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 R = Pucerons

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MessageSujet: R = Pucerons   R = Pucerons EmptySam 17 Avr 2021 - 18:53

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source https://www.futura-sciences.com/planete/definitions/insecte-cochenille-18653/
Cochenille
Céline Deluzarche Journaliste
Les cochenilles sont des insectes piqueurs-suceurs appartenant à l'ordre des hémiptères et à la super famille des Coccidés. On en recense plus de 8.000 espèces qui vivent dans des habitats et sous des latitudes très variés. En France, on trouve près de 400 espèces dont la plupart ont été importées d'autres régions du monde.
On distingue trois types de cochenilles :
les cochenilles farineuses (Pseudococcines) ;
les cochenilles à bouclier (Diaspines) ;
les cochenilles à carapace (Lécanines).

Les plus communes sont la cochenille farineuse, la cochenille du mûrier, la cochenille noire de l'olivier, le pou rouge des orangers, le pou de San José ou encore les Lécanies du pêcher et du cornouiller.

Identification de la cochenille
La cochenille présente un dimorphisme sexuel marqué : les mâles ressemblent à des moucherons et ne s'alimentent pas, vivant à peine un ou deux jours le temps de la reproduction.
La femelle, au corps plat et large comme couvert d'écailles, de galle ou de cire, mesure de 1 à 8 millimètres, est dépourvue d'ailes et parfois de pattes.
Elle pond entre 15 et 6.000 œufs par jour et peut vivre de quelques mois à plusieurs années.
C'est elle qui va se nourrir de la sève des plantes et sécréter un miellat collant sur les feuilles ou le tronc.

La cochenille farineuse de l’oranger (Planococcus citri) s’attaque à plus de 80 types de plantes en vergers et cultures ornementales (ficus, palmier, rosier, gerbera…). © silversea_starsong, iNaturalist

Les dégâts et symptômes occasionnés par la cochenille
Un quart environ des espèces de cochenilles ont un caractère nuisible pour les cultures. Du fait de leur diversité, les cochenilles s'attaquent à tous types de végétaux : arbres, fleurs, plantes ornementales... Dans la plupart des cas, le prélèvement de la sève entraîne la perte d'éléments nutritifs, un affaiblissement général de la plante et la perturbation de sa croissance, un jaunissement des feuilles allant jusqu'à leur chute partielle ou totale. De plus, l'injection de salive plus ou moins phytotoxique contribue à la déformation des feuilles et au dessèchement des branches. Enfin, le miellat excrété par l'insecte peut recouvrir en grande partie les feuilles et les fruits, ce qui entraîne une réduction de la photosynthèse et favorise le développement de champignons pathogènes. La cochenille occasionne ainsi des pertes considérables dans l'horticulture, ou sur les arbres fruitiers (abricotiers, poiriers, pommiers...).

Lutte contre les cochenilles
L'interdiction de certaines familles d'insecticides neurotoxiques jugées très efficaces par le passé a favorisé l'émergence de nouvelles espèces de cochenilles en France. Aujourd'hui, la lutte passe de préférence par des moyens biologiques, comme le nettoyage des feuilles à l'alcool isopropylique à 70 % ou à l’eau savonneuse, ou le recours à des prédateurs ou parasites de la cochenille (coccinelle, chrysope, thrips, hyménoptères...).
Cependant, toutes les cochenilles ne sont pas considérées comme nuisibles. La Dactylopius coccus, qui parasite le cactus, produit ainsi de l'acide carminique, un pigment rouge utilisé dans l'alimentaire ou les produits de beauté.

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MessageSujet: Re: R = Pucerons   R = Pucerons EmptySam 17 Avr 2021 - 19:00

source https://www.jardinsdefrance.org/les-cochenilles-ces-vieilles-ennemies-du-jardinier/
Les cochenilles : ces vieilles ennemies du jardinier
Jean-François Germain ,  Philippe Kreiter
 
Les cochenilles constituent une importante super-famille d’insectes de l’ordre des Hémiptères.
Elles se développent sur toutes les parties de leurs plantes-hôtes : feuilles, tiges, branches, troncs, fruits ou racines, parfois sous les écorces et peuvent même provoquer des galles.
Au cours de leur évolution, elles ont établi des associations étroites avec leurs hôtes.
Un peu plus de 400 espèces sont présentes en France, distribuées dans 18 familles, dont quatre sont prépondérantes : les Pseudococcidae, les Diaspididae, les Coccidae et les Eriococcidae, qui constituent 90 % de l’ensemble.
Sur ce nombre, une centaine d’espèces sont des nuisibles occasionnels et plusieurs espèces sont des ravageurs permanents d’importance économique.
Un quart des espèces présentes en France sont d’origines exogènes, importées la plupart du temps via le commerce des plantes et, parmi les espèces considérées comme ravageurs en France, la moitié est arrivée depuis moins d’une centaine d’années.
C’est le cas, par exemple, de la cochenille australienne, Icerya purchasi, ou du pou de San José, Comstockaspis perniciosa, arrivés tous les deux dans la première moitié du XXe siècle.
Mais toutes ne sont pas nuisibles, certaines ont été utilisées pendant des siècles pour la production de colorants et de laques comme Kermes vermilio et Dactylopius coccus.

LEUR MODE DE REPRODUCTION
Les cochenilles sont des insectes avec un dimorphisme sexuel très marqué.
Les femelles sont aptères, de petite taille (de 0,5 à 10 mm), et présentent un corps ovale ou circulaire, plat à convexe, sans distinction de tête, thorax et abdomen. La plupart du temps elles sont sédentaires.
Elles peuvent vivre de quelques mois à plusieurs années.
Les mâles adultes sont très petits (0,5 mm).
Habituellement pourvus d’une paire d’ailes à nervation très réduite et d’une paire de balanciers, leurs pièces buccales sont absentes ou rudimentaires.
Ils ne se nourrissent pas et sont présents le temps d’assurer la reproduction.
Dès leur émergence, les mâles sont attirés par les phéromones émises par les femelles et vont s’accoupler avec celles-ci.
Elles produisent alors d’une dizaine d’oeufs à plusieurs milliers.
Elles pondent leurs oeufs dans une cavité délimitée par leur corps ou dans un ovisac attaché à celui-ci, ou bien les conservent dans leur tractus génital.
Les larves ressemblent aux adultes et ont le même mode de vie que la femelle adulte.
Chez le mâle, le développement est à métamorphose complète.

Les jeunes larves sont très mobiles sur la plante-hôte.
Elles peuvent facilement être emportées par le vent et/ou transportées par des fourmis, voire par l’homme.
On trouve là le mode principal de dissémination de l’insecte.
La larve se nourrit en enfonçant ses stylets (pièces buccales) dans les tissus de la plante-hôte. Voici trois espèces, appartenant chacune à l’une des trois principales familles.

LES PSEUDOCOCCIDAE AVEC PSEUDOCOCCUS VIBURNI (SIGNORET)
Les Pseudococcidae sont plutôt de forme allongée avec des pattes et des antennes bien développées.
Leur corps est couvert d’une pruinosité souvent blanche et le corps ornementé, sur son pourtour, de filaments cireux plus ou moins longs.
Ces espèces présentent plusieurs générations par an, qui se chevauchent, car tous les stades peuvent hiverner avec, tout de même, une majorité de femelles.

LES COCCIDAE AVEC SAISSETIA OLEAE (OLIVIER)
Les femelles adultes sont de forme ovale allongé, le plus souvent convexe, quelquefois aplaties, avec un exosquelette dur et lisse.
Les pattes sont en général bien développées. La plupart deviennent globuleuses en vieillissant.

Saissetia oleae connaît une seule génération par an.
Ses prélèvements de sève peuvent causer des dommages directs aux plantes.
Absorbant une grande quantité de phloème pour en consommer les acides aminés, les femelles éliminent le surplus de sucre sous forme de miellat (souvent exploité par les fourmis).
Ce miellat peut recouvrir les feuilles et les fruits, permettant le développement de fumagine.
Il peut y avoir réduction de la photosynthèse avec des conséquences sur la fructification.
La qualité esthétique des productions ornementales peut également être dévaluée.
Les Pseudococcidae et les Coccidae peuvent également être vecteurs de virus.

LES DIASPIDIDAE AVEC PSEUDAULACASPIS PENTAGONA (TARGIONI, TOZZETTI)
La femelle possède un bouclier protecteur composé de sécrétions et des exuvies larvaires.
Il la recouvre simplement mais peut parfois la contenir entièrement.
Son corps est dépourvu d’yeux.
Les pattes sont absentes ou rudimentaires, tout comme les antennes.
Les derniers segments du corps sont ornementés de palettes, de peignes ou d’épines glandulaires.

Les Diaspididae ne sécrètent pas de miellat mais peuvent provoquer des décolorations de feuilles, des taches rouges ou noires sur les fruits, ainsi que le dépérissement des tiges.

Généralement les Diaspididae hivernent au stade femelle, à l’exception de certaines espèces comme le pou de San José, qui hiverne à un stade larvaire.

Comme tous les insectes, les cochenilles sont exothermes et leur vitesse de développement, ainsi que le nombre de générations, variera en fonction de la température.
Des espèces comme Pseudaulacaspis pentagona, qui connaîtra une seule génération dans la partie septentrionale de la France, en verra trois dans le Sud (voire quatre ou cinq en Corse).

LA LUTTE
L’observation est primordiale pour réussir à limiter les populations de ces ennemis des jardins.

Les Diaspididae se regroupent souvent les unes avec les autres, formant ainsi de véritables encroûtements.
Des traitements à base d’huile de paraffine ou végétale sont recom-mandés en hiver afin de créer une pellicule qui va les asphyxier.
D’autres, à base de savon noir, au moment de l’émergence des larves, viendront compléter la lutte.
Cette pellicule de savon noir desséchera les larves dépourvues de bouclier protecteur.

Contre les Pseudococcidae et les Coccidae, qui sécrètent du miellat, ces traitements à base de savon potassique nettoieront également la fumagine sur le végétal.
Le nombre de traitements variera en fonction du nombre de générations.

Pour les arbres à feuilles caduques, un traitement en hiver à base d’eau à haute pression viendra décoller les individus hivernants logés dans les interstices du tronc, sectionnant les stylets buccaux et entraînant leur mort.
La ponte printanière s’en trouvera d’autant plus réduite.

Les ennemis naturellement présents dans l’environnement jouent un rôle crucial dans la limitation des cochenilles.
Parmi ceux-ci, on retrouve des microguêpes parasites qui pondent dans le corps des cochenilles, dévorant ainsi chaque individu de l’intérieur pendant leur développement.
Une fois émergé, ce parasitoïde adulte se nourrira de nectar de fleurs.
Les coccinelles sont aussi de véritables alliées du jardinier.
Elles arrivent souvent au moment où les populations de cochenilles sont importantes, contrairement aux parasitoïdes.
D’autres, plus discrets, jouent aussi un rôle prépondérant dans la limitation des populations comme les pince-oreilles, les chrysopes ou mêmes les guêpes, importants prédateurs de jeunes larves.

Si les populations d’ennemis naturels ne sont pas assez importantes, on peut essayer de les renforcer en achetant des auxiliaires auprès des jardineries.
Mais souvent, la spécificité de leurs régimes alimentaires rend difficile le choix des insectes à introduire.

À LIRE…
– Germain J.-F. 2011. Les cochenilles, voyageuses au long cours. Présentation de ces fausses sédentaires, de leur taxonomie aux espèces nuisibles en France. Phytoma. 647 : 31-34.

– Scalenet, base de données internationale dédiée aux cochenilles : http://scalenet.info/

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MessageSujet: Re: R = Pucerons   R = Pucerons EmptySam 17 Avr 2021 - 19:23

source https://www.insectosphere.fr/pucerons
PUCERONS
Les pucerons, une grande famille d'insectes ravageurs ...
Un puceron, qu'est-ce que c'est ?
Les aphidés, plus communément appelés pucerons, sont une vaste famille qui regroupe plus de 4000 espèces dans le monde, dont 250 sont des ravageurs de cultures.
Leurs principales caractéristiques sont : un corps mou et de petite taille (généralement de 2 à 4 mm), la présence d'un rostre (appareil buccale ressemblant à une seringue) qui lui permet de prélever sa nourriture, et enfin, une paire de cornicules disposée à l'extrémité de l'abdomen.

Mais suivant les espèces, les pucerons peuvent présenter des aspects bien différents : certains sont capables de produire différentes substances cireuses qui leur donnent un aspect laineux ou farineux.
C'est le cas du puceron cendré du chou ou du puceron lanigère du pommier.
Les couleurs qu'ils arborent sont variées, et peuvent parfois être vives, c'est le cas du puceron jaune du laurier rose, et du puceron rose du rosier.

Un peu de biologie ...
Le puceron est un insecte piqueur-suceur.
Pour se nourrir, il ponctionne les tissus des végétaux pour en prélever la sève.
Tous les organes sont touchés : les feuilles, les tiges, les fleurs, les fruits et même les racines !
Une fois la sève prélevée, celle-ci va être digérée, mais là, le puceron rencontre un problème ...
La sève est en effet très riche en sucre et plutôt pauvre en protéine, or ce sont les protéines qui intéressent notre puceron !
Il va donc prélever d'importantes quantité de sève et rejeter le sucre à l'extérieur de son corps.
Ce liquide qui suinte à l'extrémité de son abdomen est appelé miellat.
Il est très prisé des fourmis, des guêpes et des abeilles.

Le cycle de reproduction du puceron est assez complexe, mais il peut être résumé en 4 grandes phases :
-L'éclosion des œufs à la sortie de l'hiver : le puceron passe l'hiver sous forme d’œufs, qui sont généralement pondus dans les écailles des bourgeons. Dès que les températures sont plus clémentes, les bourgeons commencent à s'ouvrir et les œufs à éclore. Il en sort des femelles pucerons uniquement, celle-ci sont appelées les fondatrices.

-La multiplication au printemps : les fondatrices se reproduisent par parthénogenèse vivipare, c'est à dire qu'elles donnent directement naissance à de jeunes pucerons qui sont identiques à leur mère (nous pouvons comparer cela au clonage). Il n'y a pas besoin de mâle pour ce mode de reproduction. Les premières colonies commencent à apparaître et les jeunes pucerons grandissent rapidement et commencent eux aussi à se reproduire de la même manière que leur mère. La croissance de la colonie est alors exponentielle !

-La dissémination : un puceron n'est pas du tout adapté à la marche et se retrouve donc incapable de parcourir de grandes distances. Lorsque la plante se retrouve entièrement colonisée ou bien lorsque l'habitat devient défavorable (présence de prédateurs, sécheresse...), les pucerons se parent d'ailes qui vont leur permettre de coloniser d'autres plantes, et ceci parfois à des milliers de kilomètres !

-La reproduction sexuée à l'automne et la ponte des œufs : dans nos régions ou les hivers sont parfois rigoureux, les pucerons ne peuvent pas survivre sous leur forme adulte. A l'automne ou à la fin de l'été, les femelles commencent à donner naissance à des mâles. Ceux-ci vont s'accoupler avec les femelles qui commenceront alors à pondre des œufs. Disposés dans les écailles des bourgeons, ces œufs patienteront tout l'hiver jusqu'au retour du printemps où un nouveau cycle recommencera.

Les dégâts provoqués par les pucerons
Si les coccinelles ou les autres insectes auxiliaires sont absents, une petite colonie de pucerons peut rapidement envahir toute la plante ! Les attaques de pucerons sont problématiques pour 4 raisons :
-En piquant la plante pour se nourrir de sève, ils l'affaiblissent considérablement. En effet, ils provoquent un ralentissement de sa croissance, une chute des feuilles, des décolorations et une baisse de la production de fruits et légumes.

-Pour se nourrir, les pucerons injectent une salive toxique dans les tissus de la plante, ce qui a pour conséquence de déformer les feuilles, les tiges, les fleurs et les fruits.

-Comme vu précédemment, les pucerons rejettent un excédent de sucre appelé miellat. Celui-ci est très poisseux et collant et va rester sur les feuilles, favorisant le développement d'un champignon : la fumagine. Celle-ci forme un feutrage noire sur les feuilles et les tiges qui ne peuvent plus fonctionner normalement.

-Un dernier point peu connu est la capacité des pucerons à transmettre des virus aux plantes infestées. On peut citer par exemple le virus de la mosaïque du concombre ou la sharka sur les pommiers et de nombreux autres prunus.

La lutte biologique contre les pucerons
Avant toute chose, il est bon de rappeler que les pucerons sont à la base de l'alimentation de toute une cohorte d'insectes. Vouloir les éradiquer complètement serait néfaste pour la biodiversité du jardin et contre productif. En effet, les insectes bénéfiques, comme les coccinelles, disparaîtraient avec eux...  Mais dans certains cas, les cultures fruitières, potagères ou ornementales peuvent subir de lourds dégâts à cause d'une pullulation des pucerons. Il convient alors de réguler leur population, et de l'abaisser à un seuil acceptable qui ne compromettra pas les récoltes.

Pour cela, il existe plusieurs solutions :
Des traitements naturels et bio contre les pucerons (voir sur le lien)

Des lâchers d'auxiliaires de lutte biologique
Un autre moyen de lutte contre les pucerons qui est beaucoup plus efficace que les traitements, si les conditions sont respectées, est l'utilisation d'agents de lutte biologique ! Le plus emblématique de ces auxiliaires, et le plus connu, est de loin la larve de coccinelle. Il est important de savoir que les pucerons émettent des composés toxiques, qui varient d'une espèce à une autre. Ces composés présents dans leurs corps les rendent toxiques et dissuadent d'éventuels prédateurs de les attaquer. Suivant les espèces de coccinelles, elles peuvent détoxifier ces pucerons afin de les consommer sans risquer de nourrir. C'est pour cela que chaque espèce de coccinelle est spécialisée dans un type de pucerons. On peut citer quelques exemples :

Le puceron noir de la fève n'est pas consommé par la coccinelle à 2 points alors qu'il est très apprécié de la coccinelle à 7 points.
Le puceron jaune du laurier rose est mortel pour les coccinelles à 2 et 7 points alors qu'il est consommé par la coccinelle à 11 points.

Chez Insectosphère, nous élevons nous même nos coccinelles, dans le département de l'Ain.
Nous produisons uniquement des espèces françaises, et chacune est spécialisée dans la chasse d'un type de puceron :

La coccinelle à 2 points, Adalia bipunctata, la spécialiste des pucerons des arbres.
La coccinelle à 2 points, Adalia bipunctata, est redoutable contre les pucerons noirs du cerisier et les pucerons du pommier.
Pour lutter contre :
Les pucerons des arbres ornementaux : les pucerons du tilleul, les pucerons de l'érable...
Les pucerons des arbustes : les pucerons du rosier

La coccinelle à 7 points, Coccinella septempunctata, redoutable au potager et sur les rosiers.
Lutter contre les pucerons du potager avec la coccinelle à 7 points, Coccinella septempunctata.
Pour lutter contre :
Les pucerons des plantes potagères tels que : le puceron noir de la fève, les pucerons du haricot, les pucerons des courgettes, les pucerons du chou, les pucerons de la pomme de terre...
Les pucerons verts et roses du rosier.

La coccinelle à 11 points, Hippodamia undecimnotata
La coccinelle à 11 points permet de lutter contre le puceron jaune du laurier rose : Aphis nerii
Pour lutter contre :
Le puceron jaune du laurier rose.
Les pucerons des plantes potagères.
Les pucerons du rosier.

La coccinelle à virgules, Exochomus quadripustulatus
Installer précocement, la coccinelle à virgules est efficace pour lutter contre le puceron lanigère du pommier.
Pour lutter contre :
Le puceron lanigère du pommier.
Les cochenilles pulvinaires des arbres et arbustes, telles que : la cochenille pulvinaire du marronnier, la cochenille pulvinaire de l'hortensia, la cochenille floconneuse...

hez InsectÖsphère, nous vous proposons des œufs, des larves ou des coccinelles adultes. Avant d'acheter des coccinelles, nous vous conseillons de lire notre guide d'achat de coccinelles.

La création d'habitats et refuges pour les insectes auxiliaires au jardin
Les abris pour l'hiver
Les coccinelles de nos régions traversent la mauvaise saison au stade adulte. Suivant les espèces, elles passent l'hiver seules, ou bien en groupe de quelques individus à plusieurs centaines. Elles choisissent généralement des endroits secs, bien exposés et à l'abris des vents dominants et des intempéries.

Les sites d'hivernation se situent le plus souvent à proximité du lieu ou elles sont nées, mais certaines espèces, telles que la coccinelle à 11 points , effectuent de véritables migrations de plusieurs centaines de kilomètres, pour se regrouper dans des fissures de parois rocheuses en altitude. Pour la coccinelle à 2 points, à 7 points et à virgules , les sites choisis sont généralement de petites cavités dans les arbres , des nichoirs à oiseaux contenant le nid de la saison précédente, sous l'écorces des arbres morts , dans une litière de feuilles mortes , dans des murets en pierres sèches et dans des arbustes au feuillage persistant et compact .

Le lierre et un mur de pierres sèches constituent un refuge idéal pour les prédateurs des pucerons, tels que les coccinelles.

Pour maintenir d'une année à l'autre vos coccinelles et autres auxiliaires au jardin, il est important de leur mettre ces sites d'hivernation à disposition. Installez les le plus près possible des plantes sensibles aux attaques précoces de pucerons (par exemple à proximité d'orties, de pommiers, de rosiers, de pois, ou de fèves...). En effet, lors de leur réveil printanier, les coccinelles sont affamées et affaiblies par des mois de jeun. Elles se jetteront sur les premiers pucerons du jardin !

Il n'existe pas de bons abris à coccinelles dans le commerce, le mieux est d'en créer un vous même (un amas de pierre, de la litière de feuilles mortes ou d'herbes sèches abritées suffisent amplement). Pour les chrysopes qui sont également d'excellents auxiliaires de lutte biologique contre les pucerons, vous pouvez installer un abri à chrysopes .

Un habitat varié pour nourrir les auxiliaires
Les coccinelles et de nombreux autres prédateurs de pucerons, ont besoin de se nourrir du printemps à l'automne. Pour cela, il faut qu'ils aient du puceron à disposition durant toute la belle saison. Avoir une grande diversité d'arbres, d'arbustes et de plantes à fleurs au jardin, offre une source de nourriture variée et étalée dans le temps. Quelques plantes sont à privilégier : les tilleuls, les chênes, les sureaux, le fusain, la spirée de printemps, les moutardes, l'ortie... La liste est longue, mais privilégier toujours les plantes de nos régions !

L'ortie est une plante très appréciée des pucerons et donc des coccinelles.

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MessageSujet: Re: R = Pucerons   R = Pucerons EmptyMer 12 Jan 2022 - 15:14

source https://positivr.fr/jardin-coccinelle-utile-pour-lutter-contre-les-pucerons/
Coccinelle : 6 conseils pour l’attirer dans son jardin et lutter contre les pucerons
Voici quelques conseils simples et très utiles pour attirer la coccinelle dans son jardin ou sur son balcon.

Publié le 7 mai 2021
Mis à jour le 17 mai 2021

Vous l’ignorez peut-être, mais la coccinelle est un auxiliaire bien utile au jardin.
Cet insecte rouge à pois noirs qu’on laisse se promener sur le bout de nos doigts est d’une aide précieuse pour lutter contre les pucerons, les ennemis jurés des jardiniers.

Les pucerons sont les nuisibles les plus redoutés par les mains vertes.
Et pour cause, ils aspirent la sève de nos jolies plantes, attirent les fourmis et favorisent l’apparition de champignons.
Mais saviez-vous que les coccinelles étaient leurs ennemis n°1 ?

Alors, si vous souhaitez attirer ces insectes dans votre jardin ou sur votre balcon, suivez ces 6 astuces simples, pratiques et naturelles.

#1 Reconnaître les coccinelles de nos jardins
Parmi les deux espèces de coccinelles les plus courantes, on retrouve la coccinella septempunctata et l’adalia bipunctata.
La première est la plus répandue en Europe.
Elle se caractérise par sa couleur rouge orangée à 7 points et arpente généralement les plantes herbacées de moins d’un mètre.

La seconde est, quant à elle, de couleur rouge avec un point noir sur chacune des élytres (qui sont les deux ailes antérieures dures et cornées), mais elle peut aussi être noire à pois rouges.
Elle se promène généralement dans les plantes hautes, les arbres et les arbustes.

#2 Bannir les produits chimiques
Eh oui, notre insecte rouge à pois noirs est souvent décimé par les insecticides et les pesticides.
Alors, pour leur bien-être, il est recommandé de ne pas utiliser de produits phytosanitaires dans son jardin.

Si vous souhaitez en finir avec les mauvaises herbes, par exemple, privilégiez donc les traitements naturels, tels que les engrais ou les bonnes associations de plantes.
Attention toutefois si vous avez tendance à utiliser du purin de plantes. Sachez que ce mélange peut éloigner les coccinelles.

#3 Laisser la nature s’épanouir
Pour attirer les coccinelles, préserver un jardin au naturel.
En effet, elles adorent se cacher dans les orties ainsi que dans les herbes hautes.
Alors, tâchez de maintenir des massifs d’arbustes, des haies et quelques mauvaises herbes.

Et si vous êtes un maniaque du jardinage, n’abusez pas trop de la tondeuse, du coupe-bordure et laissez-leur, de temps en temps, ce petit plaisir et réconfort.

#4 Favoriser la diversité des plantes
Nos amies les coccinelles se plairont davantage dans un jardin composé de plantes variées.
En effet, ces petits insectes se nourissent de miellat (liquide visqueux excrété par les pucerons, les psylles ou encore les cochenilles), mais également de pollen et de nectar, alors n’hésitez pas à planter des fleurs méllifères.

De plus, afin de leur apporter toutes les réserves dont elles ont besoin, vous pouvez aussi planter des noisetiers, des pissenlits, des graminées ou encore des sureaux, qui est un vrai garde-manger pour la biodiversité.

#5 Construire une petite maison
Comme beaucoup d’insectes et d’animaux, les coccinelles ont besoin d’un abri pour passer l’hiver bien au chaud.
Et si elles adorent se cacher dans les haies, les écorces des arbres, les tas de bois, ou encore les herbes hautes, elles aiment également être dans un endroit clos, sec, à l’abri du vent et de la pluie.

Vous pouvez donc installer un hôtel à insectes, que vous aurez acheté dans le commerce ou bien construit vous-même.
Pour le fabriquer, rien de plus simple : il suffit de créer une petite boîte en bois contenant des planchettes fixées horizontalement, par exemple.

#6 Installer un point d’eau
Pour avoir encore plus de chances d’accueillir des coccinelles dans votre jardin, vous pouvez également installer un petit bassin ou un point d’eau.
Cette astuce naturelle et très pratique permettra à l’insecte de s’hydrater et de se rafraîchir en période estivale.

Une chose est sûre, en adoptant ces précieux conseils, la coccinelle ne pourra plus se passer de votre extérieur.

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MessageSujet: Re: R = Pucerons   R = Pucerons EmptyVen 24 Fév 2023 - 13:37

R = Pucerons 3784806714   source http://www.consommerdurable.com/2009/05/2-methodes-ecologiques-et-simples-pour-lutter-contre-les-maladies-des-plantes-domestiques/

Comment réaliser un insecticide naturel (lutte contre les pucerons, …) :
-écraser 2 gousses d’ail
-mélanger avec un litre d’eau du robinet
-laisser macérer pendant 24 h la préparation
-filtrer et pulvériser la solution obtenue.

Les précautions d’utilisation :
Penser à vérifier que la solution obtenue n’engendre pas d’impact négatif sur la plante (brulure, etc…) en réalisant une première pulvérisation sur une petite partie du feuillage.
Arrêter le traitement si vous vous apercevez qu’il a un impact négatif sur la plante.

R = Pucerons 262171387
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MessageSujet: Re: R = Pucerons   R = Pucerons EmptyVen 24 Fév 2023 - 13:41

R = Pucerons 2228177561  source http://www.rustica.fr/tv/lutte-bio-contre-pucerons,7783.html
La lutte bio contre les pucerons
Hubert nous explique en images quelles sont les méthodes naturelles pour se débarrasser des pucerons sans avoir recours à l'utilisation de pesticides.

Les pucerons s'attaquent aux jeunes pousses de vos plantes. Plus le sol contient de l'azote plus les plantes qui y poussent auront des chances d'être attaquées par les pucerons.
Là où il y a des pucerons il y a des coccinelles. Une larve de coccinelle indigène peut en consommer jusqu'à 50 par jour contre 100 par jour pour les larves de coccinelles asiatiques. Les larves de syrphes en consomment aussi une bonne quantité. Voici deux armes naturelles qui vous aideront dans la lutte contre les pucerons.
En cas de forte attaque, arroser les extrémités des plantes avec un jet d'eau puissant.

Privilégier la plantation des végétaux qui attirent les pucerons comme les capucines.
Les lavandes plantées au pied des rosiers ont quant à elles un effet répulsif. Tout comme les feuilles de rhubarbe qui peuvent être utilisées en décoction à raison d'un kilo et demi de feuilles pour 10 litres d'eau. Après 72 h pulvériser les plantes attaquées avec cette décoction. Les feuilles de tomates ont également le même effet répulsif.
Dans le commerce vous trouverez des produits à base de savon noir, un traitement efficace en pulvérisation contre les pucerons.

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MessageSujet: Re: R = Pucerons   R = Pucerons EmptyDim 18 Fév 2024 - 20:37

14 remèdes naturels pour lutter contre les pucerons
https://jardinerfacile.fr/14-remedes-naturels-pour-lutter-contre-les-pucerons/

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MessageSujet: Re: R = Pucerons   R = Pucerons EmptyDim 18 Fév 2024 - 20:45

source http://www.gerbeaud.com/jardin/fiches/pucerons-degats-solutions-naturelles,1389.html

Pucerons : dégâts et moyens de lutte naturelle
Le 28 mai 2014 par Isabelle C.

Les pucerons font partie du quotidien du jardinier : au jardin d'ornement, au potager, dans la serre, au verger ou sur les plantes d'intérieur, ils sont vraiment partout ! De petite taille, c'est souvent lorsqu'ils sont déjà en nombre sur une plante qu'on s’aperçoit de leur présence.. et des dégâts occasionnés.

Un puceron peut en cacher un autre
Les types de pucerons sont multiples. On en rencontre des verts, des noirs, des roses... Ils ne dépassent guère 2 mm, bien que les pucerons des conifères soient plus gros (environ 6 mm). Certains sont ailés et peuvent migrer d'une première plante hôte à une deuxième plante hôte (généralement, les individus ailés apparaissent lorsque la colonie devient trop peuplée). Les colonies formées sous les feuilles, à l'extrémité des rameaux ou le long des hampes florales sont plus ou moins denses et étalées.

Les plantes hôtes peuvent accueillir simultanément plusieurs types de pucerons (c'est le cas, notamment, des haricots, des melons, des tomates, des  framboisiers, des groseilliers, des pommiers, ou des pruniers). La mise en place d'une lutte ciblée (introduction d'un prédateur ou d'un parasite spécifique) peut alors s'avérer compliquée.

>> Lire : Les différents types de pucerons et leurs plantes préférées

Si les pucerons sont si mal aimés, c'est parce qu'ils occasionnent des dégâts sur les plantes : déformations, décoloration, voire chute prématurée des feuilles, dessèchement des pousses, formation de fumagine...

Et pour cause : les pucerons se nourrissent, en quantité, de la sève des plantes (leurs organes de prédilection étant les feuilles et les jeunes pousses), et pour y avoir accès, ils transpercent les tissus végétaux de leur appareil buccal. La plante se trouve ainsi affaiblie.

Deuxième inconvénient des pucerons : leur salive est irritante et toxique. Elle est responsable, notamment, des crispation du feuillage.

Troisième inconvénient : une partie de la sève absorbée est non digérée, et rejetée sous forme de miellat. C'est ce dernier qui est responsable de la fumagine (champignons formant un dépôt noirâtre).

Enfin, les pucerons peuvent être vecteurs de virus pathogènes, comme, par exemple, la mosaïque du concombre, la mosaïque de la laitue...

Comment lutter contre les pucerons ?
Pour la plupart des pucerons, les moyens de lutte sont les mêmes :
•lutte biologique : attirer les auxiliaires (syrphes, chrysopes, coccinelles) en semant des fleurs mellifères (phacélie, bourrache...) ;
•Traitements naturels : pulvérisations d'une solution à base de savon noir, purin d'ortie, ou de fougère.

Certains pucerons ont cependant des ennemis spécifiques : des hyménoptères parasitoïdes. Ce sont de petites guêpes de 1 mm environ qui viennent parasiter les pucerons. Pour les introduire dans les cultures, deux solutions : s'en procurer auprès de spécialistes ou attirer les adultes par la nourriture. Ils se nourrissent de nectar, leurs fleurs favorites appartenant à la famille des Apiacées, c’est-à-dire les carottes, fenouil, aneth, panais, etc

Offrez quelques pucerons aux prédateurs naturels
Avant de se lancer dans l’éradication totale des pucerons, rappelez-vous qu'ils servent de nourriture aux auxiliaires, et qu'ils sont nécessaire à leur installation ! Laissez quelques « mauvaises herbes » attractives, comme le rumex : pucerons et fourmis sauront s'occuper, et coccinelles et syrphes seront attirés.

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MessageSujet: Re: R = Pucerons   R = Pucerons EmptyJeu 22 Fév 2024 - 17:49

source https://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20070622085308AAon98H
Comment éliminer écologiquement les pucerons jaunes qui envahissent mes lauriers roses?

Meilleure réponse:  DES INSECTICIDES NATURELS

Le savon noir
En le diluant dans l'eau (30 g de savon liquide pour 1 litre d'eau chaude), il tue les pucerons et les araignées rouges par contact en les asphyxiant.
Si l'attaque est importante ajoutez une cuillère à soupe d'alcool à brûler à cette dilution.

Le tabac
Les pucerons ne supportent pas la nicotine. Pour les éliminer, il faut donc faire macérer le contenu d'un paquet de tabac gris dans 10 litres d'eau douce, pendant au moins 10 jours. Pulvérisez sur les plantes autant de fois que nécessaire.

La cendre, le marc de café et la sciure
Contre les limaces et les escargots, la cendre, le marc de café et la sciure sont très efficaces. Il faut les disposer autour des plantes qui sont attaquées et pensez à renouveler cette opération après chaque grosse pluie.

L'eau de cuisson des pommes de terre
Il faut conserver dans des bouteilles l'eau de cuisson des pommes de terre. Elle possède des propriétés herbicides et convient parfaitement aux allées des jardins.

Jus de feuilles de rhubarbe
Le jus de feuilles de rhubarbe est idéal pour combattre les pucerons et tous les insectes piqueurs ou suceurs.

L'eau et l'ail
Cette solution combat les pucerons, les maladies dues aux champignons à condition de l'utiliser dés sa préparation. Il est conseillé de la vaporiser sur les plantes, début mai, 3 fois et à 3 jours d'intervalle.

Recette à l'ail contre les pucerons
4 gousses d'ail pour 1 litre d'eau
Dans un pot, on recouvre l'ail haché menu d'eau bouillante. On couvre. On laisse reposer 1 heure. Et on utilise la préparation aussitôt.

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