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 Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyMar 7 Aoû 2018 - 15:16

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 1511071100026491713731382

source https://www.sante-corps-esprit.com/coqueluche-vaccin-5-faits-genants-ministre/#respond
Coqueluche et vaccin : 5 faits très « gênants » pour la Ministre
3 octobre 2017


Oui, après des années de « répit », le nombre de cas de coqueluche repart à la hausse, en France, aux États-Unis, un peu partout.

En Angleterre, en 2012, année d’un triste record, 10 enfants de moins d’un an sont morts de la coqueluche.

C’est le même phénomène que pour la rougeole, en pire.

Est-ce parce que l’on vaccine moins les enfants qu’avant ?

Pas du tout ! La couverture vaccinale contre la coqueluche n’a fait qu’augmenter en Europe et aux États-Unis !

Elle dépasse aujourd’hui les 95 % dans la plupart des pays occidentaux.

Alors où est le problème ?

C’est très simple : on assiste en ce moment aux effets pervers parfaitement prévisibles de la vaccination généralisée.

Comme pour la rougeole, la vaccination a drastiquement réduit le nombre total de cas de coqueluche…

…mais elle a aussi déplacé l’âge de la maladie vers ceux qui sont le plus vulnérable !

La coqueluche s’abat aujourd’hui sur les adolescents, et surtout sur les enfants en bas âge, de 0 à 6 mois, ceux qui ont le plus de risques d’en mourir. [1]

Face à cette recrudescence, la Ministre de la Santé Agnès Buzyn est très embarrassée.

Elle sait parfaitement qu’il ne servira à rien de rendre la vaccination anti-coqueluche obligatoire chez les nourrissons car :

la couverture vaccinale est déjà extrêmement élevée (plus de 97 % à 2 ans en France) ;
et les enfants ne sont totalement vaccinés qu’à l’âge de 5 mois, bien après le « pic » de risque autour de l’âge de 1 à 2 mois.
Que faire alors ? Toujours plus de rappels et de vaccinations, pour les adolescents, les femmes enceintes, les futurs parents ?

Comme vous allez le voir, cela pose plus de problèmes que cela n’en résout !

La coqueluche est un nouveau cas d’école des contradictions et effets pervers de la vaccination généralisée contre une maladie infantile peu grave.

Voyez plutôt ces 5 faits incontestables… et très gênants pour les dogmatiques du « tout vaccin ».

Fait n°1 : Ce n’est pas grâce au vaccin que la coqueluche a (globalement) cessé de tuer
Les experts officiels et les médias vous parlent toujours de l’hécatombe causée par les maladies infectieuses avant l’ère vaccinale.

Et ils vous disent que c’est grâce aux vaccins que nous ne mourrons plus de ces maladies.

En fait, il faut plutôt remercier les progrès de l’hygiène, de la nutrition et des soins.

Voyez plutôt la courbe (en bleu) du nombre de décès causés par la coqueluche en Angleterre et Pays de Galles de 1 900 à 2 000 :
Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 Vaccin10

Graphique tiré de l’excellent Pourquoi vacciner, reproduit avec l’autorisation de son auteur Pierre-Jean Arduin

Comme vous le voyez, la baisse de la mortalité a commencé bien avant la création du vaccin et était quasiment achevée au moment de sa généralisation à la fin des années 1950.

Cela dit, il faut reconnaître que le vaccin a permis d’éviter un nombre considérable de cas de coqueluche.

Voyez plutôt la courbe rouge, qui montre la résurgence de la maladie dans les années 1980 et 1990 – lorsque les Britanniques ont arrêté massivement de vacciner leurs nourrissons (ils craignaient les graves effets indésirables du vaccin de l’époque).

Moins de cas de coqueluche, c’est « toujours ça de pris », vu que la maladie cause d’épuisantes quintes de toux.

Mais pour la baisse de la mortalité, le vaccin n’y est pour rien, ou presque, en Grande-Bretagne comme ailleurs.

En France, on pouvait lire, dans le Précis de Médecine Infantile de 1975 :

« Il ne faut pas attribuer à la vaccination la baisse considérable de la mortalité [coquelucheuse] observée depuis quelques dizaines d’années. Un taux très bas était déjà obtenu avant la généralisation de la vaccination »

Même chose aux États-Unis : le nombre de morts lié à la coqueluche a baissé de 75 % entre 1922 et 1948, avant l’introduction du vaccin. [2]

Quant à la Suède, lorsqu’elle a brutalement cessé son programme de vaccination des nourrissons contre la coqueluche, de 1979 à 1996, elle n’a observé aucune résurgence du nombre de morts. [3]

Entre 0 et 1 nourrisson mourrait de la coqueluche dans les années 1970, et c’est aussi ce qui s’est produit dans les années 1980 et 1990… alors que plus personne ne se vaccinait !

Fait n°2 : le premier vaccin contre la coqueluche avait de graves effets indésirables, mais on ne vous l’a pas dit !
Jusqu’à une date récente, le seul vaccin disponible contre la coqueluche était un vaccin « à cellule entière ».

Cela veut dire qu’on injectait aux nourrissons la bactérie entière (Bordetella pertussis), que l’on avait pris soin de tuer au préalable.

En France, ce vaccin a sévi jusqu’en 2 000.

Je dis bien « sévi », car il causait des effets secondaires assez ravageurs (en langage médical un peu pudique, on dit que ce vaccin est « très réactif »).

C’est un article publié dans le British Medical Journal qui l’a révélé pour la première fois, en 1981 : le vaccin contre la coqueluche multiplie par 3,3 le risque qu’un bébé en pleine santé soit affecté :
-d’encéphalites/encéphalopathies (inflammation du cerveau)
-et de convulsions prolongées [4]

Ce vaccin était associé à des convulsions dans 1 cas sur 1750, l’inflammation du cerveau dans 1 cas sur 110 000… et des dommages irréversibles au cerveau dans 1 cas sur 310.000 ». [5]

Et je ne parle pas ici des symptômes plus « légers » que provoquait ce vaccin : fièvre, douleurs et irritabilité dans la majorité des cas.

Vous comprenez pourquoi la Suède a arrêté son programme de vaccination en 1979 !

Le Japon a été encore plus rapide, puisqu’il a décidé de cesser la vaccination anti-coqueluche en 1975.

Et ils ont bien fait : le simple fait de repousser le début de la vaccination de 3 à 24 mois a fait chuter le nombre d’accidents neurologiques graves de 80 % et celui des décès de 90 % !! [6]

Vous comprenez aussi pourquoi les Britanniques ont refusé massivement de vacciner leurs enfants au début des années 1980, malgré les paroles rassurantes des autorités de l’époque !

Mais en France, on a continué la vaccination comme si de rien n’était, alors que ce vaccin « à germe entier » causait de nombreux cas d’encéphalites et de convulsions.

Heureusement, ces effets secondaires graves ont largement reculé dans les années 2 000, avec la mise au point d’un nouveau vaccin.

Ce vaccin, dit « acellulaire », ne contient plus la bactérie entière, mais seulement certaines de ses composantes.

Mais à quel point ce vaccin est-il plus sûr que le précédent ? Évite-t-il totalement le risque d’inflammation du cerveau ?

Difficile à dire, tant il ne fait pas bon pour un scientifique de s’intéresser de trop près aux accidents liés aux vaccins.

Ce qui est sûr, c’est que la vaccination généralisée a eu un effet assez indésirable pour la collectivité, qui est de déplacer l’âge de la maladie.

En France, l’INPES (L’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé) a parfaitement expliqué le problème :
» Dans les pays non ou mal vaccinés, la coqueluche touche principalement les enfants de 4 à 7 ans. Au contraire, dans les pays où la couverture vaccinale est élevée, comme aux États-Unis ou en France, la coqueluche affecte très peu l’enfant mais touche, d’une part, les nourrissons non protégés par la vaccination et, d’autre part, l’adolescent ou l’adulte qui les contamine. ”

Pourquoi ce déplacement de l’âge de la maladie ? Pourquoi la coqueluche n’a-t-elle pas été « éradiquée » par la vaccination ?

Il y a plusieurs raisons, vous allez voir, toutes très « gênantes » pour les idéologues de la vaccination.

La première, tout bêtement, est que le vaccin n’a jamais été très efficace :

Fait n°3 : Ancien ou nouveau, le vaccin ne protège pas à 100 % (loin de là)
Déjà, il faut savoir que lorsque vous avez la coqueluche, il n’est pas impossible de l’attraper une seconde fois.

Alors vous imaginez bien que le vaccin (qui est une forme très atténuée de la maladie) est incapable de protéger « à vie ».

D’après le Haut Conseil à la Santé publique, la durée de protection du vaccin contre la coqueluche serait seulement de 8 à 10 ans chez les enfants. [7]

Mais cette estimation est beaucoup trop optimiste, comme en témoigne la recrudescence des cas de coqueluche chez les 7-8 ans [8] parfaitement vaccinés.

De fait, une étude parue dans le New England of Journal Medecine rapporte que le vaccin perd rapidement de son efficacité. [9]

Au total, il est clair que le vaccin ne protège que quelques années, tout au plus.

Résultat : il ne peut pas empêcher les épidémies.

C’est ce qu’ont reconnu récemment les chercheurs dans le prestigieux Journal of Infectious Diseases [10] :
« Nos données suggèrent que le schéma actuel des injections de vaccin anti-coquelucheux acellulaire est insuffisant pour prévenir des épidémies de coqueluche. Nous avons noté un taux significativement accru de la maladie entre l’âge de 8 et 12 ans, proportionnel au taux écoulé depuis la dernière dose prévue de vaccin »

Et en plus, il faut ajouter que le vaccin ne protège pas tout le monde à 100 %, y compris dans les semaines qui suivent la vaccination !

D’après une revue d’études de la très respectée Fondation Cochrane, l’efficacité des vaccins anti-coqueluche serait de 84 à 85 % [11]… ce qui veut dire qu’1 enfant vacciné sur 7 n’est absolument pas protégé contre la forme sérieuse de la coqueluche.

Quant aux rappels à l’adolescence, ils ne sont pas très efficaces non plus, comme l’a révélé une récente publication dans le British Medical Journal : seuls 53 à 64 % des rappels de vaccination après l’âge de 11 ans sont efficaces ! [12]

Résultat : vous aurez beau vacciner 100 % d’une population, vous ne pourrez jamais faire disparaître la coqueluche.

Voilà pourquoi des épidémies de coqueluche sont apparues aux États-Unis et en Australie parmi des enfants vaccinés à 100 % et parfaitement à jour de leurs vaccins. [13]

Impossible, donc, d’accuser les non-vaccinés d’être la CAUSE de la résurgence de la coqueluche.

Impossible également de justifier la vaccination obligatoire dans « l’intérêt supérieur de la nation », puisqu’il est impossible d’éradiquer la maladie.

L’obligation généralisée de vacciner les nourrissons contre la coqueluche est d’autant plus absurde que la protection ne dure que quelques années, comme on l’a vu.

Ce ne sont pas les nourrissons qui contaminent les autres, ce sont les autres qui contaminent les nourrissons… La vaccination des bébés devrait donc relever du seul choix des parents, qui doivent évaluer en âme et conscience :
-le risque qu’ils font courir à leur enfant en le vaccinant (ce risque n’est pas nul, surtout que le vaccin actuel contient de l’aluminium)

-et le risque de ne pas le vacciner – très faible, on l’a vu, puisque la coqueluche est la plus dangereuse avant que l’enfant ne soit totalement vacciné (avant l’âge de 3 à 6 mois).

C’est donc aux parents de faire ce choix, et pas à l’Etat de l’imposer aux familles !

Et c’est d’autant plus vrai que deux découvertes EXPLOSIVES remettent totalement en question l’intérêt de la vaccination généralisée contre la coqueluche !

Fait n°4 : le vaccin a provoqué une mutation de la bactérie, plus virulente !
Il fallait s’y attendre, car c’est souvent ce qui se passe avec la vaccination

Non seulement la coqueluche n’a pas été éradiquée… mais la vaccination a suscité une mutation génétique de la bactérie, qui lui permet d’échapper aux effets du vaccin ! [14]

C’est comme pour les antibiotiques : à force de les utiliser, les bactéries s’adaptent, mutent et résistent.

Et l’ironie de l’affaire, c’est que ce sont désormais les vaccinés contre la coqueluche qui sont les plus vulnérables face à cette mutation de la bactérie ! [15]

Et ce n’est pas tout.

La vaccination classique contre la bactérie B. Pertussis a laissé la voie libre à une autre souche bactérienne, B. Parapertussis, qui provoque également la coqueluche.

C’est ce que suggère une étude récente, qui a trouvé que la vaccination anti-coqueluche multiplie par 40 la colonisation des poumons des souris par l’autre souche, B. Parapertussis !

Alors bien sûr, la communauté scientifique finira sans doute par appeler à faire de « nouveaux vaccins », « plus efficaces », qui contiendront ces nouvelles souches…

…mais il s’agit d’une course aux armements sans fin contre la Nature, que nous avons peu de chance de gagner !

Si vous n’en êtes pas convaincu, voici un autre effet pervers assez inattendu de la vaccination anti-coqueluche :

Fait n°5 : Le vaccin n’empêche pas de transmettre la maladie !
C’est un scoop qui a été découvert chez les babouins [16], avant d’être confirmé chez l’être humain.

Il apparaît clairement que la vaccination contre la coqueluche n’empêche pas d’être infecté ni de transmettre la maladie à d’autres ! [17]

Simplement, la vaccination masque les symptômes. Vous ne souffrez pas de la maladie… mais vous êtes quand même contagieux !

Résultat, selon les chercheurs :
« Il pourrait y avoir là des millions de personnes avec seulement une petite toux ou pas de toux qui répandent cette maladie potentiellement fatale sans le savoir »

Vous voyez le problème ?

L’avantage d’avoir les symptômes de la maladie, c’est que l’on peut s’isoler et essayer de ne pas contaminer les autres.

Par exemple, on peut éviter de prendre un nourrisson dans ses bras.

Mais que se passe-t-il si vous ne toussez pas ? Vous vous croyez en pleine santé et vous n’hésitez pas à multiplier les contacts avec les autres… et potentiellement transmettre la maladie !

Le risque est particulièrement grand pour les adolescents, qui transmettent la coqueluche à des nouveaux-nés vulnérables !

Avant la vaccination de masse, les nourrissons risquaient « simplement » d’être infectés par la mère.

Mais cela arrivait rarement, car la mère avait généralement eu la coqueluche en bas âge et avait obtenu des « rappels » naturels via la circulation de la bactérie.

Aujourd’hui, ce ne sont plus seulement les mères qui transmettent la bactérie à leurs bébés, mais également les frères et sœurs de 7 ans ou plus ! [18]

Qu’à cela ne tienne, répondent les idéologues vaccinaux, on va donc vacciner et re-vacciner les frères et sœurs.

C’est ce que recommandent aujourd’hui les autorités françaises… mais c’est une stratégie vouée à l’échec puisqu’on peut transmettre la maladie tout en étant vacciné !

Et comme si on n’avait pas fait assez « d’expérimentation » douteuse, les autorités américaines recommandent désormais aux femmes enceintes de se faire vacciner contre la coqueluche !

Oui, vous avez bien lu, les femmes enceintes…

Toujours selon le même raisonnement : puisque les nourrissons sont le plus vulnérable avant 3 à 6 mois (donc avant d’être pleinement vaccinés), il faudrait vacciner l’entourage proche, qui a le plus de risque de transmettre la maladie.

On ignore totalement si cette vaccination de la femme enceinte aura le moindre début d’efficacité [19], mais on se permet de prendre le risque de leur injecter un vaccin contenant de l’aluminium !

Alors qu’on sait depuis 50 ans que les substances chimiques sont très dangereuses pour les femmes enceintes.

Encore tout récemment, une étude a montré que la prise d’anti-dépresseurs pendant la grossesse augmentait le risque d’autisme de 41 % ! [20]

Et on veut leur injecter de l’aluminium, sans la moindre garantie d’efficacité !?

Et si le bon sens nous disait de trouver « autre chose » ?
Comme pour la rougeole, le vaccin a déplacé le problème plus qu’il ne l’a résolu.

Faute de circulation « naturelle » de la bactérie, les mères ne peuvent plus transmettre autant d’anticorps qu’avant à leur nourrisson, via le placenta et le lait maternel.

Résultat : ce sont aujourd’hui les bébés de quelques mois, avant vaccination, qui sont le plus à risque d’attraper cette maladie et d’en subir de graves effets.

Une fois de plus, on a rêvé à une « éradication totale », alors qu’elle était parfaitement impossible puisque :
-le vaccin n’est efficace immédiatement qu’à 85 % ;

-que ses effets disparaissent au bout de quelques années ;

-que les rappels sont encore moins efficaces que la vaccination initiale ;

-que la maladie se transmet par d’autres souches bactériennes ou par des mutations génétiques de la bactérie initiale ;

-et qu’elle se transmet d’autant plus facilement que le vaccin semble supprimer les symptômes, mais pas la maladie.

Et malgré l’échec patent de cette stratégie de la vaccination à tout prix, on parle déjà de faire de « nouveaux vaccins », qui intégreront les nouvelles souches, les nouvelles mutations…

Ne serait-il pas plus raisonnable d’en revenir à une idée simple ?

Celle selon laquelle notre système immunitaire est naturellement conçu pour repousser les maladies infectieuses et qu’il serait plus intéressant d’optimiser notre immunité par toutes les voies naturelles qui existent (alimentation, vitamine D, etc.) ?

Cette voie-là aurait le mérite de nous protéger contre TOUTES les maladies, et pas seulement celles contre lesquelles l’industrie a développé un vaccin.

Mais que voulez-vous, cette stratégie de bon sens ne doit pas « rapporter » assez d’argent à certains.

Bonne santé,

Xavier Bazin

***********************************************

Sources :

[1] Infant Pertussis: Is Cocooning the Answer? F. Munoz et al., Oxford Academic, 2011

[2] Pertussis Microbe Outsmarts the Vaccines As Experts Argue About Why, B. Loe Fisher, National Vaccine Information Center, 2016

[3] Pertussis in Sweden after the cessation of general immunization in 1979, V. Romanus et al., NCBI, 1987

[4] Pertussis immunisation and serious acute neurological illness in children, DL. Miller et al., British Medical Journal, 1981

[5] Pertussis toxin is required for pertussis vaccine encephalopathy, L. Steinman et al., NCBI, 1985

[6] Voir Michel Geoget, L’apport de la vaccination à la santé publique, Dangles, 2014.

[7] Avis du HCSP du 19 mars 2008 relatif aux recommandations vaccinales contre la coqueluche

[8] Long-term Follow-up of Swedish Children Vaccinated With Acellular Pertussis Vaccines at 3, 5, and 12 Months of Age Indicates the Need for a Booster Dose at 5 to 7 Years of Age, L. Gustafsson et al., AAP Journals, 2006

[9] Malgré 5 doses administrées aux enfants américains jusqu’à l’âge de 5 ans, le risque de contamination augmente de 42 % chaque année après la cinquième dose ! http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa1200850

[10] Unexpectedly Limited Durability of Immunity Following Acellular Pertussis Vaccination in Preadolescents in a North American Outbreak, M. Witt et al., Oxford Academic, 2012

[11] Acellular vaccines for preventing whooping cough (pertussis) in children, L. Zhang et al., Cochrane, 2014

[12] Effectiveness of pertussis vaccines for adolescents and adults: case-control study, R. Baxter et al., British Medical Journal, 2013

[13] An outbreak of pertussis in rural Texas: an example of the resurgence of the disease in the United States, AO. Eshofonie et al., Community Health, 2015

[14] Why Do Pertussis Vaccines Fail? JD. Cherry, AAP Journals, 2012

[15] Pertactin-Negative Bordetella pertussis Strains: Evidence for a Possible Selective Advantage, SW. Martin et al., Clinical Infectious Diseases, 2015

[16] Acellular pertussis vaccines protect against disease but fail to prevent infection and transmission in a nonhuman primate model, JM. Warfel et al., PNAS, 2013

[17] Asymptomatic transmission and the resurgence of Bordetella pertussis, BM. Althouse et al., BMC Medicine, 2015

[18] Sources of Infant Pertussis Infection in the United States, TH. Skoff et al., AAP Journals, 2015

[19] Pertussis re-emergence in the post-vaccination era, E. Chiappini et al., BMC Infectious Diseases, 2013

[20] Antidepressants during pregnancy and autism in offspring: population based cohort study, D. Rai et al., British Medical Journal, juillet 2017

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyDim 24 Fév 2019 - 16:17

source https://www.reponsesbio.com/conte-fees-therapies-enfants/
Les contes de fées, thérapies pour les enfants
Par Jean-Baptiste Loin - 29 mai 2016


Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 Fairy-10

S’adressant aux enfants et aux adolescents marqués par la souffrance psychique, la psychothérapie par le conte, directement inspirée de la psychanalyse des contes de fées de Bettelheim, permet de dénouer avec rapidité de nombreux conflits intra-psychiques.

Contenant indéniablement un message initiatique et donc, dans une certaine mesure, psycho-thérapeutique, le conte sert depuis longtemps à des thérapeutes, qu’ils soient d’obédiences freudienne ou ericksonienne, à traiter les problèmes psychologiques de l’enfance, voire de l’âge adulte.

Mais c’est une psychothérapie par le conte tout à fait spécifique qu’a mise au point Geneviève Raguenet en se référant, bien sûr, à Bettelheim, mais aussi en partie aux travaux de Mills et Crowley qui ont créé une technique interactive soulignant le centrage sur des processus psychiques inconscients, générateurs de symptômes.

Aussi, le conte thérapeutique de Geneviève Raguenet consiste-t-il en un genre littéraire tout à fait particulier, dans lequel il n’est pas question de raconter une histoire pour distraire ou faire plaisir, mais bien seulement pour exprimer, par une voie détournée, le problème à traiter, souvent de nature scolaire ou familial, mais aussi quelquefois psychosomatique.

Le partage émotionnel par le conte
« Ces histoires, qui abordent des problèmes humains universels, et en particulier ceux des enfants, s’adressent à leur Moi en herbe et favorisent son développement, tout en soulageant les pressions préconscientes et inconscientes.

Tandis que l’intrigue du conte évolue, les pressions du Ça se précisent et prennent corps, et l’enfant voit comment il peut les soulager tout en se conformant aux exigences du Moi et du Surmoi. »

Cette réflexion de Bettelheim indique bien, à elle seule, que le conte, surtout lorsqu’il se veut thérapeutique, au contraire de la fable morale telle que La Fontaine la concevait, ne s’adresse pas exclusivement au Surmoi.

La parabole non plus ne doit pas être confondue avec le conte, dans la mesure où elle tend à enseigner et consiste en un procédé linguistique plutôt qu’en un récit, alors que le conte, récit à part entière, viserait plutôt le partage émotionnel.

Ce sont en tout cas les distinctions auxquelles tient à se livrer Geneviève Raguenet pour bien définir son conte thérapeutique qui doit rester un « récit assez court d’aventures imaginaires », et, qui plus est, destiné à être raconté à une personne en particulier dans le cadre de la relation thérapeutique.

Aussi court soit-il, ce conte est néanmoins susceptible d’être prolongé en une succession d’épisodes s’enchaînant selon une progression et dans un climat de tension proche du drame.

Reprenant la définition de Propp, Geneviève Raguenet considère que tout conte doit suivre « un développement qui part d’une malfaisance ou d’un manque pour aboutir, après être passé par des fonctions intermédiaires, à des noces ou à d’autres fonctions utilisées comme dénouement : récompenses, conquêtes ou élimination d’un mal ».

Ainsi, la thérapie qui, naturellement, part d’une situation critique pour parvenir à dénouer des conflits en passant par des plans intermédiaires, trouve-t-elle dans le conte, un support tout particulièrement adéquat… surtout lorsqu’il s’agit d’établir un contact, de préférence ludique, avec des enfants.

Entrer dans le jeu thérapeutique
Et il est un fait que le conte thérapeutique doit avant tout être vu comme une sorte d’appât pour éveiller la curiosité de l’enfant, attirer ses questions et susciter des associations.

C’est grâce à ce subterfuge que l’imagination, la sensorialité et l’affectivité de l’enfant vont être stimulées, et que le message caché du conte va pouvoir tracer son chemin.

Dès lors, le conte devient un objet transitionnel et un espace pour le jeu relationnel.

Or, comme l’expliquait Winnicott, « la psychothérapie étant un jeu entre deux personnes, le travail du thérapeute vise à amener le patient d’un état où il n’est pas capable de jouer à un état où il capable de le faire ».

Et, ici, grâce au conte, l’enfant va pouvoir on ne peut plus facilement entrer dans le jeu proposé par le thérapeute.

Inutile de dire, bien sûr, que cet appât du conte n’est pas neutre puisqu’il contient une interprétation de la problématique de l’enfant, et surtout qu’il annonce, ce faisant, que la difficulté est reconnue et qu’un heureux dénouement est possible.

On retrouve d’ailleurs, dans beaucoup de contes classiques, de magnifiques interprétations des problématiques infantiles les plus courantes.
→ « Le petit chaperon rouge », par exemple, peut apprendre à l’enfant à surmonter les ambivalences

 → « Cendrillon » l’aide à dépasser les rivalités fraternelles

 → « La belle au bois dormant » lui ouvre les portes de l’adolescence

 → « Les trois petits cochons » l’incite à faire la part entre le principe de plaisir et le principe de réalité

 → « Boucle d’or et les trois ours » le confirme dans sa recherche de l’identité

 → « Jeannot et Margot » le pousse à sortir de l’oralité…

Mais le conte thérapeutique va évidemment plus loin, puisqu’il ne s’agit plus d’un conte standard, mais du produit de l’écoute d’un thérapeute et de son décodage des conflits de l’enfant.

Elaborer le conte
L’écoute du thérapeute est évidemment un élément essentiel de la thérapie, et doit d’ailleurs se prolonger en une véritable empathie, à la fois afin de ressentir plus profondément les problèmes du patient, et de lui montrer qu’on le rejoint dans sa souffrance et qu’on le comprend.

C’est ce que fait en premier lieu l’analyste et le psychothérapeute qui ne pourrait, sans cela, définir avec précision quelle histoire raconter à l’enfant.

Mais, après chaque entretien, il est nécessaire que ce thérapeute se livre également à un décodage des conflits en présence chez son patient.

Bien sûr, les caractéristiques du symptôme et du contexte de son évolution vont se préciser d’une séance à l’autre, permettant au thérapeute de poursuivre les épisodes suivants du conte thérapeutique d’une manière de plus en plus ciblée.

Car l’élaboration du conte doit toujours, et avant tout, donner au patient la possibilité de se reconnaître et de s’interroger sur son propre cas.

C’est donc à partir de la première rencontre et des informations données au thérapeute sur la problématique de l’enfant que va s’élaborer l’hypothèse de départ sur l’origine possible du symptôme, et, conséquemment, le sens général de l’histoire à imaginer.

Au-delà, c’est pratiquement à un travail poétique – au sens étymologique du mot – que va se livrer le thérapeute pour trouver les images qui conviendront le mieux au conte dédié à son patient.

Et, une fois que ces images et symboles auront émergé, le thérapeute les organisera alors en un récit cohérent.

Et c’est ainsi que, séance après séance, le thérapeute cerne la logique inconsciente de l’enfant dans les mailles du filet du conte, et que les fondements de l’impasse symptomatique peuvent être saisis.

Toutefois, ce conte doit être utilisé avec habileté car, par l’emploi d’images proches du rêve, il est destiné à toucher aux trois niveaux du conscient, du préconscient et de l’inconscient, ainsi qu’un cheminement vers la sublimation et la symbolisation des pulsions et du refoulé.

« Le conte ouvre par son message symbolique les portes entre le conscient et l’inconscient. Il cache et dévoile en même temps la part de vérité qu’il veut dire, il capte l’imagination et l’entraîne au cœur du conflit inconscient. Il transforme, enfin, l’impasse en porte royale : Cendrillon devient princesse, le petit Poucet retrouve son chemin et le vilain petit canard parvient au royaume des cygnes », conclut Geneviève Raguenet.

La structure initiatique du Conte du Graal
Profondément initiatique et par conséquent thérapeutique, le merveilleux Conte du Graal de Chrétien de Troyes, dont la structure narrative a été remarquablement décryptée par Pierre Gallais, donne, peut-être plus que tout autre, une idée de ce qu’un conte peut induire, comme changements bénéfiques, chez un lecteur ou un auditeur.

Dans ce conte, comme dans certains autres du même auteur, on voit en effet se dérouler une succession d’événements répondant à une structure traditionnelle du plus haut intérêt tant au plan psychothérapeutique que spirituel.

Cette structure en spirale fait ainsi évoluer le héros tout au long d’un parcours en six étapes, comprenant :
1/ Au départ, ce que Pierre Gallais appelle « la cour » et qui représente la société dont le Sujet fait partie, son pays, sa famille, sa maison, une sorte de paradis paisible, personnel et intérieur, où rien ne se passe et où, par conséquent, le héros reste passif.

2/ La disjonction, où le héros se voit obligé de quitter son petit paradis personnel, et par la même occasion devenir actif. La raison de ce départ est généralement une injonction de sa société d’origine à laquelle on aura porté préjudice, à moins que ça ne soit un appel impérieux en provenance d’un autre monde.

3/ L’autre monde – destination obligée du héros dès lors qu’il décide de quitter son monde – représente donc l’ailleurs, l’extérieur, l’altérité, le dépaysement…

4/ Le combat, conséquence inéluctable de la rencontre de l’altérité, où le héros se trouve confronté à l’adversité, à l’infection, à l’enfer, mais où sa victoire va dépendre aussi de l’aide rencontrée dans cet autre monde en tant qu’il représente de nouvelles opportunités, de nouvelles connaissances.

5/ La conjonction, après la victoire, où le héros trouve ou retrouve quelque chose ou quelqu’un dont le manque l’angoissait. Ce peut être aussi l’occasion d’un amendement du Sujet.

6/ Le contrat, qui permet au héros de passer de la conjonction individuelle, à la réunion de son monde et de l’autre monde. Cet élargissement de la conciliation constitue la dernière étape du cercle mais, dans la mesure où le monde identitaire et l’autre monde s’y trouvent alliés malgré leur antinomie, se produit une confusion à la faveur de laquelle il devient possible de passer à un niveau supérieur de la spirale.

Et là, le héros se retrouve en 1, en un nouveau « chez lui », au départ d’un nouveau cycle de même nature mais, de cycle en cycle, toujours plus proche du centre de la spirale.

Ce contre quoi cette structure dynamique du conte initiatique lutte, c’est la stase, génératrice de névrose.

« Alternativement, le héros passe des états aux actions.

Si ce héros ne passe pas par la disjonction, chaque monde reste sur sa position, se retranche dans sa différence.

Si le héros ne combat pas, il ne connaît pas la conjonction, l’union heureuse.

Mais s’il cède à la tentation de s’enfermer dans cette union, et refuse de passer le contrat qui va vraiment nier l’altérité de l’autre monde, il n’y a rien de fait.

Il faut, au contraire, qu’il éprouve l’ardent désir du bien de tous, et passe le contrat, puis remonte vers la deuxième cour où il autorisera la joie de la cour » dit Pierre Gallais.

Jean-Baptiste Loin

A lire :
“ La psychothérapie par le conte ” – Geneviève Raguenet – L’Harmattan

“ La psychanalyse des contes de fées ” – Bruno Bettelheim – Laffont

“ L’interprétation des contes ” – F. Flahaut – Denoël

“ L’interprétation des contes de fées ” – Marie-Louise Von Franz – Fontaine de pierre

“ La voie de l’individuation dans les contes de fées” – Marie-Louise Von Franz – Fontaine de pierre

A PROPOS DE NOUS
Réponses Bio est un magazine en ligne proposant une formule 100% santé naturelle, 100% pratique et 100% gratuite ! Profitez de deux lettres d'information par semaine animées par Jean-Baptiste Loin, des actus, des reportages vidéo et de nombreux guides numériques. Vous avez des questions ? Nous avons des réponses !

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyJeu 21 Mar 2019 - 16:22

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 1505101043426491713252515

Que l'on soit pour ou contre la vaccination, ce n'est pas l'épidémie de ce début d'année 2019 qui va décider les français à plus se vacciner.  What a Face
Que l'on soit vacciné ou pas, cela n'a pas empêché une très grande partie de la population d'être cloué au lit pendant plusieurs semaines.
Je peux en témoigner car depuis que j'avais attrapé la H1N1 je n'avais jamais été aussi malade pendant 1 mois et demi, ainsi qu'une grande partie de ma famille proche ou moins proche.

Si le sujet vous intéresse, voila un complément d'information que les journalistes s'abstiennent de nous divulguer.

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source https://www.reponsesbio.com/la-dictature-vaccinale-tente-de-gagner-le-monde/
La dictature vaccinale tente de gagner le monde
Par Jean-Baptiste Loin - 25 novembre 2018


Le reportage de Réponses Bio sur les Gilets jaunes, a soulevé un nombre inhabituel de questions, d’indignations, de réflexions… dont une en particulier que nous ne pouvons ignorer.
Il est indéniable que de nombreuses réactions rejoignent l’inquiétude de tant de parents et grands-parents. Ces derniers sont en effet conscients du danger que la vaccination machinale fait courir à leurs enfants.
À l’appui des observations de Sylvie Simon, du Dr Jean-Pierre Willem, des articles de Sylvie Beljanski et de nombreux spécialistes comme le Dr De Brouwer, l’approche naturopathique, les « lanceurs d’alertes »… Voici un article tentant avant tout de restituer une vision claire, mais non moins prononcée, du problème posé par la vaccination à travers le monde.
Parmi les commentaires les plus appréciés du reportage sur les Gilets jaunes figurent certains disant en résumé :

« N’oubliez pas les enfants : arrêt de l’obligation des 11 vaccins… »

Un problème sensible puisque, si les vaccins ont plus d’adeptes que de contestataires, les informations concernant ses dangers pullulent malgré tout. D’ailleurs en 2016 41 % des Français déclaraient être méfiants à leur égard.

Mais deux ans plus tard, alors qu’ils sont plus dévastateurs que jamais et associés à un cocktail faisant froid dans le dos, Ipsos affiche des chiffres très différents: plus de 20% des Français seraient revenus sur leur décisions; 83% de sondés seraient donc favorables aux vaccins.

Pourtant certains affirment que la vaccination systématique peut être liée à l’apparition de maladies tel que le cancer ou Alzheimer. Un lien est aussi effectué avec d’importantes déficiences immunitaires, ou encore des empoisonnements aux métaux lourds. D’autres témoignent de morts subites chez les plus faibles, les allergiques et les nouveaux-nés.

Le programme de l’OMS, l’Unicef et la Banque Mondiale
À première vue, sur le papier, c’était charmant.

Une Organisation Mondiale de la Santé, alliée aux bienfaiteurs des enfants et la Banque Mondiale, s’unissant pour éradiquer les épidémies dans le monde.

Mais rapidement, les campagnes de vaccination sont devenues le business le plus juteux de la planète. Financées et orchestrées, selon les termes de l’OMS, par des sources « bilatérales et multilatérales ».

Il est donc difficile de croire que le cours des évènements aurait dérapé sordidement. À la manière d’un mauvais James Bond, où le méchant tenterait de contaminer un continent pour revendre le vaccin formulé par son équipe de savants fous.

Et pourtant…

Bill Gates et sa femme sont bel et bien suspectés par le gouvernement indien d’avoir testé des molécules inconnues, en tuant des enfants démunis.

D’ailleurs il déclarait, à qui voulait bien l’entendre, que nous entrons dans « l’ère des épidémies », si bien que « les vaccins sont là pour sauver l’humanité », etc.

Tandis qu’il investissait des sommes colossales dans la recherche vaccinale.

Probablement un de ces fameux financements multilatéraux dont parle l’OMS ?

Toutefois cette sacro-sainte trinité qui dépasse de loin les recettes de vente d’uranium, utilise comme credo :

« Faire reculer la mortalité mondiale grâce au vaccin… »

Tandis que les dommages collatéraux sont tus, étouffés, cachés. Et donc non soustraits de ce qu’il peut y avoir de positif.

Les vaccins contre les épidémies les plus meurtrières
Quelle que soit notre position sur le vaccin et la problématique mondiale qu’il représente, ainsi que le pouvoir qu’il confère aux laboratoires, il ne viendrait à l’idée de personne d’empêcher quelqu’un de se faire vacciner.

Il subsiste toujours quelques foyers d’épidémies de par le vaste monde. Force est de reconnaître que face à un virus dévastateur, un vaccin généreusement enrichi aux nanoparticules et à l’aluminium peut sembler être un moindre mal.

À moins, bien sûr, que l’on connaisse suffisamment les médecines naturelles et l’aromathérapie.

Toujours est-il qu’il semble naturel à tous d’avoir le droit de refuser ou d’accepter une telle pratique.

Oui, mais tandis que les épidémies ont disparu, il ne reste plus grand chose à éradiquer, en Occident en tout cas.

C’est ainsi que sont nées les campagnes vaccinales. Elles se sont intensifiées ces deux dernières générations, jusqu’à rendre les vaccins obligatoires dans les pays où les signes d’épidémies sont parmi les plus faibles de la planète. Là où la prévention vaccinale est suspectée d’être un acte barbare.

L’état des lois sur la vaccination dans le monde
En France, le principe liberticide de la vaccination obligatoire contraint les parents à injecter 11 vaccins à leurs enfants. Cela sous peine d’un emprisonnement de 6 mois et d’une amende de plusieurs milliers d’Euros. Malgré le fait que ces vaccins contiennent des dizaines de substances hautement toxiques dans le métabolisme des nouveaux-nés…

En Italie et en Slovénie, c’est sensiblement le même traitement.

À l’exception de quelques pays comme le Portugal où un à deux vaccins sont obligatoires, le reste de l’Europe a fort heureusement opté pour la liberté de choix. Mais cela n’empêche pas les propagandes d’être de plus en plus sévères.

Aux Etat-Unis la vaccination est fortement encouragée. Il est cependant possible d’invoquer une cause médicale, philosophique, religieuse ou autre afin de s’y soustraire.

Ce qui est finalement un non-choix. En effet, on apprend qu’en cas d’absence de vaccination, l’enfant est automatiquement exclu des établissements scolaires. Et cela quel que soit le motif.

En Australie, la méthode employée est la plus repoussante. Rien n’y est obligatoire. Mais en revanche les familles les plus pauvres sont appelées à faire vacciner leurs enfants contre une poignée de Dollars.

En Angleterre, des mouvements anti-vaccination ont finalement réussi à faire retirer le caractère obligatoire des vaccins.

Les 5 raisons qui font dire non à la vaccination obligatoire
1/ Les vaccins sont cancérigènes. Il faut reconnaître que bon nombre d’études en témoignent. Jusqu’à présent les chiffres de progression des cancers au sein des populations pratiquant la vaccination systématique ou un mode équivalent, en attestent.

2/ Ils sont globalement iatrogènes. C’est-à-dire qu’ils libèrent des substances chimiques résistantes déstabilisant l’ADN et le système immunitaire.

3/ Ce sont aussi des perturbateurs endocriniens qui dès la naissance dérèglent l’équilibre des fonctions thyroïdiennes, sexuelles, nerveuses…

4/ Une exposition fréquente aux vaccins favorise de toute évidence des maladies cardiaques et Alzheimer. Cela à cause des nanoparticules métalliques susceptibles de traverser les barrières organiques pour atteindre les cellules gliales.

5/ Des maladies auto-immunes, ainsi que des allergies ont été observé. Celles-ci seraient notamment provoquées par l’introduction prématurée de stimulants immunitaires trop brutaux pour des systèmes immunitaires non formés et immatures.

En conclusion
Quel que soit notre avis sur ces recherches, il ne faut pas oublier que :

La systématisation vaccinale touche essentiellement les régions du monde où la plupart des maladies dont il est question ont disparu depuis les années 30.
Les propagandes vaccinales sont à ce jour issues de sociétés privées finançant les chefs d’État et profitant des ventes des vaccins.
Les morts et maladies graves survenues suite à des injections de vaccins sont inquiétantes car elles ne sont pas officiellement recensées ou rattachées à ces causes.
Par ailleurs, il est à noter que les investigations selon lesquelles des « tests » réalisés à échelle humaine pour le développement des vaccins seraient à l’origine des épidémies les plus importantes de ce siècle comme du dernier, ne manquent pas.

Voici donc autant de preuves que l’obligation vaccinale, ou ne serait-ce que sa propagande par les services publics, est effectivement une aberration criminelle. Si bien que chacun doit pouvoir être libre de refuser.

Car même face à un risque punitif pouvant impressionner, il est impensable de laisser mettre ses enfants en danger.  

Jean-Baptiste Loin
A regarder : documentaire fort intéressant et complet retraçant le destin de victimes de la vaccination ainsi que les observations de spécialistes indépendants :
(en bas de la page du lien)
https://www.reponsesbio.com/la-dictature-vaccinale-tente-de-gagner-le-monde/

tout comme les articles ci dessous :

*** Sources ***
-Rapport 2016 de L’OMS, l’UNICEF et la BANQUE MONDIALE

-https://www.beljanski.info/

-Sylvie Simon « le lobbying et la peur »

-Dr Willem « la Liberté thérapeutique »

-Le dossier noir des médicaments de synthèse, Dr Louis de Brouwer, Editions Encre
 
-Etude de l’organisme de pharmacovigilance des vaccins
 
-Base de données européenne sur les effets indésirables des médicaments
 
-Vaccins et aluminium, lobbys de la chimie :https://dai.ly/xo3ivq
 
-Adverse effects of vaccines of the institute of medicine

Sur Le Même Sujet :
Les vaccins et la marchandisation de l’être humain
Sylvie Simon dénonce le lobbying et la peur
Le mouvement citoyen des Gilets jaunes a commencé à Agen
Sylvie Simon nous a quittés
Courrier des lecteurs #4 : ostéoporose, vaccins, huile de ricin, rêves…

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyJeu 21 Mar 2019 - 17:17

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source https://www.reponsesbio.com/thyregul-la-grossesse-et-les-troubles-de-la-thyroide/
Thyrégul, la grossesse et les troubles de la thyroïde

Par Jean-Baptiste Loin - 10 février 2019

Pour répondre à certaines questions urgentes sur les troubles de la thyroïde pendant la grossesse, j’ai décidé d’y consacrer un article spécifique.

Nous y parlerons notamment du Thyrégul, la solution naturelle développée par le Dr Jean-Pierre Willem, ainsi que des nouveaux compléments naturels.

Si les troubles de thyroïde sont toujours problématiques, ils le sont d’autant plus lorsqu’ils surviennent ou sont avérés lors d’une grossesse.

D’une part parce que pendant les quatre premiers mois de gestation, la thyroïde de la mère remplace celle du fœtus qui n’a pas encore développé la sienne.

D’autre part parce que hyper et hypothyroïdie peuvent avoir de graves conséquences, parfois irréversibles, aussi bien sur la mère que l’enfant à naître.

Les dangers des troubles thyroïdiens pendant la grossesse
En cas d’hyperthyroïdie :
– Les risques de fausses couches et d’hypertension artérielle chez la mère augmentent.

– L’enfant a plus de chances de naître prématuré.

– La croissance de la thyroïde du fœtus peut être altérée et ainsi développer à son tour des dysfonctionnements.

– Et, à la naissance de l’enfant, une insuffisance cardiaque est à redouter.

En cas d’hypothyroïdie pendant la grossesse :
–  Un développement plus lent de la croissance fœtale est possible.

– Un enfant souffrant lui-même ce problème après la naissance peut survenir.

– Mais surtout cela peut causer autisme, troubles psycho-moteurs ainsi que divers troubles de l’intelligence.

Certains chercheurs s’accordent effectivement à penser qu’une baisse globale de l’intelligence depuis ces cinquante dernières années, pourrait être liée à la généralisation de troubles thyroïdiens et endocriniens.

Au-delà de ces exemples, dans une proportion bien moindre mais que nous ne pouvons négliger pour autant, les troubles de la thyroïde peuvent entraîner des crises cardiaques, soit pour le fœtus, soit pour la mère et l’enfant.

Abordons maintenant un point crucial, qui ne peut se contenter d’être politiquement correct, ou encore accepté par tous.  

Les traitements de la thyroïde pendant la grossesse
Certains m’en voudront de rédiger ces lignes tant ils sont formatés par la désinformation et la pseudo science « bien pensante » des laboratoires pharmaceutiques, faisant dorénavant référence dans les écoles de médecine.

Ce qui sera aussi probablement le cas des vendeurs de pilules naturelles n’ayant d’autre but que d’augmenter leur chiffre d’affaires ou briller.

Cependant pour réaliser une étude honnête sur le sujet il est nécessaire à la fois de connaître les travers des mauvaises solutions et d’avoir un recul empirique sur les bonnes.

Celles venant d’apparaître n’ont pas fait leurs preuves et sont discutables sur plus d’un point, dont nous reparlerons dans quelques minutes.

Or, s’il est délicat de traiter les troubles de la thyroïde, vous vous en doutez, il l’est plus encore lorsqu’un fragile organisme en gestation absorbe les remèdes que vous prenez.

C’est pourquoi nous allons étudier point par point, les médicaments et remèdes disponibles sur ordonnance ou sur internet.

Je tiens aussi à préciser, bien que la presse indépendante soit en voie de disparition et a fortiori la presse spécialisée dans la santé naturelle, que ce n’est pas en tant que thérapeute mais en tant que journaliste que je me permets de partager mon point de vue.

Journaliste ayant toutefois plus d’une génération d’expérience dans le domaine qui nous intéresse ici, aussi bien dans l’observation des bons que des mauvais côtés des remèdes naturels.

Les traitements allopathiques de la thyroïde et la grossesse
Que ce soit par le biais du Levothyrox ou de la Lévothyroxine, à mon sens il est criminel de s’intoxiquer et d’intoxiquer l’enfant à naître avec des médicaments de synthèse pendant une grossesse.

Il n’est d’ailleurs pas plus souhaitable de procéder à une ablation de la thyroïde, acte barbare soumettant à vie aux hormones de synthèse, et réduisant par conséquent les chances de guérison à néant.

D’abord les poisons chimiques contenus dans ces médicaments atteindront directement le fœtus.

Par la suite, si ce n’est de troubles de la thyroïde, le futur enfant souffrira probablement d’autres maux tout aussi problématiques.  

Pour de plus amples informations sur les dangers des médicaments comme le Levothyrox et ses effets secondaires, je vous invite à lire mon précédent article :

Thyroïde et Levothyrox, quelles alternatives naturelles ?
https://www.reponsesbio.com/thyroide-levothyrox-alternatives-naturelles/

Les traitements naturels de la thyroïde et leur efficacité
Il fut un temps où la situation était simple, si j’ose dire.

Il y avait d’un côté les hormones de synthèse, et de l’autre la solution naturelle.

Mais aujourd’hui, essentiellement pour des raisons économiques et non pour la santé des malades, tout cela a bien changé.

D’une part on a de nombreux médicaments chimiques venus s’ajouter ou remplacer le Levothyrox et la Lévothyroxine.

Et d’autre part, pullulent de plus en plus de compléments soi-disant naturels.

Pour ma part je ne conseillerai qu’un remède naturel, et qui plus est toujours le même.

Pourquoi cela ?
Comme je viens de le dire, d’autant plus depuis que les troubles de la thyroïde explosent littéralement chez les femmes et même les hommes, un grand nombre de compléments a été mis sur le marché dans un seul but : vendre et emprisonner le malade dans un achat perpétuel.

Un seul d’entre eux, dont vous avez déjà entendu parler sur Réponses Bio et que nous proposons sur notre place de marché, est vraiment différent.

Non pas parce qu’il est gratuit, au regret de vous décevoir, lui aussi est disponible à la vente.

Mais tout simplement dans la mesure où le Dr Willem, ayant pensé l’équilibre très précis d’HE, de vitamines et nutriments le composant, est un humaniste ayant consacré sa vie à soigner par le biais de consultations gratuites, et à se soucier en priorité du bien-être d’autrui.

Et que comme tout bon complément s’insérant dans un protocole naturothérapique, Thyrégul est conçu pour résoudre le problème à sa source, donc, à terme, pour être en mesure de s’en passer.

Cela étant dit, revenons à notre sujet.

Vous savez de quel œil je vois les solutions chimiques, étant elles-mêmes des perturbateurs endocriniens et des agents iatrogènes.

Penchons-nous donc à présent sur les nouvelles solutions naturelles qui foisonnent de plus en plus sur le marché.

Force est de constater qu’elles ne font malheureusement pas exception à la règle.

Elles ne semblent pas avoir comme priorité de soigner un maximum de gens, mais plutôt de profiter de ce nouveau « marché juteux » que représentent les troubles de la thyroïde.

Les unes étant de pâles copies des remèdes du Dr Willem, les autres présentant des mélanges quelque peu hasardeux.

Parfois on ira jusqu’à observer dans la composition de ces produits des aberrations telles que le stéarate de magnésium, à dose de cheval.

Non seulement le stéarate de magnésium est un additif alimentaire OGM, véhiculant pesticides et divers produits chimiques, mais c’est aussi un allergisant largement controversé parfois pointé du doigt comme étant cancérogène.

D’autres utilisent de la silice de terre de diatomée, aussi connue sous le nom de dioxyde de silicium, un additif alimentaire certes autorisé en bio, mais tout de même extrêmement douteux.

Des études montrent qu’il est systématiquement nanoparticulaire, même lorsqu’il est de qualité alimentaire et qu’il n’est pas destiné à tuer les insectes ou filtrer les piscines.

C’est aussi un agent potentiellement  cancérigène.

Pourtant certains fabricants ne se privent pas de dire de leurs compléments qu’ils sont sans additifs, ou que les gélules sont non OGM ou sans nano, alors qu’elles sont gastro résistantes.

N’oublions pas que les gélules végétales ou de type HPMC non analysées au niveau d’une éventuelle composition nanoparticulaire ou OGM sont dorénavant toutes suspectes.

Par ailleurs les extraits de plantes sèches ou nébulisâts, semblent peu probants pour des affections aussi sérieuses, compte tenu de la déperdition des principes actifs conditionnés sous cette forme.

Mais, bien entendu, il est plus facile pour les laboratoires d’opter pour des poudres de plantes, vitamines de synthèse et additifs alimentaires, lorsque l’on connaît les difficultés que les gélules d’huiles essentielles impliquent pour la vente sur internet.

Effectivement, les gélules de compléments nutritionnels correctement titrées, surtout si elles sont composées d’huiles essentielles, rencontrent de plus en plus de problèmes de distribution.

1/ Les systèmes bancaires pour internet, permettant la vente par carte bancaire en ligne, pénalisent les distributeurs, allant jusqu’à refuser de fournir leurs services ou escroquer les boutiques.

2/ De plus en plus de pays s’opposent à l’envoi postal de ces compléments, comme s’il s’agissait de drogues, et d’autres ajoutent des taxes arbitraires et aléatoires exorbitantes, à réception des colis par les acheteurs.

Une raison supplémentaire pour les concurrents au Thyrégul et à l’Immuno-régul de faire du commerce au lieu de se préoccuper réellement de la santé de leurs clients.

Non, vous l’aurez compris, ce qui est vraiment exceptionnel dans le complément nutritionnel du Dr Willem pour l’équilibre de la thyroïde, c’est son équilibre précis entre vitamines, nutriments et… huiles essentielles.

Les huiles essentielles et les femmes enceintes
Depuis qu’elles ont mauvaise presse, c’est à dire à peu de choses près depuis 1970, les huiles essentielles sont victimes d’une vaste campagne de désinformation, voire de diabolisation.

Il est vrai qu’elles sont parfois très fortes, pouvant provoquer brûlures et autres désagréments.

Il est par conséquent primordial de ne pas les utiliser à la légère.

Il est également vrai qu’en l’absence d’une connaissance relative des différentes huiles, elles peuvent s’avérer difficiles à doser et à employer.

Mais lorsque les bonnes huiles sont préparées aux bonnes doses, elles ne sont pas plus problématiques que la plupart des remèdes naturels dignes de ce nom.

Toujours est-il que les laboratoires pharmaceutiques et leur horde de communicants, médecins, rats de laboratoires… s’en sont donnés à cœur joie depuis ces cinquante dernières années.

Ils expliquent généralement à leurs disciples et aux medias qu’ils financent, que les huiles essentielles sont carrément dangereuses.

Aussi, de nos jours, il n’est pas étonnant de lire partout, en gros et en gras, même lorsque les HE ont été scrupuleusement  dévitalisées :
– Attention ce produit contient des huiles essentielles.

– Ce produit est contre-indiqué aux femmes enceintes et allaitantes.

– Femmes enceintes attention danger.

– Les huiles essentielles sont déconseillées aux enfants de moins de 6 ans.

Comme nous venons de le dire, les huiles essentielles sont puissantes et seront bien évidemment véhiculées jusqu’au bébé, ainsi que dans le lait maternel.

Dans certains cas il conviendra donc de les doser avec parcimonie, de les utiliser avec prudence, voire tant que possible, d’en éviter la plupart pendant la grossesse.

Cependant quand on lit dans la presse « officielle » que les médicaments chimiques ne représentent pas un danger pour le fœtus, ou qu’ils ne se propagent pas dans le lait maternel, permettez-moi de faire un bond de colère.

C’est tout bonnement de la désinformation représentant un véritable danger pour les consommateurs.

Je vous en prie, remettons les choses dans leur contexte.

1/ Les troubles de la thyroïde sont particulièrement dangereux pendant la grossesse.

2/ Les hormones de synthèse et médicaments chimiques ne représentent pas une solution thérapeutique, étant globalement iatrogènes, pour la mère autant que le fœtus.

3/ Les mises en garde à propos des huiles essentielles sont trop souvent exagérées, voire fallacieuses.

Une fois ce constat réalisé, la réponse coule de source.

Tout d’abord, si ce n’est en s’appuyant sur la diététique et la détox, il n’existe pas de solution absolument sans danger pour traiter une thyroïde déficiente pendant la grossesse.

Ensuite il y a de trop grands risques à ne pas traiter les troubles thyroïdiens lorsque l’on attend un enfant.

Je suis donc d’avis, et je le répète cet avis n’est pas celui d’un thérapeute mais d’un journaliste, tout éclairé soit-il, d’opter pour le moindre mal.

Thyrégul et grossesse mode d’emploi
A la lecture de cet article il vous appartiendra de faire un choix.

Votre santé et celle de votre enfant étant bien plus précieuses que tous les avis médicaux, vous devez comprendre en âme et conscience les différents risques et les assumer.

Tout ce que je peux vous dire de plus, c’est que le grand avantage des compléments nutritionnels du Dr Willem pour rééquilibrer la thyroïde, Thyrégul et/ou Immunorégul, réside dans leur faculté non à se substituer, mais à rééquilibrer les facultés de cette glande si précieuse.

Cependant compte tenu de la puissance des principes actifs, on les emploiera avec prudence et on s’évertuera à s’en passer dès que possible.

Cela implique :
– Un contrôle drastique et régulier de sa thyroïde et son taux de TSH afin d’arrêter le traitement dès qu’elle recouvre ses facultés normales.

– Autant de surveillance et de prévention que faire se peut afin d’apporter une attention toute particulière à la santé du fœtus.

– Une diététique et une hygiène de vie appropriées permettant d’optimiser les chances de rééquilibrage de la thyroïde.

– Mais aussi un pause de quelques jours dans le traitement, toutes les trois semaines, pour éviter une concentration trop importante d’huiles essentielles dans le système sanguin et le placenta.

Toutes précautions prises, le suivi d’un aromathérapeute compétent ne sera pas un luxe, puisqu’il pourra vous conseiller les limites d’un sous-dosage ou d’un sur-dosage, en fonction de votre terrain.

Pour ma part, en cas de grossesse je recommanderai de diminuer les doses préconisées par le Dr Willem par deux, réduisant Thyrégul à une gélule par jour, de préférence le matin et à jeun, au moins une demi-heure avant un petit déjeuner non sucré.

Il conviendra en outre d’éviter tous les aliments puriniques tels que le café, le tabac, les graisses animales, sans oublier les sucres raffinés.

Mais ces conseils seront bien évidemment à adapter selon l’avis d’un aromathérapeute et/ou naturopathe.

Par ailleurs l’alimentation aura plus que jamais son importance.

Il y a quelques années j’ai rédigé un article sur la diététique à suivre en cas d’hypo et d’hyperthyroïdie, que vous trouverez derrière ce lien : https://www.reponsesbio.com/soins-naturels-thyroide/

Une inscription est nécessaire pour profiter des conseils y étant présentés, par ce biais vous recevrez par email le PDF récapitulant l’article, et cela nous permet de notre côté de recenser les personnes souhaitant profiter de solutions d’ordre plus général que les seuls compléments nutritionnels.

Jean-Baptiste Loin

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 1811061040256491715984529 Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 1811061040256491715984529
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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyLun 23 Mar 2020 - 18:28

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J'ai entendu parler de ce réseau hier, à cause des soucis que certains parents peuvent rencontrer en cette période de confinement pour cause de Covid 19.

source http://www.cdumonteilkremer.com/2017/11/sos-parentalite-une-hotline-gratuite-pour-tous-les-parents.html
SOS PARENTALITÉ UNE HOTLINE GRATUITE POUR TOUS LES PARENTS :-)
30 NOVEMBRE 2017

UNE PETITE SOUPAPE DE DÉCOMPRESSION
C’est ce que je vous offre pour Noël ! Avec la maison de l’enfant en partenariat avec le réseau Parentalité Créative nous créons une hotline de la parentalité positive.

J’en rêve depuis longtemps, d’abord en tant que parent, j’aurais tellement aimé que ce genre de service existe.

Pouvoir relâcher la pression, le découragement, l’épuisement, qui m’envahissaient quand je vivais à temps plein avec trois enfants prêts à dévorer la vie à chaque minute

Sortir de l’isolement, et me sentir comprise dans ce que j’essayais de mettre en place dans ma famille. Être aidée et écoutée juste quelques instants quand je n’en pouvais plus de déplacer des montagnes d’énergie pour les accompagner.

C’est la raison pour laquelle j’ai créé Parents Conscients une liste de discussion sur internet qui a été une grande aventure ! Mais aujourd’hui, grâce aux personnes que j’ai formées il est possible de mettre en place ce service téléphonique gratuitement à partir de demain de 14 heures à 17 heures, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés.

Ce sont donc des professionnels de l’accompagnement à la parentalité qui vont vous répondre, mais aussi des parents qui ont à cœur de vous redonner confiance en vous et qui ont traversé les mêmes difficultés que vous. J

Ce défi est rendu possible grâce à l’intervention de chaque personne du réseau, et de Farah Unger, consultante en parentalité à Douarnenez/Quimper, elle a orchestré l’aspect technique et la mise en place de ce projet !

15 MINUTES POUR RELÂCHER LA PRESSION !
C’est ce que nous vous proposons, vous redonner un peu de peps, vous écouter quand vous en aurez besoin, évoquer avec vous une ou deux pistes pour sortir la tête de l’eau.

Faites connaître cette information autour de vous, elle peut aider de nombreux parents J

Joyeux Noël

Catherine Dumonteil-Kremer

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptySam 15 Mai 2021 - 15:28

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Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 3389238305 source https://www.santenatureinnovation.com/
Vaccins, ce que tout parent doit savoir
En 2013, l'Union européenne a autorisé la mise sur le marché d'un nouveau vaccin « 6-en-1 » pour les nourrissons. Ce vaccin, appelé Hexyon et produit par le laboratoire Sanofi, regroupe les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hépatite B, la poliomyélite et contre certaines infections comme la méningite.

Cette « innovation » est généralement présentée par les médias comme « une vraie avancée en matière de vaccination, à l'heure où les autorités sanitaires tentent par différents moyens (…) de redonner confiance aux Français en cette méthode préventive » (lu sur le site Informations Hospitalières).

En ce qui me concerne, je ne suis pas rassuré. Je m'explique. Le fait de mélanger ensemble un grand nombre de vaccins est une méthode connue des laboratoires pharmaceutiques pour compliquer la preuve d'effets indésirables. Car plus il y a de vaccins dans l'injection, plus il devient difficile de prouver qu'un effet indésirable précis est lié à l’un des vaccins. Il faut un nombre de cas déclarés d'effets secondaires négatifs beaucoup plus important pour obtenir un niveau de preuve statistiquement fiable.

Or, cette tactique se développe justement au moment où le grand public réalise que les effets indésirables des vaccins sont tout sauf négligeables.

Des effets secondaires inquiétants
Un nombre alarmant d'études scientifiques met actuellement en lumière les dangers des vaccins.

Il ne s'agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c'est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.

Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd'hui au centre d'un scandale qui n'en finit pas. Selon le décompte effectué par l'association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3)

Le vaccin contre l'hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu'il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D'autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d'Etat français a reconnu que l'aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d'une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la Ville de Paris, permettant à cette personne d'être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n'ont pas eu l'idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.

Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques, même à faibles doses, comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l'aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.

Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l'efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s'emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.

L'aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d'Alzheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d'après-guerre.

Un rapport risque/avantage douteux
Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu'auraient les vaccins.

L'opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d'avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et, bien entendu, les maladies infantiles, rougeole, oreillons, rubéole, etc.

Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m'oblige à écrire, sans hésiter, qu'il s'agit là d'une pure mythologie.

Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l'on introduise les vaccins. C'est l'amélioration des conditions de vie, de l'hygiène, de l'eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l'effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du XXe siècle.

Le cas emblématique de la diphtérie
Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d'exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l'échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l'excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivants. (6)

En Espagne, il y avait chaque année 5 000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l'année où la vaccination systématique fut introduite.

En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L'année suivante, il y eut 15000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la guerre !

En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an pendant la Première Guerre mondiale. Les nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Après la guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu'à 800 annuellement en 1972 (une baisse de 99,2 %).

En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l'Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas en 1942 et près de 700 morts.

Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène.

En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s'accompagne d'un recul de la maladie, jusqu'à une disparition quasi totale.

Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d'introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi inexistante (cas de l'Espagne en 1964, de l'Allemagne en 1939).

Un phénomène général
Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.

La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7 000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu'il y ait eu de campagne importante de vaccination.

Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d'enfants de moins de 15 ans, contre 1 500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.

En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).

La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu'il n'y ait jamais eu de vaccin.

En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéole) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3 756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en… 1982.

La tuberculose et le BCG
Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas qui ne vaccinaient pas leur population, qu'en France où tous les écoliers se faisaient vacciner.

Aujourd'hui, alors que le BCG n'est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu'il n'est imposé en Italie qu'à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner religieusement des millions d'écoliers chaque année.

Les études de l'INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d'après-guerre. Les campagnes de vaccination n'ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu'auparavant, avec l'amélioration de l'hygiène et la généralisation de l'eau courante. Ce qui n'est pas étonnant quand on sait que le fait d'être vacciné contre le BCG ne protège ni de l'infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd'hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n'ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.

Le problème est que le BCG comporte des risques importants d'effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l'obligation a été supprimée en 2007). C'est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l'abandon des campagnes de vaccination au BCG.

Ce n'est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l'hygiène, de l'alimentation et de l'habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.

La vérité soigneusement dissimulée
Actuellement, malheureusement, une industrie gigantesque s'est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d'autant plus lucrative qu'elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.

Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d'euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques.

Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliard d'euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.

A l'achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :
-la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d'euros ;

-l'acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d'euros ;

-l'achat d'antiviraux pour 20 millions d'euros ;

-150,6 millions d'euros de masques ;

-41,6 millions d'euros de dépenses logistiques ;

-290 millions afin d'indemniser les personnels de santé réquisitionnés ;

-59,6 millions destinés aux frais d'information et à la campagne de communication ;

-100 millions de « frais liés à l'organisation territoriale de la campagne de vaccination » ;

-et encore 375 à 752 millions d'euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.

Finalement, le nombre de vaccins utilisés n'a été que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont parties à la poubelle, une fois atteinte la date de péremption. (7)

Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l'affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.

Pas de suivi des accidents liés aux vaccins

De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s'ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu'on vous expliquera qu'il s'agit d'une pure coïncidence, y compris s'il y a décès.

Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, il déclenche de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l'eczéma, l'hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.

Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l'accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu'ils considèrent qu'il n'y a pas de lien.

C'est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d'autres personnes que l'on retrouve sur les innombrables sites d'information sur la vaccination. (8)

Un témoignage parmi d'autres, recueilli par l'EFVV (European Forum For Vaccine Vigilance) :

« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l'identité de mon bébé parce que j'ai peur que cela me retombe dessus, mais j'ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu'un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c'est. Elle était parfaite. Lorsqu'on lui fit l'injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d'une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s'est endormie profondément, et ne s'est plus jamais réveillée. J'ai commencé à m'inquiéter parce qu'elle semblait dormir plus longtemps que d'habitude et lorsque j'ai voulu vérifier, j'ai remarqué qu'elle avait un peu vomi et qu'elle ne respirait plus. Ils ont dû faire une autopsie mais ils n'ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c'est le vaccin qui l'a tuée. Elle n'avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l'ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd'hui, j'ai peur qu'ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu'ils m'accusent d'avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c'est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »

Mais c'est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s'ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l'évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l'Agence Nationale du Médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu'elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.

Cela permettrait très rapidement d'établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l'enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c'est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu'injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l'organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.

Mais pour des raisons qui n'ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n'est absolument pas envisagé aujourd'hui par les autorités sanitaires.

Que faire ??

Cela veut-il dire qu'il faille à arrêter de vacciner tous les enfants ?

Non. Car même si on a exagéré les bienfaits des vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux cas où il est raisonnable de vacciner.

Le problème est que l'absence d'études sérieuses sur les risques et bénéfices réels des vaccins obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni les professionnels de santé de bonne volonté, ne disposent aujourd'hui d'éléments fiables pour prendre des décisions éclairées.

Nous sommes donc obligés de jouer à la roulette russe avec les vaccins.

Il semble toutefois raisonnable a priori d'éviter tous les vaccins qui ne sont pas obligatoires, lorsqu'on est en bonne santé. Faire du zèle est coûteux, mais plus probablement encore dangereux.

Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à risque », et d'autres qui le sont moins. Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est, dans la plupart des cas, nocif.

De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications. Cela n'est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en fait présenter des contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes, ou ayant d'autres problèmes liés à leur système immunitaire. Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n'est pas prévu par le système.

Une réforme indispensable et urgente

Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent des mesures visant à améliorer la connaissance des vaccins et l'information des médecins comme du grand public à ce sujet.

Une information transparente doit être donnée sur les dangers de chaque vaccin. S'il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées.

Beaucoup de vaccins ont un rapport bénéfices/risques douteux. Une information lisible et facilement compréhensible doit figurer sur l'emballage des vaccins, indiquant clairement ceux qui sont indispensables, ceux qui ne sont nécessaires que dans certains cas, et ceux qui sont inutiles dans la plupart des cas.

Mais même si c'est aux médecins de s'assurer qu'ils ne font pas courir de risque inutile à leurs patients (serment d'Hippocrate), rappelons-nous que nous ne vivons pas dans l'utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement, d'être responsable de notre santé.

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis

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Sources :
Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.org
Risk of narcolpesy in children and young people receiving AS03 - BMJ 2013;346:f794

Guillain-Barré Syndrome After Influenza Vaccination in Adults, David N. Juurlink, Therese A. Stukel, Jeffrey Kwong, Alexander Kopp, Allison McGeer, Ross E. Upshur, Douglas G. Manuel, Rahim Moineddin, Kumanan Wilson, Arch Intern Med. 2006;166:2217-2221.

Décompte effectué par Sanevax : http://sanevax.org/breaking-news-gardasil-fingerprints-found-in-post-mortem-samples/

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22249285

http://www.quechoisir.org/sante-bien-etre/maladie-medecine/maladie/actualite-aluminium-dans-les-vaccins-lien-de-cause-a-effet-etabli

Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.org

http://www.lemonde.fr/epidemie-grippe-a/article/2010/01/04/une-grippe-a-deux-milliards-d-euros_1287422_1225408.html

http://www.gardasilandunexplaineddeaths.com/

Voir également :
Meyer, J., & Jensen, K. A. (1954). A fatal case of tuberculosis produced by BCG. Am Rev Tuberc, 70(3), 402–412. JAMES E. F., Fatal case of tuberculosis produced by BCG, American review of tuberculosis, 1955, tome 71, pp.321-323 ; Pedersen, F. K., Engbaek, H. C., Hertz, H., & Vergmann, B. (1978). Fatal BCG infection in an immunocompetent girl. Acta Paediatr Scand, 67(4), 519–523.

OMS, L'éradication mondiale de la variole – Rapport final de la commission mondiale pour la certification de l'éradication de la variole, éd. OMS, 1980.

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