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 Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyMar 21 Nov 2017 - 23:08

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 1704271159246491715004140

source http://www.reponsesbio.com/2017/11/19/proteger-peau-de-bebe/
Protéger la peau de bébé
19 novembre 2017


On sait combien l’exposition à des perturbateurs hormonaux ou des allergènes, potentiellement présents dans les secteurs du textile, de l’alimentation, des cosmétiques… ont à long terme des conséquences fâcheuses sur la santé.

Pour la peau, le contact prolongé avec ces composés favorise le développement d’allergies et d’eczémas, mais aussi de dessèchement, d’irritations, etc.

Or, le pH de la peau d’un nouveau-né est neutre, et celle-ci n’est pas encore protégée par le film hydrolipidique mettant les cellules à l’abri des influences extérieures, c’est la raison pour laquelle on veillera à ne surtout pas décaper l’épiderme des tout-petits avec des produits nettoyants, la plupart du temps toxiques et irritants.

Des recettes maison aux pratiques de bon sens, voici comment nettoyer en douceur tout en protégeant la peau de bébé.


Epargnez les tout-petits !
La peau des bébés comme des jeunes enfants étant très fragile, les produits utilisés pour leur toilette doivent faire l’objet d’une attention toute particulière.

Une récente étude du réseau WECF fournit un aperçu de la composition des produits cosmétiques et soins corporels destinés aux bébés et enfants, vendus en pharmacies, parapharmacies, supermarchés et magasins biologiques, concernant les :
→ laits de toilette,

 → lotions,

 → shampoings,

 → produits pour le bain,

 → liniments,

 → lingettes,

 → eaux nettoyantes,

 → eaux de toilette,

 → et les produits solaires.

Sans entrer dans le détail, voici 3 points fondamentaux débordant d’éloquence :
1/ Parmi les composés classés comme présentant un « risque élevé » entrant dans la composition de la majorité des produits listés ci-dessus, se trouvent des allergènes de contact et des conservateurs soupçonnés d’avoir des effets toxiques sur le système reproducteur.

2/ Parmi les substances classées, elles, à « risque modéré », on trouve :
→ de l’EDTA, surtout dans les lingettes et les produits moussants,

 → des sulfates,

 → des huiles minérales, c’est à dire des dérivés pétrochimiques,

 → et bien évidemment, des nanoparticules, dont nous n’avons décidément pas fini d’entendre parler.

3/ Et même dans les produits « bio » vendus en magasins biologiques, on peut trouver :
→ des parfums chimiques ajoutés quasiment systématiquement,

 → de la glycérine de synthèse issue de dérivés du pétrole,

 → ou encore du benzoate de sodium, à propos duquel il est difficile de trouver des études, néanmoins suspecté d’être allergène et cancérigène quand il est associé à de la vitamine C, dont l’association pourrait produire du benzène, à l’origine de leucémies et cancers.

Un exemple typique de composant utilisé en cosmétique « bio » qu’il conviendra d’éviter, au moins en attendant que des recherches fiables soient menées sur cet additif.

A la suite de ce constat évidemment, et on les en remercie, le WECF « demande l’interdiction des trois ingrédients à risque élevé dans tous les cosmétiques destinés aux enfants de moins de trois ans, ainsi que des restrictions d’usage pour les ingrédients classés « à risque modéré », en respect du principe de précaution ».

Cette ONG est également à l’origine de la demande d’un moratoire sur l’usage de substances suspectées d’être des perturbateurs endocriniens (PE) dans les cosmétiques pour bébés en attendant la définition des PE que doit publier la Commission Européenne.

Ce qui ne l’empêche pas de s’inquiéter, en même temps, de l’omniprésence de parfums sensibilisants, souvent mis en cause dans les allergies de contact.

D’ailleurs, pourquoi vouloir parfumer la peau des bébés ?

Ne dit-on pas « sentir bon comme un bébé » ?

Des produits simples pour le bain
Baigner un bébé tous les jours n’est absolument pas nécessaire, et aurait même tendance à favoriser le dessèchement cutané, surtout si vous ne disposez pas d’une eau pure et vivante, c’est à dire si vous utilisez l’eau du robinet.

Néanmoins, l’eau ayant constitué leur environnement naturel pendant les 9 mois de leur gestation, le bain est souvent un vrai moment de bonheur pour les tout-petits.

C’est aussi un espace privilégié pour l’envelopper de votre affection, peau contre peau, en échangeant sourires et caresses…

Toutefois, rien n’oblige à savonner son bébé à chaque fois qu’il prend son bain, une ou deux fois par semaine suffiront amplement.

Evitez autant que possible les bains moussants et autres gels lavants, en optant plus volontiers pour un savon doux exempt de :
→ glycérine synthétique,

 → hydrocarbures,

 → conservateurs,

 → parabènes,

 → colorants,

 → parfum,

 → huile essentielle,

 → etc.

Mais oui ça existe !

Des savonniers traditionnels proposent encore de parfaits savons fabriqués à froid, aux huiles végétales biologiques, enrichis en :
→ eau florale et pétales de rose
https://reponsesbio.shop/produit/savon-bio-rosaline-maman-bebe/

 → huile d’amande douce, eau florale de sureau et pétales de calendula
https://reponsesbio.shop/produit/savon-bio-amandine-maman-bebe/

 → hydrolat et fleurs de lavande
https://reponsesbio.shop/produit/savon-bio-lavandine-maman-bebe/

 → ou encore en lait de jument bio, miel et eau de fleurs d’oranger…
https://reponsesbio.shop/produit/savon-au-lait-de-jument-jojoba-fleur-doranger/

Et pour accompagner ces remarquables savons, la meilleure alternative au gant de toilette, pouvant s’avérer irritant, consistera à choisir une éponge de mer 100% naturelle, écologique et biodégradable.
https://reponsesbio.shop/produit/minis-eponges-de-mer-naturelles/

Accessoire idéal pour la toilette de la peau fragile des enfants, et spécifiquement des bébés, grâce à son action à la fois :
→ nettoyante,

 → très légèrement exfoliante, ce qui rend inutile de frotter,

 → antibactérienne grâce à la grande quantité d’iode qu’elle contient,

 → stimulant le renouvellement cellulaire,

 → et surtout, d’une douceur incomparable…

Ce qui n’empêchera pas les mamans aux peaux délicates, sensibles, très sèches, sujettes à l’eczéma ou au psoriasis, d’en choisir une rien que pour elles.

Et pour le change ?
Chez le bébé, la zone du siège, milieu humide renfermé et chaud est tout particulièrement sensible, car elle favorise davantage l’absorption des substances par voie cutanée.

Pour nettoyer le siège de bébé à chaque change – c’est à dire très souvent – le mieux est le liniment oléo-calcaire, un produit ancien utilisé en cas de brûlures, coups de soleil, irritation cutanée, etc.

S’il est possible d’en trouver des convenables dans le commerce, là encore, malheureusement, ils sont généralement agrémentés de toutes sortes d’additifs tels que :
→ « pentylene glycol », un solvant chimique responsable de réactions allergiques et de dessèchement de la peau,

 → « caprylyl glycol », un alcool gras de synthèse irritant et polluant pour l’environnement,

 → « PEG-8 », dérivé de PolyEthylene Glycol obtenu à partir de procédés chimiques utilisant des gaz toxiques cancérigènes,

 → etc.

Pour être sûr de ne pas empoisonner bébé, je vous conseille sans hésiter d’opter pour le fait maison.

Afin de vous aider en ce sens, voici ma petite recette perso de liniment oléo-calcaire, une préparation simplissime… et très économique !

Ingrédients :
ၑ 50g d’eau de chaux (50ml)

    ၑ 50g d’huile d’olive bio (55ml)

    ၑ 2g de cire d’abeille bio

    ၑ 10 gouttes d’extrait de pépin de pamplemousse

Préparation :
Dans un bol, faire fondre la cire d’abeille dans l’huile d’olive au bain-marie.

Hors du feu, verser l’eau de chaux en fouettant.

Ajouter l’extrait de pépin de pamplemousse, homogénéiser puis transvaser dans un flacon bien propre.

Ce liniment se conserve pendant un mois sans problème, grâce à l’EPP qui va jouer le rôle d’antioxydant.

A la fois simple et parfaitement naturel, le liniment possède des propriétés :
→ nettoyantes,

 → protectrices et cicatrisantes grâce à la cire d’abeille,

 → et hydratantes.

Il pourra aussi aider à faire disparaître les croûtes de lait.

Et en bonus, cette préparation pourra être utilisée telle quelle comme démaquillant nettoyant, protégeant et nourrissant la peau !

Natacha Lange

Pour trouver les savons et éponges de mer choisis par le comité de sélection de Réponses Bio, rendez-vous ici
https://reponsesbio.shop/categorie-produit/maman-bebe/soins-bebe/toilette-change/

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyDim 14 Jan 2018 - 22:40

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 1510091202536491713645195

source http://www.reponsesbio.com/2018/01/07/systemique-1-leducation-et-la-pedagogie/
Systémique # 1 L’éducation et la pédagogie
7 janvier 2018


Je me suis engagé, ce nouvel an, à vous parler des solutions les plus propices à une systémique salvatrice pour l’équilibre de l’humain dans son environnement.

Cependant à quoi servirait cet équilibre, s’il n’était pas basé sur le paramètre le plus enclin à faire évoluer la société à court terme, à savoir l’éducation de nos enfants.

C’est pourquoi je vous invite aujourd’hui à découvrir la passionnante analyse d’un nouvel auteur que nous espérons retrouver régulièrement dans les colonnes de Réponses Bio, Yolande Dutot, professeur dans l’enseignement secondaire.

Pour ma part je vous retrouve dès mercredi.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin


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« Montessori », ces quatre syllabes résonnent comme une terre promise pédagogique et éducative, et des écoles privées hors contrat avec l’Etat voient le jour dans des endroits auparavant improbables.

A une ère où la compréhension des intelligences multiples s’élargit avec les connaissances des neurosciences,  malgré près d’un siècle d’existence, l’extrême simplicité de cette méthode reste pourtant parfaitement novatrice tant par sa précision que par son respect de l’individu.

En voici un petit tour d’horizon…


Novatrice et continuatrice
Maria Montessori -1870 – 1952-, fut une des toutes premières femmes médecins, diplôme qu’elle obtint en Italie dès 1896, malgré l’hostilité bien masculine qui l’entourait.

Se dédiant ensuite au domaine de la psychiatrie, auprès d’enfants dits « retardés mentaux », son sens aigu de l’empathie et de l’observation lui fait rapidement prendre conscience que les troubles présentés par ses jeunes patients sont davantage d’ordre éducatif que médical, et que leurs déficiences sont le fruit d’un environnement peu stimulant et d’un manque d’expérience sensorielle du monde.

A la suite de quoi, en 1901, elle entreprend des études de psychologie et philosophie, et, cinq ans plus tard, commence une observation des enfants dits « normaux ».

C’est cette année-là qu’elle bâtit sa théorie des « périodes sensibles » de l’enfant, selon laquelle il y aurait des moments où il serait plus enclin à un type d’apprentissage particulier :
→ L’ordre : l’enfant aime classer, trier, ordonner le monde qui l’entoure

 → Le langage : l’enfant nomme les choses et les concepts

 → Le mouvement : l’enfant affine l’usage de ses mains et peut acquérir la préhension fine

 → Le raffinement sensoriel : l’enfant explore ses cinq sens et découvre le monde grâce à eux

 → Le développement social : l’enfant se construit une identité et cherche à vivre en groupe

 → La sensibilité aux petits objets : cette période sensible, peu documentée car très labile, a à voir avec la qualité de l’observation

Selon l’analyse de Maria Montessori, les acquisitions de chaque  période sensible sont faciles et évidentes pour l’enfant et ne doivent absolument pas être contrariées sous peine d’être perdues.

C’est notamment en laissant s’exprimer ces périodes sensibles que les éducateurs et éducatrices Montessori permettent à l’enfant d’approfondir ses acquisitions sans effort et en étant pleinement acteur de son vécu.

En parallèle, elle découvre les travaux du docteur Jean Itard -1774 – 1838-, bien connu pour son observation de Victor, l’enfant sauvage de l’Aveyron ainsi que du pédagogue Edouard Seguin -1812 – 1880-.

Elle en prolonge les observations et outils jusqu’à créer les siens, tout en gardant à l’esprit ces principes fondamentaux :
→ L’individualisation du travail de chaque enfant.

 → La liberté laissée à l’enfant de choisir son travail et de l’exécuter aussi longtemps qu’il le souhaite.

 → La nécessité de permettre à l’enfant une approche et une compréhension sensorielles du monde.

 → Le contrôle de l’erreur directement par l’enfant.

Puis, en 1907, le quartier populaire de San Lorenzo fait l’objet d’une réhabilitation immobilière.

Dans ce contexte, Maria Montessori se voit attribuer une « Casa dei Bambini », la première maison des enfants dans laquelle elle va pouvoir mettre en œuvre et affiner ses principes pédagogiques.

Les objectifs premiers étant :
→ D’empêcher les enfants, délaissés par leurs parents au travail, d’errer et de semer le désordre

 → De participer à rétablir une harmonie familiale

Cette expérience est d’ailleurs un réel succès pour ces enfants qui, malgré un milieu peu favorable, acquièrent une autodiscipline et des qualités d’élaboration égales à des enfants de milieux plus favorisés et  contraints dans l’apprentissage.

Dès 1913, Maria Montessori décide d’organiser des formations internationales.

Et lorsque la première guerre mondiale éclate elle part aux Etats-Unis, où elle ouvre des écoles de formation d’enseignants.

De retour dans une Europe assombrie par les totalitarismes elle quitte l’Italie mussolinienne, puis l’Espagne franquiste, pour s’installer aux Pays-Bas.

Mais en 1939, elle quitte l’Europe pour Madras, en Inde, où elle restera jusqu’en 1946, pour y finaliser les subtilités de sa pédagogie.

Après la seconde guerre mondiale, la construction de l’Europe se fait politiquement par la création d’un imaginaire collectif, et le « baby-boom » entraîne, notamment en France, le développement d’une architecture de masse tournée vers l’accueil d’une population scolaire destinée à obtenir le baccalauréat dans 100% des cas.

Nous sommes hélas bien loin de la volonté d’accueil chaleureux et individualisé ainsi que de la volonté de construction d’un groupe restreint unissant des élèves d’âges différents, de 3 à 6 ans, de 6 à 9 ans, de 9 à 12 ans, prônée par la pédagogie Montessori, qui restera confidentielle en Europe, notamment en France, jusqu’à l’arrivée de découvertes en neurosciences offrant une nouvelle dimension scientifique à cette pédagogie.

Une intuition confirmée par les neurosciences
Les connaissances récemment acquises sur le fonctionnement du cerveau ont confirmé l’extrême adaptation du matériel Montessori et de la méthode d’apprentissage lui étant liée à la plasticité et aux besoins du cerveau :

 → De l’enfant, bien sûr, l’ouvrage de Céline Alvarez, Les lois naturelles de l’enfant, montre une expérience pédagogique extrêmement bien argumentée dans laquelle se croisent et s’affinent toutes les connaissances acquises sur le développement de l’enfant et le cerveau humain depuis un siècle.

 → De l’élève mais aussi du dyspraxique, les psychomotriciens étant formés pour accompagner des patients présentant ces troubles de la gestuelle.

 → Face à la maladie d’Alzheimer, Montessori étant une méthode d’apprentissage, mais aussi une technique de réapprentissage ou de conservation des savoirs, les patients atteints de la maladie d’Alzheimer pris en charge dans des structures utilisant cette pédagogie, montrent un déclin de la cognition et une appartenance plus longue à la vie de la structure, avant l’inévitable « bulle » dans laquelle enferme la maladie.

De plus, les connaissances modernes relatives aux intelligences multiples nous font redécouvrir la méthode Montessori de par son incroyable adaptation aux diverses sensibilités des enfants.

Montessori, une pédagogie mais également un label vendeur
La méthode Montessori est aussi devenue une aubaine commerciale sur laquelle se ruent de nombreux fabricants de jouets, de matériel dit pédagogique et d’éditeurs de traités d’éducation ou de cahiers d’apprentissage.

Force est de constater que le nom de la pédagogue italienne fait vendre !

Mais avant de se tourner vers des produits dérivés, il est important de lire Maria Montessori sans modération, de s’imprégner de l’amour inconditionnel qu’elle porte à l’enfance, de prendre conscience des grandes exigences d’exemplarité qu’elle a envers les parents comme toute la communauté dans laquelle l’enfant vit et grandit.

Et, après lecture, il est essentiel de réaliser que nos erreurs ne sont pas des impasses, elles sont l’exploration du chemin.

Car c’est en lisant le texte originel que l’on réalise que ce matériel si tentant, si bien présenté, si beau, si révélateur des hautes compétences de l’enfant, n’est rien sans la vigueur de l’amour apporté aux enfants, sans une présence exigeante et bienveillante à la fois.

Oui, contrairement aux idées reçues il est bien ici question de « Présence », à mille lieues du mirage de l’autonomie de l’enfant vendu avec le matériel labellisé, la méthode Montessori est un apprentissage à partager.

Vous serez donc invités à modifier votre manière d’être présents à l’enfant, dans un retrait propice à sa découverte mais jamais à le laisser seul devant la difficulté.

Ainsi, quand on installe sur la tablette familiale une application permettant de tracer des lettres de couleurs criardes accompagnée d’une musique synthétisée, on n’est plus dans la méthode Montessori mais dans le marketing Montessori.

Certes, cela vaut peut-être mieux que d‘autres jeux numériques, mais ne nous leurrons pas, ayons conscience que nous fournissons à nos enfants de quoi nous rendre, nous, présents à la visite que nous recevons, moins agacés par l’attente chez le médecin, ou que nous laissons nos enfants se servir d’un outil numérique et vivre avec leur temps.

Les initiatives Montessori : des gages de sérieux très exigeants
Les inspecteurs de l’Education Nationale, seuls en France habilités à valider la qualité de l’instruction des enfants, se montrent en général bienveillants avec ces initiatives, impressionnés qu’ils sont par le calme et l’autodiscipline qui règnent si souvent dans ces structures, ou par le niveau de maîtrise des apprentissages des enfants dépassant assez régulièrement les connaissances attendues à leur âge.

D’un autre côté, cette méthode tendant à se démocratiser, de plus en plus d’enseignants d’écoles publiques ou privées œuvrent, avec autant de ténacité que de difficultés financières, pour acquérir du matériel neuf ou d’occasion, ou le fabriquer avec leurs fonds propres.

Les documents officiels aident les enseignants à s’inspirer de la méthode Montessori pour renforcer ou aborder certains apprentissages délicats, cependant initier de nouveaux rapports entre élèves et professeurs, comme l’aurait souhaité Maria Montessori, est une démarche semblant encore difficile à mettre en œuvre.

Le « lâcher prise » demandé aux éducatrices et éducateurs Montessori peut-il être obtenu sur demande ?

Car bien que la pédagogie Montessori soit un ensemble de gestes et techniques, c’est avant tout une manière d’être au monde pour laquelle les intervenants sont formés et obtiennent des diplômes, dont les plus exigeants sont validés par l’Association Montessori Internationale, mise en place en 1929 par Maria Montessori, continuée par son fils Mario -1898 – 1982-, dont le but est de préserver, propager et promouvoir les principes de la pédagogie Montessori.

Propio non hanno capito niente !
Nous venons de le voir, la méthode Montessori proposée dans certaines ressources destinées aux enseignants est considérée comme un outil pédagogique et non pas comme un travail permettant à l’enfant de découvrir le monde et d’en prendre conscience de manière harmonieuse.

Le fait de ne pas bénéficier d’une démarche individualisée ne  laisse aux élèves ni le temps, ni la possibilité de développer une approche personnelle de leur enseignement.

Voilà pourquoi Maria Montessori, sur la fin de sa vie, disait :
« Propio non hanno capito niente ! »

Se traduisant littéralement par : Ils n’ont vraiment rien compris !

Mais le mal peut être plus profond encore puisqu’il arrive que les inspecteurs chargés de valider l’objectif d’instruction des écoles privées hors contrat, découvrent des fonctionnements aberrants et dangereux.

On recense parfois des « ateliers Montessori » étant en fait des écoles fondamentalistes et intégristes dans lesquelles les enfants manipulent à l’envi du matériel labellisé sous le regard bienveillant d’un éducateur ou d’une éducatrice Montessori.

Il y règne tout Montessori, tout sauf la liberté voulue par Maria Montessori étant dangereusement tronquée par le prisme de doctrines religieuses.

Ces écoles ne sont pas nombreuses, heureusement, mais il y a déjà eu en France des procès attentés par d’anciens élèves d’écoles alternatives pour défaut d’instruction, qui ont été gagnés.

Montessori et ses continuateurs
Maria Montessori a vécu à une époque très riche en découvertes et expériences pédagogiques : John Dewey, Francisco Ferrer, Roger Cousinet, Célestin Freinet, Alexander Sutherland Neill furent tant ses contemporains que, parfois, ses contradicteurs.

Tous, notamment après la première guerre mondiale, pariaient sur l’éducation pour que le monde ne revive plus jamais l’horreur des conflits.

Tous ont échoué, tant la tâche est immense et le projet semble utopique.

Elle seule fut nominée trois fois consécutives pour le prix Nobel de la Paix, en 1949, 1950 et 1951, dans la mesure où son approche est complète et cherche à faire de l’enfant, pas à pas et à son échelle, un artisan de paix ainsi qu’un être libre.

Aujourd’hui, la pédagogie Montessori connait un succès et une reconnaissance mondiaux et ses continuateurs s’emploient à faire toujours plus de l’école un lieu ouvert et protégé à la fois.

La philosophie entre dans les écoles Montessori, et les élèves sont invités à se rassembler autour de questions métaphysiques, à trouver leur réponse et à l’éprouver dans l’écoute des autres.

La pédagogie Montessori, que certains croient réservée à des données immédiatement vérifiables, s’enrichit et se prolonge dans des domaines éloignés du concret sensoriel l’ayant rendue si célèbre.

Et surtout, car les pédagogues ont beaucoup œuvré auprès des enfants du primaire, elle pousse sa corne sur cette terra incognita de l’enseignement qu’est le collège.

En effet, les formations des enseignants du second degré, éternellement à cheval entre le savoir magistral et l’approche méthodologique plus « maternante », n’ont pas intégré l’approche Montessori dans leurs programmes, mais Sylvie d’Esclaibes, enseignante Montessori, nous fait part, dans son livre Montessori au collège, de l’efficacité de cette méthode, sans nous cacher la vérité : « c’est plus dur au collège, mais cela en vaut la peine ».

Et sans s’éloigner, pour ne pas marginaliser les élèves, des programmes de l’Education Nationale, il est possible de rattacher des élèves en difficulté grâce à la présence individualisée, ou de laisser des élèves autonomes et intéressés exprimer leur soif de connaissances et leur élan vers le savoir sans les enfermer dans le programme hebdomadaire d’un enseignant seul devant 25 à 30 élèves traversés par l’adolescence et ses tourments.

Il semble donc tout à fait réalisable, en faisant confiance, de mener chacun à la réussite en respectant sa manière de faire et d’apprendre.

Quelques pistes pour faire rentrer Maria Montessori dans vos vies ?

Maria Montessori à la maison, quelques idées
Dans la chambre de Bébé, l’enfant doit avoir un accès facilité à ses jouets, c’est pourquoi il est recommandé de laisser un matelas sur un sommier sans pieds pour laisser le matelas respirer.

Une petite barrière pourra être mise, qui aura pour seule fonction d’empêcher l’enfant de tomber pendant son sommeil mais ne lui sera pas un frein lors de ses premiers déplacements.

La chambre de l’enfant sera un lieu lumineux et chaleureux, organisée en zones :
→ une pour le change,

 → une pour l’allaitement ou le biberon,

 → une pour le jeu,

 → une pour le sommeil.

Des tableaux, photos, changés régulièrement, seront placés à hauteur de l’enfant.

La décoration sera sobre et l’enfant aura peu de jouets à sa disposition, mais qui seront tous choisis pour leur beauté, leur maniabilité et le plaisir qu’ils procure à l’enfant.

Régulièrement, les parents proposeront à l’enfant d’autres jeux, et ce roulement, basé sur l’observation des intérêts de l’enfant, lui permettra d’explorer ses périodes sensibles.

Cela se fera dans un environnement calme dans lequel l’enfant pourra développer ses qualités de concentration.

Les jouets seront à la hauteur de l’estime dans laquelle on tient l’enfant : des matériaux nobles comme le bois, les tissus végétaux ou la laine seront donc à privilégier.

Pour permettre à l’enfant de se découvrir, il est possible de mettre à sa hauteur un miroir.

Certains parents n’hésitent pas à faire poser des fenêtres à hauteur de sol, fixes bien entendu, permettant à l’enfant de regarder le monde qui l’entoure.

Prendre soin de soi :
Pour apprendre les premiers gestes de la toilette, l’enfant pourra avoir, dès l’âge de la marche, une petite installation comprenant miroir, petite cuvette (l’eau est à changer aussi souvent que nécessaire), savon et porte-savon, gobelet, dentifrice et brosse à dents, ainsi que brosse à cheveux et porte-serviette, ce qui lui permettra de soigner son apparence et d’acquérir autonomie et sérieux dans le soin à lui-même.

A défaut, n’oubliez pas de mettre à sa disposition une petite marche qui facilitera son accès à cette chose merveilleuse qu’est le lavabo de la salle de bains familiale.

Pour commencer à le laisser explorer ses vêtements, vous pouvez fournir l’enfant une penderie à sa hauteur, ce qui sera aussi l’occasion de parler de la météo et des activités prévues, l’ancrage temporel pouvant se faire tout simplement par ce biais pratique.

Les gestes quotidiens
Votre cher petit commence à s’intéresser aux boutons de ses vêtements ?

Proposez-lui une séance d’habillage devant le miroir, cela lui permettra de s’autocorriger, et n’attendez pas qu’il se décourage pour l’aider.

De impatience au petit déjeuner ?
N’est-ce pas le moment d’anticiper et de sortir le beurre le soir, afin qu’il soit assez mou le lendemain matin ?

Armé d’un couteau à tartiner, votre enfant préparera ses premières tartines et sera fier d’acquérir de l’autonomie.

Dans le même esprit, donnez à votre bébé une cuillère pour qu’il se serve par lui-même lors des repas.

Bien sûr, vous lui donnerez vous aussi à manger pour assurer la continuité du service, mais il acquerra progressivement la si délicate et précieuse coordination main-bouche.

Après le repas, un gant mouillé sera mis à sa disposition pour qu’il se débarbouille, ainsi qu’une éponge ou une lavette avec laquelle il essuiera sa tablette.

Rien de négatif ne sera dit quant aux éclaboussures, et ce petit ménage bien imparfait au début sera un autre moyen pour votre enfant de découvrir les textures de ses repas, d’être en contact avec la réalité de son alimentation, et de prendre plaisir à ordonner son environnement.

Votre enfant joue dans son bain à verser de l’eau ?
Prolongez le plaisir de cette découverte en mettant à sa disposition un cruchon pour qu’il puisse remplir son verre. Plus il grandira, plus il se montrera habile dans la gestion du poids et de la chute d’eau.

Mais la pédagogie Montessori se cache partout…

 → Bannissez « truc » et « machin » de votre vocabulaire, et prenez le temps de trouver les mots justes pour désigner le monde qui vous entoure. Utilisez les mots spécifiques plus que les mots génériques : dites « ficus », « orchidée », etc…au lieu de « plantes ». Les enfants sont sensibles au raffinement langagier.

 → Le bain langagier dont votre enfant a besoin lui est nécessaire dès le début de sa vie : installez-le à un endroit où il verra les membres de la famille vivre et communiquer, invitez-le à observer de petites choses comme la croissance de vos plantations, les floraisons, la lune, le passage des oiseaux…

 → Vous venez de passer un moment agréable avec des gens que vous voyez peu ? Faites-vous secrétaire pour votre enfant et proposez-lui d’envoyer une lettre ou une carte postale de remerciement dont il vous dictera le contenu.

 → Faites participer vos enfants à la vie de la famille : chacun peut faire une part du ménage.

 → Vous allez ranger le linge sec : pourquoi ne pas inviter votre enfant à reconstituer les paires de chaussettes ou à reconnaître ses affaires à lui ? Peut-être sera-t-il très content de vous aider à le ranger à sa place…

 → Soyez ferme ! Un enfant élevé selon la pédagogie Montessori ne fait pas ce qu’il veut, il a autour de lui des adultes qui l’observent et lui permettent de vouloir ce qu’il fait.

 → Si vous utilisez des bornes de recyclage, observez la fascination de vos enfants devant cette énorme poubelle grâce à laquelle on fait le geste fou de jeter tout en ordonnant selon la nature du produit. C’est l’occasion de nommer la matière de vos déchets, de repérer avec votre enfant les consignes de tri, accessibles généralement sous forme d’images, et, pourquoi pas, de le faire participer. Et si vous pensez à emporter un marchepied, ils pourront même vous aider.

 → Enfin, pour permettre à votre enfant de développer son sens de l’ordre et de l’organisation, prenez des photos! Collez dans l’entrée une photo de l’entrée rangée : elle servira de guide à votre enfant au moment de sortir son manteau. Faites de même avec les contenus des tiroirs et des boîtes de jeux et jouets. Cette méthode peut être utilisée dans de nombreux cas : rituel d’habillage été/ hiver, préparation de la valise lors d’un week-end à l’extérieur, du cartable, etc… Vous pouvez aussi ancrer l’enfant dans le temps en mettant à sa disposition des photos rangées dans l’ordre chronologique pour les routines du soir et du matin.

Yolande Dutot


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https://www.reponsesbio.com/systemique-2-sommeil-socle-de-sante-de-lesprit/]https://www.reponsesbio.com/systemique-2-sommeil-socle-de-sante-de-lesprit/

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyJeu 26 Avr 2018 - 10:30

source https://www.sante-corps-esprit.com/11-vaccins-obligatoires/#vaccins
11 vaccins obligatoires : ce médecin révèle le « pot aux roses »
9 avril 2014


Il faut voir cette vidéo.

Un grand médecin français, le Dr Michel de Lorgeril, vous révèle la face cachée des 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons.

En quelques minutes, vous allez comprendre :
Pourquoi on nous « mène en bateau » avec la pseudo épidémie de rougeole ;

Comment notre traditionnel « DTP » a disparu de la circulation… et a été remplacé par un « super-vaccin » 5 fois plus cher ;

Ce que l’on peut penser des liens entre vaccination et autisme

Le gros problème des adjuvants comme l’aluminium

Bonne santé,

Xavier Bazin

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Qui est Xavier Bazin ?
Xavier Bazin est journaliste scientifique, éditeur et écrivain, passionné de médecine naturelle.

Il porte le projet Santé Corps Esprit, pour aider un maximum de personnes à améliorer leur santé.

Doté d’une solide formation initiale en sciences sociales acquise à Paris, il a travaillé dans des domaines très divers, jusqu’à ce qu’il soit touché par de graves problèmes de santé.

Pendant des années, il a subi un état de fragilité prolongée : une fatigue persistante, un déséquilibre hormonal et un brouillard mental handicapant.

Au pic de ses difficultés, Xavier Bazin a été contraint de se mettre à mi-temps dans son travail. Il s’est alors plongé corps et âme dans la compréhension du corps humain. A la recherche de solutions, il a passé des années à lire méthodiquement une somme monumentale d’écrits et d’études scientifiques sur la santé.

C’est ainsi qu’il a découvert les incroyables bienfaits de la médecine naturelle, et qu’il a souhaité partager ce savoir avec le grand public.

Après avoir contribué au développement d’une grande maison d’édition dans la santé naturelle, il s’est lancé dans le projet Santé Corps Esprit, auquel il contribue depuis le début de l’année 2016.

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyVen 4 Mai 2018 - 11:11

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 1601110823576491713888032

source http://www.reponsesbio.com/2018/04/29/des-bonbons-aux-huiles-essentielles-comme-alternative-aux-gelatines-industrielles/
Des bonbons aux huiles essentielles comme alternative aux gélatines industrielles
29 avril 2018


En matière de bonbons, les enfants sont pris au piège d’un engrenage addictif et iatrogène dépassant largement les limites de l’acceptable.
Je vous propose aujourd’hui non seulement d’étudier, mais aussi de mettre en pratique des recettes faciles de bonbons avec ou sans huiles essentielles, afin de mieux transformer une habitude préoccupante en pur plaisir, voire en geste de santé.


Ces dernières générations ont vu des armées de techniciens du goût s’en donner à cœur joie dans le but de pérenniser des marques cherchant à rendre le consommateur « accro ».

Le sucre étant vite apparu comme l’ingrédient numéro un destiné à fidéliser un public allant de 1 à 99 ans, l’agroalimentaire s’en est servi pour désorienter les repères gustatifs, transformant un élan naturel en stratégie de l’addiction.

Nous en avons tous souffert, et dans une certaine mesure nous en souffrons encore, mais les plus touchés sont bien évidemment les enfants, auprès desquels les bonbons faits de gélatine animale, bourrés d’OGM et de nanoparticules, font tous les jours des ravages dans les cours de récréations.

Mais il n’est bien évidemment pas suffisant de leur interdire un tel comportement, que parfois même certains adultes considèrent comme inoffensif.

L’interdiction pure serait certainement vue comme une injustice, risquant qui plus est de livrer l’enfant à une exclusion de ses cercles d’amis.

Dans ce cas, n’est-il pas mieux de faire évoluer la consommation iatrogène et archaïque de gélatines animales et sucres ultra-corrosifs par une alternative totalement bio et naturelle, pouvant même dans certains cas se montrer thérapeutique ?

Des bonbons sains pour des enfants en bonne santé
Plus que des bonbons, en y ajoutant quelques huiles essentielles douces, dans un ratio toléré par les plus petits, on peut aller jusqu’à concevoir de mini remèdes pour la prévention et l’accompagnement de diverses affections bénignes.

Il pourrait également être opportun d’employer les fleurs de Bach ou même de se contenter de purées de fruits, mais pour éviter toute confusion entre le bonbon sain et celui enrichi aux huiles essentielles, je vous propose de les séparer avec soin.

Ceux contenant des huiles essentielles ne serviront que dans certains cas, et dans une mesure minutieusement orchestrée par les parents ou les grands-parents.

Un peu comme ce serait le cas pour des pastilles pour la gorge ou des sirops.

Et, en augmentant les doses, même les adultes pourront espérer profiter de bonbons véritablement thérapeutiques.

Quant aux autres, ils pourront être emmenés sans complexe à l’école pour être généreusement partagés avec les petits camarades de vos angelots.

Bonbons plaisir
Ingrédients :
300 grammes de purée de fruits : fraises puisque la saison commence, mais aussi abricots, pêches, poires…
ou 300ml de jus de fruits passés à l’extracteur : raisin, ananas…
5 grammes d’agar-agar en poudre
si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter 1 pincée de stevia, 50 grammes de sucre de fleur de coco, ou même de miel du moment qu’il est ajouté après la cuisson

Préparation :
Mélanger dans une casserole le jus ou la purée de fruits avec l’agar-agar.

Porter à ébullition et enlever du feu immédiatement.

Pour ceux qui souhaitent ajouter un peu de miel, c’est le moment.

Huiler très légèrement de petits moules « oursons » (ou autre), devant absolument être garantis sans BPA ni nanoparticules.

Verser la préparation bien homogénéisée en remplissant à ras bord, et placer au réfrigérateur pendant 3 heures environ.

Bonbons thérapeutiques
Ingrédients :
300g de jus de fruits comme par exemple : pomme, raisin, ananas, myrtilles…
5 grammes d’agar-agar en poudre
20g de miel
Huile essentielle ou élixir floral

Préparation :
Mélanger dans une casserole le jus de fruits et l’agar-agar.

Porter à ébullition et enlever du feu immédiatement.

Ajouter le miel et bien mélanger.

Huiler très légèrement de petits moules à bonbons.

Verser la préparation puis ajouter dans chaque bonbon 1 goutte d’huile essentielle que vous choisirez parmi les plus douces pour convenir aux enfants :
→ Orange douce (Citrus aurantium sinensis) pour aider un enfant à trouver le calme, ou apaiser des troubles digestifs passagers

 → Citron (Citrus limonum) en cas de mal des transports

 → Sapin baumier (Abies balsamea) en cas de toux, rhume ou bronchite

 → Niaouli (Melaleuca quinquinervia viridiflora) pour lutter contre les infections virales, mais aussi les sinusites, bronchites, rhino-pharyngites

Pour les plus émotifs on peut remplacer les huiles essentielles par deux gouttes d’élixirs floraux, susceptibles de répondre à des situations existentielles variées, chez les grands comme les plus petits.

Voici quelques suggestions :
→ la Centaurée ou le composé « Timidité » pour ceux qui se laissent marcher sur les pieds et ont du mal à se faire respecter (dans la cour de récré ou plus tard)

 → le composé « Colère » pour ceux qui gèrent difficilement leur irascibilité

 → le composé « Dépendances » pour un petit coup de pouce en cas d’envie intempestive de grignoter

 → le composé « Stop tabac » pour contrecarrer une envie de cigarette

 → le composé « Peurs » pour aider à surmonter les épreuves

 → et bien sûr le composé « Urgence » ou « Rescue » pour tous les coups durs

 → etc.

Placer les bonbons au réfrigérateur sans descendre en-dessous de 4°C, pendant environ 3 heures avant de démouler.

Ils se conservent pendant 10 jours dans une boîte hermétique, mais pour plus d’efficacité les bonbons thérapeutiques se consommeront dans les jours suivant leur fabrication.

Et pour les adultes
Comme je le disais les adultes pourront profiter de cette même composition tout en l’élargissant à d’autres huiles essentielles plus puissantes.

Il suffira pour cela d’ajouter non pas une mais trois ou quatre gouttes d’huile essentielle par bonbon, en fonction des cas.

Cependant, même les adultes veilleront à ne pas dépasser une à deux gouttes pour des certaines huiles essentielles les plus fortes comme :
→ l’Origan,

 → les Thyms,

 → la Cannelle…

Jean-Baptiste Loin

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 1511071105026491713731405

Anne-Sophie
Bonjour Jean-Baptiste,
Merci pour cette super idée 🙂
Le problème, c’est de trouver des moules à bonbons qui soient sains? En silicone?
Merci pour vos suggestions, si vous en avez 😉
Belle journée

***********

Anne-Sophie bonjour,
Effectivement, j’aurais dû m’attarder davantage sur ce point, la qualité des moules est essentielle.

La plupart des gens étant habituée au silicone j’indique qu’il est important d’en choisir sans BPA ni phtalates, cependant d’une part il est possible que les HE soient corrosives à long terme si elles touchent directement la surface, et d’autre part le silicone est généralement nanoparticulaire.

De toute façon il faut à tout prix éviter le silicone au peroxyde, dont certaines particules nocives migrent vers les aliments à partir de 160°C.

Plus généralement et par mesure de précaution, et même si dans ma recette de bonbons il n’y a pas de cuisson dans le moule, je vous conseillerai plus volontiers d’utiliser des moules en métal.

Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin

************

Anne-Sophie
Oh, merci pour votre réponse si rapide, et un dimanche, en plus 🙂
Reste à trouver ce type de moule… Pas simple. Au pire, on détournera un objet, je réfléchis 😉
Merci pour votre travail si passionnant, et pour vos partages!
Belle journée,

***********

SIBUE Eliane
Bonjour,
Les moules Demarle réponde-t-ils à ces normes?
Merci pour votre réponse

**********

Eliane bonjour,
Cette marque a effectivement fait un bel effort concernant les BPA, phtalates et peroxyde, cependant reste le problème des nanoparticules dans les ustensiles et emballages alimentaires.

En plus de la composition nannoparticulaire du silicone dont les informations sur la toxicité manquent, il est également probable que la fibre de verre l’accompagnant soit à base de nanoparticules encore plus nocives.

Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 1511071105026491713731405

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptySam 23 Juin 2018 - 16:19

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 1612050733286491714685071

source http://www.vsd.fr/actualite/danger-decouverte-de-substances-cancerigenes-dans-des-couches-pour-bebes-pampers-17719
Publié le mardi 25 octobre 2016 à 13:45  par Marine GIRARD
DANGER DÉCOUVERTE DE SUBSTANCES CANCÉRIGÈNES DANS DES COUCHES POUR BÉBÉS PAMPERS

Selon une étude de l'association Santé Environnement France, les couches de cette marque contiendraient des dérivés du pétrole.
Une étude de de l'Asef (association Santé Environnement France), rapportée par Le Parisien ce mardi 25 octobre, dévoile que des traces de composants dérivés du pétrole, potentiellement toxiques pour les plus petits auraient été découvertes dans des couches de la marque Pampers, leader du marché français.

Il s'agit plus précisément de benzo anthracène et de chrysène, appelés « petrolatum » sur les étiquettes. Ce sont ces HAP (hydrocarbures aromatiques polycycliques) qui sont utilisées pour rendre les couches moins irritantes pour les fesses des nourrissons. Les taux trouvés sont très bas, moins de 0,2 mg par kilo de couches, en dessous du seuil autorisé par la réglementation européenne, mais l'association Santé environnement France prône le principe de précaution et estime que la présence des ces produits favorisent certaines maladies, comme les cancers.

 Favoriser les couches écologiques
« C'est légal mais mais laisser ainsi ne serait-ce que quelques traces de composants dangereux, c'est moralement trop » dénonce Ludivine Ferrer, la directrice de l'Asef, auprès du Parisien et qui rappelle que ces fameuses couches sont « en contact avec les parties intimes de nos enfants 23h30 sur 24 ! ».

« Si l'effet était immédiat, il y a bien longtemps que les producteurs auraient changé leurs méthodes de fabrication », estime encore la directrice de l'Asef, ajoutant que ces HAP sont responsables de « la hausse de maladies chroniques comme les cancers ou l'infertilité ».

Ludivine Ferrer milite donc pour l’utilisation des couches écologiques, garanties sans produits chimiques. Elles peuvent s’acheter en grande surface à un prix défiant ceux des grandes marques (0,3€ l'unité pour une couche Love & Green contre 0,2€ pour une couche Pampers). Contactée par Le Parisien, la société propriétaire de Pampers, Procter & Gamble, n'a pas souhaité réagir.

******************************************************

source http://www.leparisien.fr/societe/des-produits-toxiques-dans-les-couches-25-10-2016-6248697.php
Consommation : des produits cancérigènes dans les couches
|Emilie Torgemen|25 octobre 2016

Le pétrolatum utilisé dans les couches pour protéger les fesses de bébé contient des HAP, mais sans dépasser les taux légaux autorisés.LP/MATTHIEU DE MARTIGNAC.

Une association a fait analyser les couches du leadeur du marché, la marque Pampers. Les résultats révèlent la présence d'un produit cancérigène.

Alerte au rayon bébé ! La société de couches écolo Love and Green a fait tester par un laboratoire indépendant la composition des couches Pampers, le leadeur très copié du marché. Les résultats, que nous avons pu consulter, révèlent que ces produits de puériculture contiennent des HAP (hydrocarbures aromatiques polycycliques). Précisément du benzo anthracène et du chrysène, des dérivés du pétrole classés cancérogènes par l'Union européenne. Contactée lundi, la société Procter & Gamble, propriétaire de Pampers, n'a pas été en mesure de nous répondre.

Ironie de l'histoire, les HAP sont notamment utilisés pour protéger la peau douce des tout-petits. Sur les paquets, c'est ce composant, mentionné comme étant du « pétrolatum », qui contient des molécules potentiellement dangereuses. Bien plus connu de l'acheteur lambda sous le nom de vaseline, il limite les irritations et l'effet fesses rouges. Parce qu'une couche-culotte classique, c'est une garniture de billes gélatineuses insérée dans un mille-feuille de voiles plastiques, très abrasifs pour la peau.

0,2mg/kg
C'est la quantité de HAP (hydrocarbures aromatiques polycycliques), une substance cancérogène, contenue dans les couches analysées.

Depuis leur naissance et jusqu'à ce qu'ils apprennent la propreté entre 2 et 3 ans, les enfants n'ont pas d'autre choix que d'être frottés à ces produits réputés toxiques, « en contact avec les parties intimes de nos enfants 23 h 30 sur 24 ! », s'alarme Ludivine Ferrer, directrice de l'Asef (Association santé environnement France, qui rassemble plus de 2 500 professionnels de santé en France). Elle estime que le risque est d'autant plus important qu'il est insidieux. « Si l'effet était immédiat, il y a bien longtemps que les producteurs auraient changé leurs méthodes de fabrication », soutient-elle.

Pour la directrice de l'association, les HAP sont, « par une chaîne causale complexe », à l'origine de « la hausse dans la population de maladies chroniques comme les cancers ou l'infertilité ».

Concrètement, cette étude de l'Asef révèle des taux très faibles de HAP. Sous le seuil de 0,2 mg/kg. Les couches pour bébé restent donc sous les seuils tolérés par la réglementation européenne. « C'est légal mais laisser ainsi ne serait-ce que quelques traces de composants dangereux, c'est moralement trop, s'insurge Ludivine Ferrer. D'autant que les industriels ne sont pas obligés d'utiliser ces éléments chimiques ! »

Son association promeut le « principe de précaution » dans « le Petit Guide santé du bio-bébé » distribué dans les PMI et chez certains gynécologues. Elle vient de convaincre deux maternités des Bouches-du-Rhône de passer, le 1er janvier, aux couches écolos. C'est-à-dire dont le voile intérieur en contact avec la peau des nourrissons est garanti sans produit chimique.

La société Pampers a tenu à démentir la présence de ces produits. Dans un communiqué envoyé ce jeudi au Parisien-Aujourd'hui-en-France, le fabricant de couches assure qu'il n'ajoute pas de HAP dans ses produits et que «tous les composants de nos couches sont strictement sélectionnés et évalués en détail. Ils sont conformes au rigoureux règlement européen Reach qui sécurise la fabrication et l’utilisation des ingrédients».

Et précise également que «des tests cliniques sont réalisés avec le plus grand sérieux par des experts scientifiques et des pédiatres extérieurs avant la commercialisation des produits».

Couche lavable ou jetable écolo, une bonne alternative ?
Pour éviter les produits toxiques, faut-il revenir aux langes de nos grands-mères ? « Les parents sont de plus en plus sensibles à ces questions », assure Céline Augusto de la marque Love & Green, qui pèse 4 % du marché. Première alternative, les couches lavables nouvelle génération (Popolini, P'tits Dessous, Best Bottom). La partie intérieure est le plus souvent en coton, chanvre ou bambou. Compter environ 200 € pour démarrer mais à terme, l'investissement vaut en théorie le coup puisque les couches sont réutilisables un grand nombre de fois. On ne les trouve que dans les magasins bio et sur Internet. Gros bémol : « Je les ai testées le premier mois après la naissance de mon fils. Franchement, j'avais l'impression de passer ma vie à faire tourner des machines de couches », confie Maëlle, une jeune maman.

Une autre solution : favoriser des couches jetables écologiques. Elles affichent un minimum de 50 % de matières naturelles et surtout zéro chimie dans le voile de maintien en contact avec la peau. A côté des marques Love & Green, Moltex ou Naty, les distributeurs ont développé leur propre gamme verte (Carrefour Baby Eco Planet, Pommette Ecologic, Auchan mieux vivre...). Elles restent plus chères que les couches jetables premier prix, mais moins que celles des marques traditionnelles.
 Le Parisien

******************************************************


http://www.magicmaman.com/,les-2-marques-de-couches-sans-produits-toxiques-sont-aussi-les-moins-cheres,3461985.asp
Les 2 marques de couches sans produits toxiques sont aussi les moins chères
Selon une étude du magazine "60 millions de consommateurs", seules 2 marques de couches sur 12 ne contiennent pas de substances toxiques. On vous dit lesquelles !

Sur 12 couches de marques différentes, seulement 2 d'entre elles ne contiennent pas de "résidus potentiellement toxiques". Les autres se composent d'au moins une substance indésirable (y compris les couches dites écologiques). Ces chiffres sont le résultat d'une étude publiée dans le magazine 60 millions de consommateurs.

Des substances peu désirables...
Tout comme les tampons hygiéniques, les couches censées protéger les fesses des bébés contiennent des résidus de pesticides. Les chercheurs ayant mené cette étude ont en effet trouvé du glyphosate (une substance qu'on retrouve dans les herbicides), des hydrocarbures aromatiques polycycliques, des dioxines et des traces de composés organiques volatils. Or le gyphosate a été classé "cancérigène probable pour l'homme" par le Centre International de Recherche sur le cancer (CIRC). Ceci reste une probabilité et le magazine ajoute que "le risque sanitaire reste à déterminer".

Ces substances ont été retrouvées dans certaines couches telles que les "Pampers Baby Dry" ou encore les couches écologiques "Carrefour Baby Eco Planet". Ces deux distributeurs assurent tous deux "respecte(r) scrupuleusement la réglementation en vigueur". Aussi, le magazine insiste sur le fait qu'il est nécessaire d'instaurer une réglementation spécifique et des contrôles plus stricts, sans quoi les consommateurs ignorent la composition des produits et ne sont pas assurés de la sécurité sanitaire de leurs bébés.

Car outre la composition douteuse de ces couches, c'est également le manque de transparence des marques qui est reproché par le magazine : "Chez Pampers, leader incontesté du secteur, on se contente d'inscrire sur les paquets que les couches sont 'douces comme de la soie'". Il s'avère que ce sont la cellulose (fibre issue du bois) et plusieurs matières plastiques qui permettent cette douceur dont la marque fait référence. La composition des langes n'est pas explicitement révélée sur les produits, la réglementation n'obligeant pas les fabricants de couches à le faire, contrairement aux produits cosmétiques.

2 marques de couches irréprochables
Seules les marques écologiques "Love&Green" et "Mots d'enfants" (Leclerc) ne contiennent aucune substance potentiellement toxique. En plus de ne présenter aucun risque sanitaire, ces couches figurent parmi les moins chères du marché : celles de Leclerc, "Mots d'enfants", sont à 20 centimes l'unité et celles de "Love&Green" sont estimées à 44 centimes l'unité (52,90€ le pack de 120 couches taille 5). Céline Augusto, cofondatrice de Love&Green, affirme que leurs couches sont composées de 40 à 50% de cellulose et de bioplastiques des matières, contrairement à une grande majorité d'autres marques qui utilisent plastiques, pétrolum et autres matériaux moins onéreux...

Rappelons que 60 millions de consommateurs n'est pas le premier à dénoncer la composition douteuse des couches pour bébés. En octobre dernier, déjà, un contrôle de qualité avait été réalisé dans un laboratoire indépendant suite à la demande du fabricant de couches Love&Green. L'analyse de la composition des couches Pampers avait effectivement révélé la présence d'hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). Ces composants sont dérivés du pétrole et classés cancérigènes par l'Union Européenne.

***********************************************

https://www.journaldesfemmes.com/maman/bebe/1733793-couches-bebe-enquete-60-millions-de-consommateurs/

http://www.loveandgreen.fr/nos-couches/?gclid=EAIaIQobChMI9-7L_vPp2wIVBOcbCh0shwFeEAAYAiAAEgL0MPD_BwE

https://www.consobaby.com/avis-couches-mots-d-enfants-taille-4-mots-d-enfants.html

https://www.lillydoo.com/fr/?gclid=EAIaIQobChMI9-7L_vPp2wIVBOcbCh0shwFeEAAYASAAEgI0CPD_BwE

************************************************



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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyMar 7 Aoû 2018 - 15:16

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 1511071100026491713731382

source https://www.sante-corps-esprit.com/coqueluche-vaccin-5-faits-genants-ministre/#respond
Coqueluche et vaccin : 5 faits très « gênants » pour la Ministre
3 octobre 2017


Oui, après des années de « répit », le nombre de cas de coqueluche repart à la hausse, en France, aux États-Unis, un peu partout.

En Angleterre, en 2012, année d’un triste record, 10 enfants de moins d’un an sont morts de la coqueluche.

C’est le même phénomène que pour la rougeole, en pire.

Est-ce parce que l’on vaccine moins les enfants qu’avant ?

Pas du tout ! La couverture vaccinale contre la coqueluche n’a fait qu’augmenter en Europe et aux États-Unis !

Elle dépasse aujourd’hui les 95 % dans la plupart des pays occidentaux.

Alors où est le problème ?

C’est très simple : on assiste en ce moment aux effets pervers parfaitement prévisibles de la vaccination généralisée.

Comme pour la rougeole, la vaccination a drastiquement réduit le nombre total de cas de coqueluche…

…mais elle a aussi déplacé l’âge de la maladie vers ceux qui sont le plus vulnérable !

La coqueluche s’abat aujourd’hui sur les adolescents, et surtout sur les enfants en bas âge, de 0 à 6 mois, ceux qui ont le plus de risques d’en mourir. [1]

Face à cette recrudescence, la Ministre de la Santé Agnès Buzyn est très embarrassée.

Elle sait parfaitement qu’il ne servira à rien de rendre la vaccination anti-coqueluche obligatoire chez les nourrissons car :

la couverture vaccinale est déjà extrêmement élevée (plus de 97 % à 2 ans en France) ;
et les enfants ne sont totalement vaccinés qu’à l’âge de 5 mois, bien après le « pic » de risque autour de l’âge de 1 à 2 mois.
Que faire alors ? Toujours plus de rappels et de vaccinations, pour les adolescents, les femmes enceintes, les futurs parents ?

Comme vous allez le voir, cela pose plus de problèmes que cela n’en résout !

La coqueluche est un nouveau cas d’école des contradictions et effets pervers de la vaccination généralisée contre une maladie infantile peu grave.

Voyez plutôt ces 5 faits incontestables… et très gênants pour les dogmatiques du « tout vaccin ».

Fait n°1 : Ce n’est pas grâce au vaccin que la coqueluche a (globalement) cessé de tuer
Les experts officiels et les médias vous parlent toujours de l’hécatombe causée par les maladies infectieuses avant l’ère vaccinale.

Et ils vous disent que c’est grâce aux vaccins que nous ne mourrons plus de ces maladies.

En fait, il faut plutôt remercier les progrès de l’hygiène, de la nutrition et des soins.

Voyez plutôt la courbe (en bleu) du nombre de décès causés par la coqueluche en Angleterre et Pays de Galles de 1 900 à 2 000 :
Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 Vaccin10

Graphique tiré de l’excellent Pourquoi vacciner, reproduit avec l’autorisation de son auteur Pierre-Jean Arduin

Comme vous le voyez, la baisse de la mortalité a commencé bien avant la création du vaccin et était quasiment achevée au moment de sa généralisation à la fin des années 1950.

Cela dit, il faut reconnaître que le vaccin a permis d’éviter un nombre considérable de cas de coqueluche.

Voyez plutôt la courbe rouge, qui montre la résurgence de la maladie dans les années 1980 et 1990 – lorsque les Britanniques ont arrêté massivement de vacciner leurs nourrissons (ils craignaient les graves effets indésirables du vaccin de l’époque).

Moins de cas de coqueluche, c’est « toujours ça de pris », vu que la maladie cause d’épuisantes quintes de toux.

Mais pour la baisse de la mortalité, le vaccin n’y est pour rien, ou presque, en Grande-Bretagne comme ailleurs.

En France, on pouvait lire, dans le Précis de Médecine Infantile de 1975 :

« Il ne faut pas attribuer à la vaccination la baisse considérable de la mortalité [coquelucheuse] observée depuis quelques dizaines d’années. Un taux très bas était déjà obtenu avant la généralisation de la vaccination »

Même chose aux États-Unis : le nombre de morts lié à la coqueluche a baissé de 75 % entre 1922 et 1948, avant l’introduction du vaccin. [2]

Quant à la Suède, lorsqu’elle a brutalement cessé son programme de vaccination des nourrissons contre la coqueluche, de 1979 à 1996, elle n’a observé aucune résurgence du nombre de morts. [3]

Entre 0 et 1 nourrisson mourrait de la coqueluche dans les années 1970, et c’est aussi ce qui s’est produit dans les années 1980 et 1990… alors que plus personne ne se vaccinait !

Fait n°2 : le premier vaccin contre la coqueluche avait de graves effets indésirables, mais on ne vous l’a pas dit !
Jusqu’à une date récente, le seul vaccin disponible contre la coqueluche était un vaccin « à cellule entière ».

Cela veut dire qu’on injectait aux nourrissons la bactérie entière (Bordetella pertussis), que l’on avait pris soin de tuer au préalable.

En France, ce vaccin a sévi jusqu’en 2 000.

Je dis bien « sévi », car il causait des effets secondaires assez ravageurs (en langage médical un peu pudique, on dit que ce vaccin est « très réactif »).

C’est un article publié dans le British Medical Journal qui l’a révélé pour la première fois, en 1981 : le vaccin contre la coqueluche multiplie par 3,3 le risque qu’un bébé en pleine santé soit affecté :
-d’encéphalites/encéphalopathies (inflammation du cerveau)
-et de convulsions prolongées [4]

Ce vaccin était associé à des convulsions dans 1 cas sur 1750, l’inflammation du cerveau dans 1 cas sur 110 000… et des dommages irréversibles au cerveau dans 1 cas sur 310.000 ». [5]

Et je ne parle pas ici des symptômes plus « légers » que provoquait ce vaccin : fièvre, douleurs et irritabilité dans la majorité des cas.

Vous comprenez pourquoi la Suède a arrêté son programme de vaccination en 1979 !

Le Japon a été encore plus rapide, puisqu’il a décidé de cesser la vaccination anti-coqueluche en 1975.

Et ils ont bien fait : le simple fait de repousser le début de la vaccination de 3 à 24 mois a fait chuter le nombre d’accidents neurologiques graves de 80 % et celui des décès de 90 % !! [6]

Vous comprenez aussi pourquoi les Britanniques ont refusé massivement de vacciner leurs enfants au début des années 1980, malgré les paroles rassurantes des autorités de l’époque !

Mais en France, on a continué la vaccination comme si de rien n’était, alors que ce vaccin « à germe entier » causait de nombreux cas d’encéphalites et de convulsions.

Heureusement, ces effets secondaires graves ont largement reculé dans les années 2 000, avec la mise au point d’un nouveau vaccin.

Ce vaccin, dit « acellulaire », ne contient plus la bactérie entière, mais seulement certaines de ses composantes.

Mais à quel point ce vaccin est-il plus sûr que le précédent ? Évite-t-il totalement le risque d’inflammation du cerveau ?

Difficile à dire, tant il ne fait pas bon pour un scientifique de s’intéresser de trop près aux accidents liés aux vaccins.

Ce qui est sûr, c’est que la vaccination généralisée a eu un effet assez indésirable pour la collectivité, qui est de déplacer l’âge de la maladie.

En France, l’INPES (L’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé) a parfaitement expliqué le problème :
» Dans les pays non ou mal vaccinés, la coqueluche touche principalement les enfants de 4 à 7 ans. Au contraire, dans les pays où la couverture vaccinale est élevée, comme aux États-Unis ou en France, la coqueluche affecte très peu l’enfant mais touche, d’une part, les nourrissons non protégés par la vaccination et, d’autre part, l’adolescent ou l’adulte qui les contamine. ”

Pourquoi ce déplacement de l’âge de la maladie ? Pourquoi la coqueluche n’a-t-elle pas été « éradiquée » par la vaccination ?

Il y a plusieurs raisons, vous allez voir, toutes très « gênantes » pour les idéologues de la vaccination.

La première, tout bêtement, est que le vaccin n’a jamais été très efficace :

Fait n°3 : Ancien ou nouveau, le vaccin ne protège pas à 100 % (loin de là)
Déjà, il faut savoir que lorsque vous avez la coqueluche, il n’est pas impossible de l’attraper une seconde fois.

Alors vous imaginez bien que le vaccin (qui est une forme très atténuée de la maladie) est incapable de protéger « à vie ».

D’après le Haut Conseil à la Santé publique, la durée de protection du vaccin contre la coqueluche serait seulement de 8 à 10 ans chez les enfants. [7]

Mais cette estimation est beaucoup trop optimiste, comme en témoigne la recrudescence des cas de coqueluche chez les 7-8 ans [8] parfaitement vaccinés.

De fait, une étude parue dans le New England of Journal Medecine rapporte que le vaccin perd rapidement de son efficacité. [9]

Au total, il est clair que le vaccin ne protège que quelques années, tout au plus.

Résultat : il ne peut pas empêcher les épidémies.

C’est ce qu’ont reconnu récemment les chercheurs dans le prestigieux Journal of Infectious Diseases [10] :
« Nos données suggèrent que le schéma actuel des injections de vaccin anti-coquelucheux acellulaire est insuffisant pour prévenir des épidémies de coqueluche. Nous avons noté un taux significativement accru de la maladie entre l’âge de 8 et 12 ans, proportionnel au taux écoulé depuis la dernière dose prévue de vaccin »

Et en plus, il faut ajouter que le vaccin ne protège pas tout le monde à 100 %, y compris dans les semaines qui suivent la vaccination !

D’après une revue d’études de la très respectée Fondation Cochrane, l’efficacité des vaccins anti-coqueluche serait de 84 à 85 % [11]… ce qui veut dire qu’1 enfant vacciné sur 7 n’est absolument pas protégé contre la forme sérieuse de la coqueluche.

Quant aux rappels à l’adolescence, ils ne sont pas très efficaces non plus, comme l’a révélé une récente publication dans le British Medical Journal : seuls 53 à 64 % des rappels de vaccination après l’âge de 11 ans sont efficaces ! [12]

Résultat : vous aurez beau vacciner 100 % d’une population, vous ne pourrez jamais faire disparaître la coqueluche.

Voilà pourquoi des épidémies de coqueluche sont apparues aux États-Unis et en Australie parmi des enfants vaccinés à 100 % et parfaitement à jour de leurs vaccins. [13]

Impossible, donc, d’accuser les non-vaccinés d’être la CAUSE de la résurgence de la coqueluche.

Impossible également de justifier la vaccination obligatoire dans « l’intérêt supérieur de la nation », puisqu’il est impossible d’éradiquer la maladie.

L’obligation généralisée de vacciner les nourrissons contre la coqueluche est d’autant plus absurde que la protection ne dure que quelques années, comme on l’a vu.

Ce ne sont pas les nourrissons qui contaminent les autres, ce sont les autres qui contaminent les nourrissons… La vaccination des bébés devrait donc relever du seul choix des parents, qui doivent évaluer en âme et conscience :
-le risque qu’ils font courir à leur enfant en le vaccinant (ce risque n’est pas nul, surtout que le vaccin actuel contient de l’aluminium)

-et le risque de ne pas le vacciner – très faible, on l’a vu, puisque la coqueluche est la plus dangereuse avant que l’enfant ne soit totalement vacciné (avant l’âge de 3 à 6 mois).

C’est donc aux parents de faire ce choix, et pas à l’Etat de l’imposer aux familles !

Et c’est d’autant plus vrai que deux découvertes EXPLOSIVES remettent totalement en question l’intérêt de la vaccination généralisée contre la coqueluche !

Fait n°4 : le vaccin a provoqué une mutation de la bactérie, plus virulente !
Il fallait s’y attendre, car c’est souvent ce qui se passe avec la vaccination

Non seulement la coqueluche n’a pas été éradiquée… mais la vaccination a suscité une mutation génétique de la bactérie, qui lui permet d’échapper aux effets du vaccin ! [14]

C’est comme pour les antibiotiques : à force de les utiliser, les bactéries s’adaptent, mutent et résistent.

Et l’ironie de l’affaire, c’est que ce sont désormais les vaccinés contre la coqueluche qui sont les plus vulnérables face à cette mutation de la bactérie ! [15]

Et ce n’est pas tout.

La vaccination classique contre la bactérie B. Pertussis a laissé la voie libre à une autre souche bactérienne, B. Parapertussis, qui provoque également la coqueluche.

C’est ce que suggère une étude récente, qui a trouvé que la vaccination anti-coqueluche multiplie par 40 la colonisation des poumons des souris par l’autre souche, B. Parapertussis !

Alors bien sûr, la communauté scientifique finira sans doute par appeler à faire de « nouveaux vaccins », « plus efficaces », qui contiendront ces nouvelles souches…

…mais il s’agit d’une course aux armements sans fin contre la Nature, que nous avons peu de chance de gagner !

Si vous n’en êtes pas convaincu, voici un autre effet pervers assez inattendu de la vaccination anti-coqueluche :

Fait n°5 : Le vaccin n’empêche pas de transmettre la maladie !
C’est un scoop qui a été découvert chez les babouins [16], avant d’être confirmé chez l’être humain.

Il apparaît clairement que la vaccination contre la coqueluche n’empêche pas d’être infecté ni de transmettre la maladie à d’autres ! [17]

Simplement, la vaccination masque les symptômes. Vous ne souffrez pas de la maladie… mais vous êtes quand même contagieux !

Résultat, selon les chercheurs :
« Il pourrait y avoir là des millions de personnes avec seulement une petite toux ou pas de toux qui répandent cette maladie potentiellement fatale sans le savoir »

Vous voyez le problème ?

L’avantage d’avoir les symptômes de la maladie, c’est que l’on peut s’isoler et essayer de ne pas contaminer les autres.

Par exemple, on peut éviter de prendre un nourrisson dans ses bras.

Mais que se passe-t-il si vous ne toussez pas ? Vous vous croyez en pleine santé et vous n’hésitez pas à multiplier les contacts avec les autres… et potentiellement transmettre la maladie !

Le risque est particulièrement grand pour les adolescents, qui transmettent la coqueluche à des nouveaux-nés vulnérables !

Avant la vaccination de masse, les nourrissons risquaient « simplement » d’être infectés par la mère.

Mais cela arrivait rarement, car la mère avait généralement eu la coqueluche en bas âge et avait obtenu des « rappels » naturels via la circulation de la bactérie.

Aujourd’hui, ce ne sont plus seulement les mères qui transmettent la bactérie à leurs bébés, mais également les frères et sœurs de 7 ans ou plus ! [18]

Qu’à cela ne tienne, répondent les idéologues vaccinaux, on va donc vacciner et re-vacciner les frères et sœurs.

C’est ce que recommandent aujourd’hui les autorités françaises… mais c’est une stratégie vouée à l’échec puisqu’on peut transmettre la maladie tout en étant vacciné !

Et comme si on n’avait pas fait assez « d’expérimentation » douteuse, les autorités américaines recommandent désormais aux femmes enceintes de se faire vacciner contre la coqueluche !

Oui, vous avez bien lu, les femmes enceintes…

Toujours selon le même raisonnement : puisque les nourrissons sont le plus vulnérable avant 3 à 6 mois (donc avant d’être pleinement vaccinés), il faudrait vacciner l’entourage proche, qui a le plus de risque de transmettre la maladie.

On ignore totalement si cette vaccination de la femme enceinte aura le moindre début d’efficacité [19], mais on se permet de prendre le risque de leur injecter un vaccin contenant de l’aluminium !

Alors qu’on sait depuis 50 ans que les substances chimiques sont très dangereuses pour les femmes enceintes.

Encore tout récemment, une étude a montré que la prise d’anti-dépresseurs pendant la grossesse augmentait le risque d’autisme de 41 % ! [20]

Et on veut leur injecter de l’aluminium, sans la moindre garantie d’efficacité !?

Et si le bon sens nous disait de trouver « autre chose » ?
Comme pour la rougeole, le vaccin a déplacé le problème plus qu’il ne l’a résolu.

Faute de circulation « naturelle » de la bactérie, les mères ne peuvent plus transmettre autant d’anticorps qu’avant à leur nourrisson, via le placenta et le lait maternel.

Résultat : ce sont aujourd’hui les bébés de quelques mois, avant vaccination, qui sont le plus à risque d’attraper cette maladie et d’en subir de graves effets.

Une fois de plus, on a rêvé à une « éradication totale », alors qu’elle était parfaitement impossible puisque :
-le vaccin n’est efficace immédiatement qu’à 85 % ;

-que ses effets disparaissent au bout de quelques années ;

-que les rappels sont encore moins efficaces que la vaccination initiale ;

-que la maladie se transmet par d’autres souches bactériennes ou par des mutations génétiques de la bactérie initiale ;

-et qu’elle se transmet d’autant plus facilement que le vaccin semble supprimer les symptômes, mais pas la maladie.

Et malgré l’échec patent de cette stratégie de la vaccination à tout prix, on parle déjà de faire de « nouveaux vaccins », qui intégreront les nouvelles souches, les nouvelles mutations…

Ne serait-il pas plus raisonnable d’en revenir à une idée simple ?

Celle selon laquelle notre système immunitaire est naturellement conçu pour repousser les maladies infectieuses et qu’il serait plus intéressant d’optimiser notre immunité par toutes les voies naturelles qui existent (alimentation, vitamine D, etc.) ?

Cette voie-là aurait le mérite de nous protéger contre TOUTES les maladies, et pas seulement celles contre lesquelles l’industrie a développé un vaccin.

Mais que voulez-vous, cette stratégie de bon sens ne doit pas « rapporter » assez d’argent à certains.

Bonne santé,

Xavier Bazin

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Sources :

[1] Infant Pertussis: Is Cocooning the Answer? F. Munoz et al., Oxford Academic, 2011

[2] Pertussis Microbe Outsmarts the Vaccines As Experts Argue About Why, B. Loe Fisher, National Vaccine Information Center, 2016

[3] Pertussis in Sweden after the cessation of general immunization in 1979, V. Romanus et al., NCBI, 1987

[4] Pertussis immunisation and serious acute neurological illness in children, DL. Miller et al., British Medical Journal, 1981

[5] Pertussis toxin is required for pertussis vaccine encephalopathy, L. Steinman et al., NCBI, 1985

[6] Voir Michel Geoget, L’apport de la vaccination à la santé publique, Dangles, 2014.

[7] Avis du HCSP du 19 mars 2008 relatif aux recommandations vaccinales contre la coqueluche

[8] Long-term Follow-up of Swedish Children Vaccinated With Acellular Pertussis Vaccines at 3, 5, and 12 Months of Age Indicates the Need for a Booster Dose at 5 to 7 Years of Age, L. Gustafsson et al., AAP Journals, 2006

[9] Malgré 5 doses administrées aux enfants américains jusqu’à l’âge de 5 ans, le risque de contamination augmente de 42 % chaque année après la cinquième dose ! http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa1200850

[10] Unexpectedly Limited Durability of Immunity Following Acellular Pertussis Vaccination in Preadolescents in a North American Outbreak, M. Witt et al., Oxford Academic, 2012

[11] Acellular vaccines for preventing whooping cough (pertussis) in children, L. Zhang et al., Cochrane, 2014

[12] Effectiveness of pertussis vaccines for adolescents and adults: case-control study, R. Baxter et al., British Medical Journal, 2013

[13] An outbreak of pertussis in rural Texas: an example of the resurgence of the disease in the United States, AO. Eshofonie et al., Community Health, 2015

[14] Why Do Pertussis Vaccines Fail? JD. Cherry, AAP Journals, 2012

[15] Pertactin-Negative Bordetella pertussis Strains: Evidence for a Possible Selective Advantage, SW. Martin et al., Clinical Infectious Diseases, 2015

[16] Acellular pertussis vaccines protect against disease but fail to prevent infection and transmission in a nonhuman primate model, JM. Warfel et al., PNAS, 2013

[17] Asymptomatic transmission and the resurgence of Bordetella pertussis, BM. Althouse et al., BMC Medicine, 2015

[18] Sources of Infant Pertussis Infection in the United States, TH. Skoff et al., AAP Journals, 2015

[19] Pertussis re-emergence in the post-vaccination era, E. Chiappini et al., BMC Infectious Diseases, 2013

[20] Antidepressants during pregnancy and autism in offspring: population based cohort study, D. Rai et al., British Medical Journal, juillet 2017

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyDim 24 Fév 2019 - 16:17

source https://www.reponsesbio.com/conte-fees-therapies-enfants/
Les contes de fées, thérapies pour les enfants
Par Jean-Baptiste Loin - 29 mai 2016


Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 Fairy-10

S’adressant aux enfants et aux adolescents marqués par la souffrance psychique, la psychothérapie par le conte, directement inspirée de la psychanalyse des contes de fées de Bettelheim, permet de dénouer avec rapidité de nombreux conflits intra-psychiques.

Contenant indéniablement un message initiatique et donc, dans une certaine mesure, psycho-thérapeutique, le conte sert depuis longtemps à des thérapeutes, qu’ils soient d’obédiences freudienne ou ericksonienne, à traiter les problèmes psychologiques de l’enfance, voire de l’âge adulte.

Mais c’est une psychothérapie par le conte tout à fait spécifique qu’a mise au point Geneviève Raguenet en se référant, bien sûr, à Bettelheim, mais aussi en partie aux travaux de Mills et Crowley qui ont créé une technique interactive soulignant le centrage sur des processus psychiques inconscients, générateurs de symptômes.

Aussi, le conte thérapeutique de Geneviève Raguenet consiste-t-il en un genre littéraire tout à fait particulier, dans lequel il n’est pas question de raconter une histoire pour distraire ou faire plaisir, mais bien seulement pour exprimer, par une voie détournée, le problème à traiter, souvent de nature scolaire ou familial, mais aussi quelquefois psychosomatique.

Le partage émotionnel par le conte
« Ces histoires, qui abordent des problèmes humains universels, et en particulier ceux des enfants, s’adressent à leur Moi en herbe et favorisent son développement, tout en soulageant les pressions préconscientes et inconscientes.

Tandis que l’intrigue du conte évolue, les pressions du Ça se précisent et prennent corps, et l’enfant voit comment il peut les soulager tout en se conformant aux exigences du Moi et du Surmoi. »

Cette réflexion de Bettelheim indique bien, à elle seule, que le conte, surtout lorsqu’il se veut thérapeutique, au contraire de la fable morale telle que La Fontaine la concevait, ne s’adresse pas exclusivement au Surmoi.

La parabole non plus ne doit pas être confondue avec le conte, dans la mesure où elle tend à enseigner et consiste en un procédé linguistique plutôt qu’en un récit, alors que le conte, récit à part entière, viserait plutôt le partage émotionnel.

Ce sont en tout cas les distinctions auxquelles tient à se livrer Geneviève Raguenet pour bien définir son conte thérapeutique qui doit rester un « récit assez court d’aventures imaginaires », et, qui plus est, destiné à être raconté à une personne en particulier dans le cadre de la relation thérapeutique.

Aussi court soit-il, ce conte est néanmoins susceptible d’être prolongé en une succession d’épisodes s’enchaînant selon une progression et dans un climat de tension proche du drame.

Reprenant la définition de Propp, Geneviève Raguenet considère que tout conte doit suivre « un développement qui part d’une malfaisance ou d’un manque pour aboutir, après être passé par des fonctions intermédiaires, à des noces ou à d’autres fonctions utilisées comme dénouement : récompenses, conquêtes ou élimination d’un mal ».

Ainsi, la thérapie qui, naturellement, part d’une situation critique pour parvenir à dénouer des conflits en passant par des plans intermédiaires, trouve-t-elle dans le conte, un support tout particulièrement adéquat… surtout lorsqu’il s’agit d’établir un contact, de préférence ludique, avec des enfants.

Entrer dans le jeu thérapeutique
Et il est un fait que le conte thérapeutique doit avant tout être vu comme une sorte d’appât pour éveiller la curiosité de l’enfant, attirer ses questions et susciter des associations.

C’est grâce à ce subterfuge que l’imagination, la sensorialité et l’affectivité de l’enfant vont être stimulées, et que le message caché du conte va pouvoir tracer son chemin.

Dès lors, le conte devient un objet transitionnel et un espace pour le jeu relationnel.

Or, comme l’expliquait Winnicott, « la psychothérapie étant un jeu entre deux personnes, le travail du thérapeute vise à amener le patient d’un état où il n’est pas capable de jouer à un état où il capable de le faire ».

Et, ici, grâce au conte, l’enfant va pouvoir on ne peut plus facilement entrer dans le jeu proposé par le thérapeute.

Inutile de dire, bien sûr, que cet appât du conte n’est pas neutre puisqu’il contient une interprétation de la problématique de l’enfant, et surtout qu’il annonce, ce faisant, que la difficulté est reconnue et qu’un heureux dénouement est possible.

On retrouve d’ailleurs, dans beaucoup de contes classiques, de magnifiques interprétations des problématiques infantiles les plus courantes.
→ « Le petit chaperon rouge », par exemple, peut apprendre à l’enfant à surmonter les ambivalences

 → « Cendrillon » l’aide à dépasser les rivalités fraternelles

 → « La belle au bois dormant » lui ouvre les portes de l’adolescence

 → « Les trois petits cochons » l’incite à faire la part entre le principe de plaisir et le principe de réalité

 → « Boucle d’or et les trois ours » le confirme dans sa recherche de l’identité

 → « Jeannot et Margot » le pousse à sortir de l’oralité…

Mais le conte thérapeutique va évidemment plus loin, puisqu’il ne s’agit plus d’un conte standard, mais du produit de l’écoute d’un thérapeute et de son décodage des conflits de l’enfant.

Elaborer le conte
L’écoute du thérapeute est évidemment un élément essentiel de la thérapie, et doit d’ailleurs se prolonger en une véritable empathie, à la fois afin de ressentir plus profondément les problèmes du patient, et de lui montrer qu’on le rejoint dans sa souffrance et qu’on le comprend.

C’est ce que fait en premier lieu l’analyste et le psychothérapeute qui ne pourrait, sans cela, définir avec précision quelle histoire raconter à l’enfant.

Mais, après chaque entretien, il est nécessaire que ce thérapeute se livre également à un décodage des conflits en présence chez son patient.

Bien sûr, les caractéristiques du symptôme et du contexte de son évolution vont se préciser d’une séance à l’autre, permettant au thérapeute de poursuivre les épisodes suivants du conte thérapeutique d’une manière de plus en plus ciblée.

Car l’élaboration du conte doit toujours, et avant tout, donner au patient la possibilité de se reconnaître et de s’interroger sur son propre cas.

C’est donc à partir de la première rencontre et des informations données au thérapeute sur la problématique de l’enfant que va s’élaborer l’hypothèse de départ sur l’origine possible du symptôme, et, conséquemment, le sens général de l’histoire à imaginer.

Au-delà, c’est pratiquement à un travail poétique – au sens étymologique du mot – que va se livrer le thérapeute pour trouver les images qui conviendront le mieux au conte dédié à son patient.

Et, une fois que ces images et symboles auront émergé, le thérapeute les organisera alors en un récit cohérent.

Et c’est ainsi que, séance après séance, le thérapeute cerne la logique inconsciente de l’enfant dans les mailles du filet du conte, et que les fondements de l’impasse symptomatique peuvent être saisis.

Toutefois, ce conte doit être utilisé avec habileté car, par l’emploi d’images proches du rêve, il est destiné à toucher aux trois niveaux du conscient, du préconscient et de l’inconscient, ainsi qu’un cheminement vers la sublimation et la symbolisation des pulsions et du refoulé.

« Le conte ouvre par son message symbolique les portes entre le conscient et l’inconscient. Il cache et dévoile en même temps la part de vérité qu’il veut dire, il capte l’imagination et l’entraîne au cœur du conflit inconscient. Il transforme, enfin, l’impasse en porte royale : Cendrillon devient princesse, le petit Poucet retrouve son chemin et le vilain petit canard parvient au royaume des cygnes », conclut Geneviève Raguenet.

La structure initiatique du Conte du Graal
Profondément initiatique et par conséquent thérapeutique, le merveilleux Conte du Graal de Chrétien de Troyes, dont la structure narrative a été remarquablement décryptée par Pierre Gallais, donne, peut-être plus que tout autre, une idée de ce qu’un conte peut induire, comme changements bénéfiques, chez un lecteur ou un auditeur.

Dans ce conte, comme dans certains autres du même auteur, on voit en effet se dérouler une succession d’événements répondant à une structure traditionnelle du plus haut intérêt tant au plan psychothérapeutique que spirituel.

Cette structure en spirale fait ainsi évoluer le héros tout au long d’un parcours en six étapes, comprenant :
1/ Au départ, ce que Pierre Gallais appelle « la cour » et qui représente la société dont le Sujet fait partie, son pays, sa famille, sa maison, une sorte de paradis paisible, personnel et intérieur, où rien ne se passe et où, par conséquent, le héros reste passif.

2/ La disjonction, où le héros se voit obligé de quitter son petit paradis personnel, et par la même occasion devenir actif. La raison de ce départ est généralement une injonction de sa société d’origine à laquelle on aura porté préjudice, à moins que ça ne soit un appel impérieux en provenance d’un autre monde.

3/ L’autre monde – destination obligée du héros dès lors qu’il décide de quitter son monde – représente donc l’ailleurs, l’extérieur, l’altérité, le dépaysement…

4/ Le combat, conséquence inéluctable de la rencontre de l’altérité, où le héros se trouve confronté à l’adversité, à l’infection, à l’enfer, mais où sa victoire va dépendre aussi de l’aide rencontrée dans cet autre monde en tant qu’il représente de nouvelles opportunités, de nouvelles connaissances.

5/ La conjonction, après la victoire, où le héros trouve ou retrouve quelque chose ou quelqu’un dont le manque l’angoissait. Ce peut être aussi l’occasion d’un amendement du Sujet.

6/ Le contrat, qui permet au héros de passer de la conjonction individuelle, à la réunion de son monde et de l’autre monde. Cet élargissement de la conciliation constitue la dernière étape du cercle mais, dans la mesure où le monde identitaire et l’autre monde s’y trouvent alliés malgré leur antinomie, se produit une confusion à la faveur de laquelle il devient possible de passer à un niveau supérieur de la spirale.

Et là, le héros se retrouve en 1, en un nouveau « chez lui », au départ d’un nouveau cycle de même nature mais, de cycle en cycle, toujours plus proche du centre de la spirale.

Ce contre quoi cette structure dynamique du conte initiatique lutte, c’est la stase, génératrice de névrose.

« Alternativement, le héros passe des états aux actions.

Si ce héros ne passe pas par la disjonction, chaque monde reste sur sa position, se retranche dans sa différence.

Si le héros ne combat pas, il ne connaît pas la conjonction, l’union heureuse.

Mais s’il cède à la tentation de s’enfermer dans cette union, et refuse de passer le contrat qui va vraiment nier l’altérité de l’autre monde, il n’y a rien de fait.

Il faut, au contraire, qu’il éprouve l’ardent désir du bien de tous, et passe le contrat, puis remonte vers la deuxième cour où il autorisera la joie de la cour » dit Pierre Gallais.

Jean-Baptiste Loin

A lire :
“ La psychothérapie par le conte ” – Geneviève Raguenet – L’Harmattan

“ La psychanalyse des contes de fées ” – Bruno Bettelheim – Laffont

“ L’interprétation des contes ” – F. Flahaut – Denoël

“ L’interprétation des contes de fées ” – Marie-Louise Von Franz – Fontaine de pierre

“ La voie de l’individuation dans les contes de fées” – Marie-Louise Von Franz – Fontaine de pierre

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyJeu 21 Mar 2019 - 16:22

Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 1505101043426491713252515

Que l'on soit pour ou contre la vaccination, ce n'est pas l'épidémie de ce début d'année 2019 qui va décider les français à plus se vacciner.  What a Face
Que l'on soit vacciné ou pas, cela n'a pas empêché une très grande partie de la population d'être cloué au lit pendant plusieurs semaines.
Je peux en témoigner car depuis que j'avais attrapé la H1N1 je n'avais jamais été aussi malade pendant 1 mois et demi, ainsi qu'une grande partie de ma famille proche ou moins proche.

Si le sujet vous intéresse, voila un complément d'information que les journalistes s'abstiennent de nous divulguer.

Libellule

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source https://www.reponsesbio.com/la-dictature-vaccinale-tente-de-gagner-le-monde/
La dictature vaccinale tente de gagner le monde
Par Jean-Baptiste Loin - 25 novembre 2018


Le reportage de Réponses Bio sur les Gilets jaunes, a soulevé un nombre inhabituel de questions, d’indignations, de réflexions… dont une en particulier que nous ne pouvons ignorer.
Il est indéniable que de nombreuses réactions rejoignent l’inquiétude de tant de parents et grands-parents. Ces derniers sont en effet conscients du danger que la vaccination machinale fait courir à leurs enfants.
À l’appui des observations de Sylvie Simon, du Dr Jean-Pierre Willem, des articles de Sylvie Beljanski et de nombreux spécialistes comme le Dr De Brouwer, l’approche naturopathique, les « lanceurs d’alertes »… Voici un article tentant avant tout de restituer une vision claire, mais non moins prononcée, du problème posé par la vaccination à travers le monde.
Parmi les commentaires les plus appréciés du reportage sur les Gilets jaunes figurent certains disant en résumé :

« N’oubliez pas les enfants : arrêt de l’obligation des 11 vaccins… »

Un problème sensible puisque, si les vaccins ont plus d’adeptes que de contestataires, les informations concernant ses dangers pullulent malgré tout. D’ailleurs en 2016 41 % des Français déclaraient être méfiants à leur égard.

Mais deux ans plus tard, alors qu’ils sont plus dévastateurs que jamais et associés à un cocktail faisant froid dans le dos, Ipsos affiche des chiffres très différents: plus de 20% des Français seraient revenus sur leur décisions; 83% de sondés seraient donc favorables aux vaccins.

Pourtant certains affirment que la vaccination systématique peut être liée à l’apparition de maladies tel que le cancer ou Alzheimer. Un lien est aussi effectué avec d’importantes déficiences immunitaires, ou encore des empoisonnements aux métaux lourds. D’autres témoignent de morts subites chez les plus faibles, les allergiques et les nouveaux-nés.

Le programme de l’OMS, l’Unicef et la Banque Mondiale
À première vue, sur le papier, c’était charmant.

Une Organisation Mondiale de la Santé, alliée aux bienfaiteurs des enfants et la Banque Mondiale, s’unissant pour éradiquer les épidémies dans le monde.

Mais rapidement, les campagnes de vaccination sont devenues le business le plus juteux de la planète. Financées et orchestrées, selon les termes de l’OMS, par des sources « bilatérales et multilatérales ».

Il est donc difficile de croire que le cours des évènements aurait dérapé sordidement. À la manière d’un mauvais James Bond, où le méchant tenterait de contaminer un continent pour revendre le vaccin formulé par son équipe de savants fous.

Et pourtant…

Bill Gates et sa femme sont bel et bien suspectés par le gouvernement indien d’avoir testé des molécules inconnues, en tuant des enfants démunis.

D’ailleurs il déclarait, à qui voulait bien l’entendre, que nous entrons dans « l’ère des épidémies », si bien que « les vaccins sont là pour sauver l’humanité », etc.

Tandis qu’il investissait des sommes colossales dans la recherche vaccinale.

Probablement un de ces fameux financements multilatéraux dont parle l’OMS ?

Toutefois cette sacro-sainte trinité qui dépasse de loin les recettes de vente d’uranium, utilise comme credo :

« Faire reculer la mortalité mondiale grâce au vaccin… »

Tandis que les dommages collatéraux sont tus, étouffés, cachés. Et donc non soustraits de ce qu’il peut y avoir de positif.

Les vaccins contre les épidémies les plus meurtrières
Quelle que soit notre position sur le vaccin et la problématique mondiale qu’il représente, ainsi que le pouvoir qu’il confère aux laboratoires, il ne viendrait à l’idée de personne d’empêcher quelqu’un de se faire vacciner.

Il subsiste toujours quelques foyers d’épidémies de par le vaste monde. Force est de reconnaître que face à un virus dévastateur, un vaccin généreusement enrichi aux nanoparticules et à l’aluminium peut sembler être un moindre mal.

À moins, bien sûr, que l’on connaisse suffisamment les médecines naturelles et l’aromathérapie.

Toujours est-il qu’il semble naturel à tous d’avoir le droit de refuser ou d’accepter une telle pratique.

Oui, mais tandis que les épidémies ont disparu, il ne reste plus grand chose à éradiquer, en Occident en tout cas.

C’est ainsi que sont nées les campagnes vaccinales. Elles se sont intensifiées ces deux dernières générations, jusqu’à rendre les vaccins obligatoires dans les pays où les signes d’épidémies sont parmi les plus faibles de la planète. Là où la prévention vaccinale est suspectée d’être un acte barbare.

L’état des lois sur la vaccination dans le monde
En France, le principe liberticide de la vaccination obligatoire contraint les parents à injecter 11 vaccins à leurs enfants. Cela sous peine d’un emprisonnement de 6 mois et d’une amende de plusieurs milliers d’Euros. Malgré le fait que ces vaccins contiennent des dizaines de substances hautement toxiques dans le métabolisme des nouveaux-nés…

En Italie et en Slovénie, c’est sensiblement le même traitement.

À l’exception de quelques pays comme le Portugal où un à deux vaccins sont obligatoires, le reste de l’Europe a fort heureusement opté pour la liberté de choix. Mais cela n’empêche pas les propagandes d’être de plus en plus sévères.

Aux Etat-Unis la vaccination est fortement encouragée. Il est cependant possible d’invoquer une cause médicale, philosophique, religieuse ou autre afin de s’y soustraire.

Ce qui est finalement un non-choix. En effet, on apprend qu’en cas d’absence de vaccination, l’enfant est automatiquement exclu des établissements scolaires. Et cela quel que soit le motif.

En Australie, la méthode employée est la plus repoussante. Rien n’y est obligatoire. Mais en revanche les familles les plus pauvres sont appelées à faire vacciner leurs enfants contre une poignée de Dollars.

En Angleterre, des mouvements anti-vaccination ont finalement réussi à faire retirer le caractère obligatoire des vaccins.

Les 5 raisons qui font dire non à la vaccination obligatoire
1/ Les vaccins sont cancérigènes. Il faut reconnaître que bon nombre d’études en témoignent. Jusqu’à présent les chiffres de progression des cancers au sein des populations pratiquant la vaccination systématique ou un mode équivalent, en attestent.

2/ Ils sont globalement iatrogènes. C’est-à-dire qu’ils libèrent des substances chimiques résistantes déstabilisant l’ADN et le système immunitaire.

3/ Ce sont aussi des perturbateurs endocriniens qui dès la naissance dérèglent l’équilibre des fonctions thyroïdiennes, sexuelles, nerveuses…

4/ Une exposition fréquente aux vaccins favorise de toute évidence des maladies cardiaques et Alzheimer. Cela à cause des nanoparticules métalliques susceptibles de traverser les barrières organiques pour atteindre les cellules gliales.

5/ Des maladies auto-immunes, ainsi que des allergies ont été observé. Celles-ci seraient notamment provoquées par l’introduction prématurée de stimulants immunitaires trop brutaux pour des systèmes immunitaires non formés et immatures.

En conclusion
Quel que soit notre avis sur ces recherches, il ne faut pas oublier que :

La systématisation vaccinale touche essentiellement les régions du monde où la plupart des maladies dont il est question ont disparu depuis les années 30.
Les propagandes vaccinales sont à ce jour issues de sociétés privées finançant les chefs d’État et profitant des ventes des vaccins.
Les morts et maladies graves survenues suite à des injections de vaccins sont inquiétantes car elles ne sont pas officiellement recensées ou rattachées à ces causes.
Par ailleurs, il est à noter que les investigations selon lesquelles des « tests » réalisés à échelle humaine pour le développement des vaccins seraient à l’origine des épidémies les plus importantes de ce siècle comme du dernier, ne manquent pas.

Voici donc autant de preuves que l’obligation vaccinale, ou ne serait-ce que sa propagande par les services publics, est effectivement une aberration criminelle. Si bien que chacun doit pouvoir être libre de refuser.

Car même face à un risque punitif pouvant impressionner, il est impensable de laisser mettre ses enfants en danger.  

Jean-Baptiste Loin
A regarder : documentaire fort intéressant et complet retraçant le destin de victimes de la vaccination ainsi que les observations de spécialistes indépendants :
(en bas de la page du lien)
https://www.reponsesbio.com/la-dictature-vaccinale-tente-de-gagner-le-monde/

tout comme les articles ci dessous :

*** Sources ***
-Rapport 2016 de L’OMS, l’UNICEF et la BANQUE MONDIALE

-https://www.beljanski.info/

-Sylvie Simon « le lobbying et la peur »

-Dr Willem « la Liberté thérapeutique »

-Le dossier noir des médicaments de synthèse, Dr Louis de Brouwer, Editions Encre
 
-Etude de l’organisme de pharmacovigilance des vaccins
 
-Base de données européenne sur les effets indésirables des médicaments
 
-Vaccins et aluminium, lobbys de la chimie :https://dai.ly/xo3ivq
 
-Adverse effects of vaccines of the institute of medicine

Sur Le Même Sujet :
Les vaccins et la marchandisation de l’être humain
Sylvie Simon dénonce le lobbying et la peur
Le mouvement citoyen des Gilets jaunes a commencé à Agen
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Courrier des lecteurs #4 : ostéoporose, vaccins, huile de ricin, rêves…

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyJeu 21 Mar 2019 - 17:17

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source https://www.reponsesbio.com/thyregul-la-grossesse-et-les-troubles-de-la-thyroide/
Thyrégul, la grossesse et les troubles de la thyroïde

Par Jean-Baptiste Loin - 10 février 2019

Pour répondre à certaines questions urgentes sur les troubles de la thyroïde pendant la grossesse, j’ai décidé d’y consacrer un article spécifique.

Nous y parlerons notamment du Thyrégul, la solution naturelle développée par le Dr Jean-Pierre Willem, ainsi que des nouveaux compléments naturels.

Si les troubles de thyroïde sont toujours problématiques, ils le sont d’autant plus lorsqu’ils surviennent ou sont avérés lors d’une grossesse.

D’une part parce que pendant les quatre premiers mois de gestation, la thyroïde de la mère remplace celle du fœtus qui n’a pas encore développé la sienne.

D’autre part parce que hyper et hypothyroïdie peuvent avoir de graves conséquences, parfois irréversibles, aussi bien sur la mère que l’enfant à naître.

Les dangers des troubles thyroïdiens pendant la grossesse
En cas d’hyperthyroïdie :
– Les risques de fausses couches et d’hypertension artérielle chez la mère augmentent.

– L’enfant a plus de chances de naître prématuré.

– La croissance de la thyroïde du fœtus peut être altérée et ainsi développer à son tour des dysfonctionnements.

– Et, à la naissance de l’enfant, une insuffisance cardiaque est à redouter.

En cas d’hypothyroïdie pendant la grossesse :
–  Un développement plus lent de la croissance fœtale est possible.

– Un enfant souffrant lui-même ce problème après la naissance peut survenir.

– Mais surtout cela peut causer autisme, troubles psycho-moteurs ainsi que divers troubles de l’intelligence.

Certains chercheurs s’accordent effectivement à penser qu’une baisse globale de l’intelligence depuis ces cinquante dernières années, pourrait être liée à la généralisation de troubles thyroïdiens et endocriniens.

Au-delà de ces exemples, dans une proportion bien moindre mais que nous ne pouvons négliger pour autant, les troubles de la thyroïde peuvent entraîner des crises cardiaques, soit pour le fœtus, soit pour la mère et l’enfant.

Abordons maintenant un point crucial, qui ne peut se contenter d’être politiquement correct, ou encore accepté par tous.  

Les traitements de la thyroïde pendant la grossesse
Certains m’en voudront de rédiger ces lignes tant ils sont formatés par la désinformation et la pseudo science « bien pensante » des laboratoires pharmaceutiques, faisant dorénavant référence dans les écoles de médecine.

Ce qui sera aussi probablement le cas des vendeurs de pilules naturelles n’ayant d’autre but que d’augmenter leur chiffre d’affaires ou briller.

Cependant pour réaliser une étude honnête sur le sujet il est nécessaire à la fois de connaître les travers des mauvaises solutions et d’avoir un recul empirique sur les bonnes.

Celles venant d’apparaître n’ont pas fait leurs preuves et sont discutables sur plus d’un point, dont nous reparlerons dans quelques minutes.

Or, s’il est délicat de traiter les troubles de la thyroïde, vous vous en doutez, il l’est plus encore lorsqu’un fragile organisme en gestation absorbe les remèdes que vous prenez.

C’est pourquoi nous allons étudier point par point, les médicaments et remèdes disponibles sur ordonnance ou sur internet.

Je tiens aussi à préciser, bien que la presse indépendante soit en voie de disparition et a fortiori la presse spécialisée dans la santé naturelle, que ce n’est pas en tant que thérapeute mais en tant que journaliste que je me permets de partager mon point de vue.

Journaliste ayant toutefois plus d’une génération d’expérience dans le domaine qui nous intéresse ici, aussi bien dans l’observation des bons que des mauvais côtés des remèdes naturels.

Les traitements allopathiques de la thyroïde et la grossesse
Que ce soit par le biais du Levothyrox ou de la Lévothyroxine, à mon sens il est criminel de s’intoxiquer et d’intoxiquer l’enfant à naître avec des médicaments de synthèse pendant une grossesse.

Il n’est d’ailleurs pas plus souhaitable de procéder à une ablation de la thyroïde, acte barbare soumettant à vie aux hormones de synthèse, et réduisant par conséquent les chances de guérison à néant.

D’abord les poisons chimiques contenus dans ces médicaments atteindront directement le fœtus.

Par la suite, si ce n’est de troubles de la thyroïde, le futur enfant souffrira probablement d’autres maux tout aussi problématiques.  

Pour de plus amples informations sur les dangers des médicaments comme le Levothyrox et ses effets secondaires, je vous invite à lire mon précédent article :

Thyroïde et Levothyrox, quelles alternatives naturelles ?
https://www.reponsesbio.com/thyroide-levothyrox-alternatives-naturelles/

Les traitements naturels de la thyroïde et leur efficacité
Il fut un temps où la situation était simple, si j’ose dire.

Il y avait d’un côté les hormones de synthèse, et de l’autre la solution naturelle.

Mais aujourd’hui, essentiellement pour des raisons économiques et non pour la santé des malades, tout cela a bien changé.

D’une part on a de nombreux médicaments chimiques venus s’ajouter ou remplacer le Levothyrox et la Lévothyroxine.

Et d’autre part, pullulent de plus en plus de compléments soi-disant naturels.

Pour ma part je ne conseillerai qu’un remède naturel, et qui plus est toujours le même.

Pourquoi cela ?
Comme je viens de le dire, d’autant plus depuis que les troubles de la thyroïde explosent littéralement chez les femmes et même les hommes, un grand nombre de compléments a été mis sur le marché dans un seul but : vendre et emprisonner le malade dans un achat perpétuel.

Un seul d’entre eux, dont vous avez déjà entendu parler sur Réponses Bio et que nous proposons sur notre place de marché, est vraiment différent.

Non pas parce qu’il est gratuit, au regret de vous décevoir, lui aussi est disponible à la vente.

Mais tout simplement dans la mesure où le Dr Willem, ayant pensé l’équilibre très précis d’HE, de vitamines et nutriments le composant, est un humaniste ayant consacré sa vie à soigner par le biais de consultations gratuites, et à se soucier en priorité du bien-être d’autrui.

Et que comme tout bon complément s’insérant dans un protocole naturothérapique, Thyrégul est conçu pour résoudre le problème à sa source, donc, à terme, pour être en mesure de s’en passer.

Cela étant dit, revenons à notre sujet.

Vous savez de quel œil je vois les solutions chimiques, étant elles-mêmes des perturbateurs endocriniens et des agents iatrogènes.

Penchons-nous donc à présent sur les nouvelles solutions naturelles qui foisonnent de plus en plus sur le marché.

Force est de constater qu’elles ne font malheureusement pas exception à la règle.

Elles ne semblent pas avoir comme priorité de soigner un maximum de gens, mais plutôt de profiter de ce nouveau « marché juteux » que représentent les troubles de la thyroïde.

Les unes étant de pâles copies des remèdes du Dr Willem, les autres présentant des mélanges quelque peu hasardeux.

Parfois on ira jusqu’à observer dans la composition de ces produits des aberrations telles que le stéarate de magnésium, à dose de cheval.

Non seulement le stéarate de magnésium est un additif alimentaire OGM, véhiculant pesticides et divers produits chimiques, mais c’est aussi un allergisant largement controversé parfois pointé du doigt comme étant cancérogène.

D’autres utilisent de la silice de terre de diatomée, aussi connue sous le nom de dioxyde de silicium, un additif alimentaire certes autorisé en bio, mais tout de même extrêmement douteux.

Des études montrent qu’il est systématiquement nanoparticulaire, même lorsqu’il est de qualité alimentaire et qu’il n’est pas destiné à tuer les insectes ou filtrer les piscines.

C’est aussi un agent potentiellement  cancérigène.

Pourtant certains fabricants ne se privent pas de dire de leurs compléments qu’ils sont sans additifs, ou que les gélules sont non OGM ou sans nano, alors qu’elles sont gastro résistantes.

N’oublions pas que les gélules végétales ou de type HPMC non analysées au niveau d’une éventuelle composition nanoparticulaire ou OGM sont dorénavant toutes suspectes.

Par ailleurs les extraits de plantes sèches ou nébulisâts, semblent peu probants pour des affections aussi sérieuses, compte tenu de la déperdition des principes actifs conditionnés sous cette forme.

Mais, bien entendu, il est plus facile pour les laboratoires d’opter pour des poudres de plantes, vitamines de synthèse et additifs alimentaires, lorsque l’on connaît les difficultés que les gélules d’huiles essentielles impliquent pour la vente sur internet.

Effectivement, les gélules de compléments nutritionnels correctement titrées, surtout si elles sont composées d’huiles essentielles, rencontrent de plus en plus de problèmes de distribution.

1/ Les systèmes bancaires pour internet, permettant la vente par carte bancaire en ligne, pénalisent les distributeurs, allant jusqu’à refuser de fournir leurs services ou escroquer les boutiques.

2/ De plus en plus de pays s’opposent à l’envoi postal de ces compléments, comme s’il s’agissait de drogues, et d’autres ajoutent des taxes arbitraires et aléatoires exorbitantes, à réception des colis par les acheteurs.

Une raison supplémentaire pour les concurrents au Thyrégul et à l’Immuno-régul de faire du commerce au lieu de se préoccuper réellement de la santé de leurs clients.

Non, vous l’aurez compris, ce qui est vraiment exceptionnel dans le complément nutritionnel du Dr Willem pour l’équilibre de la thyroïde, c’est son équilibre précis entre vitamines, nutriments et… huiles essentielles.

Les huiles essentielles et les femmes enceintes
Depuis qu’elles ont mauvaise presse, c’est à dire à peu de choses près depuis 1970, les huiles essentielles sont victimes d’une vaste campagne de désinformation, voire de diabolisation.

Il est vrai qu’elles sont parfois très fortes, pouvant provoquer brûlures et autres désagréments.

Il est par conséquent primordial de ne pas les utiliser à la légère.

Il est également vrai qu’en l’absence d’une connaissance relative des différentes huiles, elles peuvent s’avérer difficiles à doser et à employer.

Mais lorsque les bonnes huiles sont préparées aux bonnes doses, elles ne sont pas plus problématiques que la plupart des remèdes naturels dignes de ce nom.

Toujours est-il que les laboratoires pharmaceutiques et leur horde de communicants, médecins, rats de laboratoires… s’en sont donnés à cœur joie depuis ces cinquante dernières années.

Ils expliquent généralement à leurs disciples et aux medias qu’ils financent, que les huiles essentielles sont carrément dangereuses.

Aussi, de nos jours, il n’est pas étonnant de lire partout, en gros et en gras, même lorsque les HE ont été scrupuleusement  dévitalisées :
– Attention ce produit contient des huiles essentielles.

– Ce produit est contre-indiqué aux femmes enceintes et allaitantes.

– Femmes enceintes attention danger.

– Les huiles essentielles sont déconseillées aux enfants de moins de 6 ans.

Comme nous venons de le dire, les huiles essentielles sont puissantes et seront bien évidemment véhiculées jusqu’au bébé, ainsi que dans le lait maternel.

Dans certains cas il conviendra donc de les doser avec parcimonie, de les utiliser avec prudence, voire tant que possible, d’en éviter la plupart pendant la grossesse.

Cependant quand on lit dans la presse « officielle » que les médicaments chimiques ne représentent pas un danger pour le fœtus, ou qu’ils ne se propagent pas dans le lait maternel, permettez-moi de faire un bond de colère.

C’est tout bonnement de la désinformation représentant un véritable danger pour les consommateurs.

Je vous en prie, remettons les choses dans leur contexte.

1/ Les troubles de la thyroïde sont particulièrement dangereux pendant la grossesse.

2/ Les hormones de synthèse et médicaments chimiques ne représentent pas une solution thérapeutique, étant globalement iatrogènes, pour la mère autant que le fœtus.

3/ Les mises en garde à propos des huiles essentielles sont trop souvent exagérées, voire fallacieuses.

Une fois ce constat réalisé, la réponse coule de source.

Tout d’abord, si ce n’est en s’appuyant sur la diététique et la détox, il n’existe pas de solution absolument sans danger pour traiter une thyroïde déficiente pendant la grossesse.

Ensuite il y a de trop grands risques à ne pas traiter les troubles thyroïdiens lorsque l’on attend un enfant.

Je suis donc d’avis, et je le répète cet avis n’est pas celui d’un thérapeute mais d’un journaliste, tout éclairé soit-il, d’opter pour le moindre mal.

Thyrégul et grossesse mode d’emploi
A la lecture de cet article il vous appartiendra de faire un choix.

Votre santé et celle de votre enfant étant bien plus précieuses que tous les avis médicaux, vous devez comprendre en âme et conscience les différents risques et les assumer.

Tout ce que je peux vous dire de plus, c’est que le grand avantage des compléments nutritionnels du Dr Willem pour rééquilibrer la thyroïde, Thyrégul et/ou Immunorégul, réside dans leur faculté non à se substituer, mais à rééquilibrer les facultés de cette glande si précieuse.

Cependant compte tenu de la puissance des principes actifs, on les emploiera avec prudence et on s’évertuera à s’en passer dès que possible.

Cela implique :
– Un contrôle drastique et régulier de sa thyroïde et son taux de TSH afin d’arrêter le traitement dès qu’elle recouvre ses facultés normales.

– Autant de surveillance et de prévention que faire se peut afin d’apporter une attention toute particulière à la santé du fœtus.

– Une diététique et une hygiène de vie appropriées permettant d’optimiser les chances de rééquilibrage de la thyroïde.

– Mais aussi un pause de quelques jours dans le traitement, toutes les trois semaines, pour éviter une concentration trop importante d’huiles essentielles dans le système sanguin et le placenta.

Toutes précautions prises, le suivi d’un aromathérapeute compétent ne sera pas un luxe, puisqu’il pourra vous conseiller les limites d’un sous-dosage ou d’un sur-dosage, en fonction de votre terrain.

Pour ma part, en cas de grossesse je recommanderai de diminuer les doses préconisées par le Dr Willem par deux, réduisant Thyrégul à une gélule par jour, de préférence le matin et à jeun, au moins une demi-heure avant un petit déjeuner non sucré.

Il conviendra en outre d’éviter tous les aliments puriniques tels que le café, le tabac, les graisses animales, sans oublier les sucres raffinés.

Mais ces conseils seront bien évidemment à adapter selon l’avis d’un aromathérapeute et/ou naturopathe.

Par ailleurs l’alimentation aura plus que jamais son importance.

Il y a quelques années j’ai rédigé un article sur la diététique à suivre en cas d’hypo et d’hyperthyroïdie, que vous trouverez derrière ce lien : https://www.reponsesbio.com/soins-naturels-thyroide/

Une inscription est nécessaire pour profiter des conseils y étant présentés, par ce biais vous recevrez par email le PDF récapitulant l’article, et cela nous permet de notre côté de recenser les personnes souhaitant profiter de solutions d’ordre plus général que les seuls compléments nutritionnels.

Jean-Baptiste Loin

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MessageSujet: Re: Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation   Grossesse - bébé - allaitement - enfant- vaccins- éducation - Page 3 EmptyLun 23 Mar 2020 - 18:28

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J'ai entendu parler de ce réseau hier, à cause des soucis que certains parents peuvent rencontrer en cette période de confinement pour cause de Covid 19.

source http://www.cdumonteilkremer.com/2017/11/sos-parentalite-une-hotline-gratuite-pour-tous-les-parents.html
SOS PARENTALITÉ UNE HOTLINE GRATUITE POUR TOUS LES PARENTS :-)
30 NOVEMBRE 2017

UNE PETITE SOUPAPE DE DÉCOMPRESSION
C’est ce que je vous offre pour Noël ! Avec la maison de l’enfant en partenariat avec le réseau Parentalité Créative nous créons une hotline de la parentalité positive.

J’en rêve depuis longtemps, d’abord en tant que parent, j’aurais tellement aimé que ce genre de service existe.

Pouvoir relâcher la pression, le découragement, l’épuisement, qui m’envahissaient quand je vivais à temps plein avec trois enfants prêts à dévorer la vie à chaque minute

Sortir de l’isolement, et me sentir comprise dans ce que j’essayais de mettre en place dans ma famille. Être aidée et écoutée juste quelques instants quand je n’en pouvais plus de déplacer des montagnes d’énergie pour les accompagner.

C’est la raison pour laquelle j’ai créé Parents Conscients une liste de discussion sur internet qui a été une grande aventure ! Mais aujourd’hui, grâce aux personnes que j’ai formées il est possible de mettre en place ce service téléphonique gratuitement à partir de demain de 14 heures à 17 heures, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés.

Ce sont donc des professionnels de l’accompagnement à la parentalité qui vont vous répondre, mais aussi des parents qui ont à cœur de vous redonner confiance en vous et qui ont traversé les mêmes difficultés que vous. J

Ce défi est rendu possible grâce à l’intervention de chaque personne du réseau, et de Farah Unger, consultante en parentalité à Douarnenez/Quimper, elle a orchestré l’aspect technique et la mise en place de ce projet !

15 MINUTES POUR RELÂCHER LA PRESSION !
C’est ce que nous vous proposons, vous redonner un peu de peps, vous écouter quand vous en aurez besoin, évoquer avec vous une ou deux pistes pour sortir la tête de l’eau.

Faites connaître cette information autour de vous, elle peut aider de nombreux parents J

Joyeux Noël

Catherine Dumonteil-Kremer

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