Choisir ses vêtements, les matières qui les composent + Made in France

Vu dans un reportage télé

source https://www.brundeviantiran.com/
HUIT GÉNÉRATIONS DE COUVERTURES À L'ISLE SUR SORGUE
L’Isle-sur-la-Sorgue est une ville historiquement marquée par le travail de la soie et de la laine. Elle a su tirer profit de toutes ses ressources naturelles (l’eau et sa force motrice, la laine, le chardon, la garance, l’huile d’olive…), que ses habitants ont magistralement complétées en développant des outils industriels et en se dotant de roues à aubes – la ville en compta jusqu’à 66 en activité ! –, de moulins à foulon, de machines à filer, plus tard de métiers à tisser mécaniques…

C’est au cœur de cet environnement favorable à l’industrie textile qu’en 1808, un duo formé par un beau-père (Charles Tiran) et son gendre (Laurent Vian) installe un moulin paroir sur les bords de la Sorgue, en vue de fouler les draps de laine et les couvertures. En 1886, le mariage de la petite fille Vian avec Emile Brun complète le nom actuel de la Manufacture, qui devient alors Brun de Vian-Tiran. En 1900, cinq manufactures intégrées et de nombreux ateliers plus spécialisés produisent encore à l’Isle-sur-la-Sorgue des couvertures de laine, des tapis d’Avignon, des draps pour l’habillement et des tissus techniques pour les papeteries.Encore cent ans plus tard, seule Brun de Vian-Tiran continue son activité, pour laquelle 8 générations se sont succédées de manière ininterrompue, perpétuant cette manufacture unique en France.

C’est aujourd’hui le tandem père & fils, Pierre et Jean-Louis Brun, qui dirige Brun de Vian-Tiran, avec pour héritage l’amour des matières naturelles et la passion du métier. Si la manufacture conserve le respect des gestes traditionnels, père & fils s’attachent à rester précurseurs, l’innovation ayant depuis toujours fait partie des gènes de l’entreprise

Parmi les faits marquants de ces dernières décennies, la création de la première couverture Mohair en 1961 marquant une telle révolution dans le monde de la couverture qu’après des débuts difficiles, elle s’est imposée pour devenir emblématique de la manufacture et a été imitée
sans jamais être égalée. La recherche permanente de fibres nobles a permis l’introduction dans la gamme de matières exceptionnelles telles que l’Alpaca, le Chameau, le Lama, le Cachemire et des variétés rarissimes comme le Cashgora et le Yangir.
De nombreux labels et distinctions jalonnent le parcours de la manufacture qui a été reconnue “Entreprise du Patrimoine Vivant” en 2009.

BRUN DE VIAN-TIRAN, AUJOURD’HUI & DEMAIN
En 2016, Brun de Vian-Tiran est toujours un fabricant intégré. Aujourd’hui, progrès techniques des machines et gestes ancestraux se complètent et s’enrichissent pour que le produit soit noble et beau. Bien que certaines étapes de fabrication aient été mécanisées au fil du temps, l’Homme et son savoir-faire restent les éléments clés de la manufacture. Les machines les plus modernes de l’industrie textile viennent simplement le seconder dans sa quête de perfection.

LES CHIFFRES CLES
• 8 générations se succèdent depuis 1808.
• 45 salariés
• 15 : le nombre moyen d’étapes de la fabrication d’une couverture Brun de Vian-Tiran :
assemblage, ensimage, teinture, cardage, filature, bobinage, ourdissage, tissage, rentrayage, foulage, lavage, lainage, rame, tondage et bordage.
• Plus de 20 pays différents fournissent les laines et les fibres lainières travaillées par
Brun de Vian-Tiran.
• Nos produits sont stockés en permanence et livrables sans délai.

             
1er FABRICANT DE COUVERTURES NATURELLES EN FRANCE
Une manufacture de plus de 200 ans, un savoir-faire inimitable, un ancrage régional, une famille passionnée… voici ce qui fait la particularité de Brun de Vian-Tiran pour vous offrir un luxe authentique.

Brun de Vian-Tiran vous propose des articles haut de gamme : couvertures, couettes, oreillers et surmatelas pour des nuits sereines et saines au naturel mais aussi des plaids, châles et écharpes pour vous procurer une expérience sensorielle unique.

Unissant l’amour des matières naturelles et la passion du métier, nos maîtres lainiers sélectionnent avec grand soin, en France et de par le Monde, les plus belles laines et d’admirables fibres nobles transformées dans le plus grand respect de leur originalité pour préserver leurs propriétés naturelles et vous proposer des articles remarquables, d’une qualité inégalée.

https://www.brundeviantiran.com/fr/boutique/echarpes-en-laine-de-luxe-fabrication-francaise-brun-de-vian-tiran.html

https://www.brundeviantiran.com/fr/boutique/chales-et-etoles-en-laine-de-luxe-fabrication-francaise-brun-de-vian-tiran.html

https://www.brundeviantiran.com/fr/boutique/plaids-en-laine-de-luxe-fabrication-francaise-brun-de-vian-tiran.html



L'ÉTHIQUE BRUN DE VIAN-TIRAN
UNE ETHIQUE POUR FIL CONDUCTEUR
Les engagements de Brun de Vian-Tiran, une question d'éthique :
RESPECT
La récolte des fibres achetées par Brun de Vian-Tiran est effectuée dans le respect des animaux et des populations animales.

AUTHENTICITE
La Manufacture Brun de Vian-Tiran, qui a entamé son troisième siècle d'existence en conservant la maîtrise de sa fabrication dans ses ateliers en France, se situe plus que jamais comme une entreprise attachée aux valeurs d'authenticité et d'origine.

Le label d'état EPV (Entreprise du Patrimoine Vivant) est une distinction attribuée par les services de l'Etat français qui récompense l'excellence française et les savoir-faire d'exception.

Cette distinction gratifie les manufactures emblématiques du patrimoine de la France qui savent allier fabrication à très forte valeur ajoutée et qui participent au rayonnement international des produits français.

C'est dans ces directions que nous entendons poursuivre notre travail : un luxe véritable, celui fondé sur la noblesse des matières et le respect des processus de fabrication ... pour vous entourer de bien-être.

ENVIRONNEMENT
La fabrication des articles Brun de Vian-Tiran est mise en œuvre dans le respect de la nature, en particulier de la Sorgue qui fournit depuis 1808, l’eau pure nécessaire aux apprêts des étoffes.

SANTE
Les études scientifiques menées depuis plus de trente ans ont prouvé que les fibres lainières naturelles offrent une somme de qualités de confort : régulation de la température et de l’humidité, solidité, douceur et gonflant qu’aucune fibre synthétique n’a jamais égalées. Aucune allergie aux fibres de laine n’a jamais été constatée et il est démontré que la laine n’est pas un lieu particulier de développement des allergènes. Brun de Vian-Tiran utilise uniquement des fibres naturelles en raison de ces performances.

ENTREPRISE CITOYENNE
Brun de Vian-Tiran, entreprise la plus historique de l'Isle-sur-la-Sorgue, est fière d'être une entreprise du Village-monde. La marque lancée par la ville pour travailler son attractivité territoriale repose en effet sur le plaisir de vivre et l'excellence de l'accueil, mais aussi sur de superbes valeurs éthiques : l'écologie, la diversité, le vivre ensemble et une économie soucieuse du respect de l'environnement et des générations futures.

source https://www.femmeactuelle.fr/mode/tendance-mode/jean-bio-ecoresponsable-nos-conseils-pour-faire-le-bon-choix-2113036
Jean bio, éco-responsable : nos conseils pour faire le bon choix
Le 8 juin 2021 à 18h31

Pesticides, colorants toxiques, eaux usées non traitées...
Notre pantalon fétiche bat tous les records de pollution.
Heureusement, des marques ont décidé de faire autrement !
Décryptage.

Il se vend 2,3 milliards de jeans par an dans le monde.
Autrement dit, 73 jeans par seconde !
La légende fait naître ce vêtement devenu universel en Californie, chez les colporteurs et chercheurs d’or.
En moins d’un siècle, on le retrouve sur toutes les fesses, hommes ou femmes, et dans toutes les cultures.
Skinny, droit, large, denim ou délavé, il se décline dans toutes les formes et toutes les couleurs, du vêtement de travail aux podiums des défilés haute couture de la fashion week.
Mais le jean est aussi le vêtement le plus polluant, toutes catégories confondues.
On vous explique pourquoi.

La fabrication des vêtements nécessite beaucoup d’eau et tout particulièrement la culture de coton, matière principale des jeans.
Selon l’organisation Water Footprint Network, il faut en moyenne 5.263 litres d’eau pour produire 1 kilo de coton, alors que les zones géographiques où il est cultivé connaissent justement une pénurie d’eau potable.
Erwan Autret, ingénieur à l’Ademe et cité dans le livre Une mode éthique est-elle possible ? de Majdouline Sbai (éd. Rue de l’Echiquier) estime qu’il faut "2.700 litres pour fabriquer un tee-shirt, soit ce que consomme un individu en trois ans.
Pour un jean, entre 7.000 et 11.000 litres sont nécessaires, l’équivalent de 285 douches."

Jean : des étapes de fabrication hautement toxiques
L’étape de teinture des fils et tissus est l’une des plus problématiques.
Pour obtenir la couleur idéale, le jean est trempé dans différents bains d’indigo synthétique (parfois jusqu’à 12), un colorant fabriqué à partir de pétrole.
Dans les principaux pays producteurs de l’industrie textile (Chine, Bangladesh, Inde, etc.), les eaux usées sont dans la plupart des cas directement déversées dans la nature !
Partout, le même spectacle de désolation : des eaux d’un bleu qui n’a rien de naturel, des proliférations de mousses suspectes...
L’ONG Waterkeeper estime que le taux de métaux lourds présents dans les eaux de surface au Bangladesh est 50 fois supérieur à la moyenne.
Outre les conséquences sanitaires sur les habitants qui se baignent dans ces eaux troubles, "ces pollutions créent un phénomène d’eutrophisation, c’est-à-dire qu’elles asphyxient les milieux aquatiques", relate Majdouline Sbai dans son livre.

Et cette pollution a des répercussions jusque dans le pays du consommateur final, dénonce Thomas Huriez, créateur des jeans 1083 :
"En Europe, le retraitement des eaux dans les usines textiles est obligatoire et les colorants les plus toxiques sont interdits.
Le problème, c’est que l'on n’impose pas ces règles aux autres pays et que l’on retrouve des produits interdits depuis 20 ans dans nos eaux usées, qui vont se libérer à chaque cycle de lavage."
Pour la transformation du coton en denim, la toile de jean, des résines synthétiques toxiques sont également utilisées pour qu’il résiste aux froissements ou ne rétrécisse pas.

Pour les jeans délavés, les fabricants ajoutent une étape supplémentaire de détergents toxiques.
La technique la plus utilisée reste le sablage, qui va permettre de créer artificiellement des zones usées sur la toile et l’éclaircir.
Du sable est ainsi pulvérisé à haute pression sur le tissu et expose les ouvriers à des poussières de silice qui s’introduisent dans l’organisme par les oreilles, le nez et la bouche.
La plupart de ces travailleurs ne portent aucune protection et les poussières viennent se loger dans leurs poumons, provoquant des maladies pulmonaires mortelles.

Vers une "fashion detox"...
Les multiples dénonciations des ONG internationales ces dix dernières années, à commencer par les deux rapports publiés par Greenpeace et leur campagne "Detox", ont permis de pousser les marques à mieux contrôler les modes de fabrication et exiger des garanties auprès de leurs sous-traitants.
De nombreuses marques se sont engagées à relever le défi Detox lancé par Greenpeace et l’ONG vient de publier son classement des marques qui mettent en œuvre des solutions concrètes.
Benetton, C&A, Esprit, H&M, Mango... tous ces grands groupes font de réels efforts, selon l’ONG.
Même Levi’s Strauss, la plus célèbre des marques de jean joue la transparence en publiant sur la plateforme de l'Institut chinois pour l’environnement, les données relatives aux rejets chimiques de ses ateliers de confection.
Levi’s a également développé des techniques innovantes de fabrication pour réduire sa consommation d’eau.
Mais le chemin est encore long : Gap, le groupe Phillips Van Heusen (propriétaire des marques Calvin Klein, Tommy Hilfiger) ou encore Giorgio Armani sont classés dans la catégorie des "Losers", n’ayant encore pris aucun engagement crédible, selon l’ONG.

La dernière décennie a aussi vu émerger de jeunes marques, avec la volonté de maitriser toute la chaîne, de la fabrication à la commercialisation, et une vraie transparence vis-à-vis des clients.
C’est le cas de la marque française 1083.
Quand Thomas Huriez a lancé sa marque il y a 7 ans, il voulait montrer qu’il était possible de faire un jean français et écologique à un prix moyen de gamme (autour de 100€).
"La première année nous avons eu un mal fou à produire 10.000 jeans, car toute la filière de production française a été délocalisée dans les années 90", raconte le fondateur.
Patiemment, Thomas Huriez a remonté la filière, racheté une ancienne usine de filature dans les Vosges et repensé chaque étape de la fabrication d’un jean pour diminuer son impact.
"Nous nous approvisionnons en coton bio en Tanzanie, car nous connaissons vraiment les producteurs et qu’il n’y a pas d’irrigation artificielle, détaille Thomas Huriez.
Le coton pousse avec l’eau de pluie."
Depuis plusieurs années, l’entrepreneur développe avec ses équipes un procédé innovant pour recycler les anciens jeans, avec le soutien de l’ADEME et de Refashion, l’éco-organisme de la filière textile.
"C’est la seule manière d’avoir un coton local, commente-t-il.
Tout l’enjeu est de réussir à industrialiser cette technologie."

Alors comment fait-il pour proposer un jean éco-responsable à un prix similaire aux autres marques ?
"C’est la magie de la mode.
Il n’y a pas de lien entre le prix et la qualité", tranche Thomas Huriez.
Entre un jean à 30€ et un autre à 140€ d’une marque plébiscitée par les fashionistas, "il n’y a souvent aucune différence sur la qualité.
La mode vend du rêve avant de vendre un produit.
Avec 1083, au lieu de dépenser de l’argent en marketing, nous le mettons sur la fabrication."

Où trouver un jean responsable ?
Du coton bio, des technologies moins utilisatrices d’eau et un système de délavage au laser.
Margot Guilbert, co-fondatrice du média-blog Boomers.eco a sélectionné les marques les plus exigeantes en la matière :

MUD jeans
Une marque spécialisée dans le jean, basée aux Pays-Bas.
Leurs jeans sont fabriqués à partir de 40% de matières recyclées, issues de jeans jetés.
À partir de 119€. Ils proposent également un système de location de jean à partir de 9,95€ par mois.

1083
C’est LA marque française du jean éco-responsable et éthique.
À partir de 119€.

Balzac Paris
Une belle marque de mode éthique française qui propose des jeans certifiés Gots, en coton biologique ou recyclé et délavés à l’ozone.
À partir de 95€.

Kings of Indigo
Marque denim hollandaise, qui propose de très nombreux modèles de jeans, jupes et vestes en jean.
Une belle marque qui va bientôt fêter ses 10 ans.
À partir de 99,99€.

People Tree
Une marque anglaise, pionnière de la mode éthique. Leurs pantalons en coton bio sont fabriqués en Inde dans des usines fiables.
À partir de 129€.

Cet article est extrait du tout dernier hors-série Femme Actuelle "Dépenser moins, consommer mieux", disponible en kiosque au prix de 6,90€.

À lire aussi :
⋙ Mode éthique : comment s’habiller de façon responsable
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⋙ Slow fashion : comment avoir une garde-robe responsable ?
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⋙ Jean printemps-été 2021 : les nouveautés tendance à adopter
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Julia Zimmerlich

Marque française
https://www.ateliertuffery.com/?gclid=EAIaIQobChMItfGP1IO48QIVCPhRCh2TVQ1wEAAYASAAEgLbTPD_BwE

dont j'ai appris l'existence dernièrement à la télé
https://www.reforme.net/culture/programmes-tv/2021/06/15/faut-pas-rever-les-cevennes-chevillees-au-coeur/

source https://www.mariefrance.fr/mode/matieres-de-vetements-tiennent-plus-chaud-nepaississent-silhouette-571733.html#item=1
Les 6 matières de vêtements qui tiennent le plus chaud et qui n’épaississent pas la silhouette
CANDICE MELLOT  
MERCREDI 3 NOVEMBRE 2021

1/10
Avec la réputation de tenir chaud, la laine n’est pas la seule matière de vêtements à conserver la chaleur corporelle, et à agir comme barrière de protection face au froid.
Velours, flanelle, lin…
Quels sont les tissus à privilégier en hiver, et qui épaississent le moins notre silhouette ?


Dilemme de taille lorsqu’une chute des températures se fait sentir, choisir une matière de vêtements suffisamment couvrante pour affronter le froid avec style, peut nous faire opter pour l’option facilité.
Car plutôt que de miser sur un tissu isolant qui résiste au vent glacial, nous avons généralement la fâcheuse tendance à superposer différentes couches d’habits. Un réflexe humain certes, mais peu pratique puisque retirer successivement un manteau, un pull, un sweat et un t-shirt n’a jamais été des plus simples.
L’option toute trouvée ?
Changer la donne en portant notre choix sur des matières naturelles qui conservent la chaleur, et qui ne nous donnent pas l’impression une fois portés, d’avoir pris du poids.

LES TISSUS COUVRANTS QUI N’ÉPAISSISSENT PAS NOTRE MORPHOLOGIE À ADOPTER EN HIVER
LE VELOURS
Alternative toute trouvée à la laine ou à la flanelle, le velours est une matière de vêtements idéale dès l’arrivée de l’automne-hiver.
Cette étoffe ancrée dans le style des années 70 se compose traditionnellement de poils serrés et coupés ras maintenus par les fils du tissu.
Et contrairement aux idées reçues, il existe bon nombre de type de velours, à l’instar du velours de soie, de mohair, de lin, mais aussi de coton.
Les deux premiers étant les plus résistants, et les moins chers.

LA FLANELLE
Connue comme étant un coton gratté d’un côté ou bien des deux, la flanelle témoigne d’une texture duveteuse et feutrée qui fait toute sa singularité.
Qu’elle habille des manteaux, des chemises, des pulls et des chapeaux, la flanelle tient naturellement chaud, qu’importe son épaisseur.

LE LIN
Contrairement aux idées reçues, le lin est une matière naturelle végétale qui tient résolument chaud, et notamment lorsqu’elle entre dans l’entière composition de pull 100 % en lin, qui s’impose comme une alternative vestimentaire de choix, pour contrer le froid.
Autre option ?
Parier sur un t-shirt ou une chemise en lin en guise de sous-pull, pour conserver la chaleur corporelle, en ajoutant une couche de textile supplémentaire à notre tenue.
En prime, le lin qui est issu de la cultivation de la plante éponyme, tient la réputation d’être une matière écologique solide, qui a la capacité d’absorber jusqu’à 20 % d’humidité, soit bien plus que le coton.

LE LYOCELL OU TENCEL
Alter ego de la viscose mais bien plus écoresponsable, le lyocell autrement appelé tencell, est une matière composée à partir d’un solvant non-toxique et de pulpe de bois et notamment celle d’eucalyptus, en provenance de forêts éco-certifiées.
Respirant et résistant, le lyocell est souvent comparé à de la soie végétale, dont il calque la texture soyeuse.
Si cette matière tient moins chaud que la laine, elle est pourtant l’une des matières les plus couvrantes à privilégier lorsqu’on choisit une chemise ou une blouse en hiver.
Concernant les pantalons, le lyocell est d’autant plus isolant et épais, lorsqu’il est mélangé à du coton biologique ou recyclé.

LA LAINE FINE
Résolument couvrante, la laine fait partie intégrante du classement des tissus qui tiennent le plus chaud.
Somme toute, bon nombre d’habits composés à partir de cette fibre animale naturelle, se montrent résolument épais, et ont la particularité d’épaissir notre silhouette.
Dans ce cas, mieux vaut privilégier des pièces mode réalisées avec de la laine fine, et non de la grosse laine.
Malgré le fait que son épaisseur soit moins importante, sa capacité d’isolant thermique lui permet d’emprisonner environ 80 % d’air, et donc d’agir comme une véritable barrière au froid.
Et côté shopping, on recommande de se tourner vers des vêtements confectionnés avec la laine recyclée, locale ou en provenance d’agriculture biologique, ou encore certifiée Oeko-Tex.
A noter que la certification Woolmark assure que la laine est issue de la tonte d’animaux sains et vivant.

LE CACHEMIRE
Matière indispensable à toute survie stylistique en hiver, le cachemire est une des laines les plus chaudes au monde.
Son prix parfois onéreux ?
Il se justifie par la rareté de cette matière naturelle, tissée avec des poils de la chèvre Cachemire qui vit sur les hauts plateaux tibétains du Ladakh et du Tibet, et principalement en Mongolie Intérieure.
De plus, chaque chèvre produit entre 150 et 300 grammes de cachemire par an.
Ce lainage chaud se hisse en tête du classement des matières de vêtements les plus couvrantes, et les moins épaisses.
La bonne nouvelle ?
De nombreux pulls en cachemire sont proposés à des prix bien plus accessibles, comme ceux issus de notre sélection.

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Vu que j'approche à grand pas de cette date, j'aime bien garder des conseils que je ne suivrai surement pas .     
D'autant que les personnes dont parlent les magasines, ont surement des budgets plus conséquents que les nôtres, sans parler de la petite bouée indétrônable qui s'est coincée entre la poitrine et les cuisses..  

source https://deavita.fr/

et ICI
Comment s’habiller à 70 ans pour avoir l’air chic et branché – le guide complet !
Auteur: Géraldine Dubois
PUBLIÉ LE JUIN 24, 2023

Toutes les femmes peuvent avoir l’air élégantes et belles, peu importe leur morphologie, race, âge et ainsi de suite.
En fait, les femmes deviennent naturellement plus confiantes avec l’âge, ce qui influence directement leur apparence et leur style.
Toutefois, nos choix vestimentaires doivent réfléchir de manière fidèle le processus de notre évolution intérieure et un petit booster d’inspiration n’est jamais superflu.
Voilà un petit guide qui donne plein d’idées comment s’habiller à 70 ans ou plus.
Profitez-en !

Contenu de la page
1 Comment s’habiller à 70 ans ou plus ?
1.1 Quelles robes porter à 70+ ans ?
1.1.1 La robe-portefeuille
1.1.2 La robe trapèze
1.1.3 La robe cintrée à la taille
1.1.4 Les robes longues asymétriques
1.2 Les jupes à préférer à la septantaine
1.3 Quel pantalon porter à 60 ou 70 ?
1.3.1 Le pantalon dit cigarette
1.3.2 Les pantalons larges
1.4 Chemisiers et autres hauts
1.5 Quels vêtements de dessus choisir à 70 ans ?

Comment s’habiller à 70 ans ou plus ?
La mode est toujours passionnante et son univers s’étend au-delà des attentes de la société liées à l’image de la femme mature.
À 60, 70 ou 80 ans, on peut toujours faire preuve de style et choisir des vêtements branchés et flatteurs qui collent parfaitement avec notre goût individuel sans aventurer notre confort.
Lesquels au juste ?
Eh bien, il en a de tous les genres !

Quelles robes porter à 70+ ans ?
À 60 ou 70 ans, il vaut mieux s’en tenir aux classiques, quand il s’agit du choix des robes.
Par exemple, la robe portefeuille a été conçue exprès pour complimenter les femmes de toutes les formes, ethnies et âges, et elle reste un incontournable de la garde-robe de toute dame contemporaine.

La robe-portefeuille
En ce qui concerne sa longueur, sa couleur et les imprimés qu’elle offre, les bons modèles de robes portefeuilles sont presque indénombrables !
Alors, ce sont plutôt votre structure corporelle et vos préférences personnelles qui dicteront votre choix spécifique, ainsi que l’occasion pour laquelle vous la porterez.

La robe trapèze
Grâce à sa forme libre et indulgente, la robe trapèze est une autre option tout à fait magnifique quand on se demande comment s’habiller à 70 ans ou plus.
Le plus souvent, la robe en A n’épouse que la partie supérieure de votre corps, continuant avec une taille haute et elle se termine par une jupe évasée qui cache le ventre, les hanches, etc.

La robe cintrée à la taille
Peu importe la coupe de la robe que vous portez, quand elle est cintrée à la taille, elle vous donne instantanément une apparence plus jeune.
De plus, si vous choisissez un modèle classique uni, vous pouvez l’accessoiriser avec des bracelets, des boucles d’oreilles ou un gros collier et paraître plus artistique.

Les robes longues asymétriques
Les robes longues, surtout quand elles ont un élément symétrique, sont parfaites quand on ne sait pas comment s’habiller à 70 ans pour un mariage ou un autre événement de grande envergure.
Si vous avez une poitrine généreuse, vous pouvez choisir une robe bustier ou une à épaules dénudées qui attirent l’attention vers le haut.

Les jupes à préférer à la septantaine
En ce qui concerne les jupes, les règles de base sont à peu près les mêmes que celles concernant les robes. Une jupe plissée midi est un classique éternel universel que vous pouvez porter de façon habillée ou street style, même avec des baskets, selon l’occasion et les envies.

Quel pantalon porter à 60 ou 70 ?
Comment s’habiller à 70 ans si l’on préfère les pantalons aux jupes et aux robes ?
Comme c’est souvent le cas, la clé vers le succès est de trouver l’équilibre parfait entre confort et style.
De plus, deux ou trois modèles plurivalents par saison sont complètement suffisants.

Le pantalon dit cigarette
Par exemple, le soi-disant pantalon cigarette noir ou gris est indispensable car vous pourrez le marier à n’importe quel haut de votre dressing, en fonction de la saison actuelle et votre humeur dans le moment donné.

Les pantalons larges
Ensuite, les pantalons à jambes larges offrent confort et style parce qu’ils se combinent sans effort à de longs manteaux, des vestes blazers courts, des trench-coats et des chemisiers blancs classiques, entre autres.
De plus, un palazzo en couleurs vives donnera un coup de jeune à votre garde-robe estivale.

Chemisiers et autres hauts
En ce qui concerne les tops, les modèles sobres à col rond sont toujours les bienvenus quand on se demande comment s’habiller à 70 ans.
Il en va de même pour le col roulé quand la saison le permet.
Les hauts à épaules légèrement dénudées sont également acceptables, car ils offrent plus de confort en été tout en conservant la modestie, le bon goût et la féminité.

Vous ne vous tromperez pas avec un chemisier blanc classique qui se porte au cours de plusieurs saisons et qu’on peut appareiller à toute jupe et tout pantalon.
Pour éviter le risque d’avoir l’air trop orthodoxe, ajoutez-y un foulard imprimé et le tour est joué !

Quels vêtements de dessus choisir à 70 ans ?
En demi-saison, n’oubliez pas le blazer, la veste de printemps ou le trench-coat.
Choisissez-les en couleurs classiques comme le noir, le blanc et le beige et ajoutez des touches colorées via vos accessoires.
Bien-sûr, avoir un ou deux vêtements en rose bonbon ou jaune canari n’est pas interdit.
Essayez juste d’éviter les couleurs qui vieillissent ou qui ternissent la carnation.
Voilà !

De nos jours il existe des experts en tout, et j'ignorai qu'il y avait même des formatrices dans les savoir-faire textiles!!

source ICI

Voici le vêtement qu'il vaut mieux éviter de porter en hiver, selon une experte textile
Zélie Amelot
Avec Marie-Laurence Sapin, conseil et formatrice dans les savoir-faire textile
Publié le 24/01/2024

Vous ne savez pas comment vous habillez lorsqu'il fait très froid ?
Sachez, qu'il y a une pièce iconique du vestiaire féminin que l'on porte très souvent qu'il vaut mieux éviter de mettre dans ce genre de situation.

Lorsque le mercure chute, nous ne savons pas comment nous habiller pour ne pas avoir froid.
Tee-shirt en cachemire, pulls en maille, gilet en polaire, généralement on accumule les couches de vêtements en espérant rester au chaud, mais cela ne fonctionne pas à tous les coups.
En effet, la clé pour ne pas avoir froid lorsque la température avoisine zéro degré c'est la règle des 3 couches : une respirante, une isolante et la dernière protectrice.
Inutile donc de multiplier les couches inutilement.

Mais ce n'est pas tout, pour rester au chaud toute la journée, mieux vaut correctement choisir son pantalon.
Malheureusement, si vous êtes une grande adepte du jean slim, sachez que ce n'est pas la pièce la plus chaude de votre dressing.
Dans une interview accordée à Femme Actuelle, Marie-Laurence Sapin, formatrice dans les savoir-faire textiles, nous explique pourquoi il vaut mieux attendre le printemps pour le porter.

Pourquoi ne faut-il pas porter le jean slim en hiver ?
Le jean est un véritable indispensable de notre garde-robe, on le porte à toutes les saisons.
À l'origine un vêtement de travail pour la gent masculine, le jean est rapidement devenu l'incontournable du vestiaire féminin.
Pourtant, lorsqu'il fait froid, ce n'est pas la pièce la plus chaude de notre dressing.
En effet, le jean est conçu en toile de coton que l'on appelle aussi la toile denim "le coton, ce n'est pas la matière la plus chaude qu'il soit", explique l'experte des vêtements.

La coupe de votre jean a, elle aussi, toute son importance "il vaut mieux, dans ce cas-là, qu'il ne soit pas trop serré [...] le jean qui colle à la peau c'est presque une seconde peau, donc le froid va coller aussi", explique l'experte textile.

Comment porter des jeans en hiver sans avoir froid ?
Pour mettre votre pantalon fétiche en jean quand il fait froid, plusieurs possibilités s'offrent à vous.
D'abord, vous pouvez opter pour l'accumulation de vêtements avec "un collant en dessous de votre jean", précise Marie-Laurence Sapin.
Choisissez des collants thermiques ou bien des leggings en coton par exemple, ainsi vous êtes certaine d'avoir chaud tout au long de la journée.

Aussi, mieux vaut privilégier un jean coupe droite.
Ainsi, vous pouvez facilement enfiler un collant en dessous et conserver de la chaleur entre votre vêtement et votre peau.

Enfin, la matière de votre jean a également son rôle à jouer.
L'experte préconise des jeans "qui ne seraient pas en 100 % coton".
En effet, le mélange de certaines matières est idéal pour nous tenir chaud durant la période hivernale.
Vous pouvez opter pour "des jeans qui sont en coton et en laine [...] un pourcentage de laine qui peut varier entre 30 et 50 %", recommande l'experte en savoir-faire textiles.
À vous de choisir votre solution préférée !

*Marie-Laurence Sapin, conseil et formatrice dans les savoir-faire textiles

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J'aime bien ces vêtements personnalisables
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Un univers de designs pour des gens uniques
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Qui nous sommes
Tostadora est une équipe de personnes engagées, basée à Barcelone, qui travaille pour apporter des produits uniques à des personnes uniques dans le monde entier.

Nos valeurs
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Tout grand projet commence par de petites réalisations et nous travaillons dur pour les réaliser.

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Ce que cache le recyclage de nos vêtements, un geste pas si écolo que ça
Acheter des vêtements neufs en polyester ou coton recyclés ou en jeter d'autres dans des bennes prévues à cet effet ne serait finalement pas un geste écolo.
Loin de là. Explications.
La rédaction avec AFP - 14 févr. 2024

Quand on adore la mode mais qu’on est quand même sensible à la cause écologique, on pense qu’acheter des vêtements en coton ou du polyester recyclés et en jeter d’autres dans une benne à déchets textiles, c’est une bonne chose.
Mais dans les faits, tout ça n’a pas grand-chose d’écolo.

Car, à 93 %, les matières recyclées de nos vêtements proviennent « de bouteilles en plastique, pas de vieux habits », explique à Bruxelles Urska Trunk, directrice de campagne de l'ONG Changing Markets.
Du pétrole donc.
Dans les magasins, les étiquettes « matière recyclée » fleurissent mais en réalité, la technologie coûteuse qui permet de recycler un fil en fil reste embryonnaire au niveau mondial.

En Europe, l'ensemble des déchets textiles représente 12,6 millions de tonnes par an (dont 5,2 millions de vêtements et chaussures, le reste étant composé de matelas, tapis et autres mobiliers textiles), selon la Commission.
La plupart des déchets textiles usagés sont jetés ou incinérés, seuls 22 % sont collectés pour être réutilisés ou recyclés – essentiellement en chiffons, rembourrages ou isolants.

Un recyclage « complexe »
Le recyclage des vêtements est « beaucoup plus complexe que celui du verre ou du papier », explique le fabricant autrichien de fibres textiles issues du bois Lenzing.
Les vêtements usagés doivent en effet être triés par matière et par couleur, puis débarrassés de leurs « points durs » (zips, boutons...).
Il faut enfin écarter ce qui n'est pas recyclable comme certaines fibres ou tissus composés de plus de deux matières.
Or, ce type d'opérations n'a pas encore passé le stade industriel.

La parade pour tamponner ses habits ''bons pour la planète'', c'est le recyclage en fibres polyester de bouteilles fabriquées avec du PET (polytéréphtalate d'éthylène).
La technologie, bien maitrisée, est la seule véritablement exploitée à grande échelle.
De grandes enseignes de fast-fashion, telles qu’H&M s’en sont déjà largement emparées.

La fausse circularité du polyester recyclé
Le PET recyclé « (permet) à l'industrie de réduire sa dépendance au polyester vierge issu de combustibles fossiles à court terme », a indiqué le groupe.
Comment font les marques ?
Elles récupèrent auprès des industriels les « paillettes » de plastique issues du recyclage mécanique des bouteilles puis fabriquent la fibre dans leurs propres usines, explique Lauriane Veillard, chargée de politique sur le recyclage chimique à Zero Waste Europe (ZWE) à Bruxelles. « Soyons clairs, il ne s'agit pas de circularité »: les industriels de l'embouteillage et associations de défense de l'environnement ont pourtant mis en garde.

Dans une lettre ouverte au Parlement européen, ils ont dénoncé en mars 2023 « une tendance inquiétante » du secteur de la mode « à faire des déclarations écologiques liées à l'utilisation de matériaux recyclés » provenant de leurs bouteilles.
Car « si ces bouteilles n'avaient pas été utilisées pour fabriquer du polyester, elles auraient en fait permis de fabriquer… d'autres bouteilles en plastique », rappelait en mars dernier une étude de la marque française dite éthique Loom.
Or, si une bouteille en PET peut être recyclée cinq ou six fois en une autre bouteille, un T-shirt ou une jupe en polyester recyclé « ne pourront jamais être recyclés de nouveau », rappelle Urska Trunk, directrice de campagne de l'ONG Changing Markets.

Le polyester recyclé est souvent refabriqué avec des composants chimiques et de l'élasthanne, prisé pour son élasticité mais qui empêche tout recyclage.
Sans compter l'« énergie et les matériaux » nécessaires pour transporter, trier, laver, broyer, fondre etc... jusqu'au filament, rappelle Loom.

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Les marques se lancent dans la seconde main pour rattraper la tendance

En regardant un documentaire sur TMC, j'ai appris l'existence d'une astuce, qui peut être utile pour choisir la taille d'un pantalon dans une boutique, un vide grenier ou ailleurs.

source ICI sur france tv info

"L’histoire sexy du jean" sur TMC : Marc Beaugé lance une collection documentaire consacrée aux vêtements "Indémodables"
La nouvelle collection documentaire "Indémodable" de TMC consacre son premier numéro au pantalon le plus vendu au monde.
Un vêtement de travail devenu au fil du temps un objet culturel, souligne le journaliste Marc Beaugé.
Publié le 12/03/2024

Marc Beaugé est journaliste mode, on peut le lire dans les Inrocks ou le voir dans l'émission "Quotidien".
Il lance "Indémodable" sur TMC, une collection documentaire consacrée aux vêtements, dont le premier numéro, mardi 12 mars à 21h25, nous raconte "L’Histoire sexy du jean".
Le jean étant le pantalon le plus vendu au monde avec deux milliards d’exemplaires par an, dont 90 millions en France.

À ces débuts, le jean, dont la création remonte au XIXᵉ siècle, était tout simplement un vêtement de travail, utilisé par les ouvriers dans le grand Ouest américain, "Il leur fallait un vêtement solide dans lequel on pouvait s'accroupir, bouger, sans qu'il se troue, qu'on puisse aussi réparer", explique Marc Beaugé.

Un super vêtement en soi qui a traversé les époques et qui n’a jamais été ringard, selon lui, parce que tout un chacun peut se l’approprier en le portant large, étroit, troué, bleu, délavé etc.
Ce vêtement dont les coupes, les couleurs et les customisations se portent au gré des modes, a parfois suscité la polémique, notamment dans les années 70, raconte-t-il avec l’affaire Brooke Shields.
Une jeune mannequin de 15 ans qu'on a sexualisée au travers d'une pub pour les jeans Calvin Klein. La pub disait : "Il n'y a rien entre moi et mon jean", sous-entendu, Brooke Shields adolescente ne portait pas de sous-vêtements.  

Le jean, un objet culturel
Marc Beaugé confie son obsession pour ce tissu intemporel qui est bien plus qu’un vêtement, c’est aussi pour lui un objet culturel.
À partir du moment où on en achète un, il faut bien l’acheter en connaissant l’histoire pour après en faire "un peu son jean à soi.
Ça devient comme un livre ou un disque, un objet culturel".
Mais le jean, qu’il soit un objet culturel ou pas a aussi ses travers en termes de pollution.
Pas écoresponsable pour un sou, il contient des pesticides, des colorants et nécessite beaucoup d'eau pour le fabriquer.
Il finit par voyager et finalement, devient le symbole de la fast-fashion.
Une surconsommation que Marc Beaugé dénonce aussi en appelant à mieux le consommer : "Soit on achète des jeans localement bien faits qu'on va garder longtemps, solides et qui coûtent plus cher dans des designs simples et intemporels.
Soit, si on n'en a pas les moyens, il y a plein de jeans de toutes les couleurs, de toutes les tailles dans les friperies.
Ce sont les deux seules façons de bien consommer le jean au point où on en est en 2024", conclut le journaliste.

***

Et ce matin, je retrouve cette info sur ma tablette

source ICI sur femme actuelle

Comment savoir si un jean est à la bonne taille sans l'essayer ?
Voici l'astuce facile et infaillible
Constance Maria
Publié le 11/03/2024

Vous avez déniché LE jean idéal lors de votre virée shopping mais vous redoutez l'étape de l'essayage ?
Pour zapper l'option cabine d'essayage sans pour autant vous tromper dans le choix de la taille, voici une astuce imparable à adopter de toute urgence.

Tantôt large tantôt skinny, le jean est une pièce intemporelle de notre dressing.
On aime le porter en hiver avec une veste en fausse fourrure et une paire de baskets telle que des Samba sur un jean noir pour un look casual chic parfait, un pull en maille avec une toile bleach pour un outfit confortable ou encore une chemise oversize, une ceinture fine et une paire de mocassins avec un jean brut pour surfer sur la tendance quiet luxury aussi appelée old money qui fait fureur en ce moment.

Mais, qu’on se le dise, lorsqu’il s'agit de trouver LE jean parfait, certaines questions demeurent.
Mettre la main sur le modèle idéal, sans avoir à faire de retouches n'est pas une mince affaire (un peu comme trouver la bonne taille de soutien-gorge).
Pour ajuster la taille, de nombreuses astuces ont émergé sur le réseau social TikTok, pour nous faciliter la vie : agrandir un jean trop petit, en resserrer un qui est au contraire trop large, le raccourcir proprement sans couture...
Vous l’aurez compris à chaque problème, sa solution.

Et, c’est sur TikTok que l'utilisatrice @lauriannemei a partagé une astuce de grand-mère pour savoir si celui que l'on convoite est à la bonne taille, et cela, sans même l'essayer.
Trop de monde aux cabines d'essayage, manque de temps ou achat sur internet, nos raisons sont multiples pour ne pas enfiler le pantalon que l'on souhaite acheter en magasin.

Jean : l’astuce toute simple pour trouver un pantalon à votre taille sans l'essayer
Selon la TikTokeuse, cette astuce, toute simple, permettrait de savoir si le jean est à la bonne taille et ainsi éviter les mauvaises surprises en arrivant chez soi. Pour cela, il suffirait de passer le jean autour de son cou.
On vous explique.
Prenez le pantalon et positionnez-le avec le haut qui fait face à votre cou.
Saisissez ensuite les deux extrémités de la taille et tentez de lui faire faire le tour de votre cou.
Si vous parvenez à faire le tour et qu'elles se touchent à l'arrière, c'est que le jean vous va !

Dans les commentaires, les avis oscillent entre ceux qui connaissaient cette astuce de grand-mère et la valident, et ceux qui sont ravis d'avoir enfin une technique pour miser sur la bonne taille du premier coup.
L'astuce est si simple qu'à la rédaction, on s'est empressé de la tester : et c'est validé (avec un jean taille haute).
Si vous êtes sceptique, vous pouvez commencer par tester cette théorie pour faire le tri entre plusieurs modèles et gagner du temps avant d'aller essayer votre jean.
Reste à savoir si cette astuce est valable pour toutes les morphologies.

Resserrer un jean : comment faire quand son jean est trop grand à la taille ?
Vous avez trouvé le modèle qui convient en longueur et qui met en valeur votre silhouette, seul petit problème, il baille à la taille.
Impossible de prendre la taille en dessous, sous peine de ne plus passer votre pantalon ou d'être très inconfortable.
Mais pas de panique, il existe un petit accessoire tout simple qui va vous changer la vie.

Plus besoin de laisser votre jean préféré au fond du placard car il est trop grand.
L'astuce nous vient du compte TikTok de l'influenceuse @montaineleb.
L'accessoire en question ?
Un bouton de jean à clipser soi-même, comme elle explique dans sa vidéo.
Très simple à utiliser, il permet de placer un nouveau bouton là où on souhaite que le jean se ferme pour épouser la taille.
Ensuite il suffit de s'en servir comme du bouton d'origine, à la place de celui-ci.
Ultra-facile, rapide et facile à trouver à petit prix sur des sites comme Amazon, Cultura, Etsy ou encore Cdiscount.

À vous les plus beaux outfits (et à votre taille) !

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