80%A6/

http://www.blog-lorchidee.fr/?p=509

http://bbiais.free.fr/srnbb/index.php?/categories/2-Culture-in-vitro



4 modes de culture pour mes phalaenopsis
http://paleo-orchid.over-blog.com/article-5360866.html

http://www.jardin-relax.fr/phalaenopsis-p563.html

http://forum-orchidees-nature.xooit.fr/t205-les-bromeliaces.htm

Culture du Paphiopedilum
source http://www.forum-jardins.com/t18086-paphiopedilum-calcifuge-ou-calcicole
Attention tous les paph n'aiment pas le calcaire.
Voici une liste qui vous indique si l'espèce est calcicole ou calcifuge.
En plus et ne figurant pas sur la liste Paph. pinoccio qui est calcifuge.

http://www.planet-orchid.net/orchidee-paphiopedilum

Conseils d'une amie

Citation :

Avec ma petite expérience voila ce que je fais:
Les pots tels qu'on les achète, je les mets sur un tapis de billes d'argile remplie d'eau de pluie mélangée a une toute petite dose d'engrais spécial orchidées, l'eau ne dépasse pas l'argile, mais les racines doivent toucher.
Et chez moi elles fleurissent et refleurissent.
Pas de bain, pas de douche.
Faut pas se compliquer la vie,

Conseil d'un jardinaute éclairé qui fréquentait mon ancien forum
C'est une habitude à prendre : il faut TOUJOURS rempoter les orchidées qui viennent d'être achetées, d'où qu'elle viennent.
C'est d'autant plus vrai que les plantes viennent de la grande distribution où seul le critère de rentabilité compte.
La qualité est secondaire. Il faut vendre, et si ça crève rapidement tant mieux ça fait tourner les stocks plus vite...

Le rempotage rapide et systématique permet de se rendre compte de l'état des racines et du substrat, et évite les mauvaises surprises.
Rempoter une orchidée en fleur ne pause pas de problème si c'est fait avec précaution pour ne pas trop stresser la plante.

Le rempotage permet également de mettre la plante dans un substrat que l'on connait et dont on maîtrise l'arrosage.

Il faut reprendre les arrosages au rythme normal et bien arroser quand la plante commence à avoir soif, sans attendre.
On peut également remettre de l'engrais à la dose normale. Il faut bien que la plante se remette du stress du rempotage et non la stresser encore plus en la sevrant d'eau ou d'éléments nutritifs.  

Après il faut un bon arrosage une fois par semaine qui permet à la plante de se recharger en eau que de pulvériser le dessus du substrat.



Culture des orchidées: rempotage, arrosage et engrais
Comment faire refleurir une Orchidée
source:  http://www.jardinsuspendus.com/
 les renseignements ci dessous viennent de l'ancien site qui n'est plus consultable

Une orchidée vit dans la nature plusieurs années, dépassant lorsque les conditions sont favorables sans problème l'âge de dix ou quinze ans... En appartement ou en serre cette durée de vie peut être considérablement raccourcie (2 ou 3 ans) si les soins que vous apportez à vos plantes sont mal adaptés.

De manière générale, attendez que votre plante soit défleurie avant de pratiquer toute intervention.

Le rempotage
Tous les ans, après la floraison, dans un pot légèrement plus grand, rempoter dans un mélange d'écorces de pin, écorces de coco, billes d'argiles, mousse de polyuréthane, charbon de bois :
- Enlever les restes de vieux compost, à ne pas réutiliser.
- Couper les racines mortes, abimées ou molles.
- Cautériser à l'aide de poudre de cannelle rouge.
- Ne pas enterrer les racines aériennes.
- Arroser à l'eau pure une fois par semaine et pratiquer régulièrement une vaporisation foliaire.
- Effectuer un traitement fongicide.

Attention aux substrats généralement vendus en jardinerie ou en grande surface :  
 la plupart des mélanges spéciaux « orchidées » sont fabriqués à partir de tourbe de coco qui se compacte rapidement ce qui a pour effet d'entraîner la moisissure des racines de vos plantes et leur mort certaine.
Attention au sphagnum de mauvaise qualité qui ne supportent pas l'engrais.  

Désinfection des instruments
Utiliser de préférence des pots en plastique et ne jamais les réutiliser.

Désinfecter vos outils, ciseaux, sécateurs, vaporisateurs, sous-pots à l'aide d'une flamme ou d'eau de javel pure que vous rincerez abondamment ensuite.
Vous pouvez également utiliser de l'eau oxygénée.

Bouturer une orchidée
Il est relativement facile de bouturer les bulbes et pseudo-bulbes en serre chauffante dans de la sphaigne humide avec un kit fluo 2 X 55 W ou près d'une fenêtre orientée au sud.

Au moment du rempotage, séparer des touffes de deux à trois bulbes minimum en coupant à l'aide d'une lame désinfectée.

Cautériser la plaie à l'aide de poudre de cannelle rouge (l'un des meilleurs désinfectants bio qui soit !)

Ne jamais
  Arroser trop abondamment si le drainage du pot est insuffisant.
Tailler, manipuler ou rempoter une orchidée en fleur sous peine de voir tous les boutons floraux mourir puis tomber.
Utiliser d'eau du robinet, d'eau déminéralisée (trop de sel), d'eau distillée ou d'eau osmosée pure.
Utiliser de produit phytosanitaire à base de paraffine ou d'huile de neem qui pourraient asphyxier et tuer vos plantes.
Réutiliser le compost ou les pots qui ont déjà servi et qui pourraient transmettre agents pathogènes, moisissures et insectes.

source http://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/orchidee-engrais-fertilisation.php3
Fertilisation des orchidées
Les orchidées sont résistantes et peu exigeantes. Pour preuve, elles peuvent vivre et fleurir sans apport d'engrais pendant plusieurs années pour les plus résistantes d'entre elles. Mais si vous souhaitez une floraison régulière et abondante, autant suivre ces conseils de fertilisation.

Principe général
La majeure partie des orchidées (phalaenopsis, cattleya, cambrias...) est vendue dans des contenants en plastique remplis d'un substrat aéré à base d'écorces de pin. Bien adapté à leur développement, il ne contient cependant quasiment aucun élément nutritif. Aussi les applications d'engrais doivent elles être régulières tout au long de l'année.

Complétés par une exposition lumineuse appropriée, ces apports suffiront à assurer de généreuses et durables floraisons.

Une fertilisation toutes les 2 semaines constitue un bon rythme : un arrosage (ou un bain) à l'eau claire une semaine, un arrosage à l'eau claire suivi immédiatement d'un arrosage enrichi en engrais la semaine suivante. Le premier de ces 2 arrosage permet une meilleure absorption des nutriments pas la plante.
Rappel sur l'arrosage

La plupart des orchidées sont dites épiphytes. Cela signifie qu'elles poussent hors sol, en se servant d'autres plantes comme support. Dans la nature, elles absorbent l'humidité de l'air pour subvenir à leurs besoins. Aussi, l'arrosage doit être mesuré.

A la température moyenne de 20°C, un arrosage hebdomadaire semble raisonnable.

Pas de fleurs ?
Si votre orchidée produit quantité de belles pousses, mais pas de fleurs, stoppez vos apports d'engrais et donnez lui davantage de lumière ainsi, idéalement, que davantage de fraîcheur. Dans une maison ou un appartement ce n'est pas toujours simple. Une table placée juste derrière une fenêtre sans soleil direct peu convenir.

L'eau devra être aussi pure que pauvre en calcaire. Pourquoi ne pas récupérer l'eau de pluie pour ce faire ? Versez toujours une eau à température ambiante pour éviter de choquer la plante.

Quel type d'engrais ?
Observez la plante.
Lorsqu'elle développe son feuillage (voyez l'apparition de nouvelles feuilles bien vertes et vernisées), aidez-la avec un engrais bien azoté, type N.P.K. 10.10.10 ou 20.20.20. Les engrais pour gazon (20.10.10) conviennent parfaitement à la plupart des besoins !

Lorsque votre orchidée émet une tige florale, ou au contraire si vous souhaitez une nouvelle émission, stimulez la plante avec un engrais appauvri en azote et renforcé en potassium (6.12.18, par exemple).

A noter : les engrais du commerce spécial orchidées sont souvent peu satisfaisant car faiblement ou mal dosés. Ainsi, un engrais typique 4.6.6 est un peu faible en azote pour le courant, et pas assez dosé pour soutenir une floraison. A éviter donc, vu que le prix est inversement proportionnel !

Les cymbidiums
Les cymbidiums sont ces orchidées majestueuses, plus volumineuses que la moyenne, qui produisent ces longues et multiples tiges couvertes de fleurs cireuses disposées en grappes.

Elles présentent la particularité d'être plutôt gourmandes en engrais, et pour elles on divise plutôt l'année en 2 (ou 3) phases.
* phase de croissance : grosso-modo au printemps. La plante prépare ses nouvelles pousses. L'engrais équilibré plantes vertes (10.10.10) s'avère bien adapté. Surveillez la croissance des nouvelles feuilles. Lorsque leur taille atteint celle des "anciennes", cessez vos apports : il ne faudrait pas que la plante de fasse que produire du vert !
   * la phase intermédiaire, de repos, peut être utile. Pendant quelques semaines, laissez la plante reprendre son souffle
   * reprenez ensuite les apports avec un engrais stimulant l'apparition des tiges florales. 2 ou 3 mois de fertilisation s'avèrent nécessaires pour obtenir une belle floraison. Ainsi, faites ces apports à partir de septembre si votre cymbidium fleurit en fin d'année, à partir de janvier s'il fleurit au printemps. Cessez vos apports à l'ouverture des fleurs.



voir aussi les conseils de culture sur ces deux sites connus et reconnus
http://www.forums-orchidees.fr/

http://www.planet-orchid.net/



source: http://www.entretien-orchidee.fr/entretien/
Il faut utiliser les engrais classiques, et diviser la quantité d’engrais par 4 pour éviter toute souffrance à la plante. Attention lors de l’arrosage des feuilles : il ne doit pas rester d’eau à la base des feuilles, sans quoi la base de la feuille risque de mourir.



source http://www.orchidee-lecoufle.com/culture-engrais-orchidee.asp
Les orchidées étant cultivées sur un substrat pauvre, il est indispensable de faire un apport régulier d'engrais afin que la plante pousse et fleurisse normalement. D'un point de vue général les orchidées tolèrent mal les engrais fortement dosés auxquels il faut préférer les engrais faiblement dosés que l'on donnera régulièrement au rythme de un arrosage sur deux ou sur trois.
  -   La veille de l'apport d'engrais, faire un léger arrosage à l'eau claire.
  -   Chaque apport d'engrais doit être suivi par au moins 1 ou 2 arrosages à l'eau claire.
  -   Ne pas donner d'engrais pendant les éventuelles période de repos.
  -   Attendre 3 semaines après un rempotage avant de reprendre les apports d'engrais.



Ici aussi vous pouvez trouver des conseils
http://jardins-interieurs.forumactif.com/forum-consacre-aux-orchidees-f5/

Lors d'une émission vue il y a quelques années, je n'ai absolument pas entendu parler ni d'engrais, ni de brumisation mais d'un bain quotidien de 10 à 15mn pour que les racines puissent absorber l'eau nécessaire à leur développement.

De plus, sur les images des serres de l'assemblée nationale, je n'ai point vu d'écorces de pins ou autres mélanges mais des coques de cacao sur la table de rempotage

La photo ci dessus vient de ce site
http://www.hellopro.fr/protection-des-sols-agricoles-2009004-fr-1-feuille.html

Dans l'entreprise thailandaises ils rempotent les boutures avec de la fibre de coco.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fibre_de_coco

J'ai pu voir que les Wandas coerulae cultivées dans une serre suisse étaient accrochées sur des tuiles ou simplement posées sur de grosses et larges poteries.
Et que l'ethnobotaniste qui y travaille et qui se rend régulièrement en Thailande pour le compte du parfumeur Guerlain, en a découvert une sauvage agée de 102 ans.
Dans la nature la plante fait 2 feuilles par an, alors il ne reste plus qu'à compter le nombre de marques laissées par les feuilles qui sont tombées.

Combattre les cochenilles farineuses
source https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/orchidee-parasites-traitement,1260.html
Des cochenilles sur mes orchidées ?
La cochenille : voilà un parasite fréquent chez les orchidées ! Qu'il s'agisse de cochenilles farineuses (semblables à de petits amas cotonneux) ou carapaçonnées (recouvertes d'un bouclier cireux), ces  insectes mesurent entre 1 et 5 mm de long (carapace comprise) et s'installent au revers ou à l'aisselle des feuilles ou des fleurs, où ils piquent les tissus afin de se nourrir de la sève de la plante. Les cochenilles femelles sont quasiment immobiles (ou du moins se déplacent très lentement) et on les repère assez facilement : ce sont elles qui colonisent les plantes... et pondent les oeufs !

Si quelques cochenilles ne présentent pas un grand danger pour une orchidée, en revanche, une infestation importante peut considérablement affaiblir la plante, mieux vaut donc intervenir sans attendre, d'autant que les cochenilles peuvent se multiplier rapidement, et qu'une plante a vite fait de contaminer ses congénères. Elles rendent également les feuilles poisseuses en sécrétant un miellat riche en sucres (sève incomplètement digérée).

Lorsque les cochenilles sont peu nombreuses, le plus simple est encore de les éliminer à la main (on les écrase avec un coton-tige imbibé d'alcool à 90°). En cas d'attaque importante, vaporisez une solution aqueuse de savon noir additionnée d'1% d'alcool à brûler.

Gare aux aleurodes !
Les aleurodes, ou mouches blanches, sont de petits insectes reconnaissables à leurs ailes blanches et à leur petite taille (quelques millimètres). Installées sur les feuilles (ou au revers de celles-ci), elles s'envolent dès qu'elles sont dérangées (en tout cas les adultes ; les larves, elles, sont dépourvues d'ailes). Elles appartiennent à la même famille que les pucerons et piquent les feuilles des orchidées afin d'en sucer la sève.

Elles affaiblissent les plantes et, comme les cochenilles, sécrètent un miellat collant favorisant le développement de fumagine ou de bactéries. Les aleurodes apprécient les ambiances chaudes et sèches, raison pour laquelle on peut les rencontrer en intérieur.

Les pulvérisations de savon noir ou de purin d'ortie sont des moyens de lutte assez efficaces. On peut aussi poser des pièges (cartons jaunes et collants).

Araignées rouges : discrètes mais redoutables
Acarien, tétranyque tisserand, araignée rouge : ces dénominations variées désignent des parasites redoutables pour de nombreuses plantes d'intérieur et de serre. On peut rencontrer des araignées rouges chez les orchidées, notamment chez les espèces à feuilles fines.

Ces acariens de couleur brune, rouge, jaune ou verte sont microscopiques (moins de 1 mm) et ils se voient difficilement à l'oeil nu. En revanche, les très fines toiles qu'ils tissent autour des feuilles et des tiges, semblables à des voiles, sont plus aisément repérables, surtout après une brumisation, et très caractéristiques. Approchez-vous, ou munissez-vous d'une loupe : vous verrez ces minuscules bestioles s'activer le long des toiles... Pas de doute, les araignées rouges ont élu domicile sur votre orchidée !

Les feuilles paraissent d'abord piquetées, puis elles deviennent grisâtres, avant de sécher et de tomber. Si l'on intervient pas, la plante peut être détruite en quelques semaines, surtout lorsqu'il fait chaud. Il est cependant facile de décourager ces indésirables : les araignées rouges détestent l'eau, on les déloge donc facilement avec des brumisations régulières du feuillage ; le maintien d'une ambiance humide (lire : Brumiser les plantes d'intérieur) suffit généralement à prévenir les attaques.

Autres parasites : les thrips
Les thrips sont de petits insectes piqueurs au corps très allongé, de couleur brune ou noire, longs de 1 à 2 mm, et qui volent peu (adultes) ou pas du tout (les larves sont aptères). Ils se déplacent sur la plante, parfois très rapidement.

Ils sont responsables de petites ponctuations grisâtres sur les jeunes feuilles, ou de taches liégeuses plus étendues.

On en vient à bout avec des pulvérisations de solution de savon noir (ou d'eau, tout simplement : les thrips n'aiment pas l'humidité), d'huile de neem ou la pose de pièges collants.

Et en extérieur...
Les orchidées installées en extérieur durant la belle saison pourront également être la proie des pucerons (déformation et affaiblissement des jeunes pousses), des cicadelles (taches et perforations du feuillage, écoulements de sève) ainsi que des limaces et des escargots (feuillage "grignoté"... notamment pendant la nuit !). Certaines chenilles peuvent aussi s'attaquer à vos protégées : dans ce cas, les retirer à la main est la meilleure solution (économique, écologique, et... efficace).

>> Lire : Orchidées pour l'extérieur
https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/orchidee-exterieur-jardin,1786.html

Parasites... vecteurs de maladies !
On dit souvent qu'un malheur n'arrive jamais seul. Hélas ! Les parasites, et notamment les insectes piqueurs-suceurs tels que ceux que nous venons de citer, peuvent être responsables de la transmission de virus et de bactéries pathogènes, dangereux pour les orchidées. Après avoir piqué une plante malade, ils contaminent la plante suivante... Voilà donc des bestioles doublement indésirables, dont les attaques sont à surveiller et à traiter.

>> Lire aussi : Maladies des orchidées
https://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/orchidee-maladie-traitement,1263.html



source http://bernard.lagrelle.pagesperso-orange.fr/AA%20culture/culture/parasites/cochenilles.html
Le problème quasi incontournable des cochenilles farineuses finit toujours par rattraper le plus scrupuleux des cultivateurs d'orchidées qui se retrouve généralement assez désemparé devant ces parasites insidieux. Les solutions proposées par la littérature se révèlent la plupart du temps très insuffisantes.
Les cochenilles farineuses peuvent provoquer des dégâts en suçant le contenu des cellules. On peut les observer au revers du feuillage, surtout chez des plantes présentant déjà des signes de faiblesses. Inaperçue dans les premiers temps, leur présence est révélée par une tache chlorotique jaunâtre sur la face visible de la feuille lorsque les attaques sont plus prononcées.

Contrairement à d'autres espèces, elles n'ont pas de couverture cornée et le dernier stade nymphale ainsi que le stade adulte sont mobiles. Leur nom provient du fait que le corps de la femelle se couvre d'une substance cireuse blanche sous forme de poudre, d'épines ou de fils, à partir du troisième stade larvaire. Les mâles sont beaucoup plus petits que les femelles et ne mesurent pas plus de 1 mm. Ils sont ailés et ne se nourrissent pas, étant dépourvus d'organes buccaux. Les espèces les plus répandues sont les Pseudococcus longispinus, microcirculus et adonidum.

Les cochenilles vont se loger dans les espaces les plus incongrus. On peut en trouver sur toutes les parties de la plante, y compris la fleur et les racines, mais aussi dans le milieu de culture, voire sous le pot.

Les remèdes traditionnels, badigeonnage au pinceau d'un mélange alcool à brûler + eau ou d'un mélange eau + savon liquide sont réservés aux collectionneurs qui n'ont qu'une faible quantité de plantes à traiter. Ils sont relativement efficaces.

Une préparation simple à base de d'huile de cuisine et de liquide vaisselle mélangés pour part égale et utilisé en pulvérisation à la dose d'une cuillère à café pour une tasse d'eau donne de bons résultats, de même qu'une cuillère à café de savon noir pour 1,5 litres d'eau. La cuticule des insectes est hydrophobe. Le savon ou le liquide vaisselle rendent poreuse cette protection.

Les produits de traitement du commerce se révélent pour la plupart inopérants. Néanmoins, certains ont une action convenable. Si l'on doit se résoudre à y recourir, il faut distinguer :


     Les produits huileux en association avec un insecticide, inapplicables dans un intérieur en raison de leur forte toxicité, sont les remèdes les plus efficaces. Les huiles ont la propriété de détruire même les oeufs, alors que les autres produits ne sont efficaces que contre les larves ou les adultes. On trouve quelquefois dans le commerce un produit tout préparé, mélange d'huile et de parathion (Pacol) qui est très toxique, mais qui élimine toutes les cochenilles en une seule application.
      Les insecticides de contact du commerce n'ont qu'une faible efficacité. Il faut les utiliser 3 fois à 15 jours d'intervalle pour un résultat correct, car ils ne sont actifs que sur un seul stade, larve ou adulte, jamais sur les oeufs. Attention, la plupart de ces produits ne sont pas utilisables dans les conditions normales d'un intérieur en raison de leur forte toxicité.

      Les produits "systémiques" qui pénètrent dans la plante de type imidaclopride (Confidor) ne sont réellement efficaces que si on les utilise préventivement, ou dès le début de l'attaque, car leur action de choc (par contact ou par inhalation) sur les cochenilles n'est pas garantie à 100%. Ils peuvent être également extrêmement toxiques pour l'homme , les poissons etc....

     Certains produits dits systémiques ne sont en fait que translaminaires. C'est à dire qu'ils traversent l'épiderme de la feuille mais ne circulent pas dans la sève. Ils n'agissent donc qu'à l'emplacement traité.Les vrais systémiques sont endothérapiques. Ils circulent dans la sève qui alimente toutes les cellules.

Usage des pesticides
Tout produit phytosanitaire doit comporter une étiquette ou une inscription comprenant le nom et la classification toxicologique de la substance, une phrase de risque précisant la nature du risque encouru, et des conseils de prudence.

Une longue et rigoureuse expérimentation est nécessaire avant qu'un produit ne soit homologué. Malgré cela, il est impossible de prévoir toutes les conséquences d'une utilisation prolongée sur des êtres vivants. Plusieurs précautions indispensables doivent être respectées impérativement, notamment en ce qui concerne le stockage et la manipulation des produits.

     Il faut éviter de transvaser les produits et les conserver dans leur emballage d'origine, dans des locaux fermés à clef, à l'écart de tout aliment. Ces locaux doivent être frais et ventilés pour éviter l'accumulation de vapeurs. Ils doivent être protégés du gel pour éviter la détérioration des produits. La décision de traiter étant prise, il faut lire attentivement l'étiquette et respecter scrupuleusement les indications, doses, précautions d'emploi conseillés. Ne préparer que la quantité de produit indispensable. Plusieurs règles d'hygiène doivent être suivies. Le port de gants en caoutchouc et d'un masque est souvent recommandé. En cas de contact de produit avec la peau ou les yeux, il faut effectuer un rinçage immédiat et prolongé. En cas d'absorption de produit, alerter les secours d'urgence, téléphoner au centre anti poison le plus proche.

     Pour mieux connaître la toxicologie des produits agricoles, il existe un code Minitel, le 3617 agritox.

     Les pesticides peuvent en cas de mauvaise utilisation provoquer divers dégâts allant de la simple brûlure à l'extrémité du feuillage à la mort de la plante. Des déformations des feuilles, des chloroses peuvent également se manifester. Plusieurs précautions doivent impérativement accompagner les traitements phytosanitaires. Il faut éviter de traiter des plantes stressées, récemment rempotées, sèches, ou lors des fortes chaleurs. Pensez à maintenir une humidité normale après une fumigation. La sécheresse de l'atmosphère est un facteur favorisant l'agressivité de certaines spécialités. Si dans certains cas les mélanges de produits sont inoffensifs, il n'en est pas toujours de même.

     Pour une bonne efficacité des pesticides, il faut alterner régulièrement les familles de produits de façon à éviter les phénomènes d'accoutumance qui rendent ces produits totalement inefficaces.

     Les aérosols sont normalement inoffensifs pour les plantes si l'on respecte leurs conditions d'emploi et, en particulier, la distance minimale à maintenir entre la plante et le gicleur. Les dégâts occasionnés le sont plus souvent par le gaz de propulsion que par le produit traitant.



source https://kev-orchis.skyrock.com/3053520973-Les-cochenilles.html
Les ennemis des orchidées
Comme toutes les plantes les orchidées peuvent être victimes de nombreux insectes et maladies.
Si la présence isolée de quelques taches ou cochenille n'est pas dramatique en soi et sera vite jugulée, la prolifération de ces nuisibles est par contre plus problématique.
Elle est souvent la conséquence d'erreurs ou de mauvaises conditions de culture.
N'oubliez jamais qu'une plante forte est tout à fait en mesure de se défendre contre ses ennemis.

Ses feuilles seront coriaces, amères voir toxiques ce qui encouragera les grignoteurs et autres champignons à aller voir ailleurs.
Le meilleur des traitements est donc ici encore la prévention : cultivez vos plantes au mieux, donnez leur du soleil à profusion et des températures adaptées, arrosez de façon intelligente, ventilez vos espaces de culture et ne les gavez pas vos orchidées d'engrais (la fertilisation doit être douce mais continue).
Elles feront le reste elles mêmes.
Mais même avec des plantes fortes, on est jamais à l'abris d'un petit accident, d'une plante un peu moins costaud qui sera porteuse de locataires ou d'une maladie.
L'important est alors d'observer ses plantes attentivement pour pouvoir intervenir dès le début du problème.
Attention ne jamais effectuer ces traitements en plein soleil et toujours sur des plantes au substrat humide.
Egalement ne pas traiter à l' aveugle et toujours respecter la notice des produits.

Les cochenilles
Sur les orchidées on rencontre essentiellement 2 sortes de cochenilles : les farineuses (photo internet ) et les caparaçonnées.
Elles sont recouvertes pour les unes de laine blanche et l'autre d'un bouclier brun et mesurent environ 1 à 2 mm de long.
On les trouve souvent sous les feuilles ou à leur aisselle.
Les femelles passent une grande partie de leur vie fixées et immobiles (d'où leur nom de poux collants) à sucer la sève des plantes.

Traitements
1)Si elles sont peu nombreuses
un coton-tige imbibé d'alcool à brûler et d'eau suffit pour les retirer.
La décoction de Cannelle en vaporisation est aussi très efficace: elle agit par contact, il faut donc bien vaporiser partout et renouveler l'opération tous les 3-4 jours jusqu'à disparition complète des intrus.
Dans le cas des cochenilles a carapaces, la décoction de cannelle les tue mais la carapace reste en place.
On peut si on le souhaite la décrocher avec le bout de l'ongle quelques jours plus tard.

Recette de la décoction de cannelle : ca marche pour tout !
Placer une cuillère à soupe bien pleine de cannelle en poudre dans un sachet à thé (vendu à coté des filtres à café) le tout fermé avec longue ficelle.
Rentrer le sachet dans un brumisateur en laissant dépasser la ficelle et rajouter 500ml (1/2 l) d'alcool à friction (70%*).
Attendre 24h en agitant si on y pense et garder le pulvérisateur toujours à portée de mains: c'est anti-fongique, insecticide et acaricide (par contact) et même anti-bactérien.

En plus ça sent bon alors à utiliser sans modération sur toute tache ou insecte suspect (mais pas sur une plante déshydratée ni en plein cagnard bien sur !!!
Attention tout de même de ne pas employer sur les fleurs et boutons que cela fait faner prématurément.
Il peut également y avoir des problèmes avec certaines orchidées au feuillage très fin : dans ce cas faire un essai localisé avant pour être sur que la plante réagit bien.

* L'alcool 70% disponible en France est modifié par l'ajout de camphre, certains l'ont essayé pour préparer la décoction sans contre-indication apparente.
Si vous préférez néanmoins ne pas prendre de risque on peut se procurer de l'alcool à 90% sans méthanol et non modifié en pharmacie mais on ne peut pas en acheter plus de 25 cl à la fois sauf si on a une ordonnance.
Il faudra donc faire 2 pharmacies pour obtenir les 500 ml d'alcool 90% nécessaires, ensuite mélanger 470 grammes d'alcool 90% + 110 grammes d'eau pour obtenir 1/2 litre d'alcool 70%

Je viens de trouver ces explications
source http://orchidees.jimdo.com/guide-de-culture-des-orchid%C3%A9es/conseils-g%C3%A9n%C3%A9raux/

Epiphyte, épilithe, terrestre ?
La majorité des orchidées tropicales sont épiphytes, ce qui signifie qu’elles poussent accrochées sur les troncs ou les branches d’arbres.

Ce ne sont pas des parasites (comme le gui par exemple) : elles ne puisent pas la sève de l’arbre pour se nourrir, l’arbre ne lui sert que de support.

Elles captent les micro-éléments accumulés dans les cavités de l’écorce, mais aussi l’humidité de l’air et profitent du ruissellement de l'eau de pluie.

Certaines orchidées vivent sur les rochers : ce sont les épilithes.

Les terrestres sont des orchidées qui se développent dans le sol, comme les autres plantes, mais les racines restent près de la surface dans un humus léger.

Keiki:
Certaines orchidées monopodiales ( les Phalænopsis, Doritis,...), ainsi que les orchidées sympodiales (comme les Dendrobium, les Epidendrum,..) peuvent faire des keikis.

Les keikis sont de nouvelles plantes, identiques au pied mère : tout commence par la formation de petites feuilles,  puis de racines...

Prélevez les keikis, lorsque leurs racines ont atteint environs 4 cm de long, laissez cicatriser les plaies durant 48h, puis les empoter dans du compost fin 5/10, dans un pot plastique, selon l’envergure de la couronne de racines.

Quels pots choisir ?
Lorsque vous choisissez un pot, pour le rempotage, n’oubliez pas qu’il n’y a pas que le diamètre, mais aussi le volume de rétention d’eau, qui compte.

Il n’y a pas que le volume de compost utilisé qui importe, mais aussi le volume d’eau que la plante va pouvoir absorber après l’arrosage.

Un pot de 14 cm de diamètre va retenir plus d’eau en terme de durée, mais aussi en terme de quantitée qu’un pot de  8,5 cm de diamètre, même si le compost est différent.

Le risque que vous faites prendre à votre orchidée est le suivant :
Le sur-arrosage
ce qui en découle : maladies, parasites, pourriture,
ce qui  aura pour résultat :  la mort de l’orchidée.
 
Voici quelques exemples :
un pot de 12 cm à un volume moyen de 0,75L
un pot de 13 cm ou de 15 cm à un volume moyen de 1,2 L ou 1, 5L
un pot de 17 cm à un volume moyen de 2L

Comme vous pouvez le constater : une petite différence de diamètre provoque une variation considérable de volume.

Pots plastique ou pot en terre ?
On utilise des pots plastiques de préférence transparents, surtout pour les plantes épiphytes.

Ce sont des pots que nous proposons à la vente avec des diamètres différents :
8,5 cm ; 9 cm ; 12 cm ; 13 cm ; 15 cm ; 17 cm.
Les pots en terre cuite sont désormais peu utilisés pour la culture des orchidées.

Car, on détruit une partie du système racinaire, qui reste collé sur les parois du pot, malgré toutes les précautions prises lors du rempotage.

Avantage des pots plastique transparents:  
Ils sont intéressants pour plusieurs raisons.
On peut surveiller facilement, si la plante a besoin d’eau ou pas.
Si les racines sont bien vertes et foncées : pas besoin d’arroser.
On peut également surveiller l'état des racines et du compost.

Pourquoi le rempotage est-il nécessaire ?
Le rempotage est une opération obligatoire, sauf pour les orchidées
cultivées sur plaque ou sur bûche.

Le vieillissement du substrat (compost) ne peut lui permet plus de jouer son rôle.

L’orchidée sympodiale déborde de son pot, alors que pour la monopodiale, c’est son système racinaire qui l’étouffe : cela empêche une bonne croissance.

Le rempotage est donc indispensable, pour que la plante puisse grandir dans les meilleures conditions possibles.

Epoque de rempotage
pour des orchidées monopodiales :
le rempotage peut se faire quasiment toute l’année en évitant la période hivernale, car la reprise sera plus difficile, la croissance étant ralentie par le manque de lumière.

pour des orchidées sympodiales :
le rempotage devra se faire lorsque la végétation aura recommencée (nouvelles racines, nouvelles feuilles).

Si les nouvelles racines sont plus longues, vous risquez de les casser lors du rempotage.

On peut également surveiller l'état des racines et du compost.

Les racines cherchent moins à sortir du pot, car la luminosité est suffisante.

Comment rempoter ?
Dans un premier temps, il faut arroser la plante la veille, pour que les racines soit moins cassantes.

Puis, dépotez la plante en faisant attention de ne pas abîmer les racines.

Si la plante est dans un pot en terre, casser celui-ci lorsque les racines adhèrent aux parois.

Dans un second temps, enlever la totalité du substrat et nettoyer les racines, c'est-à-dire, couper à l’aide d’un sécateur stérilisé les racines sèches, pourries, ou en mauvais état.

Coupez la hampe florale desséchée.
Sur un Phaelaenopsis ( Doritis, Doritaenopsis,...), on peut couper la hampe au deuxième ou troisième œil en partant des feuilles, sauf pour les Phalaenosis botaniques !  

Tout dépend de l’état des racines, si elles ne sont pas très belles, couper la hampe à ras, cela évitera de fatiguer la plante.

Si vous avez plusieurs plantes à rempoter, il faut désinfecter le sécateur entre chaque orchidée avec une flamme.

Ensuite, prendre un pot plastique transparent de préférence, qui fasse 2cm de diamètre de plus que le précédent (si votre pot faisait 12 cm de diamètre, il faudra prendre un pot qui fasse 14 cm de diamètre).

Avant de mettre le compost dans le pot, il faut l’humidifier un peu.

Pour certaines orchidées, comme les Paphiopedilum, il faut y ajouter de la dolomie (calcaire).

Les racines blessées ou coupées peuvent être désinfectées avec du charbon de bois, non traité (pas celui pour les barebecues).

Remplir partiellement le pot de substrat afin que le collet de plante arrive au niveau du pot.

Pour les monopodiales, positionner la plante en son centre , en tuteurant au besoin, pour la stabiliser.

Pour  les sympodiales, mettre les anciens pseudo-bulbes contre la paroi du pot, sauf si il y a un nouveau départ végétatif, pour que les nouveaux puissent croître au milieu de celui-ci.

C’est souvent l’occasion de séparer la motte, lorsque celle-ci est imposante (si il y a coupure, il faudra laisser complètement cicatriser les plaies avant la mise en pot).

Remplir le pot de substrat en tapotant légèrement pour le faire descendre autour et entre les racines.

Appuyez sur le compost pour qu’il maintienne bien la plante et tuteurez-la si nécessaire (comme par exemple les Cattleya) .

Si, lors de cette opération, vous vous trouvez en présence de pourriture sur les racines ou de cochenilles, voici des solutions simples :

Pourriture :  
Traitement avec un fongicide (pulvérisation, trempage).

Cochenilles :  
Prenez une bouteille vide, remplissez là à moitié d’alcool à brûler, complétez-là avec de l’eau, à cette solution, ajouter le tiers du bouchon de cette bouteille de savon noir ou à défaut de produit vaisselle, pulvérisez toute la plante et même le cœur, les endroits vraiment infestés de cochenilles doivent être traités à l'aide d'un coton tige imbibé de cette solution.

Attention à ne pas pulvériser sur les fleurs, si des cochenilles s'y trouvent, retirez-les à l'aide du coton-tige.

Ce traitement se déroule sur un mois, à raison d'une fois par semaine, il peut également être utilisé en prévention.

Ceci n’est en aucun cas nocif pour la plante, c'est une méthode tout à fait naturelle.

Si malgré tout, si cela persiste, il faudra utiliser un moyen moins naturel.

Soins après rempotage:
Lorsque vous avez rempoté, vous avez coupé ou peut-être blessé les racines de votre orchidée, il est important de ne pas arroser durant 2 à 3 semaines environs, pour la cicatrisation des plaies, idem pour l’engrais, cela pour éviter tout risque de pourriture.

Pour palier au manque d’arrosage,vous devrez pulvériser la surface du substrat, ainsi que le dessous des feuilles tous les jours, le matin de préférence,  pour maintenir l’humidité, cela favorisera la croissance de la plante.

Si votre eau de pulvérisation est complémentée avec notre produit Or-Na, votre plante ne s’en portera que mieux (ce produit s'utilise aussi en foliaire).