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 Gy = Ménopause - Andropause

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MessageSujet: Gy = Ménopause - Andropause   Gy = Ménopause - Andropause EmptyMer 22 Mar 2017 - 18:52

Gy = Ménopause - Andropause 1603110914496491714051123

Bonjour

La ménopause et les bouffées de chaleur peuvent être traitées avec l'homéopathie ou les plantes, c'est la méthode que j'ai choisis et avec l'aide de mon homéopathe, elle m'a plutôt réussit.

source https://www.santenatureinnovation.com/sujet/anti-age-longevite/menopause/
MÉNOPAUSE
La ménopause (l’arrêt des règles et la fin de la possibilité de procréer) est une étape naturelle de la vie d’une femme, et non une maladie !
Ne la traitez donc pas comme telle, et découvrez les moyens naturels de soulager les bouffées de chaleur ou l’irritabilité.

Les femmes ont besoin de testostérone
20/11/2013
https://www.santenatureinnovation.com/les-femmes-ont-besoin-de-testosterone/

Une étrange boule dans le bas du ventre
18/08/2015
https://www.santenatureinnovation.com/une-etrange-boule-dans-le-bas-du-ventre/

Perdre du poids à la ménopause (sans en reprendre)
Par Jean-Marc Dupuis/12 mai 2015
https://www.neo-nutrition.net/les-11-lettres-qui-font-maigrir-surtout-apres-50-ans/

Règles douloureuses, ménopause, libido… : pensez aux hormones végétales
22/06/2015
https://www.santenatureinnovation.com/16563-2/

La DHEA est-elle l’hormone de jouvence ?
Par Dr. Dominique Rueff/30 juin 2016
https://www.lettre-docteur-rueff.fr/la-verite-sur-la-dhea-lhormone-qui-rajeunit/

Mesdames, l’igname sauvage va vous faciliter la vie
Par Dr. Dominique Rueff/10 juin 2016
https://www.lettre-docteur-rueff.fr/mesdames-ligname-sauvage-va-vous-faciliter-la-vie/

Gy = Ménopause - Andropause 1702150934206491714849748

source https://www.santenatureinnovation.com/bouffees-de-chaleur-le-kit-de-secours-naturel/
Bouffées de chaleur : le kit de secours naturel
15/09/2016


En 2002, une grande étude américaine a montré que le traitement hormonal substitutif (THS, pour la ménopause) provoque le cancer [1].

Depuis, les femmes qui atteignent la ménopause n’osent plus rien faire !

Mais c’est dommage.
Le traitement n’était pas le même en France
L’étude a seulement montré que le THS examiné dans cette étude était dangereux.
Or, cette étude ne portait que sur des femmes américaines obèses et cardiaques.

De plus, il s’agissait d’un traitement très particulier : un authentique remède de cheval à base d’urine de juments enceintes (le Premarin) !!!

Le Premarin est une sorte de bombe à œstrogènes, absolument pas adapté à la physiologie des femmes.
Personne n’a été surpris que l’étude confirme qu’il provoque la « flambée » des cancers du sein.

Quand, dans la presse, tous les THS ont été condamnés sur la base de cette seule étude, les spécialistes ont voulu protester.

Ils ont souligné que ce traitement « de jument » n’était utilisé qu’aux États-Unis.
Que le traitement utilisé en France, mieux adapté (car contenant un autre type d’œstrogènes et de progestérone), ne donnait pas le cancer [2].

Qu’importe. Personne n’a voulu les entendre.
À notre époque d’information mondialisée, il faut une seule information, claire, simple (et fausse), qui puisse convenir à tout le monde.

Surtout ne pas donner l’occasion à la population de réfléchir.
Cela pourrait être dangereux.

Bref, les THS, y compris à base d’hormones naturelles bio-identiques (et donc sans aucun danger), se sont cassé la figure en France aussi, sur la base de cette étude américaine qui n’avait rien à voir.

Une « happy end » inattendue
Il se trouve néanmoins qu’il y a une « happy end » à l’histoire.
L’affaire a permis de remettre au goût du jour les traitements à base de plantes contre les désagréments de la ménopause.

Je vais parler aujourd’hui de la sauge contre les bouffées de chaleur – qui ont enfin été étudiées avec un minimum de sérieux.

Les scientifiques ont pu confirmer que :

La sauge est efficace contre les bouffées de chaleur
Selon une étude scientifique publiée en 2011 [3] :

Les patientes ont pris une tablette confectionnée à partir de feuilles fraîches de sauge (Salvia officinalis) pendant huit semaines et :
– Les bouffées de chaleur légères ont diminué de 46 %

– Les bouffées de chaleur modérées ont diminué de 62 %

– Les bouffées de chaleur sévères ont diminué de 79 %

– Les bouffées de chaleur très sévères ont diminué de 100 %

100 % !

Vous trouverez difficilement mieux !

Ne pas sous-estimer le problème des bouffées de chaleur
À ceux qui n’ont jamais eu de bouffées de chaleur et qui estimeraient qu’il ne s’agit pas d’un gros problème, je dis halte !

C’est que vous n’en avez jamais souffert vous-même.

Il est perturbant de se sentir soudain rougir, chauffer, transpirer, sans raison apparente.
Si vous étiez alors en conversation, en réunion, en rendez-vous, votre entourage se demande ce qui vous prend.
Vous vous retrouvez trempée comme une soupe, obligée de partir vous changer précipitamment.
La nuit, c’est la chemise de nuit, les draps qui se retrouvent trempés et vous grelottante.

Vous vous sentez comme une cocotte-minute qu’on allume et qu’on éteint.
Et cela peut se reproduire toutes les deux ou trois heures.

Si vous n’avez pas de sauge dans votre jardin
Si vous n’avez pas de feuilles fraîches de sauge dans votre jardin, achetez de l’huile essentielle de sauge sclarée.
Il faut en diluer quelques gouttes dans une huile végétale et masser le bas-ventre ou bien déposer deux gouttes sur une cuillère à café de miel deux fois par jour et l’avaler.

L’actée à grappes noires
L’autre plante importante contre les bouffées de chaleur est l’actée à grappes noires (Actea racemosa).

Son efficacité est reconnue par les autorités allemandes (Commission E) et par l’Organisation mondiale de la santé.

C’est une plante que vous ne trouverez normalement pas dans votre jardin car elle vient d’Amérique.
Vous serez en principe obligée d’en acheter en herboristerie ou dans une boutique en ligne spécialisée.

On trouve des extraits normalisés d’actée à grappes noires en comprimé de 20 mg.
En prendre deux gélules, deux fois par jour.

Cette solution a l’avantage de réduire aussi d’autres symptômes parfois liés à la ménopause : l’anxiété et la dépression.
L’actée à grappes noires est d’ailleurs recommandée en association avec le millepertuis lorsqu’on utilise celui-ci contre la dépression.
Elle est toutefois à éviter en cas de maladie hépatique.

L’homéopathie
Je ne parle pas souvent de l’homéopathie dans Santé Nature Innovation car c’est une médecine très particulière, complètement personnalisée, selon le terrain du patient.
Il est en général contradictoire de recommander un traitement homéopathique valable pour n’importe qui, en toutes circonstances.

Néanmoins, je me dois de signaler cette piste dans le traitement des bouffées de chaleur car des résultats spectaculaires ont été observés lors d’une grande étude observationnelle française en 2008 [4].

99 médecins homéopathes et 438 femmes ménopausées (âge moyen 55 ans) ont été mobilisés : 90 % des participantes ont signalé une diminution ou une disparition de tout symptôme deux semaines après le début du traitement !

Courez donc chez votre médecin homéopathe en cas de bouffées de chaleur récalcitrantes.

Comme spécifié ci-dessus, je ne peux donner le traitement standard (il n’y en a pas, par définition), mais on sait que la majeure partie des remèdes homéopathiques prescrits furent Belladonna (plante herbacée vivace Belladone), Lachesis mutus (obtenu à partir du venin d’un serpent vivant en Amérique du Sud), Sepia officinalis (élaboré à partir de l’encre noire de la seiche), Sulphur (le soufre comme élément de base du médicament homéopathique) et Sanguinaria canadensis (la plante sanguinaire du Canada).

Aussi efficaces contre les bouffées de chaleur chez les hommes
À noter que les hommes qui prennent un traitement anti-hormonal contre la prostate peuvent eux aussi souffrir de bouffées de chaleur et on vient de confirmer que la sauge est alors efficace également [5].

En prenant par voie orale 150?mg d’extrait de sauge officinale trois fois par jour, leur score moyen de bouffées de chaleur est passé de 112 à 59, soit une division par deux.
Les bouffées de chaleur ont commencé à diminuer de façon significative dès la première semaine jusqu’à la troisième semaine, puis restèrent stables.

Ce traitement n’a aucun effet secondaire.

Si vous allez sur les sites de santé sur Internet, on vous explique que cette efficacité tient à la richesse de la sauge en hormones (phyto-œstrogènes, issus des plantes).
Autrement dit, la sauge apporterait les œstrogènes que votre corps a cessé de produire !

Ce serait une sorte de pilule !
Pas rassurant pour les hommes.
Et pas rassurant non plus pour les femmes qui se méfient des perturbateurs endocriniens.

Mais je ne crois pas beaucoup à cette explication.
La quantité d’hormones produites et contenues dans un brave plant de sauge n’a rien à voir avec celle produite par une femme en pleine période de fécondité, et encore moins dans une pilule.
La vérité, c’est que personne ne sait pourquoi la sauge a cet effet si efficace contre les bouffées de chaleur.

On le constate.
On en profite.
C’est déjà énorme.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

Sources de cet article sur le lien.

Gy = Ménopause - Andropause 1702150934206491714849748

Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.

La Lettre Santé Nature Innovation est un service d'information gratuit de Santé Nature Innovation (SNI Editions).

Service courrier : Sercogest, 44 avenue de la Marne, 59290 Wasquehal - France

Gy = Ménopause - Andropause 1702150934206491714849748

Vous pouvez consulter les nombreux commentaires d'internautes
https://www.santenatureinnovation.com/bouffees-de-chaleur-le-kit-de-secours-naturel/

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MessageSujet: Re: Gy = Ménopause - Andropause   Gy = Ménopause - Andropause EmptyMer 22 Mar 2017 - 18:53

source http://www.thierrysouccar.com/sante/info/menopause-votre-ordonnance-naturelle-2403

MÉNOPAUSE : VOTRE ORDONNANCE NATURELLE
Dans le Guide pratique des compléments alimentaires,
http://www.thierrysouccar.com/sante/livre/guide-pratique-des-complements-alimentaires-258
Brigitte Karleskind propose des traitements naturels pour de nombreuses affections. Que conseille-t-elle pour la ménopause ? Quels symptômes de cette dernière peut-on améliorer naturellement et comment ? Détails.

La ménopause correspond à la fin de la période reproductive de la femme, généralement vers l’âge de 50 ans. Elle est caractérisée par l’arrêt des règles, la cessation de l’ovulation et de la sécrétion des hormones sexuelles par les ovaires.
http://www.thierrysouccar.com/sante/info/les-hormones-sexuelles-feminines-2399

La ménopause est précédée par une longue période de transition qui commence dès l’âge de 40 ans et au cours de laquelle les premières modifications biologiques apparaissent. Cette période de transition correspond à la préménopause et à la périménopause.
Au cours de la période de préménopause, les fluctuations hormonales produisent des irrégularités menstruelles. Cette période peut durer de quelques mois à plusieurs années, en général 5 ans.
La périménopause correspond à l’année qui précède la ménopause au cours de laquelle les signes endocrinologiques biologiques et cliniques caractéristiques de l’approche de la ménopause commencent à apparaître.

Les symptômes et signes
Une femme est considérée comme ménopausée lorsqu’elle n’a pas eu de menstruations pendant 12 mois. Certaines femmes n’ont pas d’autres symptômes que l’arrêt des menstruations, d’autres ont des symptômes d’intensité modérée à grave.

Menstruations irrégulières
Bouffées de chaleur
Sueurs nocturnes (sudation importante dans tout le corps la nuit pouvant interrompre le sommeil)
Troubles du sommeil
Troubles de l’humeur
Baisse de la libido
Sécheresse des muqueuses qui peuvent se traduire par des démangeaisons, une sensation de brûlure dans le vagin sur la vulve, des douleurs au cours des relations sexuelles
Irritabilité de la vessie
Vieillissement de la peau, cheveux plus secs
Légère prise de poids

Les facteurs de risque
Certains facteurs peuvent augmenter le risque d’avoir des symptômes importants.
-Être peu active physiquement
-Être une femme occidentale avec une alimentation pauvre en produits à base de soja,
-Accepter difficilement les changements qui accompagnent cette période (départ des enfants, signes de vieillissement, fin de la fertilité…)

Les examens utiles
Un bilan doit être réalisé pour préciser :
-le retentissement psychologique et général,
-l’intensité du syndrome de carence estrogénique,
-le terrain thrombo-embolique, mammaire, endométrial et cardiovasculaire.

Des analyses de sang et d’urine permettent de :
-évaluer l’augmentation de la FSH et de la LH,
-quantifier la diminution des estrogènes,
-examiner le profil lipidique.

Un frottis est également utile.

Voici maintenant 4 substances naturelles permettant de corriger les conséquences immédiates de la carence estrogénique (bouffées de chaleur, sécheresse vaginale, syndrome dépressif ou, tout simplement, mal-être). Ce sont celles pour lesquelles il existe le plus grand nombre d'études scientifiques sérieuses.
Les isoflavones de soja
Les femmes asiatiques ont moins de bouffées de chaleur que les femmes occidentales et, d’une façon générale, moins de symptômes déplaisants au moment de la ménopause. Ainsi près de 80 % des femmes européennes sont sujettes aux bouffées de chaleur contre seulement 15 % des Singapouriennes. Cette différence s'expliquerait par la plus grande consommation de soja fermenté par les femmes asiatiques : il existe une corrélation négative entre la sévérité des bouffées de chaleur et la consommation de soja fermenté.
Dans le soja, on trouve des molécules qui ont des effets semblables à ceux des estrogènes, appelées phyto-estrogènes. Plusieurs études ont démontré une action bénéfique des phyto-estrogènes sur les bouffées de chaleur. Ils améliorent également d’autres symptômes liés à la ménopause comme la sécheresse vaginale.

Dose efficace
-17,5 mg d’isoflavones de soja 2 fois par jour (matin et soir) en cas de troubles modérés.
-35 mg d’isoflavones 2 fois par jour en cas de troubles intenses.

Précautions d'emploi : les isoflavones de soja sont déconseillés chez les femmes ayant des antécédents de cancer du sein ou de l’utérus. Ils peuvent interférer avec le fonctionnement de la glande thyroïde.

Les lignanes
Par leurs effets estrogéniques (semblables à ceux des estrogènes), les lignanes peuvent soulager certains symptômes de la ménopause. La recherche a montré que l’entérolactone (un lignane produit par la flore intestinale à partir des lignanes ingérés) agit faiblement sur l’équilibre physiologique estrogénique et peut ainsi offrir une alternative naturelle pour aider à contrer les fluctuations hormonales et à gérer les symptômes qui les accompagnent. L’activité estrogénique de l’entérolactone étant faible, le risque d’effets indésirables est minime.

Dose efficace
10 à 30 mg de HMR lignan (7-hydroxymatairésinol, extrait de l’épicéa) par jour suffisent à élever les niveaux d’entérolactone circulante.

Précautions d'emploi : pourraient être déconseillés chez les femmes ayant un cancer hormono-dépendant ou des antécédents.

L'extrait d’actée à grappes noires (Cimifuga racemosa)
L’actée à grappes noires est une plante utilisée en Amérique du nord depuis des centaines d’années pour soigner les problèmes gynécologiques. Plusieurs essais cliniques ont montré qu’elle réduit efficacement la sévérité, la durée et l’incidence des bouffées de chaleur et des suées nocturnes.
La Commission E allemande reconnaît l’utilisation de l’actée à grappes noires dans le traitement des symptômes de la ménopause incluant les bouffées de chaleur. Dans sa monographie, elle stipule qu’elle a une action similaire à celles des estrogènes. Mais l’action modulatrice des estrogènes de l’actée reste controversée et d’autres recherches sont nécessaires pour élucider son mécanisme d’action.
Associée au millepertuis, cette plante voit ses effets renforcés. La prise d’actée à grappes noires associée à l’hypéricine, la substance active du millepertuis, à des femmes ménopausées souffrant de symptômes climatériques depuis au moins 3 mois a eu des effets bénéfiques sur 62,2 % d’entre elles.

Dose efficace
40 à 80 mg d’extrait d’actée à grappes noires par jour (+ 500 mg de millepertuis par jour).

La vitamine E
http://www.thierrysouccar.com/nutrition/info/les-aliments-riches-en-vitamine-e-993
La recherche sur la vitamine E suggère qu’une supplémentation pourrait être efficace pour réduire les bouffées de chaleur, les changements d’humeur et la sécheresse vaginale.
Une dose quotidienne de 50 à 400 UI de vitamine E diminuerait les bouffées de chaleur et d’autres symptômes de la ménopause. Ces résultats sont obtenus après au moins 4 semaines de traitement1.
La vitamine E  semble efficace même chez des femmes prenant du tamoxifène, un traitement contre le cancer du sein connu pour augmenter les bouffées de chaleur.

Dose efficace
50 à 400 UI d’alpha-tocophérol par jour.

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MessageSujet: Re: Gy = Ménopause - Andropause   Gy = Ménopause - Andropause EmptyLun 3 Avr 2017 - 18:13

source https://www.neo-nutrition.net/remede-aux-bouffees-de-chaleur/

Remède aux bouffées de chaleur : essayez ces petits fruits américains
Par Eric Müller/6 août 2016


Chères lectrices, 89,6 % [1].

C’est la probabilité que vous ayez déjà vécu l’une des situations suivantes :
Vous vous réveillez en pleine nuit, trempée de sueur
Puis, vous grelottez le reste de la nuit car votre chemise de nuit et vos draps mouillés sont devenus glacés
Être fatiguée le jour suivant à cause de cette mauvaise nuit
Terminer la journée par une dispute avec votre partenaire
Être prise par une soudaine bouffée de chaleur en pleine réunion… avoir le front en sueur et les joues brûlantes au point de devoir quitter la salle précipitamment
Avoir le cœur qui s’emballe
Être en nage dans vos vêtements
Les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes changent radicalement la vie.

On a longtemps pensé qu’elles ne duraient qu’un an, au moment de la ménopause, autour de la cinquantaine.

Aujourd’hui, on découvre que la période des bouffées de chaleur dure en moyenne plus longtemps : entre 2 à 5 ans.
Elles apparaissent à la périménopause et cessent souvent quelques années après le début de la ménopause. 15 % des femmes les subissent même pendant 30 ans [2] !

Beaucoup se plaignent aussi d’avoir une humeur changeante et d’être excessivement émotives dans ces moments.

Quelle est l’origine des bouffées de chaleur ?
La ménopause est marquée par des baisses de sécrétion d’hormones.

Dans un premier temps, l’ovaire cesse de sécréter de la progestérone – l’hormone spécifique de la grossesse [3].
Les cycles vont alors devenir anarchiques (plus longs, plus courts, plus douloureux) jusqu’à ce qu’elles finissent pour de bon.

Ensuite, vos sécrétions d’œstrogènes diminuent.
Cette chute est responsable des bouffées de chaleur, et des sécheresses vaginales.

Avec la chute des œstrogènes, on observe que la région du cerveau qui contrôle la température du corps, l’hypothalamus se met à considérer que votre corps est surchauffe (sans qu’on comprenne bien pourquoi).

Dans la panique, l’hypothalamus ordonne au système nerveux central d’évacuer du corps l’excès de chaleur supposé.

Vos vaisseaux périphériques vont alors se dilater, et vos glandes sébacées vont s’activer.
Ces mécanismes peuvent faire monter la température de la peau de 2,5°C [2]. C’est alors que vous sentez la bouffée de chaleur vous envahir.

Voici les bonnes habitudes qui rendent les bouffées de chaleur plus tolérables
Pour mieux gérer vos bouffées de chaleur, essayez les conseils du Dr Danielle Roux-Sitruk [3] :
Choisissez des vêtements confortables, en lin ou en coton – mais pas en matière synthétique.
Évitez les pulls à col roulé qui risquent d’accentuer les bouffées de chaleur.
Ne mangez pas trop de plats épicés. Attention à ne pas boire trop d’alcool.
Essayez de toujours avoir une bouteille d’eau fraîche avec vous.
Si vous le pouvez, travaillez dans une pièce bien ventilée… à côté de la fenêtre ou d’un ventilateur.
Les huiles essentielles de palmarosa ou de sauge sclarée mélangées à un savon liquide ou un lait pour le corps sont efficaces pour maîtriser la transpiration soudaine.

Et les traitements hormonaux substitutifs ?
C’est un sujet très complexe qui mérite d’être traité à part.

En résumé, les traitements hormonaux substitutifs (THS) proposés ont des résultats mitigés.

Leur nocivité à long terme reste controversée [2].

Il pourrait s’écouler encore des dizaines d’années avant que la communauté scientifique ne démontre avec certitude que les THS sont sans danger.

En attendant, pour vous soulager immédiatement, il existe des plantes reconnues pour atténuer les bouffées de chaleur.

Solutions naturelles : les plantes
Les plantes sont la meilleure alternative aux traitements hormonaux substitutifs.

1. Comment intégrer les plantes dans votre alimentation
Dans votre alimentation, vous pouvez facilement obtenir des phytohormones, douces et actives.

Les phytohormones semblent plus efficaces sur les femmes qui subissent déjà des bouffées de chaleur fréquentes (5 par jour) [3].

Les aliments les plus riches en phytohormones sont les lentilles, le soja et les haricots rouges.
La nature a bien fait les choses, puisqu’ils sont délicieux et faciles à accommoder.

Thierry Souccar explique qu’on en trouve aussi en quantités plus faibles dans les pois chiches, les haricots verts, les brocolis, les asperges cuites, les groseilles, les pamplemousses, les raisins secs, les noisettes, et les cacahuètes [2].

Remarque : Beaucoup vous diront que les phytohormones du soja provoquent le cancer (du sein en particulier).
Ces attaques sont largement exagérées. La dernière synthèse d’essais cliniques publiée en 2014 a conclu que le soja diminuait marginalement le risque de cancer [4].

C’est qu’il faut retenir, c’est que l’impact sur le cancer est minime…
Tellement imperceptible qu’on peine à le quantifier.
C’est le point en commun entre toutes les études (positives ou négatives) sur le soja – elles ne remarquent aucune variation significative.

D’après une autre source, consommer régulièrement du soja n’aurait pas d’effet sur le risque de cancer du sein (ni d’augmentation, ni de réduction) [5].

Bien sûr, les personnes atteintes de cancer devraient limiter le soja par précaution.
Mais plus généralement, personne ne devrait abuser du soja.
De même avec tous les aliments.
Cela va de soi.

Par le passé, les Asiatiques, eux-mêmes, mangeaient du soja avec parcimonie [5].

2. Complément à base de plantes
Une des plantes les plus efficaces contre les bouffées de chaleur est l’actée à grappes noires (Cimicifuga racemosa).

L’actée à grappes noires est surprenante car elle ne contient pas de phyto-œstrogènes.
Son mode d’action est différent : il semblerait qu’elle agisse sur les récepteurs de la sérotonine [6].

Cela fait longtemps que les Indiennes d’Amérique du Nord utilisent l’actée à grappes noires pour calmer les règles douloureuses [7].

Depuis les années 1940, les thérapeutes la prescrivent pour atténuer les symptômes de la ménopause : en particulier les bouffées de chaleur, mais également l’excès de sueur, les troubles du sommeil, la dépression et l’anxiété [6].

Dans la plupart des études, les comprimés utilisés sont des extraits normalisés à 1 mg de 27-déoxyactéine.
La dose est 1 à 2 comprimés, 2 fois par jour.

L’actée à grappes noires est souvent couplée au millepertuis – qui cible les sautes d’humeur fréquentes à la ménopause [6].
Ensemble, ils forment un cocktail pour les symptômes majeurs de la ménopause.

L’actée à grappes noires est contre-indiquée pendant les grossesses et l’allaitement… ainsi que chez les personnes ayant le foie endommagé ou qui prennent des médicaments qui fragilisent le foie.

Lisez de près les étiquettes, il s’agit bien de l’actée à grappes noires, et non à grappes bleues ou blanches qui, elles, sont toxiques.

Vous trouverez de l’actée à grappes noires en pharmacie et dans les bons magasins de diététique.

Sur Internet, vous en trouverez notamment chez D.Plantes et Biovéa.

Bien à vous,

Eric Müller

PS : Bien entendu, nous ne touchons aucune commission ni rémunération en échange des produits que nous recommandons. Ceux-ci sont sélectionnés selon des critères stricts de composition, d’ingrédients et de qualité de fabrication.

Consulter les sources sur le site.

Gy = Ménopause - Andropause 3209990655



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MessageSujet: Re: Gy = Ménopause - Andropause   Gy = Ménopause - Andropause EmptyJeu 15 Juin 2017 - 15:57

source ICI sur reponses bio

La graine de lin : alliée de la femme et de la lutte contre les effets de l’âge
14 juin 2017


Protecteurs du système cardiovasculaire et de la prostate, préventifs anti-cancer et véritables garants d’une ménopause heureuse, les lignanes se trouvent dans une alimentation saine à base de fruits et légumes, et surtout dans les graines de lin.

Depuis des siècles et des millénaires les femmes asiatiques ont peu ou pas de symptômes de la ménopause.

Ce qui prouve qu’avec une alimentation riche en phyto-œstrogènes, il est possible de rééquilibrer une sécrétion hormonale en baisse, d’échapper aux troubles accompagnant la ménopause et même de retarder des processus dégénératifs liés à l’âge.

Parmi ces phyto-œstrogènes, les isoflavones, essentiellement tirés du soja, sont les plus connus.

Mais on ignore souvent que les lignanes ont aussi des effets réellement bénéfiques sur la santé, et qu’on les trouve, même si ce n’est pas dans des proportions vraiment suffisantes, dans de nombreux aliments les plus courants, comme :
→ les céréales complètes,

 → les graines de sésame,

 → et surtout les graines de lin.

Leur action équilibrante sur les taux hormonaux permet de passer une ménopause heureuse et contribue à la prévention des cancers, des maladies cardiovasculaires ainsi que de l’ostéoporose.

Des effets œstrogéniques
Comme les isoflavones du soja, les lignanes interviennent positivement sur les symptômes de la ménopause, y compris sur les détériorations cognitives que les isoflavones, pour leur part, ne semblent pas influencer.

Cependant, pour l’équilibre physiologique œstrogénique proprement dit, les lignanes n’apportent qu’une aide d’appoint et doivent toujours être intégrés à un traitement plus global incluant les isoflavones.

Plus précisément, les lignanes adoucissent les pics et les dépressions œstrogéniques, ce qui ne constitue pas une thérapie très agressive, mais diminue néanmoins considérablement les effets indésirables des fluctuations de l’activité œstrogénique.

Ils ont en outre bien d’autres avantages, comme de prévenir l’ostéoporose.

Les œstrogènes sont essentiels pour le maintien de la densité osseuse, et la prise de compléments à base de lignanes semble réduire l’incidence de l’ostéoporose chez les femmes post-ménopausées.

Une étude sur trente-huit femmes ménopausées ne suivant pas de traitement hormonal substitutif a montré qu’une supplémentation avec des lignanes de graines de lin diminue l’excrétion du calcium ainsi que l’activité de deux marqueurs essentiels de la résorption osseuse.

Des préventifs du cancer
La recherche récente a démontré que les lignanes végétaux contribuent à entraver le développement des cancers du sein, de la prostate et du côlon, qui tous dépendent spécifiquement des œstrogènes pour progresser.

Les lignanes sont plutôt des régulateurs œstrogéniques : lorsque l’organisme ne dispose que de peu d’œstrogènes, comme pendant la ménopause, ils en rajoutent.

Au contraire, en cas d’excès, ils en retirent aux récepteurs cellulaires.

Ainsi ce déplacement hormonal prévient certains cancers, notamment celui du sein.

Une étude américaine portant sur plus de trois mille femmes a établi que les femmes pré-ménopausées qui consomment les plus fortes quantités de lignanes sont celles qui ont le moins de risque de développer un cancer du sein.

D’autres études, notamment en Italie, ont confirmé ces résultats.

L’une d’elles a également prouvé que la supplémentation en lignanes de graines de lin diminue la croissance tumorale chez les patientes atteintes d’un cancer du sein.

De la même manière, chez les hommes, ce sont aussi ceux qui consomment le moins de lignanes qui ont le plus de risques de contracter un cancer de la prostate, car les lignanes ont un effet bénéfique sur la plupart des paramètres biologiques de la prostate.

Des protecteurs cardiovasculaires
Les lignanes contribuent aussi à maintenir une bonne santé cardiovasculaire.

La célèbre étude de Framingham a conclu que des prises élevées de lignanes par des femmes post-ménopausées sont associées à un profil de risque cardiovasculaire favorable.

Et une étude finlandaise a abouti aux mêmes conclusions sur une population masculine.

Ils semblent donc indiqués dans la prévention cardiovasculaire, sans doute plus que les isoflavones, qui n’ont aucun effet significatif sur la pression sanguine alors que les lignanes ont le pouvoir d’abaisser l’hypertension.

Les graines de lin, notamment cas de stress mental, probablement grâce à l’action conjuguée des oméga 3 et des lignanes qu’elles contiennent, donnent d’excellents résultats sur la pression sanguine et préviendraient même l’athérosclérose.

Les sources alimentaires de lignanes
La graine de lin n’est pas seulement une excellente source d’oméga 3 et de fibres alimentaires solubles.

C’est certainement l’aliment le plus riche en lignanes puisqu’il en contient cent fois plus que les meilleures des autres plantes, environ 86 mg par portion de 30 grammes.

Cela explique qu’il contribue à réduire des symptômes de la ménopause et le développement de cancers.

Toutefois, les lignanes ne sont pas présents dans l’huile de graines de lin.  

Plusieurs études expérimentales ont montré que les lignanes de la graine de lin agiraient sur le développement et la différentiation des cellules, réduiraient la croissance des tumeurs et préviendraient la formation de métastases.

Ils ont des effets comparables à ceux des inhibiteurs d’aromatase contre le cancer du sein et des effets bénéfiques ont été constatés sur des cancers de la prostate.

Les graines de sésame et de citrouille en contiennent aussi, bien qu’en quantité moindre.

Jean-Baptiste Loin

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MessageSujet: Re: Gy = Ménopause - Andropause   Gy = Ménopause - Andropause EmptySam 8 Juil 2017 - 19:00

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source https://www.neo-nutrition.net/les-11-lettres-qui-font-maigrir-surtout-apres-50-ans/

Perdre du poids à la ménopause (sans en reprendre)
Par Jean-Marc Dupuis/12 mai 2015


Ce que 99 % des gens ne comprennent pas (je l’ai constaté personnellement), c’est que le sport intensif ne garantit pas une belle silhouette.

Si vous faites des pompes, un marathon ou du vélo d’appartement tous les jours, vous allez bien sûr perdre de la graisse.

Mais vous n’allez pas forcément devenir comme Claudia Schiffer.

Vos muscles et vos os vont se développer. Vos biceps et vos mollets vont gonfler.

Selon le sport que vous choisirez, vous pourriez :
option 1 : développer une silhouette musculeuse et trapue de camionneur
option 2 : devenir sèche avec les muscles saillants comme une championne de tennis ou de course à pied.
Mais ce n’est pas toujours le moyen le plus efficace, ni le plus harmonieux de maigrir.

Mensonge de la publicité
Dans les publicités à la télévision, vous voyez des femmes qui ont un ventre super plat et musclé, des fesses rebondies sans un poil de graisse, même pas en haut des cuisses, des seins magnifiques, à la fois volumineux et fermes… et on vous fait croire que c’est uniquement le sport (et l’eau minérale Contrex ou Volvic) qui ont produit ce résultat.

C’est se moquer du monde.

Non seulement 100 % des images que vous voyez aujourd’hui à la télé comme au cinéma ou sur les affiches publicitaires sont retouchées par ordinateur.

Mais de toute façon, ce n’est pas là le secret.

Il est vrai que, souvent, les « coachs » dans les clubs de gym ont une très belle silhouette.

Mais ne vous laissez pas tromper : c’est en général parce qu’elles avaient un beau corps et beaucoup d’énergie au départ qu’elles se sont orientées vers ce métier et qu’elles ont été recrutées. Pour donner envie aux clientes.
Pour leur faire croire que, moyennant le paiement de leur cotisation au club de gym, elles pourront, elles aussi, devenir comme cela facilement.

Mais c’est avant tout commercial.

Bien sûr, le sport contribue à les entretenir, et à obtenir un résultat encore meilleur.

Mais à la base, ces femmes ont un secret, que je vais vous révéler.

Le secret en 11 lettres
Ce secret tient en 11 lettres.

C’est un mot compliqué.

La plupart des gens qui l’utilisent n’en comprennent pas bien le sens, même parmi ceux qui ont une formation médicale.

Ces 11 lettres sont M-E-T-A-B-O-L-I-S-M-E. « Métabolisme ».

Le « métabolisme » est le terme utilisé en médecine pour l‘ensemble des réactions chimiques qui permettent à un organisme de rester en vie.

Le métabolisme se divise en deux parties :
Le catabolisme, ou production de chaleur corporelle et d’énergie par destruction des nutriments apportés par votre alimentation.
C’est le catabolisme qui vous permet de bouger, vous réchauffer, et même de penser (le cerveau a besoin d’énergie exactement comme un muscle).
L’anabolisme, ou fabrication de tous les composés dont ont besoin les cellules.
C’est l’anabolisme qui permet de fabriquer et renouveler les tissus de votre corps : peau, organes, os, muscles, etc.
Vous avez d’ailleurs certainement entendu parler des athlètes qui, pour se doper, prennent des produits « anabolisants ».
Ce sont des produits qui stimulent la fabrication des tissus musculaire et osseux.
Ainsi, pour rester en vie, votre corps a besoin en permanence de brûler des nutriments pour produire de la chaleur et de l’énergie (catabolisme), et de construire de nouvelles briques pour se développer ou se renouveler (anabolisme).

Ensemble, le catabolisme et l’anabolisme forment donc le métabolisme.

Et voici où je voulais en venir :
Votre métabolisme représente environ 70 % de votre dépense énergétique totale.
L’activité physique ne représente que 20 % de votre dépense énergétique, et les 10 % restant correspondent à l’énergie consommée lors de la digestion.

Mais vous allez voir que le monde est vraiment injuste.

Voyez comme le monde est injuste !
Certaines personnes, surtout les plus jeunes, ont un métabolisme naturellement élevé.
Elles ont naturellement beaucoup d’énergie (bon catabolisme) et leurs tissus se renouvellent vite et bien (bon anabolisme).

Ce sont en général les personnes les plus séduisantes.

Non seulement elles sont plus actives et ont un corps naturellement plus ferme.

Mais en plus, peu importe ce qu’elles mangent, elles ne prennent pas de poids, même si elles ne font pas de sport.

Vous remarquerez aussi que ces personnes, moins frileuses que les autres, sont parfaitement à l’aise court vêtues, même quand tout le monde grelotte.

Vous en connaissez forcément dans votre entourage.
Des personnes qui, à la cantine ou au restaurant d’entreprise, ne se privent jamais de dessert.

Qui sont pieds nus dans leurs chaussures, portent décolleté plongeant et mini-jupes en plein hiver.

Qui ne font de la gymnastique que pour le « fun », de temps en temps, pour s’amuser entre copines, et qui n’ont pas un kilo en trop.

Qui sont toujours alertes et pétillantes, comme si elles étaient vaccinées contre les chutes de moral et les baisses de tonus.

L’explication, vous la connaissez maintenant : il n’y a aucun miracle derrière.

Ce sont simplement des personnes qui, naturellement, ont un niveau élevé de métabolisme.

Ce qu’elles mangent, elles le transforment immédiatement en chaleur, en énergie, et pour renouveler leurs cellules (peau, cheveux, muscles…) et rester jeunes.

Elles n’ont aucun mérite particulier.
Elles sont nées comme ça.
Et elles n’ont aucun effort à faire au jour le jour.

Mais l’inégalité de naissance dont elles bénéficient va encore plus loin.

Moins de maladies grâce à un meilleur métabolisme
Un meilleur métabolisme permet non seulement de rester mince mais aussi d’éviter de nombreuses maladies graves.

En effet, un gros ventre augmente votre risque de maladies cardiovasculaires, de diabète de type 2 et d’hypertension.

Le surpoids augmente aussi votre risque de dyslipidémie (anomalie des taux de lipides dans le sang), de troubles du sommeil (apnée) ou d’arthrose, car vos articulations subissent une surcharge, surtout au niveau des hanches et des genoux.

Vous risquez davantage de souffrir de certains cancers, en particulier les cancers liés au système digestif (cancer du côlon, de la vésicule biliaire, du pancréas, du foie, du rein).

Enfin, de récentes études ont relié le surpoids à un risque accru de maladie d’Alzheimer et autres maladies neurodégénératives, c’est-à-dire qui attaquent les cellules de votre cerveau et de vos nerfs.

Un métabolisme faible, ce n’est donc pas seulement souffrir d’un manque d’énergie, d’une tendance au surpoids, et souvent de frilosité.
C’est aussi un risque plus élevé de tomber malade.

Comment augmenter naturellement votre métabolisme
Maintenant, il est bien connu que votre niveau de métabolisme peut aussi être stimulé par des nutriments particuliers.

Vous en connaissez plusieurs : il y a la caféine, qui augmente jusqu’à 29 % la combustion des graisses par sa simple capacité à stimuler le métabolisme [1].

La caféine augmente la production de chaleur par le corps (thermogénèse).
Vous enlevez une couche de vêtement parce que vous brûlez plus de calories.
Une étude parue en 2012 a démontré qu’une dose de 1 à 3 mg de caféine par kg de masse corporelle, soit l’équivalent de 60 et 225 mg de caféine pour un adulte de 60 à 75 kg, augmente la thermogénèse et donc l’élimination de graisses [2].

Vous vous en rendez compte aussi car la caféine rend plus vigilant, augmente la rapidité d’esprit, ce qui a été démontré scientifiquement une nouvelle fois dans une grande étude dont je vous ai déjà parlé [3].
Cet effet est obtenu en stimulant le fonctionnement du cerveau (le cerveau est notre plus gros consommateur de glucose).

Mais la caféine a aussi un effet stimulant sur les muscles : si vous buvez beaucoup de café, vos muscles auront tellement envie de bouger que, si vous ne les sollicitez pas, ils se mettront à trembler, autrement dit bouger tout seuls !

C’est pourquoi le café est aujourd’hui reconnu comme efficace contre la prise de poids [4].

Et ce n’est pas tout : parce qu’il accélère aussi l’anabolisme (renouvellement des cellules), il contribue à prévenir des maladies aussi diverses que le diabète, certains cancers, et la maladie d’Alzheimer [5].

À noter enfin que la caféine, contrairement à ce qui a souvent été dit de façon erronée, ne comporte aucun danger pour la santé.
Le consensus est aujourd’hui total parmi les chercheurs sérieux [6].
À tel point que les autorités sanitaires elles-mêmes n’hésitent plus actuellement à recommander d’en boire 5 tasses ou plus par jour !

Le thé vert pour un ventre plat
Un autre stimulant bien connu du métabolisme est le thé vert :
Plusieurs études ont montré que le thé vert permet de maigrir, en particulier au niveau du ventre [7].

Lors d’une vaste étude de 12 semaines sur 240 sujets des 2 sexes, il a été mis en évidence que le thé vert permettait de réduire considérablement la masse graisseuse, le tour de taille et le surpoids abdominal [8].

Le thé vert contient aussi un peu de caféine, mais l’effet principal est dû à un autre composé, l’épigallocatéchine gallate (EGCG).

Vous connaissez l’ECGC parce qu’il s’agit d’un important nutriment anticancer, dont je parle régulièrement.
Mais une méta-analyse réalisée en 2010 a montré que les ECGC à hauteur de 250 mg par jour ont un intérêt dans la perte et le maintien du poids [9].

D’autres études ont montré que le thé vert augmente la dépense énergétique, ce qui permet de brûler plus rapidement les calories et plus spécifiquement les graisses.
Une étude a montré que l’oxydation des graisses augmentait de 17 % chez les sujets qui avaient consommé du thé vert [10].

La majorité des études montre que les extraits de thé vert sont également efficaces pour maîtriser le taux de sucre sanguin et réduire le risque de maladies cardiovasculaires liées au surpoids [11].

Mettre toutes les chances de votre côté
Ne rêvons pas cependant.

Boire du café et du thé vert, pour bénéfique que cela soit, ne suffira pas à changer votre métabolisme du tout au tout.

C’est pourquoi je recommande un complexe de nutriments naturels ciblés qui, en plus de contenir des extraits concentrés de caféine et ECGC de thé vert, vous apporte une dose de deux autres produits naturels stimulants (et bien moins connus), la capsaïcine et, surtout, la fucoxanthine.

Très peu de personnes connaissent la fucoxanthine, qui est issue de l’algue brune Undaria pinnatifida, ou wakamé, très utilisée au Japon.

Une étude publiée en décembre 2009 a pourtant montré que la fucoxanthine affecte plusieurs enzymes impliquées dans le métabolisme des graisses et provoque une augmentation de la production d’énergie provenant des lipides [12].
Vous consommez donc plus vite vos graisses corporelles.

Des chercheurs japonais ont également démontré que la fucoxanthine stimule la production d’une protéine, l’UCP1, capable d’oxyder les graisses et de favoriser leur dégradation, ce qui peut permettre une perte de poids de 5 à 10 %.
Ils ont également démontré qu’elle stimule la production par le foie de DHA (acide docosahexaénoïque), un acide gras de la famille des oméga-3, excellent pour la santé du cœur [13].

Deux études en double-aveugle, contrôlées contre placebo, ont testé sur 150 femmes en surpoids l’effet de la fucoxanthine [14].
Les sujets ont été suivis pendant 16 semaines. Dans le premier essai, le groupe supplémenté en fucoxanthine a perdu en moyenne 7 kg, contre seulement 1,5 kg dans le groupe placebo.
Dans la seconde étude, le niveau de métabolisme des personnes prenant de la fucoxanthine était nettement plus élevé que celui des sujets sous placebo.

La capsaïcine, elle, est un peu plus connue.
Présente dans le piment, elle a la capacité unique de stimuler la production d’une forme très spéciale de graisses bonnes pour la santé, les « graisses brunes » qui brûlent les calories, et d’accélérer l’élimination des graisses blanches (« mauvaises graisses »).

Selon une étude publiée en 2010, la capsaïcine active les protéines spécifiques qui sont responsables de la combustion des graisses et supprime celles qui sont responsables de leur stockage [15].

Plusieurs études ont également démontré que la capsaïcine augmente la dépense énergétique [16]. Une sécrétion accrue d’adrénaline et de noradrénaline engendrée par la capsaïcine pourrait être à l’origine de cet effet stimulant.

La capsaïcine a également un effet coupe-faim.
Selon les chercheurs, la consommation de capsaïcine pourrait diminuer d’environ 74 kcal [17] la quantité de calories consommées d’un repas offert à volonté.
Cette propriété lui est conférée par sa capacité à réduire la production de la ghréline, une hormone qui déclenche la sensation de faim.

4 nutriments concentrés pour stimuler le métabolisme
Pour nous résumer, nous avons donc là 4 nutriments concentrés pour stimuler le métabolisme : la caféine, l’ECGC, la fucoxanthine et la capsaïcine.

Leur premier effet est d’améliorer la production d’énergie du corps, et de favoriser le bon fonctionnement et le bon renouvellement des cellules.

C’est donc relativement à votre niveau d’énergie, votre moral et votre santé que vous en ressentirez d’abord les conséquences.

Mais comme l’affirme la maxime scientifique, dans la nature « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ».

Si vous avez plus d’énergie, ce ne sera pas par magie.
C’est que votre organisme consommera plus de nutriments, à la fois pour son catabolisme et son anabolisme (qui, ensemble, constituent le métabolisme, vous l’avez bien compris maintenant).

Vous pourrez donc attendre une perte de poids, et ce indépendamment de votre activité physique, que vous fassiez ou non « plus de sport ».

À vous de voir, évidemment, si vous souhaitez ou non tenter l’expérience.
Le but de cette lettre n’est en aucun cas de pousser quiconque à la consommation.
Le but est de rétablir une vérité essentielle, qui est tellement importante que je me permets de la répéter une nouvelle fois :
L’activité physique, pour essentielle qu’elle soit à la santé, ne représente que 20 % de votre consommation d’énergie. 70 % tient à votre métabolisme.
C’est l’énergie dont votre corps a besoin pour rester chaud, fournir à votre cerveau et à vos organes l’énergie et les nutriments pour fonctionner, mais aussi simplement pour exister (vivre, se réparer, se renouveler).

Il faut donc arrêter de donner mauvaise conscience aux personnes qui souffrent d’un métabolisme naturellement faible (et de valoriser outre mesure celles qui ont un métabolisme naturellement élevé).

Pour être constructif, il faut apporter des solutions.
C’est ce que j’ai essayé de faire dans cette lettre.
Et je serais très reconnaissant à tous les lecteurs qui essaieront de suivre ces conseils de me tenir au courant des résultats qu’ils obtiendront. J’en ferai ainsi profiter toute la communauté.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

sources sur le site.

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Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.

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MessageSujet: Re: Gy = Ménopause - Andropause   Gy = Ménopause - Andropause EmptyMar 21 Nov 2017 - 21:56

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source http://www.reponsesbio.com/2015/11/25/que-peut-lhomeopathie-pour-votre-menopause/

Que peut l’homéopathie pour votre ménopause ?
25 novembre 2015


Pour éviter les bouffées de chaleurs et autres symptômes désagréables de la ménopause, l’homéopathie, associée à la phytothérapie, l’oligothérapie et la diététique, donnent d’excellents résultats.

A l’heure de la ménopause, l’ovulation prend fin et les ovaires cessent de produire de l’œstrogène.

La chute hormonale est le premier mécanisme causant toutes les perturbations, bouffées de chaleur, sécheresse vaginale, maux de tête ou surcharge pondérale, que connaissent la plupart des femmes, généralement autour de la cinquantaine.

Un certain nombre de mesures homéopathiques et phytothérapiques peuvent être prises pour éviter ces désagréments.

Les bouffées de chaleur
En homéopathie, les grandes questions qui doivent être posées concernant les bouffées de chaleur sont essentiellement de savoir si elles sont sèches ou humides, et si elles sont en relation avec l’émotion.

Compte tenu de la complexité du problème, il est toujours conseillé de consulter son homéopathe avant d’entreprendre un traitement ; mais en attendant l’avis du spécialiste, un certain nombre de remèdes homéopathiques sont recommandés en 9CH, à raison de trois granules deux fois par jour.

Ce sont :
৩  En cas de bouffées de chaleur sèches
→ Aconit si le visage devient brutalement rouge et qu’il y a anxiété.

 → Sanguinaria lorsque les joues sont en feu.

 → Veratrum viride lorsque le sang afflue violemment à la tête et qu’un battement artériel généralisé l’accompagne.

৩ En cas de bouffées de chaleur humides
→ Belladona lorsque la rougeur du visage s’accompagne de sueurs chaudes.

 → Amylium nitrosum lorsque la congestion rouge battante est accompagnée d’une sueur suivie d’une sensation de froid.

 → Veratrum album lorsqu’il y a sensation de malaise accompagné de sueurs froides sur tout le corps.

৩ En cas de bouffées de chaleurs liées à l’émotion
→ Ignatia lorsque la bouffée vient et disparaît rapidement à la suite d’une émotion.

 → Gelsemium lorsque la rougeur du visage s’accompagne de sueurs et d’abattement, toujours en lien avec l’émotion.

 → Nux vomica en cas de bouffées congestives des femmes hyperactives et irritables, survenant deux heures après le repas ou vers trois heures du matin.

A ce traitement homéopathique, doit impérativement s’ajouter un certain nombre de mesure diététiques, à commencer par la diminution de la consommation de viande et l’augmentation de celle des légumes, céréales complètes et légumineuses ; et, bien sûr, parmi ces légumineuses, en tout premier lieu, le soja et ses sous-produits.

Cela dit, il ne faut pas oublier que l’alcool et le café sont, la plupart du temps, responsables de la fréquence et de l’intensité de ce symptôme, et qu’il conviendrait par conséquent de les supprimer radicalement.

D’autre part, une complémentation en vitamine E, à raison de 800 UI par jour, devra compléter ce programme alimentaire sauf si l’on consomme des anticoagulants.

Enfin, pour ce qui concerne la phytothérapie, l’actée à grappes noires, ou tout simplement la sauge, prises plusieurs fois par jour sous forme de tisanes, avant, pendant et après les repas, soulageront très nettement les bouffées de chaleur nocturne et la transpiration qui peut en résulter.

En phytothérapie rénovée, Melilotus TM, en fluidifiant le sang, décongestionnant et calmant, est tout à fait indiqué en cas de bouffées de chaleur, mais à faible dose, à savoir une dizaine de gouttes deux à trois fois par jour.

Il faudra toutefois au moins deux mois avant que ce programme commence à donner des résultats.

On en profitera pour entamer une activité physique soutenue qui augmentera l’intensité du symptôme dans un premier temps… avant de contribuer très largement à le réduire.

Les maux de tête
Celles qui n’en avaient pas les voient apparaître, les autres les voient s’aggraver.

Il va sans dire que des maux de tête continuels nécessitent impérativement la consultation médicale.

Sinon, on pourra traiter avec des remèdes homéopathiques à la neuvième centésimale, à raison de trois granules deux fois par jour.

৩ S’il y a maux de tête accompagnés de nausées
→ Iris versicolor en cas de migraines d’un côté.

 → Sanguinaria en cas de migraines avec visage rouge et acidité gastrique.

 → Kalium bichromicum en cas de douleurs frontales et vomissements acides.

৩ S’il y a maux de tête avec congestion du visage
→ Belladona en cas de rougeurs congestives, douleurs battantes et sueurs.

 → Sanguinaria en cas de symptômes identiques mais sans sueurs.

 → Glonoïnum en cas de congestion intense et battements violent dans les artères.

৩ S’il y a maux de tête liés à l’émotion
→ Ignatia en cas de sensations de clous dans la tête.

 → Gelsemium en cas de pesanteur sur la tête et la nuque, et abrutissement après une peur.

 → Argentum nitricum en cas d’impression d’augmentation du volume de la tête.

Au plan diététique, il faut naturellement avant tout supprimer le café, le vin, la bière, le chocolat, le fromage, les cornichons et le salami.

En revanche, il est conseillé de condimenter la plupart des plats avec du gingembre frais qui apaisera les migraines grâce à son action vasodilatatrice.

Enfin, en oligothérapie les céphalées se traitent avec Manganèse, Soufre et Manganèse-Cobalt.

Les pertes de mémoire
Lorsque la préménopause et la ménopause entraînent des pertes de mémoire l’homéopathie, la diététique et l’oligothérapie sont tout indiquées.

৩ En cas de perte de mémoire après un effort mental : Kalium phosphoricum 9CH et Phosphoricum acidum 9CH, trois granules de chaque deux fois par jour.

৩ En cas de pertes de mémoire associées à de la fatigue, de l’anxiété et de la mauvaise humeur : Anacardium 15CH, trois granules par jour.

৩ En cas de pertes de mémoire concernant les noms propres : Lycopodium 9CH, trois granules par jour.

Au plan alimentaire, la levure de bière et le suc naturel de Ginkgo biloba, ainsi que tous les compléments riches en vitamines du groupe B pourront atténuer ces déficiences mémorielles.

Enfin, en oligothérapie, les troubles de la mémoire de la ménopause sont améliorés par Phosphore, Manganèse Manganèse-Cobalt et Lithium.

Les troubles cardiovasculaires
Privée de l’œstrogène qui la protégeait contre les troubles cardiovasculaires dans la première partie de sa vie, la femme ménopausée se retrouve avec des risques identiques à ceux qui affectent les hommes concernant d’éventuelles attaques cardiaques.

Cela dit, ces troubles sont fréquemment liés à un terrain personnel ou familial.

Ici, le traitement homéopathique dépend naturellement du médecin qui travaillera d’ailleurs sous le couvert d’une surveillance cardiologique régulière.

Par contre, il est possible de prévenir au niveau alimentaire, en consommant un ou deux grands verres de jus de raisin frais tous les jours.

Mais il va sans dire que le complément nutritionnel Resvératrol peut remplacer ce délicieux breuvage en dehors de sa saison.

L’oligothérapie, pour sa part, calmera les palpitations avec Manganèse, Iode et Manganèse-Cobalt.

Enfin, un phytothérapique, à prendre en teinture mère, macérât glycériné ou simplement en tisanes, viendra encore apporter une aide précieuse en cas de troubles cardiovasculaires…

Ce phytothérapique, l’aubépine, est en effet tonicardiaque, hypotenseur, hypnotique et antispasmodique.

Elle convient tout particulièrement en cas de palpitations, de douleurs cardiaques, d’hypertension, d’angoisses, de vertiges, de bourdonnements d’oreilles et d’insomnies de la ménopause.

Concernant plus spécifiquement l’appareil veineux, le Cassis, qui augmente la résistance des capillaires, s’emploie en cas de troubles circulatoires de la ménopause et d’insuffisance hépatique.

Le Fragon, qui est le plus puissant vasoconstricteur du système veineux connu en phytothérapie, trouve ses indications en cas de maladies veineuses, de troubles capillaires, de varices et autres troubles de la ménopause.

Le Marron d’Inde, un vasoconstricteur, tonique veineux et fluidifiant sanguin, est excellent en cas de varices ou lorsqu’il y a congestion hépatique.

La Vigne rouge, enfin, est la plante circulatoire par excellence, et s’emploiera en cas de varices et de troubles de la ménopause liés à la circulation.

L’ostéoporose
S’il est vrai que c’est dès l’enfance qu’une prévention par une alimentation saine et riche en calcium assimilable doit être menée pour éviter l’ostéoporose à l’âge adulte, rien n’empêche la femme ménopausée de multiplier les exercices de musculation et la prise de vitamine D… et d’user de médicaments homéopathiques.

Un traitement personnalisé, associé à une activité physique et à des compléments nutritionnels comme la Dolomite peut compléter un traitement hormonal seulement envisageable lorsque le risque de fracture est très élevé.

Sinon, on évitera, bien sûr, la thérapeutique hormonale que l’on ne peut que déconseiller aux 85% des femmes qui ne sont pas concernées par ce problème spécifique.

La sécheresse vaginale
La fin des menstruations l’aggrave très souvent, mais une alimentation riche en soja, et la consommation de tisanes de trèfle rouge contribueront, la plupart du temps, à l’apaiser.

Quant au médicament homéopathique de la sécheresse vaginale, c’est indéniablement Folliculinum 4CH, que l’on prendra à la dose de trois granules par jour aussi longtemps que nécessaire.

La prise de poids
Ce sont, le plus souvent, les traitements hormonaux qui entraînent la prétendue prise de poids de la ménopause.

D’autres fois, il est vrai, c’est un choc psychologique qui s’avère responsable de l’accumulation des kilos en trop.

En homéopathie on recommande Thuya 15CH, à raison d’une dose par semaine pendant six mois, pour prévenir ces réactions, surtout lorsqu’on a constaté une forte prédisposition dans ce sens.

Enfin, en oligothérapie l’obésité de la ménopause pourra être évitée en prenant Manganèse-Cobalt et Lithium ; et en cas de cellulite Potassium, Lithium, Iode, Phosphore, Nickel, Manganèse et Cuivre-Nickel-Cobalt.

]b]La régulation hormonale[/b]
En homéopathie, deux médicaments sont fréquemment prescrits pour réguler le déséquilibre hormonal lors de la préménopause.

Ce sont Folliculinum 15CH, à raison d’une dose le dixième et vingtième jour du cycle, et Luteinum 4CH, cinq granules du quatorzième au vingt-huitième jour.

Geneviève Maillant

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MessageSujet: Re: Gy = Ménopause - Andropause   Gy = Ménopause - Andropause EmptyMar 8 Aoû 2023 - 17:35

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MessageSujet: Re: Gy = Ménopause - Andropause   Gy = Ménopause - Andropause EmptyDim 31 Déc 2023 - 10:49

Pour les hommes aussi cette période est problématique

source ICI sur femme actuelle

Ménopause masculine : comment fonctionne-t-elle et quels sont les premiers signes ?
Emilie Biechy-Tournade
Publié le 28/12/2023


Si la ménopause féminine est de mieux en mieux connue, celle que vit une partie des hommes (l'andropause) demeure encore floue.
Des scientifiques américains ont décrypté cette période pouvant bousculer les systèmes hormonaux de certains hommes.
On fait le point.

Bouffées de chaleur, troubles du sommeil, irritabilité… les symptômes de la ménopause, qui touche les femmes aux alentours de 50 ans sont de mieux en mieux connus.
Cette période de la vie de toute femme est marquée par l’arrêt définitif de l’ovulation et des règles.
Quant aux hommes, ils peuvent également expérimenter une "ménopause" masculine en vieillissant.
Cette dernière est appelée l’andropause et désigne le phénomène de diminution de la testostérone avec l'âge.

Si on peut parfois utiliser le terme de "ménopause" masculine, les similitudes entre l’andropause et la ménopause féminine sont assez faibles, selon UroFrance.
En effet, contrairement à la ménopause, l’andropause n’est pas synonyme de l'arrêt des capacités de reproduction chez l’homme.
Par ailleurs, les femmes ménopausées connaissent une chute brutale de leurs hormones sexuelles, alors qu’elle est plus progressive chez les hommes atteints d'andropause.
Pour mieux comprendre ce qu’on peut appeler la "ménopause" masculine, des scientifiques de la Mayo Clinic ont expliqué ses mécanismes et les signes à surveiller.

Andropause : qu’est-ce qui provoque la ménopause masculine ?
Selon les chercheurs de la Mayo Clinic, la production de testostérone et d’autres hormones sexuelles diminue progressivement chez les hommes, sur une période de plusieurs années, ce qu’on appelle un hypogonadisme tardif.
S’il est admis que le taux de testostérone peut significativement baisser avec l'âge, les conséquences de cette diminution ne sont pas pour autant limpides.

Le taux de testostérone d’un homme diminue en moyenne d’environ 1% par an après 40 ans d’après les scientifiques de la Mayo Clinic.
Néanmoins, ils notent que la plupart des hommes plus âgés ont encore des taux de testostérone normaux, et que seuls 10 à 25% d’entre eux présentent des taux dits faibles.
Contrairement à la ménopause féminine, l'andropause ne touche donc pas tous les hommes.
Les chercheurs ajoutent que les faibles taux de testostérone peuvent également souvent passer inaperçus, car nombreux sont ceux qui ne connaissent aucun symptôme de cette baisse.
Par ailleurs, les symptômes associés à un faible taux de testostérone peuvent être la conséquence de nombreux autres facteurs.

Ménopause masculine : quels peuvent être les symptômes d’un faible taux de testostérone ?
Quels sont les symptômes pouvant évoquer un faible taux de testostérone ?

Les scientifiques de la Mayo Clinic ont listé différents facteurs à surveiller :
une diminution du désir et de l'activité sexuelle
une diminution des érections spontanées ou un dysfonctionnement érectile
une gêne ou un gonflement des seins
une infertilité
une perte de taille, fracture traumatique basse ou faible densité minérale osseuse
des bouffées de chaleur ou sueurs
des troubles du sommeil ou une somnolence
une diminution de la masse et de la force musculaire
une augmentation de la masse graisseuse
une baisse de l'énergie, de motivation, de confiance en soi
une humeur dépressive
un manque de concentration

Pour attester d’une situation de ménopause masculine, les experts recommandent aux hommes âgés de faire tester leur taux de testostérone, s’ils présentent des symptômes.
Dans le cas où un premier test se révèle concluant, il faut le répéter puis procéder à des examens complémentaires de l’hypophyse, une glande du système endocrinien chargée de la régulation des hormones, afin de confirmer la baisse de testostérone.

Andropause : quels traitements envisager ?
Il existe un traitement hormonal pour pallier aux symptômes de l'andropause, qui repose exclusivement sur l'administration de testostérone, sous forme injectable, de comprimés, de gel, mais aussi de patch.
Par ailleurs, un traitement à la testostérone nécessite un suivi régulier et un bilan prostatique préalable, et il est contre-indiqué en cas de cancer de la prostate, de cancer du sein, d'hypertrophie bénigne de la prostate, d'état d'agressivité, d'apnée du sommeil, ou encore d'insuffisance cardiaque, rénale ou hépatique grave, selon le site QuestionSexualité.
Dans tous les cas, il est essentiel d'être accompagné par son médecin si on choisit d’entreprendre un traitement à la testostérone, car s’il peut soulager des symptômes gênants, il peut également être inefficace, voire présenter des risques chez certains.

Les chercheurs de la Mayo Clinic recommandent avant tout de dialoguer avec son médecin, afin de peser le pour et le contre et de trouver la meilleure option.

Sources :
Male menopause: Myth or reality? - Mayo Clinic

« Le Vieillissement masculin et ses multiples facettes » du Dr Sylvain Mimoun, gynécologue-andrologue-psychosomaticien à Paris, et du Dr Lucien Chaby, gynécologue-andrologue à Paris - UroFrance,

Tout savoir sur l'andropause - QuestionSexualité

Ménopause : définition, symptômes et diagnostic - Ameli.fr

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MessageSujet: Re: Gy = Ménopause - Andropause   Gy = Ménopause - Andropause EmptyJeu 14 Mar 2024 - 17:26

source https://madame.lefigaro.fr/bien-etre/nutrition/comment-limiter-la-prise-de-poids-a-la-menopause-20240226

Comment limiter la prise de poids à la ménopause ?
Par Lena Couffin
Publié le 26/02/2024


Les variations hormonales liées à la ménopause peuvent entraîner une prise de poids.
Seulement, elle peut s’avérer dangereuse pour la santé, si elle est trop importante.
La médecin nutritionniste Corinne Chicheportiche-Ayache donne les clés pour l’éviter.


À la ménopause, une femme gagne en moyenne 3 à 7 kilos.
Le phénomène est naturel mais pas sans risque pour la santé.
«La prise de poids peut diminuer l’activité physique, modifier la qualité du sommeil, avoir un impact sur la santé cardio-vasculaire, ou encore sur la santé osseuse et articulaire (fragiliser les hanches, les genoux ou les chevilles), énumère Corinne Chicheportiche-Ayache, médecin nutritionniste.
Sans oublier la graisse viscérale qui, en quantité trop importante, augmente le risque de développer des maladies métaboliques telles que le diabète.»

Quelques conseils permettent de la limiter.
Précisions.

Réduire les calories
La prise de poids s’explique par la diminution de ce que l’on appelle le métabolisme de base durant la ménopause, plus précisément lors de l’arrêt de la fonction des ovaires.
Au repos, le corps dépense ainsi moins d’énergie qu’auparavant et brûle alors moins de calories, ce qui favorise le stockage des graisses.
«Notre poids est régi par la balance énergétique, c’est-à-dire par l’équilibre entre nos apports et nos dépenses d’énergie, explique la médecin. En toute logique, donc, si l’on brûle moins de calories au repos et que notre consommation alimentaire reste la même qu’auparavant, on prend du poids.»

D’où l’importance de revoir quelques-unes de ses habitudes alimentaires.
«Ainsi, on peut réduire ses portions habituelles de 25 à 30%, prendre le temps de mastiquer, manger assis, faire durer le repas 25 à 30 minutes et être attentif à ses signaux de satiété», indique la médecin nutritionniste.

Quant au contenu de l’assiette : on veille à limiter la consommation d’aliments trop sucrés et trop gras, à manger des fruits 2 à 3 fois par jour, des légumes à chaque repas, de la viande blanche ou de la volaille 3 à 4 fois par semaine, et du poisson 3 à 4 fois par semaine (dont du poisson gras, 2 fois).
La spécialiste préconise une portion de 30 à 40 grammes de fromage peu gras par jour (tels que du chèvre frais, de la feta, de la mozzarella ou de la ricotta), associés à un yaourt ou deux.
Pour ce qui est des sucres lents (riz, pâtes, pain, légumineuses...), on en consomme en portion raisonnable, pour éviter les grignotages sucrés durant la journée.

Petit-déjeuner salé
Adopter une alimentation saine et variée commence par le premier repas de la journée.
«Le mieux est de petit-déjeuner salé, indique la spécialiste.
La version sucrée implique un pic d’insuline suivi d’une hypoglycémie. Le taux de sucre augmente alors brutalement dans le sang puis descend tout aussi brusquement.
Nous aurons des fringales tout au long de la journée qui favoriseront les envies de produits sucrés.»

En pratique, on choisit un produit céréalier : du muesli sans sucre, des flocons d’avoine, ou bien du pain complet.
On y ajoute ensuite des aliments végétariens.
Le muesli peut par exemple s’agrémenter de morceaux de fruit et de lait végétal.
Sur le pain, on peut tartiner du fromage frais puis ajouter de l’avocat, du houmous ou un œuf (sans dépasser la quantité totale de 4-5 œufs par semaine).

Pour le reste de la journée, on suit l’adage «petit-déjeuner comme un roi, déjeuner comme un prince, dîner comme un mendiant», tout en s’autorisant une collation en milieu d’après-midi.
On peut par exemple y manger environ 20 grammes d’oléagineux (noix ou pistache non salées ni sucrées), accompagnés d’un fruit.
Le soir venu, une protéine peu grasse, quelques légumes, un morceau de fromage peu gras et un fruit formeront un repas complet et léger.

Surveiller sa consommation d'alcool
Lorsque l’on tente de réduire notre apport calorique, impossible de ne pas prêter attention - aussi - à ce que l’on met dans son verre.
«L'alcool a un apport calorique non négligeable, souligne la médecin nutritionniste.
À titre comparatif, un gramme d’alcool correspond à 7 calories ; un gramme de gras correspond à 9 calories.
Certains cocktails contiennent également une forte dose de sucre.»


Augmenter son activité physique
Le jeu des hormones modifie l’aspect du corps.
Les œstrogènes sont responsables de la répartition dite «gynoïde» des graisses dans le corps, localisées au niveau des cuisses et des fesses.
Or, à la ménopause, les ovaires arrêtent de les produire ainsi que la progestérone.
«Il ne nous reste plus que les androgènes, poursuit Corinne Chicheportiche-Ayache, la répartition de graisse se fait alors de façon “androïde”. Comme pour les hommes, le stockage des graisses se fait à présent au niveau du tronc et des bras, et on observe par exemple un épaississement de la taille et de la poitrine.»

Les œstrogènes sont en effet responsables de la répartition des graisses dans le corps, une répartition dite «gynoïde»

Pour limiter ce stockage, il est nécessaire d’effectuer plus d’activité physique.
«On augmente ainsi les dépenses d’énergie, cela rééquilibre la balance énergétique totale et nous évite de prendre trop de poids», commente la spécialiste.
Il est donc essentiel de pratiquer un sport régulièrement et de multiplier les occasions de mouvement au quotidien pour réduire au maximum la sédentarité.
Cette habitude sera salvatrice à tous les niveaux : le sport étant la meilleure façon de gérer les variations d’humeur et le stress, particulièrement présent lors de la ménopause.
«Les hormones sécrétées durant l’effort physique (endorphine, dopamine, adrénaline...), réduisent notre taux de stress et nous évitent les pulsions alimentaires liées aux émotions négatives», ajoute Corinne Chicheportiche-Ayache.

Prendre soin de son sommeil
Certains symptômes de la ménopause, comme les bouffées de chaleur, peuvent altérer la qualité du sommeil, provoquer des réveils nocturnes ou des insomnies.
«Sauf qu’une fatigue importante favorise la prise de poids, prévient la médecin, on aura tendance à faire moins de sport et à être attiré par des aliments qui apportent de l’énergie, le plus souvent des produits gras et sucrés.»
D’où l’importance de consulter son médecin traitant en cas de troubles du sommeil.

Lire aussi sur le site:
Les ressources qu’on ne vous a jamais données pour bien vivre la ménopause
«Bien souvent on prescrit aux femmes des antidépresseurs, au lieu de tests hormonaux» : la ménopause, dernier grand tabou au travail ?
Est-il sain de ne dîner que d'une soupe ?

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MessageSujet: Re: Gy = Ménopause - Andropause   Gy = Ménopause - Andropause EmptyJeu 14 Mar 2024 - 17:49

source ICI sur femme actuelle

Ventre plat : que manger le soir pour perdre du ventre ? Voici le repas idéal, selon un diététicien
Florine Cauchie
Avec Laurent Dufay, diététicien nutritionniste
Publié le 07/02/2024
mis à jour le 05/03/2024


Comment composer son assiette le soir lorsque l'on fait attention à sa ligne ?
Un diététicien nutritionniste livre ses conseils concernant le dîner idéal.

Vous cherchez des solution pour lutter contre la graisse qui s'accumule au niveau du ventre ?
Les solutions se trouvent notamment dans l'assiette !
Mais pour s'en débarrasser, il est essentiel d'identifier les causes.
Parmi elles, on retrouve une mauvaise alimentation, des déséquilibres alimentaires, un manque d'activité physique, un mode de vie sédentaire, un manque de sommeil ou encore des perturbations hormonales.
En général, la responsable est simplement une mauvaise hygiène de vie.

Lorsque la graisse s'accumule, elle perd sa fonction protectrice et peut engendrer des problèmes de santé tels que le diabète, du cholestérol, des maladies cardiovasculaires ou de l'hypertension.
Il devient donc crucial d’éviter d’accumuler ce genre de graisse.
L’exercice physique régulier et une bonne alimentation aident grandement à l’éviter.
Certains bons conseils peuvent également vous aider à perdre un peu de ventre.

Quels aliments mettre dans son assiette le soir pour perdre du ventre ?
Pour perdre du ventre grâce à son repas du soir, il est d’abord conseillé de le prendre suffisamment tôt : au moins trois heures.
Cela permet de favoriser la digestion et de limiter les troubles du sommeil.
Enfin, au moment de passer en cuisine, prévoyez un plat avec des légumes et un peu de protéines.

Si vous souhaitez prendre une entrée, le mieux est d’opter pour un aliment peu calorique : concombre, laitue ou asperge si c’est la saison.
En plat principal, il vaut mieux privilégier les fibres avec un petit apport en protéines (crustacés, viande blanche, dinde…).
Autre option, les protéines végétales.
Vous pouvez en trouver dans les légumes secs (haricots, lentilles, soja, fèves), dans les céréales comme l’avoine ou le quinoa ou dans certains tubercules comme la patate douce ou le manioc.
Avec votre portion de protéines, faites cuire quelques légumes de saison.
Si vous n’avez pas de problème de digestion, les légumes crus sont tout aussi bons.

Un petit dessert ?
Le mieux est d’éviter les produits très sucrés comme les yaourts au caramel ou au chocolat ou encore les gâteaux industriels.
Cependant, pas question de se priver : pour perdre du poids, le mieux est de continuer à avoir un régime alimentaire équilibre et varié.
Le mieux, pour se faire plaisir, est de prendre un yaourt nature que l’on sucre avec un trait de sirop d’agave ou un peu de miel.
Il est possible de prendre un fruit, mais attention, il contient beaucoup de fructose, il vaut mieux ne pas en abuser.
Enfin, pour finir, vous pouvez consommer une tisane ou une infusion.

Le jeûne intermittent est-il efficace pour perdre du ventre ?
Le jeûne intermittent consiste à ne pas manger sur une courte durée : certains stoppent durant seize heures tous les jours, d’autres douze ou dix heures.
L’idée est de manger sur une tranche horaire réduite.
Cette méthode aurait certains des bienfaits : notamment entraîner des changements dans le corps qui aident à la combustion de la graisse. Laurent Dufay, diététicien-nutritionniste, explique que "le jeûne intermittent revient à restreindre son niveau calorique en enlevant un à deux repas en fonction des jeûnes (16/8, 18/6, 5/2,1/1).

Cela oblige l’organisme à puiser dans les graisses pour fabriquer de l’énergie, car nous lui fournissons moins de glucides, donc moins de sucres."
Il continue en précisant que "certaines études scientifiques confirment que le jeûne intermittent donne de bons résultats sur une période de quatre semaines en termes de perte de poids et d’amélioration du profil lipidique des patients suivis dans ces études".
Ainsi, l'option du jeûne peut être "une bonne piste pour les patients qui ne souhaitent pas modifier leurs assiettes.
Et quand nous perdons du gras par ce jeûne, nous en perdons sur toutes les zones du corps dont le ventre" conclut l'expert.

Ventre plat : que faut-il manger le matin ?
Quid du petit-déjeuner ?
Dans une précédente interview accordée à Femme Actuelle, Ludivine Delannoy, diététicienne et nutritionniste livrait ses conseils : "Le matin, il est recommandé de donner à l’organisme environ 20-25 % de nos apports énergétiques journaliers, avec une répartition optimale.
Autrement dit, il est intéressant de sélection des nutriments de qualités.
Pour les glucides, on choisira plutôt des glucides complexes, apportant souvent plus de fibres".

Au menu du petit-déjeuner pour un ventre plat : pain complet, flocons d'avoine, fruits, noix, graines, avocat ou encore huile végétale.

À lire aussi sur le site:
Manger des féculents le soir fait-il grossir ? La réponse d’un médecin

Ventre plat : voici les méthodes les plus efficaces pour perdre le bas du ventre, selon une nutritionniste

Ventre plat : que manger le matin pour limiter la graisse abdominale ?

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source [url=https://www.femmeactuelle.fr/minceur/astuces-minceur/temoignages/ventre-plat-nos-lectrices-se-confient-sur-leurs-petits-complexes-et-livrent-leurs-meilleures-astuces-anti-gonflette-2099221#testimonial1]ICI sur femme actuelle/url]

Ventre plat : nos lectrices se confient sur leurs petits complexes et livrent leurs meilleures astuces anti-gonflette
Samantha Barreto
Publié le 07/08/2020
mis à jour le 07/05/2021

Le ventre : complexe numéro 1 des françaises.
Meilleures astuces anti-gonflette, conseils nutrition et tests probants ou décevants, nos lectrices partagent tout.

Zarma, 54 ans
“C’est après la ménopause que c’est devenu un problème”
J’avais déjà un petit peu de ventre, mais c’est après la ménopause que c’est devenu un problème.
Au quotidien, je ne mets que des jeans et des tee-shirt un peu amples pour camoufler mon ventre.
J’aimerais mettre des robes mais je suis trop complexée.

Mon rapport à l’alimentation : Je mangeais gras et beaucoup de choses sucrées.
Depuis deux semaines, j’ai arrêté tout ce qui est sucré ou gras.
Souffrant d’allergies alimentaires, mes choix sont limités en terme de fruits et légumes.
Pour l’instant, il est trop tôt pour voir des résultats.
Je marche beaucoup, je fais du gainage à la maison et de la gym et je pense aussi prendre rendez-vous avec une nutritionniste pour avoir un suivi sur le plan alimentaire.

**

Babette47, 72 ans
“J’évite le pain et les laitages”
Suite à un traitement (biothérapie) toujours en cours, je prends inexorablement de la graisse sur le ventre.

Côté alimentation : j’évite le pain et les laitages, mais j’aime les crudités au détriment des légumes cuits, surtout l’été !
Je mange des fruits et j’adore la glace ( priorité aux sorbets).
En faisant très attention à mon alimentation, j’arrive à limiter les dégâts mais j’ai toujours l’impression d’être enceinte de 6 mois !

Ce qui fonctionne pour moi : J’ai testé un célèbre régime à base de plats préparés, qui a donné quelques résultats mais ne m’a pas fait perdre mon ventre.
J’ai repris du poids car je préfère le frais aux plats préparés, et je trouve aussi cela très onéreux.
Le yoga me détend donc je pense moins à mon surpoids et la marche m’oxygène et permet de me maintenir à un poids presque raisonnable. Néanmoins, je porte de moins en moins de robes, ayant l’impression qu’un pantalon avec une tunique camoufle davantage mon ventre !
Ceci depuis 3 ans, j’ai 72 ans mais je veux rester coquette ! Que faire ?

**

Anonyme, 57 ans
" J’ai beau manger équilibré, rien ne fonctionne "
Pour moi, ce complexe est un énorme problème : je peux perdre un peu de poids, mais j’ai toujours un ventre gros comme celui d’une femme enceinte de 9 mois.
Pas question de mettre des robes qui laissent apparaître le gras de mes bras, ni même des shorts.
Je ne m’habille qu’avec des leggings et des tee-shirt amples.

Mon alimentation me semble équilibrée car je suis diabétique : je bois beaucoup d’eau, je ne consomme pas de sucre, j’utilise des draineurs… Pour le moment, aucune méthode n’a fait ses preuves.

etc etc.......

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