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 JARDINER en évitant de s'empoisonner

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MessageSujet: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner EmptyDim 7 Juil 2019 - 22:43

JARDINER en évitant de s'empoisonner 889353133

Je trouve beaucoup de conseils et d'expériences en surfant sur le net, voila un post pour les réunir.

Site conseillé par Jean 06  
Pour ceux que la connaissance des produits phytosanitaires intéresserait, voiçi le site de référence du gouvernement:
https://ephy.anses.fr/

JARDINER en évitant de s'empoisonner 2844475160

Voila quelques sites ou vous trouverez des dictions sur le jardinage
Proverbes et dictons sur les mois.
http://environnement.ecole.free.fr/proverbes-dictons-mois.htm

Que ce soit un proverbe sur l'amour, un proverbe sur la vie ou un dicton populaire chinois, les proverbes ( ou les proverbs en anglais ) sont classés par pays et ...
http://www.unproverbe.com/

Dictons pour nos mois... Le dicton ou proverbe est une sentence exprimant une vérité d'expérience sous une forme imagée, généralement d'origine populaire.
http://association-des-amis-des-jardins-familiaux-de-mu.e-monsite.com/pages/proverbe-jardinier-du-mois.html

Les saints du calendrier et les dictons
http://www.saint-dicton.com/liens/

Les meilleurs dictons, maximes, proverbes utiles au jardinier ... proverbes, adages
http://www.homejardin.com/dictons_pour_le_jardinage_mois_par_mois/maximes_proverbes_adages_du_jardinier.html

Dictons et citations en rapport avec le jardinage. ... Astuces en jardinage
http://www.1er-jardin.com/-ANCIENS-DICTONS-ET-PROVERBES-

Les proverbes et les dictons accompagnent depuis toujours la vie quotidienne. Le dicton est intemporel, et ne vieillit pas,
http://secretsdejardins.e-monsite.com/pages/divers/dictons-et-proverbes.html

source http://www.princejardinier.fr/magazine/spip.php?article286
Les plus belles citations sur le jardin
- Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu’il vous faut.
Cicéron

- Les jardins sont une des formes du rêve, comme les poèmes, la musique et l’algèbre.
Hector Bianciotti

-  Un jardin, même tout petit, c’est la porte du paradis.
Marie Angel

-  Le jardin est une méditation à ciel ouvert, un secret révélé à qui le mérite.
Ghislaine Schoeller

- Dieu Tout-Puissant planta tout d’abord un jardin. Et, vraiment, c’est le plus pur des plaisirs humains.
Francis Bacon

-  Il est d’étranges soirs où les fleurs ont une âme.
Albert Samain

- Tout jardin est, d’abord l’apprentissage du temps, du temps qu’il fait, la pluie, le vent, le soleil, et le temps qui passe, le cycle des saisons.
Erik Orsenna

- Le bonheur n’est pas une plante sauvage, qui vient spontanément, comme les mauvaises herbes des jardins : c’est un fruit délicieux, qu’on ne rend tel, qu’à force de culture.
Nicolas Restif de la Bretonne

- "Il y a plus de plaisir à faire un jardin qu’à contempler le paradis."
Anne Scott-James

- "Il n’est pas pour moi d’occupation plus délicieuse que la culture de la terre ... et pas de culture comparable à celle du jardin ... Mais, bien que je sois un vieil homme, je ne suis qu’un jeune jardinier."
Thomas Jefferson

- Une ville ne vaut pas plus qu’un jardin de roses.
José Santos Chocano

-  Pour faire un jardin, il faut un morceau de terre et l’éternité.
Gilles Clément

- Nous vivons trop dans les livres et pas assez dans la nature.
Anatole France

- Le personnage que nous sommes, c’est un jardin, et notre volonté le cultive.
William Shakespeare

-  Le bout du monde et le fond du jardin contiennent la même quantité de merveilles.
Christian Bobin

- La grammaire est, après le cheval, et à côté de l’art des jardins, l’un des sports les plus agréables.
Alexandre Vialatte

- Pourquoi Dieu a-t-il fait l’homme jardinier ? C’est parce qu’il savait qu’au jardin la moitié du travail se fait à genoux.
Rudyard Kipling

-  Le jardin est la prolongation naturelle d’une conception de la vie.
Erik Orsenna

- Une seule rose peut être mon jardin... un seul ami, mon univers.
Leo Buscaglia

- Sois satisfait des fleurs, des fruits, même des feuilles, si c’est dans ton jardin à toi que tu les cueilles !
Edmond Rostand

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source http://www.princejardinier.fr/magazine/spip.php?article338
Les proverbes du mois de JANVIER
Quand il gèle en plein vent, tout se fend !

Temps de Saint-Lucien (le 8), temps de chien.

Beaux jours en janvier, mauvais temps en février.

Soleil au jour de Saint-Hilaire (le 13), rentre du bois pour ton hiver.

Janvier amasse les souches, février les brûle toutes.

Janvier de givre, année de fruits.

Prépare pour Saint-Marcel (le 16) tes graines nouvelles.

Neige à Sainte-Prisca (le 18), la belle année que voilà.

Pluie qui dure en janvier suffit pour toute l’année.

Fleur de janvier ne va pas au panier.

Janvier le frileux, février le grésilleux.

Garde-toi du printemps de janvier !

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Les proverbes du mois de FEVRIER
A la chandeleur, l’hiver meurt ou reprend vigueur.

Fleur de février ne va pas au pommier.

Le lendemain de la Saint-Blaise (le 3 février), souvent l’hiver s’apaise.

Il faut qu’à la sainte-Eugénie (le 7 février), toute semaille soit finie.

A la Saint-Valentin (le 14), la pie monte au sapin.

Février remplit les fossés, Mars vient les sécher.

Si février est chargé d’eau, le printemps n’en sera que plus beau.

Neige à la Sainte-Isabelle (le 22) fait la fleur plus belle.

Février trop doux, printemps en courroux.

Vigne taillée en février emplit de raisins le panier.

A la Sainte-Honorine (le 27), bourgeonne l’aubépine.

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Les proverbes du mois de MARS
Soit au début, soit à la fin, mars nous montre son venin.

Poussière de mars, poussière d’or.

Neige de mars brûle le bourgeon.

Taille tôt, taille tard, rien ne vaut la taille de mars.

A la mi-mars, le coucou est dans les épinards.

En mars, les giboulées ne se perdent jamais.

Quand l’abricot est en fleur, jours et nuits ont même longueur.

Sème des pois à la Saint-Patrice (17/03), tu en auras à ton caprice.

En mars, qui sème trop dru, récolte menu.

A la Saint-Joseph (19/03), va et vient l’hirondelle.

Le coucou ramène le temps doux.

Mars gris, avril pluvieux, font l’an fertile et plantureux.

Quand mars se déguise en été, avril prend ses habits fourrés.

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Les proverbes du mois d’AVRIL
Bientôt les beaux jours... mais pas encore !

Avril : ne te découvre pas d’un fil !

On n’a pas hiberné tant qu’avril n’est pas passé.

Ne croyez pas que l’hiver a atteint sa fin, tant que la lune d’avril n’ait accompli son plein.

Fleur d’avril ne tient qu’à un fil.

Quand avril est froid et pluvieux, les moissons n’en sont que mieux.

A la Saint-Robert (le 30 avril), tout arbre est vert !

La saison des giboulées...

Avril tantôt pleure, tantôt rit !

D’avril les ondées font les fleurs de mai.

A la saint-Gautier (le 9 avril), jamais le jour entier ne passe sans quelques giboulées.

A la Saint-Fulbert (le 10 avril), on reçoit les giboulées pour l’hiver.

Caprice d’avril fait tomber les fleurs et trembler les laboureurs.

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Les proverbes du mois de MAI
- En avril ne te découvre pas d’un fil, en mai fais ce qu’il te plaît...

- Voici le printemps de merveille, Voici le joli mois de mai

- En mai, fleurit le hêtre et chante le geai.

- Le mois de mai, de l’année décide la destinée.

- Chaleur de mai fleurit ta haie.

- Mai sans roses rend l’âme morose.

Il pleut en mai...

- Pluie du premier mai présage année fertile.

- Petite pluie de mai, rend tout le monde gai.

- Averse de mai a plus de pouvoir que dix grands arrosoirs.

- Quand il pleut à la Saint Georges, sur cent cerises, il en reste quatorze

Les saints de glace

- Saint Mamert, Saint-Pancrace et Saint-Servais sont les Saints de glace.

- Saint-Mathias casse la glace, s’il n’en trouve pas il faut qu’il en fasse.

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Les proverbes du mois de JUIN
Quand les proverbes annoncent le beau temps !

A la Saint-Antoine de Padoue (le 13 juin), toujours du temps doux.

Temps de la Saint-Fernand (le 27 juin), chaleur et soleil riant.

Le jour de la Saint-Irénée (le 28 juin), c’est l’un des plus beau de l’année.

Du jour de Saint-Médard (le 8 juin), s’il fait beau, sois tout certain d’avoir abondance de grain.

Juin bien fleurit, vrai paradis.

Qui en juin se porte bien, au temps chaud ne craindra rien.

Avant Saint-Jean, pluie bénite, après, pluie maudite.

Beau temps en juin, abondance de grains.

Le temps des roses et des cerises...

Quand on vit au milieu des roses on en prend malgré soi le parfum.

A la Saint-Rufin (14/06), cerises à plein jardin.

En juin, quand la cerise périt tout s’en suit.

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Les proverbes du mois de JUILLET Le temps qu’il fait...
- Chaud juillet sur frais juin, peu de blé mais bon vin.

- Si le début de juillet est pluvieux, tout le mois sera douteux.

- Sècheresse en Juillet , richesse au cellier.

- Si juillet est chaud, prépare tes tonneaux.

- Ciel de juillet rouge au matin est un pluvieux voisin

- S’il fait beau en juillet, bonne récolte, s’il pleut, moisson molle.

- Juin fait pousser le lin, juillet le rend fin.

- Juillet sans orage, famille au village.

- Soleil de Juillet donne fortune.

- Le jour de Sainte-Félicité se voit venir avec gaieté car c’est le plus beau jour de l’été (le 9 juillet !)

- Jamais, en juillet, sècheresse n’a causé la moindre détresse.

- A la Sainte-Nathalie, temps joli. (27 juillet)

A propos des moissons...

- Juillet est le mois de la moisson, vite on dépouille les sillons.

- Qui veut bon navet, le sème en juillet.

- Au mois de juillet, met ton blé dans le grenier.

- En juillet, mois d’abondance, le pauvre a toujours sa pitance.

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Les proverbes du mois d'AOÛT
- Si août est beau, c’est signe que l’hiver sera bon.

- Pluie d’août fait truffes et marrons.

- Quand même la couche serait à ton goût, ne dors pas sous le soleil d’août.

- A la Saint-Abel, faites vos confitures de mirabelles.(5 août)

- Qui sème à la Saint-Laurent y perd sa graine et son temps.

- Coccinelle vole haut, il fera beau.

- Quand les hirondelles volent à terre, adieu la poussière.

- Temps trop beau en août annonce l’hiver en courroux.

- S’il pleut pour l’Assomption, tout va en perdition.

- Au 15 août, gros nuages en l’air, c’est de la neige pour l’hiver.

- Pluie et tonnerre en août, c’est joie et prospérité.

- A la Sainte-Rose, pour le travailleur, pas de pause. (23 août)

- Si chantent fort les grenouilles, demain le temps se gribouille.

- A la Saint-Fiacre, soleil ardent, pour huit jours encore, du beau temps.

- Quand août n’est pas pluvieux, septembre est souvent radieux.

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Les proverbes du mois de septembre
-  Septembre se montre souvent comme un second et court printemps.

- Septembre se nomme le mai de l’automne.

- En septembre, il fait bon être tout le jour dans la campagne.

- En septembre, si l’osier fleurit, le raisin mûrit.

- A la Sainte-Reine, sème tes graines. (7 septembre)

- Le coq en septembre chantant en matinée annonce une abondante rosée.

- Bel Automne vient plus souvent que beau printemps.

- Si en septembre on voit des étoiles filantes, les cuves déborderont aux vendanges.

- Août murit les fruits, septembre les cueille.

- Automne en fleurs, hiver plein de rigueur.

- Brouillard d’automne, beau temps nous donne.

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Les proverbes du mois d’OCTOBRE
En octobre, si tu es prudent, achète grains et vêtements.

Octobre en gelées, chenilles trépassées.

Octobre est bon s’il est de saison.

A la Saint-Remy (1er octobre), de semer on doit avoir fini.

A la saint-François (4 octobre), vient le premier froid.

Quand arrive la Saint-Fleur (5 octobre), pour aller au verger, ce n’est plus l’heure.

A la saint-Denis (9 octobre), l’hiver fait son lit.

A la Saint-Firmin (11 octobre), l’hiver est en chemin.

Bel automne vient plus souvent que beau printemps.

A la Saint-Calixte (14 octobre), il n’y a plus de fleur à calice.

Souvent la Sainte-Thérèse (15 octobre) apporte un petit été, mais surtout, jardinier, ne va pas te déshabiller.

Octobre n’a jamais passé sans qu’il y ait cidre brassé.

Quand les oignons ont trois pelures, attention à la froidure.

La colchique d’automne fleurit, le raisin mûrit.

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Les proverbes du mois de NOVEMBRE
A la Toussaint, le froid revient et met l’hiver en train.

Novembre, mois mort, vêtis toi plus fort.

A la Saint-Mathurin, des fruits rouges c’est la fin (9 novembre)

A la Saint-Albert, reste bien couvert ! (15 novembre)

Plantée à la Sainte-Cécile, chaque fève en fera mille. (22 novembre)

A la Sainte-Flora, plus rien ne fleurira (24 novembre)

A la Sainte-Catherine, tout bois meurt ou prend racines (25 novembre)

Entre la Sainte Catherine et Noël, tout est bon à planter.

Sainte-Catherine ne va pas sans blanc manteau.

A la Saint-Sosthème (le 29 novembre), il y a des chrysanthèmes

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Les proverbes du mois de DECEMBRE
Qui veut l’hiver avant la fin de l’an, en aura ensuite deux fois autant.

Si décembre est sous la neige, le récolte se protège.

Le jour de Saint-Nicolas, de décembre est le moins froid (6 décembre)

A la Saint-Corentin, le plein hiver glace le chemin (12 décembre)

En décembre, fais du bois et endors-toi.

A la Sainte-Luce, les jours allongent d’un saut de puce.

Neige de décembre est engrais pour la terre.

Noël au balcon, Pâques aux tisons.

Hiver rude et tardif, rend le pommier productif.

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner EmptyDim 7 Juil 2019 - 22:49



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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner EmptyDim 7 Juil 2019 - 22:57

Calendriers lunaires

source http://mag.plantes-et-jardins.com/conseils-de-jardinage/fiches-conseils/jardiner-avec-la-lune
Pourquoi et comment jardiner avec la Lune
Il a été prouvé que la Lune influence de multiples phénomènes tels que les marées ou la pousse des cheveux. Il en est de même pour les végétaux qui voient leur vigueur dépendre des phases de la lune. En respectant le calendrier lunaire, il est tout à fait possible de jardiner en fonction des cycles du satellite terrestre et d'en profiter au mieux !

Lune croissante/décroissante
Il s'agit de la révolution lunaire synodique, qui dure environ 29 jours. C'est la face lumineuse que montre la Lune à la Terre, elle dépend de la place du satellite par rapport au Soleil.
Quand la Lune est croissante, sa surface lumineuse augmente chaque nuit jusqu'à atteindre la pleine lune. Si vous pouvez écrire un "p" avec son croissant, c'est qu'elle est dans son premier quartier. Durant cette période, qui s'étale sur une quinzaine de jours, la vitalité des plantes est croissante, comme la lune. Les végétaux sont plus résistants aux maladies et c'est le moment idéal pour effectuer tous les travaux qui vont demander de l'énergie à la plante comme la taille et la cueillette des fleurs et des fruits. La lune a d'ailleurs aussi un effet sur ces derniers, les fleurs tiendront plus longtemps en vase et les fruits mûriront plus longuement à la cave.
Quand la lune est décroissante, sa surface lumineuse diminue chaque nuit jusqu'à atteindre la nouvelle lune. Si vous pouvez écrire un "d" avec son croissant, c'est qu'elle est dans son dernier quartier. Durant cette période, qui dure également une quinzaine de jours, les végétaux sont moins résistants mais leur goût, leur odeur et leur saveur se décuplent. C'est le meilleur moment pour les consommer tel quel ou transformé, tout de suite car leur durée de conservation est faible. C'est parti pour les confitures, conserves et mises en bouteille. C'est le moment opportun pour effectuer les apports d'engrais et de compost à vos plantes, ainsi que les traitements bio.

Lune montante/descendante
A ne pas confondre avec les lunes croissante et décroissante. Il s'agit de la révolution lunaire périodique qui dure environ 27 jours, c'est en fait le déplacement dans le ciel de la Lune vu de la Terre.
La lune montante est la période durant laquelle le satellite monte chaque jour un peu plus de l'horizon vers le ciel. La sève des plantes monte vers les branches. Occupez-vous donc de tout ce qui se passe au-dessus du sol : greffe, semis,...
La lune descendante est la période durant laquelle le satellite baisse chaque jour davantage vers l'horizon. La sève migre vers les racines. Occupez-vous donc de tout ce qui se passe sous la terre : enracinement des boutures, plantations,... Il est également plus approprié d'effectuer vos travaux de taille durant cette période.

Calendrier lunaire
Le calendrier lunaire est un bon moyen pour les jardiniers de profiter des cycles lunaires.
La Lune tourne autour de la Terre en 27 jours. Durant cette période, elle passe devant les douze constellations du zodiaque. Selon la constellation devant laquelle elle se trouve, les travaux du jardinier varient. Suivez le guide !
• devant les constellations de Terre que sont Taureau, Vierge et Capricorne, toute votre attention doit se porter sur les plantes-racines (ail, betterave, carotte, navet, échalote, oignon, radis, pomme de terre et fleurs à bulbes,... ).
• devant les constellations d'Eau que sont Poissons, Cancer et Scorpion, concentrez-vous sur les plantes-feuilles (artichaut, céleri, chicorée, choux, cresson, épinard, laitue, poireau, plantes aromatiques,...).
• devant les constellations d'Air que sont Gémeaux, Balance et Verseau, occupez-vous principalement des plantes-fleurs (fleurs annuelles et vivaces, arbres et arbustes à fleurs, plantes aromatiques,...).
• devant les constellations de Feu que sont Bélier, Lion et Sagittaire, les plantes-fruits sont à l'honneur (aubergine, céréale, concombre, courge, fève, fraise, framboise, haricot, melon, piment, pois, citrouille, tomate et arbres fruitiers,... ).

Les jours de repos du jardinier
Deux fois par mois il est conseillé au jardinier de n'effectuer aucun travaux dans son jardin. Il s'agit des jours (4 au total) où la Lune et la Terre sont les plus proches (périgée), les jours où elles sont les plus éloignées (apogée) et les jours où l'orbite elliptique que décrit la Terre autour du Soleil coupe celle de la Lune (noeud lunaire).
Une rubrique lui est entièrement consacrée et vous informe sur les gestes à effectuer au jardin aujourd'hui et les jours suivants : Jardiner avec la Lune http://mag.plantes-et-jardins.com/conseils-de-jardinage/jardiner-avec-la-lune

JARDINER en évitant de s'empoisonner 262171387

source http://www.rustica.fr/articles-jardin/jardiner-avec-lune/
Rien de plus naturel que de jardiner avec la lune ! Jours feuilles, jours racines, lune montante, descendante …
Apprenez à suivre les influences lunaires pour vivre encore plus proche de la nature et jardiner en respectant l’environnement.

JARDINER en évitant de s'empoisonner 262171387

Quelques liens vers des calendriers lunaires:
JARDINER en évitant de s'empoisonner 1683110166 http://jardinage.comprendrechoisir.com/astuce/voir1Page/270103/lecons-pour-jardiner-avec-la-lune

JARDINER en évitant de s'empoisonner 85033458 http://www.jardinature.net/jardin_lune.htm

JARDINER en évitant de s'empoisonner 3389238305 http://www.jardinier-amateur.fr/jardiner-avec-la-lune.html

JARDINER en évitant de s'empoisonner 4035768151 http://www.jardinlunaire.fr/

JARDINER en évitant de s'empoisonner 2943735929 http://www.jardiner-malin.fr/calendrier-lunaire

JARDINER en évitant de s'empoisonner 2940318832 http://www.graines-et-plantes.com/index.php?Page=Calendrier-lunaire

JARDINER en évitant de s'empoisonner 4125590547 http://www.dinosoria.com/jardin_lune.htm

JARDINER en évitant de s'empoisonner 3441752433 http://www.ephemeride.com/ephemeride/ephemeride/11/?w=n

JARDINER en évitant de s'empoisonner 262171387  JARDINER en évitant de s'empoisonner 2228177561  JARDINER en évitant de s'empoisonner 262171387

Saints de glace, cavaliers du froid, lune rousse : on vous explique ces phénomènes
https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand-63000/actualites/saints-de-glace-cavaliers-du-froid-lune-rousse-on-vous-explique-ces-phenomenes_13539266/

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source https://www.gerbeaud.com/reponses-experts/saints-de-glace,15.html
Le 8 juillet 2019 par Clémentine Desfemmes
C'est quoi les Saints de Glace ?
Chaque année, on entend parler de ces fameux Saints de Glace. Qui sont-ils, à quelles dates correspondent-ils, et pourquoi le jardinier doit-il s'en méfier ?
Saints de Glace : à quelles dates au juste ?
Les Saints de Glace correspondent, selon une croyance populaire qui remonte au Moyen-Age, à une période de 3 jours, en mai, durant laquelle le risque de froid et de gelées est particulièrement important : le jardinier doit donc s'en méfier.

Ces 3 saints sont :
Saint Mamert, le 11 mai,
Saint Pancrace, le 12 mai,
Saint Servais, le 13 mai.
Ne cherchez pas ces noms dans le calendrier (remanié en 1960 par l'Eglise catholique) : aujourd'hui, vous trouverez à ces dates-là Sainte Estelle, Saint Achille et Sainte Rolande. Mais qu'importe le saint du jour : les jardiniers continuent à se méfier de ces 3 dates-là !

Faut-il se méfier des Saints de Glace au jardin ?
En pratique, les statistiques météorologiques prouvent que le risque de gelées n'est pas plus important durant ces 3 jours-là que durant les jours qui précèdent ou ceux qui suivent. C'est plutôt toute cette période située sur la première quinzaine de mai (et jusqu'à fin mai en montagne ou dans les régions septentrionales) qui est à craindre : en mai, on peut observer des descentes d'air froid sur la France, et lorsque celles-ci coïncident avec une période anticyclonique se traduisant par un ciel dégagé, notamment la nuit, les températures nocturnes peuvent très vite chuter et entraîner des gelées (un peu comme au moment de la lune rousse), alors même que les journées sont douces grâce à l'ensoleillement.

Il est donc conseillé au jardinier d'attendre, pour mettre en place les plantes les plus frileuses, que les saints de glace soient passés (donc, raisonnablement, la 2e quinzaine de mai). A défaut, il faudra prendre la précaution de protéger les cultures sensibles au gel (notamment au potager) sous un voile d'hivernage ou un tunnel !

JARDINER en évitant de s'empoisonner 262171387  JARDINER en évitant de s'empoisonner 2228177561  JARDINER en évitant de s'empoisonner 262171387

JARDINER en évitant de s'empoisonner 3600840871  https://fr.wikipedia.org/wiki/Saints_de_glace

JARDINER en évitant de s'empoisonner 2243129732 https://www.promessedefleurs.com/conseil-plantes-jardin/blog/les-saints-de-glace-date-origine-conseils

JARDINER en évitant de s'empoisonner 3496410929 https://www.franceinter.fr/societe/meteo-les-saints-de-glace-existent-t-ils-vraiment

JARDINER en évitant de s'empoisonner 1833244505 https://www.rustica.fr/articles-jardin/saints-glace-cavaliers-froid,4161.html

JARDINER en évitant de s'empoisonner 1773409021 https://www.gammvert.fr/conseils/conseils-de-jardinage/tout-savoir-sur-les-saints-de-glace

JARDINER en évitant de s'empoisonner 109797630  https://actualite.lachainemeteo.com/actualite-meteo/2019-05-14/saints-de-glace-plus-aucun-risque-de-gelees-50657

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner EmptyDim 7 Juil 2019 - 22:59

Avant tout autre chose, je trouve indispensable de commencer le sujet par quelques renseignements indispensables.

Malgré que certains agriculteurs persistent à dire que ce n'est pas grave d'utiliser des pesticides,  une autre partie, ose enfin avouer qu'ils ont de gros soucis de santé et que certains ont même failli perdre la vie.
Il était temps car cela fait plus de vingt ans que je lis des témoignages accablants au sujet de ces saletés.

Je n'ai jamais compris que pour faire encore plus de profits, certains agriculteurs se foutent éperdument de notre santé, ces gens cultivent les sols sans se soucier de l'impact que les pesticides ont sur la nature et sur l'homme.
Même si chacun doit vivre de son métier, je pense que l'on doit pouvoir arriver à faire des marges bénéficiaires suffisantes tout en cultivant le plus propre possible, faut il avoir la formation adéquate et surtout l'envie de le faire.

Paul François a maintes fois expliqué qu'il n'a jamais été mis en garde contre les produits que monsanto diffuse à travers le monde, et surtout que le produit qui l'a empoisonné avait été retiré du marché anglais et américain, alors qu'en France il était toujours vendu.  

C'est vrai qu'il aurait du se préoccuper de ce qu'il mettait sur ses sols, et que s'il ne lui était rien arrivé il aurait peut être continué à nous empoisonner pendant des années......comme ses copains!
Alors mieux vaut tard que jamais.

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Carte de France des victimes de pesticides
https://victimes-pesticides.fr/

http://paysan-bio.blogspot.com/2009/07/victimes-pesticidesorg.html

et quelques liens pour approfondir le sujet de ce post
https://www.notre-planete.info/ecologie/alimentation/pesticides_0.php

source https://www.actu-environnement.com/ae/dictionnaire_environnement/definition/pesticide.php4
DÉFINITION
Pesticide
Le terme pesticides regroupe les substances chimiques destinées à repousser, détruire ou combattre les ravageurs et les espèces indésirables de plantes ou d'animaux causant des dommages aux denrées alimentaires, aux produits agricoles, au bois et aux produits ligneux, ou des aliments pour animaux.
Sont également inclus les régulateurs de croissance des plantes, les défoliants, les dessicants, les agents réduisant le nombre de fruits ou évitant leur chute précoce, et les substances appliquées avant ou après récolte pour empêcher la détérioration des produits pendant leur stockage ou leur transport.

Environ 350 produits différents (herbicide, insecticide, fongicide, nématicide, …) sont connus pour être utilisés dans la Communauté Européenne aujourd'hui.
Mal utilisés (en terme de quantités) et en raison de leur faible pouvoir de dégradation, les pesticides peuvent s'accumuler dans la chaîne alimentaire et/ou contaminer les milieux naturels, c’est la bio-accumulation.
Les pesticides organiques sont en général classés en trois grands groupes :
Organochloré,
Organophosphoré
et Carbamate et il y a de multiples familles.

Pesticide ou produit phytosanitaire ?
Le mot « pesticide » est plus large dans le sens où il englobe des molécules d'usage vétérinaire, des molécules pour la protection des bois ou utilisés dans les peintures. Le mot « produit phytosanitaire » est plutôt utilisé pour la protection des plantes. La France occupe la deuxième place mondiale pour le volume de produits phytosanitaires consommés.

Définitions connexes
Produit phytosanitaire
Bio-accumulation
Biocide
Insecticide
Algicide
Herbicide
Fongicide
Rodonticide
Nématicide
Acaricide
Produit phytosanitaire
Xénobiotique

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source https://fr.wikipedia.org/wiki/Jardinage_biologique
Jardinage biologique
Le jardinage biologique consiste à appliquer au jardinage les principes de l'agriculture biologique.

Principes généraux
La principale différence avec l'agriculture biologique réside dans le fait que le jardinage, qui peut n'être qu'une activité de loisirs, est soumis à d'autres contraintes économiques que celles de l'agriculture.

Par rapport au jardinage classique, les principales différences portent sur :
- la suppression des intrants chimiques : pesticides, herbicides, acaricides..., qui outre les problèmes de pollution sont une dépense coûteuse. (Le jardinier amateur a d'ailleurs souvent tendance à forcer sur les doses [réf. souhaitée]. Il faut noter cependant que tous les pesticides ne sont pas accessibles aux jardiniers amateurs, les produits vendus dans les chaînes de distribution grand public étant limités aux moins nocifs.)

- la démarche biologique présente l'avantage de limiter les dépenses à leur strict minimum, essentiellement les outils et les semences. Ces dernières pouvant souvent être produites par le jardinier lui-même.

- les semences devraient, pour respecter les lois en vigueur pour la culture biologique, être issues de l'agriculture biologique (le champ d'application de ces lois ne couvre cependant pas l'activité de jardinage à usage strictement personnel - à vérifier).

- pour la fertilisation, le recours privilégié au compost, c'est-à-dire à l'ensemble des résidus de la culture ou issus de la table (plantes coupées, résidus de consommation légumières... sauf les os qui peuvent cependant être broyés).

Des méthodes respectueuses de la nature et de la santé
Pour remplacer l'utilisation de produits chimiques, de nombreuses solutions existent :
- Privilégier la lutte biologique ou la lutte intégrée souvent aussi efficace que la lutte chimique et moins toxique pour le consommateur.

- Favoriser les cultures associées pour bénéficier des interactions bénéfiques entre plantes.

- Utilisation du purin d'ortie et autres préparations naturelles.

- Compostage des déchets pour disposer d'un terreau de qualité

- Favoriser le développement des organismes auxiliaires en protection des cultures

- Récupération des eaux de pluie pour économiser l'eau et alléger sa facture.

- Entretien du sol respectueux du vivant. Les micro-organismes qui vivent en profondeur meurent lorsqu'ils sont ramenés à la surface. Ceux qui ont besoin d'oxygène meurent quand on les enterre. Il convient donc d'aérer la terre sans la retourner. En outre, protégeons le sol des intempéries en maintenant autant que possible la couverture végétale et en paillant, ce qui aura aussi le bénéfice de limiter les arrosages.

Bibliographie
Caron, M. (2006) Le Jardin Bio, Ouest-France Ed. 141p.
Gedda, A. (2004) Le potager bio, Eyrolles/Organisation Ed. 224p.
Lapouge, B. & Thorez, J. P. (2009) Le guide du jardin bio, Mens : Terre Vivante Éditions, 432p.
Le Bihan, J. C. (2011) Cultiver sa treille bio, Mens : Terre Vivante Éditions, 162p.
Lefrançois, S. & Thorez, J. P. (2012) Je démarre mon potager bio, Mens : Terre Vivante Éditions, 96p.
Docteur Soleil, Jardiner naturel : manuel de jardinage biologique, Éditions Vivez Soleil, 1987 (ISBN 2-88058-117-6, lire en ligne [archive])


Voir aussi
Compagnonnage (botanique)
purin d'ortie
Agriculture biologique
Paillage
Insectes entomophages
Organisme auxiliaire en protection des cultures
écologie
Graines bio
Edmond Bordeaux Szekely

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Editeur de l'écologie pratique depuis 30 ans, Terre vivante propose des conseils écologiques et gestes bio pour le jardin bio, l'habitat écologique, l'alimentation, ...
https://www.terrevivante.org/

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner EmptyDim 7 Juil 2019 - 22:59

Pour le jardin, le paillage permet de réduire l'arrosage et le désherbage. Bien sûr, privilégier la récupération de l'eau de pluie via une citerne et le compost fait maison si vous en avez la possibilité.

https://www.jardiner-autrement.fr/

https://www.jardiner-autrement.fr/categorie/proteger/

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http://reptilyfamily.free.fr/index.php?2010/03/07/329-le-potager-anti-crise

http://reptilyfamily.free.fr/index.php?Des-livres
Un petit potager qui vaut le coup...
Par le_lezard, lundi 4 avril 2011 { Thème Des livres } | 24 commentaires | aucun trackback

Avec le coût exorbitant du prix des fruits et légumes (et ça ne va pas aller en s'arrangeant), les doutes légitimes que l'on peut avoir sur la qualité de ceux qui ne sont pas labellisés biologiques et le soucis de prendre le temps pour « faire soi-même »... avoir un petit lopin de terre à cultiver est devenu une vraie richesse.

Dans un monde 'd'abondance illimitée' le potager apparaissait comme bien désuet. Quelle contrainte que de produire ses fruits et légumes alors qu'il est si facile de prendre sa voiture pour aller les acheter. Quelle aberration que d'utiliser une partie du jardin pour faire un potager alors que ce dont on a besoin c'est d'une pelouse, d'une balançoire pour les enfants et d'une haie de thuyas pour ne pas être vu des voisins... Et puis, avec la vie qu'on mène, il reste si peu de temps libre qu'on ne va pas en perdre à gratter la terre...

Mais l'abondance illimitée montre ses limites écologiques, environnementales, sociales, humaines et culturelles. Nous avons besoin de donner de la cohérence à ce que nous faisons. Le potager devient (redevient) une solution locale face à tous ces désordres. Le potager est anti-crise car il fait du bien au jardinier, à sa famille, à la société et à l'environnement. C'est une source de plaisir et de satisfaction. Il semble normal qu'il devienne une priorité dans nos esprits.

On dit qu'il faut une surface de 100 m² par personne pour accéder à une autonomie alimentaire pour les légumes de base. Dans la plupart des cas soit les jardins sont trop petits soit le manque de temps libre lié à l'activité professionnelle ou à celles des enfants... ne le permettent pas. Faut-il pour autant se priver de légumes et de fruits sains et du plaisir de produire soi-même une partie de son alimentation ?

Certainement pas !

Bien sur, les atouts, les contraintes et le champs des possibles seront différents si l'on peut le faire chez soi ou en accédant à une parcelle de jardins familiaux. Des solutions existent pour la plupart des cas de figure. Des pistes sont à explorer pour faire en sorte que les potagers soient de beaux lieux de vie, pratiques et productifs. Les petits espaces peuvent même combiner production de légumes et de fruits en utilisant des arbres palissés...

Les petits potagers ne pouvant pas accueillir toutes les graines du monde... il va falloir faire des choix. 4 semblent importants à prendre en compte :
-cultiver ce que l'on aime et ce que l'on souhaite découvrir (car faire son jardin c'est s'offrir l'immense richesse d'avoir des légumes que l'on ne trouve pas dans les magasins comme par exemple des tomates ou des radis de toutes les couleurs qui sont bien meilleurs que celles et ceux qu'on nous offre habituellement)

-produire des légumes qui ne prennent pas trop de place (on évitera de cultiver le potiron Giant Atlantic dans un petit jardin...)

-privilégier ceux qui ne font pas envie sur les étals mais qui sont délicieux lorsqu'ils viennent du jardin (comme les navets...)

-mettre l'accent sur les fruits rouges qui coûtent une fortune alors qu'ils ne demandent pas beaucoup de travail.

Les économies substantielles qui seront réalisées dès la première année et le bonheur que vous aurez à déguster vos fruits et légumes, soit en les picorant dans le jardin soit à table, vous montreront que faire un petit potager ça vaut vraiment le coup !
(dans toutes les bonnes librairies... à partir du 14 avril)

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner EmptyDim 7 Juil 2019 - 22:59

Quelques producteurs de semences

source http://www.germinance.com/
Semences biologiques et biodynamiques
Grâce à un réseau d’une cinquantaine de producteurs de semences biologiques, dont  la moitié pratiquent la biodynamie et sont certifiés Demeter, GERMINANCE propose des semences potagères biologiques, des semences d'engrais verts, de plantes fourragères, de plantes aromatiques et médicinales ainsi que de fleurs.

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source http://www.biaugerme.com/
Amis jardiniers, maraichers bio, bienvenue au Biau Germe, notre petite maison de production grainière lot et garonnaise!
Quelques mots pour nous présenter. Nous sommes un groupe de 19 agriculteurs et agricultrices fondé il y a plus de 30 ans, sur les coteaux de l'Agenais et spécialisé dans la multiplication de semences biologiques potagères, florales et aromatiques.
Chez nous, tout est cultivé en bio depuis nos débuts ! Ainsi nos variétés sont très bien adaptées au "jardinage au naturel", sans engrais, ni traitements chimiques.
Soucieux de conserver la biodiversité cultivée, vivante, nous avons choisi de produire des graines de variétés anciennes, qui vous donneront des légumes goûteux, fins et rustiques. Pour certaines de ces variétés nous sommes mainteneurs officiels et donc garants de leurs caractéristiques. Leur diffusion au plus grand nombre d'entre vous permet d'assurer leur sauvegarde.
Nous vous proposons d'associer à ce potager des fleurs aussi belles qu'utiles, certaines classiques, d'autres plus sauvages. Enfin, cultiver des engrais verts vous permettra de fertiliser vos plates-bandes naturellement, ou encore d'attirer les insectes pollinisateurs.
Nos cultures et semences sont contrôlées et certifiées bio selon les réglementations en vigueur. Elles sont produites et bichonnées sur nos fermes, selon un mode de production biologique : une agriculture durable, à faible impact environnemental !
Nous vous souhaitons de passer d'agréables moments, sur ce site, mais surtout par la suite, dans vos jardins, au fil des saisons.
L'équipe du Biau Germe.

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source https://kokopelli-semences.fr/index.html
Kokopelli, Pour la Libération de la Semence et de l’Humus

Présentation de l’association
Kokopelli est une association à but non lucratif, fondée en 1999 par Dominique et Sofy Guillet, et qui a pris le relais de Terre de Semences et du Jardin Botanique de la Mhotte fondés, dans l'Allier, respectivement en 1992 et en 1994.

Les militants de l’association œuvrent pour la Libération de la Semence et de l’Humus et la Protection de la Biodiversité alimentaire, en rassemblant tous ceux et toutes celles qui souhaitent préserver le droit de semer librement des semences potagères et céréalières, de variétés anciennes ou modernes, libres de droits et reproductibles. Et en rassemblant aussi tous ceux et toutes celles qui souhaitent continuer à chuchoter, à l’oreille de leurs voisins, les recettes des purins de plantes (ortie, prêle...) et d'autres ingrédients naturels et peu onéreux, sans se voir accusés de concurrence déloyale envers les multinationales vendeuses de poisons, celles qui s'auto-qualifient de "sciences de la vie", celles-là même qui détruisent inexorablement et impunément la biosphère, incluant l'humanité, depuis des dizaines d'années, celles-là même qui ont fait de notre belle planète, la Terre, une poubelle génératrice de cancers.

La Semence
C’est grâce à notre propre réseau de producteurs et avec la participation active des adhérents, parrains et marraines, que nous maintenons une collection planétaire unique de plus de 2200 variétés, à savoir plus de 650 variétés de tomates, près de 200 variétés de piments, 150 variétés de courges...
L’association propose ainsi deux gammes de semences :

   - la gamme Boutique, avec 1700 variétés de plantes potagères, céréalières, médicinales, condimentaires et ornementales. La très grande majorité des semences de cette gamme est produite en France par nos producteurs professionnels certifiés en Agriculture Biologique. Le reste provient de divers pays d'Europe et parfois même des USA. Pour ces dernières, très peu nombreuses, nous sommes tenus d'omettre la mention “Agriculture Biologique” malgré qu'elles soient certifiées “bios” par des organismes US (Oregon Tilth, OCIA, etc.); en effet, il n'existe pas d'équivalence automatique entre les homologations Nord-Américaines et Européennes et nous ne souhaitons pas entamer les procédures extrêmement compliquées, et très onéreuses pour obtenir ces homologations. Nous sommes déjà persuadés qu'il est scandaleux que les agriculteurs bios doivent payer pour pouvoir produire sainement des aliments non-toxiques alors que 98% des agriculteurs, dit “conventionnels”, sont archi-subventionnés par de l'argent public pour produire des aliments-poisons et ruiner la santé de la population.
   - la gamme Collection rassemble des centaines de variétés très peu cultivées, peu connues et parfois en voie de disparition. Les semences de cette gamme sont produites par nos adhérents jardiniers et jardinières. Elles sont offertes aux membres “Actif” et “Bienfaiteur” de l’association. Cette gamme n’est accessible que sur demande au siège de l’association.

L’Humus
En organisant, plusieurs fois par année, des stages et des séminaires sur différents thèmes de l’agro-écologie, nous espérons réintroduire les vrais valeurs agricoles et jardinières et libérer, ainsi, l’humus en libérant la Terre de la tyrannie des techniques d’agricultures modernes toxiques.

Nous proposons, également, dans notre boutique plusieurs ouvrages sur les différentes techniques de culture génératrices de sol fertile.

Notre champ d’action ne se limite néanmoins pas à la préservation des variétés libres: nous intervenons de part et d’autre du globe, pour aider les paysans du monde à retrouver leur autonomie semencière confisquée par les vendeurs de poisons. C’est ainsi que, dans le cadre de notre campagne “Semences sans Frontières”, nous distribuons gratuitement et annuellement près de 350 colis de Semences de Vie aux communautés rurales, associations ou ONGs qui nous en font la demande.

Ces semences sont produites — dans la plupart des cas — par les adhérents de l’association Kokopelli via notre campagne de “Parrainage”, soutenant ainsi la création de jardins de production de semences amateurs, de réseaux de semences paysannes et de centres de conservations.

Afin de guider les jardiniers, l’association propose l’ouvrage de Dominique GUILLET intitulé “Semences de Kokopelli”, un manuel de production de semences pour le jardin familial avec des informations détaillées permettant aux jardiniers et maraîchers de produire leurs propres semences en toute pureté variétale.

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner EmptyDim 7 Juil 2019 - 22:59

source https://www.bioaddict.fr/article/cash-investigation-comment-les-multinationales-controlent-et-modifient-les-varietes-de-semences-a6256p1.html
Publié Le 18 Juin 2019

Cash Investigation : comment les multinationales contrôlent et modifient les variétés de semences
Fruits et légumes industriels sans goût ni nutriments mais qui ne pourrissent pas, pain difficile à digérer à cause d'un gluten surpuissant mais qui gonfle plus facilement et rapidement à la cuisson... Elise Lucet révèle comment les industriels contrôlent et modifient les semences à leur avantage quitte à nous faire manger n'importe quoi. Une nouvelle enquête de Cash Investigation diffusée le mardi 18 juin à 21h10 sur France 2.

"Bio ou pas, presque tous les fruits et légumes achetés par les consommateurs sont calibrés comme des produits industriels. Pour cela, les multinationales ont mis au point des semences totalement standardisées. Et qui sont désormais la propriété d'une poignée de géants mondiaux comme l'allemand Bayer-Monsanto, Syngenta, ou le français Limagrain qui pèse plus de 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Un business mondialisé où la graine se vend plus cher que de l'or. Le kilo de graines de tomate peut atteindre 400 000 euros !" révèle Cash Investigation qui a notamment enquêté sur les semences de blé et de tomates, "des semences qui ont été croisées, sélectionnées, pour créer des produits standardisés, calibrés comme des produits industriels".

Pourquoi vos tomates n'ont aucun goût ?
Elles sont partout dans les supermarchés : des tomates de longue durée qui affichent une splendide couleur rouge et ne pourrissent pas pendant des semaines... L'équipe de Cash Investigation est allé en Israël rendre visite à l'inventeur de cette "tomate de laboratoire" cultivée hors-sol, sur des tuyaux, dans des serres industrielles... A force de croiser des milliers de plants, le professeur Haim Rabinowitch a conçu un fruit qui ne pourrit qu'au bout de trois semaines. Le problème, c'est que cette tomate n'a "aucun goût", reconnaît-il lui-même en toute franchise. Et qu'elle a perdu une grande partie de ses nutriments... Et il n'y a pas que la tomate qui est concernée. Cash Investigation a analysé un par un, les 70 fruits et légumes les plus consommés par les Français. En soixante ans, ils ont perdu en moyenne 16% de calcium, 27% de vitamine C et 48% de fer. Aux États-Unis, Donald Davis a étudié l'évolution de 43 aliments entre 1950 et 1999. "Je suis arrivé à la conclusion que ce déclin est lié en partie à la hausse du rendement. Plus le rendement augmente, moins il y a de nutriments dans les fruits", détaille-t-il. Il précise : "En soixante ans, la tomate a perdu 59% de vitamine C. 850 000 tonnes sont vendues par an en France, 15 fois plus que les haricots verts. Les Bretons sont devenus les plus gros producteurs de l'Hexagone grâce aux marques Savéol, Prince de Bretagne ou Solarenn. Plus de 90% des tomates du territoire sont cultivées hors-sol, dans des serres chauffées à 21 °C. Cette technique pourrait être à l'origine de la baisse en nutriments de ces fruits."

Gluten : ce pain que certains consommateurs ne digèrent plus
Cash Investigation s'est également rendue en Inde, où les multinationales font produire leurs graines. Elle y a découvert des femmes et des enfants qui triment pour une poignée de roupies. Le magazine présenté par Elise Lucet a enquêté sur ces blés destinés à la fabrication de pains que certains consommateurs ne digèrent plus à cause d'un gluten surpuissant qui entraîne des intolérances alimentaires.. L'hypersensibilité au gluten n'est en effet pas seulement une mode et il y a des raisons pour expliquer que les partisans de l'alimentation sans gluten soient aussi nombreux... On y apprend ainsi que Jacquet, le géant français du pain de mie (filiale du semencier Limagrain), vend aux agriculteurs des variétés de graines dont les propriétés ont été boostées pour permettre une panification optimisée. L'enquête va plus loin, révélant l'existence de semences de blé enrobées de pesticides, non inscrites au catalogue officiel, mais facturées aux agriculteurs sous le terme d'ATSF (Assistance technique et savoir-faire).

Les variétés de semences hybrides sont devenus la norme imposée
Il faut savoir que les multinationales imposent des variétés hybrides et rendent ainsi captifs les agriculteurs avec des graines qui ne peuvent être replantées d'une année sur l'autre et doivent être rachetées à chaque semis. De plus, pour être commercialisée, une variété de fruits et légumes doit être inscrite, moyennant finance, à un catalogue officiel, supervisé par le Groupement national interprofessionnel des semences et plants (GNIS) composé des industriels qui vendent les semences. Nombreux sont ceux qui s'élèvent contre ce "hold-up". Cash Investigation a ainsi interviewé le chef cuisinier Olivier Roellinger, qui dénonce cette "privatisation du vivant, le garde-manger de l'humanité" et qui fabrique ses semences "maison", non certifiées, dites paysannes. Jean-François Berthelot, qui fabrique du pain au levain à l'ancienne près d'Agen, sera également présent sur le plateau de Cash investigation lors du débat qui prolonge l'émission. Tout comme le fondateur du Réseau paysan 21, Maxime Schmitt, qui distribue en circuit court les fruits et les légumes de petits producteurs dans la région de Nice.

Les semences paysannes réautorisées, mais seulement en agriculture biologique
Les semences dites paysannes sont celles qu'un agriculteur va directement prélever dans sa récolte afin de les replanter; elles sont issues des semences utilisées par les paysans avant l'industrialisation de l'agriculture. Jusqu'en 2017, les agriculteurs bio n'avaient pas accès aux variétés anciennes, issues d'une sélection paysanne traditionnelle car elles étaient hors la loi. La législation européenne a depuis autorisé les agriculteurs bio à vendre leur propre semence, mais en quantité limitée et selon des modalités restant à définir. Le débat sur le plateau après la diffusion des reportages portera sur cette question essentielle.

"Multinationales : hold-up sur nos fruits et légumes", une enquête de Linda Bendali diffusée mardi 18 juin 2019 à 21h10 sur France 2.
https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/cash-investigation/cash-investigation-du-mardi-18-juin-2019_3465425.html

info +
Le brevetage du vivant : la firme Monsanto a toujours avoué que la manipulation génétique était un moyen d'obtenir des brevets et droits de propriété sur les graines. En contrôlant les semences, la firme peut contrôler la nourriture mondiale. Une sorte de pouvoir de vie ou de mort sur l'être humain.

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Une goutte d'eau seule ne peut jamais créer un océan, mais un ensemble de gouttes le peut. JARDINER en évitant de s'empoisonner 251412711

source https://at06.eu/maison-de-la-semence-paysanne-maralpine-mspm/

Maison de la Semence Paysanne Maralpine (MSPM)
23 octobre 2018Non classéMarc
Par Maxime Schmitt,

Gestion collective d’un système de semences autonome au service des paysans
Paysans, jardiniers, chercheurs et chefs cuisinier s’associent en collectif pour valoriser collectivement les semences de la bio-région des Alpes-Maritimes. Ce terroir français et italien où coexistent climat méditerranéen et chaîne des Alpes est un écrin de graines à préserver, cultiver et transmettre.

Nous collectons les graines !
Le collectif parcourt le territoire à la recherche de variétés-population, de « graines anciennes » cultivées et adaptées depuis des générations. Préserver le patrimoine semencier, c’est aussi documenter les histoires des communautés paysannes et transmettre les savoir-faire agronomiques et culinaires associés.

Une grainothèque ressource
La MSPM offre un lieu de stockage des graines et assure la redistribution des semences au sein du collectif. Pour être préservée durablement, nous multiplions et sélectionnons les graines en réalisant un accompagnement technique sur la non-hybridation, le taux de germination, une sélection massale cohérente avec le collectif… Les besoins agro-économiques des paysans et les attentes gustatives des fins gourmets définiront les protocoles de sélection.

Formez-vous !
Diffuser la connaissance, c’est faire germer les graines de nos esprits. Introduction au thème des semences, formation approfondie pour maintenir une variété ou enseignement général à la reproduction de semences : ces temps d’apprentissage ancrent des savoirs génétiques et législatifs nécessaires à la préservation du vivant.

Une bibliothèque dédiée à la souveraineté alimentaire
Les semences paysannes, des histoires de luttes et périls, passées et futures, réunies dans un lieu de consultation multisupport : essais, films, livres, thèses …

Notre mission : réintégrer les semences paysannes à notre quotidien !
1 – La rareté sur le marché – donc le coût économique de ces graines, le manque de temps & de connaissances, ainsi que les pertes de rendement, font partie des freins.


2 – Nous construisons un argumentaire scientifique mettant en évidence l’intérêt économique, social et environnemental de l’usage quotidien de variétés-population.

3 – Nous sensibilisons les acteurs de la distribution (magasins bio, restaurants, épiceries…) et élu.es.

4 – En garantissant ces circuits économiques, nous incitons les paysans à réintégrer ces graines dans leur patrimoine semencier.

5 – La dynamique est entretenue par une communication et des évènements de promotion de la biodiversité.

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner EmptyDim 7 Juil 2019 - 23:01

source http://www.futura-sciences.com/planete/actualites/environnement-agriculture-biologique-son-impact-positif-demontre-etude-65802/
Agriculture biologique : son impact positif est démontré dans une étude
Par Xavier Demeersman, Futura
Publié le 04/01/2017

C’est une première en France : un rapport quantifie les bienfaits de l’agriculture biologique, autant dans les domaines de l’environnement que dans ceux de la santé humaine ou des performances sociales. Ils sont globalement tous positifs.

Fin novembre 2016, l'Itab, l'Institut technique de l'agriculture biologique, a remis son rapport « Quantifier et chiffrer économiquement les externalités de l'agriculture biologique ? » commandé en juin 2015 par le ministère de l'Agriculture. C'est le premier du genre en France dont l'objectif est d'évaluer précisément les bienfaits d'une agriculture affranchie de pesticides, d'insecticides et autres engrais chimiques ou semences OGM. Cela permet de rendre les bénéfices plus visibles à la fois dans le champ public et la sphère politique.

Visiblement et sans surprise, au premier coup d'œil du tableau récapitulatif (voir ci-dessous) du document rédigé en partenariat avec l'Inra et qui s'appuie sur quelque 280 études scientifiques, les impacts sont globalement positifs dans les trois « externalités » environnement, santé humaine et performances sociales. Finalement, la seule case qui fait défaut, en rouge, qui montre donc un effet négatif, est celle des rendements. Comparés à ceux de l'agriculture conventionnelle, ils sont en majorité plus faibles.

Tous les domaines concernés de près ou de loin par l'agriculture bio (laquelle rappelons-le se doit de respecter le cahier des charges de la filière) ont été passés au crible par ses auteurs Natacha Sautereau (Itab) et Marc Benoît (Inra). Aidés d'une vingtaine de chercheurs, ils ont tenu à quantifier tous les services rendus par ce type d'agriculture, directement et indirectement, de la qualité des sols jusqu'aux nombres d'emplois créées. Ils ont souhaité aussi estimer la valeur économique de ses acteurs et vecteurs comme par exemple la pollinisation des abeilles.

Tableau récapitulatif des effets bénéfiques de l’agriculture bio (sur le site)

Les effets positifs du bio sur la santé humaine et sur l'emploi
Les études référencées font des constats alarmants sur l'état de l'environnement. Au sujet de l’eau par exemple : « la France connaît une contamination généralisée de ses masses d'eau par les pesticides détectés dans 90 % des points de mesures, ainsi que par l'azote, présent sous forme de nitrate dans 83 % des points de suivi des eaux de surface », indique le rapport, et cela concerne « toutes les régions ».
Pour la santé, le document rappelle que « les centres antipoison et de toxicovigilance enregistrent 5.000 à 10.000 cas d'intoxications par les pesticides par an ». Sur cette question, il y a eu des avancées significatives ces dernières années. Plusieurs pathologies comme Parkinson et le Lymphome malin non hodgkinien ont en effet été reconnues comme maladies professionnelles. « [...] des liens sont avérés ou plausibles entre expositions chroniques aux pesticides et certains types de cancers, des maladies neurologiques, des troubles de la reproduction et du développement. Des effets sont aussi suspectés pour d'autres pathologies telles que les maladies respiratoires, les troubles immunologiques, et des troubles du comportement » explique le rapport.
Même si la question est sujet « à des débats récurrents », les premiers résultats des études en cours montrent que les consommateurs de produits biologiques sont en meilleure santé : « [ils] connaissent moins de problèmes de surpoids et d'obésité et de pathologies associées ». Sans doute aussi parce qu'« ils ont généralement un mode de vie plus sain ».
Sur le plan social, les bénéficies de l'agriculture biologique ont aussi été chiffrés. Le volume de travail a augmenté dans la plupart des fermes qui se sont créées ces trois dernières années, au contraire de celles de l'agriculture industrielle, écrivent les auteurs. Le bénéfice en emploi est estimé entre 10 et 18 euros par hectare de grande culture chaque année.
À cela s'ajoute, un renforcement des liens sociaux, notamment grâce aux réseaux de distributions comme les Amaps, ou d'approvisionnement direct à la ferme.
La synthèse de l'Itab est disponible ici.
http://www.itab.asso.fr/downloads/amenites/amenites-ab-synthese-nov2016.pdf

L'intégralité du rapport est téléchargeable ici.
http://www.itab.asso.fr/downloads/amenites/amenites-ab-rapport-nov2016.pdf

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MessageSujet: Re: JARDINER en évitant de s'empoisonner   JARDINER en évitant de s'empoisonner EmptyDim 7 Juil 2019 - 23:03

J'ai vu un reportage sur ce monsieur et sa femme qui font un travail considérable pour aider les cultivateurs qui ont pris conscience de leur impact sur la nature, et surtout sur notre santé.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Bourguignon

http://www.lams-21.com/artc/1/fr/

http://www.passerelleco.info/article.php?id_article=113

JARDINER en évitant de s'empoisonner 2595565655

source http://www.reponsesbio.com/2011/09/10/claude-bourguignon-alerte-sur-letat-des-sols/
Claude Bourguignon : Alerte sur l’état des sols
10 septembre 2011


Les grands champs de l’agriculture intensive sont prêts à se transformer en déserts.

Voilà l’alerte lancée par un ingénieur agronome depuis quarante ans.

En vain !

Mais, lorsque cela se produira, comment l’humanité se nourrira-t-elle ?  

Chacun admet aujourd’hui que la crise économiquemondiale est « systémique », ce qui signifie que ses causes sont multiples et qu’elles interagissent fortement entre elles.

Il semblerait malheureusement qu’il en aille de même pour la crise écologique.

Au cœur des préoccupations actuelles, on s’inquiète beaucoup du réchauffement planétaire causé par les gaz à effet de serre, ainsi que des dérèglements climatiques et de la fonte des glaces qui en résultent.

Mais cette « mode » est l’arbre qui cache la forêt car le danger ne vient pas exclusivement du CO2.  

Un grand nombre d’autres nuisances menacent en même temps l’avenir de notre planète, parmi lesquelles les pollutions diverses, l’épuisement des ressources ou la réduction de la biodiversité, qui doivent être très sérieusement pris en compte.

Dans la confusion qui règne face à toutes ces menaces conjointes, une alarme des plus graves passe sans doute un peu inaperçue, celle que Claude Bourguignon, ingénieur agronome, lance depuis une quarantaine d’années à la communauté européenne concernant la dégradation accélérée de la richesse des sols en micro-organismes.

La terre se meurt
Exposé de cette manière, ce péril semble peut-être assez anodin.

Quelle importance pourraient bien avoir quelques bactéries en plus ou en moins dans la terre ?
En réalité, ces « quelques bactéries » vivant dans le sol constituent 80% de la biomasse.

Autrement dit, tout ce qui vit sur la planète dépend directement de la microflore et de la microfaune du sol.

A notre échelle, donc, les implications de l’appauvrissement biologique des terrains cultivés sont tout bonnement monstrueuses puisque c’est de la pérennité de nos ressources alimentaires dont il s’agit.

Selon Bourguignon, l’état désastreux des sols ne nous permet déjà plus de faire vraiment de la culture… pour autant, bien sûr, que ce que l’on appelle « culture » consiste toujours à faire pousser des plantes saines.

Non, tout ce dont nous sommes actuellement capables, c’est d’essayer, par des moyens chimiques, « de maintenir en vie des plantes qui ne demandent qu’à mourir tellement elles sont malades ».

Si la plupart des consommateurs croient que les traitements chimiques employés par l’agriculture conventionnelle servent à nourrir la plante et à éloigner les parasites, ils sont très loin de la vérité.

Ce que nous apprend Bourguignon, c’est que, sans ces traitements, les légumes et céréales pourriraient à vitesse accélérée avant d’avoir été seulement récoltés.

D’ailleurs, d’ores et déjà 40% des blés ne jouissent même plus de la cohérence cellulaire suffisante pour faire du pain, et sont distribués aux cochons.  

Toutefois, même si la santé de l’humanité toute entière est menacée par cette dévitalisation extrême des aliments, le plus grave n’est pas là.

Car, au cas où l’industrie agroalimentaire ne changerait pas radicalement de méthodes, dans cinq, dix ou vingt ans, lorsque les sols, totalement stérilisés et compactés, seront vraiment morts… eh bien il n’y aura tout simplement plus rien à manger !
Ni pour nous, ni pour nos animaux.

Aujourd’hui déjà, nous dit Bourguignon, « un pays comme la Hollande, parce qu’il s’est incroyablement intensifié au niveau agricole, a perdu 75% de sa flore ».

En attendant de subir le même sort, les autres pays, à cause de la compacité croissante de leurs sols, subissent de plus en plus d’inondations, alors même que nous traversons les années les plus sèches que nous ayons connues depuis trois mille ans.

Bref, c’est tout cet ensemble de dégradations inquiétantes qui amène Claude Bourguignon à proposer une petite rectification de terminologie.

« A présent il ne faut plus parler d’appauvrissement des sols », insiste-t-il, « mais carrément de mort des sols ».

Un parcours difficile
Frère de l’actrice Anémone, Claude Bourguignon est né en 1951, « à une époque », se souvient-il, « où le lait avait encore le goût de lait ».

Après avoir suivi une formation à l’Institut National Agronomique Paris-Grignon, il occupe une chaire d’agronomie à l’INRA. C’est dans le cadre de cette prestigieuse institution que, dans les années 80, il mettra au point une méthode de mesure de l’activité biologique des sols… et constatera qu’en Europe 90% de cette activité microbiologique avait été détruite.

Ceci lui vaudra naturellement la plus franche réprobation de la part de ses pairs et sa définitive mise à l’écart.

Accuser les techniques d’agriculture intensive, qui permettaient enfin de nourrir toute l’humanité, de mettre à mal quelques vers de terre et autres microbes faisait indéniablement preuve du plus extrême mauvais goût !

D’autant que l’INRA était précisément financée par les producteurs de fongicides et d’insecticides.

Réduit au silence et à l’impuissance, il quitta l’INRA et, en compagnie d’une de ses consoeurs qui devint son épouse, il se mit à son propre compte et créa le « Laboratoire d’analyse microbiologique des sols », grâce auquel  il propose aux agriculteurs des moyens, respectueux de l’environnement, pour restaurer et préserver leurs terres.

Dans le même temps, le professeur Bourguignon devint conférencier et formateur, membre de la Société d’écologie, de la Société américaine de microbiologie, expert du sol auprès de la communauté européenne, et enseignant à la chaire de pédologie et de microbiologie du sol de Beaujeu.

Ses nombreux travaux font, aujourd’hui encore, référence auprès des agriculteurs biologiques et biodynamiques qui, grâce à lui, ont pu développer des techniques alternatives extrêmement efficaces.

Une situation grave, mais pas désespérée
« En Europe », constate le professeur Bourguignon, « le taux de matière organique du sol est passé de 4% à 1,4% en cinquante ans.

Comme toute la vie en dépend, la flore et la faune s’écroulent.

Les populations d’oiseaux, de reptiles et de batraciens ont, par exemple, chuté de 90% en un demi-siècle ».

Comment en est-on arrivé là ?
Tout d’abord à cause de labours trop profonds, répond-il.

Mais aussi, bien entendu, à cause des engrais chimiques et des désherbants qui empoisonnent une bonne partie de la vie souterraine et prive l’autre de nourriture.

Après cela, tout n’est plus qu’une question de réactions en chaîne : le lessivage chimique entraîne la perte du calcium et l’acidification des sols ; sans calcium, l’argile n’est plus retenue et s’en va avec les eaux de ruissellement ; et pour finir, il y a l’érosion.

« En France, 60% des sols sont frappés d’érosion.

Actuellement, nous perdons en moyenne quarante tonnes de sol par hectare et par an.

A ce rythme, dans trois siècles, la France ce sera le Sahara ! ».

Le pire, c’est que plus les sols se stérilisent, et plus il faut d’engrais chimiques pour arriver à en tirer quelque chose.

Un « quelque chose » qui s’avère hélas d’une qualité de plus en plus infecte.

Conséquence : « Le pain français est de si mauvaise qualité qu’il se dessèche à toute allure »

Que faire, alors ?
Sans hésiter, le professeur estime qu’il n’est pas encore trop tard et, qu’à condition de changer de type d’agriculture, en réinjectant de la matière organique, en replantant des haies ou encore en reboisant, on devrait pouvoir réhabiliter la plupart des terres violées et assassinées par les méthodes barbares de l’industrie.  

De toute manière, l’agriculture conventionnelle est actuellement peut-être plus malade que les plantes qu’elle essaie de faire pousser.

En effet, non seulement les rendements stagnent et la qualité des produits ne cesse de diminuer, mais, en plus, le secteur ne survit que grâce aux subventions.

Sans compter qu’à l’heure de la crise économique on va sans doute commencer à préférer une agriculture qui génère des emplois.

Or, comment oublier que les faillites se multiplient dans le monde rural et que trente mille agriculteurs disparaissent chaque année ?

Comment oublier, pour résumer la situation, qu’au cours de ces cinquante dernières années 92% des agriculteurs ont disparu à cause des méthodes intensives ?

Estimer et réhabiliter
L’autre type d’agriculture, on s’en doute, ce serait l’agrobio.

Mais telle quelle est aujourd’hui pratiquée, est-on en droit d’affirmer qu’elle représenterait une solution d’avenir ?

Selon Bourguignon, s’il est vrai que les sols bio présentent une microbiologie beaucoup plus active que ceux travaillé en conventionnel, encore trop d’agriculteurs récemment convertis reproduisent certaines erreurs de l’ère industrielle, par exemple en épandant trop d’engrais ou en labourant trop profond.

Bref, ils se contentent de remplacer le chimique par l’organique.

Ce qui n’est évidemment pas suffisant !

Ce qu’il faut, c’est une approche à la fois scientifique et de bon sens.

C’est pourquoi Bourguignon cherche avant tout à déterminer ce que tel ou tel sol est capable de produire en fonction de sa fertilité naturelle.

« Tout le monde veut faire 100 quintaux à l’hectare en France. Cela ne tient pas debout.

On ne roule pas à 240 km/h avec une 2 CV. C’est pareil avec les sols ».

Pour évaluer la fertilité naturelle d’un sol, il prélève donc des échantillons à différentes profondeurs et emplacements jusqu’à la roche mère.

« Pour moi », nous explique-t-il, « les différentes couches du sol c’est un peu comme des strates dans une forêt équatoriale avec ses différents niveaux écologiques et ses microbes variés : de multiples situations biologiques ».

Il étudie alors le degré d’acidité, la capacité des charges captioniques, l’évolution et la qualité des argiles, compare « le travail accompli par la nature et celui de l’homme », et surtout apprécie comment l’activité biologique évolue dans la profondeur du sol.

D’après son expérience, l’activité biologique des sols en bon équilibre baisse avec la profondeur jusqu’à environ 30 centimètres, pour ensuite rester parallèle à la roche mère.

En revanche, les sols en voie de dégradation présentent un mauvais humus, de bonnes argiles au fond et de mauvaises argiles à la surface ; et enfin les sols morts ont une activité biologique qui n’est pas plus forte en surface que dans la partie minérale.

Une fois établi ce bilan biologique, il conseille à l’agriculteur un amendement tripartite, consistant à améliorer le sol, puis à fertiliser les microbes et les plantes.

Globalement, résume-t-il, le sol s’améliore à l’aide de compost, d’argiles et de calcium.

Les bactéries se fertilisent avec le compost, les engrais verts, la rotation des cultures et les roches broyées.

Quant aux plantes, elles seront tout simplement nourries avec ce que les précédentes ont consommées : « Vous prélevez 50 kg d’azote ? Vous restituez 50 kg d’azote ».

Le bon sens incarné !
Quelques recommandations du professeur Bourguignon :
Replanter des haies en maillage de 20 hectares.
  Reboiser les zones sensibles.
 Gérer la matière organique des villes à part des gadoues industrielles afin de pouvoir remonter le taux de matière organique des sols.
  Remplacer la culture du maïs, trop consommatrice d’eau, par celle du sorgho.
  Employer le bois raméal fragmenté pour réinjecter de l’organique dans les sols.

Jean-Baptiste Loin

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Permaculture France
http://www.permaculture.fr/

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Like a Star @ heaven source http://www.bioecolo.info/agriculture/la-permaculture-votre-jardin-biologique-et-ecologique-pour-longtemps
La permaculture, votre jardin biologique et écologique pour longtemps
Découvrez un nouveau style de vie bio, éthique et responsable. Rejoignez la RÉVOLUTION GREEN!


Ecologie et bio, blog nature
Posté le 17th novembre 2010

Connaissez-vous la permaculture ?
Ecologie et bio, blog nature

 Posté le 17th novembre 2010
La permaculture, votre jardin biologique et écologique pour longtemps
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Connaissez-vous la permaculture ?
Permaculture bio

La permaculture est un concept permettant de faire de la polyculture durable. En d’autres termes, cette nouvelle pratique agronome consiste à organiser et planifier la plantation de plusieurs espèces végétales afin de créer un nouvel écosystème résilient et autonome. Cette pratique est en totale opposition avec la monoculture extensive industrielle que la globalisation a généralisée au niveau planétaire. La permaculture permet de créer un système agraire où une grande variété de fruits et légumes et autres arbres nourriciers poussent sans entretien ni engrais à partir d’un certains seuil. Après avoir mis en place le système (qui peut prendre plusieurs mois), il suffit alors à récolter les fruits que l’on a semés

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Le blog de Pierre Rabhi
https://www.colibris-lemouvement.org/passer-a-laction/agir-quotidien/faire-son-jardin-potager-agroecologique

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source http://positivr.fr/pascal-poot-legumes-sans-eau/
Pascal Poot : ce français qui cultive ses légumes sans eau
Pascal Poot est un paysan à part : il fait pousser ses légumes... sans jamais les arroser ! Son secret ? "Faire exprès de ne rien faire !" Et ça marche.

Par Axel Leclercq - 10 septembre 2015
Faire pousser des légumes sans pesticides, on savait déjà que c’était jouable (encore heureux !). Mais les faire pousser sans une goutte d’eau, ça semblait mission impossible. Pourtant, c’est ce que fait Pascal Poot à longueur de saisons… même en temps de sécheresse. Les scientifiques agronomes en sont stupéfaits.

Pascal Poot cultive trois hectares près de Béziers. Son secret : bannir tout ce qui est artificiel et revenir aux sources de l’agriculture, faire comme du temps où les paysans ne disposaient ni de pesticides, ni de savants systèmes d’irrigation, ni d’aucun produit chimique.

« Depuis trente ans, j’ai commencé à faire de la sélection moi-même et à faire en sorte que les plantes apprennent à résister par elles-mêmes aux maladies. Et ça marche. »

Grâce à cette méthode vieille comme le monde, Pascal Poot n’a même plus besoin d’arrosoir. Canicule ou pas canicule, il ne verse pas une goutte d’eau sur ses terres. Il ne fait que planter des graines… et revenir trois mois plus tard pour la cueillette.

« Je fais exprès de ne rien faire du tout. Je ne fais jamais rien. »
En plus, ses légumes sont magnifiques et, paraît-il, à tomber par terre ! Fascinant qu’on vous dit, fascinant.

France 2 est allé à la rencontre de ce paysan autodidacte qui bluffe tant le monde agricole. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est une belle rencontre.

JARDINER en évitant de s'empoisonner 262171387

JARDINER en évitant de s'empoisonner 4035768151 http://www.permaculture.cf/2015/09/faire-pousser-des-legumes-sans-eau-cest.html?m=1

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